Le libre accès aux publications scientifiques
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Transcript of Le libre accès aux publications scientifiques
Présentation PowerPointLe libre accès aux publications
scientifiques : un « rêve » qui devient réalité
Séminaire Géosciences Montpellier
10-01-2014
Introduction - Contexte de l'édition scientifique traditionnelle - L'opportunité technologique - Naissance du mouvement du L.A. I. La voie verte : les archives ouvertes II. La voie dorée : les revues en libre accès III. Des modèles alternatifs : platinium et épi-journaux Conclusion - Enjeux associés au L.A. - Importance d'une mobilisation massive
2/21
D'une part un contexte problématique : l'édition scientifique traditionnelle
Édition scientifique ''confisquée'' par qq éditeurs (Elsevier -1600 revues dans JCI, Springer - 1469, Wiley Blackwell -1156, Taylor & Francis -748. Le + gros éditeur français en STM, EDP Science, a 99 titres !) => « Oligopole à franges »
Particularité de l'éd. scientifique : les revues sont spécialisées et non interchangeables => clients captifs
Coûts en augmentation constante => Budgets bibliothèques stagnent ou diminuent => Réduction des abonnements => Appauvrissement offre documentaire
3/21
D'autre part une opportunité : le développement de l'informatique et d'internet
Émergence d'internet à partir des années 90's
Réduction des coûts par rapport à l'édition papier traditionnelle
Nouvelle modalité de diffusion de la production scientifique
Diffusion à l'échelle mondiale
Capacité de diffusion plus adaptée à la forte croissance du nombre d'articles scientifiques
4/21
L'idée : rendre les publications scientifiques issues de recherches financées sur fonds publics accessibles à tous, librement et gratuitement
Les moyens : deux voies principales dites voie verte et voie dorée
Voie verte = archives ouvertes
Voie dorée = revues en libre accès
Pari ''gagnant'' : on est passé en 20 ans d'une idée marginale à un phénomène central dans le monde de l'édition scientifique
* J.C. Guédon, chercheur de l'Université de Montréal, signataire BOAI 5/21
Quelques repères chronologiques
1994 : ''Subversive proposal'', Stevan Harnad
=> Appelle les auteurs à des publications ésotériques (pour leur impact sur la recherche et non les revenus générés) déposées gratuitement en accès libre pour tous
2002 : BOAI, moment fondateur du mouvement du L.A., définition et moyens
2000-2010's : Multiplication déclarations en faveur du L.A. : USA, UE (Horizon 2020, RU, All), Pays Amérique du Sud, universités et établissements de recherche, individus, etc... 6/21
Définition du libre accès
« Par "accès libre" à [la] littérature [scientifique], nous entendons sa mise à disposition gratuite sur l'Internet public, permettant à tout un chacun de lire, télécharger, copier, transmettre, imprimer, chercher ou faire un lien vers le texte intégral de ces articles, les disséquer pour les indexer, s'en servir de données pour un logiciel, ou s'en servir à toute autre fin légale, sans barrière financière, légale ou technique autre que celles indissociables de l'accès et l'utilisation d'Internet. La seule contrainte sur la reproduction et la distribution, et le seul rôle du copyright dans ce domaine devrait être de garantir aux auteurs un contrôle sur l'intégrité de leurs travaux et le droit à être correctement reconnus et cités. »
Définition issue de la "Budapest Open Access Initiative" (BOAI, 2002).
7/21
Principe d'auto archivage : dépôt par l'auteur ou un tiers autorisé
Protocole d'échange OAI-PMH, interopérabilité des AO et excellent référencement dans les différents moteurs de recherche
Dépôt texte intégral très fortement recommandé Blocage éditeurs => période d'embargo =>
délai avant accessibilité du pdf sur l'AO Politiques éditeurs : Sherpa Roméo, Héloïse Visibilité et citation des publications OA accrue 8/21
Exemple : Statistiques consultation collection HAL-LMGC 1/2
233 411 consultations pour 1486 documents, soit 157 vues/doc
Exemple : Statistiques consultation collection HAL-LMGC 2/2
6012 téléchargements pour 483 articles, soit 12 tél/pdf
Un inconvénient : la relecture et la validation scientifique
Gros reproche fait aux AO : la relecture n'est pas systématique en fonction du type de document déposé => cela peut poser la question de la qualité scientifique de leur contenu.
Cependant : La majorité des articles déposés sont publiés par ailleurs et donc relus. Permettent la diffusion d'autres types de documents : thèses, rapport de recherche, cours, etc... Apparition de processus de relecture en aval (voir III)
9/21
L'archive ouverte principale en France : HAL
UPS fondée en 2001 devenue UMS suite à la signature d'une convention inter- établissements : CNRS, universités, grandes écoles, organismes de recherche => consensus national autour de HAL
HAL en chiffres : 267365 pdf 2012 : 39589 dépôts dont 12282 articles avec
relecture, 6777 com. avec actes, 6708 thèses, 1183 chapitres et 95 ouvrages 173 M consultations et 13 M téléchargements
10/21
II – La voie dorée : les revues en libre accès
« Une revue en libre accès se dit d’une revue, nouvelle ou existante, qui répond aux exigences de qualité des articles par la présence d’un comité de lecture mais qui a un mode de financement permettant une diffusion aussi large que possible sans restriction d’accès et d’utilisation »
Inist, http://openaccess.inist.fr/
Financement amont par une institution : soumission et publication gratuite pour l'auteur, accès libre et gratuit pour le lecteur
Modèle auteur-payeur : par opposition au traditionnel lecteur-payeur. Fonctionne via les APC (Author processing charges) => inconvénient majeur : quel est le coût de publication d'un article ? => prix très variables
Modèle hybride : abonnements traditionnels + choix de l'auteur de publier en OA contre paiement supplémentaire
12/21
Financement de la revue par publicité sur le site web.
Enchères sur articles, ensuite relus et publiés. L'achat d'articles citant le 1e permet de couvrir les frais d'impression.
Mécénat : une fois la somme réunie l'auteur rédige l'article, accessible gratuitement.
E-commerce : vente de produits dérivés pour financer l'édition de la revue.
Créer une revue grâce à une dotation et la faire fonctionner grâce aux intérêts générés.
Levée de fonds, ponctuelle ou permanente
Cotisation par les membres : modèle société savante, édition revue grâce aux cotisations des membres
Édition payante : une édition OA avec pdf + une édition payante paraissant + tôt et avec services à valeur ajoutée.
Frais de soumission : un certain montant pour la soumission + un montant additionnel si l'article est accepté.
=> La pertinence économique de ces modèles n'est pas prouvée pour tous mais ils ont le mérite d'exister et de montrer que des alternatives existent au modèle auteur-payeur.
http://oad.simmons.edu/oadwiki/OA_journal_business_models 13/21
9 804 journaux dont : No Article Processing Charge (6547 journaux)
With Article Processing Charge (2583) Conditional Article Processing Charge (523) No information Article Processing Charge (148)
1 573 847 articles 2/3 des revues en libre accès permettent à
l'auteur de soumettre et publier gratuitement !! Listes des éditeurs prédateurs tenue à jour par
Jeffrey Beall, à consulter avant de se lancer 14/21
Points positifs des revues en libre accès
Accroissement citations quand article OA Certaines RLA ont un impact factor et sont dans
le JCR malgré leur ''jeune'' âge Visibilité accrue pour l'auteur Diffusion gratuite => ouverture aux chercheurs
des pays émergents et aux lecteurs inattendus Prise d'ampleur mondiale de la publication OA
=> Rapport commission UE indique que 50 % publications 2011 sont accessibles en OA. Réalité stricte (sans embargo) + proche de 25 à 30 %
15/21
III – Des modèles alternatifs
Alternatifs aux voies verte et dorée mais pas à l'open access
Il existe une multitude de modèles économiques pour promouvoir le L.A.
Leur viabilité et durabilité économique n'est pas toujours prouvée
Certains fonctionnent : platinium et épi-journaux
16/21
Platinium road : l'exemple d'open editions
OpenEdition : « Nous privilégions un modèle hybride, le modèle Freemium, dans lequel le texte [html] est en libre accès, mais un ensemble de services à forte valeur ajoutée sont par ailleurs commercialisés. »
Services à valeur ajoutée : Pdf ou Epub, assistance et formation, import de données dans les SIGB, statistiques (consultation), info et doc sur le freemium, implication dans la gouvernance du site.
17/21
Processus éditorial assez traditionnel : les auteurs transmettent les identifiants des articles préalablement déposés dans une archive ouverte qu'ils souhaitent soumettre à l'épi- revue. S'ensuit un processus de soumission classique avec relecture, corrections et rejet ou acceptation
S'il est accepté l'article paraît alors sur le site de l'épi-revue avec un lien vers l'AO dans laquelle il est déposé
18/21
Deux enjeux majeurs liés au libre accès
Processus de relecture : - Traiter le cas des AO et leur donner + de crédibilité - Relire pour une RLA plutôt qu'une revue payante
Évaluation de la recherche : aller vers une démarche plus qualitative qu'actuellement. Ne pas se focaliser sur le facteur d'impact
19/21
Chercheurs : publier dans et relire pour RLA. Déposer systématiquement les publications dans une AO
Institutions : encourager le L.A., mandats pour AO, soutien aux RLA
Gouvernement : donner des directives nationales et internationales cohérentes
Tous : rendre accessible, gratuitement et librement les résultats de la recherche publique
20/21
D'autre part une opportunité : le développement de l'informatique et d'internet
Une conséquence majeure :naissance du « rêve* » de l'open access
Quelques repères chronologiques
Exemple : Statistiques consultation collection HAL-LMGC 1/2
Exemple : Statistiques consultation collection HAL-LMGC 2/2
Un inconvénient : la relecture et la validation scientifique
L'archive ouverte principale en France : HAL
II – La voie dorée : les revues en libre accès
Une multitude de modèles économiques
Beaucoup d'autres possibilités
Points positifs des revues en libre accès
III – Des modèles alternatifs
Épi-journaux : l'exemple d'Episciences-Maths
Diapositive numéro 23
Séminaire Géosciences Montpellier
10-01-2014
Introduction - Contexte de l'édition scientifique traditionnelle - L'opportunité technologique - Naissance du mouvement du L.A. I. La voie verte : les archives ouvertes II. La voie dorée : les revues en libre accès III. Des modèles alternatifs : platinium et épi-journaux Conclusion - Enjeux associés au L.A. - Importance d'une mobilisation massive
2/21
D'une part un contexte problématique : l'édition scientifique traditionnelle
Édition scientifique ''confisquée'' par qq éditeurs (Elsevier -1600 revues dans JCI, Springer - 1469, Wiley Blackwell -1156, Taylor & Francis -748. Le + gros éditeur français en STM, EDP Science, a 99 titres !) => « Oligopole à franges »
Particularité de l'éd. scientifique : les revues sont spécialisées et non interchangeables => clients captifs
Coûts en augmentation constante => Budgets bibliothèques stagnent ou diminuent => Réduction des abonnements => Appauvrissement offre documentaire
3/21
D'autre part une opportunité : le développement de l'informatique et d'internet
Émergence d'internet à partir des années 90's
Réduction des coûts par rapport à l'édition papier traditionnelle
Nouvelle modalité de diffusion de la production scientifique
Diffusion à l'échelle mondiale
Capacité de diffusion plus adaptée à la forte croissance du nombre d'articles scientifiques
4/21
L'idée : rendre les publications scientifiques issues de recherches financées sur fonds publics accessibles à tous, librement et gratuitement
Les moyens : deux voies principales dites voie verte et voie dorée
Voie verte = archives ouvertes
Voie dorée = revues en libre accès
Pari ''gagnant'' : on est passé en 20 ans d'une idée marginale à un phénomène central dans le monde de l'édition scientifique
* J.C. Guédon, chercheur de l'Université de Montréal, signataire BOAI 5/21
Quelques repères chronologiques
1994 : ''Subversive proposal'', Stevan Harnad
=> Appelle les auteurs à des publications ésotériques (pour leur impact sur la recherche et non les revenus générés) déposées gratuitement en accès libre pour tous
2002 : BOAI, moment fondateur du mouvement du L.A., définition et moyens
2000-2010's : Multiplication déclarations en faveur du L.A. : USA, UE (Horizon 2020, RU, All), Pays Amérique du Sud, universités et établissements de recherche, individus, etc... 6/21
Définition du libre accès
« Par "accès libre" à [la] littérature [scientifique], nous entendons sa mise à disposition gratuite sur l'Internet public, permettant à tout un chacun de lire, télécharger, copier, transmettre, imprimer, chercher ou faire un lien vers le texte intégral de ces articles, les disséquer pour les indexer, s'en servir de données pour un logiciel, ou s'en servir à toute autre fin légale, sans barrière financière, légale ou technique autre que celles indissociables de l'accès et l'utilisation d'Internet. La seule contrainte sur la reproduction et la distribution, et le seul rôle du copyright dans ce domaine devrait être de garantir aux auteurs un contrôle sur l'intégrité de leurs travaux et le droit à être correctement reconnus et cités. »
Définition issue de la "Budapest Open Access Initiative" (BOAI, 2002).
7/21
Principe d'auto archivage : dépôt par l'auteur ou un tiers autorisé
Protocole d'échange OAI-PMH, interopérabilité des AO et excellent référencement dans les différents moteurs de recherche
Dépôt texte intégral très fortement recommandé Blocage éditeurs => période d'embargo =>
délai avant accessibilité du pdf sur l'AO Politiques éditeurs : Sherpa Roméo, Héloïse Visibilité et citation des publications OA accrue 8/21
Exemple : Statistiques consultation collection HAL-LMGC 1/2
233 411 consultations pour 1486 documents, soit 157 vues/doc
Exemple : Statistiques consultation collection HAL-LMGC 2/2
6012 téléchargements pour 483 articles, soit 12 tél/pdf
Un inconvénient : la relecture et la validation scientifique
Gros reproche fait aux AO : la relecture n'est pas systématique en fonction du type de document déposé => cela peut poser la question de la qualité scientifique de leur contenu.
Cependant : La majorité des articles déposés sont publiés par ailleurs et donc relus. Permettent la diffusion d'autres types de documents : thèses, rapport de recherche, cours, etc... Apparition de processus de relecture en aval (voir III)
9/21
L'archive ouverte principale en France : HAL
UPS fondée en 2001 devenue UMS suite à la signature d'une convention inter- établissements : CNRS, universités, grandes écoles, organismes de recherche => consensus national autour de HAL
HAL en chiffres : 267365 pdf 2012 : 39589 dépôts dont 12282 articles avec
relecture, 6777 com. avec actes, 6708 thèses, 1183 chapitres et 95 ouvrages 173 M consultations et 13 M téléchargements
10/21
II – La voie dorée : les revues en libre accès
« Une revue en libre accès se dit d’une revue, nouvelle ou existante, qui répond aux exigences de qualité des articles par la présence d’un comité de lecture mais qui a un mode de financement permettant une diffusion aussi large que possible sans restriction d’accès et d’utilisation »
Inist, http://openaccess.inist.fr/
Financement amont par une institution : soumission et publication gratuite pour l'auteur, accès libre et gratuit pour le lecteur
Modèle auteur-payeur : par opposition au traditionnel lecteur-payeur. Fonctionne via les APC (Author processing charges) => inconvénient majeur : quel est le coût de publication d'un article ? => prix très variables
Modèle hybride : abonnements traditionnels + choix de l'auteur de publier en OA contre paiement supplémentaire
12/21
Financement de la revue par publicité sur le site web.
Enchères sur articles, ensuite relus et publiés. L'achat d'articles citant le 1e permet de couvrir les frais d'impression.
Mécénat : une fois la somme réunie l'auteur rédige l'article, accessible gratuitement.
E-commerce : vente de produits dérivés pour financer l'édition de la revue.
Créer une revue grâce à une dotation et la faire fonctionner grâce aux intérêts générés.
Levée de fonds, ponctuelle ou permanente
Cotisation par les membres : modèle société savante, édition revue grâce aux cotisations des membres
Édition payante : une édition OA avec pdf + une édition payante paraissant + tôt et avec services à valeur ajoutée.
Frais de soumission : un certain montant pour la soumission + un montant additionnel si l'article est accepté.
=> La pertinence économique de ces modèles n'est pas prouvée pour tous mais ils ont le mérite d'exister et de montrer que des alternatives existent au modèle auteur-payeur.
http://oad.simmons.edu/oadwiki/OA_journal_business_models 13/21
9 804 journaux dont : No Article Processing Charge (6547 journaux)
With Article Processing Charge (2583) Conditional Article Processing Charge (523) No information Article Processing Charge (148)
1 573 847 articles 2/3 des revues en libre accès permettent à
l'auteur de soumettre et publier gratuitement !! Listes des éditeurs prédateurs tenue à jour par
Jeffrey Beall, à consulter avant de se lancer 14/21
Points positifs des revues en libre accès
Accroissement citations quand article OA Certaines RLA ont un impact factor et sont dans
le JCR malgré leur ''jeune'' âge Visibilité accrue pour l'auteur Diffusion gratuite => ouverture aux chercheurs
des pays émergents et aux lecteurs inattendus Prise d'ampleur mondiale de la publication OA
=> Rapport commission UE indique que 50 % publications 2011 sont accessibles en OA. Réalité stricte (sans embargo) + proche de 25 à 30 %
15/21
III – Des modèles alternatifs
Alternatifs aux voies verte et dorée mais pas à l'open access
Il existe une multitude de modèles économiques pour promouvoir le L.A.
Leur viabilité et durabilité économique n'est pas toujours prouvée
Certains fonctionnent : platinium et épi-journaux
16/21
Platinium road : l'exemple d'open editions
OpenEdition : « Nous privilégions un modèle hybride, le modèle Freemium, dans lequel le texte [html] est en libre accès, mais un ensemble de services à forte valeur ajoutée sont par ailleurs commercialisés. »
Services à valeur ajoutée : Pdf ou Epub, assistance et formation, import de données dans les SIGB, statistiques (consultation), info et doc sur le freemium, implication dans la gouvernance du site.
17/21
Processus éditorial assez traditionnel : les auteurs transmettent les identifiants des articles préalablement déposés dans une archive ouverte qu'ils souhaitent soumettre à l'épi- revue. S'ensuit un processus de soumission classique avec relecture, corrections et rejet ou acceptation
S'il est accepté l'article paraît alors sur le site de l'épi-revue avec un lien vers l'AO dans laquelle il est déposé
18/21
Deux enjeux majeurs liés au libre accès
Processus de relecture : - Traiter le cas des AO et leur donner + de crédibilité - Relire pour une RLA plutôt qu'une revue payante
Évaluation de la recherche : aller vers une démarche plus qualitative qu'actuellement. Ne pas se focaliser sur le facteur d'impact
19/21
Chercheurs : publier dans et relire pour RLA. Déposer systématiquement les publications dans une AO
Institutions : encourager le L.A., mandats pour AO, soutien aux RLA
Gouvernement : donner des directives nationales et internationales cohérentes
Tous : rendre accessible, gratuitement et librement les résultats de la recherche publique
20/21
D'autre part une opportunité : le développement de l'informatique et d'internet
Une conséquence majeure :naissance du « rêve* » de l'open access
Quelques repères chronologiques
Exemple : Statistiques consultation collection HAL-LMGC 1/2
Exemple : Statistiques consultation collection HAL-LMGC 2/2
Un inconvénient : la relecture et la validation scientifique
L'archive ouverte principale en France : HAL
II – La voie dorée : les revues en libre accès
Une multitude de modèles économiques
Beaucoup d'autres possibilités
Points positifs des revues en libre accès
III – Des modèles alternatifs
Épi-journaux : l'exemple d'Episciences-Maths
Diapositive numéro 23