AVRIL 2005

Chères ignymontaines, chers igny­montains, La qualité d'une ville se juge en grande partie sur les compétences et les capacités de son personnel communal à remplir sa mission de service public. A Montigny la diversité ainsi que l'amplitude des prestations que nous vous proposons nécessitent de pouvoir compter sur des agents communaux qualifiés, compétents et motivés. l.a mairie'' est le troisième em­ployeur de la commune et son ac­tivité ne se résume pas à l'Hôtel de Ville. En effet il ne faut pas oublier : - les équipements extérieurs dont nous avons la charge, des écoles aux centres sportifs, du conserva­toire de musique aux crèches,de la boutique alimentaire à l'espace Gauguin, des maisons de quartier à la maison de la réussite, du centre

!

~- aquatique à la salle Jacques Brel, ·

- les prestations qui sont les nôtres comme l'entretien de tous les bâti­ments,de nos voiries et de nos es­paces verts, la sécurité à travers la police municipale, la communica­tion, les animations, raide aux de­voirs et bien d'autres choses enco­re que vous découvrirez avec inté­rêt dans ce journal.

Michel LAUGIER, Votre maire,

t Neige 375 TONNES DE SEL RÉPANDUES

pages6et 10

t Printemps DEUX RENDEZ­VOUS À LA FERME DU MANET

page3

t JO 2012 LA COMMISSION DU CIO PASSE PAR MONTIGNY

page 15

.- .

Le journal de Montigny-le-Bretonneux

1000a ents,

a votre serv1ce Ils ne sont pas toujours où on les attend. Les 1 000 agents de l'administration com­

munale constituent une mosaïque de métiers au service du public et en relation di­recte avec le citoyen. L'ignymontain a posé son regard sur ceux dont les missions et les compétences revisitent les clichés.

SQYOuest mis sur .orbite

Le phare est complètement allumé depuis le 16 "'ars au ·centre ville, où le complexe de shopping et de loisir SQY Ouèst a livré en 4 niveaux ses 400.000 m2 de boutiques. C'est l'heure de la découverte pour les consommateurs, l'heure de la séduction pour les enseignes.

page9

Notre dossier en pages 4 et 5

L'ignymontain, le journal de Montigny-le-Bretonneux - Hôtel de Ville - 66, rue de la mare-aux-carats 78180 Montigny-le-Bretonneux- tél: 01 39 30 31 32- fax: 01 39 30 31 33 - mel : joumal~montigny78.fr retrouvez chaque mois l'lgnymontain en ligne sur le site internet de la ville http ://www.montigny78.fr

+

SOMMAIRE page 3ACTU :

Le Marché des Fêtes de Printemps les 9 et 10

et La Prairiale les 16 et 17 à la Ferme du Ma­net.

pages 4 et 5 DOSSIER : 1000 agents, 150 métiers, 120 lieux : l'admi­nistration communale

page 6 ACTU: Neige: un dispositif à plein régime- Journée de la Femme à la MQ Jouvet- Vigilance avec vos appareils ménagers.

page 7 ACTU: La transmission du nom évolue - L'école des Prés proposera une loi- Concours Maisons et Balcons fleuris- Le Saint-Patrick's Day reçoit Wicklow.

page 8 ACTU: L'atelier d'écriture de la MQ Malraux - Les tribunes des groupes du Conseil municipal.

page 9 ECONOMIE: SQY Ouest sur orbite- Riet.fr, le tout-service - Yvelinédition au Salon du Livre.

pages 10 et 11 QUARTIERS : L'hiver blanc dans les quartiers - Quartier Propre au Plan de l'Eglise- Chasse aux Oeufs au Plan de Troux- Printemps à la Sourderie­Nord - Ar Bernie aux Prés.

pages 1l et 13 CULTURE : Bourse aux collections le 3 à la Ferme - Jeu­ne public : "Kaléïdoscopico" le 19- Retour sur l'actualité de mars.

pages 14 et 15 : SPORT Taekwondo le 10 à Coubertin -JO l01l : le CIO passe par Montigny - Le bronze aux "France" pour le SMAC- Zoom sur le site de la Couldre- Patinage: une perf pour Julie.

page 16 JEUX- ANNONCES

Vaillant: le pigeon voyageur (1h15) Film américain d'animation de Gary Chapman et Rob Letterman avec les voix d'Eric et Ramzy Angleterre, 1944. La mythique "Escadrille Royale des Pigeons de Combat" est décimée par d'impi­toyables faucons allemands et il ne reste plus qu'une bande de "bleus" encore à l'entraînement !

MER 30/03 (18h et 20h30), JEU 31/03 (20h30) VEN 1er/04 (20h30), SAM 02/04 (20h30)

DIM 03/04 (15h et 17h)

Ray V.O. (1h15) Coup de projecteur Film américain de Taylor Hackford avec Jamie Foxx, Kerry Washington, Regina King Ray Charles : ci nq décennies de succès. Mais der­rière cette image légendaire se profile l'histoire émouvante, méconnue, d'une vie, l'itinéraire d'un homme qui réussit à surmonter ses handicaps et ses drames personnels.

SAM 02/04 (17h), DIM 03/04 (20h30) MAR 05/04 (20h3o)

L'Antidote (1h47) Comédie française de Vincent de Brus avec Chris­tian Clavier, Jacques Villeret .. . Jacques-Alain Marty est le patron d'un grand groupe multipôle français. Tout lui réussit, mais depuis quelques semaines, il est sujet à des crises d'angoisse dont il doit trouver l'antidote. MER o6/04 (15h et 20h30) JEU 07/04 (20h30)

VEN 08/04 (20h30), SAM 09/04 (18h et 20h30) DIM 10/04 (15h et 18h)

Le Promeneur du Champ de Mars (1h57) Film français de Robert Guédiguian avec Michel Bouquet, Jal il Lespert ... Ce film raconte l'histoire d'une fin de règne et d'une fin de vie : celle de François Mitterrand. Alors que le Président livre les derniers combats face à la maladie, un jeune journaliste passionné tente de lui arracher des leçons universelles sur la politique et l'histoire ...

DIM 10/04 (20h30)

Tout pour plaire (1h45) Comédie française de Cécile Telerman avec Anne Parillaud, Judith Godrèche, Mathilde Seigner Juliette, Florence Marie sont amies d'enfance. Marie est mariée depuis 8 ans à Pierre, un artiste peintre dont le défaut majeur est de ne pas rame­ner un rond à la maison. Mais un jour, Marie com­mence à se lasser de tout assumer.

MER 13/04 (20h30), VEN 15/04 (2oh3o) SAM 16/04 (18h), DIM 17/04 (2oh~o)

H itch expert en séduction ( 1 h 58) Comédie romantique de Andy Tennant avec Will Smith, Eva Mendes, Kevin James Alex Hitchens, marieur professionnel, réussit avec succès à unir des hommes ordinaires avec des

femmes extraordinaires. Malgré cela Hitch ne croit pas en l'amour.

MER 13/04 (17h), JEU 14/04 (20h30) SAM 16/04 (20h30), DIM 17/04 (17h)

Le Chateau Ambulant (1h59) Dessin animé japonais de Hayao Miyazaki. La jeune Sophie travaille sans relâche dans la bou­tique de chapelier de son défunt père. Lors d'une sortie en ville, elle fait la connaissance de Hauru le Magicien. Mais une sorcière jette un sort sur Sophie et la transforme en femme de 90 ans.

MER 20/04 (18h), JEU 21/04 (20h30)

Million Dollar Baby (2oh12.) Drame américain de Clint Eastwood avec Clint Eastwood, Morgan Freeman, Hilary Swank Rejeté depuis longtemps par sa fille, l'entraîneur Frankie Dunn s'est replié sur lui-même. Le jour où Maggie Fitzgerald pousse la porte de son gymna­se, elle n'amène pas seulement avec elle sa jeu­nesse et sa force, mais aussi une histoire jalonnée d'épreuves.

MER 20/04 (20h30), VEN 2.2/04 (20h30) SAM 23/04 (2oh30), DIM 2.4/04 (20h3o)

Le Cercle: The Ring 2 (1h50) Film d'épouvante américain de Hideo Nakata, Laurie MacDonald, Walter F. Parkes avec Naomi Watts, Simon Baker, David Dorfman Rachel Keller et son fils Aidan se sont installés à Astoria, une petite ville de montagne. Enquêtant sur la mort mystérieuse d'un adolescent, la jour­naliste fait rapidement le lien avec la fameuse cassette vidéo meurtrière.

MER 27/04 (20h30), VEN 29/04 (20h30) SAM 30/04 (20h30), DIM 01/05 (17h30)

Bob l'éponge, le film (1h2.2.) Dessin animé américain de Stephen Hillenburg A Bikini Bottom, quelqu'un a volé la couronne du roi Neptune, et le patron de Bob l'éponge, M . Krabs, figure en tête des suspects. Convaincus de son innocence, Bob et Patrick partent pour Shell City avec l'intention de le disculper et de restituer sa couronne à Neptune.

MER 27/04 (1oh), SAM 30/04 (18h) DIM 01/05 (15h)

De battre mon coeur s'est arr!té (1h47) Drame français de Jacques Audiard avec Romain Duris, Aure Atika, Emmanuelle Devos. Tom semble marcher sur les traces de son père dans l'immobilier véreux. Mais une rencontre le pousse à croire qu'il pourrait être le pianiste concertiste qu'il rêvait de devenir.

JEU 2.8/04 (20h30), DIM 01/05 (20h30)

Plein tarif: 5,20€- Tarif réduit : 3,40€ Carnet de 10 places : 34€ lki1i. : 01 30 44 10 11 (répondeur) ou au 01 39 30 31 70 (Direction de la Culture).

L'lgnymontain, le journal de Montigny-le-Bretonneux

Directeur de la publication : Michel LAUGIER, maire Rédaction : 66, rue de la Mare aux Carats- 78180 Montigny-le-Bretonneux

Tél. : 01 39 30 31 30 Fax : 01 39 30 31 33 courrtel : joumal(3lmontignY78.fr

Directeur de la rédaction : Yann Pasco Rédaction : Y. Pasco, Sandra Duranteau, Elvire Daubervil/e Photos : Catherine Maraone, Yann Pa sco Conception, mise en page : Y. Pasco Imprimerie: SEMIF HEBDOS : bd des Champs Elysées- 91002 Evry Cédex Distribution PTI .. ;~~~!~~~;o,:~ Abonnement : 8,4€ pour 11 numéros- contactez le Journal ISSN : 1241-6053 papier cecycl~ .

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Samedi 2 Braderie de vêtements printemps été de 10h à 17h - Tennis couverts P. de Coubertin

Match de hand bali féminines N2 : ASMB hand bali 1 Châteauneuf 2oh - Centre sportif Pierre de Coubertin

du samedi 2 au dimanche 10 Exposition association Papiers de Soi : " L'émotion des mots " semaine 14h-18h et week-end 10h-19h Maison Félix

Dimanche 3 Bourse aux collections de 10h à 18h - Ferme du Manet

Lundi4 Cycle Connaissance du monde : " Mexique, terre de magie " 14-h et 20h30 - Salle Jacques Brel

Mardis Conférence d'histoire de l'art :" Images de l'amour dans l'histoire de l'art" 2oh - Conservatoire des Arts

Vendredi 8 Soirée Amérique Latine à partir de 19h30 - Club le Village

Samedi 9 et dimanche 10 2' Marché des fêtes de Printemps samedi 1oh-2oh et dimanche 10h-19h Ferme du Manet

Open des Yvelines de Taekwondo Centre sportif Pierre de Coubertin

mardi 12.

Les Incontournables : Concert Rythmé 20h30 - Salle Jacques Brel

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ErA r NAISSANCES

27 septembre 2004 HALBECQ Adonis 5janvier 2005 BALL Neeiam 4 février 2005 PATARD Lucie 9 février 2005 BORRAS Camille DIVIEN Luc 11 février 2005 LECOINTE Orianne 12. février 2005 FEREY Justine 13 février 2005 BRUN Raphaël 16 février 2005 HOMERIN Maël 17 février 2005 POUVREAU Nathan GESNOT Claire

19 février 2005 EL AHMAD! Wassim 21 février 2005 GUILLAUTON Antoine BENJANA Malak GIFFARD Matthieu 2.2 février 2005 TALON Olivia 23 février 2005 PEGUILLAN Emma ZOU Syldia MARICAian 24 février 2005 ARAUJO Hugo ARAUJO Alix LAMORTE Erine 25 février 2005 GEBHARDT--HILL Eizo 26 février 2005 CROISILLE Amandine

loor Samedi 16 Bourse de vêtements Printemps-été de 9h à 16h - Tennis couverts P. de Coubertin

Remise des Médailles d'honneur 11h - Hôtel de Ville

Remise des cartes aux jeunes électeurs de Montigny 14-h - Hôtel de Ville

Moments conviviaux du Pas du Lac de 14h à 19h - Pas du Lac

Théâtre :"L'invité" 21h - Ferme du Manet

Samedi 16 et dimanche 17 La Prairiale de 10h à 18h - Ferme du Manet

Mardi 19 Spectacle jeune public : "Kaleidoscopico" 2oh -Salle Jacques Brel

Samedi 7 ma i Tournoi régional de volley-bali Centre sportif Pierre de Coubertin

Dimanche 8 mai Commémoration du 8 mai 1945 Rendez-vous à 10h45 devant la salle J. Brel

Réservez au Vide-Greniers

Il reste quelques places d'exposants pour le Vi­de-Greniers de Montigny le 2.2. mai prochain. Pour réserver, rendez-vous au service Evene­mentiel à l'Hôtel de ville. Rens. : 01 39 30 31 84-

CtVtL 27 février 2005 GRANELL Arthur 2.8 février 2005 ROBINE Lucas ENGELBIENNE Nam 1« mars 2005 NZABA Carla 3 mars2005 LABALME Noémie LE MOU EL Tristan MOULIN Emma 6 mars 2005 SENECA Amélie ARRIAT--BERNARD Louise 7 mars2005 LACROIX Damien SPENLE Alicia 10 mars2005 GAUDEMER Aurélie

MARIAGES 19 février 2005 PAROLAJuliE:n.et •.• , . ,~," DEL V ARRE Aurélie ME RIAUX Jackie et BAUMGARTEN Murielle 26 février 2005 FETIAH Nabil et RICHARD Céline

DECES 10 février 2005 RUELLE Liliane Veuve AUZUREAU YVERNOGEAU Marie-Françoise épouse SIGNOL 26 février 2005 ROULAUD Ghislaine épouse GROSSEL!VRE

Si vous ne souhaitez pas que des informations d 'état-civil vous concernant apparaissent dans cette rubrique, contacter L 'ignymontain au : 01 39 30 31 31 ou mel: journal@montignY78.fr.

Sur le site de la ville, vous trouverez les dates de collecte des déchets ménagers, encom­brants, toxiques et verts pour l'année 2005 ainsi que le guide pratique du tri sélectif. Adresse de la page: www.montigny?B.fr/viequojviepra.htm#ENVIRONNEMENT

collecte sélective des déchets ménagers

QUARTIERS

ORDURES MËNAG~RES

EMBALLAGES JOURNAUX/MAGAZINES

QUARTIERS

ENCOMBRANTS 1 fois par mois

DËCHETS TOXIQUES

Pas du Lac Plan de Troux Le Village La Sourderie St Quentin Plan de l'Eglise Le Manet Les Prés

mardi lundi mardi lundi samedi vendredi samedi vendredi

jeudi mercredi jeudi mercredi

Pas du Lac Plan de Troux La Sourderie St Quentin Plan de I'EQjiise Le Village Le Manet

Les Prés Rue A. de igny

mercredi 6 Jeudi 14 mercredi 20 jeudi 21 jeudi 28 avril avril avril avril avril

Collectes: le 3' samedi de chaque mois de 9h à 13h place Etienne Marcel, quartier St Quen­tin, le 3' mardi de chaque mois de 15h à 16h rue des Mouettes, quartier Pas du Lac et de 16h15 à 19h place Jacques Cœur, quartier la Sourderie.

GRAVATS Une déchetterie aux Ateliers municipaux (8, avenue des Frênes dans la zone de I'Observa-DËCHETS VERTS toi re) les samedis de 14h à 19h et les dimanches de 16h à 19h, li!.u" mars au 30 novembre.

Justificatif de domicile demandé. RËOUVERTURE DËBUT MARS 1005

La permanence .gratuite de l'AGENCE LOCALE POUR LA MAtrRISE DE L'ENERGIE se tient le 3' mercredi de chaque mois de 16h à 18h30 à l'Hôtel de Ville

L 'ignymontain www.IIIOIItiglfYlB.fr rl\:}\ 1J ! (10 ~

La Prairiale pour faire EN BREF

Obtention des passeports et des cartes d'identité revivre vos jardins

Attention, les délais d'obtention des passeports et des cartes d'identité aug­mentent dès le printemps. Pour ne pas être pénalisé cet été, pensez à faire vos démarches un mois minimum avant votre départ au service de l'accueil poly­valent de la mairie, ou en mairie annexe. Rens. : 01 39 30 31 32.

La deuxième édition du week-end consacré aux arts du jardin se tiendra les 16 et 17 avril à la Ferme du Manet, de 10h à 18h. Ce ren­dez-vous se pérennise en réponse à l'en­gouement pour les "loisirs verts". La pre­mière édition de la Prairiale avait d'ailleurs accueil li plus de 2000 visiteurs l'an dernier. Du même nom que le mois Prairial annon­çant le début du printemps dans le calen­drier de Fabre d'Eglantine, la manifestation tombe à point nommé pour les amoureux des espaces verts qui devront bientôt res­sortir les gants de jardinage et se remettre à bêcher. Réunis en un seul lieu, ce sont plus d'une quarantaine d'exposants, entreprises, associations et gens de métier, qui présen­teront leurs savoirs-faire et leurs produits sur le thème des fleurs et du jardin. "Notre objectif est de réunir en un lieu unique toutes les personnes qui officient dans le domaine du jardinage afin de permettre à la population de trouver des conseils et des produits pour se faire plaisir en une seule vi­site", explique Jacques Oudiot, président du Lions Club. Nombreux sont les habitants de notre ville fleurie qui sont donc attendus pour venir célébrer l'arrivée des beaux jours synonyme de floraison des jardins.

Outillez-vous ! Profiter des beaux jours signifie également préparer et embellir son jardin pour s'y sen­tir bien. " L'année dernière j'ai acheté un bac à fleurs sous forme de tonneau recyclé à un exposant bordelais", soulignait Jean-Paul. "J'y ai découvert une astuce consistant à conserver l'humidité des légumes avec un paillage", ajoutait Martine. Spécialistes des plantes, pépiniéristes, cultivateurs de bon­saïs ou de cactus, nombre de professionnels et d'associations seront présents pour vous conseiller sur l'art de fleurir vos espaces verts en cette saison de plantation, le trai­tement des sols ou encore l'outillage. Vous trouverez aussi tous les éléments de déco­ration pour le jardin, chaises longues, tables de jardin, portails, bacs, ainsi que des ar­tistes travaillant sur le thème de la nature, aquarell istes ou créateur de bijoux. Cette balade au cœur de la nature vous fera éga­lement découvrir les plaisirs de la culture

En marche pour l'espoir le 9

Le 9 avril prochain, entre 1oh et 18h, le Lions Club vous propose de vous mettre en marche pour souten ir sept projets à but social et humanitaire. Il s'agit pour les marcheurs de parcou ri r quelques ki­lomètres au départ du Centre Jean Mo­net de Guyancourt, en passant par les al­lées de la Grande ile à Voisins, avant de remonter vers la Sourderie pour faire le tour du bassin des Arcades du Lac. Ces kilomètres, financés par des parrains à partir de 20€, permettront de franchir une étape de plus vers l'équipement mé­dicalisé d'un centre pour malades d'Alz­heimer, le projet annuel du Lions Club. Dès le 2 avril, vous connaîtrez égale­ment les projets proposés par les Conseils Municipaux Jeunes des trois communes partenaires, ainsi que les trois projets sélectionnés parmi ceux des marcheurs. Quelques propositions concernant le soutien d'un orphelinat en Indonésie, l'installation d'un dispensaire à Madagascar, ou encore la recherche sur la moelle épinière ont été particuliè­rement remarquées. Sponsors, votre ai­de est encore utile, du point de vue lo­gistique d'abord, pour des photocopies ou des mailings par exemple, mais éga­lement en tant que parrains, pour finan­cer des kilomètres. Rens. : Jacques Oudiot au 01 30 23 oB 86.

Bourses printemps­été ce mois-ci

Le Secours Catholique ouvrira le bal des bourses de vêtements printemps-été le samedi 2 avril de 10h à 17h au centre sportif Coubertin. L'association Monti­gny Inter-Familles organisera sa propre manifestation le samedi 16 avril au mê­me endroit de 9h à 16h (dépôt de 10 ar­ticles maximum pour ceux qui souhai­tent vendre jeudi 14 de 13h30 à 19h30 et le vendredi 15 de 1oh à 15h). Les entrées sont libres.

Depuis l'année aernlère, le parc ae la Ferme du Manet se mue en grand)araln un week·ena lt l'ar· rlvte du printemps sous l'Impulsion d'exposants dédiés lt la jardinerie.

Réservez les Séjours d'été de la vi lie

avec quelques spécialités rég ionales comme le miel ou les confitures. Conseils, idées de création, l'occasion vous sera donnée de vous faire pla isir. Vous pourrez tout faire et tout trouver en un seul lieu et au cours d'une balade détente. Comme à son habitu­de, le Lions Club, organisateur de la mani­festation, associe cet événement à une ac­tion à but social. Tous les bénéfices récoltés

par les entrées, 2€ pour les adultes (gratuit pour les enfants de moins de 12 ans), et par le stand des Leos, seront consacrés à l'équi­pement d'un centre pour les malades d'Alz­heimer. Il reste encore quelques places à saisir pour les exposants. Si vous souhaitez présenter votre spécialité et partager votre passion, contactez Jacques Oudiot au 01 30 23 oB 86.

La mer, la campagne, la montagne, l'An­gleterre, les séjours d'été proposés par la ville s'adressent aux plus jeunes et aux ados, sur des thèmes à dominante spor­tive comme le char, le quad, l'escalade, le canoë. Renseignez-vous au 01 39 30 30 70 (service Jeunesse) pour profiter des places encore disponibles.

entrée libre les 9 et 10 avril à la Ferme du Manet

Revoilà le Ma re hé des Fêtes de printemps

La Ferme du Manet vous donne rendez­vous pour la deuxième édition du Marché des Fêtes de Printemps, les 9 et 10 avril pro­chains. Plus d'une trentaine d'artisans expo­seront leurs produ its et créations dans le hall et la salle de La Grange, avec quelques nouveautés cette année, notamment dans le domaine alimentaire. " L'objectif est de proposer des articles que l'on ne trouve pas en magasin, ou à des prix déraisonnables, et de réunir différents savoir-faire dans un même lieu, car ce marché c'est aussi une manière de faire connaître les artisans ré­gionaux", explique Guy Sauzet, directeur de la Ferme du Manet. "Nous avons fait en sorte de renouveler les exposants, même si nous accueillerons plusieurs artisans ver­riers, un art qui semble très à la mode ac­tuellement", ajoute Sandrine Leroux, en charge de l'organisation de la manifesta­tion. Tout en profitant d'une balade prin­tanière, vous pourrez partir à la rencontre des artisans, trouver des produits originaux et des cadeaux pour les fêtes de printemps à venir.

Plaisir et convivialité Verrerie, bijoux, objets de décoration, vi­traux, artisanat africain, chapeaux, compo­sitions florales, porcelaine et bougeoirs dé­corés, carrés de soie, produits de beauté na­turels, objets en céramique, sont autant de petits plaisirs qui vous tendront les bras. Les amoureux de la décoration intérieure trouveront également leur bonheur parmi les différents savoir-faire proposés, comme les encadrements en chêne massif. L'occa­sion vous sera donnée de prendre contact

3

avec des gens de métier pour exposer vos projets d'aménagement intérieur, avec la présence d'artisans verriers pour vos vi­traux, d'une décoratrice d'intérieur pour tous vos tissus d'ameublement, et d'une spécialiste des fresques trompe-l'oeil entre autres. Côté produits du terroir, vous pour­rez déguster des vins de la Loire, ou goûter les spécialités de la gastronomie antillaise.

Pour profiter pleinement de cette balade, un stand de restauration rapide sera à votre disposition ainsi qu 'un emplacement pour déjeuner à l'extérieur. Ce marché qui se veut convivial par nature, plaira aux amou­reux de la balade, de l'artisanat et des nos­talgiques du marché de Noël avec le sole il en plus ! Rens. : 01 30 12 30 30.

Basé sur le principe du marché d'artisanat d'art dans le cadre du Marché de Noël, ce marché des Fêtes ae Printemps vous permet de trouver à la terme du Manet les cadeaux originaux et au­thentiques en prévision des échéances festives du printemps.

L 'ignymontain www.IIIOIIttgny7B.fr

Oe la Petite Enfance à raccompa­gnement des seniors, du soutien aux plus démunis au développe­ment des activités de loisir, une municipalité intervient dans presque tous les domaines de notre vie collective. Elle s,appuie sur le millier d,agents de radminis­tration communale, affectés à une quinzaine de directions. Face aux exigences du citoyen à régard du service public, elle est en première ligne. C'est l'une des vertus en mê­me temps que l'une des servitudes mqjeures des agents communaux que d'être au coeur de ce qui ton­de la mission de service public : la relation directe au citoyen. Com­ment fonctionne ce grand vais­seau, dans le peloton de tête des plus grands employeurs sur Monti· gny ? )usqu,où va parfois se nicher le service public, la plupart du temps à notre insu ?

; . 1000 agents, 150 met1e rs,

Ils ne sont pas toujours là où vous croyez, et à l'heure que vous pouvez croire. Agent communal, le terme est un peu

court pour désigner l'ensemble des missions et des profils constitué par l'administration municipale, forte d'un peu plus de mille professionnels (qui fait de la ville le 3• em­ployeur local derrière la COGEMA et SAI­PEM dans la zone d'activités du Pas-du-

Lac). Une équipe placée sous l'autorité du maire et de Monique Zerelli, Directeur gé­néral des services, qui évolue dans des sec­teurs très différents au sein d'une quinzaine de directions spécifiques. Car une ville a de multiples responsabilités à l'égard des ci­toyens, et le service public continue et s'exerce bien au-delà des simples horaires d'ouverture de l'Hôtel de ville. Les services administratifs prolongent en effet leurs ac­tions sur le terrain, à l'adresse des usagers, où l'essentiel des agents est déployé. Car sur ce millier d'agents, ils ne sont que 150 à travailler quotidiennement en mairie. A Montigny plus qu'ailleurs, comme le sou­ligne le maire Michel Laugier, les services municipaux ont nourri une culture d'adap­tation aux services rendus. Sans démago­gie, mais avec le devoir de répondre aux exigences du service public où il est requis. "Pendant les années 8o et 90, qui marquent deux décennies d'expansion galopante pour la ville, c'était un défi permanent pour le personnel communal de s'adapter aux nou­velles arrivées massives de population, et de répondre sans délai à leurs besoins de service public", renchérit le maire Michel Laugier.

Une culture née des années pionnières

"Beaucoup de lieux et de prestations pu­blics se créaient, et l'administration devait pouvoir répondre présent, sans faille dans

le dispositif. Ce qui

'"'A Montigny~ les rôles sont clairement respectés : les élus municipaux mènent une politique pour la ville~ rattminis­tration ·1a met en oeuvre.»

valait quelques cas­se-tête en terme de recrutement, de gestion des car­rières. Pour l'admi­nistration, cette époque a modelé" une culture, une manière de servir et Michel Laugier, maire de Montigny

Nounou municipale, un , . , .

met1er et un agrement La Petite Enfance à Montigny est forcé­ment un secteur clé, au vu de l'expansion démographique galopante qui a caractéri­sé la commune pendant vingt ans. Même si le phénomène est moins sensible aujour­d'hui, la demande reste forte et la ville a continué d'accroître le nombre de ber­ceaux municipaux qu'elle met à disposition des lgnymontains, avec l'ouverture en 2004 de la crèche Le chat Botté. Assis­tantes maternelles en crèches familiales (à domicile), ou auxiliaires de puériculture dans les 6 crèches collectives, elles consti­tuent l'essentiel de l'effectif des 220 pro­fessionnelles qui travaillent sous la tutelle municipale au service des familles igny­montaines. Les assistantes maternelles re­çoivent deux ou trois enfants au maxi­mum, leur agrément accordé par le Conseil Général se justifie en premier lieu par la

formation initiale qu'elles ont a suivie, et par le travail en réseau qu'elles mènent avec leur directrice. Elles peuvent aussi s'appuyer sur une infrastructure, comme les jardins d'éveil.

Laurence Gagey emmène tes enfants qu'elle garae, aont Marin, au jardin d'éveil, lieu ae socialisation régulier pour tes enfants ac­cueillis en crèche familiale.

Un régisseur multi-cartes pour la salle J. Brel

Derrière un regard paisible et souriant, Pas­cal Moreau n'est peut-être pas prêt à brûler les planches seul en scène. Mais en régie, il est par contre le complément idéal des ar­tistes, où dans son registre technique, il est l'homme de l'ombre parfait pour servir au mieux le talent des gens de scène. Avec ses adjoints, il a su apprendre la polyvalence en une bonne vingtaine d'années au service de la salle Jacques Brel. Le lieu est un théâtre, qui accueille aussi les musiciens, les chan­teurs. Chaque semaine, c'est encore le ciné­ma apprécié des connaisseurs. Une petite in­dustrie du spectacle, 100% municipale.

::.:1 Pascal Moreau est le régisseur en chef ae ta salle Jacques Brel. Le son, la lumière, tes images ... , il s'adapte à toutes les exigences d'une éclectique.

de vivre en équipe qui constitue une force aujourd'hui. Par exemple, plus de 8o% de nos agents habitent sur l'agglomération." Les enjeux ne sont plus les mêmes aujour­d'hui. La période d'expansion est passée, celle de la pérennité dans la saine gestion lui succède. Pour l'administration commu­nale, par-delà les priorités, la nécessité res­te de répondre aux besoins du service pu­blic. La population change, les priorités évoluent dans l'i ntérêt commun, l'adminis­tration s'adapte. Michel Laugier reste dépo-

sitaire de cette volonté. "A Montigny, les rôles sont clairement respectés : les élus municipaux mènent une politique pour la ville, l'administration la met en oeuvre."

Des profils profession­nels de tous horizons

Xavier Bonvarlet, 1•' adjoint au maire char­gé · notamment du personnel, mesure ces enjeux qui se traduisent par un fort besoin

Monique Zerelli, Directeur Général des Services

Monique Zerelli, airecœur gélféral aes services de ta ville. -oans une mosaïque ae métiers ae plus en plus exigeants, riquipe que je dirige rtpotia aliX elf}ellX au service public ae demain•.

En une vingtaine d'années au servi­ce de la ville, Mo­nique Zerelli a oc­cupé la direction de la presque tota­lité des services de la mairie sous les

mandatures de Nicolas About, avant d'avoir autorité aujourd'hui sur la respon­sabilité générale. En ce sens, elle personni­fie la règle d'or établie par le maire de Montigny de favoriser la promotion inter­ne pour cimenter une équipe municipale, au même titre que s'est forgée une com­munauté des lgnymontains en une trentai­ne d'années. "A l'image du titre que vous avez choisi pour ces deux pages, ou de tous les éclairages que vous donnez à lire, les ca­ractéristiques de cette grande équipe que forme l'administration communale sont

Frédéric Trespeuch est chargé de la prévention Sécurité-incendie. Son métier : connaitre dans te détail tes procédures réglementaires très techniques et très évolutives qui encadrent tes consignes ae sécurité, aans tous les liellX ac­cueillant au public mais aussi lors aes mani­festations organisées par la ville.

forcément diverses. Chaque jour dans mon rôle de directeur général, je cotoie une mo­saïque de profils et de personnalités, une mosaïque de professionnels qui évoluent dans des secteurs parfois très spécifiques, mais qui sont animés par ce ciment, cette profession de foi indéfectible qu'est le de­voir de service public." Monique Zerelli, qui encadre aujourd'hui une équipe d'un peu plus de 1000 agents communaux, est en quelque sorte un produit d'appellation contrôlée de cette administration made in Montigny. "Il faut balayer quelques idées reçues sur les employés communaux. Au­jourd'hui, les métiers bougent, la ville a des compétences importantes et ses missions sont de plus en plus larges, de plus en plus complexes, en matière de réglementation par exemple. L'expertise professionnelle requise est aussi à la hausse_ pour nos, 10.9-~ agents".

Le devoir d'astreinte

Les services techniques municipaux ont en charge la gestion et l'entretien du patri­moine communal. Un terme générique qui désigne les parcs, voiries, bâtiments desti­nés à l'usage public. C'est aux services tech­niques qu'on dénombre incontestablement la plus grande variété de métiers, notam­ment ceux du bâtiment. Ce sont les agents que vous croisez quotidiennement dans des véhicules habillés aux couleurs de la ville, qui gèrent tous les problèmes pra­tiques auxquels sont confrontés les occu­pants des écoles, des crèches, des maisons de quartier ... Leurs fonctions les amènent en outre à être disponibles chaque jour et à toute heure pour les urgences techniques selon un calendrier d'astreinte, pour règler un dégât des eaux ou un problème élec­trique dans un lieu public, pour surveiller les chutes de neiges ...

Un emploi pour 15 lgnymontains en mars par le biais de MDE

Le credo de Montigny Développement Em­ploi, c'est traquer l'emploi pour en faire profi­ter les lgnymontains. Depuis 20 ans, le servi­ce Emploi de la ville tisse son réseau parmi les services recruteurs des entreprises de Saint­Quentin, pour placer les lgnymontains en re­cherche d'emploi et inscrits sur ses fichiers. Les agents de MDE font l'interface entre deux univers demandeurs : ceux qui veulent l'oi­seau rare, et ceux qui veulent un travail, qui plus est près de chez eux. Au coeur de ces en­jeux, il faut du dynamisme, le sens du contact, et une belle ténacité. Une profession de foi pour le service public, et un label pour MDE.

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Favoriser te contact entre les demandeurs et les o(fres d'emploi, en s'appuyant sur un tort réseau au monae économique loaJI, c'est te travail ae fourmi aes professionnels ae MOE

L 'ignymontain www.IIIOIItignyl&.fl'

120 lieux du service public Les services communaux

Quelques chiffres les choix budgétaires pour favoriser la for­

mation des agents. Exemple, la Maison de la Réussite accueille aussi les agents par sessions très souples pour affermir les com­pétences en bureautique, pour initier à l'an­glais". Dans cette mosaïque de métiers qui couvre des champs professionnels aussi di­versifiés que l'urbanisme, la petite enfance, l'ingénierie financière, l'animation, la sécu­rité, les travaux publics ou tant d'autres, Eric Manoncourt, directeur des ressources humaines, retient pour sa part la diversité des parcours. "On remarque que nos agents intègrent le service public à des moments très différents de leurs trajectoire profes­sionnelle. Nous recrutons aussi bien des jeunes diplômés que des gens plus expéri­mentés venus du privé. C'est aussi cette ri­chesse des expériences, des parcours, des ambitions qui nous caractérise et donne du ressort à l'équipe."

Tous les chemins peuvent mener au public

_.. 10.000 adhérents d'associations

sportives accueillis sur les sites de la ville.

Les ATSEM (id à Paul Fort), une aille précieuse pour les enseignants aans les écoles maternelles.

Les agents municipaux ont parfois fait le choix de la fonction public territoriale à un tournant de leur vie professionnelle, quand d'autres en font un objectif de car­rière. Les premiers ont parfois découvert la fonction pu­blique sur le tard, quand d'autres l'in­tègrent au sortir de leur formation ou de leur cursus universitaire. Na­thalie Goud (ci­contre), qui dirige aujourd'hui le ser­vice de la Petite Enfance, a malgré sa trentaine pimpante déjà accumulé beaucoup d'expérience. Après des débuts dans un corps militaire, elle oriente sa carrière vers le milieu spor­tif, dans l'encadrement puis la gestion d'établissements privés. C'est la volonté de ne pas perdre le contact avec le public qui l'a poussée à intégrer la fonction pu­blique à Montigny en 2001 . D'abord pour prendre la direction de la maison de quar-

tier Malraux, puis travailler à la coord ina­tion des trois établissements, enfin accep­ter la direction d'un secteur Petite Enfan­ce qui emploie 220 agents dans les crèches collectives et familiales. "La fonc­tion publique offre de vraies perspectives d'évolution de carrière, notamment à Montigny, dans des secteurs riches hu­mainement. Elle offre aussi l'opportunité de se former tout au long de son parcours professionnel. C'est un sacré plus"." Aphivanh Vouthy (ci-dessous) a pour sa part fait l'essentiel de sa carrière dans l'in­formatique. Dans les années 90, un éniè­me plan de licienciement de l'entreprise française Bull a fi­ni par l'emporter. Le quinqua a inté­gré les services de la ville, occupant différents postes jusqu 'à occuper aujourd'hui celui de webmestre du site internet de la ville.

_.. 30.000 visites mensuelles sur le si­

te internet de la ville www.montignY78.fr.

_.. 65 km de voiries, et 145000 m'

de bâtiments publics gérés au quotidien par les services municipaux.

_.. 14 écoles élémentaires connectées à

l'internet à haut débit.

_.. 2.2.5000 visiteurs accueillis au

centre aquatique du Lac en 2004.

_.. 1400 élèves jeunes et adultes ac­

cueillis dans les conservatoires de pra­tique artistique par 55 professeurs.

_.. 2.500 repas servis tous les jours

dans les écoles maternelles et élémen­taires.

_.. 479 enfants accueillis dans les

crèches municipales par 225 agents.

L'animation, 3000 clients chaque jour _.. 3000 repas livrés à domicile à des

lgnymontains par le service d'action so­ciale.

Ils peuvent faire un tour de pendule sous la tutelle du service public, à l'école et au centre de loisirs. A Montigny, les écoliers peuvent dès la maternelle commencer leur j durnée dès 7h3o, et la finir à 19h. Une lati­tude horaire qui revêt un intérêt pour les parents très occupés professionnellement, mais qui ne va sûrement pas sans quelques sacrifices familiaux. Les centres de loisirs périscolaires ouvrent une heure avant l'école le matin, et restent ouverts 2h30 après la cloche de sortie. Les animateurs chargés de les encadrer sont donc

contraints à ces horaires élastiques. Contraints également à un grand sens des responsabilités aussi, face aux nombreux impondérables qui émaillent les journées, absences injustifiées, retards des parents .. . La ville emploie 240 agents à cette tâche sur l'ensemble des structures périscolaires et les maisons de quartier. Ils sont globale­ment 3000 usagers à utiliser leurs services au quotidien. Un secteur essentiellement axé sur le terrain et placé sous l'égide de la Direction Enfance, Jeunesse et Vie des Quartiers.

Week-ends sportifs Les samedis et dimanches, ils s'activent sur les sites sportifs. Eux, ce sont les agents de la direction des Sports, et leur heure de pointe à eux, c'est justement lorsque vous songez à vous détendre en pratiquant votre sport favori, en équipe ou en indivi­duel. Tracer les terrains, préparer les ves­tiaires, accrocher les filets, faire place net­te le soir lorsque les sportifs ont déserté la place, c'est par excellence le service discret et transparent, et pourtant bien utile et confortable pour la collectivité. Vous au­rez aussi noté que quand ce n'est pas jour de match pour vous, c'est soir d'entraîne­ment, et qu'ils sont encore là. Les scolaires les rencontrent eux aussi en cours d'EPS pendant la journée. Sportif, quoi !

Les agents chllrgis aes sitn sportifs aoivent se conformer aliX horaires de pratique aes clubs. Pour eux, les terrains et les Slllles se préparent aiiSSi tes sanu!dis et aimanches.

Des polyglottes municipales au service des écoliers

l'llyllis Chanut intervient tians les écoles pour enseignu Sll tangue trlaU~fle aliX élèves a'ilémelftllire. Elle est pourtant employée communale.

Le programme scolaire des écoliers prévoit désormais la découverte d'une langue étrangère dès l'école élémentaire. L'Educa­tion nationale ne pouvant garantir un ac­cès juste et égal à chaque élève faute de moyens, c'est alors la commune qui peut pallier ce déficit en proposant ses propres personnels pour dispenser cette discipline. C'est le choix qu'a fait la municipalité de Montigny pour respecter le contenu péda­gogique des écol iers. Chaque jour, ils sont ainsi cinq agents diplômés à suppléer ou épauler les enseignants dans les écoles de la ville.

5

_.. 193 familles bénéficiant des services

des 5 agents de la Boutique alimentaire municipale.

... 56.000.000 € de budget com­

munal annuel.

_.. 48.000 spectateurs à la salle

Jacques Brel chaque année.

Au Club à toute heure C'est un vrai club familial, avec des cours de gym collec­tifs, des terrain de tennis en terre-battue, des terrains de badminton, de squash ou de beach volley, un boulodro­me, avec aussi le snack pour les sportifs et des soirées mu­sicales, et pourtant c'est un équipement géré directement par la ville et tenu par des employés communaux. La for­mule est originale dans le domaine public, mais très effi­cace puisque diverses activités affichent complet au cours de la saison. Pour faire bonne mesure, le Club le Village est ouvert sept jours sur sept, il multiplie les nocturnes, et son objectif n'est pas de dégager des bénéfices à tout prix. Ses adhérents ou usagers occasionnels sont donc de plus en plus nombreux, mais comme l'ambiance est familiale, tous les lgnymontains y sont toujours bienvenus. On peut mê­me y organiser un anniversaire avec ses amis, et y faire un mini-golf aux beaux jours.

Tous les jours, le ClUb te Villa· ge accueille petits et granas pour aes petits ou aes granils efforts, tians une am­biance clUb.

La Boutique fait son marché Îavant l'aurore

Les agents ae ta bOutique alinrentQire aéb11· tent leur joumée avant te diant ali coq, pour adralallder rétllblissement municifHII.

La boutique alimentaire municipale aide chaque jour près de 200 familles de la commune. Sur les 5 agents affectés à l'éta­blissement, une moitié commence la jour­née dès 6h30 dans les réserves de l'hyper­marché Carrefour, à trier les produits dé­stockés (mais garantis au plan sanitaire) pour achalander leur propre boutique. Il faut ensuite mettre en rayon rapidement la boutique au centre Prévert, avant l'arri­vée des bénéficiaires envoyés par le CCAS. Outre les 19000 repas servis chaque an­née, les agents sont aussi attachés à la mis­sion d'accueil liée à leur fonction .

+

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Déneigement · Qui doit faire quoi ?

Le déneigement à Montigny implique plu­sieurs acteurs. La DDE, la Communauté d'Agglomération et la mairie interviennent sur leurs secteurs spécifiques. En ce qui concerne les rues, la répartition est liée au classement des voiries. La DDE (Direction Départementale de l'Equipement) tra ite les voiries nationales et départementales situées hors agglomération comme la RN 10, l'Au ...

Neige : le dispositif nal à plein commu

;

regtme •

La CASQY a en charge les voiries départe­mentales situées en agglomération, l'ave­nue de Kierspe, comme les avenues des Frères Lumière, des Garennes, ainsi que les voiries structurantes de Saint Quentin. A Montigny, il s'agit des avenues Nicolas About (ex-Pas du Lac), des Prés, Joseph Kessel, Général Leclerc, du Centre, des boulevards Vauban, d'Alembert, de la rue Jean-Pierre Rimbaud. La CASQY doit aussi déneiger certaines grandes places comme les place Pompidou et Charles de Gaulle au centre ville. La Ville gère les voies interquartiers en priorité puis les voies desservant les rési­dences. Elle fait appel à la société APPIA. Face à l'ampleur de la tâche, un schéma des priorités a été établi. Réquisitionnées, les équipes des services municipaux concen­trent leurs effort sur l'accès aux équipe­ments publics, aux pistes cyclables, puis sur les trottoirs (voir ci-contre). Enfin, rappelons que les propriétaires sont civilement responsables du déneigement du trottoir qui borde leur domicile.

"A 5h30 du matin le jeudi 3 mars, je prenais mon café en observant le ciel. Tout allait bien . A 6h30, la neige a commencé à tom­ber. Trois quarts d'heure plus tard, toutes les équipes étaient en piste dans les quar­tiers". Patrick Rateau, responsable de la Voirie aux Services Techniques municipaux, sait que les astreintes hivernales 24 heures sur 24 font partie du métier. De fait, quand la neige tombe et tient, tout le monde est sur le pont aux Services techniques. Plus d'électricien, de plombier ou de menuisiers, l'urgence est au déneigement.

Des secteurs d'interven­tion clairement répartis

Mais face à l'importance de la tâche, et malgré le soutien de plusieurs entreprises, la neige et les congères ne peuvent pas dis­paraître comme par enchantement du pay­sage routier de la ville. Les priorités des équipes vont à l'accès des équipements pu­blics, comme par exemple les crèches. "Nous avons eu de la chance que les écoles soient en vacances". Les pistes cyclables, les passerelles et l'accès à la gare sont éga-

Journée entre femmes à la MQ Jouvet le 8

Une journée entre femmes, à partager dans une ambiance de bien-être, c'était le parti pris de la manifestation organisée le 8 mars der­nier à la maison de quartier Louis Jouvet.

Est-ce suffisant ? Est-ce utile ? Concernant l'aspect militant de cette journée, les opi­nions sont partagées, mais les participantes à la journée de la femme organisée par la maison de quartier Louis Jouvet, le 8 mars dernier, étaient unanimes, cette journée de soins consacrée à la femme était une initia­tive à la fois agréable et conviviale. "Entre la famille, la maison et le travail, la femme n'a pas toujours de temps pour elle, c'est pour cette raison que lui consacrer une journée pour la mettre en valeur est important", ex­pliquait Mariatou, animatrice de la maison de quartier. " La femme s'occupe toujours des autres, là ça change un peu, et une jour­née entre femmes permet d'échanger et de discuter", ajoutait Marie-Blanche. On en­trait donc la tête pale et fatiguée pour res­sortir pomponnée et requinquée, après avoir bénéficié gratuitement des s ateliers dédiés à l'esthétisme et au bien-être, dans une ambiance chaleureuse de salon de thé.

Esthétique et bien être Ce n'est pas ce qui résume la femme, mais en l'occurrence l'initiative était tout à fait adaptée à la journée. Ce sont des bénévoles qui animaient tous les ateliers, à commen­cer par la coiffure avec coupes et brushings gratuits à volonté grâce à sept coiffeuses étudiantes en dernière année de brevet pro­fessionnel au CFA de Versailles. "On a de la chance d'avoir des jeunes motivées qui ai­ment donner de leur temps. On participe

souvent à ce type d'événements pour leur montrer qu'il existe autre chose que la coif­fure de salon et qu'elles peuvent aussi tra­vailler pour le théâtre ou le cinéma par exemple", remarquait Béatrice Baumgar­teln-Poupon, leur professeur encadrant. Pendant que quatre femmes du quartier fai­saient découvrir l'art traditionnel du tatoua-

ge au henné, Mariatou s'occupait du ma­quillage, et Kadia Diallo du relooking. "On devrait prendre chaque jour un moment pour décompresser", soulignait Chantal, et ça c'était le créneau de Monique Cabot dont les massages ont fait des miracles en quelques minutes. Verdict unanime donc pour la MQ Jouvet qui sera sûrement priée de reconduire l'événement. Quant à la fem­me dans la société, chacune apportait son point de vue ! "C'est une initiative très sym­pa. Personnellement je n'ai pas besoin de militer car j'ai choisi ce que je suis et ce que je fais", avouait Sandrine, habitante du Vil­lage. "Je suis une assidue de la maison de quartier et ça fait plaisir de s'occuper de soi. Je souhaiterais quand même que les femmes soient mieux reconnues notamment dans le domaine professionnel", déclarait Christia­ne. "C'est toujours trop court quand on s'oc­cupe de soi, il faudrait multiplier les jour­nées de la femme. Par contre, les jeunes ne se rendent pas compte de ce qu'était la condition de la femme il y a encore trente ans, et ne voient pas forcément l'intérêt de cette journée, c'est dommage", concluait Ar­lette âgée de 63 ans. Ceci aurait pu être le mot de la fin si les participantes ne s'étaient pas réunies autour d'un buffet pour par­achever cette journée placée sous le signe du plaisir.

6

Les équipes d'astreinte des services techniques municipaux ont paré à l'urgence la nuit sur les voi­ries municipales, comme ici au centre ville pour faciliter la circulation des bus.

lement traités en priorité. La ville dispose pour ce faire de saleuses et d'un petit trac­teur de déneigement, et de l'intervention des entreprises Appia et Sepur. Pour le res­te, pas d'outil miracle, c'est à l'huile de cou­de que la cinquantaine d'agents manie les pelles. Ces deux entreprises se concentrent sur les avenues et les rues, selon là aussi un dispositif précis de priorités. "Les agents municipaux sont affectés à des secteurs dé­terminés à l'avance. Chacun sait quoi y fai­re lorsque la mobilisation est décrétée". Lorsque les priorités d'intervention sont réalisées, l'objectif est de dégager l'un des trottoirs des voies, sur 1,2om de large, pour favoriser la circulation des piétons. " Nos services avaient déjà déversé un total de 40 tonnes de sel devant les espaces publics.

Verglas ou pas, les rippeurs de SITA ont assuré la collecte des ordures ménagères dans tous les quartiers.

Quant à la société Appia, à chacun de ses passages sur les voiries de Montigny, elle dépose 6o tonnes de sel", rapporte le tech­nicien. Un dispositif qui s'est malgré tout révélé efficace, même si le produit a besoin du passage des véhicules qui brassent la neige salée pour opérer l'émulsion . Au bi­lan, la circulation dans la ville n'a occasion­né ni problème grave ni intervention sé­rieuse des services de secours. Le jeudi 3 au soir, au plus fort des chutes de neige, le franchissement des ponts vers l'ouest de Saint-Quentin a été perturbé par l'appari­tion du verglas. Les automobilistes trop confiants l'ont parfois appris à leurs dé­pens. Néanmoins, la Police municipale n'a pas constaté d'accident sérieux. (voir aussi notre reportage en page 10)

Plusieurs jours d'affilée, les équipes munici­pales ont aussi eu à dégager l'accès ae tous les équipements publics pour accueillir les usagers, le plus souvent à la pelle.

Suite à un incendie dans un pavillon

Vigilance avec vos appareils ménagers

Un incendie accidentel s'est déclaré dans un pavillon le mois dernier à Montigny, vra i­semblablement suite à la mise en service d'un appareil ménager. A petite cause, grands effets, cette imprudence a causé des dégâts partiels, mais néanmoins impor­tants. Ce type d'accident arrive malheureu­sement trop souvent, conduisant parfois jusqu'à la mort par asphyxie, alors que de simples mesures de précaution permet­traient d'en éviter la plupart. Voici donc quelques règles pour prévenir les incendies domestiques. Dans la cuisine, ne jamais po­ser d'objets combustibles, matière plastique ou papier, sur votre plaque de cuisson, et ne jamais laisser le feu sans surveillance, sur­tout lorsque vous êtes en train de chauffer de l'huile. L'utilisation des appareils à gaz est recommandée dans une pièce aérée, à condition de respecter les recommanda­tions sur l'entretien de ces appareils. N'ou­bliez pas de toujours fermer le robinet

d'une bouteille de gaz après son utilisation . Dans les autres pièces, éloignez les appa­reils ménagers produisant de la chaleur, ra­diateurs, fers à repasser, lampes, en les pla­çant à une distance de sécurité raisonnable de tous matériaux combustibles, des ri­deaux par exemple. Dans les salles d'eau, n'utilisez pas d'appareils électriques lorsque l'eau coule, et ne surchargez pas le sèche linge. Ne laissez pas vos appareils en veille car ils restent sous tension et consomment de l'énergie, et ne programmez pas les ap­pareils électroménagers en votre absense. Lorsque vous sentez une odeur de roussi lors de la mise en route d'un appareil, faites le immédiatement contrôler par un spécia­liste. Pensez également aux installations de détection des incendies, très préventives de ce genre d'accidents domestiques. En cas de début d'incendie, ne jetez pas d'eau sur le feu, mais étouffez le avec un couvercle ou une couverture.

L 'ignymontain www.IIIOntlgny7B.fl'

Celui du père n'est plus obligatoire Wicklow en force pour le

St Patrick's Day La transmission du nom évolue

Ils étaient 25 en provenance de Wick­low, à débarquer pour fêter leur seconde Saint-Patrick en deux jours. La première classiquement le 17 mars dans leur pub préféré en Irlande, la seconde le lende­main à Montigny, où invités par l'AMI et le service Jumelages, les Irlandais avaient apporté tous les instruments et la bonne humeur nécessaire à une belle fête au Club le Village, en compagnie de leurs familles d'accueil. La délégation ne s'est pas pour autant désintéressée du programme ignymontain du week-end, dans les quartiers et au dîner des asso­ciations culturelles le samedi soir à la Ferme du Manet. Saint-Patrick aura été joyeusement célébré cette année à Mon­tigny. Généreusement aussi. ..

La loi du 1" janvier 2005 devrait apporter du changement concernant la tradition ances­trale de transmission du nom patrony­mique. En effet, le nom du père ne sera plus le seul transmissible. Désormais, les couples mariés auront le choix de transmettre le nom du père, de la mère ou les deux accolés dans l'ordre choisi. Les couples non mariés le pourront aussi si les deux parents ont dé­claré l'enfant. Même si en cas de désaccord entre les parents, c'est encore le nom du pè­re qui l'emportera, cette loi semble consti­tuer un pas de plus vers l'égalité hommes­femmes. En effet, une mère divorcée ayant la garde de ses enfants pourra enfin porter le même nom que sa progéniture sans être forcée de conserver son nom d'épouse, et le

Nathalie Vupond-)ouars et Eric outilteul-oalange

sont heureux de vous faire part de la naissance de la petite

EMILIE OUPONO·-~

EMILIE o~o--oALANG-E EMILIE OUTI LLEUt; ·'J\IIAIU

(.M\UE. . 1 le 29 ftvrier zoos à t6h30 : f

nom d'une fa­mille n'ayant pas eu de fils ne disparaîtra

q~.LfJs fWG~fl:len~ qes généalogies. '~Je suis très favorable à cette loi, ça aurait dû être fait depuis longtemps. Je ne suis pas fémi­niste mais je pense que c'est plus équitable pour le couple que le père ne soit plus le seul à pouvoir transmettre son nom. Même si nous allons nous marier, nous avons vou­lu faire cette démarche parce qu'un enfant est issu de deux lignées", expliquent Aurélie

Lordonné et Cédric Saulnier qui font partie des parents ayant fait une demande d'ad­jonction. Il semblerait néanmoins que les habitudes ne changeront pas rapidement et que certains ne voient que des complica­tions consécutives à cette loi. "Nous avons enregistré moins de cinq demandes au mois de janvier", remarque Christine Quirié, res­ponsable du service de l'Etat Civil.

Jusqu'au 30 juin 2006

pour adjoindre votre nom Ce délai est appelé période transitoire et doit permettre aux parents des enfants âgés de moins de 13 ans au 1•' septembre

13

2003, donc nés entre le 2 septembre 1990 et le 31 décembre 2004, d'ad­joindre en deuxième position le nom du parent qui n'a pas été transmis. "Monti­gny n'est pas une mairie de naissance puisque la ville n'a pas de maternité. nous sommes donc uniquement concer­nés par les changements de nom durant la période transitoire dont les de­mandes doivent être adressées à la mai-rie du domicile de l'enfant aîné", ex­plique Christine Quirié. "Néanmoins, ce changement ne peut se faire que sous certaines conditions", ajoute-t-elle. L'âge de l'enfant est la première de ces conditions. Tout enfant âgé de plus de

ans doit fournir une attestation de consentement. Cette adjonction du nom nécessite une demande conjointe de la part des deux parents, ou l'autorité parentale complète pour l'un des deux. Elle se fait pour l'enfant aîné et s'applique automati­quement à tous les enfants nés ou à naître du couple. Elle se présentera sous la forme suivante : pour Monsieur Durand et Mada­me Dupont, l'enfant portera le nom de Du-

L'école des Prés proposera une loi

Les élèves de CM2 de l'école des Prés ont reçu la visite d'Etienne Pinte, député-maire de Versailles, le 17 mars dernier, en présen­ce de Suzanne Blanc, adjoint chargé de l'Enseignement, dans le cadre du projet du Parlement des Enfants instauré par l'Edu­cation Nationale. Dirigés par leur institutri­ce depuis le mois de novembre, ils ont consacré quelques heures chaque semaine à la découverte du fonctionnement du Par­lement, et de la création d'une loi, de sa naissance à son vote. Leur mission : élabo­rer une proposition de loi. Ainsi, c'est un vé­ritable débat démocratique qui s'est instau­ré entre les élèves, dont les idées majoritai­rement basées sur la solidarité, l'entraide et la tolérance ont été départagées par un vo­te. Ils ont retenu l'idée de promouvoir une loi en faveur de la sensibilisation des élèves aux différentes cultures religieuses pour encourager la tolérance. Fiers de la réussite de la mixité dans leur école, ils ont donc ré­fléchi aux moyens d'en faire bénéficier les autres.

L'éducation civique sur le terrain

"Ce projet est bien parce qu'on peut ren­contrer notre député. On a déjà beaucoup appris, mais nous avons plus appris avec lui aujourd'hui", concluait Mira Pascal, repré­sentante élue pour les CM2 des Prés. "C'est un projet d'éducation civique grandeur na-

L'école des Prés participe à un prqjet pédago­gique parmi 577 écoles françaises. Le député de ta circonscription et maire de Versailles Etienne Pinte est venu te l7 mars dernier dans ta classe de Mme Greller paur en expliquer tes principes.

ture qui permet de donner une VISIOn concrète du rôle de député. Ici, l'apprentis­sage théorique est associé à un travail réel sur la préparation d'une loi, exactement comme le font les députés", expliquait Do­minique Grelier l'institutrice. C'est d'ailleurs une classe très motivée et partici­pative, au fait de la rédaction des motifs, les arguments en faveur d'un projet de loi, et fin prête à exposer les deux premiers ar­ticles rédigés, qui a accueilli le député-mai­re. 577 écoles françaises ont également sui­vi cette démarche. 10 propositions de lois seront retenues, et les représentants élus de chaque classe iront voter le 11 juin à l'As­semblée, chacun à la place de leur député.

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rand--Dupont, le double tiret devant per­mettre d'éviter la confusion avec les noms composés.

Casse-tête à venir pour les généalogistes

Enfin, pour éviter les noms à rallonge pour les conjoints portant déjà des noms compo­sés, ils devront choisir chacun la partie de leur nom à transmettre, et seuls deux noms pourront être conservés de génération en génération. Ce qui est sûr, c'est que certains perçoivent déjà de nouveaux sujets de dis­putes dans cette loi. Le choix de la filiation devrait en tout cas démultiplier les difficul­tés des généalogistes dans les générations futures.

Pour tout renseignement, contactez le service de l'Etat Civil au 01 39 30 30 Bo. Pièces à fournir : les pièces d'identité des deux parents, un justificatif de domicile, le livret de fa­mille ou une copie de l 'acte de naissance de chaque enfant commun au couple, en cas de di­vorce une copie de la décision de justice attri­buant l'autorité parentale.

une délégation irlandaise de Wicklow a ani­mé ta Saint-Patrick à Montigny, Il n'y avait pas que ta bonne humeur paur couler à flot, te vendredi lB au Club te Village ...

Concours des Maisons et Balcons Fleuris 2005

Soignez vos jardins 1 •

Tous à vos boutures, les inscriptions pour le concours des Maisons et Balcons fleuris re­prennent le 4 avril. Vous avez jusqu'au 17 juin pour vous inscrire parmi les sept caté­gories figurant sur le bulletin ci-dessous. Ceux qui sauront associer le talent de jardi­nier au talent de décorateur remporteront des prix sous forme de bons d'achat ou d'ar­ticles de jardin, ainsi qu'un prix du public et un prix du jury. Le jury, composé de neuf membres, dont un paysagiste, membre des espaces verts, et un fleuriste, élira les plus beaux jardins en fonction de l'harmonie des

ensembles, des couleurs et de la créativité. Cette année, dans un souci d'équité, c'est la ville qui se chargera de photographier votre jardin entre le 17 juin et le 15 juillet. Les lauréats seront ensuite conviés en sep­tembre à l'Hôtel-de-Ville pour recevoir leurs prix. Notez que vous pouvez aussi vous ins­crire via internet en allant sur le site de la ville (www.montigny78.fr) ou un formulai­re en ligne est disponible. Pour tout renseignement et pour consulter le règlement, appelez le service Evénemen­tiel au 01 39 30 31 39·

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eoneours des maisons et baleons deuris 2005

ce&~lt®®lliiiiE~ 1 - immeuble collectif avec balcon, terrasse ou RdC sans jardin

2 - immeuble collectif avec jardin en rez-de-chaussée

3 - maison avec jardin

4 - maison avec balcon et/ou terrasse

• • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • • :0 • s·-ensemble urbain collectif ou individuel (résidence, ASL, copropriété) • • • :o

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• 6- équipement public ou d'utilité publique fleuris avec des deniers privés :

• • 7- établissement commercial ou industriel (à titre individuel ou groupé) • • • • • • ••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••••• Adressez ce coupon au :Service Evénementiel - 66 rue de la Mare aux Carats 78180 Montigny le Bretonneux

LES COUPONS DEVRONT NOUS PARVENIR AVANT LE 17 juin 2005

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L 'ignymontain www.montignyTS.fr

EN BREF Les activités des maisons de quartier

Le guide de la ville à votre disposition

Pensez-y, le guide pratique 2004-/2005 édité par la ville est à votre disposition au service Communication à l'Hôtel de Ville. Il compile sur 192 pages l'ensemble des informations à connaître pour bien vivre sa ville. Rens. : 01 39 30 31 30.

La "Rall er balade des all umés" le 9 avril

Le conseil de quartier de la Sourderie Sud s'associe aux conseils de quartiers vicinois de la Grande île, du Lac et de la Bretonnière pour organiser la "Raller ba­lade des allumés", le 9 avril, à 20h30, au départ du gymnase Les Pyramides à Voi­sins. Réservée aux adultes et jeunes confirmés, cette balade d'une heure vous emmènera à travers les deux com­munes voisines, et pour récupérer après cet exercice sportif, boissons et gâteaux seront servis à l'arrivée. Munissez-vous d'objets lumineux pour éclairer cette pa­rade nocturne dont la sécurité sera ssu­rée par la Police Municipale. Rens. au 01 30 4-8 sB 6s, 01 39 30 31 35 ou baladedesallumes@yahoo.fr

Distribution de L'ignymontain

Si vous rencontrez des problèmes de dis­tribution de votre journal chaque début de mois dans votre boîte aux lettres, vous pouvez contacter le 01 39 30 31 30 pour signaler l'anomalie qui sera trnas­mise au distributeur.

Ecrire, Suite au succès du concours de nouvelles lancé il y trois ans par Sophie Allain, anima­trice à la maison de quartier Malraux, l'idée est née de créer des ateliers d'écriture desti­nés aux jeunes âgés de 11 à 14- ans. Après So­phie Marvaud, les ateliers étaient animés cette année par Nathalie Michau, auteur de "Secrets de famille", une histoire familiale à suspense publiée en 2004-. D'octobre à mars, elle a mis son expérience au service de sept jeunes auteurs en herbe, avec trois pre­miers ateliers consacrés à l'apprentissage des méthodes de la nouvelle, à la présenta­tion du genre policier et du déroulement d'une enquête, ainsi qu'aux différents pro­cédés du suspense. C'est le 11 décembre que Sonia, Elodie, Halimatou, Adama, Florent, Moktar et Thomas ont entamé la rédaction du "Carnet mystère", une nouvelle en sept chapitres qu'ils ont achevée le 12 mars.

La synergie de groupe Elle-même passionnée par l'écriture, Natha­lie Michau désirait à son tour proposer cet­te aventure aux jeunes. "J'aime bien tra­vailler avec des enfants et j'ai trouvé qu'écrire une nouvelle en commun serait un challenge très sympa. Ce fut une expérience très enrichissante", explique-t-elle. Ils ont partagé leurs idées, décidé de la mise en for­me, voté pour le choix des prénoms et des noms de lieux. Le résultat est une histoire à rebondissements dans un décor réaliste si­tué entre la vallée de Chevreuse, Trappes et Montigny. Lorsque David reçoit un coup de téléphone de Sofiane qui l'informe que le masque de Toutankhamon a été volé au château de Roquépine, il décide avec sa

pour le plaisir sœur Sonia de mener l'enquête. " D'habitude je n'aime pas le français, mais là c'est diffé­rent parce qu'on se corrige nous-mêmes. J'écrirai peut-être des histoires fantastiques la prochaine fois", déclare Thomas âgé de 12 ans. "Au début j'ai pensé que c'était du tra­vail, mais pas du tout. J'aime bien écrire, et j'écris de mieux en mieux, et surtout avec des conseils", ajoute Florent âgé de 14- ans. Ce sont les participants qui décideront du

thème de travail pour l'année prochaine. D'ailleurs, les écrivains ignymontains ayant déjà publié et qui souhaiteraient apporter leurs compétences aux ateliers d'écriture peuvent d'ores et déjà contacter Sophie Al­lain à la maison de quartier Malraux. Re­trouvez par ailleurs la maison de quartier à l'occasion de son prochain rendez-vous lit­téraire le 20 avril, pour les résultats du 3' concours de nouvelles 2005.

Nathalie Michau, auteur de "Secret de Famille" (que nous avions rencontré dans notre édition de mars 200'1), anime ratelier d'écriture à fa maison de quartier Malraux, motivé par l'écriture ae "Qui a volé fe masque de Toutankhamon ?", une nouvelle de feur cru.

Les tribunes des groupes du Conseil municipal

Montigny Plurielle Brèves,

. Lors du conseil municipal du 14 février, sur la proposition de rebaptiser l'avenue du Pas du Lac, avenue Nicolas About, nous nous sommes abstenus. Quelle drôle d'idée tout de même ! L'avenue du Pas du Lac appartient à notre mémoire collective, c'est en outre une dénomination qui a un sens puisque l'avenue est le lien entre la ville et le quartier du Pas du Lac. De plus, pourquoi tant de précipita­tion ? De ce que nous savons, Nicolas About n'a pas fini sa carrière politique, il est tou­jours Conseiller régional d'ile de France et Sé­nateur des Yvelines ... Et puis donner à celui à qui on rend hommage le nom d'une rue dans laquelle personne n'habite, c'est bien triste.

. A l'occasion de ce même conseil nous avons été informés, comme chaque année, des pro­positions de fermetures de classes de l'Inspec­teur d'Académie. Nous aurions voulu que l'avis du conseil soit plus clair. Trois ferme­tures de classes en préélémentaires (Chénier, Daudet, Mansart) deux fermetures condi­tionnelles (Le Village, Samain), la fermeture d'une classe dans l 'école élémentaire Chénier: attirer l'attention de Monsieur l'ins­pecteur de l'Académie sur le fait que ces me­sures sont liées aux effectifs connus en oc­tobre 2004 n'a, à notre avis aucun intérêt. Il nous semblait plus pertinent de réaffirmer que la logique comptable a ses limites et qu 'il faut prendre en compte les contraintes péda­gogiques. Des classes à double et triple ni­veaux, des classes préélémentaires à 32, ce n'est pas acceptable, il fallait le dire.

. C'était aussi à l'ordre du jour du conseil du 14 février: les conseillers municipaux devaient, à la demande du Préfet de région, donner leur avis sur le projet de Plan de Protection de l'Atmosphère de l'ile-de-France. Ce PPA pré­vo it toute une série de dispositions afin que les sources fixes et mobiles de polluants at-

mosphériques puissent respecter les limites réglementaires de concentration . La dé­marche choisie est intéressante puisque le ca­lendrier prévoit une enquête publique avec un avis demandé aux collectivités locales. Le sujet intervenant en fin de conseil, n'a, à vrai dire, pas passionné nos collègues, ni l'Igny­montain d'ailleurs qui n'a pas relayé le débat. Pour information nous vous signalons que le rapport est tenu à disposition du public à l'hôtel de ville et qu 'il est consultable sur le si­te www.ile-de-France.drire.gouv.fr.

.Pour finir, une information qui concerne les conseillers de l'opposition mais qui donne à réfléchir sur la démocratie locale. Nous avons souhaité, comme la loi nous y autorise et comme cela se pratique dans des com­munes voisines comme Elancourt ou Voisins le Bretonneux, disposer de manière perma­nente d'une salle pour nous réunir, entrepo­ser et consulter nos dossiers. Aucune place en Mairie pour vous, nous a t 'on répondu . Soit. Nous avons accepté un local rue de Bre­tagne. Mais pourquoi nous refuser un accès permanent à cette salle et nous imposer deux créneaux horaires par semaine ? L'argument du manque de salles sur la commune ne tient pas aujourd'hui. Nous regrettons cette mesu­re vexatoire alors même que les relations entre les conseillers municipaux de la majori­té et de l'opposition ont été, depuis le début du mandat, toujours cordiales et faites d'un respect mutuel. Que nous soyons les seuls conseillers municipaux à ne pas recevoir d'in­demnités passe encore, mais qu 'on nous per­mette, au moins, d'exercer notre mandat dans des conditions correctes

Sandrine Grandgambe

Pour nous contacter : Montigny Plurielle, 2 rue de Bretagne 78 180 Montigny le Bx Email : montigny.pluriel/e@Jvoila .fr

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Montigny Ensemble Les médecins vous consultent

Montigny-le-Bretonneux s'investit depuis longtemps dans le domaine de la santé et le manifeste souvent par des choix novateurs. L'aide apportée à I'AM3V (amicale des méde­cins des 3 villages) pour la création de la maison de garde médicale et l'aménagement de locaux pour accueillir à terme une anten­ne du SMUR s'inscrivent dans cette poli­tique.

L'équipe Montigny Ensemble a fait le choix de porter et de défendre ces projets qui ne relèvent pas en principe des compétences d'une commune, parce que nous considérons que la santé est un élément capital de notre qualité de vie.

La Maison de garde médicale est ouverte de­puis octobre 2002. Elle fonctionne tous les soirs de la semaine de 2oh à 24-h ainsi que le week-end. Elle représente un bel exemple de coopération entre collectivités territoriales et médecins libéraux afin d'assurer la per­manence des soins, maillon essentiel de notre système de santé. Aujourd 'hui 4-2 mé­decins généralistes installés sur les com­munes de Montigny, Voisins et Guyancourt assurent le tour de garde dans un cadre agréable et sécurisé puisque notre commune a fait le choix d'une implantation à proximi­té immédiate du poste de police municipale.

Cette structure a rapidement rencontré un vif succès et son mode de fonctionnement entièrement imaginé par l'association des médecins des trois villages en concertation avec la ville, sert aujourd 'hui de modèle pour les nouvelles maisons de garde qui voient le jour en France.

Cet établissement s'est fondu dans le paysa-

ge ignymontain et l'on oublie aujourd'hui qu'il a fallu mener un combat difficile pour en obtenir le financement. Il faut savoir que ce dernier n'a été accordé que de façon pro­visoire et à titre expérimental. Une nouvelle subvention devrait permettre le fonctionne­ment de la structure jusqu 'au vote d'une loi, en cours d'élaboration par le gouvernement, qui devrait pérenniser la permanence de soins.

Dans ce cadre, I'URCAM (Union Régionale des Caisses d'Assurance Maladie) procède par le biais d'un organisme indépendant à l'évaluation de la structure médicale de gar­de. Depuis une semaine, les patients qui se présentent à la Maison de garde se voient re­mettre une enveloppe par le médecin conte­nant un questionnaire anonyme. Ce ques­tionnaire permettra de déterminer si la structure dans ses fondements actuels ré­pond bien aux exigences en matière de per­manence de soins. Parallèlement à cela, soucieux de répondre au mieux aux attentes de ses patients, l'ami­cale des médecins responsable de la Maison de garde a mis en place un questionnaire" de satisfaction " à l'attention de toutes les per­sonnes qui souhaitent s'exprimer sur le fonc­tionnement de la structure de garde. Il est très important que toutes les per­sonnes qui fréquentent la maison de garde ou qui se sentent concernées par le sujet aillent sur son site internet: www.am3v.dy­nu.com. afin de donner leur avis, et d'expri­mer leurs attentes. Ainsi l'action entreprise pourra se prolonger en s'attachant à ré­pondre de façon toujours plus pertinente aux besoins de la population. Tel est le vœu de I'AM3V ! Alors dès à présent soyez nom­breux à répondre à ce souhait, et à vous ex­primer en visitant le site de la maison médi­cale.

Alain Junès, Conseiller municipal chargé de la santé

SQY Ouest côté pratique

"Le plaisir a trouvé son centre", rien de moins. La communication orchestrée autour du lancement du complexe, illus­trée par cette signature un rien auda­cieuse, insiste sur la polyvalence d'un lieu à la fois dédié au shopping et au di­vertissement. En clair, vous êtes invités à venir faire des achats plaisir (vête­ments, chaussures, loisirs créatifs ... ), puis rester voir un film, faire un bowling, vous asseoir en terrasse d'un restaurant. Achetez zen en quelque sorte, dans un lieu lumineux, organisé autour d'un lar­ge puits de lumière, où même la musique vous invite à la sérénité. Le centre ouvre à 10h, comme la première séance du Ci­né-Cité. Les boutiques ferment à 21h, le cinéma et le bowling poussent jusqu'à 1h du matin. Vous pouvez stationner dans le nouveau parking Bièvre, contigu au complexe (entrée par l'avenue des Prés), ou· au dernier niveau inférieur du par­king de l'espace Saint-Quentin (l'ex-ni­vea·u jaun~ devenu gris) qui permet mail)tènant ·d'accéder directement à SQ -'·ou~st. Tous sont gratuits pendant trois heures. Au fil des boutiques, au ha­sard d'une après-midi de découverte, vous pouvez par exemple acheter du sa­von parfumé aux fruits à la coupe et au poids chez "Fruits et passion", prendre un bain d'eau de mer chez Elytis, acheter un thé Mariage Frères à "la Villa Mo­zart", où vous découvrir artiste dans les rayons de "Loisirs et Création".

L 'ignymontain www.montignyl&.fr

Le centre de loisir et de shopping est en exploitation depuis le mercredi 16 mars. La veille~ il a été inaugu­ré par ses promoteurs en présence des autorités. Une nouvelle époque s~ouvre sur sur la vie commerciale à Montigny~ avec un centre d~un nouveau genre qui mêle étroitement te shopping plaisir et la détente.

SQY Ouest sur orbite "C'est un repère visuel majeur dans le paysage de Montigny. Depuis les grands axes qui ceinturent notre vil­

le, ce sont maintenant la façade et les illu­minations de SQY Ouest qui se signalent au regard et désignent un peu la commune". En prononçant son discours inaugural pour le nouveau complexe de shopping et de loi­sir, le maire Michel Laugier n'a pas voulu manquer de signaler ce que les automobi­listes et les voyageurs du réseau ferré constatent désormais. Le paysage panora­mique du centre ville de Montigny a pris des couleurs, et ceux qui ne font que passer en périphérie voient sans doute la ville sous un autre jour. Tom Meyer, président néerlan­dais du groupe MAB propriétaire du centre et Marc Vaquier, PDG de la filiale française, accueillaient la foule des grands jours le 15 mars dernier pour placer officiellement SQY Ouest sur orbite commerciale. Tous les pro­tagonistes de cette implantation étaient présents pour découvrir les 4 niveaux du complexe la veille de son ouverture au grand public.

Zara sur 1700 m2

A la tribune, Michel Laugier n'a pas caché sa satisfaction que soit concrétisé un projet mis en ouvre depuis une douzaine d'années. Mention bien donc pour la société MAB, qui a livré l'équipement initié dès 1993 par Ni­colas About et l'investisseur Jean-Louis 5o­lai, présents tous les deux pour couper le ru­ban inaugural. Mention peut mieux faire en revanche selon Michel Laugier à l'adresse de l'aménageur, qui malgré un délai supplé­mentaire engendré par le retard de livrai­son, n'est pas parvenue à boucler l'aména­gement des abords du centre à temps. Côté fonctionnement, SQY Ouest table sur

SQY Ouest, un phare qui signale la ville en particulier la nuit, grâce à sa façade lumineuse et au dispositif exceptionnel mis en oeuvre pour l'ouverture.

mercialisées. Des enseignes de renom sont là, d'autres vont arriver dans les prochaines semaines comme Zara sur 1700m'. Par ailleurs, nous sommes en contact avec quelques autres enseignes de prêt-à-porter féminin et masculin de nature à élever en­core la gamme d'offre dans ce secteur", as­sure Pascal Bécaud, directeur de MAB-Fran­ce. Dommage néanmoins que les restau­rants n'aient pu pour la plupart finir leurs travaux et ouvrir leur table à l'échéance fixée. Ils ouvriront chacun à son rythme. Le pub brasserie aux couleurs irlandaises pré­voyant le sien vers la mi-mai.

ri et. fr, le tout -service en ligne sur le web

5.ooo.ooo de visiteurs à l'année. Une ambi­tion nourrie en particulier par un nombre d'entrées enregistré par le Ciné-Cité UGC largement au-delà des prévisons depuis no­vembre. Mais le mot d'ordre est aussi de fai­re bloc avec l'Espace Saint-Quentin. En­semble, les deux sites chapeautés par la mê­me société gestionnaire sec, représentent un pôle commercial de 200 boutiques, dont une trentaine de restaurants. Une offre plus importante que Parly Il pourJean-Marie Menu, le directeur de SQY Ouest et ... ex-di­recteur du centre du Chesnay. "Notre zone de chalandise s'étend sur un rayon de 20 km et un potentiel de 500.000 habitants". L'en­jeu offre des perspectives, avivées par la vo­lonté affichée par MAB de monter en gam­me l'offre commerciale saint-quentinoise. "95% des espaces sont actuellement com-

Outre l'offre commerciale, l'émergence de SQY Ouest dans le paysage local se traduit aussi par la création de 500 emplois à ce­jour, 740 lorsque toutes les enseignes au­ront ouvert le rideau.

Une maison d'édition ignymontaine au Salon du Livre

Yvelinédition en quête de sujets locaux

Franck Riet, un ignymontain habitant le quartier des Prés depuis près de 20 ans, est désormais un jeune entrepreneur de 41 ans, puisqu'il a lancé son site internet de service en ligne www.riet.fr, en février dernier. "Mes parents avaient monté une entreprise de nettoyage et comme je ne voulais pas travailler à l'école, ils m'ont très rapide­ment envoyé faire des ménages", explique­t-il. Lorsque son actuel employeur lui de­mande donc s'il connait quelqu'un suscep­tible de nettoyer les vitres de l'entreprise, il ne lui faut pas longtemps pour faire émer­ger l'idée de créer sa propre entreprise de nettoyage. Puis les opportunités se sont succédées, et avec un, deux, six apparte­ments de particuliers sur Paris, ainsi qu'une entreprise cliente, il s'est spécialisé dans la

Franck Riet, qui réside aux Prés, a créé son en­treprise de son service qui fonctionne nota­ment par le biais d'internet au www.riet.fr

surface vitrée de grande dimension . Chauf­feur-assistant de direction depuis 15 ans pour un cabinet d'architecture, il jongle dé-

sormais avec ses trois casquettes d'em­ployé, d'entrepreneur et de père de famille.

L'envie d'évoluer Avec son idée en point de mire et ses pre­miers clients désormais fidèles, Franck Riet se lance et suit une formation auprès de la Chambre des Métiers pour créer son entre­prise. Il embauche une femme de ménage et un laveur de vitres, et se diversifie rapi­dement à la demande pressante de ses clients. Le site propose donc de prendre en charge l'entretien quotidien des bureaux et salles d'attente d'entreprises, de votre do­micile, des ménages divers comme les cages d'escaliers ou les faux plafonds, et des tra­vaux de petite manutention en plus de vos vitres. "C'est un vrai métier qui nécessite un savoir-faire et surtout l'amour de ce qu'on fait. Quand je lave une vitre c'est à la ra­clette et au mouilleur, il n'y a pas de gain de temps possible sal)s abîmer les vitres", dé­clë)re-t-il. L'objectif est donc de développer une clientèle sur Saint-Quentin et peut­être à terme de créer d'autres emplois. "Avec le développement du centre com­mercial et les nombreuses entreprises ins­tallées en ville nouvelle, il y a beaucoup de surfaces vitrées, regardez la médiathèque", ajoute-t-il. "C'est un secteur où il y a tou­jours de l'emploi et où il est souvent très difficile de trouver du personnel de qualité et de confiance", conclut-il. N'hésitez pas, le devis est gratuit ! Rendez-vous sur le www.riet.fr, ou contactez Franck Riet au 01 30 44 15 54 ou au o6 6o 47 76 os.

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C'est la suite d'un long parcours dans le mi­lieu éditorial et journalistique, conjuguée à sa passion pour l'écriture qui ont conduit François Baudez à fonder sa propre maison d'édition en 2000. Installée à domicile au Plan de l'Eglise, sa petite entreprise se si-

François Baudez a (ondé sa maison d'édition depuis juin zooo à Montigny. Il exposait ses auteurs au Salon du Livre le mois aemier.

gnalait au Salon du Livre porte de Ver­sailles le mois dernier, où l'éditeur mettait en avant son écurie littéraire et les ou­vrages qu'il propose. Le credo d'Yvelinédi­tion est de s'adresser aux écrivains engagés dans une démarche à compte d'auteur et de leur proposer d'avoir recours à l'impres­sion numérique pour bénéficier d'une gam­me de prix attractive. Il se propose aussi de les assister dans la distribution. Sa produc­tion se caractérise d'abord par sa diversité. "Nous sortons actuellement 4 livres par mois. Un tiers de mes auteurs sont yveli­nois". Les sujets sont très éclectiques : ro­mans, polars, livres historiques, beaux livres, essais, poésie. François Baudez laisse parler la qualité des rencontres qu'il fait avec les auteurs, tout engagé qu'il est dans une volonté de "libérer l'édition au service de tous". Mais ce que souhaiterait l'éditeur aujourd'hui, c'est développer une édition locale, basée sur des sujets locaux. "Par exemple, j'essaye de mettre en chantier un guide des balades à vélo à Saint-Quentin. Je pense que le sujet intéresserait beau­coup de lecteurs." François Baudez attend donc vos envies, vos ambitions littéraires.

Rens. : o6 65 35 3.2 o6 yvelinedition@neuf. fr http:jjyvelinedition.neuf.fr

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Pour Maxence et Claire, le bonhomme sera au bout de l'effort. la neige, c'est lourd 1

j, --Les Prés : Salima, Isaac et Mohammed ont don-né vie au bonhomme de neige gui s'est signalé aux riverains au centre de la place Malraux.

L'hiver blanc Gudule, Philibert ou même Amraoui , la popula­tion éphémère de la ville s'est enrich ie de quelques personnalités aux visages pittoresques et aux corps ventripotents le jeudi 3 mars, lorsque la neige a passé la surmultipliée. L'igny­montain en a croisé ça et là quelques uns et vous les livre parmi quelques instantanés pris sur le vif dans les quartiers. Ce manteau blanc inopiné a comme chaque fois suscité des enthousiasmes

très divers parmi chacun. Chanceux, les enfants n'ont pas regardé le paysage depuis les fenêtres de leur salle de classe. La couche d'une dizaine de centimètres leur a permis de donner libre cours à leur créativité. Pour d'autres en re­vanche, le manteau neigeux ressemblait plus à une patinoire qui a perturbé l'usage des chaus­sées et des trottoirs (voir également notre ar­ticle en page 6).

Les Prés : la neige, il y a ceux qui la subiuent et ceux qui en profitent. Monique a tracé son par­cours de ski de fond entre le quartier où elle travaille et le village de Guyancourt où elle réside.

Quartier Saint-Quentin : la halle Sud-Canal et la place Etienne Marcel dans un décor que les commertants n'auraient pu renié pour Noël.

A la Sourderie-Nord, les rues sont bien nom· • mées lorsque le paysage vire au blanc, Rue de

Le Village : l'église Saint-Martin recouverte la Vanoite, des Pyrénées, de Chambéry, du Per­d'un manteau bueolique. la neige a ajouté en· thuis, il ne manque alors que les massifs sur la core au charme tranquille du Vieux Village. ligne d'horizon ...

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L 'ignymontain www.montignyTB.fr

Le funboard peut vite se transformer en snow­board, en dévissant les roulettes. Et n'importe guelle planche peut faire office de luge. Côté tiuttes, Sabrina, Rizlaine, Daniel et Kevin étaient bien servis au Pas du Lac.

A la Sourderie-Sud, Kevan a attaqué le travail de bonne heure. Objectif : un bonhomme pour la rue et un autre dans le jardin.

dans les quartiers

..,~ · -

le Manet : le bois méritait une balade derrière la Ferme du Manet, où la couche de neige a at­teint des niveaux très inhabituelles.

Saint-Quentin : face aux chutes de neige im­portante~ et à une baisse du thermomètre per­sistante, notamment la nuit, les services ont dû travailler sans relâche sur les voies publiques pendant une semaine. Les tonnes de sel déver­sées et la réquisition des équipes et des outils ont permis d'éviter tout accident grave. Quelques carroseries ont quand même ressenti l'hiver à leurs dépens.

Un temps i ne pas mettre un sabot dehors, c'est ce que semblaient penser les poneys de UCPA à la ferme du Manet. Si les manèges sont cou­verts, les balades dans les congères du bois pouvaient se révéler plus problématiques.

la salle Jacques Brel sous un manteau de nei· ge. Du grand art dans le temple du 7' art.

Sourderie-Sud : les Arcadu du lac sou~~ la -j neige en plein blizzard, c'est une série d'images contrastées et inhabituelles, c'est aussi une épreuve particulièrement glissante sur les dalles des rues de la résidence pour les riverains.

le Plan de I'E9Iise : la patate sous la neige, les élèves de 1 école E. Satie en vacances n'y auront pas goûté puisqu'elle avait fondu pour la rentrée des clams.

les Prés : le centre sportif Coubertin prêt pour une épreuve de ski de fond.

M9~I~~~y

~ DANS LES QUARTIERS

( Le Plan ae /~Eglise ) ---- --------- ------- -----~ ~ . -

L'opération Quartier ~ Propre a mobilisé le 19 mars

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C'est une tradition en même temps qu'une ' fameuse idée au Plan de l'Eglise, que les · membres du conseil de quartier entendent : cultiver. Le premier nettoyage de prin­; temps s'initie chaque année dans tous les : recoins du quartier, à l'occasion d'une : après-midi de grand nettoyage où chacun ; est bienvenu. L'édition 2005 se déroulait ! le samedi 19 mars, par une vraie belle jour­:' n~e de printemps ensoleillée à faire surgir ' les bonnes volontés. Comme souvent, ce : sont les enfants du quartier qui ont su ti­: rer leurs parents au rendez-vous sur la i place de la Mare-Caillon, où chacun se ; voyait doté du sac et des gants pour aller · traquer le papier gras et la canette sauva-

ge. Au bilan, que le maire Michel Laugier est venu découvrir en fin de journée, les opérateurs de propreté auront pu consta­ter qu 'au vu d'une collecte finale en ré­gression par rapport à l'an passé, le quar­tier est mieux respecté par les riverains. La journée s'est conclue autour d'un verre sur la place, et par le tirage d'une tombola où, générosité des commerçants de la Ma­re-Ca illon oblige, tout le monde est repar­ti avec son cadeau, mais avant la conclu­sion musicale des irlandais de Wicklow, venus en délégati(),n pour la Saint-Patrick, le temps de rassembler leurs troupes, ont entamé leur concert .. . sur un rythme ir­landais ...

L 'ignymontain www.montigny7B.ft

( Le Souraerie-Nora )

Le printemps à l'heure avec le conseil de quartier

gé, et ils ont enfin bien dansé dans une at­mosphère chaleureuse et détendue. "Nous avons voulu un autre moment de ren­contre avec l'émergence du printemps", avance Luc Taralle le président du conseil de quartier. "Avec notre soirée de l'Epipha-nie, notre journée à Noël et le pique-nique de juin organisé tous les deux ans dans le

Quasi synchrone avec le calendrier, le conseil de quartier avait choisi de fêter l'ar­rivée du printemps en conviant les habi­tants du quartier à un moment de fête, le vendredi 18 mars à l'école Samain. Outre le rendez-vous d'échange et de dialogue entre voisins autour d'un verre de l'amitié, le programme concocté par Luc Taralle et son équipe invitait les habitués incontour­nables d'Ar Bernie pour la ronde des crêpes, ainsi que le groupe Leed pour le swing (notre photo ci-dessous) . Les participants ont donc bien parlé, ils ont aussi bien man-

parc Alain Chédeville, voilà le programme d'animation que nous voulons pérenniser pour les habitants". Les plus avisés, qui ne manquent pas un rendez-vous, ne le re- _ ·. gretteront pas.

Le groupe leed a fait danser petits et grands dans la salle polyvalente de l'école Samain en re­prenant les grands standards qui font son succès à chacun de ses prestations à Montigny.

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( Le Plan ae Troux )

Tous les oeufs ont-ils ··~ ( Les Prés )

~~'\1 "M;~: Ar Bernie a gardé le été ramassés le 19 mars ?

Le Conseil de quartier du Plan de Troux a proposé une première le samedi 19 mars en invitant les enfants à revisiter leur cour de l'école Chénier comme terrain de chasse aux œufs, sur une idée de Gérard Scoté, l'un de ses membres. La frénésie aura du­ré le temps pour eux de mettre la main sur les Boo œufs et cloches en chocolat dépo­sés là par une volonté qu'on qualifiera de céleste. Celena (à droite) et Bernadette, toutes deux copines de CE1, ont fait cause commune pour se partager leur butin . Le conseil de quartier a pu proposer une autre innovation en recevant le nouveau bagad de l'association Ar Bernie pour sa première sortie en public. Pendant que ce dernier donnait sa pleine mesure dans la cour sous un soleil magnifique digne d'un microcli­mat du pays bigouden, les biligs faisaient de même dans le réfectoire. Les crêpiers et crêpières d'Ar Bernie s'étaient à peine re­mis de leur prestation de la veille à la Sour-

derie-Nord, qu'ils remettaient ça au Plan-de-Troux. Le plus délicat étant de pouvoir aligner les bé­névoles au fourneau pour ré­pondre à toutes les sollicitations. Georges Dreyssé le président du conseil profitait de cet après-mi­di de rencontre avec les riverains pour solliciter les avis sur le nou­veau système de stationnement minute sur la place Claudel (voir ci-contre), ainsi que sur l'idée d'un aménagement floral autour de la statue de la place. "La pre­mière initiative recueille des avis plutôt favorables. En revanche,

la seconde attire semble-t-il des avis plus mitigés".

( Saint-Quentin )

Concours de dessins Reprenant une idée initiée l'an passé, le Conseil de quartier a lancé son concours de dessins destiné aux enfants, sur le thème "Rêve ton quartier", en collaboration avec les écoles Rimbaud et Mansart. Affiches collectives ou dessins individuels, les ar­tistes en herbe ont jusqu'au vendredi 15 avril pour rendre leurs réalisations à leur professeur. La remise des prix du concours se déroulera la semaine suivante le jeudi 21 avril, à 19h à l'Hôtel de ville. Rens. : 01 39 30 31 34-

rythme le 11 mars dernier :,.;..--

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( Le Plan de Troux ) <~~)~--<~

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Un plan de stationnement expérimental pour la place Claudel

Pour juguler les problèmes permanents de stationnement sur la place Paul Claudel, un dispositif expérimental de stationnement minute va être instauré face à la boulange­rie, le tabac-presse, la boutique de repro­graphie, la banque et le salon de coiffure. 10 places seront ainsi réservées pour un sta­tionnement payant limité à 20 minutes, et signalées par une bande rouge au sol. Un horodateur spécifique de même couleur se­ra mis en place le 15 avril. L'opération sera testée pendant 6 mois pour permettre de concilier à la fois le stationnement tempo­raire et le stationnement de plus longue durée. Le fonctionnement des autres places reste inchangé.

Ar Bernie à nouveau sur le pont, pour les derniers jours d'une transat au long cours en partenariat avec les conseils de quartier, • c'était le vendredi 11 mars dernier aux Prés, à la maison de quartier Malraux. Entourés par les membres du conseil de quartier, les habitants sont arrivés nombreux pour par­tager les crêpes, le cidre et les pas de danse de l'association bretonnante de Montigny, dont on ne dira jamais assez l'implication ' · au service de la convivialité des quartiers.

Le stationnement minute à l'essai rue des Bleuets

La soirée a aussi été l'occasion pour Jean­Pierre Dauvergne, le président, de donner dans les grandes lignes les résultats de la large enquête d'opinion lancée dans les ré­sidences par le conseil de quartier. Nous re­viendrons prochainement sur les analyses de cette concertation effectuée au près --. près du terrain. Jean-Pierre Dauvergne a également dressé un compte-rendu d'une seconde initiative de concertation menée récemment auprès des riverains de la sente des Chardons, dans le cadre de réhabilitation de la seconde tranche de cette voie. Par ailleurs, le Conseil de quartier a obtenu de la municipalité l'instauration à titre ex­périmental et pour 6 mois d'un dispositif

•.. de stationnement "minute" aux abords de l'école des Sources, rue des Bleuets, aux heures de dépose et de reprise des écoliers. ; Des panneaux précisent la règlementation sur place.

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E~ f!VrU ~ {vr Mf!iS~ Félix'

Voir ou lire, vous n'avez pas à choisir ! Petit intermède au sein d'une saison d'expositions d'art pictural et de sculp­tures, la Maison Félix accueillera l'expo­sition de l'association Papiers de soi ba­sée sur l'art d'écrire, du 2 au 10 avril pro­chain, pour prendre la digne suite de l'étonnante Valentina Egoshkina (photo ci-dessus) et de ses "Impressions" pré­sentées du 12 au 20 mars. lgnymontaine depuis presque six ans et professeur de mathématiques russe, Valentina Egosh­kina a surpris ses visiteurs à de multiples égards, en premier lieu par cette amu­sante opposition entre art et rigueur ma­thématique. C'est aussi par son talent développé en quelques années de pra­tique seulement qu'elle a impressionné le public venu en nombre. Elle a séduit par son côté artiste autodidacte à l'écou­te de ses envies, mais aussi par son re­gard original et son intuition artistique qui semble presque innée. Un succès qu'elle a mérité au vu de la diversité des thèmes et des représentations aussi bien que des différentes techniques em­ployées, avec notamment la peinture sur bois utilisée dans les anciens monastères qui a été très remarquée. "Je la remercie pour son talent et son inspiration. Les tableaux ressemblent à l'artiste pleine de vie et de beauté", soulignait Brigitte. Avec amusement, passion et modestie, cet électron libre de l'art a soufflé un vent de fraîcheur sur la Maison Félix.

L'~trt itcrirt '!VU P~tfÙtJ d(. Ço-i L'écriture est aussi une forme d'art et c'est bien ce que vous démontreront les adhérents de l'association Papiers de soi qui exposeront leurs textes sur le thème de l'émotion des mots, du 2 au 10 avril. Encadrés par Sophie Marvaud, les parti­cipants aux ateliers d'écriture ont écrit des textes avec pour point commun l'émotion qu'ils cherchent à transmettre. Rire, étonnement, émerveillement ou frayeur sont autant de sensations que vous pourrez lire. "Il s'agit d'inciter les vi­siteurs à passer eux-mêmes à l'écriture, d'abord parce que c'est un outil mer­veilleux pour transmettre des émotions et garder traces de soi, mais aussi parce que beaucoup de gens en ont le désir et se retrouvent paralysés face à l'écriture. Il faut vaincre cette appréhension et concrétiser ses envies d'écrire", explique Sophie Marvaud, présidente de l'associa­tion. Des jeux d'écriture seront à la dis­position des visiteurs et vous donneront un aperçu des activités de l'association et des possibilités d'écrire. Sophie Mar­vaud proposera aussi des ateliers desti­nés aux classes de collège et de lycée qui le souhaiteront à la seule condition de prévenir de leur passage. Rens.: Sophie Marvaud au 0130 57 37 86.

ur der~ eJck r~ CaNVlÙS'll'lU dU ~··

C'est le Mexique, avec pour base le film _ _. "Terre de magie" de J. Mars et D. Dreux,

qu 'explorera le cycle Connaisance du monde lundi 4 avril à 14h et à 20h30 à la salle J. Brel, pour son dernier rendez­vous de la saison. Tarifs : 7,5€ et 6,s€. Rens. : 01 39 30 31 70.

L'ignymontain www.montignyls.rr

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Jeunes spectateurs, ne manquez pas l'avant-dernière affiche de votre saison le mardi 19 avril prochain à 20h à la sal­le Jacques Brel. Elle propose "Kaléïdo­scopico", un attachant spectacle de ma­rionnettes dû à la compagnie "Théâtre de la Lune", sur un texte et une mise en scène de Hugo Lagomarsino. Contes, gags et poésie se succèdent dans une ambiance musicale alternant jazz, opé­ra et gospel. De malicieuses marion­nettes font leur apparition dans un mé-

li-mélo de couleurs vives et jeux de lu­mière : une diva géante est effrayée par un pousson rouge, des baguettes de pain dansent sur l'air du Lac des Cygnes. Une véritable performance vi­suelle et artistique. Le dernier rendez-vous de la saison jeu­ne public et familial mettra à l'affiche l'extraordinaire aventure du capitaine Blurps de la compagnie théâtrale Aca­ly, le mardi 24 mai prochain. Rens. : 01 39 30 31 70.

Le dimanche 20 mars à la salle J. Brel

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Les 4 chorales du Club de l'Amitié, des IV Vents (notre photo), des Ar­cades du Lac et le choeur Enfants de la Clé des Chants participaient le 20 mars dernier à la manifestation na­tionale "Mille Choeurs pour un re­gard", à l'initiative de l'association Retina France (qui vise à vaincre les maladies de la vue) à laquelle sont reversées les recettes de cette journée. La manifestation était placée cette an­née sous le parrainage des Petits chan-

Près de 300 représentants des associations culturelles étaient invités le 19 mars der­nier par la direction municipale de la Cul­ture à leur dîner annuel à la ferme du Ma­net. Accueillis par le maire Michel Laugier

teurs de Saint-Marc ('les Choristes"). La chanson "Vois sur ton chemin" s'en est trouvé un morceau tout choisi au réper­toire de plusieurs chorales.

et son adjoint à la culture Pierre Le Guéri­ne!, ils se sont vus offrir cette année un apéritif spectaculaire en la personne du pianiste déjanté Fabrice Eurly. Seul en scè­ne, partant pour toutes les virtuosités dé-

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Dernière à la Ferme cette saison

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Un vrai bon boulevard comme les specta­teurs de Montigny en raffolent, "L'invité" nous livre d'abord un quatuor de comédiens haut de gamme avec Evelyne Buyle, Patrick Chesnais, Philippe Khorsand et Gérard Ma­ro. C'est ensuite une pièce mise en scène par Jean-Luc Moreau, et une histoire contem­poraine où tous les ressorts de la jubilation boulevardière sont en place. Le public igny­montain ne s'y est donc pas trompé, et la ferme du Manet affichera complet le same­di 16 avril prochain.

Vacances de printemps

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Du 25 au 29 avril, la Direction de la culture propose trois stages pour profiter des va­cances de Pâques. Un stage d'arts plas­tiques se déroulera au Conservatoire des Arts, de 9h à uh. Les adolescents, encadrés par Katrin Gattinger, pourront par exemple préparer leurs dossiers pour les concours d'école d'art. L'école municipale de théâtre accueillera les enfants âgés de 5 à 7 ans dans ses locaux du Pas du Lac, de 14h à 17h. Chantal Blaumeiser consacrera cette semai­ne à la découverte du corps par les jeux, l'expression, ou encore l'appréhension de l'espace, pour finir par une initiation à l'im­provisation et à la scène avec un mini-spec­tacle de fin de stage. Les manuels pourront s'essayer aux techniques de la poterie, de 9h à uh pour les adolescents de plus de 14 ans et les adultes, et de 14h à 17h pour les enfants à partir de 8 ans.

Tarif communal : 31,30€, hors commune : 43,73€.

Direction de la Culture au 01 39 30 31 70, Conservatoire des Arts 01 34 52 07 41

ç t{fftl calées et outrancières avec son Steinway, l'artiste s'est mis le public dans sa poche, en retardant l'heure du buffet mais en mettant chacun en appétit. Ceux de la dé­légation irlandaise venue fêter la Saint-Pa­trick la veille au Club le Village, et en lice pour un samedi soir à Montigny, s'étaient joints à cette soirée sympathique que Lu­dovic et ses platines ont plus tard trans­formé en soirée dansante.

Awt D~sso-lùr tt Cfl:therw Frar ~~ cid-citt k 11 ~vru Le Ciné-Cité SQY Ouest propose une avant-première du long-métrage " Mon petit doigt m'a dit ", le dernier film du réalisateur Gérard Thomas, en compagnie des acteurs Catherine Frot et d'André Dussolier, le lundi 11 avril à 2oh. Les ré­servations préalables pour cette soirée sont à prendre au 0892 700 ooo.

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La 2' édition de la bourse aux col­lections se tiendra le dimaqche 3. avril, de 9h à 18h, à la Ferme du · Manet. Un franc succès couronné par des milliers de visiteurs ac­cueillis l'an dernier, il n'en fallait pas plus pour que ce rendez-vous réunissant les amoureux de la col­lection se pérennise. Cette année encore, les collectionneurs au­ront l'occasion de compléter leurs séries tout en partageant une passion commune, d'autant que la diversité sera une nouvelle fois à l'honneur avec plus d'une tren­taine d'exposants présents sur place. Cartes postales, timbres, monnaies, jouets ou livres anciens, muselets de champagne, trains électriques, mignonnettes de par­

d'abord esthétique, je préfère privilégier le beau plutôt que le systématique", . remarque Pierre Moïse. L'APl permet le partage du matériel spécifique au parfait collectionneur, comme les cata­logues de référencement ou le matériel d'identification, et c'est également un réseau d'associa­tions que ce soit à proximité, partout en France ou à l'étranger qui facilite l'échange. Vous aussi vous pourrez découvrir que la philatélie est liée à l'histoire, que le premier timbre, le One Penny Black, a été recensé en 1840, ou encore que la Marianne datant de 1959 surchargée de l'inscrip­tion +5F a été éditée en faveur

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Mt se U~Nwtbise Mt>r~ /'IV Céktis~ .te Jei ~f'VJI!Nl et .tes &VI.lec­tio-N l'nt mes.

de la catastrophe du barrage de Fréjus et marque la fin des timbres en an­ciens francs. C'est dans cet esprit que l'as­sociation garde toujours ses portes ou­vertes, deux dimanches par mois à la Ber­gerie du Manet, pour que provenance, fi­ligrane, gomme, cachet, surcharge ou édition n'aient plus de secret pour vous. L'entrée est gratuite alors venez donc profiter de cette ballade au pays des col­lectionneurs qui saura vous faire rêver. Rens.: Jean-Louis Dien, président de l'APl au o6 88 15 54 13 ou Yannick Lesenechal au 01 30 57 13 64

fum ou figurines, la liste n'est pas ex­haustive. Une chose est sure, les collec­tionneurs d'euros devraient confirmer leur percée remarquable dans le monde des numismates.

L'APt ~~ frtfr\Ùrts lr:Jts Coorganisatrice de l'événement avec le Lions Club, l'Association Philatélique lgnymontaine sera évidemment aux pre­mières loges pour le plus grand plaisir de ses trente adhérents. Si l'on en croit les 500 personnes inscrites dans les bureaux de poste ignymontains pour recevoir toutes les nouveautés, nombre sont ceux qui devraient profiter de l'occasion pour assouvir leur curiosité et approfondir leur connaissance de la philatélie, en rompant avec les idées reçues·t:otlt d'-a b'ord. ·La· pre­mière d'entre elles consiste par exemple à croire que seul un timbre oblitéré a de la valeur, or, un timbre neuf courant se vend à 50% de sa côte alors qu'un timbre oblitéré ne se marchande qu'à 30% de sa côte, ce qui nous amène à une deuxième idée reçue qui est celle de la valeur mar­chande des collections. Celles-ci ne se

monnayent que très rarement selon les espérances de leurs possesseurs, et les côtes sont souvent loin de la réalité du marché. D'ailleurs, le plaisir n'a pas de prix, et la philatélie est une passion avant tout.

Dih'Vtrrtr s~ ~ "Au début les collectionneurs ont sou­vent le désir d'amasser, mais ils se ren­dent vite compte que c'est impossible puisqu'il sort entre 5 et 1oooo timbres par an dans le monde. Cette boulimie se transforme rapidement en spécialisation, certains de nos jeunes collectionnent les reptiles, les insectes ou les chiens par exemple", explique Jean-Louis Dien, pré­sident de l'APl. Il s'agit donc d'effectuer un travail de recherche sur des thèmes précis et l'association permet de créer une démarche collective autour d'une passion plutôt individualiste à l'origine. Chacun sait dans l'association que Serge Varannes recherche des timbres sur le thème du cactus et que Pierre Moïse se passionne pour les timbres illustrés de cartes géographiques. "La collection c'est

EN BP~F

Le deuxième volet des trois concerts proposés chaque année par le Conser­vatoire Municipal de Musique se tien­dra le 12 avril, dès 20h30, à la Salle Jacques Brel. Il n'est plus nécessaire de présenter ce rendez-vous musical au­quel participent toutes les classes de formation, les chorales ainsi que l'école municipale de théâtre, qui fidélise dé­sormais un public d'amis et de proches, aussi bien qu'un public d'amateurs qui savent trouver là une prestation de qualité. Ce 2' volet, très attendu com­me l'épisode rythmé de l'année, vous proposera un concert sur le thème du langage, où les classes de percussions seront particulièrement mises en va­leur par une mise en scène de Casimir Skorupski. Tarif: 5, 10€ adhérents, 7,4€ 1"' parent ou tarif réduit, 10,70€ 2 ' parent ou ta­rif plein. Rens. : 01 30 64 15 73·

L)ica-le de -tht~:tre ovw re ses pcrrtes

La direction de la culture vous propose une semaine pour découvrir l'école mu­nicipale de théâtre, située dans les lo­caux du Pas du Lac. Du lundi 18 au sa­medi 23 avril, vous pourrez entrer en toute liberté pour mieux appréhender le fonctionnement de l'école dans ses nouveaux locaux. Plus intéressant en­core, vous pourrez vous ·inrtier am<"·dlf"' férentes approches théâtrales dispen­sées par les enseignants, en venant as­sister à l'un ou plusieurs cours, sur les 18 créneaux hebdomadaires. Cette oc­casion unique vous permettra peut­être de préparer votre entrée en scène, ou cr~lle dr• vos enfants, pour la rentrée pro,:hain •

Rens. et planning des visites au 01 39 30 31 70 ou au 01 39 30 31 73.

A l'Ecole de Musique du Manet

C'est un vernissage réussi auquel ont assisté les visiteurs et amis qui s'étaient déplacés en nombre, le 16 mars dernier au Conservatoire des Arts, pour assister à l'inauguration de cette double exposi­tion en compagnie de la sculptrice, Ca­therine Léva, et du peintre Léopoldo Novoa.

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L'une sur de la pierre, l'autre en peintu­re, les deux oeuvres de Catherine Léva et de Léopoldo Novoa se mariaient à la perfection en se fondant sur le point

commun des deux artistes, à savoir le travail de la matière et du volume. Ru­gueuses ou lisses, les sculptures étaient livrées à l'appréciation tactile des visi­teurs, alors que les tableaux alternaient sur les impressions de force et de dou­ceur. A la fois sobres et abstraits, les ar­tistes s'étaient comme entendus pour laisser libre cours aux sensations du spectateur. "Une fois que j'ai touché la pierre, c'est devenu une poésie" ex­plique-t-elle. "Nous connaissons les deux artistes depuis longtemps. Ils font un travail formidable, et nous savons par exemple que Catherine peut aller chercher ses pierres très loin", déclarait

un couple d'amis. "Nous avons acheté notre premier Novoa en 1975, on en possède sept main­tenant", ajoutait-il. Equilibrée, moderne, dégage une certaine atmosphère, voilà autant de commentaires qui ont été en­tendus lors de ce vernissage. De son côté, Pierre Le Guérinel, élu délégué à la culture avouait : "Pour moi le talent c'est d'arri­ver à transmettre une impres­sion de simplicité et de naturel à des oeuvres qui nécessitent en fait des heures de travail".

C'est un programme chargé d'actualité qui attend l'école de musique du Manet en avril, à commencer par une conféren­ce sur les musiques électroniques donnée dans le cadre du programme sur les mu­siques actuelles, le 9 avril à 19h30, à l'éco­le de musique du Manet. Viendra ensuite le grand rendez-vous de l'école de mu­sique du Manet avec la présentation de son concert annuel que les élèves musi­ciens donneront le dimanche 10 avril, à 10h, à la salle Jacques Brel, sur le thème des musiques de films . De "Il était une fois dans l'ouest" à "La mélodie du bon­heur", en passant par "James Bond" ou "Les choristes", vous pourrez ainsi appré­cier le niveau des interprètes sur des mu­siques familières, joués par des en­sembles de guitares, de violons, de flûtes traversières, de saxophones ou de percus­sions entre autres. Même les musiciens

cv;o.ft~ et Ut~Urt ""' fytjNC~ .te Cé&fle tte rn.<Jilf~ b MI!Mt leJ !l et • o lf.VrU

en herbe de l'éveil musical sauront vous émouvoir. Et pour finir, c'est un stage de percussions qui vous sera proposé, une première originale à laquelle vous pou­vez d'ores et déjà vous inscrire.

P rtrta__ k "ttWfo- t Encadré par Sonia Descamps, professeur de percussions à l'école de musique du Manet, ce stage de deux heures réparties sur deux jours, les 28 et 29 avril, vous permettra de découvrir des instruments à percussions de différents pays, parmi les­quels le steel drum, un instrument mélo­dique de Trinidad aux Antilles, le djembé, un instrument à percussion digitale d'Afrique, ou encore le duff et le zarb, des instruments rythmiques d'Iran. " Il s'agit vraiment d'une découverte d'instru­ments qu'on ne voit pas tous les jours", explique Sonia Descamps. Pour s'initier ou se perfectionner à travers la décou­verte de nouvelles sonorités pour le moins percutantes, ce stage est acces­sible à tous, aux enfants de 3 à 7 ans, de 1oh à 11h, aux enfants à partir de 8 ans, de 11h à uh, ainsi qu'aux ados et aux adultes de uh à 13h. "L'objectif de la deuxième journée sera de jouer ensemble sur des rythmes simples, combinés ou non avec de la musique, conclut-elle. Tarif pour les deux jours : 12€ pour les adhérents et 2.2.€ pour les non-adhérents. Rens. : 01 30 43 12 88.

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EN BREF 12e Paris-Bagnoles le samedi 11 juin

Le départ de la douzième édition du Paris­Bagnoles de l'Orne sera donné au centre sportif Pierre de Coubertin le samedi 11 juin,

_.,. à 6 et 7h. Ce parcours touristique concocté par le club de cyclotourisme ignymontain vous emmènera à la découverte des pay­sages du Parc Régional de la Haute Vallée de Chevreuse au Parc Régional Normandie­Maine, en passant par les Collines du Perche. Accessible à tous, licencié ou non, majeur ou non, à vous de faire de cette course un défi sportif ou une ballade ambi­tieuse. L'arrivée est prévue à Bagnoles sur l'Orne avec un ravitaillement à chaque point de contrôle, ainsi qu'un repas à Mor­tagne au Perche. La carte qui vous sera dé­livrée au départ devra être validée à chaque

·,_·point de contrôle. Pour votre sécurité, des voitures d'assistance suivront les coureurs et le port du casque est bien-sur fortement recommandé. Inscrivez-vous jusqu'au 1" juin car les inscriptions faites après le 6 juin ou sur place seront majorées de 3€. Tarifs : non licencié jeune de moins de 18 ans : 7€, adulte : 12€, licencié jeune de moins de 18 ans : 5€, adulte : 10€. Rens. et inscriptions : Jean-Yves Glinche au 01 30 88 50 12.

Stages de Pâques -.,. Vous avez les deux semaines, du 25 au 29

avril et du 2 au 6 mai, pour suivre un stage sportif. Le stage omnisports ouvert aux j eunes de 8 à 15 ans, de 13h30 à 17h30 au centre Coubertin pour 31 ,5€ par semaine. Le stage de tennis pour les jeunes âgés de 10 à 16 ans, de 14h à 17h, avec une initiation au squash la 2' semaine, pour 65€ par semaine. Le stage au Poney-Club de I'UCPA de la fer­me du Manet pour jeunes débutants de 6 à 12 ans, du 25 au 27 avril, ou du 2 au 4 mai, de 9h à 12h et de 14h à 17h. Rens. : 01 39 30 31 8o.

or le dimanehe 10 avril au eentre Coubertin

1e Taekwondo sig»e son Open

Pour la deuxième année consécutive, le co­mité départemental de taekwondo a choisi le centre sportif Pierre de Coubertin pour or­ganiser son Open yvelinois de taekwondo le 10 avril, de 9h à 2oh. Le club ignymontain, partie prenante de l'organisation, sera éga­lement associé aux clubs de Guyancourt et de La Verrière pour accueillir les 250 compé­titeurs attendus pour cette journée de com­pétition. Les néophytes trouveront là l'occa­sion idéale de découvrir un art martial assez spectaculaire, tandis que les amateurs de la discipline pourront suivre avec attention les combats de champions issus des plus grands clubs français. Pour information, les demi-fi­nales auront lieu en début d'après-midi et les finales devraient débuter aux alentours de 16h, suivies par la cérémonie de remise des médailles.

Tmuver ses marques Cet open sera placé sous le signe d'une double compétit ion, un open de rencontres pour les athlètes les plus expérimentés, mais une Coupe espoir unique en France destinée aux combattants débutants qui pourront ainsi s' initier au combat. Cette journée per­mettra donc aux athlètes issus de toute la France de prendre la température du niveau national et de se mettre en jambe avant le grand championnat. La présence de clubs de très haut niveau promet d'ores et déjà des confrontations très intéressantes pour les spectateurs, et très enrichissantes pour les sportifs de par la diversité des adversaires et l'expérimentation du combat en compéti-

tion. Toutes les catégories de compétiteurs, des benjamins aux vétérans, pourront ainsi perfectionner leur technico-tactique, c'est à dire l'art et la manière de toucher sans être touché. "C'est pour cela qu'on appelle le taekwondo l'escrime des jambes", remarque Sabrina Jouanneault, du club local. A décou­vrir donc cet art martial coréen qui allie self défense et combat aux pieds traduit par "taek", aux poings "won", et tous les aspects de la pratique d'un art martial signifiés par "do". "Seuls les coups portés en dessous de la ceinture sont interdits. Les coups portés vi­sage et les coups de pieds sont autorisés. C'est un sport qui recherche le K.O et c'est souvent très impressionnant à voir", conclut Sabrina. L'entrée est gratuite et les passion­nés disposeront de ravitaillements sur place.

Le site de la Couldre, le tout en un

Le Parc des sports de La Couldre, avec ses ._.terrains et son gymnase, fut le premier

construit sur la commune, et a marqué un véritable tournant dans la pratique sportive des habitants. En effet, cette structure sportive a permis l'émergence de nom­breuses activités sportives, d 'abord prises

_ en cha rge par la municipalité, rapidement .., relayée par les associations. Au départ, ce

sont les sports collectifs qui étaient à l'hon­neur. La pratique du rugby, du football et du handball étaient favorisées par la pré­sence des terra ins stabilisés extérieurs im­plantés depuis 25 ans, puis par la première

~• grande salle couverte inaugurée avec la

construction du gymnase Jules Ladou­mègue en 1981. Le gymnase a ensuite rapi­dement accueilli les premiers galas de dan­se. Financé par le SCAAN, l'ancêtre du SAN destiné à favoriser le développement de la ville nouvelle, le gymnase Jules Ladou­mègue se situe désormais au sein d'un véri ­table Parc des sports qui a subi une évolu­t ion en quatre phases.

Le premier eonstruit surlaeommune

18 ans durant, ce site a sans cesse été déve­loppé et réaménagé, notamment pour dé-

velopper ses capacités d'accueil, et pour mieux servir une population ignymontaine jeune et en constante augmentation. L'une des volontés municipales était également d'encourager le développement du sport de masse. Le Parc des sports a beau être le plus ancien des équipements de la commune, il n'en reste pas moins l'un des équ ipements les plus utilisés, offrant polyvalence et qua­lité aux associations et aux établissements scolaires situés à proximité qui l'occupent. En 1986, les athlètes ont foulé pour la pre­mière fois les si x couloirs d'une piste d'ath ­létisme synthétique flambant neuve, qui fut éclairée dès 1999. Le publ ic et les com­pétitions se sont développés grâce à la construction des tribunes couvertes de 1000 places, et des 12 vestiaires sous-ja­cents en 2000. Vecteur d'image pour les sportifs de la ville, mais aussi patrimoine des habitants, le Parc s'est peu à peu mo­dernisé grâce à un entretien et un suivi scrupuleux des normes officielles. En 1999, c'est la salle de danse parquetée qui a fait peau neuve, suivie par la grande salle consacrée aux sports collectifs, handball, volley-bali, badminton, en 2000 et enfin celle des arts martiaux en 2004. C'est une multitude de terrains qui se sont dévelop­pés autour de ce gymnase, avec un terrain gazonné de rugby en 1987 ainsi qu'un ter­rain d'entraînement en 1996, et un en­semble de 8 vestiaires ajoutés aux terrains de sport de Roger Couderc.

Le parc des sports de la Couldre acueil/e les compétitions principales du football et de l'athlétis· me, ainsi que le rugby sur le site Roger Couderc (en (ace), ainsi que les épreuves d'arts martiaux, de volley, de badminton, sans oublier les voitures radio-commandées sur un circuit spécifique.

Un parfait. équilibre entre intérieur et extérieur

Composé du gymnase Jules Ladoumègue, entouré par les terrains extérieurs de La

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Patinag,e

La perf de Julie G·audin

Julie Gaudin est montée sur la première marche au podium, le l3 février, à joué les Tours.

Jeune lycéenne de 15 ans, scolarisée en secon- · de au lycée Descartes, Julie Gaudin patine de­puis l'âge de 6 ans. Ce n'est pas seulement sa passion du sport qui la porte, mais aussi · une discipline de vie très stricte. Levée à 5h deux jours par semaine pour l'entraînement, les week-ends sont réservés aux entraînements de longue durée et aux compétitions. C'est le . groupe de compétition du club de Meudon qui : l'accueille et se dit fier de ses performances. De ; niveau national 4, elle est capable d'exécuter : des simples axels (1,5 tour), et des doubles sai- . cows. Elle est montée sur la 1' marche du po- . dium à Joué les Tours lors d'une compétition : artistique, à savoir avec sauts et pirouettes, le

. 13 février dernier, et a réédité l'exploit une se- i : maine plus tard , à Fontenay-sous-Bois, en dan- : se sur glace. "J'ai toujours adoré la danse. : Quand on rentre sur la piste, on se laisse em- : porter par la musique, et le trac est vite rem- i placé par les encouragements et l'envie de bien i faire face au public", explique-t-ell e. "I l y a des : périodes où on enchaîne les bons résultats, : mais il suffit d'un doute ou d'un peu plus de i stress pour tout rater", continue-t-elle. Qu'à i cela ne tienne, la motivation reste là, même si ! Julie ne compte pas prendre le risque de quit- ; ter le système scolaire pour se lancer dans une ! carrière professionnelle. En tout cas, ses der- i niers mots vont à ses parents pour les remer- : cier de leur soutien. i

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Le gymnase Ladoumègue est pleiment Intégré au parc des sports ae la CouldYe.

Couldre et de Roger Couderc de l'autre côté de la rue, le Parc des sports de La Couldre est une réussite en matière de parc sportif. D'abord en terme d'équ i libre, puisqu'il compte dix terrains extérieurs, six pour La Couldre et quatre pour Roger Couderc, ain­si que cinq salles intérieures. Ce sont aussi les vestiai res attenants à chaque terrain , et les capacités d'accueil extérieures et inté­rieures qu i en font un équipement sportif abouti. Le parc permet également la diver­sité des pratiques, sports collectifs, sports de raquette, danse et arts martiaux comme on l'a vu, mais aussi tennis en plein air grâ­ce à six terrains découverts, et propose mê­me la pratique de la voiture télécomman­dée tout terrain avec une piste spécialisée.

Des évènements pro~mmés eet été

Le plus étonnant, de l'avis des pratiquants, c'est que l'équipement allie la polyvalence, la facilité d'utilisation à la convivialité. Mal­gré ses capacités à accueillir les plus grandes compétitions grâce à l'espace, aux tribunes et au prolongement du parking, l'équipe­ment a conservé une taille humaine et har­monieuse, comme si chacun pouvait prati­quer son sport sur son terrain favori. Pro­chainement le Parc de La Couldre sera à nouveau à l'honneur lors de l'organisation du Championnat d'Europe de voiture télé­commandée sur piste, et des IV' Jeux mon­diaux de Nanosport (destinés aux per­sonnes de petite taille) cet été.

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Monti~y au eœur des JO 2012

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Les maires aes communes ae Saint-Quentin et le président caaalbert ont accueilli les délégations au CIO et ae l'organisation ae Paris 2012 le 12 mars sur le site au vélodrome ae Montigny. Flo­rian Rousseau (à aro;te), champion au monae et champion ol)'mpique ae cyclisme sur piste, éta;t là en ambassadeur ae luxe pour défendre la construction d'un vélodrome national.

Vous avez peut-être aperçu la place de la Paix Céleste nouvellement décorée aux cou­leurs de l'amour des jeux. En effet, tous les acteurs sportifs et la population représentés par la Communauté d'Agglomérations et l'Etat qui a créé un Groupement d'Intérêt Pu­blic en faveur des JO, ont voulu signifier leur implication pour l'organisation des JO 2012, à l'occasion de la venue de la délégation de la commission d'évaluation du Comité Interna­tional Olympique. Ce n'est pas un hasard si les Yvelines ont été sélectionnées pour constituer l'un des deux pôles acteurs des JO 2012 avec Paris nord, puisqu'il s'agit du pre­mier département sportif d'ile-de-France avec 411 ooo licenciés. Avant son départ pour Moscou, dernière ville candidate pour l'organisation des JO 2.012, la délégation de 14 personnes, présidée par la marocaine Na­wal ei-Moutawakil, championne du monde du 400 mètres haies en 1984, est donc venue visiter le département. Accueillie pour un dî­ner de bienvenue par le ministre des sports, Jean-François Lamour, mais aussi par le pré­fet des Yvelines, Bernard Niquet, ainsi que le député-maire de Versailles, Etienne Pinte, et le président du Comité Départemental Olympique et Sportif des Yvelines, Jean­Loup Leplat, la délégation s'est ensuite ren­due sur les trois sites phares du pôle Yvelines, à commencer par la colline de la Revanche ou colline d'Elancourt, qui constitue le point culminant de l'ile-de-France avec une hau­teur de 2.71 mètres. Retenu pour l'installation des parcours de VTT et de bicross, nouvelle discipline olympique en 2.012, ce site offre également un point de vue périphérique sur la géographie du département. La fosse de tir souterraine prévue à Versailles-Satory constituait le deuxième arrêt de la commis­sion qui a achevé sa visite sur des notes igny­montai nes, sur les lieux du futur vélodrome.

te vélodrome de Monti~ La délégation était donc sur place le samedi 12 au matin, sur le futur site du vélodrome si-

tué entre l'Institut Franco-Japonais et la Ba­se de Loisirs. Sur cette parcelle de 4 hectares et demi, le vélodrome devrait offrir une pis­te de cyclisme de 2.50 mètres de long, et per­mettre une capacité d'accueil permanente de 3000 places, ou exceptionnelle de 6ooo places. Ce ne sera pas seulement un formi­dable outil sportif sur le plan départemental, qui profiterait bien sûr à tous les clubs de la ville nouvelle, avec notamment l'installation du siège du Comité Départemental de Cyclis­me, mais une véritable opportunité de placer la commune et le département aux premiers plans régional et national.

Une future seène nationale et intemationale

du eyelisme sur piste "La construction de ce vélodrome est très importante, d'abord parce qu'aucun site en France ne permet plus d'accueillir de grandes compétitions internationales et le public qui les accompagne", explique Jean-Loup Leplat, président du CDOS 78. D'ailleurs, c'est pour cette raison que Robert Cadalbert, président de la Communauté d'Agglomération de Saint-Quentin-en-Yvelines, s'est déclaré fa­vorable à la construction de ce vélodrome, que la France remporte les jeux ou non. Sur le plan sportif, le vélodrome deviendrait une scène de premier plan, où pourrait par exemple être organisée une manche de la coupe du monde de cyclisme qui a lieu chaque année sauf l'année des JO, et qui per­mettrait également de créer un véritable pô­le espoir national de cyclisme, grâce à un équipement adapté, afin de former des ath­lètes de haut niveau chez les jeunes. La Fé­dération Française de Cyclisme pourrait mê­me y installer son siège. En outre, Jean-Fran­çois Lamour rappelait à juste titre lors du dî­ner d'accueil que les JO devraient entraîner un supplément de quatre millions de licen­ciés toutes disciplines sportives confondues.

Volley : la montée en Réyonale 2 assurée

Quelques fins de saison à suspense

solution du mot fl éché page 16

La fin de saison se joue dans l'allégresse pour I'ASMB Vol­ley, alors que l'équipe des Se­niors Garçons a assuré son accession à l'échelon supé­rieur en Régionale 2. la saison prochaine. Le club ignymon­tain fêtera l 'évèn~ment le di­manche 3 avril 2.005 à 16h au gymnase J. Ladoumègue, en marge de l'opposition du jour.

Quelques fins de saison à suspense vont délivrer leur verdict ce mois-ci pour quelques équipes ignymon­taines de niveau régional ou de national. Les handbal­leuses sont bien accrochées à une seconde place synonyme de barrage vers la Nationale 1. En foot, les 18 ans restent en lice pour accéder à la Divi­sion d'Honneur.

15

L 'Ignymontain www.IIIOIIt/glfYlB.fl'

Jean-Loup Leplat, I~ymonfain et président du CDOS 78

Habitant du quartier du Plan de Troux de­puis 1989 et directeur juridique à la retrai­te, Jean-Loup Leplat est aussi président du Comité Départemental Olympique et Spor­tif depuis le 2.9 septembre 2.003. Il vient d'ailleurs d'être réélu à ce poste le 8 février dernier à Poissy, avec deux objectifs en point de mire, favoriser la présence des femmes au sein des fonctions sportives à responsabilités, ainsi qu'une plus grande accessibilité du sport aux personnes handi­capées. Il déplore par exemple l'absence de femme parmi les 20 membres élus du CDOS 78.

t'homme aux multiples easquettes

Malgré la fin de sa carrière professionnelle, les piles de dossiers n'ont pas disparu de son bureau, bien au contraire. Son investis­sement personnel en tant qu'administra­teur associatif lui a d'ailleurs valu quelques médailles d'honneur, et notamment celle la médaille d'argent de la Jeunesse et des Sports. Il assume en effet la lourde respon­sabilité incombée par six mandats départe­mentaux, un mandat régional et un man­dat national. Lui-même sportif, il a joué durant dix ans sous la bannière du club de foot de Poissy, avant de passer entraîneur et éducateur de foot diplômé d'Etat. Tou­jours très proche de ce sport il est mainte­nant en charge de nombreuses responsabi­lités en tant que président de l'amicale des éducateurs de foot 78 depuis 1986, et re­présentant de ces éducateurs au niveau ré­gional et national. Au départ, son implica­tion dans la promotion du sport vient de son intime conviction que le sport, après la famille et l'école, constitue une chance

supplémentaire pour un jeune de se struc­turer. Puis c'est par passion, et surtout par curiosité intellectuelle, qu'il passe du foot au CDOS, pour découvrir plus de sports en­core. "Ma formation de juriste m'a beau­coup appris dans la gestion et la direction des associations, mais dans ma vie en gé­néral, c'est le sport qui m'a appris la valeur de l'effort et de l'investissement de soi", ex­plique-t-il. Et c'est cet engagement qu'il met au service du CDOS en partie en char­ge de la promotion du sport dans le dépar­tement, de la réflexion sur le sport et de la formation des cadres sportifs. "Tant que j'aurai la soif de progresser, je continuerai. Il ne faut pas oublier que ce n'est pas un travail individuel, mais celui de toute une équipe de gens compétents", conclut-il.

.}ealt-l.OIIfll.eplat. président du comité Oépar­temelffQI olympique et Sportif Ms YveliMS depuis 2003, réside à Molrtl'f]ny.

Véronique Coehereau en 1Jronze au Franee

Le 19 février dernier, Véronique Cochereau, du Stadium Montigny Athlétic Club, a brillamment obtenu la 3• place du podium dans l'épreuve de marche 3 km lors des Championnats de France vétérans d'athlé­tisme indoor qui se déroulait dans le super­be stadium Jean Peliez d'Aubière à coté de Clermont Ferrand. En réalisant sans coup férir les minimas (19 minutes et 23 se­condes) imposées pour concourir au cham­pionnat national lors des championnats dé­partementaux en décembre 2.004, Véro­nique obtiendra sa qualification dès les championnats départementaux en dé­cembre 2.004. Un chrono de 17' 2.5" qu'elle améliorera lors des différentes épreuves hi­vernales, comme les championnats régio­naux et championnat d'ile de France où el­le réalisera un 16 mn 49 sec porteur d'es­poirs. Ce 19 février à Clermont-Ferrand, pour sa première participation à des championnats de France, Véronique réussit un chrono de 16 mn 45 s, réalisant ainsi son meilleur temps de la saison hivernale. En deuxième position pendant un tiers de la course, Vé­ronique n'a pu résister, lors de l'avant der­nier tour, à l'attaque de l'expérimentée Su­zanne Loyer de la ligue d'Auvergne, cham­pionne d'Europe et de France en titre qui concourait sur son lieu d'entraînement. Vé­ronique termine donc à moins de 3 s de la deuxième place et avec 17 secondes d'avan­ce sur la quatrième concurrente. Elle offre ainsi au Stadium Montigny Athletic Club son premier podium national. Seule marcheuse du club, Véronique a dû s'entraîner seule pour obtenir ce résultat, en s'appuyant sur les conseils et les plans d'entraînement d'un ancien entraîneur du SMAC, tout en réussissant à allier la course

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à pied et la marche. Maintenant, Véronique se consacre à quelques courses sur route pour le plaisir d'être avec ses amis du SMAC, puis place à la saison estivale. Son objectif sera de viser à nouveau une partici­pation aux championnats de France Vété­rans sur piste à Saint-Jean-de-Luz début juin prochain . On y prend goût...

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MPNI'!!.~Y

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Plan de vol, De quelle case doit partir cet extra-terrestre pour re­joindre la planète Z, en suivant les lignes tout en ne

changeant pas de direction quand il rencontre un point ?

10 gagnants recevront un tee-shirt Réponses à faire parvenir avant le 15 avril à l'Hôtel de Ville, Service Communication,

66 rue de la Mare aux Carats- 78180 Montigny-le-Bretonneux. Les lots sont à retirer à l'accueil du service Communication.

Jeu ouvert aux moins de 18 ans.

La réponse au jeu du mois dernier était : 128 (8 x le nombre de faces de la figure)

Les gagnants sont: Sophie BOCABEILLE, Mathieu BERNARD, Floriane CHRISTOPHE, Rose-Metté GOMIS, Elodie MATUSIK, Mathilde PEREIRA,

Marion RIVERAIN, Florent TARALLE, Quentin TARALLE, Amaury VALETIE .

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