LE POLYÈDRE DE DÜRER COMME SUJET DE … · d'une traduction graphique avec un logiciel 3D qui...
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SKUPINA YTINA B. CONTEMPORARY ART
FESTIVAL
PRAGUE 2013
LE POLYÈDRE DE
MELENCOLIA § Idit le“polyèdre de Dürer”
CONSTRUCTIONpour l'installation “MELENCOLIA de”
par Yvo JacquierNul n'est censé ignorer la Science
Géométrie Comparée © Yvo Jacquier - Le Polyèdre de « MELENCOLIA § I » - A. Dürer 1 on 19
INTRODUCTION
Propos de l'article
Cet article fait la synthèse des éléments techniques qui ont permis de
“comprendre” le fameux polyèdre de Dürer. C'est la première étape
d'une traduction graphique avec un logiciel 3D qui permettra de le
réaliser concrètement.
Cette approche théorique n'est pas forcément suffisante pour permettre
directement l'opération de conversion en 3D. Il sera sans doute
nécessaire de prolonger ces indications de calculs complémentaires
pour s'adapter à la grille du logiciel.
Deux précédents articles ont exposé les approches géométrique pure
d'une part, et symbolique et historique d'autre part, de ce solide hors du
commun :
Ce polyèdre sert de portail à l'étude de l'oeuvre de Dürer :
http://www.melencoliai.org/
Le festival d'art contemporain Tina B.
Une équipe se réunit sous la bannière de « Skupina Y » pour répondre
à l'invitation du festival d'art contemporain « Tina B. », qui se tiendra à
Prague en 2013.
http://www.tina-b.eu/en/
L'objet final de cet article est la pièce centrale d'une installation, intitulée
« MELENCOLIA de », qui elle-même servira de support à une
performance chorégraphique au son des tambours de Platon.
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PREMIÈRE PARTIERECONSTITUTION
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DÉCOMPOSITION DU SOLIDE
À partir de l'étoile à 10 branches (double pentagramme)
Fig. 1 - à gauche : Les angles de l'étoile (10 b.) respectent la “règle des
9” pour la somme de leurs chiffres.
Fig. 2 - à droite : Deux pentagrammes internes révèlent et impriment
les mesures des grandes faces.
Découpage et assemblage des 6+2 = 8 faces
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La perspective selon Melencolia
Comme on peut le constater sur ce
visuel, au-delà de la déformation
optique liée à l'appareil photo, Dürer n'a
pas respecté les règ les de la
perspective envers son polyèdre.
D'autres éléments de la gravure
comme l'échelle ou encore Cupidon
(par sa taille) font exception dans un
contexte pourtant organisé autour d'un
premier point de fuite situé sur
l'horizon, à la verticale du centre de la
sphère blanche.
Le polyèdre s'inscrit dans une sphère :
http://www .melencoliai.org/Kepler.html
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LE POINT DE CONTACTΩ de la PETITE SPHÈRE
Selon l'échelle de mesure choisie - avec φ longueur du grand côté des
grandes faces, le rayon ‘R’ de la sphère extérieure est lié à celui de la
sphère intérieure ‘r’ :
R = De /2 = √(2φ +3) ÷ 2 ≈ 5/4 à 1,1 ‰
r = Di /2 = √(2φ-1) ÷ 2 ≈ 3/4 à 3,1 ‰
Une équation simple traduit cette relation exacte :
r2 + 1 = R2 = (2φ + 3) ÷ 4 (≈ 1,559 017)
Ce résultat exact se rapproche de l'équation, tout aussi exacte :
(3/4)2 + (4/4)2 = (5/4)2 ≈ (2φ + 3) ÷ 4 à 2,2 ‰
Et la symbolique ne s'arrête pas à ces équations. À partir du point le plus bas du
grand cercle, le point Ω désigne l'inclinaison de la Terre sur l'écliptique (son
obliquité)...
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Le grand face-à-face
Soit Ω le centre du
cercle circonscrit aux
cinq points d'une
grande face.
L'équation révèle que
Ω est le point de
contact avec la
sphère inscrite.
Les faces opposées
sont parallèles et
donc sur le même
axe passant par Ω.
Leurs deux cercles
circonscrits se
retrouvent en vis à
vis.
Deux formes
symétriques se
distinguent. Elles
intéressent la
symbolique, avec leurs
10 et leurs 22 côtés
respectifs.
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LES MENSURATIONS
Les multiples développements de φ
Voici les mensurations du polyèdre répertoriées sur les trois vues
"technologiques". Les cercles des sphères inscrites et circonscrites sont
en vert. Il est à noter que, selon l'échelle choisie au début de cet article
( φ comme grand côté des faces principales) :
De = √(2φ +3) ≈ 2,497 212 ≈ 5/2 à 1,1‰
Di = √(2φ-1) ≈ 1,495 349 ≈ 3/2 à 3,1‰
Di / De = √[(2φ -1)(2φ +3)] ≈ 0,598 807 ≈ 3/5 à 2 ‰
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Hexagone et Hauteur
• Cercle de l'Hexagone
Dh = 2√[(2+φ)÷3] ≈ 2,196 371
Largeur minimale (// hexagone) : √(2+φ) ≈ 1,902 113 • Inclinaison des panneaux/verticale (triangle jaune) :
sin(Alpha) = √[(2+φ)÷3]÷[φ+1] ≈ 0,419 469 => ‘Alpha’ ≈ 24,801° • Hauteur du polyèdre (triangle vert) :
Si L est la hauteur réelle (totale) de la surface prolongée de la distance
qui sépare les barres horizontale (symétrie de la figure). Si H est la
hauteur (obtenue par projection) du polyèdre. Enfin si A = 2√[(2φ +1)÷3] :
alors H = [L/(φ+1)].A avec L = (1+φ/2) + 1/2 = (φ+3)÷2
Or [(φ+3)÷(φ+1)]2 = (7φ +10)÷(3φ +2)
Et [(2φ +1)÷3].[(7φ +10)÷(3φ +2)] = [(41φ +24)]÷[3(3φ +2)]
Donc H = √[(41φ +24)÷[3(3φ +2)]] ≈ 2,096 055
N.B. : La hauteur totale du rhomboèdre non tronqué est de :
3√[(2+φ)÷3] ≈ 3,564 875
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L'obliquité de la Terre
Une fois la sphère extérieure
établie, i.e. ses douze points
de contact avec le polyèdre,
la symbolique nous invite à
identifier les autres points
“qui ont du sens”.
• Évidemment le centre des
deux sphères, O.
• Les six points Ω.
• Le point le plus bas de la
sphère circonscrite, A.
Le point Ω, où la sphère interne touche le polyèdre, montre l'angle de
l'obliquité terrestre (l'inclinaison de la Terre par rapport au plan de sa
trajectoire) à partir du point le plus bas, là où la sphère extérieure se
pose quand les triangles du polyèdre sont horizontaux.
Calcul de l'angle
Tg β = CΩ/AC = [ r Cos α ] ÷ [ AO + OC ] = [ r Cos α ] ÷ [ R + r Sin α ]
Tg β = Cos α ÷ ( R/r + Sin α )
Tg β ≈ 0,434 450
β ≈ 23,482 543° ≈ 23° 28’ 57”
Comparaison à l'obliquité de la Terre
β’ ≈ 23,437 5° ≈ 23° 26’ 15”
∆’ ≈ 0,045° ≈ 2,7’
Comparaison à la mesure de Tycho Brahé (Un siècle après Dürer)
β” ≈ 23,513 889° ≈ 23° 30’ 50”
∆” ≈ 0,031° ≈ 1,9’
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SECONDE PARTIELES PROPOSITIONS
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LA SYMBOLIQUE DU POLYÈDRE
Bilan symbolique de la construction
Le polyèdre de Dürer désigne la Terre. Mais qu'est-
ce que ça veut dire, en termes de symbolique ?
Tout d'abord, le polyèdre se construit selon un
mode complexe, notamment par la magie du
nombre d'or. Ensuite, il prend tous les atouts des
solides de Platon, à savoir et dans l'ordre : • Le volume sort du cube, qui s'incline pour former
un rhomboèdre.
http://www.melencoliai.org/018bis-Rhomboedre.jpg
• Les carrés de ses faces deviennent losanges en s'accordant avec
deux pentagrammes, main dans la main (au total, ils formeront deux
rondes de 6 étoiles).
http://www.melencoliai.org/022-sphere-1.JPG
• Enfin, une coupe aux sommets fait apparaître deux triangles
équilatéraux qui se réunissent sous le signe de l'hexagramme, l'un sur
l'autre. http://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Dürer_graph.svg
Au total, l'on dénombre 2 triangles, 6 losanges tronqués, 8 faces, 12
angles et 12 étoiles, 18 arêtes (seul le 20 manque à l'appel)...
L'essentiel du matériel symbolique des solides de Platon se trouve ainsi
rassemblé, avec quelque chose de plus qui se rappelle de l'humain, de
sa rencontre et de ses liens. Le terme de quintessence n'est
géométriquement pas usurpé. Dans ses écrits, Dürer utilise à propos de
l'homme, l'image du bloc de pierre taillée pour affirmer le rôle, la
nécessité même, de l'éducation. Son polyèdre désigne ainsi une Terre
habitée, qui plus est par un homme évolué, capable de mesurer les
choses. Ces propriétés symboliques sont le reflet d'une réalité physique
: la terre est une boule de feu (magma) dont l'eau et la terre se
partagent la surface sous une couche d'air. La quintessence, dans ce
contexte, est tout simplement la Vie qui dépend des quatre.
http://www.melencoliai.org/008-construction_du_Polyedre.jpg
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Un autre aspect du polyèdre de Dürer mérite d'être souligné. La forme
primitive dont il est issu est carrée, et se réclame du ‘4’. La forme finale
semble l'avoir oublié : on ne voit plus que trois pans qui plongent,
soutenus par trois autres pans avec une couture en zig-zag de six
traits, le tout surmonté d'un triangle équilatéral en guise de chapeau (et
le même, en support). Cette logique est dominée par le 3. L'homme est
conçu selon la géométrie sacrée de base, pythagoricienne, comme le
produit de la rencontre du 4 et du 3 (le triangle 3-4-5 en porte
l'expression).
En cette monstration, l'homme naît symboliquement de la Terre (4) et
va vers le Ciel (3).
L'occasion nous est donnée de différencier la Terre en tant que planète
habitée, et symbolisée par ce polyèdre, de la Terre en tant qu'élément,
marqué par le ‘4’ et synonyme de terrestre. (Ainsi par exemple, Jupiter
se rattache à l'élément Terre, et pas à la planète elle-même).
La plus belle des preuves
La mei l leure preuve du l ien
symbolique entre le polyèdre et la
planète Terre est incontestablement
cet angle du point Ω avec le pôle
inférieur de la grande sphère.
L'obliquité de la Terre par rapport à
l'écliptique, plan de son orbite.
La géométrie sacrée touche ici la
physique qui sera celle de Johannes
Kepler, validant son approche et son
modèle platonique.
Alors qu'il correspondait à ses exigences, Kepler a ignoré le solide de
Dürer . Peu t -ê t re par manque d ' i n fo rmat ion , ma is p lus
vraisemblablement à cause d'une conception “trop lisse” de la
symbolique. Les Dodécaèdres étoilés ne l'ont pas rapproché du but...
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LA/LES COULEUR/S
Le nuancier des anciens
Jusqu'à la Renaissance, la couleur était une composante de la
symbolique, au même titre que les nombres et les formes. Comme ces
deux autres matières spirituelles, elle s'organisait selon des règles
d'harmonie pour porter du sens. Christophe de Cène s'est emparé du principe que je lui avais confié :
« la couleur est une manifestation de la lumière ». Cette formule lui a
rappelé un chapitre de la genèse (dans la Bible). Le chemin de ce texte
lui a permis de reconstituer entièrement le lexique des maîtres verriers
du Moyen-Âge. Ce nuancier de 7 couleurs est aussi celui des tarots. La première couleur est celle du soleil : ce jaune orangé qui sert aux
peintres à couvrir le fonds de leurs toiles. Les autres couleurs se calent
“à l'oeil”, par contraste d'opposition ou addition. La couleur est aussi
subjective que l'organe qui sert à la percevoir, et rien ne vaut pour en
juger les effets de la permanence rétinienne. Ces couleurs devront être disposées sur le polyèdre, en fonction des
contraintes et de l'inspiration qu'elles produisent à la rencontre de la
géométrie.
N.B. : la gravure (au burin) Melencolia est monochrome, mais
elle comporte un arc en ciel, une échelle à 7 barreaux qui dans la
tradition est liée à l'arc en ciel, un polyèdre à 8 faces dont 7 seulement
sont à l'air libre. Enfin le 7 est une clé pour la géométrie de l'oeuvre,
notamment avec l'angle de π/7.
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Le Bassin-fontaine
Cette fresque hexagonale reprend le nuancier des tarots. Elle était
prévue au fond d'un bassin de même forme où quelque centimètres
d'eau servent de miroir au polyèdre. Elle peut faire l'objet d'un panneau
tournant qui se stabilise en six positions.
NB : le cercle circonscrit à l'hexagone du polyèdre mesure le diamètre
du grand divisé par la clé du cercle, id est D/π.
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PROPOSITION I – L'AQUARIUM
Si la machine le permet, toutes les faces du polyèdre (en plexiglas)
seront découpées en biseau. L'assemblage peut alors s'effectuer de la
façon simple, décrite ci-dessus.
La décomposition en RVB
Rappelons le point Ω, point de tangence de la sphère inscrite au solide.
Deux faces opposées ont leur point Ω en parfait vis à vis. Ce que nous
pouvons traduire par trois rayons lumineux de couleur complémentaire
Rouge - Vert - Bleu.
Les trois spots représentant les trois axes
possibles du polyèdre se croisent au centre
pour reconstituer les 7 couleurs du nuancier
RVB. Son principe est additif.
Ce nuancier est symétrique à celui
des anciens, qui pratique le principe de
soustraction. La fresque au fond de l'eau
peut reprendre cet autre nuancier, avec sa
frise inspirée des tarots.
Mais l'on peut choisir une couleur unie
et sombre pour accentuer l'effet de miroir à
propos des lumières.
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PROPOSITION II - Ω et les SPHÈRES
Une toute autre conception se dévoile ici : elle met en évidence la
structure du polyèdre. La grande sphère est représentée par un plateau
en plexiglas, lui-même traversé à angle droit par son alter ego (sphère
interne). NB : La grande sphère n'est pas représentée une seconde fois de face,
en verticale, comme pourrait le laisser supposer le trait d'esquisse. Deux des grandes faces, ici parfaitement de profile, sont enfilées sur un
tube en inox, et touchent le disque central à leur points Ω respectifs. Ce
tube peut être interrompu tant il est possible de le rendre solidaire du
disque en faisant les encoches appropriées dans les deux éléments qui
se rencontrent et même d'y ajouter de la colle. Le tube est fixé à un boîtier métallique étanche qui fait pendant au
support triangulaire du polyèdre. Une pièce de même type coiffe le
solide.
On voit ici l'eau du bassin de profil et la section de ses bords en bois
(contre-plaqué). Enfin, il suffit de quelques traits de câble pour compléter l'esquisse des
faces absentes. Le travail de la lumière additive peut alors commencer.
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PROPOSITION III – L'OBLIQUITÉ
Cette autre proposition met en
évidence l'obliquité de la Terre. Elle
présente l'avantage de mieux tenir
mécaniquement. Le point Ω est
toujours souligné.
Le discours géométrique se prolonge
d'un second grand cercle, pendu eu
point le plus haut du premier (sphère
externe). Il suit l ' inclinaison de
l'obliquité et pose son centre sur le
tube qui la représente.
Moyennant quoi, un croissant de
Lune se forme entre les deux grands
cercles, et il plonge dans le bassin.
À ce propos, une couleur bleu nuit
semble le meilleur choix : il permet
de mettre en évidence par les reflets
le discours de la lumière cernant les
formes géométriques du polyèdre.
Curieusement, ce second cercle
semble croiser celui de la sphère
interne sur la ligne qui unit les deux
pointes des faces matérialisées du
polyèdre.
Ce croissant de lune parle-t-il de la lune ?
L'angle présenté ici, à partir de la ligne qui joint les
pointes des faces du polyèdre, rappel le
curieusement l'inclinaison de la lune, que l'on peut
envisager en le comparant à plusieurs plans. Il
varie au cours de son cycle de 173 jours (entre 5°
et 5,28° sur le plan de l'écliptique). Cet aspect
devient très technique, mais il n'aurait fait peur ni à
Dürer, ni à Kepler.
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