Le Parti pris des choses...

Les patrouilles de la végéta-tion s’arrêtent jadis sur la stupéfaction des rocs.

Comme si l’on avait à sa disposition sous la main les Alpes, le Taurus ou la Cordillère des Andes.

Tout au monde, pris dans un embarras inex-tricable et bouclé là-dessous,

Bien plus, les poils ont poussé; avec le temps tout s’est encore assombri.

O préoccupations à poils de plus en plus longs! Les profonds tapis, en prière lorsqu’on s’assoit dessus, se relèvent aujourd’hui avec des aspirations confuses.

Or, scalper tout simplement du vieux roc austère et solide

s’affole

trépigne

étouffe.

s’affole

ces paillassons humides à saturation devient possible.

ces terrains de tissu-éponge,

Ainsi ont lieu non seulement des étouffements

mais des noyades.

D’une apparence plus rugueuse, d’une couleur moins unie, brilla-ment blanchâtre.

Chacune de ces formes a une allure particulière;

A l’intérieur l’on trouve tout un monde, à boire et à manger.

il y répond un bruit particulier.

Faut-il prendre parti entre ces deux manières de mal supporter l’oppression ?

Aussitôt, sinon la rouille, du moins d’autres réactions

chimiques se produisent, qui dégagent des odeurs

pestilentielles.