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Le HavreLe HavreLa ville et le port sont officiellement fondés par le roi François Ier en 1517. Le développement économique

à l'époque moderne est entravé par les guerres de religion, les conflits avec les Anglais, les épidémies

et les tempêtes. C'est à partir de la fin du XVIIIe siècle que Le Havre s'agrandit et que le port prend son essor

grâce à la traite négrière puis au commerce international. Après les bombardements de 1944,

l'atelier d'Auguste Perret entreprend de reconstruire la cité en béton. L'industrie du pétrole, de la chimie et de l'automobile sont dynamiques pendant les Trente Glorieuses mais les années 1970 marquent la fin de

l'âge d'or des paquebots et le début de la crise économique : la population diminue, le chômage

augmente et reste à un niveau élevé encore aujourd'hui.

Les changements des années 1990-2000 sont nombreux, la ville s'engage sur le chemin de la reconversion en cherchant à développer le secteur tertiaire et de nouvelles industries (aéronautique, éoliennes). Port 2000 accroît la capacité d'accueil des

conteneurs pour concurrencer les ports du nord de l'Europe, les quartiers sud se transforment, les paquebots font leur retour. En 2005, l'Unesco inscrit le centre-ville du

Havre au patrimoine mondial de l'humanité. Le musée André Malraux devient le deuxième de France pour le nombre de toiles impressionnistes.

Avec 68,6 millions de tonnes de marchandises en 2011, le port du Havre est le deuxième port maritime français de commerce derrière celui de Marseille et le 50e port

mondial. Mais il représente 60 % du trafic conteneurisé français avec près de 2,2 millions d'EVP en 2011 Au niveau européen, il est le huitième pour le trafic de

conteneurs, le sixième pour le trafic total. Le port reçoit un grand nombre de pétroliers qui ont transporté 27,5 millions de tonnes de pétrole brut et 11,7 de produits raffinés en 2011. Enfin, 340 500 véhicules ont transité par les terminaux rouliers en 2010. 75

lignes maritimes régulières desservent 500 ports dans le monde

Terminal - conteneurs

Œuvre des architectes Auguste Perret, Jacques Tournant, l'hôtel de ville est inauguré en 1958. Le premier pieu du corps central est coulé en 1953, la tour de 18 étages et

90 mètres de haut évoquant initialement un beffroi est commencée en 1954 Le théâtre attenant est inauguré en octobre 1967.

Le jardin de la partie sud de la place de l'hôtel de ville a été dessiné personnellement par Perret. Cette immense place, a été transformée en 1990 : rétrécissement du boulevard qui la divisait (d'abord en couloir de bus, puis en voie de passage pour le tramway), création

d'un parking souterrain, ajout de fontaines, d'arbres et de treillages en bois exotique (démontés en 2010), agrandissement des pelouses et des espaces fleuris.

Le Tramway du Havre est un réseau de tramway composé de deux lignes en service depuis le 12 décembre 2012 desservant Le Havre en reliant la ville basse aux quartiers de

Mont-Gaillard et Caucriauville situés en ville haute

L'église Saint-Joseph est un édifice emblématique du centre-ville

reconstruit du Havre. C'est le premier monument que l'on voit en arrivant

par la merLa réalisation de l'édifice fut confiée à Raymond Audigier. À la mort de Perret, en 1954, l'église fut terminée par Georges Brochard qui tenta de

traduire ce que désirait réellement son maître pour la forme du clocher

Les travaux débutèrent le 21 octobre 1951 par la pose de la première pierre. La fin du gros œuvre a lieu en octobre 1957

avec l'achèvement de la tour de 107 mètres et la remise au culte le

22 mars 1959, bien que les aménagements intérieurs ne seront

terminés qu’en 1961. La consécration du Maître Autel et des aménagements (baldaquin,

stalles) conçus par l’architecte Guy Verdoïa a lieu en 1964

. La nouvelle église Saint-Joseph fait l'objet d'une inscription au titre des

monuments historiques par arrêté du 11 octobre 1965 soit dix ans

seulement après sa construction, fait rarissime qui montre que cette église est une des constructions les moins

controversées de notre temps .

En 1997, l'église est parée d'un habillage lumineux.

Intérieur de St Joseph.

Réalisé par Oscar Niemeyer entre 1978 et 1982, sur l'ancienne place Gambetta qui accueillait avant la Seconde Guerre mondiale le Grand Théâtre, l’espace culturel du

Volcan comprend un théâtre (Scène nationale), une salle polyvalente (le Petit Volcan), un cinéma d’art et d’essai (l'Eden, fermé le 12 janvier 2010) et diverses pièces

(studios d'enregistrement, bureaux...).

Le funiculaire du Havre couramment surnommé le « funi » par les habitants ou la « ficelle » par les anciens est un système de transport en commun dans la ville

La ligne du funiculaire a une longueur de 343 m et un dénivelé de 77 m. Le trajet dure environ 3 minutes entre la station haute (rue Félix-Faure) et station basse (place Thiers), séparées par un tunnel. La ligne ne comporte qu'une voie qui se divise en deux en cours de parcours afin de permettre le croisement des cabines.

30 octobre 1972 : Inauguration du nouveau funiculaire, un appareil construit par Neyrpic avec des cabines sur pneus, plus silencieuses et confortables.

Le 1er juillet 2010, c'est le Citadis 302 d’Alstom qui remporte l'appel d'offre de 22 rames . Malgré le classement au

« Patrimoine de l'humanité » du centre reconstruit, la traversée de la

place de l'hôtel de ville et de l'avenue Foch se fera par ligne aérienne de

contact

Le square St Roch commence à être en fleurs.

La cathédrale Notre-Dame du Havre ou cathédrale Notre-Dame-

de-Grâce4 (anciennement église Notre-Dame du Havre-de-Grâce, élevée au rang de cathédrale en 1974) est la principale église du diocèse du Havre. Mêlant

styles gothique, Renaissance et baroque, il s'agit du plus ancien

édifice du centre-ville reconstruit du Havre (classé au Patrimoine

mondial de l’UNESCO) et d’un des seuls rescapés des destructions de la

Seconde Guerre mondiale, après restauration et reconstruction

partielles.

Le chêne d'Allouville est situé au centre du village d'Allouville-Bellefosse. Son âge exact n'est pas

connu ; estimé au XIXe siècle âgé de 800 ans, une estimation ultérieure lui en attribue 1 200. Il est

réputé comme étant le plus vieux chêne de France et est classé monument historique depuis 1932. Sa hauteur est de 18 m et sa circonférence atteint

les 15 m à 1 m du sol1. Localisé à proximité immédiate du clocher de l'église du village, il abrite

en son sein deux minuscules chapelles et draine chaque année quelque 30 0002 à 60 000 visiteurs3

La légende voudrait que le chêne ait été planté en 911 pour la naissance de la Normandie mais les

scientifiques pensent de nos jours que le chêne serait daté du IXe siècle. Probablement contemporain de

Charlemagne, le chêne d'Allouville aurait vu défiler les troupes de Guillaume le Conquérant en

marche vers l'Angleterre. Celui-ci deviendra Duc de Normandie en 1035 et il aurait, selon la

légende, fait halte à son pied4

En vieillissant, l'arbre s'est creusé de l'intérieur, offrant en ses entrailles le petit

mètre carré nécessaire pour une vie d'ascète.

Les premières traces écrites datent de 1696. Cette année-là, l'abbé du Détroit, le curé de la paroisse, parvient à faire rentrer 40 enfants (à qui il avait promis obole), dans le tronc creux du chêne, et installe par la suite deux chapelles superposées

dans les cavités du tronc. Il entend sanctifier le chêne en aménageant en bas une chapelle dédiée à Notre-Dame de la

Paix, et au dessus, la chapelle du Calvaire, appelée désormais Chambre de

l'Ermite, pour son ami le père Du Cerceau, qui y a installé sa cellule

ermitale. La dédicace est donc faite en 1696 par l'abbé du Détroit5. Une fois

le père Du Cerceau parti, le chêne demeure sans locataire5.

Le chêne est au centre du film Le Chêne d'Allouville (aussi connu

sous le titre Ils sont fous ces Normands) comédie réalisée par

Serge Pénard en 1981 avec Jean Lefebvre, Bernard Menez et Henri Guybet. Il raconte les efforts

des villageois pour sauver leur arbre, menacé par un projet

d'élargissement soutenu par le député et le maire de la commune

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Avril 2013Musique : Le cercles des poètes disparus – Maurice Jarre