Le savoir laitier

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Le savoir laitier à votre portée Volume 6 - Numéro 3 - Septembre 2011 Sommaire Dossier acétonémie 2-4 Valacta lance la formation « Tout se joue avant 2 ans » 5 Nouveau site web Valacta : avis de recherche ! 6 Nouveau service de laboratoire CÉTOLAB chez Valacta * STAR ACÉTONÉMIE Pour souligner le lancement de son nouveau service de laboratoire CÉTOLAB, cette édition du Savoir laitier met les projecteurs sur une maladie vedette répandue dans nos troupeaux : l’acétonémie. À l’instar d’autres problèmes de santé des vaches, cette maladie contribue significativement à l’augmentation de vos coûts de production. Pour chaque cas clinique d’acétonémie, on estime le coût à plus de 350$. Ce coût est principalement lié à la baisse production et de fertilité. Les pertes se chiffrent en milliers de dollars par année pour votre entreprise. Heureusement, il est possible de limiter les risques d’acétonémie dans votre troupeau. Vous avez donc tout avantage à bien comprendre cette maladie sournoise, comment la surveiller et surtout, comment la prévenir. N’ayez crainte, nous sommes là pour vous aider ! Quelles sont les vaches à risque d’acétonémie dans mon troupeau ? Toutes les vaches en début de lactation sont potentiellement à risque. Très tôt en lactation : les vaches avec des réserves de gras en excès (cote de chair ≥ 3.75 sur 5.0) au vêlage courent un plus grand risque que les vaches dont la cote est moindre. Les très bonnes productrices qui débutent leur production en lionnes, mais dont la consommation alimentaire ne suit pas les besoins, sont aussi à risque un peu plus tard. Même si la condition semble moins présente chez les taures, les vaches de toutes les parités peuvent être affectées. Les vaches déjà en acétonémie subclinique sont plus à risque de développer une acétonémie clinique (et plein d’autres maladies métaboliques et infectieuses). L’hérédité n’est pas en cause, donc toutes les familles d’une même race laitière courent un risque similaire. * Disponible en exclusivité au Québec.

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Le savoir laitier à votre portée

Volume 6 - Numéro 3 - Septembre 2011

Le savoir laitier à votre portée : Volume 6 - Numéro 3 - Septembre 2011Bulletin d’information de Valacta, centre d’expertise en production laitière, Québec-Atlantique.Rédaction et édition : Annik Perron, directrice des communications, Michel Pouliot, rédacteur-réviseur et Julie Baillargeon, M.Sc., agr., coordonnatrice des projets de recherche et du transfert technologique, R&D

Téléphone : 1 800-BON-LAIT, 514 459-3030 • Télécopieur : 514 459-3020 • www.valacta.comCourriels : Savoir laitier : [email protected] • Service à la clientèle : [email protected] Dépôt légal : ISSN 1496-2721 Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque nationale du Canada

6 Valacta - Le savoir laitier à votre portée - Septembre 20115 Valacta - Le savoir laitier à votre portée - Septembre 2011 Design et impression : Groupe CIDMA • www.cidma.ca

Sommaire Dossier acétonémie 2-4 Valacta lance la formation « Tout se joue avant 2 ans » 5 Nouveau site web Valacta : avis de recherche ! 6

Nouveau service de laboratoire CÉTOLAB chez Valacta *

Star acétonémiePour souligner le lancement de son nouveau service de laboratoire CÉTOLAB, cette édition du Savoir laitier met les projecteurs sur une maladie vedette répandue dans nos troupeaux : l’acétonémie. À l’instar d’autres problèmes de santé des vaches, cette maladie contribue significativement à l’augmentation de vos coûts de production. Pour chaque cas clinique d’acétonémie, on estime le coût à plus de 350$. Ce coût est principalement lié à la baisse production et de fertilité. Les pertes se chiffrent en milliers de dollars par année pour votre entreprise.

Heureusement, il est possible de limiter les risques d’acétonémie dans votre troupeau. Vous avez donc tout avantage à bien comprendre cette maladie sournoise, comment la surveiller et surtout, comment la prévenir.

N’ayez crainte, nous sommes là pour vous aider !

Quelles sont les vaches à risque d’acétonémie dans mon troupeau ?• Toutes les vaches en début de lactation sont potentiellement à risque.

• Très tôt en lactation : les vaches avec des réserves de gras en excès (cote de chair ≥ 3.75 sur 5.0) au vêlage courent un plus grand risque que les vaches dont la cote est moindre.

• Les très bonnes productrices qui débutent leur production en lionnes, mais dont la consommation alimentaire ne suit pas les besoins, sont aussi à risque un peu plus tard.

• Même si la condition semble moins présente chez les taures, les vaches de toutes les parités peuvent être affectées.

• Les vaches déjà en acétonémie subclinique sont plus à risque de développer une acétonémie clinique (et plein d’autres maladies métaboliques et infectieuses).

• L’hérédité n’est pas en cause, donc toutes les familles d’une même race laitière courent unrisque similaire.

À l’occasion du Pique-nique Holstein 2011Valacta lance la formation« tout Se joue aVant deux anS » !Le 16 juillet dernier, la Ferme Plainelac, de Saint-Vallier, propriété de Christian Lacasse et sa famille, accueillaient des milliers de visiteurs à l’édition 2011 du Pique-nique Holstein Québec !

Parmi les nombreux exposants, Valacta annonçait, en grande primeur, le titre de sa nouvelle formation sur l’élevage des génisses : Tout se joue avant deux ans, qui sera offerte dans toutes les régions du Québec et des provinces atlantiques à l’hiver 2012.

Bien entendu, cette année encore, Valacta proposait aux visiteurs la populaire Course de vaches. En famille ou en amoureux, les participants ont eu de belles occasions d’éclater de rire, et de repartir avec un prix!

Adresses courriels des clients ValactaaViS de rechercheAu cours de l’automne 2011, le site valacta.com fera peau neuve. En plus d’un look totalement revampé, chaque client disposera de son propre site personnalisé, à l’intérieur du site principal de Valacta. Pour y accéder, votre nom d’usager sera votre adresse de courriel (et non votre numéro de contact). Nos dossiers indiquent qu’environ 900 clients n’ont pas encore une adresse courriel dans notre base de données. C’est à vous que s’adresse cet avis de recherche. Assurez-vous de disposer d’une adresse de courriel valide et d’en aviser votre représentant Valacta.

Votre site personnel Valacta vous donnera accès à vos rapports, vos factures et vos fichiers de transfert électronique. De plus, un menu vous proposera un lien vers des documents pratiques et vos contacts régionaux Valacta.

Vous pourrez aussi consulter un calendrier sur lequel seront portées les dates des évènements de l’industrie laitière, notamment ceux de votre région.

« Mon adresse courriel est à jour dans la base de données Valacta. Je pourrai consulter mes rapports internet sur le nouveau site. Et vous? ».

Gilbert Patry, conseiller, sonnait avec énergie le départ de chaque course. Ou peut-être est-il en train de vous convier à en savoir davantage sur la croissance des génisses ?

En fin de journée, au tirage Valacta, cinq gagnants ont remporté une entrée gratuite à la formation Tout se joue avant deux ans :

• Ferme Beaulain, Saint-George de Beauce

• Rena Brodeur, Saint-Pie

• Pascal Lévesque. Ange-Gardien

• Victor Marcoux, Saint Elzéar

• Julien Pelletier, Saint-Charles de Bellechasse

C’est un rendez-vous !

Le conseiller Rémi Bélanger et les techniciens Alain Côté et Sylvie Corriveau se joignent à toute l’équipe Valacta pour vous souhaiter la bienvenue à une autre formation profitable en 2011-2012 !

* Disponible en exclusivité au Québec.

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Transportons-nous dans votre établepour mieux comprendre l’acétonémie :1. Votre vache donne naissance à une superbe génisse en pleine santé. Vous êtes heureux.

2. La production laitière de votre vache est enclenchée. Tout va bien jusque-là.

3. Pour produire du lait, votre vache doit fabriquer du lactose. La recette du lactose nécessite beaucoup de glucose.

4. Votre vache a elle aussi besoin de glucose comme source d’énergie pour faire fonctionner ses muscles, son système immunitaire et autres tissus vitaux. C’est là que ça peut se gâcher!

5. Presque tout le glucose dont votre vache a besoin, que ce soit pour synthétiser le lactose du lait ou pour ses besoins vitaux, doit être fabriqué par son foie. Comme vous l’avez bien élevée pour la production de lait, elle dirige la majorité du glucose fabriqué vers la glande mammaire. Elle doit donc puiser dans ses réserves de gras pour subvenir à ses besoins d’énergie. Voilà pourquoi les vaches subissent une cure d’amaigrissement en début de lactation… les chanceuses!

6. C’est aussi le foie qui s’occupe de transformer le gras de ses réserves en énergie. Dans certains cas, la mobilisation des graisses est si intense que les cellules du foie ne suffisent plus à la tâche. Pour obtenir de l’énergie malgré tout, les gras sont dégradés partiellement et c’est là que des corps cétoniques sont relâchés.

7. Le gras peut aussi s’accumuler dans le foie et encrasser la machine à produire le glucose. Embourbée de telle façon, la machine ne produit plus suffisamment de glucose. On dit alors que la vache « manque de sucre ».

8. Ça y est, votre vache est en acétonémie…mais vous ne le savez probablement pas encore! Peut-être ne le saurez- vous jamais non plus. En effet, il est fort possible que la vache semble en parfaite santé. Vous êtes donc encore heureux.

9. Ce que vous ne savez pas, c’est que même si votre vache pète le feu, elle produit déjà moins de lait, elle risque de souffrir d’autres maladies et elle aura peut-être des problèmes à concevoir une autre belle génisse, comme celle qui vient de naître il y a à peine quelques semaines. Ne soyez pas si triste, il y a des solutions!

Voilà l’histoire classique d’un cas d’acétonémie dans votre étable. Il existe toutefois plusieurs types d’acétonémie qui peuvent survenir dans d’autres conditions, mais il s’agit là de la forme la plus courante.

Ces deux vaches sont en acétonémie.Qu’est-ce qui les distingue?

Acétonémie subclinique• Forme la plus fréquente.

• Pas de signes cliniques, elle apparaît donc en bonne santé.

• Peut s’aggraver jusqu’à la forme clinique.

Acétonémie clinique• Stade plus avancé ou critique de la maladie

• Signes de maladie apparents : perte d’ap-pétit, air abattu, perte d’état de chair, odeur d’acétone dans le lait ou l’haleine, etc.

Comment détecter l’acétonémie ?Voici vos options :

Observation des signes cliniques : perte d’appétit, chute de production, diminution rapide de l’état de chair, odeur d’acétone dans le lait ou l’haleine, etc. Avantages : Signes visibles, aucun coût.

Désavantages : Imprécis, subjectif, ne permet pas de détecter la majorité des cas sans signes apparents (acétonémie subclinique).

Coût : 0$

Tests à la ferme : Kéto-Test®, Kétostix® et PrécisionXTRA®.Avantages : Rapides, simples, précis et utilisables à la ferme. Permettent de connaître avec une bonne précision le statut ponctuel d’une vache.

Désavantages : Leur utilisation régulière à l’échelle du troupeau ajoute à la charge de travail. Le PrécisionXTRA nécessite un prélèvement sanguin et le Kétostix doit être effectué dans un échantillon d’urine.

Coût : Entre 0,25$ et 4,00$ par test (plus 40$ pour le détecteur du précision XTRA).

CÉTOLABAvantages : Fiable, abordable, dépistage systématique ne demandant aucun effort additionnel, résultats intégrés à votre rapport de contrôle laitier à tous les mois, permet un suivi mensuel d’une proportion ou de tout le troupeau.

Désavantages : Effectué une fois par mois seulement, au moment du contrôle laitier. Ne permet pas la détection au cas par cas entre les tests de contrôle laitier.

Coût : 0,10$ par échantillon.

Nos 6 meilleurs trucspour prévenir l’acétonémie1. Favorisez la consommation des aliments en fin de lactation et au tarissement, tout en évitant la suralimentation. L’important est de maintenir une consommation stable.

2. Stimulez une bonne prise d’aliment en début de lactation.

3. Évaluez régulièrement l’état de chair de vos vaches, particulièrement en fin de lactation lorsque les vaches ont tendance à accumuler un excès de poids.

4. Surveillez les taux de corps cétoniques dans le lait, durant les premières semaines de lactation.

5. Évaluez avec votre conseiller en alimentation la pertinence d’utiliser des additifs alimentaires qui favorisent la production de glucose par la vache.

6. Consultez votre équipe d’intervenants à la ferme, incluant votre expert en alimentation et votre médecin vétérinaire pour évaluer vos pratiques de gestion et établir un plan de prévention des maladies métaboliques comme l’acétonémie.

Surveillez notre prochain article dans l’édition d’octobre du Producteur de lait québécois. Notre experte en production laitière, Débora Santschi et le coordonnateur de la santé des troupeaux laitiers, Jean Durocher, vous révèleront de nouvelles informations utiles pour bien comprendre l’acétonémie et le nouveau service CÉTOLAB.

Dossier acétonémie rédigé par :

Julie Baillargeon, M.Sc., agronome, coordonnatrice des projets de recherche et du transfert technologique, R&D.

Daniel Lefebvre, Ph.D., agronome, directeur général et directeur de R&D

Jean Durocher, M.Sc., D.M.V., coordonnateur de la santé des troupeaux laitiers, R&D, Valacta.

N’ayons pas peur des chiffres !c’est le nombre d’échantillons de lait de vos vaches qui ont servi à calibrer nos analyseurs FOSS pour la détection des corps cétoniques.

c’est la proportion des vaches en acétonémie entre le 3e et le 30e jour de leur lactation, tel que mesuré par CÉTOLAB sur 50 000 échantillons de contrôle laitier. Chez les taures, la proportion est de 29%.

c’est le coût mensuel du nouveau service CÉTOLAB pour un troupeau moyen. Un petit 10¢ par échantillon bien investi !

• Dans les deux cas, la concen-tration de corps cétoniques est anormalement élevée dans le sang et le lait.

• De plus, les deux formes de la maladie sont associées à une diminution de la production laitière, à une baisse de la fertilité et à une augmentation des risques de développer d’autres maladies métaboliques.

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Ma vachea besoin de rince-bouche ! Vous remarquez qu’une de vos vaches a mauvaise haleine? Vous êtes peut-être de ces personnes qui ont le nez assez fin pour discerner l’odeur de l’acétone dans l’haleine des vaches en acétonémie. Même s’il s’agit là d’un indi-ce réel, il vaut mieux vérifier avec un test éprouvé avant de conclure trop vite à un cas d’acétonémie!

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avant deux ans » !

Le personnel de Valacta est qualifié et formé pour vous apporter un soutien spécialisé. Vous avez besoin d’aide pour évaluer l’état de chair de vos vaches? Vous voulez réviser vos pratiques de gestion des vaches taries, votre gestion de l’alimentation ? Vous aimeriez en savoir plus sur CÉTOLAB? La réponse à toutes vos questions :

1 800 266-5248

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Transportons-nous dans votre établepour mieux comprendre l’acétonémie :1. Votre vache donne naissance à une superbe génisse en pleine santé. Vous êtes heureux.

2. La production laitière de votre vache est enclenchée. Tout va bien jusque-là.

3. Pour produire du lait, votre vache doit fabriquer du lactose. La recette du lactose nécessite beaucoup de glucose.

4. Votre vache a elle aussi besoin de glucose comme source d’énergie pour faire fonctionner ses muscles, son système immunitaire et autres tissus vitaux. C’est là que ça peut se gâcher!

5. Presque tout le glucose dont votre vache a besoin, que ce soit pour synthétiser le lactose du lait ou pour ses besoins vitaux, doit être fabriqué par son foie. Comme vous l’avez bien élevée pour la production de lait, elle dirige la majorité du glucose fabriqué vers la glande mammaire. Elle doit donc puiser dans ses réserves de gras pour subvenir à ses besoins d’énergie. Voilà pourquoi les vaches subissent une cure d’amaigrissement en début de lactation… les chanceuses!

6. C’est aussi le foie qui s’occupe de transformer le gras de ses réserves en énergie. Dans certains cas, la mobilisation des graisses est si intense que les cellules du foie ne suffisent plus à la tâche. Pour obtenir de l’énergie malgré tout, les gras sont dégradés partiellement et c’est là que des corps cétoniques sont relâchés.

7. Le gras peut aussi s’accumuler dans le foie et encrasser la machine à produire le glucose. Embourbée de telle façon, la machine ne produit plus suffisamment de glucose. On dit alors que la vache « manque de sucre ».

8. Ça y est, votre vache est en acétonémie…mais vous ne le savez probablement pas encore! Peut-être ne le saurez- vous jamais non plus. En effet, il est fort possible que la vache semble en parfaite santé. Vous êtes donc encore heureux.

9. Ce que vous ne savez pas, c’est que même si votre vache pète le feu, elle produit déjà moins de lait, elle risque de souffrir d’autres maladies et elle aura peut-être des problèmes à concevoir une autre belle génisse, comme celle qui vient de naître il y a à peine quelques semaines. Ne soyez pas si triste, il y a des solutions!

Voilà l’histoire classique d’un cas d’acétonémie dans votre étable. Il existe toutefois plusieurs types d’acétonémie qui peuvent survenir dans d’autres conditions, mais il s’agit là de la forme la plus courante.

Ces deux vaches sont en acétonémie.Qu’est-ce qui les distingue?

Acétonémie subclinique• Forme la plus fréquente.

• Pas de signes cliniques, elle apparaît donc en bonne santé.

• Peut s’aggraver jusqu’à la forme clinique.

Acétonémie clinique• Stade plus avancé ou critique de la maladie

• Signes de maladie apparents : perte d’ap-pétit, air abattu, perte d’état de chair, odeur d’acétone dans le lait ou l’haleine, etc.

Comment détecter l’acétonémie ?Voici vos options :

Observation des signes cliniques : perte d’appétit, chute de production, diminution rapide de l’état de chair, odeur d’acétone dans le lait ou l’haleine, etc. Avantages : Signes visibles, aucun coût.

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Désavantages : Leur utilisation régulière à l’échelle du troupeau ajoute à la charge de travail. Le PrécisionXTRA nécessite un prélèvement sanguin et le Kétostix doit être effectué dans un échantillon d’urine.

Coût : Entre 0,25$ et 4,00$ par test (plus 40$ pour le détecteur du précision XTRA).

CÉTOLABAvantages : Fiable, abordable, dépistage systématique ne demandant aucun effort additionnel, résultats intégrés à votre rapport de contrôle laitier à tous les mois, permet un suivi mensuel d’une proportion ou de tout le troupeau.

Désavantages : Effectué une fois par mois seulement, au moment du contrôle laitier. Ne permet pas la détection au cas par cas entre les tests de contrôle laitier.

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2. Stimulez une bonne prise d’aliment en début de lactation.

3. Évaluez régulièrement l’état de chair de vos vaches, particulièrement en fin de lactation lorsque les vaches ont tendance à accumuler un excès de poids.

4. Surveillez les taux de corps cétoniques dans le lait, durant les premières semaines de lactation.

5. Évaluez avec votre conseiller en alimentation la pertinence d’utiliser des additifs alimentaires qui favorisent la production de glucose par la vache.

6. Consultez votre équipe d’intervenants à la ferme, incluant votre expert en alimentation et votre médecin vétérinaire pour évaluer vos pratiques de gestion et établir un plan de prévention des maladies métaboliques comme l’acétonémie.

Surveillez notre prochain article dans l’édition d’octobre du Producteur de lait québécois. Notre experte en production laitière, Débora Santschi et le coordonnateur de la santé des troupeaux laitiers, Jean Durocher, vous révèleront de nouvelles informations utiles pour bien comprendre l’acétonémie et le nouveau service CÉTOLAB.

Dossier acétonémie rédigé par :

Julie Baillargeon, M.Sc., agronome, coordonnatrice des projets de recherche et du transfert technologique, R&D.

Daniel Lefebvre, Ph.D., agronome, directeur général et directeur de R&D

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N’ayons pas peur des chiffres !c’est le nombre d’échantillons de lait de vos vaches qui ont servi à calibrer nos analyseurs FOSS pour la détection des corps cétoniques.

c’est la proportion des vaches en acétonémie entre le 3e et le 30e jour de leur lactation, tel que mesuré par CÉTOLAB sur 50 000 échantillons de contrôle laitier. Chez les taures, la proportion est de 29%.

c’est le coût mensuel du nouveau service CÉTOLAB pour un troupeau moyen. Un petit 10¢ par échantillon bien investi !

• Dans les deux cas, la concen-tration de corps cétoniques est anormalement élevée dans le sang et le lait.

• De plus, les deux formes de la maladie sont associées à une diminution de la production laitière, à une baisse de la fertilité et à une augmentation des risques de développer d’autres maladies métaboliques.

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2.

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2. La production laitière de votre vache est enclenchée. Tout va bien jusque-là.

3. Pour produire du lait, votre vache doit fabriquer du lactose. La recette du lactose nécessite beaucoup de glucose.

4. Votre vache a elle aussi besoin de glucose comme source d’énergie pour faire fonctionner ses muscles, son système immunitaire et autres tissus vitaux. C’est là que ça peut se gâcher!

5. Presque tout le glucose dont votre vache a besoin, que ce soit pour synthétiser le lactose du lait ou pour ses besoins vitaux, doit être fabriqué par son foie. Comme vous l’avez bien élevée pour la production de lait, elle dirige la majorité du glucose fabriqué vers la glande mammaire. Elle doit donc puiser dans ses réserves de gras pour subvenir à ses besoins d’énergie. Voilà pourquoi les vaches subissent une cure d’amaigrissement en début de lactation… les chanceuses!

6. C’est aussi le foie qui s’occupe de transformer le gras de ses réserves en énergie. Dans certains cas, la mobilisation des graisses est si intense que les cellules du foie ne suffisent plus à la tâche. Pour obtenir de l’énergie malgré tout, les gras sont dégradés partiellement et c’est là que des corps cétoniques sont relâchés.

7. Le gras peut aussi s’accumuler dans le foie et encrasser la machine à produire le glucose. Embourbée de telle façon, la machine ne produit plus suffisamment de glucose. On dit alors que la vache « manque de sucre ».

8. Ça y est, votre vache est en acétonémie…mais vous ne le savez probablement pas encore! Peut-être ne le saurez- vous jamais non plus. En effet, il est fort possible que la vache semble en parfaite santé. Vous êtes donc encore heureux.

9. Ce que vous ne savez pas, c’est que même si votre vache pète le feu, elle produit déjà moins de lait, elle risque de souffrir d’autres maladies et elle aura peut-être des problèmes à concevoir une autre belle génisse, comme celle qui vient de naître il y a à peine quelques semaines. Ne soyez pas si triste, il y a des solutions!

Voilà l’histoire classique d’un cas d’acétonémie dans votre étable. Il existe toutefois plusieurs types d’acétonémie qui peuvent survenir dans d’autres conditions, mais il s’agit là de la forme la plus courante.

Ces deux vaches sont en acétonémie.Qu’est-ce qui les distingue?

Acétonémie subclinique• Forme la plus fréquente.

• Pas de signes cliniques, elle apparaît donc en bonne santé.

• Peut s’aggraver jusqu’à la forme clinique.

Acétonémie clinique• Stade plus avancé ou critique de la maladie

• Signes de maladie apparents : perte d’ap-pétit, air abattu, perte d’état de chair, odeur d’acétone dans le lait ou l’haleine, etc.

Comment détecter l’acétonémie ?Voici vos options :

Observation des signes cliniques : perte d’appétit, chute de production, diminution rapide de l’état de chair, odeur d’acétone dans le lait ou l’haleine, etc. Avantages : Signes visibles, aucun coût.

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Coût : Entre 0,25$ et 4,00$ par test (plus 40$ pour le détecteur du précision XTRA).

CÉTOLABAvantages : Fiable, abordable, dépistage systématique ne demandant aucun effort additionnel, résultats intégrés à votre rapport de contrôle laitier à tous les mois, permet un suivi mensuel d’une proportion ou de tout le troupeau.

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2. Stimulez une bonne prise d’aliment en début de lactation.

3. Évaluez régulièrement l’état de chair de vos vaches, particulièrement en fin de lactation lorsque les vaches ont tendance à accumuler un excès de poids.

4. Surveillez les taux de corps cétoniques dans le lait, durant les premières semaines de lactation.

5. Évaluez avec votre conseiller en alimentation la pertinence d’utiliser des additifs alimentaires qui favorisent la production de glucose par la vache.

6. Consultez votre équipe d’intervenants à la ferme, incluant votre expert en alimentation et votre médecin vétérinaire pour évaluer vos pratiques de gestion et établir un plan de prévention des maladies métaboliques comme l’acétonémie.

Surveillez notre prochain article dans l’édition d’octobre du Producteur de lait québécois. Notre experte en production laitière, Débora Santschi et le coordonnateur de la santé des troupeaux laitiers, Jean Durocher, vous révèleront de nouvelles informations utiles pour bien comprendre l’acétonémie et le nouveau service CÉTOLAB.

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c’est la proportion des vaches en acétonémie entre le 3e et le 30e jour de leur lactation, tel que mesuré par CÉTOLAB sur 50 000 échantillons de contrôle laitier. Chez les taures, la proportion est de 29%.

c’est le coût mensuel du nouveau service CÉTOLAB pour un troupeau moyen. Un petit 10¢ par échantillon bien investi !

• Dans les deux cas, la concen-tration de corps cétoniques est anormalement élevée dans le sang et le lait.

• De plus, les deux formes de la maladie sont associées à une diminution de la production laitière, à une baisse de la fertilité et à une augmentation des risques de développer d’autres maladies métaboliques.

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Le savoir laitier à votre portée

Volume 6 - Numéro 3 - Septembre 2011

Le savoir laitier à votre portée : Volume 6 - Numéro 3 - Septembre 2011Bulletin d’information de Valacta, centre d’expertise en production laitière, Québec-Atlantique.Rédaction et édition : Annik Perron, directrice des communications, Michel Pouliot, rédacteur-réviseur et Julie Baillargeon, M.Sc., agr., coordonnatrice des projets de recherche et du transfert technologique, R&D

Téléphone : 1 800-BON-LAIT, 514 459-3030 • Télécopieur : 514 459-3020 • www.valacta.comCourriels : Savoir laitier : [email protected] • Service à la clientèle : [email protected] Dépôt légal : ISSN 1496-2721 Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque nationale du Canada

6 Valacta - Le savoir laitier à votre portée - Septembre 20115 Valacta - Le savoir laitier à votre portée - Septembre 2011 Design et impression : Groupe CIDMA • www.cidma.ca

Sommaire Dossier acétonémie 2-4 Valacta lance la formation « Tout se joue avant 2 ans » 5 Nouveau site web Valacta : avis de recherche ! 6

Nouveau service de laboratoire CÉTOLAB chez Valacta *

Star acétonémiePour souligner le lancement de son nouveau service de laboratoire CÉTOLAB, cette édition du Savoir laitier met les projecteurs sur une maladie vedette répandue dans nos troupeaux : l’acétonémie. À l’instar d’autres problèmes de santé des vaches, cette maladie contribue significativement à l’augmentation de vos coûts de production. Pour chaque cas clinique d’acétonémie, on estime le coût à plus de 350$. Ce coût est principalement lié à la baisse production et de fertilité. Les pertes se chiffrent en milliers de dollars par année pour votre entreprise.

Heureusement, il est possible de limiter les risques d’acétonémie dans votre troupeau. Vous avez donc tout avantage à bien comprendre cette maladie sournoise, comment la surveiller et surtout, comment la prévenir.

N’ayez crainte, nous sommes là pour vous aider !

Quelles sont les vaches à risque d’acétonémie dans mon troupeau ?• Toutes les vaches en début de lactation sont potentiellement à risque.

• Très tôt en lactation : les vaches avec des réserves de gras en excès (cote de chair ≥ 3.75 sur 5.0) au vêlage courent un plus grand risque que les vaches dont la cote est moindre.

• Les très bonnes productrices qui débutent leur production en lionnes, mais dont la consommation alimentaire ne suit pas les besoins, sont aussi à risque un peu plus tard.

• Même si la condition semble moins présente chez les taures, les vaches de toutes les parités peuvent être affectées.

• Les vaches déjà en acétonémie subclinique sont plus à risque de développer une acétonémie clinique (et plein d’autres maladies métaboliques et infectieuses).

• L’hérédité n’est pas en cause, donc toutes les familles d’une même race laitière courent unrisque similaire.

À l’occasion du Pique-nique Holstein 2011Valacta lance la formation« tout Se joue aVant deux anS » !Le 16 juillet dernier, la Ferme Plainelac, de Saint-Vallier, propriété de Christian Lacasse et sa famille, accueillaient des milliers de visiteurs à l’édition 2011 du Pique-nique Holstein Québec !

Parmi les nombreux exposants, Valacta annonçait, en grande primeur, le titre de sa nouvelle formation sur l’élevage des génisses : Tout se joue avant deux ans, qui sera offerte dans toutes les régions du Québec et des provinces atlantiques à l’hiver 2012.

Bien entendu, cette année encore, Valacta proposait aux visiteurs la populaire Course de vaches. En famille ou en amoureux, les participants ont eu de belles occasions d’éclater de rire, et de repartir avec un prix!

Adresses courriels des clients ValactaaViS de rechercheAu cours de l’automne 2011, le site valacta.com fera peau neuve. En plus d’un look totalement revampé, chaque client disposera de son propre site personnalisé, à l’intérieur du site principal de Valacta. Pour y accéder, votre nom d’usager sera votre adresse de courriel (et non votre numéro de contact). Nos dossiers indiquent qu’environ 900 clients n’ont pas encore une adresse courriel dans notre base de données. C’est à vous que s’adresse cet avis de recherche. Assurez-vous de disposer d’une adresse de courriel valide et d’en aviser votre représentant Valacta.

Votre site personnel Valacta vous donnera accès à vos rapports, vos factures et vos fichiers de transfert électronique. De plus, un menu vous proposera un lien vers des documents pratiques et vos contacts régionaux Valacta.

Vous pourrez aussi consulter un calendrier sur lequel seront portées les dates des évènements de l’industrie laitière, notamment ceux de votre région.

« Mon adresse courriel est à jour dans la base de données Valacta. Je pourrai consulter mes rapports internet sur le nouveau site. Et vous? ».

Gilbert Patry, conseiller, sonnait avec énergie le départ de chaque course. Ou peut-être est-il en train de vous convier à en savoir davantage sur la croissance des génisses ?

En fin de journée, au tirage Valacta, cinq gagnants ont remporté une entrée gratuite à la formation Tout se joue avant deux ans :

• Ferme Beaulain, Saint-George de Beauce

• Rena Brodeur, Saint-Pie

• Pascal Lévesque. Ange-Gardien

• Victor Marcoux, Saint Elzéar

• Julien Pelletier, Saint-Charles de Bellechasse

C’est un rendez-vous !

Le conseiller Rémi Bélanger et les techniciens Alain Côté et Sylvie Corriveau se joignent à toute l’équipe Valacta pour vous souhaiter la bienvenue à une autre formation profitable en 2011-2012 !

* Disponible en exclusivité au Québec.

Page 6: Le savoir laitier

Le savoir laitier à votre portée

Volume 6 - Numéro 3 - Septembre 2011

Le savoir laitier à votre portée : Volume 6 - Numéro 3 - Septembre 2011Bulletin d’information de Valacta, centre d’expertise en production laitière, Québec-Atlantique.Rédaction et édition : Annik Perron, directrice des communications, Michel Pouliot, rédacteur-réviseur et Julie Baillargeon, M.Sc., agr., coordonnatrice des projets de recherche et du transfert technologique, R&D

Téléphone : 1 800-BON-LAIT, 514 459-3030 • Télécopieur : 514 459-3020 • www.valacta.comCourriels : Savoir laitier : [email protected] • Service à la clientèle : [email protected] Dépôt légal : ISSN 1496-2721 Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque nationale du Canada

6 Valacta - Le savoir laitier à votre portée - Septembre 20115 Valacta - Le savoir laitier à votre portée - Septembre 2011 Design et impression : Groupe CIDMA • www.cidma.ca

Sommaire Dossier acétonémie 2-4 Valacta lance la formation « Tout se joue avant 2 ans » 5 Nouveau site web Valacta : avis de recherche ! 6

Nouveau service de laboratoire CÉTOLAB chez Valacta *

Star acétonémiePour souligner le lancement de son nouveau service de laboratoire CÉTOLAB, cette édition du Savoir laitier met les projecteurs sur une maladie vedette répandue dans nos troupeaux : l’acétonémie. À l’instar d’autres problèmes de santé des vaches, cette maladie contribue significativement à l’augmentation de vos coûts de production. Pour chaque cas clinique d’acétonémie, on estime le coût à plus de 350$. Ce coût est principalement lié à la baisse production et de fertilité. Les pertes se chiffrent en milliers de dollars par année pour votre entreprise.

Heureusement, il est possible de limiter les risques d’acétonémie dans votre troupeau. Vous avez donc tout avantage à bien comprendre cette maladie sournoise, comment la surveiller et surtout, comment la prévenir.

N’ayez crainte, nous sommes là pour vous aider !

Quelles sont les vaches à risque d’acétonémie dans mon troupeau ?• Toutes les vaches en début de lactation sont potentiellement à risque.

• Très tôt en lactation : les vaches avec des réserves de gras en excès (cote de chair ≥ 3.75 sur 5.0) au vêlage courent un plus grand risque que les vaches dont la cote est moindre.

• Les très bonnes productrices qui débutent leur production en lionnes, mais dont la consommation alimentaire ne suit pas les besoins, sont aussi à risque un peu plus tard.

• Même si la condition semble moins présente chez les taures, les vaches de toutes les parités peuvent être affectées.

• Les vaches déjà en acétonémie subclinique sont plus à risque de développer une acétonémie clinique (et plein d’autres maladies métaboliques et infectieuses).

• L’hérédité n’est pas en cause, donc toutes les familles d’une même race laitière courent unrisque similaire.

À l’occasion du Pique-nique Holstein 2011Valacta lance la formation« tout Se joue aVant deux anS » !Le 16 juillet dernier, la Ferme Plainelac, de Saint-Vallier, propriété de Christian Lacasse et sa famille, accueillaient des milliers de visiteurs à l’édition 2011 du Pique-nique Holstein Québec !

Parmi les nombreux exposants, Valacta annonçait, en grande primeur, le titre de sa nouvelle formation sur l’élevage des génisses : Tout se joue avant deux ans, qui sera offerte dans toutes les régions du Québec et des provinces atlantiques à l’hiver 2012.

Bien entendu, cette année encore, Valacta proposait aux visiteurs la populaire Course de vaches. En famille ou en amoureux, les participants ont eu de belles occasions d’éclater de rire, et de repartir avec un prix!

Adresses courriels des clients ValactaaViS de rechercheAu cours de l’automne 2011, le site valacta.com fera peau neuve. En plus d’un look totalement revampé, chaque client disposera de son propre site personnalisé, à l’intérieur du site principal de Valacta. Pour y accéder, votre nom d’usager sera votre adresse de courriel (et non votre numéro de contact). Nos dossiers indiquent qu’environ 900 clients n’ont pas encore une adresse courriel dans notre base de données. C’est à vous que s’adresse cet avis de recherche. Assurez-vous de disposer d’une adresse de courriel valide et d’en aviser votre représentant Valacta.

Votre site personnel Valacta vous donnera accès à vos rapports, vos factures et vos fichiers de transfert électronique. De plus, un menu vous proposera un lien vers des documents pratiques et vos contacts régionaux Valacta.

Vous pourrez aussi consulter un calendrier sur lequel seront portées les dates des évènements de l’industrie laitière, notamment ceux de votre région.

« Mon adresse courriel est à jour dans la base de données Valacta. Je pourrai consulter mes rapports internet sur le nouveau site. Et vous? ».

Gilbert Patry, conseiller, sonnait avec énergie le départ de chaque course. Ou peut-être est-il en train de vous convier à en savoir davantage sur la croissance des génisses ?

En fin de journée, au tirage Valacta, cinq gagnants ont remporté une entrée gratuite à la formation Tout se joue avant deux ans :

• Ferme Beaulain, Saint-George de Beauce

• Rena Brodeur, Saint-Pie

• Pascal Lévesque. Ange-Gardien

• Victor Marcoux, Saint Elzéar

• Julien Pelletier, Saint-Charles de Bellechasse

C’est un rendez-vous !

Le conseiller Rémi Bélanger et les techniciens Alain Côté et Sylvie Corriveau se joignent à toute l’équipe Valacta pour vous souhaiter la bienvenue à une autre formation profitable en 2011-2012 !

* Disponible en exclusivité au Québec.