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Le Reiki du Monde des Dévas Le Reiki du Monde des Dévas Transmis par Isabelle St-Germain Courriel : [email protected] Site Internet : www.leveilalasource.com Téléphone : 819-475-1154

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L e Reiki du Monde des DévasLe Reiki du Monde des Dévas

Transmis par Isabelle St-Germain

Courriel : [email protected]

Site Internet : www.leveilalasource.com

Téléphone : 819-475-1154

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L e Reiki du Monde des DévasL e Reiki du Monde des Dévas Bonjour et merci de votre intérêt pour le Reiki du Monde des Dévas.

Ce Reiki nous vient de la terre mythique d’Avalon et nous connecte avec cette île mythique de mystères. Le petit peuple qui vit dans ces forêts n’a pas souvent été vu sur ces rivages. Heureusement, pour apprendre le Reiki du Monde des Dévas, il suffit d’être intéressé par Avalon, l’île de la guérison. Pour en savoir plus sur la guérison, il faut d’abord comprendre ce qu’est le Reiki.

Les praticiens de Reiki canalisent l’énergie de façon à guérir et à réharmoniser. Contrairement à d’autres systèmes de soins ne se basant que sur le corps physique, le Reiki cherche à rétablir l’ordre dans le corps dont l’énergie vitale est en déséquilibre.

Le Reiki a quelques effets de base, à savoir une relaxation profonde, il détruit les blocages énergétiques, désintoxique l’organisme, il apporte une nouvelle énergie de vie et augmente le taux vibratoire du corps.

L’imposition des mains est utilisée ainsi que la guérison spirituelle. Il y a une différence entre les deux. Dans la guérison spirituelle, une personne qui a un champ d’énergies puissant place ses mains sur une zone en particulier du corps du receveur pour y mettre de l’énergie. Le guérisseur est donc celui qui envoie de l’énergie. En Reiki, bien que le guérisseur place ses mains sur le receveur, c’est le receveur qui prend l’énergie là où il en a besoin. Le receveur prend donc une part active dans le processus de guérison, alors que dans la guérison spirituelle il a un rôle passif. L’individu est responsable de sa guérison. Le receveur perçoit ses besoins en énergie et y reçoit l’énergie.

Bien qu’il y ait quelques positions où le praticien est en contact avec le receveur, dans la plupart des cas il n’est même pas nécessaire de le toucher. Le praticien place ses mains à quelques centimètres du corps de receveur et dirige l’énergie de là.

Le Reiki est sensé être d’origine tibétaine. L’orient a développé des systèmes d’énergie et a développé des systèmes de sons et de symboles pour l’énergie universelle. Différents

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systèmes de guérison se sont croisés dans différentes cultures pour que ce système simple en émerge. Malheureusement la source originelle en a été oubliée.

Le Dr Mikao Usui, un séminariste japonais de Kyoto -Japon- a redécouvert ce système au début du siècle ; Il a fait une étude de 21 ans sur les phénomènes de guérison des plus grands chefs spirituels. Il a aussi étudié d’anciens sutras (écrits bouddhistes en sanskrit) Il a découvert d’anciens sons et d’anciens symboles qui sont reliés au corps humain et au système nerveux et qui activent l’énergie universelle de vie.

Usui eut ensuite une expérience métaphysique et fut initié à l’utilisation de ces mantras et à ces symboles de guérison. Il appela ce système Reiki et l’enseigna au Japon jusqu’à sa mort en 1893. Plusieurs Maîtres ont transmis le Reiki depuis, entre autres le Dr Chujiro Hayashi, Hawayo Takata et Phyllis Lei Furumoto.

Le Système Usui équilibre et renforce l’énergie du corps en favorisant ses capacités à se guérir lui-même. Le Reiki est utile pour les maladies graves ainsi que pour d’autres maux entre autres les blessures sportives, les coupures, les brûlures, les maladies internes, les désordres émotionnels et les maladies liées au stress.

C’est dans les années ’70 que le Reiki a été introduit en Europe. Depuis, son usage a fait le tour du monde.

Je vous invite maintenant à découvrir le Monde des Dévas et de voir comment l’énergie de ces êtres mythiques peut être utilisée pour guérir.

LA CONNAISSANCE DU MONDE DES DEVAS

Beltane est la période de l’année où la nature s’éveille et la période où les Esprits de la Nature sont les plus actifs. C’est la période où l’on peut voir le plus facilement les fées.

Le Petit Peuple est une ancienne race qui vivait dans les Iles britanniques longtemps avant l’arrivée des Celtes et des Anglo-saxons. Ils seraient les descendants des Tuatha De Danann (la tribu de la déesse Dana), la race magique qui débarqua en Irlande dans des bateaux qui descendaient des nuages. Ils venaient des quatre grandes cités magiques – Falias, Gorias, Finias et Murias - en apportant les quatre grands trésors : la « Lia Fail » (Pierre du Destin), l’épée de Lugh, la lance magique, et le chaudron de Dagda.

Toutes les connaissances et toutes les connaissances magiques des Tuatha De Dananns venaient de ces quatre cités. On dit que la connaissance et la beauté des De Dananns est inégalée. Ce sont eux qui nous ont donné la plupart des dieux et des déesses du panthéon irlandais.

La dimension enchantée du Monde des Dévas a côtoyé le monde des humains pendant des siècles. On dit même qu’il fut un temps où ces deux mondes n’étaient qu’un. Des légendes nous racontent que nos ancêtres humains se firent prisonniers du monde physique. Ils perdirent la conscience de ce qui était caché à leurs yeux physiques, et perdirent la vision du Monde des Dévas.

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Les différents types de Devas

TYPE DE FEE OÙ LES TROUVER CE QU’ELLES FONT

FEES, ELFES Forêts, tumulus de Fées, cercles de Fées, champs, lieux sauvages, jardins de fleurs.

Dansent et jouent. Connaissent la magie des plantes, des minéraux et des animaux. Voient l’avenir.

GNOMES, TROLLS, NAINS

Grottes, mines, sous les ponts, cavernes.

Trouvent les pierres précieuses et les métaux, savent forger.

BROWNIES, KOBOLDS Maisons et jardins Aident et protègent les familles. Font les corvées la nuit.

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Les Elémentaux

Le principe d’appeler les élémentaux dans les cercles magiques date de l’époque où les fées participaient à nos cérémonies magiques. Les élémentaux ne sont rien d’autre que les représentants des quatre éléments alchimiques : la terre, l’air, le feu et l’eau. Nous ne leur rendons pas service, ni à nous-même d’ailleurs en les invoquant dans les cercles magiques. Ces élémentaux ont une individualité et une personnalité. Ils sont conscients d’être des êtres qui ont des sentiments et des droits. Pensez-y la prochaine fois où vous penserez les invoquer! Souvent les élémentaux feront les tâches des humains dans leurs rituels ou leurs cérémonies magiques s’ils sont approchés convenablement.

FEE

Point cardinal - élément

Tâche

GNOMES

Nord - Terre

Apportent le gain et la stabilité matérielle. Protecteurs des cercles extérieurs et des cavernes. Connus sous le nom de « Petit Peuple ». Lumière verte.

SYLPHES

Est - Air

Réalisent les souhaits et les rêves. Ont des ailes délicates. Protecteurs des sortilèges. Vus comme des fées ou de la lumière blanche.

SALAMANDRES

Sud – Feu

Apportent la passion et la créativité. Gardiens des champs et du feu. Protègent la maison, les affaires. On les voit des dragons, des lézards ou des flammes bleues.

ONDINES

Ouest – Eau

Apportent l’amour et l’amitié. Les gardiennes de l’eau. Protectrices du passage vers la mort et du karma. Vues sous formes de sirènes ou de flammes roses.

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Attirer les Dévas…

Beltane et le solstice d’été sont deux bonnes périodes pour contacter le monde des fées. L’esprit des fées a beaucoup d’énergie et passe partout et donne puissance aux sortilèges.

Les Dévas sont timides à cause des années de mauvais traitements infligés par les humains. Ils sont jaloux du monde physique qui contient la vie et la respiration, la vie des plantes et des arbres qu’ils aiment tant et qu’ils ont reproduits si précieusement dans leur propre monde. Notre façon de traiter la nature les désespère.

D’abord il faut acquérir leur confiance.

Créez un jardin féerique : ce sera un refuge pour le Petit Peuple. Gardez-en un coin sauvage. Leur offrir de la nourriture et des cadeaux est aussi une première étape. Ils aiment tout ce qui est friandise, crème etc.… Donnez-leur aussi de l’eau pure, du beurre, du vin, du miel et du pain. Ne leur donnez pas la nourriture destinée aux animaux sauvages : Ils seraient vexées !

Mettez le tout dans un petit panier quelque part au fond du jardin ou sous un arbre. Ne vous attendez pas à ce que la nourriture disparaisse : Ils extraient l’essence spirituelle des cadeaux matériels que nous leur faisons (faites ces dons avec amour et avec respect). Il faudra souvent leur faire des présents pour qu’ils restent.

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LE JARDIN DES DEVAS

Quoi que vous fassiez pousser dans votre jardin, cela attirera les Dévas. Plantez avant tout des plantes qui attirent les abeilles, les papillons et les oiseaux. Cela attirera également les fées. Mettez des nichoirs, des baignoires pour oiseaux, de petites fontaines, des ponts, des cascades,…

Voici une liste de plantes qui attirent les fées dans un jardin :

• Achillée millefeuille

• Asters

• Chrysanthèmes

• Hysope

• Lavande

• Romarin

• Thym

• Lilas

• Pétunia

• Verveine

• Cosmos

• Zinnia

Ils aiment également les plantes et les arbres suivants :

Digitale, primevère, pensées, feuilles (3 - feuille, non 4) de trèfle, noisetier, sorbier, prunier, chêne, saule, bouleau, aulne, pommier, …

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DEDIER LE JARDIN AUX DEVAS

Après avoir « démarré » le jardin, vous pourrez le dédier rituellement et en faire un sanctuaire de fées. Commencez par faire le tour du jardin avec un athamé. Aspergez le jardin avec de l’eau de source salée avec une branche de buis. Passez ensuite dans les allées du jardin avec un bâton d’encens que l’on peut aussi planter dans le sol après.

Pour terminer et avec une baguette de noisetier allez saluer chaque plante en lui disant quelques mots :

« Au nom du Dieu et de la Déesse

Je fais un sanctuaire de ce jardin

Dédié aux esprits de la nature

Et enfants de Dieu »

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L’HISTOIRE D’AVALON

Au sud-ouest des Iles Britanniques se trouve une île enchantée : Avalon. Ce territoire est le gardien d’une magie puissante. Cette région romantique et mystérieuse a une longue histoire de révélations mystiques un peu comme un rêve étrange. Les quelques humains qui y viennent pour apprendre l’ancienne discipline reviennent transformés. Ils en reviennent avec une profonde conscience cosmique, pur reflet de la mémoire ésotérique formée elle-même par le paysage. Le centre de ce monde est Glastonbury, le nom de la ville et le symbole d’un grand et saint Mystère. L’origine de ce mystère n’a rien à voir avec le christianisme qui lui, est arrivé fort tard sur cette terre comme usurpateur et finalement comme destructeur de la sagesse ancienne. L’origine du mystère peut être trouvée dans une sorte de rituel païen inviolable. La clef en est la découpe du paysage. Une fois ceci assimilé, la magie et le mysticisme font le reste. Un équilibre s’installe permettant de flotter entre microcosme et macrocosme. Comme pour la plupart des contes, il vaut mieux commencer par le début, car de nombreuses interprétations en ont été faites. L’aura qui entoure l’île d’Avalon est puissante, cette vibration émane avant tout des êtres qui l’ont peuplée à une époque préhistorique. Des millénaires avant l’arrivée des Celtes et de leurs druides ont existé à Glastonbury des hommes qui ont été des modèles mystiques et astrologiques. Dans les années 20, une femme brillante, Katharine Maltwood, a redécouvert intuitivement des « sculptures ». Madame Maltwood étudiait les légendes Arthuriennes et les légendes du Graal, elle les a redécouvertes tout en étudiant la carte géographique du massif rocheux de Glastonbury. Le Thor est un massif rocheux qui domine la ville de Glastonbury. C’est une colline de forme pyramidale de 522 pieds d’altitude et sur ses pentes se trouvent les restes d’un labyrinthe à sept niveaux. Au sommet de cette colline on peut encore voir les ruines de la tour d’une église du 14e siècle. C’est cet aspect que Mme Maltwood a étudié et présenté. Plusieurs livres ont été édités à ce sujet. Un aperçu aérien y est joint et les proportions de cette belle sculpture de terre y ont été respectées. On peut y voir un zodiaque. Le zodiaque de Glastonbury est l’un de ces « grands travaux cachés ». Les religions ont refusé que se mélangent physique et mystique.

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Comme l’a découvert Mme Maltwood, la forme de ce zodiaque est circulaire et sa circonférence est de trente miles. Certaines de ses représentations font parfois deux à trois miles de long (c’est le cas du Lion, du Sagittaire et des Poissons). Ces représentations des signes du zodiaque sont formées par les collines, les monticules, les cours d’eau, de vieilles routes ou des sentiers. Malgré ceci, ils tiennent le premier rôle les constellations qui brillent dans le ciel au-dessus d’elles. Il y avait, en d'autres termes, une formation organiquement vraie et normale des dispositifs topographiques formant les contours de base des signes astrologiques qui ont été adaptés par la formation par la géomancie pour rendre les effigies finies réalisables. Mystiquement et physiquement la terre a été moulée pour se conformer aux harmonies des structures d'énergie terrestre et céleste. Le dessin d'ensemble n'est entièrement apparent qu'à 6.000 mètres d'altitude et c'est évident qu'une forme élevée de technologie spirituelle a été employée pour le créer. Une perspective aérienne aurait été essentielle à la logistique de cet arrangement. La date de cet accomplissement suprême de l'antiquité est obscure. Quelques chercheurs remontent jusqu'à l'ère de l'Atlante (10.000 AVANT JÉSUS CHRIST) tandis que d'autres, référant aux travaux tels que le Zodiaque de Dendarah d'Egypte, la datent à 7000, 8000 ans avant JC. Mme Maltwood a suggéré 2700 avant JC comme point d'identification. Peu importe la date de sa formation initiale, le Zodiaque de Glastonbury représente une marque mystique permanente sur cette région des îles britanniques, source de tout ce qui a suivi. Les légendes ultérieures de la Table Ronde, des géants, des quêtes d'Arthur sur la révélation et les secrets d'une cohérence et d'une sainteté perdues, toutes proviennent de la mémoire de ce gigantesque travail, taillé sur la surface du Somerset par les hommes d'une ère oubliée. Elles ont lié la terre au ciel dans une unité cosmologique directe qui a créé l'harmonie d'un âge d'or disparu. Avec la sainteté permanente de la région de Glastonbury due aux figures zodiacales, il semble qu'à travers les siècles, les hommes auraient été attirés par son atmosphère persistante de pouvoir magique. Aux environs de 2000 ans AVANT JÉSUS CHRIST, des prêtres- astronomes sont venus à Glastonbury et ont construit divers terrassements et des stèles (pierres debout) dans l'enceinte du lieu sacré du Zodiaque. La légende raconte qu'ils ont construit une certaine forme de monuments en pierre sur le sommet du Tor et que des traces de menhirs ont été trouvées sur les pentes environnantes des collines adjacentes.

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Les récents travaux du professeur Alexandre Thom, l'expert vivant le plus renommé en géométrie mégalithique, a prouvé que les hommes de 2000 avant JC étaient capables de créer des structures complexes dans la terre et la pierre, qui reflétèrent la connaissance mathématique, géométrique, astronomique et astrologique précise. Professeur Thom, un écossais laconique qui était professeur de Sciences Appliquées à Oxford, a examiné le paysage de Glastonbury et a tiré la conclusion qu'il devait être un observatoire lunaire d'où les éclipses pouvaient être prévues avec grande exactitude. Il a calculé que les positions des pierres fixaient les points de déclinaison et de dépassement azimutaux de la lune lors de son lever et son coucher derrière les Montagnes Noires du Pays de Gales éloigné. Cette connaissance exacte prouve que les êtres humains qui ont vécu et travaillé à Glastonbury, il y au moins 2000 ans avant JC, avaient un niveau culturel élevé qui a du être hérité de gens précédents, et transmis comme système mystique-scientifique du temps où les deux coïncidaient, et non pas fragmentés comme ils le sont aujourd'hui. Les analyses détaillées du professeur Thom des complexités mégalithiques de Glastonbury sont fascinantes. Il a fourni des données significatives quant aux collines autour du Tor qui sont des points de vue définis pour l'observation à longue distance du Pays de Gales. L'inclinaison de l'orbite de la Lune lorsqu'elle passait derrière les diverses crêtes des Montagnes Noires a été méticuleusement notée par les astronomes mégalithiques de Glastonbury. Son point d'arrêt principal et même l'oscillation de perturbation complexe auraient tous pu être établis à partir des observatoires en pierre placés stratégiquement sur les pentes de l'île d'Avalon. Voici une citation du livre de Glastonbury : Une étude des Motifs/plans/formations (RILKO, 1969), du professeur Thom: "Sur le terrain le plus élevé de Glastonbury et ses environs, un relevé de l'armée a montré environ 30 pierres mais il n'y a pas vraiment de preuves actuellement qu'elles sont mégalithiques. Une ligne de 5 pierres se trouve sur le point 51003900 de la Grille Nationale, à un azimut d'environ 298 degrés. S'il peut être démontré que cette ligne est claire (ou plutôt était claire) localement jusqu'à l'ouest, et l'altitude d'horizon lointain de -0, 2, montre une déclinaison de +16'4. Nous trouvons cette déclinaison dans beaucoup de sites mégalithiques. C'est celui du soleil au jour de mai et de Lammas, deux jours importants dans le calendrier mégalithique. L'évidence que la ligne d'orientation de la déclinaison de +16'4 était claire aux environs de 2000 ans AVANT JÉSUS CHRIST, a été récemment démontrée. Climatologues et botanistes étudiant les conditions écologiques de l'Age de Bronze acceptent en général maintenant qu'il y avait moins de boisement que ce qu'on avait présumé par le passé et que l'atmosphère était exempte de toute pollution, ce qui permettait une définition plus marquée pour l'oeil humain. Les connotations sacrées de la colline Chalice ont toujours été indicatives de trésor caché ou enterré, même dans leur manifestation chrétienne (Graal ou calice enterré là) et ceci a encore cours. On trouve communément des trésors cachés dans ou sur les collines dans de nombreux mythes du pays occidental.

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Il est possible d'interpréter certains de ces mythes dans un contexte astronomique, comme le montre le travail de Kenneth Knight, ainsi il n'est pas improbable qu'un observatoire en pierre ait été situé par le passé sur le sommet soigneusement arrondi du voisin le plus proche du Tor. _____________ Au pied de Chalice Hill se trouve une source ferrugineuse appelée par les chrétiens le Puits de Chalice, son couvercle raffiné est sculpté du symbole religieux principal du Vesica Piscis. Ce symbole courbe, ressemblant à un poisson, forme le point-de départ (?) de l'architecture religieuse et est employé dans la construction géométrique de tous les bâtiments les plus significatifs de l'antiquité, y compris les monuments préhistoriques principaux comme Stonehenge et Avebury. Et le Puits de Chalice est plus qu'une source thermale. Ses côtés sont soigneusement construits de grandes plaques de pierre dans le style non-cimenté de la maçonnerie connu sous le nom de cyclopéen.

L'archéologue Flinders Petrie a dit que la construction mégalithique audacieuse de ces pierres est d'influence égyptienne antique, alors que la plupart des chercheurs modernes la datent au moins de l'âge de Bronze (2000 avant JC). Derrière l'axe central, les pierres forment une chambre parfaitement polygonale, et l'on pense que rituel et sacrifice étaient effectués ici aux temps saisonniers opportuns. Des autorités suspectent qu'une victime

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volontaire était placée dans la chambre, qui était alors rapidement inondée par la source principale par l'intermédiaire d'une écluse. Il y a des précédents pour ceci dans diverses cultures européennes durant les âges de bronze et de fer. Sir Norman Lockyer, éminent astro-archéologue, a précisé que le Puits de Chalice s'est avéré (par des mesures qu'il a prises un jour d'été) être orienté vers le lever du soleil du solstice d'été. C'était (et c'est) un moment précis de célébration religieuse ardente et de sacrifice rituel dans toutes les régions. Un autre monument géomantique antique qui a beaucoup de connotations bizarres et mystiques est le terrassement linéaire énorme et le fossé connu sous le nom de Boule de Ponter. Il se situe au sud-est du Tor de Glastonbury sur un promontoire entre ce qui était par le passé des marais, et a presque 16 mètres de long, allant exactement du bord d'un marais à l'autre. La Boule de Ponter s'étend clairement d'un côté à l'autre de l'isthme étroit de terre qui lie l'île d'Avalon avec le terrain principal élevé [Pennard Hill] qui s'élève à l'est vers Shepton Mallet. Le monument est ainsi construit qu'il semble former une frontière extérieure de l'Ile Sacrée et c'est ici que son âge et son but deviennent d'un grand intérêt pour l'étudiant du savoir de Glastonbury. Il y a deux interprétations de la Boule de Ponter, une strictement orthodoxe, l'autre à caractère plus spéculative, mais toutes deux sont très complémentaires quand elles sont étudiées comparativement. Même aux yeux des historiens conventionnels, la Boule de Ponter indique la limite de la frontière extérieure d'une énorme clôture sacrée. Ces clôtures de terrassement, connues sous le nom de temenos, se trouvent sur les franges de tous les sanctuaires païens remarquables et le fait que le fossé de la Boule de Ponter est creusé sur la face orientale (éloigné du Tor) augmente la possibilité que le talus/remblai était en effet un temenos d'importance considérable. Le talus/remblai de terre s'est beaucoup étalé au cours des siècles mais il a toujours 9,14m de long et de 3,65m de haut à certains endroits. Le fossé oriental profond est maintenant fortement envasé, mais sa profondeur a du être comparable dans le passé aux fossés puissants qui ont entouré les pierres et les monticules d'Avebury et de Stonehenge. La structure entière n'aurait jamais avoir pu être purement défensive, parce que n'importe quelle armée d'invasion raisonnablement intelligente aurait pu simplement l'avoir contournée. Le datage précis de la Boule de Ponter est toujours quelque peu ambigu. Cet archéologue tenace du Somerset, Dr Arthur Bulleid, a creusé en dessous du remblai au début du siècle et a découvert des débris de poterie d'âge du Fer qu'il a daté d'environ du troisième siècle avant JC. Ces trouvailles assurent au moins la réputation de la région de Glastonbury comme Avalon celtique, mais cela ne signifie pas nécessairement que les Celtes, qui ont laissé des traces de leur expertise culinaire, ont réellement érigé le monticule. Le fossé a également rejeté des débris du douzième et treizième siècle (après J - C), mais personne ne suggère que l'édifice ait été construit par les moines travailleurs de la communauté prospère d'alors de l'abbaye de Glastonbury. En raison de sa taille et sa situation géomantique précise, il est plus raisonnable de dater la Boule de Ponter à l'âge du bronze ou plus tôt, parce que son adaptation à des cultures successives est l'un des aspects principaux pour comprendre la mystique de tous les sites antiques célèbres, particulièrement des pierres et des terrassements. C'est cet aspect adaptatif qui nous apporte la réponse plus spéculative à l'énigme de ce vieux remblai. La recherche sur les mystères du Zodiaque de Glastonbury a montré que la seule longue corne qui orne la tête de l'effigie du Capricorne est parfaitement tracée par l'orientation de la Boule de Ponter.

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Localement le terrassement a été aussi nommé le Golden Coffin et c'est en décembre (la période du Capricorne) que le soleil meurt symboliquement au solstice d'hiver. Le lien avec le soleil est important parce que quelques chercheurs pensent que la Boule de Ponter est une corruption de Pontes Bel ou Baal, qui signifie le ' pont du soleil'; Bel étant un nom celtique pour le dieu soleil et Baal, étant un terme d'il y a un millénaire plus tôt pour la force de vie qui se régénère perpétuellement, symbolisée par le soleil d'or. Si le remblai allongé et herbeux était à l'origine la corne de l'effigie du capricorne parmi les géants de Glastonbury, il est évident que son adaptation ultérieure à l'âge du bronze ou temenos celtique serait parfaitement en accord avec une forme continuité religieuse transmise rituellement. Le reflux culturel et le flux autour de l'île d'Avalon a été spectaculaire, mais malgré que les populations immigrantes aient été socialement diverses, elles ont toujours hérité de la magie géomantique qui existe dans une stase immortelle, gravée dans le paysage autour de eux. Quand la civilisation religio-scientifique de l'âge du bronze s'est affaiblie, elle a été graduellement remplacée par les modèles sociaux plus féroces de l'âge de fer (800 avant JC). Avec l'arrivée de masse des guerriers celtiques dans les lagunes et des flancs des coteaux autour du Tor (C. 500 avant JC), l'histoire écrite/enregistrée (?) commence. En raison de sa fameuse antiquité et sa religieuse sainteté constamment préservée, la région de Glastonbury a continué à attirer, et par ailleurs à s'adapter mystiquement, à de nombreuses tribus et cultures. Des villages lacustres ont été excavés à Meare et Godney (tous deux seulement à quelques kilomètres du Tor) et l'exécution d’ornements raffinés et des outils en terre cuite utilisés dans ces villages montrent encore un niveau élevé de l'accomplissement technologique et artistique. Les guerriers Celtes ont reçu la guidance, religieuse et philosophique, des druides et ici beaucoup voient la première codification de certains rituels et pratiques apparentés à la magie naturelle (wicca). On pense que ce sont les druides qui ont dessiné le labyrinthe en gazon, dont les traces peuvent encore être vues serpentant sur la face raide du Tor. Ce chemin processionnel à sept niveaux dénote l'importance sacrée du Tor au schéma mystique de Glastonbury et il est temps de regarder en détails ce mont artificiellement modifié. Si le Zodiaque est la clef de tout le complexe avalonien, alors Tor est le lieu, le point focal, du centre de force du centre de Glastonbury. Dans le mythe celtique, l'entrée du pays de la mort, connu sous le nom d'Avalon, a toujours été une haute colline entourée d'eau. C'était aussi lié à Caer Sidi, la montagne en verre des fées ou le château en spirale, où la puissance surnaturelle inhérente à la mort rencontrait les énergies naturelles qui se mélangeaient à l'interaction terrestre et cosmique. Glastonbury à l'âge de fer, était un parfait Avalon. Les bas niveaux entre le Tor et la mer auraient été en grande partie sous eau, avec de nombreuses chaînes de collines et de grands monts couverts d'herbe dépassant des surfaces brillantes des lagunes reliées entre elles. Dans la mythologie celtique, Avalloc ou Avallach était une déité associée à la garde du monde d'en dessous (Avalon) et ici l'étymologie du nom se clarifie. Le Tor aurait été un centre naturel de culte, particulièrement si les ruines d'un temple en pierre avait existé alors sur son sommet. Les côtés fortement anguleux de cette colline sont formés d'une série d'étages arrondis, plutôt comme la pyramide à étages de Saqqara, en Egypte, c'est le legs des géomanciens qui ont créé le dessin entier du Zodiaque il y a des millénaires. On pense que le nom Glastonbury provient des vieux mots anglais Ynys-witrin, qui signifie île de verre (ex: Caer Sidi, la montagne de verre), le Tor dominant toute la terre élevée qui dépassait des eaux sous forme d'une île allongée couverte d'arbres.

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L'importance rituelle du Tor s'est maintenue longtemps dans la mémoire locale et une église consacrée à St Michel, ce vaillant tueur de dragon païen, a été construite d'abord sur le sommet au douzième siècle. Les traces des pierres mégalithiques qui lui ont précédée, peuvent être prétendument vues dans les fondations de ce qui reste de la tour de l'église. Le bâtiment principal de cette église a été détruit par un grave tremblement de terre au treizième siècle. La légende dit encore que des fragments de pierres préhistoriques originales ont aussi été employés pour sanctifier les fondations de l'abbaye voisine. Le roi des Fées, Gwynn AP Nudd, Seigneur d'Annwn et autrefois chef de la Chasse Sauvage, une manifestation cosmique, universelle dans toute la mythologie européenne, était un esprit local du Tor. On a dit qu'il avait un palais sur le sommet d'où il régnait avec des chiens magiques et des spectres de guerriers sur son habituel groupe d'âmes. Un spectacle évidemment effrayant pour ceux qui ne sont pas initiés à la conscience cosmique. Un autre événement clé, qui liait le Tor à l'ancien rituel, était la célèbre Foire du Tor. La foire avait lieu le deuxième lundi de septembre et elle consistait autant au commerce de chevaux, moutons et bétail qu'à la boisson, aux jeux et à des réjouissances en général. En 1127, le Roi Henri 1 a accordé un décret à l'abbé et aux moines de Glastonbury que la foire ait lieu à l'église St Michel sur le Tor. Mais l'événement était bien plus ancien que ça parce que le décret mentionne que, pendant deux jours, les festivités devaient avoir lieu à l'emplacement de la foire "originale". C'était en fait sur les pentes ouest inférieures de l'axe est-ouest du Tor, et juste au-dessus du champ utilisé là, il reste encore les grands fragments cassés d'un vieux mégalithe. C'est une pierre puissante active parfois tôt le matin parfois tard la nuit. Sa puissance a été vérifiée par l'auteur personnellement, se manifestant plutôt comme un courant électrique doux passant par les paumes des mains et se développant en spirales vers le haut des bras. Sur le relevé de l'armée, carte de 0,635m, cette pierre toujours très active est indiquée et appelée, de manière assez significative, la Roche Vivante ! La foire du Tor était un festival local important et dans ses premiers jours, les écrits mentionnent qu'elle durait au moins quinze jours. En 1850, la foire a été déplacée sur un site plus proche de la ville, en fait sur un grand champ derrière une vieille maison publique, qui s'appelle la Taverne de Fairfield aujourd'hui [maintenant appelée le Roi Arthur, sur la rue Benedict]. Bien que maintenant la date varie entre septembre et octobre, ce vrai festival du peuple est toujours célébré à Glastonbury. Sa mention écrite la plus ancienne est dans un édit saxon du Roi Ine; l'observance celtique et la pierre cassée semblent être localisées de façon satisfaisante à l'Age du Bronze. Deux autres points peuvent rapidement être mentionnés. D'abord, les vieilles foires d'Angleterre ont été souvent localisées près de labyrinthes ou en ont utilisés, et le labyrinthe du Tor est maintenant un fait établi. Ensuite, l'axe du Tor (sur lequel se trouve la pierre puissante) est orienté sur un méridien qui traverse la Grande-Bretagne du Mont St Michel, en Cornouailles, en passant par le Mont St Michel, Burrow Mump, le Tor, le cercle d'Avebury, Ogbourne St George, et d'autres sites mineurs innombrables liés au dragon et à son tueur saint. Le Tor de Glastonbury est le terrassement prédominant sur cette ligne droite de sites saints généralement élevés. Cette colline sacrée est reconnue comme un vaste dépôt de la puissance psychique libre et de la stabilité psychologique symbolique, une unité réalisée entre la vie et la mort. Sa force sous-jacente rayonne pour deux raisons : la génération des forces magiques directes et la réconciliation entre les nombreux états de conscience qui fertilisent les impulsions de base de la perception métaphysique humaine. Comme l'architecte et voyant Bligh Bond l'a dit, c'est en effet une "colline de la vision".

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Hanté par des esprits, la demeure des fées et des démons, le Tor projette une ombre inspirante du paradis sur la surface de la terre. Les foires ou rassemblements féériques surviennent toujours dans le folklore et il y a beaucoup de contes racontant les aventures de fermiers, bergers, laitières, etc., rencontrés lors de ces événements par accident. Les rassemblements féeriques avaient lieu sur certains sites qui étaient connus des "bonnes gens", un lieu de rendez-vous célèbre du Pays de l'Ouest se trouvant près de Pitminster dans le sud du Somerset. À ces foires saisonnières, les fées dansaient, chantaient, mangeaient, buvaient et vendaient du bétail comme à n'importe quel rassemblement humain normal. Les sites sont tous adjacents soit à des labyrinthes, des monticules, des pierres, des forts ou des terrassements, et les foires humaines postérieures en de tels endroits étaient probablement héritées directement d'une autre tradition ésotérique. La foire du Tor, jointe au labyrinthe et pierres mégalithiques, sans oublier l'association de la montagne avec Gwynn le roi des Fées, s'accorde culturellement à ses environs topographiques magiques de façon tout à fait satisfaisante. La mémoire des foires de Fées aux endroits d'importance historique établie magnifie les aspects magiques et rituels des sites eux-mêmes et les place strictement dans le contexte d'une géomancie appliquée scrupuleusement. La foire surnaturelle de Pitminster se déroulait en fait sur les pentes de la Colline Noire du bas (Black Down Hill), située entre les villages de Pitminster et Chestonford près de Taunton, et cette colline garde encore des traces de tumulus et de terrassements anciens. Les fées qui fréquentaient cette foire, étaient décrites comme ayant une stature "humaine", et le plus souvent vues par les mortels à la période cruciale du festival de milieu de l'été. Un moment significatif si on pense aux célébrations antiques du solstice d'été, reconnues même maintenant par les nombreux adhérents de ce qu'on nomme parfois la Vieille Religion. On se souvient aussi de Trezidder Lane, près de St Levan, en Cornouailles, comme le lieu d'une foire féerique saisonnière. Cette ruelle fait partie d'un méridien et est entourée par de nombreuses pierres levées, cromlechs et tumulus, étant dans l'environnement immédiat de la péninsule Penwith riche en mégalithes. Il n'y a pas de rapports distincts dans le folklore entre la foire du Tor et les Fées (à part que le plus vieux site de la foire se trouvait sur les pentes de Gwynn ap Nudd’s Caer Sidi, ou la Montagne Féerique). Mais quand le labyrinthe et les mégalithes sont intégrés au dessin, l'importance de ce monticule sanctifié devient physiquement claire dans un cadre de référence historique et certainement géomythique. Le labyrinthe sur le Tor et les rituels des druides marquent la fin de la pureté spirituelle organique de Glastonbury. Le long interregnum depuis lors a été mené d'abord par les chrétiens, puis par les matérialistes "trip-réalité", et maintenant par les cultes de néo-chrétiens qui prolifèrent là aujourd'hui. Quand le christianisme s'est d'abord approché à titre d'essai de Glastonbury pendant le 1er siècle après JC, il est venu sous forme de légende païenne légèrement déguisée ; par exemple les contes de Joseph d'Arimathea, l'implantation de son sceptre sur la colline de Wearyall, l'enterrement du Graal/Calice contenant le sang de Jésus sur la colline Chalice, etc. L'éthos chrétien embryonnaire a été forcé d'embrasser en grande partie le rituel païen pour survivre, tellement les vieilles façons de penser et le culte étaient fortement implantées dans les cerveaux et les âmes du peuple. La légende de Joseph d'Arimathea est remarquable par sa ténacité dans la mémoire locale et son assemblage de divers thèmes païens/chrétiens. Dans la région de Glastonbury, le 17 mars a toujours été célébré comme le jour de St Joseph d'Arimathea et une église à Langport (église de tous les saints) possède un vitrail montrant le saint âgé sur le point de fonder la première église chrétienne en Grande-Bretagne.

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On peut voir l'incorporation des thèmes de fertilité dans la légende de Joseph au sceptre d'épines (l'épine était un des plus importants symboles de magie et de mythologie païennes), dans le fait de porter le saint Graal, et dans le sonnet peu connu associé au Jour de St Joseph lui-même. Ce couplet de rimes contient une force d'incantation simple, idéale pour le chant (à voix haute) :

Si le jour de Saint Joseph est clair, Nous aurons une année fertile.

La célèbre épine pousse toujours à Glastonbury, et elle bourgeonne au moins sur trois sites religieux. Il y a un grand arbre dans la cour de l'église de la paroisse de St John sur la Grand-Rue. Un autre arbre se trouve dans l'abbaye, et un petit buisson est à l'endroit original sur les pentes supérieures de la colline de Wearyall (l'effigie des Poissons dans le Zodiaque de Glastonbury). Ce buisson d'épines est une sorte de Levantine véritable, et est une aubépine particulière ou un applewort. Elle provient en fait du Proche Orient et ne fleurit seulement qu'à proximité immédiate de Glastonbury. Son nom botanique est Crataegus oxyacantha. Normalement elle ne peut être plantée, seulement greffée. Elle fleurit autour du 5 janvier (ancien jour de Noël) et des fleurs sont encore envoyées au monarque régnant dans la continuité d'une vraie vieille tradition de réputation reconnaissance magique et rituelle. La légende, que Joseph d'Arimathea a été envoyé par St Philip pour apporter l'Evangile en Grande-Bretagne, est bien établie dans le folklore local, mais il y a peu de documentation historique existante. Les complexités de son origine sont trop compliquées pour en parler ici, mais il semble y avoir beaucoup de preuves détaillées en sa faveur. Cet "oncle" de Jésus ambulant est censé être parti de la Terre Sainte après l'an 60 et avoir abouti sur la colline de Wearyall (pour le miracle de la plantation de l'épine) en 63/64 après JC. Le roi local, Arviragus, est supposé avoir donné à Joseph et ses disciples douze parcelles de terre autour de Glastonbury et ils ont alors construit le premier temple de la nouvelle religion dans les îles britanniques. Le bâtiment était circulaire et par sa dimension de fluidité alchimique, la magie s'est développée. De l'avis de l'auteur, il a du remplacer un lieu sacré païen qui avait même une plus grande valeur cosmique, car dans la pratique chrétienne il était courant de construire des églises, etc., sur les emplacements de ces puissants monuments dédiés à une dévotion religieuse passée. Un des aspects géomantiques les plus importants des légendes de Joseph se trouve dans le voyage (la recherche) entrepris par l'homme et ses douze disciples traversant le paysage du Somerset. La plupart des mythes déclarent que le débarquement final a eu lieu à proximité de ce qui est appelé maintenant Bridgwater Bay [19 km à l'ouest de Glastonbury] (après une désastreuse excursion au Pays de Galles) et que de là, la petite bande a été "appelée" à travers les marais jusqu'au saint Tor du majestueux Avalon. Comme si ce n'était pas assez pour la divination géomantique intuitive, il y a une lecture presque inconnue de la légende particulière du la région autour de Crewkerne [32 kms sud-ouest de Glastonbury]. Cette lecture est tout à fait spécifique dans son imagerie. Le vieux conte a été transcrit par K.J. Watson et re-raconté dans son travail localement célèbre "La Légende de Crewkerne". L'histoire a été en fait imprimée entièrement dans le journal Somerset County Herald de 1920. Par essence le mythe relate comment Joseph et ses disciples ont été menés sur une route droite traversant le pays en suivant un itinéraire antique, employé à l'origine par les commerçants de métal phéniciens. Cette vieille route droite était reconnaissable par de petits monticules herbeux (tumulus?) et à un endroit menait directement à un terrassement connu sous le nom de Cunnygar.

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Tous les 8 kms, les pèlerins se reposaient et l'un d'entre eux planta son bâton dans le sol pour sanctifier la ligne et marquer le chemin. À certains points non spécifiés, ils ont érigé des croix et sur une colline, Joseph a placé le saint Graal sur une pierre levée ; sa lumière rayonna, illuminant toutes les régions boisées environnantes. Quand finalement ils atteignirent la colline de Wearyall, seul Joseph avait gardé son bâton qui, une fois planté dans le sol, se transforma immédiatement en arbuste fleuri d'épines. On l'a alors assimilé à une réconciliation mystique entre la magie des vieux dieux et les miracles du nouveau. C'est brièvement la Légende de Crewkerne ; tous les faits sont décrits exactement comme dans le conte, seule la richesse de l'écriture a été enlevée par nécessité. La marche rituelle de Joseph et ses gens a beaucoup de pertinence pour des étudiants recherchant le méridien et a même des traits métrologiques dans le placement de traverses à intervalle de 8 kms. C'est intéressant que Joseph ait planté son bâton/sceptre sur la colline de Wearyall, et non sur le Tor. Comme cité ci-dessus, Wearyall fait partie des triples effigies des Poissons dans le Zodiaque et on doit noter que le signe des poissons était l'un des premiers symboles chrétiens liés à la magie du Vesica Piscis. C'est aussi passionnant de savoir qu'avec le commencement du christianisme, le monde est entré dans l'âge zodiacal des Poissons, un âge maintenant en train de mourir violemment des blessures volontaires causées par la trahison spirituelle. En plantant son bâton sur un site tellement approprié géomantiquement et astrologiquement, Joseph d'Arimathea reconnaissait la signature zodiacale qui a scellé pour toujours la sainteté du paysage entier de Glastonbury. Même si la légende n'est pas strictement "vraie", il y a une symbolique, une force métaphysique qui transcende la réalité physique et atteint directement la compréhension de la correspondance plus cosmique éthérée de Glastonbury. La région a toujours été connue pour son ambiance zodiacale ou l'ambiance paradisiaque, reliant les étoiles avec leurs motifs reflétés sur la terre. L'aura (comme une étoile) du zodiaque s'est fixée dans la conscience chrétienne de façons diverses, peu d'entre elles vraiment ouvertes. Les dimensions mystiques de la grande Abbaye incorporent certains symbolismes zodiacales / astronomiques dans leur numérologie et la ligne d'orientation est-ouest, qui forme l'alignement axial principal de l'abbaye, fait partie d'un méridien important qui relie Glastonbury avec Stonehenge (un temple solaire et lunaire) et la cathédrale de Canterbury (lieu d'un autre observatoire astronomique mégalithique). On trouve une certaine confirmation subtile dans un passage mystérieusement approprié de l'histoire de l'Abbaye, écrite par William de Malmesbury au douzième siècle. William était un érudit et historien célèbre de descendance mixte normande/saxonnne. Il était du Somerset et ses livres sont des modèles de faits bien rassemblés, de clarification succincte et de bon jugement historique. Dans son travail définitif sur le sujet, De Antiquitate Glastoniensis Ecclesiae, William de Malmesbury inclut le court paragraphe suivant : Alors, cette église est certainement la plus ancienne que je connaisse d'Angleterre, d'où dérive son nom (vetusta ecclesia)… On peut voir de chaque côté du pavement des pierres en forme de triangles et de carrés, incrustées par un chemin de plomb, sous lequelles, si je crois qu'il y a une certaine énigme sacrée, je ne fais aucune injustice en comptant dessus. Cette déclaration retenue a été évidemment conçue pour protéger William contre toutes accusations d'hérésie, un passe-temps continuellement favori parmi les ecclésiastiques chamailleurs du christianisme à "pleine vapeur". Le paragraphe réfère à un motif de mosaïque qui a été dessiné dans les pierres de la chapelle Ste Marie (à l'origine chapelle de St Joseph, pour Arimathea), un bâtiment de grande importance mystique qui a marqué l'emplacement des fondations originales par les chrétiens du début du 1ersiècle après JC. Ce motif doit avoir été une réflexion directe du christianisme ésotérique et il semble avoir

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enchâssé une mémoire du schéma géomantique global qui a dicté les correspondances entre les dimensions de l'Abbaye et le motif proche de la géométrie zodiacale, préhistorique et celtique du paysage, c'est-à-dire effigies, monticules, pierres, méridiens, etc. Cette réminiscence psychique continuelle réapparut encore pendant les premières années de ce siècle par le biais des recherches et travaux archéologiques de Frederick Bligh Bond sur les ruines de l'Abbaye. Cet architecte erratique de Bristol et mystique a fait quelques découvertes kabbalistiques étonnantes lors de ses excavations, reliant les dimensions du bâtiment à de nombreuses interprétations explicites de science ancienne, mathématiques et astronomie. La technique d'écriture automatique a été utilisée par Bligh Bond (à la désapprobation hystérique d'ecclésiastes sévères) et "le contact" avec un frère de l'Abbaye au quinzième siècle décrit dans un passage du livre de Bligh Bond "Gate of Remembrance" (La Porte du Souvenir) soutient une ressemblance remarquable aux mots de William de Malmesbury. Si les trouvailles de Bligh Bond sont valides, les aspects zodiacaux sont ici totalement prouvés par une source apparemment inattaquable ! Le frère en contact astral a dit : Les anciens Frères nous ont transmis le plan que nous avons suivi et construit. Comme nous l'avons dit, notre Abbaye était un message dans la pierre. Foundations et distances sont un mystère - le mystère de notre foi, que vous avez oublié et nous aussi dans vos derniers jours ...Toutes vos mesures ont été marquées simplement sur les dalles de la Chapelle Ste Marie, et vous les avez détruites. Ainsi on l'a écrit, car ceux qui ont construit et ceux qui sont venus après savaient d'avance où ils devraient construire. Mais ces choses appartiennent au passé et sont sans valeur maintenant. L'esprit a été perdu et avec la perte de l'esprit, le corps s'est délabré et était devenu inutile pour nous. Il y avait le corps du Christ, et autour de lui il aurait eu les quatre Chemins. Deux ont été construits et pas plus. Dans le sol de la Chapelle Ste Marie se trouvait le Zodiaque ..., que tous pourraient voir et comprendre le mystère.

Au milieu de la chapelle... il a été étendu; et la Croix de Hym qui était notre exemple et exemplaire. Braineton, lui a fait beaucoup, parce que lui était Géomancien ... à l'Abbaye de l'ancien temps. Les premiers liens de Glastonbury avec le Christianisme sont toujours d'une nature ambiguë, avec beaucoup de saints et mystiques associés à la région montrant des suggestions marquées de pouvoirs, origines et pratiques étranges. Par exemple, un conte dit que l'irlandaise Ste Brigitte est venue à Glastonbury aux environs de 488 après JC et qu'elle a passé quelques années à méditer sur l'île de " Beckery" [juste à côté de l'île de Glastonbury], où il y avait précédemment une chapelle consacrée à Ste Marie Madeleine. Quand Ste Brigitte est retournée en Irlande, elle donna son nom à l'ancienne chapelle et certaines reliques personnelles - sa pochette, son chapelet et son bâton de chêne. Ceux-ci ont alors été imprégnés de puissances miraculeuses. L'"île" de "Beckery" est située directement à l'ouest du Tor. C'est une longue crête basse se trouvant près des méandres doux de la rivière Brue. Elle a toujours été associée à la magie religieuse, et le mythe d'Arthur dit que le grand roi a

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eu une forte vision du saint Graal dans sa minuscule chapelle. Ste Brigitte était réputée avoir beaucoup de pouvoirs sur les choses naturelles: on a dit que les animaux et les oiseaux obéissaient à sa voix et qu'elle pouvait faire des miracles avec du lait et du beurre qui ressemblait à celui du Christ nourrissant les cinq mille personnes. Les légendes de Beckery demeurent, mais hélas, toutes les traces de la chapelle (et une grande partie du monticule lui-même) ont été systématiquement détruites par la marche implacable du progrès et de l'industrie de ces deux derniers siècles. Les légendes de Brigitte sont particulièrement intéressantes lorsqu'on se rappelle que Ste Brigitte était l'incarnation chrétienne de la puissante déesse païenne de la fertilité, Bride (la Mariée). Le culte de Bride (la Mariée) ou Brigantia était fortement attaché à l'accouchement, aux puits sacrés, aux moissons et au cycle de la végétation dans l'ensemble de l'Irlande païenne, l'Angleterre et l'Ecosse occidentale. La déesse était également gardienne des flammes éternelles, ce qui la reliait symboliquement au soleil, cette fournaise qui donne la vie. Ces centres sacrés britanniques, situés sur des monticules ou des collines, sont habituellement reliés à une certaine forme de rituel solaire, qu'ils soient païens, chrétiens, ou intermédiaires lors des moines Culdéens et des hérétiques gnostiques. Le fait évident que Ste Brigitte était "Mariée" christianisée, indique encore une fois la dette de la nouvelle religion aux siècles de culte complexe qui s'était développé à Glastonbury de façon naturelle et compréhensive - en fait, par l'intermédiaire d'un vaste culte païen qui répondait à chaque besoin psychique, religieux et écologique par son Panthéon toujours changeant et constant de dieux et déesses archétypes. Ces forces élémentaires primaires sont toujours symboliques d'applications très pratiques d'un pouvoir étrange mais réalisable. C'est un pouvoir qui est miraculeusement en harmonie avec les rythmes et flux d'énergie inhérents à la nature : un pouvoir qui lie les pierres aux étoiles, la terre au ciel, l'homme au cosmos. C'est le pouvoir unificateur d'une magie holistique géomantique - les pulsations vivantes des esprits dans et autour de la terre. Après Joseph, les mythes arthuriens se sont entremêlés car la quête du Graal provient du subconscient de la mémoire des merveilles précédentes de Glastonbury, et renvoie à la magie de l'épine, au labyrinthe sur le Tor et à la fameuse Table Ronde du Zodiaque lui-même. Les chevaliers d'Arthur ont tracé les chemins barbelés mais sacrés vers l'accomplissement du Graal, et le symbolisme caché de ceci est évident à la lumière de ce qui est écrit ci-dessus. Au sommet du Tor, l'accomplissement du Graal est encore possible pour le chercheur dévoué et éclairé spirituellement. Dans cette brève étude du folklore de Glastonbury et son histoire légendaire, nous avons découvert, caché profondément à ses racines, les messages poétiques codés, transmis depuis des époques disparues jusqu'à nous. Ils se sont manifestés au travers de schémas constamment récurrents de mythe, magie et vision intuitive qui ont par le passé illuminé les esprits des anciens clairvoyants. De cette vision, transmise de génération en génération par la tradition orale et la sagesse écrite, exprimée en poésie, musique, prose, et par des rituels, la "présence" géomantique active dans les îles britanniques est préservée et perpétuée comme un rêve régénérateur dans la conscience des hommes. Les sciences intuitives du passé fortement développées posent une énigme perpétuelle aux esprits fermés de notre époque, qui fait écho à la bravade matérialiste vide. Ceci a pour conséquence le dénigrement constant des mystères sacrés comme mécanisme de défense désespéré contre la vérité ultime. Quand ces mystères sont abordés avec un esprit ouvert et fort par sa compréhension des réalités psychiques d'interactions psychologiques et métaphysiques, les voiles des mystères peuvent être soulevés, et la structure naturelle du monde ancien peut être révélée par des

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modèles intelligents qui illuminent l'âme et transforment les contours de base de la conscience humaine. La tradition ésotérique des îles britanniques a été soigneusement préservée par les divers ordres mystiques qui ont succédé aux magiciens de l'Age Mégalithique et l'Age de Bronze, pour être finalement codifiée en incantations, rituels et poésie de l'ordre ancien des Druides. Ils ont alors transmis une grande partie aux premiers Chrétiens qui les ont petit à petit remplacés au début du dernier âge astrologique. C'est ainsi qu'une partie du patrimoine magique vital a été préservé jusqu'aux temps modernes, ce patrimoine soigneusement développé par les géants du passé, qui est tellement essentiel maintenant à notre compréhension et résurrection d'un monde presque perdu. On peut sans risque supposer que la région de Glastonbury est l'un des centres les plus sacrés sur la surface de la terre parce que tant de religions et de cultures s'y sont rencontrées et entrelacées. L'atmosphère véritable de Glastonbury, incluant le Zodiaque (astrologie), le Labyrinthe (psychologie) et le Graal (cosmologie) est universelle (d'un ton de défi), jamais dogmatique ou paroissiale. Ses images triadiques symbolisent respectivement la gloire des cieux, la complexité terrestre et un passage aux merveilles des mondes d'en haut. Elles se combinent pour former la représentation du Temple Cosmique sur Terre, physiquement réalisé dans la géomancie du paysage autour de l'Ile d'Avalon, avec l'Abbaye de Glastonbury et le Tor comme lieux clés. Les forces des mythes d'Avalon demeurent parce qu'elles sont basées sur les énergies et les harmonies contenues dans la structure originelle de la Création. Quelque chose de vibrant et beau vit au-dessus des collines de Glastonbury, parce que cette partie du paysage anglais est le rêve des dieux devenu vrai.

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Les Symboles du Reiki du Monde des Dévas

Graceful Faery - La Fée Gracieuse

C’est une fée émotionnelle et elle représente l’Eau. Le symbole montre aussi une fée à genoux dans une position de prière, elle représente l’innocence, le pardon, la chasteté et la pureté de cœur. Karma Faery – La Fée du Karma

Cette fée représente la récolte de ce que nous avons semé. Elle montre les mains d’une fée prêtes à recevoir une récompense pour ses bons actes. Elle aide à effacer un karma négatif et apporte la récompense méritée. Cette fée représente l’élément Feu. Ce symbole aide aussi à réaliser nos rêves et à atteindre nos buts. Queen Faery - La Reine Fée

C’est la fée symbole du maître, elle est utilisée pour amplifier le pouvoir des quatre autres symboles. Ce symbole représente l’Esprit. Ce symbole combat la vanité, le doute, la peur, la colère et nous aide à guérir des vies antérieures.

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Air Faery - La Fée de l’Air

Cette fée nous connecte à notre être supérieur et nous aide à communiquer avec les fées et les déités. Elle représente l’élément Air. Flower Faery - La Fée de la Fleur

Cette fée représente le cycle de la vie, la semence qui germe, la fleur qui fleurit, la fleur qui se fane pour renaître à nouveau. Elle connecte notre âme au cycle universel de la vie et nous donne une impression d’unité et d’équilibre. Elle représente l’élément Terre. Charon May / Master Symbol / Symbole du Maître

Ce symbole nous permet de canaliser non seulement l’énergie des fées depuis la Terre mais aussi depuis le Royaume mythique d’Avalon d’où les fées sont originaires. Ce symbole est à utiliser avant chaque séance de soin, il ouvre la porte à l’énergie.

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Prières aux Fées

Aux Fées de la Terre Mab, Viviane, Urgania

Pour obtenir la richesse et le bonheur

Oh Mères sereines du bonheur sur terre ! Fées des forêts, des bois, des plaines,

des campagnes et de la divine Mère Terre Gaïa. Accordez un bon accueil à ma demande.

Vous êtes, chères Dames, l'âme de cette planète, de la nature vivante, du sol qui m'a donné la vie

et dans lequel mon corps reposera un jour. Vous êtes mes racines. En vous, je puise les forces vives et l'énergie de la terre.

Ouvrez-moi, je vous prie

les portes du Paradis sur terre. Entourez-moi de prospérité et de bonheur.

Je promets de faire fructifier les dons dont vous aurez la bonté de me combler

et d'en faire profiter mon prochain. Je promets de respecter la terre

et toute cette belle nature que Dieu nous a léguée, dans Son infinie bonté.

Je sais que vous, divines Fées, souhaitez ardemment exaucer

les souhaits des hommes et me donner tout ce que je souhaite recevoir.

Faites-moi la surprise de l'arrivée soudaine d'une grande richesse. Comblez-moi de biens.

Que vos serviteurs, les Gnomes, Farfadets et Lutins travaillent à mon bonheur.

Soyez-en remerciées, Oh divines Fées de la terre...

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Aux Fées de l'Eau Mélusine, Esterella, Selkie

Pour obtenir l'amour

Oh Fées cristallines, gracieuses et ondoyantes qui habitez les eaux claires des fontaines, les cascades, le lit des rivières, les étangs,

les lacs et la pluie du ciel. Je veux moi aussi devenir une eau féconde pour la terre

et mes semblables, et pleurer des larmes de joie en recevant et en donnant l'Amour humain.

Je promets de respecter l'eau du ciel et de la terre.

Faites tomber sur moi une eau abondante de perles et de fleurs d'Amour.

Que mon cœur s'ouvre à ce doux sentiment. Que l'Eau d'Amour et de Vie se déverse en moi

et autour de moi et comble mes jours. Que vos serviteurs, Ondines et Ondins

travaillent à m'envoyer l'Amour que je sollicite. Soyez-en remerciées,

Oh, cristallines Fées de l'Eau...

Aux Fées de l'Air Holda, Aril et Melior

Pour obtenir l'intelligence et la vivacité d'esprit

Fées magiquement ailées, aériennes mouvances, splendeurs azurées, c'est vers vous que j'élève ma prière à travers cet air que vous gouvernez.

Soufflez sur ma tête, l'air de l'Esprit.

Éclairez mon jugement. Accordez-moi la compréhension des choses,

le savoir, la connaissance et la science. Fées de l'intelligence pratique, aidez-moi à agir toujours avec sagesse, justesse,

clairvoyance, discernement, et toujours utilement à mes semblables. Que vos serviteurs, Sylphes et Sylphides

travaillent à m'insuffler l'air de la juste pensée. Soyez-en remerciées, Oh, admirables Fées de l'Air...

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Aux Fées du Feu Paradis, Morgane, Glasting

Pour obtenir la force, la puissance, la volonté et la réussite

Fées maîtresses du divin Feu créateur de vie,

Flammes d'Amour et de Lumière, Maîtresses des impulsions énergétiques !

Aidez-moi à obtenir le vif désir d'agir et de réussir. Faites que mes souhaits deviennent vos souhaits, les souhaits et les vœux de l'Âme de la nature.

Fées du feu purificateur, je veux moi aussi être remplie de chaleur humaine et de bonté active.

Je serai votre flambeau dans le monde matériel.

Je deviendrai à mon tour une flamme illuminatrice, rayonnante d'Amour. Accordez-moi la volonté, l'enthousiasme, la ténacité, la force, l'énergie,

la puissance et le pouvoir. Je promets d'accorder au Feu

une attention toute particulière. Que vos serviteurs, les Salamandres

travaillent à incendier mon cœur d'Amour et de la juste Puissance. Soyez-en remerciées,

Oh, admirables Fées du Feu...

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MEDITATION

Le Pouvoir de la Grande Terre Mère Tiré de Witch Crafting de Phyllis Curott ©, traduction Lune

Cet exercice vous aidera à prendre contact avec les pouvoirs guérisseurs de la Terre, qui sont toujours accordés avec profusion et grâce. Partez en pleine nature et recherchez un endroit où la Terre s’ouvre et qui vous fera penser à l’entrée d’un utérus. Cela peut être l’intérieur d’un arbre ou sur ses racines ou encore un arbre tombé à terre, entre des blocs de pierres, dans une grotte, ou l’intérieur d’une excavation tapie d’herbe. Demandez la permission d’y travailler et d’apprendre. Si vous vous sentez accepter, vous pouvez projeter votre cercle, bien que vous n’en ayez pas besoin. Faites un travail de respiration pour être serein et vous ouvrir. Sentez la richesse du sol, ressentez sa force sans limite vous soutenir. Observez comme tout ce qui vous entoure pousse. Regardez les oiseaux, les animaux et les insectes se nourrir. Allongez-vous sur la terre et recourbez-vous dans l’ouverture. Ressentez la délicatesse de l’herbe, la douceur de la mousse, la texture des rochers ou la finesse du sable. Demandez à la Grande Terre Mère de vous nourrir et de vous transformer avec le pouvoir de la Terre.

A présent, ancrez-vous et centrez-vous. Ressentez le pouvoir de la Terre vous parcourir, vous soignez et vous énergisez, vous donnez l’énergie nécessaire pour vivre, grandir, changer et créer la vie. Laissez une offrande pour vos sœurs et frères.

Remerciez.

Fermer le cercle

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METHODE DE SOINS Cette procédure de soins est unique et implique une forte connexion à l’énergie des Dévas, à Avalon et aux éléments. Pour commencer, que ce soit un auto-traitement ou un soin à autrui, dessinez le symbole inter dimensionnel de canalisation pour faire venir l’énergie du Monde des Dévas. Commencez ensuite par le chakra de la Couronne en y imposant les deux mains l’une à coté de l’autre. Canalisez le premier symbole : La Fée de la Grâce. Tout en visualisant ce symbole imaginez une cascade coulant sur le receveur et emportant toute négativité. De la main non dominante guidez ces énergies pour les faire sortir du corps du receveur. Recommencez par le chakra de la Couronne mais cette fois en canalisant le symbole de la Fée de l’Air, imaginez un puissant souffle de vent passant sur le corps du receveur et ce jusqu’au douzième chakra et même encore plus. Déplacez votre main non dominante vers les autres chakras et votre main dominante remonte jusqu’au douzième chakra. Cette procédure devrait créer un vortex énergétique de vent et connectera le receveur à son être supérieur. Passez au plexus solaire et canalisez le symbole de la Fée du karma. Imaginez la Lumière Intérieure du receveur. La flamme devrait commencer à brûler au niveau du plexus solaire et s’étendre à tous les chakras. Remontez jusqu’au 12e chakra avec votre main dominante pour permettre à la flamme de s’étendre le plus possible. Passez ensuite au chakra de la couronne et canalisez le symbole de la Fée des Fleurs. Imaginez le corps du receveur grandissant avec de belles fleurs. Cette énergie devrait ancrer le receveur. Déplacez votre main non-dominante jusqu’au chakra Racine, ensuite déplacez les deux mains jusqu’au chakra du point terrestre qui lui se situe à quelques centimètres sous les pieds. Recommencez au niveau de la Couronne et canalisez la Fée Reine. Ne l’imaginez qu’au niveau de la Couronne et imaginez tous les éléments s’unifiant pour créer une élévation spirituelle totale. Voilà la méthode telle que me l’ont montrée les Dévas. Je crois que cette méthode est pure et c’est pour cette raison que je demande de ne rien y changer.

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LE CYCLE DE GUERISON D’AVALON Dans la culture d’Avalon, le cycle annuel de guérison est très important et est en connexion directe avec le Reiki des Dévas. La première étape du cycle de soins est la « Période de Descente ». Cette époque commence le 1er novembre, c’est Calan Gaeaf (Samhain) et se poursuit jusqu’à Gwyl Mair, le 1er février. Cette période est celle où l’on se centre sur son soi intérieur pour chercher dans son âme la cause des souffrances et les réponses. C’est aussi le moment de trouver ce qui nous importe le plus dans la vie et de la faire remonter à la surface. Ce n’est pas la tâche la plus facile ni la période de l’année la plus facile, mais elle est nécessaire au développement et à la croissance de l’âme pour pouvoir transformer ses aspects négatifs en aspects positifs. Cette période est marquée par les énergies du Land, du chakra Racine, elle permet de s’équilibrer et de se maîtriser. La deuxième étape est la « Période de Confrontation ». Elle va du 1er février, Gyywl Mair (Imbolc) au 1er mai lorsque commence Calan Mai (Beltane). La période de confrontation nous centre sur un autre aspect difficile du cycle, à savoir celui où nous faisons face à nos lacunes pour surmonter les obstacles pour continuer à avancer dans la vie. Cette période est représentée par l’élément Eau. Le chakra Sacré et le plexus solaire ont besoin de compassion, d’empathie, de guérison de l’âme et de confiance en notre sagesse intérieure. La troisième étape est la « Période d’Emergence ». Elle débute le 1er mai, à Beltane, et se termine le 1er août lorsque nous passons à Gwyl Awst (Lughanasdh). C’est la période où nous émergeons de nos propres ombres et commençons à suivre le courant positif. Il est temps de se demander quoi faire pour transformer les aspects négatifs de notre vie. Il est temps aussi de se rappeler ses aspects positifs et de trouver ce que vous aimez en vous, vos points forts et ce que vous avez à apporter au monde. Cette période d’émergence est associée à l’élément Air et au chakra de la gorge. Il est temps de chercher de nouvelles perspectives et d’être soi-même. La quatrième étape est la « Période de Résolutions ». Elle commence le 1er août à Gwyl Awst (Luganasdh) et est la période où nous passons à l’action et commençons à participer activement à notre changement de vie. Nous prenons les résolutions finales pour changer les aspects négatifs de notre début de cycle de guérison. Il est temps de méditer sur les changements qui ont été effectués et de reconnaître cette transformation. C’est l’époque où l’on cherche des solutions dans nos royaumes intérieurs et où nous les appliquons. La période de résolutions est associée au Feu, le chakra du Cœur, c’est la période de la

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recherche du Royaume Divin, de la transformation personnelle et de l’action juste. La dernière période n’est pas une période de l’année, il s’agit de la « Période d’Intégration » au cours de laquelle tout ce que nous avons mis en œuvre s’unifie. On pourrait parler d’une période d’illumination, de révélation et de vraie guérison spirituelle. Cette période ne se présente pas chaque année mais seulement lorsque notre âme a accédé à un certain niveau de Paix et d’Illumination. Cette période est associée à l’Esprit au Troisième Œil. C’est la période où le Divin vit en nous et parle au travers de nous, mentalement, émotionnellement et physiquement. Le cycle de soins d’Avalon vous aidera dans la pratique du Reiki des Dévas, il vous aidera à choisir les symboles, le type d’énergie et ses effets sur le receveur. Je vous souhaite la meilleure intégration du Cycle d’Avalon dans votre pratique du Reiki.

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Ma li gné e de Maîtr esMa li gné e de Maîtr es L e Reiki du L e Reiki du Monde des DévasMonde des Dévas

Keith Zang Daniel Meyers

Elise Prévot Diane Laporte

Isabelle St-Germain