L'édito ANNÉE 2013 — OCTOBRE 2013 — NUMÉRO 42

L’Arob@z Le journal de l ’Athénée Royal de Herstal

L’édito 1

Sondage 1

Les Neuhaus 2

Stromae 2

Les clichés 2

MWA 3

Les iPhones 3

Ed Sheeran 3

Roman-feuilleton 4

La belle Histoire 4

Coup de crayon 4

La p’tite actu du mois 4

DANS CE NUMÉRO :

cée par une nouvelle main-d’œuvre journalistique et illustratrice. Les nouvelles idées fusent, les projets

affluent, les cer-veaux sont en ébulli-tion au sein de notre

rédaction. Vous pour-rez le constater dès ce premier numéro de l'année. Parmi les nouveautés, une rubrique historique voit le jour (ce n'est pas si nou-veau mais le concept imagi-né par les jeunes journalis-tes le sera). Des sondages divers et variés vous se-ront également proposés (si vous voyez une certaine P., un(e) certain(e) A. se balader sous le préau, un bic et un carnet de notes à la main, fuyez !). Chaque numéro comptera aussi une rubrique thématique choi-sie sur le fil (c'est-à-dire à la dernière minute), des articles humoristiques...

L'éditeur responsable ac-tuelle, vieillissante (... pour rester soft !), ne peut plus assumer une telle char-ge. Mais nous

ferons notre possible pour vous faire rire, vibrer, dé-sirer,... en cinq numéros. Ce n'est déjà pas si mal ! L'équipe, qui se compose de quelques anciens irréducti-bles (que vous reconnaîtrez sans doute), se voit renfor-

A mis lecteurs, bonjour à tous.

Comme je le dis souvent, « l'an prochain est un autre jour »... Nous y voici donc, à ce fameux jour. La rumeur selon la-quelle notre jour-nal ne serait plus publié, rumeur qui trouvait sa raison dans le désir d’engager un nouvel éditeur responsable (qu'elle dégage… !), se voit ici muselée. Ce revirement est simple à expliquer. Les jeunes arob@ziens souhai-taient poursuivre encore un peu l'aventure... Et il est si difficile de leur dire « NON » ! Ainsi, vous pour-rez profiter, cette année encore, de nos délires, de nos lubies, ... de tout ce qui fait l'esprit de ce journal. Première nouveauté, cepen-dant, vous ne recevrez plus vos sept numéros par an.

Du côté des premières années...

maires me manquent un peu, surtout que, pendant 6 ans, j'ai toujours été

avec les mêmes personnes avec qui j'ai plein de souvenirs... Je suis tou-jours avec certains d'entre eux, mais on essaye quand même tous de faire de nouvelles connaissances ! » L'élève de 1C : « J'ai choisi cette école car certains de mes cousins y sont déjà et comme elle est près de chez moi, c'est plus facile... Mais j'ai dû m'y habituer ! Les primaires ne me manquent pas, j'en avais un peu marre. C'est vrai que j'avais un peu peur pour la rentrée, surtout de me retrouver dans les plus petits mais, finalement, ça va ! » Merci à vous deux !

Pauline G.

P our les plus âgés d'entre nous, notre toute première rentrée

dans le secondaire semble déjà bien loin... Mais pour d'autres - amis de première, sentez-vous visés - cette rentrée s'est déroulée il y a seule-ment quelques semaines... Voici les réactions de Giulian et d'un(e) élève de 1C. Giulian : « Ma rentrée s'est bien passée. En fait, le secondaire, c'est plutôt cool ! C'est vrai que j'avais un peu peur du changement et de ne pas arriver à suivre les cours mais, fina-lement, je gère ! Ma sœur est dans l'école en deuxième, donc je connais-sais déjà pas mal de monde... Les pri-

Le coup de crayon renaît, lui, de ses cendres... Un bonheur, pour moi. En pri-me, nos incontournables, comme l'article musical, le roman-feuilleton, l'actu… Je cède donc la plume avec plaisir à mes « coreligionnaires » (notre seule « religion » étant, ici, la bonne humeur)... Bonne lecture à vous.

N. N. (l'éditeur responsable soi-

même, pour vous servir)

Pour son premier sondage, l'Arob@z s'intéresse à nos premières années... Comment s'est passée ta première rentrée dans le secondaire ? A) Super bien, c'est juste génial ! 46 % B) Ça va... Je m'y suis habitué(e) 48 % C) Bof bof, on fait aller ! 6 % *50 élèves de première ont été in-terrogés, merci à eux !*

Aurélie E.- Pauline G.- Anthony R.

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chers messieurs, de leurs idées préconçues sur la taille de votre sexe ? Et vous, chères dames, n'en avez-vous pas assez de leurs clichés à propos de votre nourriture, com-me quoi il y aurait du chat et du chien dedans ? Chers amis noirs, n'en avez-vous pas assez que l'on vous appelle « mamadou » ou que l’on pense que la mauvaise odeur d'une pièce proviendrait de vous ? N'en avez-vous pas marre, chers mes-sieurs, de leurs clichés sur vos ca-pacités athlétiques ? Et vous, chè-res dames, n'en avez-vous pas assez qu'ils croient que vous portez tou-

tes des perruques ?!!! Chers amis « arabes », (révoltez-v... Heu non ! Vous êtes vraiment des voleurs... Ironie, quand tu nous tiens...) n'en avez-vous pas marre qu'on vous dise que vous avez une famille nombreu-se juste pour les allocations, que vous avez tous un accent et que vous êtes des membres secrets d’Al-Qaida ? Chères amies blondes, rousses, brunes,… ne vous laissez pas faire sous prétexte que vous êtes des femmes ! Et ce n'est pas un cliché de dire que vous êtes plus intelligentes que les hommes…

Mesut

J e ne sais pas ce qui vous énerve mais, moi, ce sont les clichés.

Vous voyez, ces idées qui vous rap-pellent constamment que vous res-terez un « ching-chang-cheng » si vous avez les yeux bridés, que vous adorez le poulet plus que tout au monde parce que vous êtes noir, que vous êtes un sale voleur car vous êtes « arabe », que vous êtes « conne » parce que vous êtes blon-de, etc. Chers amis asiatiques, n’en avez-vous pas assez de vous faire appeler « chinois », même si vous êtes Thaïlandais, Tibétain, Vietna-mien,... ? N'en avez-vous pas assez,

Stromae, du Sourire... à la Racine Carrée

Belgitude...

Les clichés qui clashent...

fourrée de choco-lat : la praline était née... Très vite, elle fut très demandée. La femme de Jean, Louise Agostini, eut l'idée de remplacer le cône de papier qui lui servait autrefois d'emballage par de petites boîtes car-tonnées plus solides appelées ballotins. Aujourd'hui encore, le succès de la prali-ne est toujours au rendez-vous sous de nombreuses autres marques qui se sont lancées dans sa confection. On la déguste donc main-tenant aux quatre coins du monde. Pour finir, n'oubliez pas, chers amis gour-mands, que, même si il est vrai que man-ger trop de chocolat fait grossir, en peti-te quantité, il serait bon pour la santé !

Pauline G.

Q ui n'a jamais goûté, ou plu-

tôt dévoré, ces peti-tes douceurs de chocolat ? Les per-sonnes dans ce cas sont très rares, surtout en Belgique puisque les pralines sont des spécialités bien de chez nous ! Leur histoire com-mence il y a un petit temps déjà, en 1857, quand un hom-me, Jean Neuhaus, ouvrit une boutique de confiseries phar-maceutiques à Bruxelles. Rapide-ment, les douceurs au cacao remplacè-rent les bonbons contre la toux ou le mal de ventre. Sa passion pour le cho-colat se transmit de génération en géné-ration et, en 1912, un autre Jean Neu-haus, le petit-fils du premier, inventa une nouvelle douceur

Les Neuhaus : une histoire de pralines belges...

artiste, se demandant si il n'a pas croulé sous la célébrité. Quelques jours plus tard, Stro-mae dévoile le clip de sa nouvel-le chanson, Formidable, et grâ-ce à l'attention que les médias lui ont apporté quelques jours plus tôt, le buzz n'en est que meilleur. Le 16 août dernier, le 2ème album de Stromae, Racine Carrée, sort. Celui-ci se compo-se de 13 morceaux pour 43 mi-nutes de son pop-électro abor-dant des thèmes divers tels que les réseaux sociaux, le racisme, les problèmes de couples, l'ab-sence de son père, etc. L'album, que je vous conseille vivement, est disponible dans les bacs mais également sur iTunes au prix de 9,99€.

Anthony Roberfroid

V ous l'écoutez depuis des mois, vous adorez ses

chansons ou ne pouvez plus l'écouter à force de les enten-dre et, pourtant, l'artiste bel-go-rwandais, Stromae, nous revient avec un Formidable al-bum : Racine Carrée. Connu de-puis la sortie de son titre pha-re, Alors on danse, Paul Van Haver, alias Stromae (Maestro en verlan), s'est construit tout d'abord un premier album, Cheese, rempli de musiques que tous ont au moins une fois en-tendues : Te Quiero, Peace or Violence, Je cours, House'Llelu-jah, ... Ces titres, qui ne vous sont sûrement pas inconnus, ont permis à Stromae de se faire un nom dans le monde de la musi-que belge. Mais quand beaucoup le décrivent comme un « one-hit wonder » (un artiste qui fait le buzz pendant peu de temps grâ-ce à un ou quelques titres), Stromae, lui, prépare déjà son nouvel album. Cependant, le 22 mai 2013, une vidéo postée sur Youtube montre Stromae ivre sur l'avenue Louise à Bruxelles. Les médias se posent alors des questions sur l'avenir du jeune

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Ed Sheeran

E dward Christopher Sheeran, plus connu sous le nom de Ed

Sheeran, est un chanteur-compositeur anglais né le 17 fé-vrier 1991 à Halifax. C'est à l'âge de 11 ans, au concert de Damien Rice, que Ed se rend compte qu'il veut vivre de la musique. Donc 5ans plus tard, à l'âge de 16 ans, il quit-te l'école pour se consacrer à sa musique. Il se produit souvent dans les bars, les cafés, les soirées scè-ne libre. En 2005, Ed commence à produire ses propres EP ou exten-ded play (ensemble de musiques, 3 ou 4 le plus souvent, qui précède généralement un album, appelé ain-si car il est trop long pour être considéré comme single mais trop court pour être appelé album). Ed a commencé à se faire connaître sur les réseaux sociaux, notamment MySpace. MySpace est très connu à l'époque et il permet à des artis-tes peu connus comme Ed d'es-sayer de se faire un nom dans le monde de la musique. Ed permet à ses fans d'écouter ses musiques gratuitement et, très vite, il

connaît du succès ! C'est en 2011 qu'il signe un contrat avec le label Asylum Records. Il sort ainsi son 1er album, +, qui connaît un succès mons-tre ! Il atteint la 1re place du classe-ment des ventes au Royaume-Uni et y figure même dans les 10 meilleures ventes de l'année 2011. L'album + est double disque de platine et a bien sûr connu un succès mondial. Le 20 octo-bre, le premier clip de son album sort et on y retrouve Rupert Grint, l'ac-teur connu mondialement sous le nom de Ron dans Harry Potter, ce qui donne un énorme coup de pub à la chanson nommée Lego house. Après ce succès fulgurant, Ed participe à de nombreux festivals anglais répu-tés tels que Glastonbury, Reading. Il est également récompensé par un Award durant le UK Festival Awards. En 2012, les récompenses affluent. Il remporte 2 awards à la célèbre céré-monie annuelle des Brit Awards. En plus d'écrire ses propres chansons et de jouer ses mélodies, Ed écrit pour d'autres artistes et notamment pour le plus gros Boys Band du moment, les One Direction. Il écrit Moment (où

on peut l'entendre chanter quel-ques paroles) pour leur 1er album Up all night et, pour le 2e album, il écrit Little Things et Over Again. Il collabore aussi avec la chanteuse de pop country très populaire Taylor Swift. Tous deux écrivent et chantent la chanson Everything has changed qui se trouve sur l'al-bum RED de Taylor. Ed assure ac-tuellement la première tournée du RED tour de Taylor Swift. Il tra-vaille aussi sur son prochain album qui devrait sortir fin 2013-début 2014. Et, bonne nouvelle pour lui, il se produira au Madison Square Garden au mois de novembre 2013. Des dates supplémentaires sont prévues car les places ont été ven-dues en quelques minutes à peine ! De quoi rendre fiers les millions de fans qui le suivent sur Twitter. Ed est, pour moi, un des meilleurs au-teur-compositeur-interprète des années 2000. Si vous ne le connais-sez pas, je vous conseille de vite aller écouter ses musiques. Croyez-moi, vous ne serez pas déçus !

« Doudou »

L'iPhone 5S et l'iPhone 5C

L es fans de la marque à la pom-me, depuis la conférence d'Ap-

ple le 10 septembre dernier, sont impatients de pouvoir enfin mettre leurs mains sur les deux smartpho-nes les plus attendus de l'année : L'iPhone 5S et l'iPhone 5C. Du point de vue des nouveautés, peu de choses changent, l'iPhone 5S se pare d'un nouveau processeur A7 64bit, d'un coprocesseur M7 (celui-ci collectera les données venant des capteurs de mouvements de l'appareil, ce qui réduira la charge de travail du processeur principal), d'un appareil photo de 8 Mega-pixels et d'un lecteur d'empreinte digitale remplaçant le bouton « Home » des anciens modèles. Ce lecteur permettra de déverrouiller l'appareil et de confirmer ses achats sur les différents « Store » d'Apple sans devoir retaper son code de confirmation. Malheureu-sement pour l'iPhone 5C, aucune

nouveauté matérielle n'a été ajoutée et celui-ci n'est qu'une pâle copie de l'iPhone 5. Ces deux nouveaux iPhones se-ront disponibles en Belgique dès le 25 oc-tobre. L'iPhone 5S sera disponible en 3 coloris : gris sidéral, or/champagne et argent. La coque de l'iPhone 5S sera, comme son grand frère l'iPhone5, métallique. Celui-ci sera disponible en 16, 32 et 64Gb pour un prix variant entre 699€ et 899€ selon la capacité choisie. Quant à l'iPhone 5C, celui-ci se verra propo-sé avec une coque en plastique qui se déclinera en 5 couleurs : blanc, bleu, rose, jaune et vert. Il remplacera dès maintenant l'iPhone 5, qui se voit dis-paraître des boutiques officielles. Il sera disponible en 16Gb pour 599€ et en 32Gb pour 699€.

Anthony Roberfroid

MWA Move With Africa

Q uinze élèves de 6C ont en-voyé un dossier de candida-

ture, le vendredi 18 octobre, afin de participer à un projet d'im-mersion et de coopération au dé-veloppement organisé par La Li-bre Belgique, en partenariat avec différentes ONG. Ce magnifique projet est soutenu par Mesdames Depaifve, Lecocq et Warowny, professeurs de l'A.R.H. Si l'une des ONG sélectionne les élèves de notre établissement, ils parti-ront dans un pays d'Afrique. Au-tant vous dire que les personnes concernées attendent avec impa-tience le verdict qui tombe juste ce 24 octobre. Pour de plus am-ples informations, visitez le site www.lalibre.be/page/mwa

La belle Histoire... C her lecteur et lec-

trice, bienvenue dans la nouvelle rubri-que de l'Arob@z consa-crée à l'Histoire, avec un grand H. La rubrique traitera, à travers la littérature, la BD et le film historique, des grands événements du siècle dernier (guerres mondiales, chute du Mur

de Berlin,...). En atten-dant, sachez qu'une im-portante exposition sur la première guerre mondiale sera organisée à la gare des Guillemins pour la commémoration des cent ans du début de la guer-re. Elle sera composée de reconstitutions, d'objets et de matériel militaire avec, pour point de dé-

part, l’héroïque résis-tance de l'armée belge à Liège face à l'armée allemande (réputée in-vincible) durant 12 jours. L'exposition coû-tera entre 4 et 5 mil-lions d'euros. La date de l'ouverture est pour 2014.

Joey Delrez, Corentin Meurmans

E lle était tou-jours seule.

Ses yeux étaient toujours grands ouverts comme si elle découvrait la vie à chaque pas qu’elle faisait. Elle marchait, toujours seule, mais gaiement et elle semblait telle-ment attentive au moindre bruit, à la moindre senteur, au moindre mouve-ment proches d’elle. Elle était si jeune, si resplendissante de beauté, si seule. Ses longs cheveux bruns volaient au gré du vent tout comme les jupons de sa petite robe enfantine. Elle semblait si heureuse. Elle semblait si heureuse mais ne parlait pas, elle souriait mais seulement à elle-même, elle découvrait mais elle ne savait pas quoi exacte-ment. Elle ressemblait à un petit oi-seau. Elle se contentait de voir, de sentir mais d’une manière lointaine, comme si un brouillard s’était immiscé entre le monde réel, celui qui nous ap-partient, et elle. Elle donnait l’impres-sion de n’être qu’un souvenir, passé ou futur, personne ne le sait. Elle sem-blait insaisissable, intouchable mais si frêle, si sensible. Qui était-elle ? Personne ne le savait car personne ne lui parlait. D’où venait-elle ? Il suffisait d’une demi-seconde d’inattention et elle apparaissait. Pour certaines personnes, elle était maudi-te. Pour d’autres, elle était un message venu des divinités. Peu importait l’im-pression qu’elle donnait, elle était. Tout simplement, elle était. Une fois, un petit garçon tenta de lui parler. Il alla la trouver, gentiment, et quelques regards indiscrets se tournè-rent en sa direction - tout le monde la voyait, mais personne ne lui parlait. Gentiment, il lui proposa de venir jouer avec lui. Elle le regarda, en souriant, l’effleura d’une telle lenteur, d’une telle douceur qu’il fut possible de croi-re qu’elle ne venait pas de la même époque et elle partit. Elle ne revint que bien des jours plus tard. Avait-elle peur ? C’est ce que les ragots s’amu-saient à dire. Certaines personnes, plus sensées, pensaient qu’elle s’était trom-pée d’époque. Impossible mais proba-ble.

Sarah Dragozis

Roman-feuilleton

Coup de crayon

U n immeuble de plusieurs éta-ges s'est effondré à Kinshasa.

Plusieurs blessés sont à déplorer, dont une Belge.

C'est la fin pour notre « fameuse » cristallerie du Val Saint-Lambert.

Des émeutes se sont produites dans le Limbourg le 14 octobre.

Samedi 12 octobre, la Corée du Nord a appelé les États-Unis à ar-rêter leurs manœuvres militaires et leur « chantage nucléaire » en lan-çant, une nouvelle fois, une mise en garde contre la guerre totale.

Dorian Cerfontaine

Journalistes : Dorian CERFONTAINE, Joey DELREZ, Sarah DRAGOZIS, Aurélie ESPINOSA, Pauline GROSJEAN, Dounia LEKHDER, Corentin MEURMANS, Anthony ROBERFROID, Mesut SACI. Mise en page : Nathalie NARDO. Mise en ligne : Lionel GOMEZ. Illustration : Jonathan GILLES, Nathalie NARDO, Mehdi SACI, Mesut SACI. Éditeur responsable : Nathalie NARDO.

Ne pas jeter sur la voie publique.

La p'tite actu du mois en vrac...