Le grand Brésil est de retour

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2 2 juillet 2013No 890

DIRECTEUR DE LA PUBLICATION Frantz DUVAL

RÉDACTEUR EN CHEFGaëlle C. ALEXIS

SECRÉTAIRE DE RÉDACTIONDaphney Valsaint MALANDRE

RÉDACTIONDimitry Nader ORISMAGilles FRESLET Myria CHARLESWinnie Hugot GABRIELTeddy Keser MOMBRUNJunior Plésius LOUISRaphaël FÉQUIÈREEnock NÉRÉLégupeterson ALEXANDRE

CORRECTIONJean-Philippe Étienne

CRÉATION ARTISTIQUEResponsable graphiqueRéginald GUSTAVEStevenson ESTÈVEPhotographesFrederick C. ALEXISHomère CARDICHONJules Bernard DELVAMoranvil MERCIDIEUYonel LOUIS

Publicité: 2941-4646 [email protected]

Rédaction: 2945-4646 / 3806-3717

Une publication de Ticket Magazine S.A.

18 880FANS

Jean Jean Roosevelt prend très au sérieux sa participation à la finale des Jeux de la Francophonie qui aura lieu à Nice, en France, du 7 au 13 septembre 2013 après.

C’est dans cette perspective qu’il a procédé au lancement, le jeudi 27 juin 2013, à Alvarez Resto Club, d’une série de concerts dans le cadre d’une prépa-ration pour les Jeux de la Francophonie auxquels participeront aussi vingt autres artistes étrangers.

Sous la pluie, quelques amis, proches et mélomanes invités ont assisté à cette soirée où Jean Jean Roosevelt a créé la bonne ambiance avec l’interprétation de plusieurs de ses compositions dont « Tai-sez-vous », « Gade lè’w », « Reste un peu », « Criez » et « Agoye », et la démonstra-tion de sa danse «mache rara».

Cette soirée était l’occasion pour l’artiste de présenter plusieurs jeunes talents dont Claudia B, un talent, dit-il, découvert à Jacmel, et Alexandra, qui fait partie de « Cœur de femmes ». Ces deux nouvelles voix ont interprété tour à tour des chansons de Alicia Keys, Dias, Riske et Ti Paris. Le public a salué leur perfor-mance.

Jean Jean Roosevelt a aussi permis à son frère, Jean Jean Chesner, agronome de profession, chanteur raté comme il l’a présenté, celui qui lui a offert sa première guitare, de faire son numéro. Accom-pagné de sa guitare, le grand frère, dès les premières notes de la chanson « Madanm » de John Steeve Brunache a

Jean Jean Rooseveltprépare les Jeux de la Francophonie

BET Awards 2013 :Les grands gagnants !

L’édition 2013 des BET Awards s’est déroulée le dimanche 30 juin 2013. Il y a eu de nombreuses performances et des séminaires bien fréquentés, suivi de la distribution des récompenses.

C’est le rappeur Drake qui a eu le plus de nominations lors de la distribution des récompenses à L.A.’s Nokia Theatre, mais le grand gagnant de cette soirée a été Kendrick Lamar ! Il a reçu les récom-penses de Nouvel artiste et de meilleur artiste hip-hop (homme). Voici la liste complète des gagnants des BET Awards 2013 :

- Meilleure artiste R&B / Pop : Rihanna- Meilleur artiste R&B / Pop Artist : Miguel- Meilleur groupe : Macklemore & Ryan Lewis- Meilleure collaboration : A$AP Rocky Ft Drake, 2 Chainz & Kendrick Lamar ‘Fuckin Problems’- Meilleur artiste Hip-Hop : Kendrick Lamar- Meilleure artiste Hip-Hop : Nicki Minaj- Vidéo de l’année : Drake, ‘‘Started From The Bottom’’- Réalisateur de l’année : Benny Boom- Meilleur nouvel artiste : Kendrick Lamar- Meilleur artiste Gospel : Mary Mary- Actrice de l’année : Kerry Washington- Acteur de l’année : Jamie Foxx- YoungStars Award : Gabrielle Douglas- Film de l’année : Think Like A Man- Sportif de l’année : LeBron James- FANdemonium Award : Chris Brown

recueilli une salve d’applaudissements.Un humoriste et le diseur Mildor

Altenor étaient aussi de la partie avant que Jean Jean Roosevelt revienne sur le podium vers les onze heures pour remer-cier tous les musiciens qui l’ont accompa-

gné ce soir là dont Poppy Duverne, Alain, Jean Jean Chesner, Nerla, ceux qui ont fait le déplacement malgré la pluie.

Gilles Freslet ([email protected])

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32 juillet 2013No 890

Lundi 1er juillet, J-4. avant le spec-tacle Disco Night Fever au Karibe, les préparatifs se poursuivent au local d’Haïti Spectacle. Le rez-de-chaussée est dédié au chant. Sous la direction du maestro Riche Charles, une vingtaine de chan-teurs essaient leur voix sur des morceaux tels que «I need a Hot stuff» de Dona Summer ou YMCA de Village People, des hits qui datent des années 70. Parmi ses artistes on remarque Renette Désir qui fait office d’invitée, et Printemps Erickson l’un des candidats finalistes de Digicel Stars 2011…

Pour le maestro qui n’a pas vécu les années 70, tout artiste se doit de pou-voir voyager dans le temps, entrer dans la peau de n’importe quel personnage. Grâce à sa documentation sur Internet et l’écoute des disques comportant des titres phares de l’ère disco, il s’est doté de la matière. « La transmission n’est pas facile, dit-il, mais je dois avouer que l’en-thousiasme des chanteurs m’a beaucoup aidé. » Riche souhaite que les chanteurs d’aujourd’hui composent des chants qui parlent au gens, comme ça été dans les années 70, sans négliger les techniques vocales dont les gens de cette époque tiennent compte un tant soi peu au profit de l’émotion.

Renette Désir, artiste invitée parmi d’autres, ne cache pas sa joie d’être intégrée à ce spectacle. « C’est une expérience enrichissante, dit-elle ; je suis toute heureuse de découvrir une époque que je n’ai pas connue et de pouvoir me rendre compte de toute sa richesse. » La chanteuse confirmée dit aussi découvrir que les chants, qu’ils parlent de l’amour ou de la vie, qu’ils soient gais ou doux, sont tous structurés, très solfiés. « Nous autres, artistes d’aujourd’hui, devons suivre cette voie, laisser le chemin facile, éviter le va-vite », a-telle ajouté. Glo-ria Gaynor, Dona Summer et les deux femmes d’ABBA entrent à partir de cette expérience dans son panthéon.

Quant à Printemps Erickson, Disco Ni-ght Fever donne le goût de cette période charnière de l’histoire de la musique à travers le monde. Le jeune chanteur se réjouit du fait que cette musique qui donne, selon lui, lieu à des mises en scène peut l’aider à enrichir sa présence sur scène. Il retient des années 70 la po-

sitivité qui se dégage des chants. Staying Alive est pour lui un appel au bonheur quel que soit son quotidien. Il suggère à ses contemporains de mettre du coeur dans leur travail et d’essayer d’attirer l’attention des mélomanes, comme ce fut le cas des chanteurs disco.

Les répétions de danse se font à l’étage sous la supervision du chorégra-phe Macherson François. Pour celui-ci, remonter aux années 70 c’est comme mettre à jour un ordinateur. « Moi, je pratiquais du jazz, du locking et du clown, je ne connaissais pas forcément le disco, mais à force de regarder sur You-tube, je crois que j’ai pu rejoindre cette école », confie-t-il. Il dit avoir compris et fait comprendre aux danseurs que le disco est la source de toutes ces danses tellement techniques que l’on pratique de nos jours. Le défi pour lui a été d’y remonter. Maintenant qu’il y est avec ses danseurs, il souhaite que tous puissent dorénavant associer la liberté disco avec la super-technicité d’aujourd’hui.

La danseuse Wadline Thérassé est, quant à elle, enthousiaste à l’idée de vi-vre un passé au présent. Pour elle, la mu-sique transcende les époques. Wadline est reconnaissante à la visibilité que ce spectacle lui offre. A son avis, le disco est riche, la danse va avec les paroles, c’est rempli de mises en scène. L’artiste croit qu’on gagnerait beaucoup de nos jours à copier sur la qualité de la danse disco. « Pourquoi ne pas s’inspirer, puisque la danse n’a pas d’époque, opine-t-elle, moi j’en pratiquerai après le spectacle tout en ayant soin d’y associer des accents d’aujourd’hui ! »

Sirius Jean-Paul, qui sera l’un des dan-seurs drag-queens, est fier d’être partie prenante d’un spectacle de classe inter-national. Il est fier aussi d’être coaché par Bertrand Labarre. Pour le jeune danseur qui se reconnaît, des manières de filles depuis l’enfance, entrer dans la peau d’un travelo c’est comme un jeu d’enfant. Selon lui, les années 70 riment avec folie, vigueur, excentricité.. Il souhaite qu’on puisse en Haïti danser avec euphorie sous des airs comme «I will survive» de Gloria Gaynor, qui motive plus que tout à la quête de la liberté et au pouvoir de dépasser ses limites.

« Un revival en Haïti », pourquoi pas ?

Disco Night Feverc’est dans 4 jours !Faire revivre les années 70 le temps d’une soirée, tel est l’ob-jectif que se fixe Haïti Spectacle dans le cadre de son specta-cle, Disco Night Fever. Quatre jours avant cet événement sans précédent dédié au disco, Ticket est passé voir comment cela se mijote dans la cuisine.

C’est ainsi qu’a germé il y a tout juste un an l’idée d’un spectacle sur les années disco dans la tête de Bertrand Labarre. Le metteur en scène entend jouer la carte de la nostalgie et faire profiter au public Haïti du disco dont le but ultime n’est autre que de faire danser. L’essence de ce spectacle réside s’après lui dans le fait de faire retrouver l’énergie disco par des jeu-nes artistes haïtiens. « Par conséquent, l’exercice consiste à intérioriser des personnages tout en donnant un peu de soi », précise Bertrand. Au Karibe ce samedi, il promet de nous faire remonter le temps. Au bout de 2 mois complet de répétitions, l’homme de scène se réjouit du fait que les jeunes ont pu s’embarquer «après quelques maladresses». « Ils ne sont pas les meilleurs, concède-t-il, mais ils sont bourrés d’énergie ! »

Bertrand, qui était âgé d’environ 10 ans quand le style disco naissait, rappelle que cette danse est révolutionnaire à plus d’un titre. Primo, contrairement à la valse, au tango ou autres, elle n’a pas une

signification romanesque ou religieuse. Deuzio, c’est une danse qui vient à la rescousse des timides, des maladroits : «la seule rigueur, c’est de bouger comme on veut». Enfin elle contrebalance l’idée que la danse se pratique à deux : le disco c’est de bouger en solo.

Le père de Disco Night Fever présente son show comme étant un show intégré dans un bal. En effet il doit durer environ deux heures dans une soirée disco qui va de 9 heures dans la soirée au lende-main matin. 20 tableaux faits de chants, de chorégraphies mais aussi d’acting sont au menu. Le soul train, le fait pour chaque danseur de se produire au milieu d’une sorte de train formé par deux ran-gées de danseurs, sera aussi de la partie.

Tout en suggérant aux mélomanes de se parer des atours associés au disco, bertrand Labarre leur assure que Disco Night Fever sera le must de l’été.

Chancy [email protected]

Chanteurs et danseurs en répétition avant le jour J

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4 2 juillet 2013No 890

Le « Kolektif art street Vizyon Ayiti », KASAV, qui se veut théoriquement une plateforme des cultures ur-baines, a réalisé la première édition de son «Expo-jam» au local du bar Yanvalou, sis à Pacot. Un public plutôt timide a apprécié des œuvres d’art qui proposent un voyage à travers la culture haïtienne. Des travaux qui honorent l’esprit du terroir, qui regroupent des artistes peintres, des sculpteurs, des professionnels de la culture autour des projets associatifs. L’imagination est frappan-te. Ils se nourrissent de la réalité haïtienne, du vaudou, de nos rites cultuels pour créer. Matières premières : bois, pierre, objets de récupération… Des bustes en papier mâché ont été bien appréciés.

Des disques et des livres d’auteurs haïtiens - Le temps des sortilèges de Denise Bernhardt ; Jonas Profil: peintre du sentiment - étaient en exposition. Et aussi quelques CD de musiciens haïtiens. Des tableaux qui répondent à la quête figurative ou autres tendances

en peinture. Assaf Hammad, membre du Kolektif, nous révèle son talent de grapher. Deux graffitis, réalisées à partir de la bombe spray, ont rendu hommage à deux grandes figures de la culture haïtienne : Jean Price Mars et Toto Bissainthe. Il œuvre dans le domaine de la peinture depuis 2006. Il expose depuis 1998. Son sens de créativité est très poussé.

L’occasion nous était offerte de découvrir une nou-velle maison d’édition : éditions des vagues, basée à Carrefour. L’idée, selon le directeur de publication, Sam-son Jean Erian, est de favoriser à faible coût l’impression des livres des jeunes auteurs qui veulent se faire publier, et aussi de permettre que le livre soit accessible. Des colliers, pendentifs, bijoux en bois ont suscité l’admira-tion des visiteurs, pas trop convaincus de l’ampleur de l’activité.

L’objectif réel de l’association KASAV est de contri-buer au développement humain, culturel et social d’Haï-ti par le renforcement du secteur de l’éducation à tra-vers la culture et les arts, en proposant la mise en place d’une plateforme culturelle, d’un collectif associatif des Arts de la rue. Espace de ressources, de rencontres et d’échanges entre les acteurs et professionnels des Arts et de la Culture, les jeunes et les enfants. Le concept KASAV est plus évident et moins convaincu dans les faits. Les ressources doivent être mobilisées pour une création plus intense et une plus forte productivité.

Rosny Ladouceur

KASAV : au cœur de l’art haïtien

9 h 15 pm. Feux de projecteurs braqués sur les musiciens accompagnateurs. Darline Desca, look afro, allume ses bougies qui brasillent sur la scène qu’elle veut romantique et sacrée. Elle gravit le podium sous de chauds applaudissements. Une joie l’étouffe, l’envahit. Haletante d’émotions, elle remercie chaleureusement son public de son soutien inestimable. En début de concert, elle déclame « M’anvi » sur fond musical. Texte de Syto Cavé qui donne aux mots un élan poétique. La chanteuse au talent reconnu interprète « Prophétie », titre qui démasque au grand jour l’hypocrisie humaine, le non-droit à la justice, au bien-être et qui traduit son sens de l’engagement et sa vision du monde.

Deuxième morceau interprété : « Pa lage », vidéocli-pé. Elle nous parle de ses rêves fous, de ses convictions inébranlables. Accompagnée de Rudy Nau (batterie), de Herman Duverné (basse), de Marc Harold Pierre (congas), de Charlson «Poppy» Duverné (clavier) et de Smith Emmanuel à la guitare, elle séduit dans ce morceau par sa virtuosité vocale. On retient de son jeu musical une technique maîtrisée, une présence scéni-que très marquée, une sonorité aux tendances musica-les variées allant du reggae au soul ou au roots avec un mélange de jazz.

« À plein temps », composition qui porte le titre de l’album et aussi vidéoclipée, est la plus appréciée. Sur un solo de « Tisax » au saxophone, elle conquiert le public avec ce morceau à l’arôme reggae qui a un peu construit sa popularité. Sonorité entraînante. Musique

de goût, parmi les dix autres de cet album de bonne facture. Un rythme rara trahit l’amour de la charmante voix aux yeux marron pour les musiques traditionnelles. Darline reste attachée aux couleurs locales. Elle a chau-dement amusé ses fans pris aux tripes qui la réclamaient encore et encore.

Ce concert-signature qui a lieu ce week-end est une belle réussite. On a vu évoluer une chanteuse professionnelle qui a bénéficié, sur ce projet de disque bien accueilli, du soutien d’une pléiade de musiciens professionnels tels Richard Barbot, Alex Jacquemin, Kéké Bélizaire, Poppy, le pianiste qui, lui, était sur scène ce soir- là. « Un talent qui s’affine », dixit Rudy Nau, le batteur. Le potentiel artistique, avec une musicalité bien soignée, est là. Toutefois, les textes méritent d’être peaufinés. Darline Desca doit travailler encore plus sa thématique. Sa carrière est prometteuse. Son avenir est loin d’être sombre. Sa démarche artistique révèle qu’elle nourrit de grandes ambitions, qu’elle a à cœur de partager avec son public. Elle va continuer à produire, à offrir de meilleurs produits qui exhaleront, espère-t-on, plus de maturité et de vibrations.

Elle signe son album ce jeudi 4 juillet à l’Institut français en Haïti, Bois-verna, à partir de 6 h pm. Occa-sion idéale pour d’autres fans de se procurer de «A plein temps».

Rosny Ladouceur

Darline Descaun premier-né bien accueilli

Elle nous a happés, embobinés, séduits. Darline Desca a définitivement pris sa carrière en main, se consacrant entièrement à la musique. « Je suis artiste à plein temps », clame-t-elle du bout des lèvres. Sur la scène du restaurant Garden Studio, à Pétion-Ville, elle a donné un avant-goût de son premier opus qu’elle a chaleureusement signé pour ses fans ce vendredi 27 juin.

Une oeuvre sculturale réalisée à partir du bois Un oiseau réalisé par l’un des artistes

Un tableau de l’un des peintres du Kolektif

Signé Assaf Hammad, ce graffiti rend hommage au célèbre écrivain Jean Price Mars

Des bijoux en exposition

La chanteuse lors de sa bonne performance

Darline Desca signe son opus pour ses fans

Darline Desca entourée du parolier Syto Cavé et de Bélo

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52 juillet 2013No 890

L’Institut de danseLynn Williams Rouzier présente

CinderellaKaribe, le 28 juin 2013

Plus résistantes que ça, on meurt ! Les juniors en escalier

La danseuse du ventre qui a beaucoup émoustillé le publicMaryn, qui tient le rôle Cendrillon, sous le regard ému de sa mère

Quelques petites heureuses de poser avant le spectacle

L’avenir de l’Institut Lynn Williams Rouzier

Lynn, heureuse, remercie sa troupe

Quand élégance et dextérité se conjuguent...

Cendrillon et le gentleman Frédéric exécutant l’une des plus belles figures de la soirée

Cendrillon dans ses idées noires

La danseuse étoile vieillissante et ses deux protégées, elles se révèlent des as de la méchanceté

Cendrillon en solo

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Lundi 1er et mardi 2 juillet 20136

RAPHAEL FÉQUIÈRE

LA GOUTTE D’OH!

A pile ou faceDéprimante, l’image d’un haut responsable de sport demandant publiquement aux téléspectateurs de contribuer au moins à hauteur de cinquante gourdes au maintien de l’équipe nationale dans la Gold Cup 2013 aux Etats-Unis du 7 au 28 juillet 2012.

Quelle désinvolture ! Tout porte à croire qu’ à ce niveau, la gestion du sport se ferait à pile ou face. Et si cet exemple devait se répandre dans les autres sphères de l’administration publique cha-que fois qu’il s’agit de représenter dignement ce pays?

Comme pour parer au plus pressé, le contribuable est sollicité sans gêne, au risque même de lui faire porter la responsabilité de l’échec.

Quelle horreur !

En route vers la

Jeff Louis exclu puis rappelé

En attendant la Gold Cup, le sélec-tionneur cubain Israël Blake Can-tero a communiqué samedi la liste

des 23 joueurs qui disputeront la Gold Cup 2013. 3 gardiens, 8 défenseurs, 8 milieux de terrain et 4 attaquants composent cette liste.

Exclu dans un premier temps pour cause d’indiscipline, Jeff Louis a été réintégré après s’être excusé d’une part, mais aussi, après que les autres joueurs et le président de la FHF, lui-même, aient sollicité sa grâce de la part de l’entraineur.

De soncôté, Jean-Jacques Pierre a dû laisser ses pairs pour aller s’occuper du renouvellement de son contrat avec le stade de Malherbe de Caen alors que Léonel St-Preux doit arri-ver ce mardi en provenance de Felda United de Thailande.

Dans l’air, il y a belle lurette, le marathon visant à aider finan-cièrement les Grenadiers qui peaufinent leur préparation

au Canada en vue de la Gold Cup, a été finalement lancé par les organi-sateurs qui sont passés de la parole aux actes en donnant une conférence de presse ce lundi 1e juillet au Karibe Convention Center. Ils en ont profité pour préciser que le local de la Radio TV Caraïbes (rue Chavannes) sera, les 2 et 3 juillet, le théâtre de cet événe-ment majeur dans lequel, ils invitent les citoyens du pays d’apporter le peu qu’il soit, et ce, pour la pleine réussite de cette noble initiative.

Ils étaient au nombre de sept, les membres du comité dénommé : « Comité d’initiative citoyenne » qui avaient pris la ferme décision de réaliser ce levée de fond qui aura lieu les (2 et 3 juillet) au local de la Radio TV Caraïbes. Ces membres répon-dent respectivement au nom de Jean Ronald Eliacin, président, Daly Valet, vice-président et porte-parole, Lionel Benjamin, trésorier, Maarten Bute, Etienne Beauvoir, Aruns Bellevue et Jean Monard Metellus, membres.

Certains membres de la grande famille du football ont également répondu à cette conférence de presse à côté des journalistes sportifs pré-sents en grand nombre. Citons entre autres…Carlo Marcelin et Monique André, Secrétaire général et membre du comité exécutif de la Fédération haïtienne de football, Philippe Vorbe, membre de l’équipe haïtienne de 1974, Magalie Racine et Ernst « Nono » Jean-Baptiste, Titulaire et Directeur adjoint du Ministère de la Jeunesse, des Sports et de l’Action Civique et Patrick Massenat, membre de la Cocon.

L’objectif majeur de ce marathon n’est autre que de subvenir aux be-

soins financiers de la sélection haï-tienne de football disputant la Gold Cup (7 au 28 juillet) pour répéter Lionel Benjamin. Ce dernier a précisé les différentes manières que les gens peuvent apporter leur aide à l’équipe nationale de football. « On a mis à disposition des intéressés plusieurs comptes bancaires à la Unibank (103- 1021- 114- 5043 gourdes et 103- 1022- 114- 5051 US), à la BNC (1660- 02- 0476 gourdes et 1661- 01- 8526 US) et à la Sogebank (60- 600- 4190 gourdes et 1- 600- 4040 US) pour qu’ils puissent faire un geste à l’égard des Grenadiers. Ils ont aussi la possibilité d’envoyer leur argent par Tchotcho mobile (3844- 0404), par SMS en envoyant le mot DRAPO au (713) à partir de leur téléphone Digicel. Ce faisant, il envoi automati-quement 25 gourdes. Pour ceux qui vivent à l’étranger, ils peuvent eux aussi participer à ce marathon via leur Sogecarte visa ou master card (3878- 7865 et 954- 703- 4656) », a clairement expliqué Lionel Benjamin avant d’ajouter que les gens vivant dans la zone métropolitaine de Port-au-Prince, sont invités au local de la Radio Caraïbes les mardi 2 et mercredi 3 juillet de prendre part à marathon.

Il est important à signaler que « transparence » a été le maître mot utilisé par les initiateurs de ce marathon pour couper court aux éventuelles rumeurs. « Il s’agit d’une initiative citoyenne. Les membres de ce comité ne sont que des gens qui fassent leur preuve dans le sec-teur privé des affaires et qui ont un certain prestige dans les différentes institutions où ils travaillent. Tout se fera dans la transparence la plus complète qu’elle soit. Loin de penser que les fonds récoltés iront entre les mains du gouvernement ou de la Fédération haïtienne de football. L’ini-

Collecte de fonds pour les Grenadiers

tiative vise tout simplement à aider les Grenadiers. Ainsi, la Fédération nous soumettra son budget et avec des pièces justificatives, elle aura droit à la somme demandée pour combler les besoins de nos ambassadeurs », a martelé Daly Valet.

La Ministre des Sports, l’ancienne gloire de la sélection nationale, Phi-lippe Vorbe ou encore la Responsable marketing de Digicel, Vélina Charlier, ont tous abondé dans le même sens en louant une telle initiative. « S’il est vrai que je suis Ministre des Sports, mais c’est la citoyenne qui est là et je supporte de tout cœur ce marathon », a déclaré Magalie Racine.

A en croire les dires du comité d’organisateur, tout au long de la journée du mardi 2 et mercredi 3 juillet, il y aura un point de presse ponctuel faisant état du moment de l’argent récolté. Ce comité tiendra la presse informée en appelant au 3702- 2112, et ce, jusqu’au 30 août, date buttoir pour tout verser aux joueurs de la sélection nationale.

Seulement trois membres du comité ont droit de signature sur les comptes bancaires. Il s’agit de Lionel Benjamin, représentant de Digicel, Etienne Beauvoir, représentant du football et Jean Ronald Eliacin, repré-sentant de la SogeXpress.

Signalons que les Grenadiers ont été tenus en échec (0-0) par l’équipe semi-professionnelle de Royal Sélect Beauport dimanche 30 juin. Ils auront à affronter mercredi 3 juillet l’équipe Gabart Fénelon, Saint-Léonard avant de prendre l’avion le 6 à destination de New York pour y jouer Honduras le 8 juillet dans le cadre de leur premier match dans la Gold Cup.

Légupeterson Alexandre /[email protected]

A la table de conférence : Jean Monard Mettellus, Lionel Benjamin Jr, Daly Vallet, Jean Ronald Eliacin, Aruns Bellevue et Maarten Boute (Photo : Yonel Louis)

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Lundi 1er et mardi 2 juillet 2013 7

L’Espagne était venue au Ma-racanã pour ajouter la Coupe des Confédérations de la FIFA à son impressionnante moisson

de trophées au cours des dernières années. Le Brésil l’en a empêchée grâce à une prestation dont auraient été fiers les champions du monde de 1958 Garrincha et Pelé, l’équipe mythique de 1970 ou encore celle du football-champagne emmenée par Zico en 1982.

Deux minutes ont suffi à Fred pour faire entrer le Maracanã en transe avec un but plein d’opportu-nisme. Un peu plus tard, c’est au tour de David Luiz de faire frémir les 73 531 spectateurs grâce à un sauve-tage miraculeux sur un tir de Pedro. Lorsque l’arbitre a sifflé la mi-temps, le Barcelonais est même allé féliciter l’arrière central de Chelsea... Neymar a porté le score à 2:0 juste avant la pause sur une frappe imparable sous la barre transversale du pied gauche, qui n’est pourtant pas son préféré. On comprend mieux pourquoi Barcelone a déboursé 57 millions d’euros pour s’attacher ses services. Dans les minu-tes qui ont suivi la reprise, Fred a ins-crit le but du 3:0, mais ce n’était pas

la fin du calvaire espagnol, qui s’est poursuivi sous la forme d’un penalty raté par Sergio Ramos et d’une exclu-sion de Gerard Piqué, coupable d’une faute sur Neymar qui filait au but.

Plus tôt dans la journée, dans le match pour la troisième place, Edinson Cavani a été l’auteur d’un doublé, dont un superbe coup franc, mais cela n’a pas empêché l’Italie de battre l’Uruguay aux tirs au but, après un match palpitant conclu sur le score de 2:2. Le grand héros de la séance de tirs au but a été Gianluigi Buffon, qui a célébré de la plus belle des façons sa 133ème cape. Le gardien de 35 ans, qui a arrêté trois penalties dans

la série, n’est plus qu’à trois longueurs du recordman de sélections avec la Squadra Azzurra, Fabio Cannavaro.

Le Brésil et l’Italie n’ont pas été les seuls vainqueurs. Le public brési-lien, tellement passionné de football, l’a été également grâce à l’ambiance extraordinaire qu’il a su créer. Indes-criptible par des mots. Si vous voulez goûter à cette atmosphère, commen-cez donc à vous organiser afin d’être présent au Brésil l’année prochaine, pour assister au plus grand événe-ment de l’histoire du sport...

Les conséquencesLe Brésil débutera la prochaine

Coupe du Monde de la FIFA™, le

12 juin 2014, avec l’étiquette de tenant du trophée de la Coupe des Confédérations de la FIFA. La Seleção vient de remporter l’épreuve pour la quatrième fois mais après ses trois précédents sacres dans le Festival des Champions, en 1997, 2005 et 2009, elle n’a jamais réussi à enchaîner par un triomphe dans la Coupe du Monde de la FIFA™. Les hommes dirigés par Luiz Felipe Scolari parviendront-ils à mettre fin à cette statistique ?

Le but du jourAlessandro Diamanti s’est déjà

fait une réputation d’excellent tireur de coups francs, notamment avec son but extraordinaire pour Bologne contre l’Inter Milan, sur un ballon très enveloppé, ou encore sur la tentative victorieuse de 35 mètres qui a aidé les Rossoblù à battre l’Atalanta il y a six mois. Si le roi du coup franc en Italie, Andrea Pirlo, qui a donné un énième exemple de ses compétences en la matière lors de la victoire italienne 2:1 contre le Mexique, avait participé au match pour la troisième place, Diamanti n’aurait pas pu prendre sa chance à la 73ème minute. Mais le Bolonais a su profiter de l’absence sur blessure du stratège turinois pour exécuter un superbe coup franc des 25 mètres, qui a vu le ballon s’élever avant de retomber au ras du poteau et de faire trembler les filets uru-guayens.

(source :Fifa.com)

Le grand Brésil est de retour

Fred et Neymar

Le Racing Club Haïtien et le Bal-timore ont composté leur billet pour le groupe qui jouera le titre lors de la 2e phase du champion-

nat national « Digicel » de D1. Par contre, après la 21e journée disputée samedi et dimanche, six clubs vont devoir se battre pour 3 places dispo-nibles pour ce groupe qui jouera le titre ce qui annonce une 22e journée pleine de suspense.

En dominant l’ASM 2-1 au stade Sylvio Cator, dimanche, le Racing Club Haitien s’est emparé du billet qualificatif pour le groupe qui dis-putera le titre national lors de la 2e phase du championnat national de première division. Avec 32 points, le « vieux lion » ne peut plus être rejoint ni par son adversaire du jour, ni par le Tempête de Saint-Marc qui constituent les deux concurrents les plus sérieux dans la course à l’une des six billets disponibles pour pouvoir jouer le titre. 8 clubs étaient en course pour les 5 places qualificatives encore à prendre pour pouvoir être dans le train qui jouera pour le titre avant cette 21e soirée.

Victory : 3 minutes pour vendanger une saison

Au stade Sylvio Cator, le Victory, condamné à recevoir deux matchs sur terrain neutre accueillait l’Association sportive de Petit-Goâve dans une sorte de finale à défaite interdite. Dans cette rencontre à suspense, c’est Junior Delva qui ouvre le score en faveur du Victory dès la 19e minute. L’ASPG obtient l’égalisation juste avant la pause par Roger Guillien et les deux formations rentrent aux ves-tiaires avec un score de parité 1-1.

En seconde période, Junior Delva redonne l’avantage au Victory, 69e et croit fait le plus dur pour maintenir son équipe a flot, cependant les trois dernières minutes de la partie furent fatales à la formation Jacmelienne. Alors que les fans du Victory espéraient le coup de sifflet final pour pouvoir respirer, c’est Germain Chardeley qui obtient l’égalisation en faveur des visiteurs sur coup franc avec bien sur la complicité du portier deux minutes avant la fin des temps règlementaires. Ayant concéd’e ce but égalisateur dans cette rencontres qu’elle ne devrait pas

perdre le Victory se trouvait contraint de monter à l’assaut pour essayer d’obtenir le but de la victoire, mais on jouait les dernières secondes des arrêts de jeu lorsque Ernst Fleurimat inscrivait le but du KO en faveur de l’ASPG qu’il propulsait ainsi aux portes du groupe qui jouera le titre.

Derby tendu et sans but à Léogane

Le Cavaly jouait lui aussi sa saison sur la pelouse de son adversaire de toujours, le Valencia au parc Indrich. Déjà assuré de concourir pour le titre lors de la 2e phase, le Valencia, sans se préoccuper du Cavaly venu en retard exprès pour le narguer, le Valencia rentre dans la partie avec fougue, mais le Cavaly qui jouait sa saison se fait menaçant dès le commencement de la partie. .S’appuyant sur un bon Saint-Félix dans les buts, Vernet Valdo, Louisinho Garçon et Forest Sonthonax en défense le Cavaly tente de mettre le Valencia sur des charbons ardents, mais dans les buts du Valencia, Pierre Jean Rosny prend de la graine et les deux formations

rentrent aux vestiaires (ce qu’il y a comme vestiaire au parc Hendrich) sur le score de départ 0-0 sous les yeux des 5 mille spectateurs massés aux abords du terrain et les dizaines de spectateurs ayant pris siège dans les arbres jouxtant le parc.

En seconde période, le Valencia se fait encore plus dangereux mais non seulement Saint-Félix fait des miracles dans les buts du Cavaly comme sur cette frappe lourde de Roody Joseph en début de seconde période, Pierre Jean Rosny se montre en état de grâce aussi dans les buts du Valencia. Et quand il est dépassé comme sur cette reprise de la tête a bout portant de Paul Jean-Claudel, le ballon passe miraculeusement devant les buts et ne rentre pas.

Enervés, Sonthonax Forest et Mardochée Pompée s’oublient un peu et voient rouge 3 minutes avant le coup de sifflet finale de l’arbitre Olson Rosier sur un match intéressant dans l’ensemble mais nul au niveau du score 0-0.

Enock Néré

ChAMPioNNAt NAtioNAL « DigiCEL » DE D1 2013 : J21

Racing Club Haitien et Baltimore y sont

Page 8: Le grand Brésil est de retour

8 2 juillet 2013No 890

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Les mots peuvent figurer dans tous les sens : horizontalement, verticalement, en diagonale, de haut en bas et vice versa, de droite à gauche et inversement. Les huit lettres restantes désignent un corps glandulaire propre au sexe masculin.

MOTS CACHÉS

ABJECTE CHUTE FAUVETTE PELLEACCRU CORROMPRE FERRY POIGNEACHAT COUTUME FIOLE RABOTERACQUISE DÉNOMMÉ FOIRE RECTALADVERBE DÉTRUIRE FRAISE RELIREAMÈRE DUALISME GAFFE ROYALAMOCHER DYNAMO GUIMBARDE SALARIALANCRER ÉCHEC INCONNU SCÈNEÂNESSE ÉCRASEUR INDEX TAPISAVOCAT EFFACÉ IODER TROGNONBARDOT ÉGALE LUEUR URGERCALME EIDER MIAOU VARIÉTÉCANCAN ENVOI ODEUR VESSECAPOT ÉPAIS OISIFCARBURE ÉPIEU OMÉGA

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MOTS CROISÉS

Horizontalement1 - Poire à la peau rougeâtre. Conifère.2 - Faute. Petit avion de reconnaissance.3 - Futur bouvillon. Parfait.4 - Compliment. De plus.5 - Choquant. Chapeau. Pronom personnel.6 - Qui a la forme d’un fer de lance. Plante vomitive.7 - Adverbe de lieu. Tourmenté. Thymus du veau.8 - Grande veste de laine des marins. Souveraine.9 - Un des États-Unis d’Amérique. Batterie de tambour.10 - Pierre précieuse. Louage d’un navire. 11 -

12 - Petit chardonneret jaune, vert et noir. Rassasier.

Verticalement1 - Peu accommodant. Service religieux. 2 - Unité monétaire du Danemark. Ferme de la prairie, aux États-Unis. Commandement. 3 - Cobra femelle. Nicher.4 - Abandonné. Interdit.5 - Connu. Lettre grecque. Bannissement.6 - Institue. Personne qui dénonce un coupable.7 - Faute. Déesse égyptienne. 8 - Ville des Pays-Bas. Ouvrage dramatique mis en musique. Note.9 - Filet de pêche que l’on traîne. Niche funéraire pour y recevoir des tombes. 10 - Rivière de Roumanie. Hurler. 11 - Préfixe privatif. Métal blanc, relativement léger et très malléable. Première femme.12 - Énergique. Chien.

Labiée à fleurs jaunes. Piquant au goût. Cale en forme de V.

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SOLUTION JEUX - 90

MOZAIC

MOTS CROISÉS

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A : AÉRATEURB : GANDOURAC : GOURMANDD : BALADEURE : GUÉRILLA

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PYRAMIDE

Complétez la pyramide avec les nombres manquants. Chaque brique contient la somme des deux cases situées en dessous de celle-ci.

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Une grille de Sudoku se compose de 81 cases regroupées en 9 blocs de 9 cases. Place un chiffre de 1 à 9 dans chaque case vide. Chaque ligne, chaque colonne et chaque boîte 3x3 délimitée par un trait plus épais doivent contenir les chiffres de 1 à 9. Chaque chiffre apparait donc une seule fois dans une ligne, dans une colonne et dans une boîte 3x3. Quelques chiffres ont été placés pour vous aider.

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