Le gaspillage alimentaire - edu.gov.mb.ca · 12 Analyse de réponses et de textes d’élèves Le...

Test basé sur les normes

Français langue seconde – immersion40S : Langue et communication

12e année

Analyse de réponses et de textes d’élèves

Juin 2018

Le gaspillage alimentaire

Données de catalogage avant publication – Éducation et Formation Manitoba

Test basé sur les normes, français langue seconde – immersion 40S : langue etcommunication, 12e année [ressource électronique]. Analyse de réponses et de textes d’élèves — Juin 2018

ISBN :978-0-7711-7707-1 (PDF)

1. Français (Langue) – Examens.2. Tests centrés sur une norme – Manitoba.3. Français (Langue) – Étude et enseignement (Secondaire) – Manitoba.I. Manitoba. Éducation et Formation Manitoba.448.0076

Tous droits réservés © 2018, le gouvernement du Manitoba représenté par le ministre de l’Éducation et de la Formation.

Éducation et Formation ManitobaBureau d’Enfants en santé Manitoba et Division de l’éducation de la maternelle à la 12e annéeBureau de l’éducation françaiseWinnipeg (Manitoba) Canada

Tous les efforts ont été faits pour mentionner les sources aux lecteurs et pour respecter laLoi sur le droit d’auteur. Dans le cas où il se serait produit des erreurs ou des omissions,prière d’en aviser Éducation et Formation Manitoba.

Les exemples fournis dans le présent document sont des textes authentiques écrits par des élèves en juin 2018 dans le cadre du Test basé sur les normes, Français langue seconde – immersion, 40S : Langue et communication, 12e année. Tous les droits ont été libérés par les élèves.

La reproduction de ce document à des fins éducationnelles non commerciales est autorisée à condition que la source soit mentionnée.

Les opinions et les idées exprimées dans ce cahier représentent le point de vue des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la position du gouvernement du Manitoba.

Dans le présent document, les mots de genre masculin appliqués aux personnesdésignent les femmes et les hommes.P

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Table des matières

Introduction ....................................................................................................................................1Vue d’ensemble du test ..................................................................................................................2Critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension orale : Tâches analytiques ....................3Critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension orale : Tâches critiques.........................4Critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension écrite : Tâches analytiques ...................5Critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension écrite : Tâches critiques .......................6Compréhension orale .....................................................................................................................7Compréhension écrite ..................................................................................................................17Production écrite ..........................................................................................................................27Grille d’évaluation d’un texte argumentatif ..................................................................................28Grille d’évaluation d’une nouvelle littéraire .................................................................................29Tâche d’écriture ............................................................................................................................30Analyse de texte – PÉ1-A ..............................................................................................................31 Analyse de texte – PÉ1-B ..............................................................................................................37Analyse de texte – PÉ2-A ..............................................................................................................40Analyse de texte – PÉ2-B ..............................................................................................................44

Analyse de réponses et de textes d’élèves Le gaspillage alimentaire FL2-imm. 12e année juin 2018 1

Introduction

Vous trouverez dans le présent document des analyses de réponses et de textes d’élèves qui ont passé le test basé sur les normes, Français langue seconde – immersion, 40S : Langue et communication, 12e année en juin 2018.

Les tâches de compréhension orale, compréhension écrite, et celle de production écrite sont construites à partir des résultats d’apprentissage décrits dans le document Les résultats d’apprentissage manitobains en français langue seconde – immersion (M-S4)1. Les réponses dans ce document ont été sélectionnées en fonction de leur qualité ou de leurs particularités.

Dans la première section du document, se trouvent les réponses de la Compréhension orale et de la Compréhension écrite. Ces réponses sont analysées selon les Critères d’évaluation pour les tâches de compréhension orale et de compréhension écrite.

Dans la deuxième section du document, vous trouverez l’analyse de deux textes argumentatifs et de deux nouvelles littéraires authentiques d’élèves.

Les textes argumentatifs sont analysés selon les comportements recherchés relatifs aux deux grandes catégories : Qualité de l’argumentation et Respect des règles de la langue. Ces comportements sont présentés selon une échelle d’évaluation à cinq niveaux dans la Grille d’évaluation d’un texte argumentatif. Un (1) représente le niveau le plus faible tandis que cinq (5) représente le niveau le plus fort. La cote finale (5, 4+, 4, 3+, 3, 2+, 2, 1+ ou 1) par rapport à l’ensemble du texte a été accordée en tenant compte des chevauchements possibles entre des niveaux de performance. De plus, les comportements recherchés par rapport à ces deux grandes catégories ont été mis en évidence.

Les nouvelles littéraires sont analysées selon les comportements recherchés relatifs aux deux grandes catégories : Qualité de l’univers fictif et Respect des règles de la langue. Ces comportements sont présentés selon une échelle d’évaluation à cinq niveaux dans la Grille d’évaluation d’une nouvelle littéraire. Un (1) représente le niveau le plus faible tandis que cinq (5) représente le niveau le plus fort. La cote finale (5, 4+, 4, 3+, 3, 2+, 2, 1+ ou 1) par rapport à l’ensemble du texte a été accordée en tenant compte des chevauchements possibles entre des niveaux de performance. De plus, les comportements recherchés par rapport à ces deux grandes catégories ont été mis en évidence.

1. MANITOBA. MINISTÈRE DE L’ÉDUCATION ET DE LA FORMATION PROFESSIONNELLE. Les résultats d’apprentissage manitobains en français langue seconde – immersion (M-S4), Winnipeg, Manitoba, Le Ministère, 1996.

2 Analyse de réponses et de textes d’élèves Le gaspillage alimentaire FL2-imm. 12e année juin 2018

Le tableau suivant présente le cadre temporel et les activités de l’élève liées aux tâches de Compréhension orale et Compréhension écrite du test basé sur les normes, Français langue seconde – immersion, 40S : Langue et communication, 12e année, juin 2018.

Vue d’ensemble du test du mois de juin

Jour Composante Durée Activités de l’élève Documents de test permis

le mercredi30 mai 2018 Remise du Cahier de préparation

Avant le test Activitéspréparatoires

du 30 mai au 5 juin 2018

L’élève• lit les tâches de Production écrite• lit les textes• prend connaissance des images dans le

Cahier de préparation• prend des notes

Jour 1le lundi

4 juin 2018

(l’avant-midiou

l’après-midi)

Tâchesadministratives 10 minutes • lit les tâches dans le Cahier de l’élève :

Compréhension orale• visionne le document audiovisuel deux

fois• prend des notes pendant et après le

premier visionnement • commence les tâches après le premier

visionnement et finit les tâches après le second

• Cahier de préparation• Cahier de prise de notes :

Compréhension orale• Cahier de l’élève :

Compréhension orale

Compréhensionorale(CO)

Prise de notes ettâches

75 minutes

Jour 2le mardi

5 juin 2018

(l’avant-midiou

l’après-midi)

Tâches administratives 10 minutes

• lit les tâches dans le Cahier de l’élève : Compréhension écrite

• relit les textes reliés aux tâches• consulte son Cahier de préparation

pour la prise de notes• fait les tâches

• Cahier de préparation • Cahier de prise de notes :


Compréhension écrite

Compréhension écrite(CÉ)

Tâches

70 minutes

Jour 3le mercredi6 juin 2018

(l’avant-midiou

l’après-midi)

Tâches administratives 10 minutes

• choisit et organise ses idées • rédige, révise et corrige son brouillon• transcrit sa version définitive dans le

Cahier de l’élève : Production écrite

• Cahier de préparation• Cahier de prise de notes :


Production écrite

Production écrite(PÉ)

Tâche

180 minutes


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Compréhension orale


Exemple de réponse d’élève : CO1-A

Dans la vidéo, « Le Scandale du gaspillage alimentaire » l’animatrice Johane Despins démontre de la subjectivité au sujet du gaspillage alimentaire avec l’aide des faits et les éléments de la forme. Au première lieu, Despins à dépensé beaucoup de temps à expliquer comment les gaspillages alimentaire se provient de la maison. Par exemple, elle a donné la fait que, « 25% du gaspillage commence à la maison » ceci nous aident à réaliser comment on doit éviter les gaspillage dans les lieux les plus communes. Pour aller plus loin, Despins à dit que, « Principalement, le gaspillage provient du foyer ou la nourriture devient vite perimé » cette citation démontre comment gros les gaspillages qu’on fait à la maison et que c’est la première chose qu’on doit practiquer pour faire une différence. Deuxièmement, elle a fait une répétition de la scène avec le brocolli qui met l’accent sur l’importance de les fruits et légumes qu’on choisi au supermarché. Quand ils ont changé la scène au ferme, la musique à devenu plus douce, plus serieux et plus melodique. Ceci l’aide à faire une contraste des deux différents scènes. En plus, Despins à l’ajouté que, « C’est un question de couleur » qui veut dire qu’on s’occupe tros des apparences des légumes. En conclusion, l’animatrice Johane Despins à l’utiliser des preuves et la trame sonore pour démontre de la subjectivité au documentaire.

Le scandale du gaspillage alimentaire

1. Expliquez comment l’animatrice démontre de la subjectivité au sujet du gaspillage alimentaire en vous référant à au moins deux éléments pertinents de ce reportage.

3 points

– introduction

– compréhension : gaspillage au foyer

– élément de référence : statistique concernant le gaspillage

– élément de référence : péremption

– explication

– compréhension : répétition de l’image

– élément de référence : trame sonore

– explication

– élément de référence : citation

– conclusion


Exemple de réponse d’élève : CO1-B

Dans le video, « le scandale du gaspillage alimentaire », l’animatrice démontre de la subjectivité au sujet du gaspillage alimentaire car elle regarde dans une seule prespective et aussi, elle donne nous ses pensées/sentiments durant le vidéo. Pour commencé elle a seulement regardé aux points mauvaises et elle a demander les personnes qui ont des choses negatives a dirent. Çela n’a pas nous aider a voire beaucoup des differents côtés d’argument. L’autre chose est qu’elle donne ses opinions et pensées du gaspillage alimentaire. Elle parle à propos ce qu’elle va faire avec les differents situations, et non pas les faits soldes. En tous, durant le vidéo elle n’a pas rester neutre et nà donner nous pas des faits. Elle a montre des émotions/expressions. elle a regarder a une seule prespective et elle a aussi parler à propos ses sentiments et ses pensées. Ses éléments sont tous partie du subjectivité au sujet de ce vidéo avec l’animatrice.

Commentaire :

Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension orale, cette réponse mérite 2 points.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension convenable de la subjectivité du reportage. (niveau 2)L’élaboration de la réponse : L’explication contient des idées assez justes. L’organisation du paragraphe est appropriée. (niveau 2)Les références et les citations : Les éléments de références présentés sont très vagues et n’établissent pas de lien avec l’explication. (niveau 1)

– introduction

– explication

– élément de référence : très vague

– compréhension

– explication

– compréhension

– élément de référence très vague

– conclusion

Commentaire : Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension orale, cette réponse mérite 3 points.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension approfondie de la subjectivité du reportage. (niveau 3)L’élaboration de la réponse : La réponse contient une explication détaillée qui analyse plus qu’un élément pertinent. L’organisation du paragraphe est logique et cohérente. (niveau 3)Les références et les citations : Les références sont choisies judicieusement pour illustrer les éléments de l’explication. (niveau 3)


Exemple de réponse d’élève : CO1-C

L’animateur Denis Gagné et l’animatrice Johane Despins démontre la subjectivité avec les statistique et les images. En premier, Johane utilise une statistique subjective dans le reportage. Elle dit que 30% des aliments vont au poubelle entre les fermes, et l’assiette dans vos maisons. Cette statistique donne seulement un argument pour le côté « pour » du gaspillage alimentaire. Finalement, les animateurs montre une image d’un fermier avec du broccoli. Le fermier jette des broccolis à la terre simplement parce que il n’a pas l’apparence le plus désirable. Cette image applique aussi seulement le côté « pour » de l’argument. Le statistique de Johane et l’image du fermier aide à montrer le subjectivité dans le reportage « Le scandale du gaspillage alimentaire.

Commentaire : Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension orale, cette réponse mérite 2 points.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension convenable de la tâche. (niveau 2)L’élaboration de la réponse : La réponse contient une explication plutôt simpliste qui dégage partiellement l’idée principale, mais à laquelle il manque des détails relatifs à la subjectivité. (niveau 1)Les références et les citations : Les références et citations sont acceptables. (niveau 2)

– introduction

– élément de référence : statistique

– explication peu dévelopée

– élément de référence : producteur

– explication peu dévelopée

– conclusion


Vancouver, ville verte

2. La ville de Vancouver a acquis la réputation d’être une ville écologique et sensible à l’environnement. Pourtant, les images présentées dans le reportage remettent en question cette réputation.

Expliquez comment certaines images démontrent que le gaspillage alimentaire est encore un problème à Vancouver en vous référant à au moins deux éléments pertinents de ce reportage.

Exemple de réponse d’élève : CO2-ADenis Gagné a dit que « Vancouver veut être la ville la plus verte dans tout Canada ». Mais Vancouver a encore beaucoup d’étapes de faire avant d’attaindre ce but.Pour commencer, l’image des fruits et legumes dans un camion de poubelle, donne impression que les gaspillage alimentaire est encore un problème. Il demontre que les consumateurs jette les fruits et legumes dans la poubelle même s’ils sont encore bien a manger.De plus, l’image d’une poubelle rempli des petits pain explique que ce n’est pas seulement les fruit et legumes qui sont gaspillé mains les produits de graines aussi.En conclusion, même si Vancouver a la réputation d’être une ville écologique. Il doit reduire sa gaspillage alimentaire avant que cela est vrai.

Commentaire : Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension orale, cette réponse mérite 3 points.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension évidente de la contradiction entre l’image idéale que Vancouver veut donner et les images de gaspillage. (niveau 3)L’élaboration de la réponse : La réponse contient une explication peu dévelopée qui ne fournit pas suffisamment de détails pour bien expliquer la contradiction entre la narration et les images. (niveau 2)Les références et les citations : Les références sont justes et intégrées dans l’explication. (niveau 3)

3 points

– introduction

– compréhension : objectif à réaliser

– explication intégrant une référence

– explication peu développée intégrant une référence

– conclusion



Le directeur du reportage a utilise les images très efficace pour démontre que le gaspillage est encore un problème, même dans « le ville plus verte au Canada ». Au commencement du document audiovisuel, il y avait les statistiques à propos du gaspillage alimentaire sur les piles de la poubelle. C’était intéressant de voir que la ville verte gaspille « 80 000 pommes de terre chaque an » avec une image de la poubelle dessu les mots. Un autre élément utilisé dans le reportage est les individues qui lance la nourriture au poubelle. Il y a plusieurs moments pendant le reportage qui montre le severité de nourriture jeter au poubelle. Les statistiques démontrent ne semblent pas très grand maintenant. Les images montre que le gaspillage alimentaire est encore un problème, même dans le ville le plus verte au Canada.

Commentaire : Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension orale, cette réponse mérite 2 points.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension adéquate de la tâche. (niveau 2)L’élaboration de la réponse : L’explication manque de détails pour relier efficacement les exemples avec la contradiction. (niveau 2)Les références et les citations : La première référence est appropriée, mais la deuxième est un peu vague. (niveau 2)

– introduction

– éléments de référence : images et statistiques

– élément de référence : images de gaspillage

– explication

– compréhension



Le gaspillage alimentaire est encore un problème à Vancouver. Tu avait vue cela au documents avec les statistiques et quand tu avait vue les poubelles rempis de nouritures. Pour commencer tu avait vue des differents statistiques qui demontre le gaspillage. Il y a des statistiques comme 70 000 verres de lait, 80 000 pomme de terres et 16 000 banans sont tout gaspiller dans une annee. Cela demontre qu il y a beaucoup de nuriture qui sont continuellement gaspiller. La document avait aussi montre une homme qui s’appelle Steve Roy qui avait demender une l’entreprise si il peux prendre la nourriture qu’il avait tout mettre au poubelle et donner av d’autres. Cela demontre qu il ne pas seulement gaspiller de nourriture mais c’est de la nourriture du bonne qualité que nous pouvons manger. Vancouver acquis la réputation d’être me ville écologique mais il y a des changements qui devrait être fait pour que il ne gaspiller pas la nourriture comme cela.

Commentaire : Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension orale, cette réponse mérite 3 points.La compréhension de la tâche : La réponse cerne les idées principales du reportage relatives à la tâche. (niveau 3)L’élaboration de la réponse : La réponse présente une explication correcte dans laquelle la première idée est bien dévelopée, mais la deuxième manque de détails. (niveau 2)Les références et les citations : Les références et citations sont acceptables et reliées à la justification. (niveau 3)

– introduction

– élément de référence : statistiques

– explication

– compréhension


Le scandale du gaspillage alimentaire Vancouver, ville verte

3. Vous avez vu deux reportages qui traitent du gaspillage alimentaire au Canada. Lequel de ces reportages recommanderiez-vous à votre entourage afin de le sensibiliser à ce problème?

Justifiez votre point de vue en vous appuyant sur au moins deux éléments pertinents du reportage que vous recommandez.

Exemple de réponse d’élève : CO3-A

Quand on compare les deux, reportages, on voie que Le Scandale du Gaspillage parle de la gaspillage universale qui existe au monde, tandis que Vancouver, ville verte, nous montre certaine étapes qu’ils prennent pour arrêter le gaspillage. Mon choix de recommendation est Le Scandale, pour démontrer l’image pleine. On doit voire combien est gaspiller. Après Pascal Thériault, professeur d’agronomie, on est en train d’acheter plus qu’on a besoin. On est en train d’utiliser beaucoup de nourriture sans même la manger, et on voie que chez la maison de Pasal Jarry, il cuit trop de nourriture et jette la restant. Après Laurent Cousincan, Vice-président de Les Jardins Paul Cousineau, la consommateur achète seulement ce que l’aire bon et parfait. Tant la nourriture qui est encore bon mais à l’aire déformé, ou décoloré est jetter après d’être laisser aux épiceries trop long temps.

Commentaire :Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension orale, cette réponse mérite 3 points. La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension approfondie de la tâche en adoptant une prise de position claire. (niveau 3)L’élaboration de la réponse : La réponse contient une justification adéquate, cependant il y manque une phrase de conclusion qui reprend la prise de position. (niveau 2)Les références et les citations : Les références et citations sont bien choisies et bien agencées à la justification. (niveau 3)

3 points

– introduction

– prise de position

– justification : les enjeux, les acteurs intégrant trois éléments de référence



Les deux filme a des bonne idée de comment aidé au la problème de gaspillage alimentare au Canada. « Le Scandale du gaspillage almentaire » parle plutart a des familles en canada et connut les personne ce faites gaspiller trops. La filme de « Vancouver, ville curbe » est plutaut dedier a des étapes que cette ville prendre pour durant la ville la plus verte par l’année 2020. La plus grande étapes que la ville de Vancouver ce prendre ces de donné chaque résidente une « poubelle » de composte qui est dédier au toutes les nourriture périsable. Ils avait depasser une loi qui dit que « s’est illegal de mots le prodvos qui peut alle en la « composte »... ou la poubelle ». Avec cela dit, je pense que les villes - toute autour la canada devrait adopté cette loi. Done je pense qu je suis plus subsible de recomander « Vancouver, ville verte en mes amis.

Commentaire :Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension orale, cette réponse mérite 2 points.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension générale qui ne présente une prise de position qu’à la fin de la réponse seulement. (niveau 2)L’élaboration de la réponse : La justification est superficielle, car elle manque de détails justifiant le choix de reportage. L’introduction est trop longue et résume inutilement les deux reportages. (niveau 1)Les références et les citations : La réponse contient deux références, mais celles-ci sont faiblement reliées à la justification. (niveau 2)

– introduction

– éléments de référence : compostage et loi

– justification




Les deux reportages est tellement bon, Le scandale du gaspillage alimentaire allez dans le maison d’un famille pour faire un connection personnelle avec nous et aussi des fermiers locale, Mais je pense que Vancouver, ville verte est plus bon pour sensibiliser les gens au cause de les faits concretes choquant pour nous faire peur et pour nous faire penser plus a les conséquences spécialement quand ont voit que c’est au Vancouver un des plus bon ville qui est conscient de l’enviroment et j’ai pense que les gros faits choquant c’est la meilleur method.

Commentaire :Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension orale, cette réponse mérite 1 point.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension générale de la tâche à laquelle il manque des détails importants. (niveau 2)L’élaboration de la réponse : La réponse présente une justification qui appuie partiellement la prise de position. (niveau 2)Les références et les citations : Les références et citations sont absentes. (niveau 0)

– introduction


– justification


Compréhension écrite


Exemple de réponse d’élève : CÉ4-A Tout à travers le texte, il y a plusieurs indices qui donneront allusion à la fin du texte. À la ligne 28 du 4e paragraphe, c’est écrit « Elle enfile sa paire de gants délicatement et commence sa cueillette ». Ceci est notre première indice que Josie n’est pas à l’épicerie. Ce fait qu’elle met des gants nous laisse supposer qu’elle va peut-être devoir toucher des choses qu’elle n’a pas envie de toucher. Chez une épicerie, cela n’arrivera pas à cause de la façon dont c’est organisé; tu as seulement besoin de toucher les articles que tu veux acheter. Alors on peut supposer que les gants étaient pour la protection. Notre deuxième indice se trouve entre les lignes 42 à 47 : « Elle attrape tout ce qu’il lui tomber sous la main... six paquets de biscuits chocolatés ». Chez une épicerie, on ne dirait pas que les choses « tombe sous la main ». Tout est rangé de façon organisé sur des étagères et on sait exactement ce qu’on sélectionne à chaque fois qu’on le prend, car on le prend par exprès. Josie semble saisir tout au hasard, sans savoir ce qu’elle prend. De plus, les objets qu’elle trouve ne sont pas des objets généralement trouvés dans un endroit, à un seul magasin. On ne trouverait certainement pas un dictionnaire chez une épicerie. C’est pour ces deux raison qu’on peut prédire que Josie ne se trouve pas chez une épicerie, mais à un dépôt de poubelle.

Passer à la caisse

4. Quels indices l’auteure fournit-elle dans les péripéties pour annoncer le dénouement de la nouvelle?

Citez deux passages de la nouvelle qui servent d’indices et expliquez comment ils prédisent la fin.

Commentaire : Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension écrite, cette réponse mérite 3 points.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension approfondie de la nouvelle et de la tâche. (niveau 3)

3 points

– introduction

– élément de référence : gants

– explication

– élément de référence : organisation

– explication

– explication

– élément de référence : dictionnaire

– conclusion


Exemple de réponse d’élève : CÉ4-B

Pendant la nouvelle, l’auteure nous donnes quelques indinces pour nous dire que la visite de Josie au supermarché n’est pas ordinaire. Par exemple, la nouvelle dit, « Elle enfile sa paire des gants délicatement et commence sa cueillette » (pg. 25 ligne 29). Ceçi me donne l’impression que quelsque chose n’est pas normale parce que c’est pas commun de voir quelqu’un au supermarché cueilletter avec des gants sur lui même. Un autre exemple est quand le texte dit, « Mais elle ne peut plus s’arrêter : il lui faut consommer. Elle ouvre un paquet de chips et en attrape une grosse poignée. Et comme elle ne l’ai jamais fait, elle remplit tellement sa bouche qu’elle ne peut pas mâcher sans en faire déborder. » (pg. 25 ligne 50-54). Cette ligne m’indique que Josie ne mange pas très souvent et n’est pas beaucoup de contrôle envers la nourriture qui est une indice pour annoncer le dénouement. Donc, l’exemple de Josie cueilletté avec les gants et mangée avec aucun contrôle sont deux indices pour annoncer que Josie est un clodo (dénouement) dans la nouvelle.

Commentaire : Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension écrite, cette réponse mérite 2 points.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension convenable de la nouvelle. (niveau 2)L’élaboration de la réponse : L’explication démontre efficacement la compréhension de la tâche, cependant, l’explication qui suit le deuxième passage est erronée. (niveau 2)Les références et les citations : Les références sont bien choisies. (niveau 3)

– introduction

– élément de référence : gants

– explication

– élément de référence : consommation

– explication erronée

L’élaboration de la réponse : La réponse contient une explication développée de façon détaillée. (niveau 3)Les références et les citations : Les passages sont choisis judicieusement et bien agencés à la tâche. (niveau 3)


Exemple de réponse d’élève : CÉ4-C

Dans l’histoire l’auteure fournit beaucoup d’indices dans les péripéties pour annoncer le dénouement. « Précipitamment, elle récupère ses affaires et laisse tomber derrière elle le paquet de chips entamé. » (ligne 59-60) Cette phrase nous disent que Josie est pauvre et n’a peut-être pas de maison, alors pour manger elle va a la poubelle et trouve tout ce qu’elle peut pour avoir la nourriture à manger. Elle entend du bruit qui viens de plus en plus proche, le vigile l’a trouvée et elle doit sortir. Deuxièmement on trouve un autre indice sur les lignes 67 à 69. « Alors c’est toi la clodo qui fout le bordel dans mes poubelles tous les vendredis. » Le vigile l’a trouvée dans ses poubelles et faire un gros dégas dans sa cours. Elle n’était pas vraiment à un supermarché mais qu’elle creusait dans une poubelle.

Commentaire : Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension écrite, cette réponse mérite 1 point.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension superficielle de la nouvelle et de la tâche. (niveau 1)L’élaboration de la réponse : L’explication du premier passage est partiellement juste, cependant la réponse manque de détails. (niveau 1)Les références et les citations : Le premier passage est bien choisi, mais le deuxième fait partie du dénouement de la nouvelle, donc n’est pas cohérent avec la tâche. (niveau 1)

– introduction

– élément de référence : panique

– explication partiellement vraie

– élément de référence qui fait partie du dénouement


Exemple de réponse d’élève : CÉ5-A

Je pense que l’initiative de marketing des « fruits et légumes moches » peut réduire le gaspillage alimentaire. Pluisieurs personne aime les légumes parfait mais ils aiment aussi le rabais qui vens avec les légumes moches. Les gens vont acheté car ils sont moins cher et ils ont le même goût, l’apparence n’a pas un impact. Je pense si les supermarchés peut vendre les légumes et fruits moches, il va reduire la gaspillage alimentaire beaucoup. Sans cet l’initiative de marketing où vont tous le nourriture moches. Beaucoup des fruits et légumes est mis dans la poubelle avant même de prendre le chemin au supermarche. (Fortin, 2014, paragr. 5) Le rabais des fruits et légumes moches est 30% de la prix, Je penserais qu’il les personnes voient les rabais ils vont acther. (Fortin, 2014, paragr. 3) Cette intitative, « il aura permis de sensibiliser les clients au phénomène du gaspillage sous toutes ses formes » (Fortin, 2014, paragr. 6) Selon moi, il vaudrait certainement la peine d’essayer cet initiative de marketing des « fruits et légumes moches »

3 points

Des légumes moches, bons, pas chers

5. Croyez-vous que l’initiative de marketing des « fruits et légumes moches » peut réellement réduire le gaspillage alimentaire?

Justifiez votre point de vue en vous appuyant sur au moins deux éléments pertinenets tirés du texte à l’étude.

Commentaire : Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension écrite, cette réponse mérite 3 points.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension approfondie de la tâche en défendant judicieusement sa prise de position. (niveau 3)L’élaboration de la réponse : La réponse contient une justification détaillée qui relève les idées signifiantes. (niveau 3)Les références et les citations : Les citations sont bien choisies et agencées à la tâche. (niveau 3)

– introduction

– justification

– justification

– éléments de référence : production, rabais

– justification

– élément de référence : sensibilisation

– conclusion



« 30% de rabais des pommes, des oranges et des carottes « moches » dans un stand séparé et bien identifié. » (« Des légumes moches, bons, pas chers » PG. 27 par Pierre-divier Fortin P. 3 ligne 3-5) dans cette cas, il peut réduire le gaspillage beaucoup parce que il peut être moins chère pour achéte les légumes pas parfait, et vas aussi enseigner les gens de ne soucie pas de la beauté de les légumes qu’ils vas mangont. et savas réduire le gaspillage

“ « C’est quelque chose de vraiment intéresant qui mérite d’être étudie » , souligne d’ailleurs la porte-parole d’IGA, Laurie Fassat. ” (« Des légumes moches, bons, pas chers » PG. 28 Par Pierre-O. Fortin P. 8 ligne 3-5) Cette élément est un bon cas parce que si les person important et les compagnie gross support c’est idée, Plusieur person vas sais de l’idée et vas supporté l’idée qui vas aidé as réduire le gaspillage.

Commentaire :Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension écrite, cette réponse mérite 2 points.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension générale de la tâche. (niveau 2)L’élaboration de la réponse : La justification est mal structurée parce qu’on doit déduire la prise de position qui n’est pas explicitée. (niveau 1)Les références et les citations : Les citations sont acceptables mais la deuxième n’est que faiblement reliée à la tâche. (niveau 2)

– élément de référence : rabais

– justification

– élément de référence : intérêt des commerçants

– justification



Oui, je crois que faire l’initiative de marketing des « fruits et légumes moches » peut aider a réduite le gaspillage.) « Intermarché de Provins a offert à 30% de rabais » (3) si tu vend la nourriture moches moins chers tu peux le vends.) « Les fruits et legumes moches sont aussi bons » (photo) même si les fruits et légumes sont déformer il gôute encore bon. Moi dans mon jardins on trouve beaucoup de legume moches mais jaime encore manger. « C’est compliqué de demander aux producteurs : Je ne veux que du moche » (7) à ce moment c’est trops difficile de demandé pour les nourritures moches mais si sa deviens plus un réallité on peut réduire le gaspillage alimentaire. C’est du plaisir de regardé des fruits et legumes moches.

Commentaire :Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension écrite, cette réponse mérite 1 point.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension limitée de la tâche. (niveau 1)L’élaboration de la réponse : La réponse présente une justification superficielle qui supporte mal la prise de position. Une partie de la réponse décrit l’initiative mais ne discute pas de son efficacité. (niveau 1)Les références et les citations : Les citations sont insuffisantes. (niveau 1)


– élément de référence : rabais

– justification

– élément de référence : goût

– justification : expérience personnelle

– élément de référence et justification non pertinents à la tâche


Exemple de réponse d’élève : CÉ6-A

La vision du monde autochtone ressemple à celle des bénévoles de l’organisme les fruits défendus de Montréal parce qu’un but majeur de l’organisme est de réduire le gaspillage alimentaire. Ils veulent protéger la Terre et ses ressources, pareil comme les peuples autochtones. « Isabelle Gervais-Chapman, coordinatrice de la transformation alimentaire, affirme qu’aucun fruit n’est gaspillé. » (G.Bégin, « Les fruits de la ruelle », 2014, pg 17) Dans le texte « Honorer la Terre », l’auteur dit que les peuples autochtones exrayent et utilisent chaque élément en gardant à l’esprit le fait qu’ils prennent uniquement ce dont ils ont besoin. Les peuples autochhtones et l’organisme ne croient pas dans le gaspillage de les ressources que notre Terre nous fourissent. Deuxièmement, les peuples autochtones et l’organisme les fruits défendus de Montréal croient qu’on a besoin d’une relation avec la terre dont on habite. « Les citoyens des Premières Nations entreinnent une relation particulière avec la terre et tous les êtres vivants qu’elle abrite. » (Honorer la terre, 2016, pg. 20) L’ organisme aussi croient en l’importance d’honorer les aliments qui poussent en ville et ils tous font leur part pour assurer que les recoltes sont tous prend soin de et que tous le monde fournit de ques ce que la terre nous donne.

3 points

Honorer la Terre Les fruits de la ruelle

6. À partir d’un exemple tiré de chaque texte, expliquez comment la vision du monde autochtone ressemble à celle des bénévoles de l’organisme Les fruits défendus de Montréal.

Commentaire :Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension écrite, cette réponse mérite 3 points.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension approfondie de la tâche. (niveau 3) L’élaboration de la réponse : La réponse contient une explication logique et bien réfléchie (niveau 3) Les références et les citations : Les citations sont bien choisies et agencées à la tâche. (niveau 3)

– introduction

– élément de référence : pas de gaspillage (Fruits)

– élément de référence : pas de gaspillage (Honorer)

– explication

– éléments de référence :• respect de la terre

(Honorer)• respect de la terre

(Fruits)

– conclusion



Je pense qu’il y a des ressembles dans les deux documents : « honorer la terre », et « Les fruits de la ruelle. » La premiere resemble est que dans « Honorer la terre il dit « Nous devons faire preuve de précaution et de clairvoyance dans la façon et la quantité que nous prévelons... » il montre que ils prendre juste se qu’ils ont besoin et pas plus. Sa me rappeler au « Les fruits de la ruelle » quand il parle de ramassé les fruits comme des cerises, des poires et des prunes. Ils prend ce qu’ils besoin ou veulent et laisse le reste pour les autres dans le communité. Par exemple, il reste les fruits pour que les bénévoles peux préparent une centaine de repas par jour que leur popote roulante livre aux gens isolés de la ville. Sa c’est pourquoi je pense la vision du monde autochtone ressemble à celle des bénévoles de l’organisme Les fruits défendus de Montréal.

Commentaire :Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension écrite, cette réponse mérite 3 points. La compréhension de la tâche : La réponse démontre une bonne compréhension des idées communes aux deux textes. (niveau 3)L’élaboration de la réponse : L’explication est correcte et contient les idées communes les plus importantes. Cependant le paragraphe manque un peu d’organisation pour bien faire comprendre les idées exprimées. (niveau 2)Les références et les citations : Les références sont pertinentes et reliées à la tâche. (niveau 3)

– introduction

– élément de référence : respect (Honorer)

– explication

– élément de référence : partage (Fruits)

– conclusion



L’organisme, les fruits défendus de Montréal, collect des fruits locale ou urbame qui pousse dont les cartiers de leur villes. Dans honorer la terre, les autochtones dit que « Notre mère de la terre nous donne les aliments et l’eau dont nous avons besoins ». (paragraphe 1) Ça veux dire que les autochtonnes croyent en utiliser les biens et récolté la nourriture qui les entours. Les fruits défendus de Montréal portent cette croyance avec les autochtones. Andrec SPecton et ces benévolants crois que les fruits qui sont dans leur cartier sont aussi bon que les de supermatchet. Au sujet des voisins qui pousse dans sa cartier, Spector dit que « c’est vraiment des voisins comme ceux qu’on à l’épicerie (2 paragraphe). Comme les autochtones ces fruits défendus utlise des biens qui sont proviser par le monde autours d’ils pour se mourrir au lieu que acheter d’autre places. »

Commentaire :Selon les critères d’évaluation pour les tâches de Compréhension écrite, cette réponse mérite 1 point.La compréhension de la tâche : La réponse démontre une compréhension superficielle de la tâche. Elle exprime mal les points communs entre les deux textes. (niveau 1)L’élaboration de la réponse : La réponse présente une explication incomplète puisque la deuxième citation (Fruits de la ruelle) n’est pas reliée à l’idée appuyée par la première (Honorer la terre). (niveau 1)Les références et les citations : Les citations ne sont pas reliées efficacement à la justification. (niveau 1)

– introduction

– élément de référence : Terre donne (Honorer)

– explication

– explication non pertinente

– élément de référence non pertinent

– conclusion, compréhension


Production écrite


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AN

CE

RA

S L’

élèv

e se

ra c

apab

le d

e ré

dige

r des

text

es a

rgum

enta

tifs

et/o

u an

alyt

ique

s en

resp

ecta

nt le

s ca

ract

éris

tique

s pr

opre

s à

ces

text

es.

5 4

3 2

1

Le te

xte

déga

ge u

ne im

pres

sion

de

qual

ité e

t de

pers

pica

cité

. Le

text

e té

moi

gne

d’un

e cl

arté

et

d’un

e ce

rtai

ne ré

flexi

on.

Le te

xte

est a

ccep

tabl

e.

Le te

xte

est f

aibl

e.

Le te

xte

est f

ragm

enté

ou

inac

hevé

.

* Qualité de l’argumentation

L’él

ève

écrit

un

text

e ar

gum

enta

tif a

dapt

é à

la s

ituat

ion

de

com

mun

icat

ion,

ave

c le

sou

ci d

e co

nvai

ncre

son

des

tinat

aire

.

Le

dév

elop

pem

ent d

e l’a

rgum

enta

tion

est à

pei

ne

esqu

issé

ou

non

perti

nent

(e

x. :

non-

resp

ect d

e la

tâch

e)

- L

’intr

oduc

tion

: L’é

lève

pré

sent

e le

suj

et, r

efor

mul

e la

qu

estio

n, é

nonc

e sa

pris

e de

pos

ition

et a

nnon

ce, a

u be

soin

, le

dév

elop

pem

ent d

e sa

thès

e.

Dan

s l’i

ntro

duct

ion,

l’él

ève

capt

e l’a

ttent

ion

du d

estin

atai

re e

n fa

isan

t pr

euve

d’o

rigin

alité

, d’e

ngag

emen

t et d

’un

souc

i de

conv

ainc

re.

L’in

trodu

ctio

n or

ient

e im

méd

iate

men

t la

su

ite d

u te

xte

et e

st c

arac

téris

ée p

ar u

ne

certa

ine

touc

he p

erso

nnel

le.

L’in

trodu

ctio

n or

ient

e la

sui

te d

u te

xte

de

man

ière

gén

éral

e ou

méc

aniq

ue, c

e qu

i n’

inci

te g

uère

le d

estin

atai

re à

pou

rsui

vre

sa

lect

ure.

L’in

trodu

ctio

n or

ient

e pe

u la

sui

te d

u te

xte;

cer

tain

s él

émen

ts p

euve

nt ê

tre

abse

nts.

- L

a th

èse

: L’é

lève

pré

sent

e sa

thès

e so

us d

iver

s as

pect

s :

- le

s gr

ande

s id

ées

dire

ctric

es, l

es a

ngle

s, le

s pi

stes

-

les

écla

irage

s pa

r les

quel

s l’é

lève

pré

sent

e sa

thès

e.

La th

èse

est s

olid

e.

La th

èse

tém

oign

e d’

une

certa

ine

réfle

xion

. La

thès

e es

t ord

inai

re.

La th

èse

est v

ague

.

-

Les

argu

men

ts :

L’él

ève

étay

e sa

thès

e à

l’aid

e d’

argu

men

ts.

Les

argu

men

ts s

ont r

évél

ateu

rs.

Les

argu

men

ts s

ont c

onva

inca

nts.

Le

s ar

gum

ents

son

t con

vena

bles

. Le

s ar

gum

ents

son

t ins

uffis

ants

ou

inap

prop

riés.

- L

es ré

fére

nces

: L’

élèv

e ap

puie

ses

arg

umen

ts d

e ré

fére

nces

. Le

s ar

gum

ents

son

t app

uyés

de

réfé

renc

es ju

dici

euse

men

t cho

isie

s.

Les

argu

men

ts s

ont a

ppuy

és d

e ré

fére

nces

bie

n ch

oisi

es.

Les

argu

men

ts s

ont a

ppuy

és d

e ré

fére

nces

ad

équa

tes.

Le

s ré

fére

nces

son

t ins

uffis

ante

s ou

in

appr

oprié

es.

- L

a st

raté

gie

argu

men

tativ

e : L

’élè

ve m

et e

n œ

uvre

une

st

raté

gie

argu

men

tativ

e :

- le

ton,

l’en

gage

men

t, la

con

stan

ce d

u po

int d

e vu

e -

les

moy

ens

lang

agie

rs (m

arqu

es é

nonc

iativ

es, m

arqu

es d

e

m

odal

ité, v

arié

té d

es p

hras

es, r

egis

tre d

e la

ngue

app

ropr

ié à

l’i

nten

tion

de c

omm

unic

atio

n)

- la

pro

gres

sion

des

arg

umen

ts, l

e pr

océd

é ar

gum

enta

tif

- le

s m

oyen

s gr

aphi

ques

(gra

s, s

oulig

nem

ent,

enca

drem

ent,

disp

ositi

on d

u te

xte,

etc

.).

La s

traté

gie

argu

men

tativ

e es

t mis

e en

œ

uvre

ave

c di

scer

nem

ent;

l’int

entio

n de

co

mm

unic

atio

n té

moi

gne

d’un

en

gage

men

t sou

tenu

.

La s

traté

gie

argu

men

tativ

e es

t mis

e en

œ

uvre

ave

c ef

ficac

ité; l

’inte

ntio

n de

co

mm

unic

atio

n es

t évi

dent

e.

La s

traté

gie

argu

men

tativ

e es

t mis

e en

œ

uvre

de

man

ière

acc

epta

ble

ou

méc

aniq

ue; l

’inte

ntio

n de

com

mun

icat

ion

est a

ppar

ente

.

La s

traté

gie

argu

men

tativ

e es

t mis

e en

œ

uvre

de

man

ière

rudi

men

taire

; l’in

tent

ion

de c

omm

unic

atio

n es

t fai

ble.

- L

a co

hére

nce

: L’é

lève

age

nce

l’info

rmat

ion

de m

aniè

re

cont

inue

et p

rogr

essi

ve :

- l’

unité

du

text

e (c

ham

p le

xica

l, m

arqu

eurs

de

rela

tion

et

orga

nisa

teur

s te

xtue

ls, e

tc.)

- l’

harm

onis

atio

n de

s te

mps

et d

es m

odes

ver

baux

-

la re

pris

e de

l’in

form

atio

n.

La c

ohér

ence

du

text

e es

t sou

tenu

e et

re

nfor

ce l’

argu

men

tatio

n.

La c

ohér

ence

du

text

e es

t évi

dent

e et

ap

puie

l’ar

gum

enta

tion.

La

coh

éren

ce d

u te

xte

est p

rése

nte

et, d

ans

l’ens

embl

e, s

ous-

tend

l’ar

gum

enta

tion.

La

coh

éren

ce d

u te

xte

est f

aibl

e.

- L

a co

nclu

sion

: L’

élèv

e re

form

ule

sa th

èse,

fait

une

synt

hèse

de

l’arg

umen

tatio

n et

pré

sent

e un

e ou

vertu

re s

ur le

su

jet.

L’él

ève

renf

orce

l’un

ité d

u te

xte

en fa

isan

t pr

euve

d’o

rigin

alité

dan

s la

com

posi

tion

de la

con

clus

ion.

La c

oncl

usio

n co

ntrib

ue à

l’un

ité d

u te

xte

grâc

e à

sa to

uche

per

sonn

elle

. La

con

clus

ion

est p

rése

ntée

de

man

ière

m

écan

ique

; cer

tain

s él

émen

ts d

e l’in

trodu

ctio

n pe

uven

t être

répé

tés.

La c

oncl

usio

n a

un ra

ppor

t vag

ue a

vec

le

text

e; c

erta

ins

élém

ents

peu

vent

être

ab

sent

s.

* Respect des règles de la langue

Dan

s so

n te

xte,

l’él

ève

tient

com

pte

des

règl

es d

e la

la

ngue

: La

maî

tris

e de

la la

ngue

est

très

bon

ne

et té

moi

gne

d’un

e ce

rtai

ne é

léga

nce.

La

maî

tris

e de

la la

ngue

est

bon

ne e

t pe

rmet

une

exp

ress

ion

effic

ace.

La

maî

tris

e de

la la

ngue

est

adé

quat

e,

mal

gré

quel

ques

impr

oprié

tés.

La

maî

tris

e de

la la

ngue

est

lim

itée,

av

ec d

e no

mbr

euse

s im

prop

riété

s.

La m

aîtr

ise

de la

lang

ue e

st

très

lim

itée,

voi

re

inco

mpr

éhen

sibl

e.

• L’

empl

oi d

es fo

rmes

gra

mm

atic

ales

-

la

con

juga

ison

des

ver

bes,

les

acco

rds

Les

form

es g

ram

mat

ical

es s

ont p

resq

ue

touj

ours

cor

rect

es.

Les

form

es g

ram

mat

ical

es s

ont s

ouve

nt

corr

ecte

s.

Les

form

es g

ram

mat

ical

es p

rése

nten

t pl

usie

urs

erre

urs.

La

gra

mm

aire

est

sou

vent

inex

acte

. Il

y a

de n

ombr

euse

s er

reur

s fo

ndam

enta

les

de g

ram

mai

re.

• L’

empl

oi d

u vo

cabu

laire

-

la

var

iété

et l

’éte

ndue

des

mot

s Le

voc

abul

aire

est

rich

e et

éte

ndu.

Le

voc

abul

aire

est

var

ié.

Le v

ocab

ulai

re e

st a

ccep

tabl

e.

Le v

ocab

ulai

re e

st li

mité

. Le

voc

abul

aire

est

insu

ffisa

nt.

• L’

empl

oi d

es s

truc

ture

s sy

ntax

ique

s -

l’o

rdre

cor

rect

des

mot

s, la

stru

ctur

e co

rrect

e de

la

phr

ase

Les

stru

ctur

es s

ynta

xiqu

es s

ont

empl

oyée

s de

faço

n ef

ficac

e et

adr

oite

. C

erta

ines

stru

ctur

es s

ynta

xiqu

es s

ont

effic

aces

. Le

s st

ruct

ures

syn

taxi

ques

son

t sim

ples

et

souv

ent c

orre

ctes

. P

lusi

eurs

stru

ctur

es s

ynta

xiqu

es s

ont

inco

rrect

es.

La p

lupa

rt de

s st

ruct

ures

sy

ntax

ique

s so

nt in

corre

ctes

.

• L’

orth

ogra

phe

d’us

age

L’or

thog

raph

e es

t pre

sque

touj

ours

co

rrect

e.

L’or

thog

raph

e es

t sou

vent

cor

rect

e.

En

géné

ral,

l’orth

ogra

phe

est c

orre

cte.

L’

orth

ogra

phe

est p

arfo

is c

orre

cte.

L’

orth

ogra

phe

est r

arem

ent

corr

ecte

. *

Ces

deu

x gr

ande

s ca

tégo

ries

regr

oupe

nt l’

orga

nisa

tion,

le c

onte

nu, l

e st

yle

et le

s rè

gles

de

la la

ngue

. Pui

sque

la P

rodu

ctio

n éc

rite

est l

e se

ul d

omai

ne p

our l

eque

l les

règl

es d

e la

lang

ue s

ont é

valu

ées

de fa

çon

form

elle

, les

résu

ltats

de

Res

pect

des

règl

es d

e la

lang

ue p

ourr

aien

t aug

men

ter o

u ré

duire

d’u

ne c

ote

la n

ote

final

e de

l’él

ève

en P

rodu

ctio

n éc

rite.

Cot

es

5 4+

4 3+

3 2+

2 1+

1

Pond

érat

ion

10

0 90

80

70

60

50

40

30

20

Com

port

emen

ts

Énon

cé g

énér

al


Édu

catio

n et

Ens

eign

emen

t sup

érie

ur M

anito

ba

Div

isio

n du

Bur

eau

de l’

éduc

atio

n fra

nçai

se

Dire

ctio

n de

s se

rvic

es d

e so

utie

n en

édu

catio

n

oct

obre

201

4

Fran

çais

lang

ue s

econ

de –

imm

ersi

on, 1

2e ann

ée

Gril

le d

’éva

luat

ion

d’un

e no

uvel

le li

ttéra

ire

RA

G P

É2

L’él

ève

sera

cap

able

de

rédi

ger d

es te

xtes

pou

r sat

isfa

ire u

n be

soin

d’

imag

inai

re, p

our p

ropo

ser u

ne v

isio

n du

mon

de e

t pou

r exp

lore

r le

lang

age.

N

IVEA

UX

DE

PER

FOR

MA

NC

E R

AS

L’él

ève

sera

cap

able

de

rédi

ger u

n te

xte

dans

lequ

el il

pré

sent

e un

év

énem

ent d

ans

le b

ut d

e cr

éer u

n ef

fet d

ram

atiq

ue, h

umor

istiq

ue o

u un

ef

fet d

e su

rpris

e, d

e su

spen

se, o

u da

ns le

quel

il e

xplo

re l’

aspe

ct lu

diqu

e du

la

ngag

e.

5 4

3 2

1

Le te

xte

déga

ge u

ne im

pres

sion

de

qua

lité

et d

’orig

inal

ité.

Le te

xte

tém

oign

e d’

une

clar

té e

t d’

une

cert

aine

touc

he p

erso

nnel

le.

Le te

xte

est a

ccep

tabl

e.

Le te

xte

est f

aibl

e.

Le te

xte

est f

ragm

enté

ou

inac

hevé

.

*Qualité de l’univers fictif

Fict

ion

L’él

ève

écrit

une

nou

velle

litté

raire

dan

s la

quel

le il

dév

elop

pe

le th

ème

du te

st, e

n te

nant

com

pte

des

élém

ents

sui

vant

s :

L’un

iver

s na

rratif

est

à p

eine

es

quis

sé o

u no

n pe

rtine

nt.

(ex.

: no

n-re

spec

t de

la tâ

che,

au

cun

lien

à la

tâch

e d’

écrit

ure)

• L’

intr

igue

1 -

la

situ

atio

n in

itial

e -

l’é

véne

men

t per

turb

ateu

r -

le

s pé

ripét

ies

(gra

datio

n)

-

le p

oint

cul

min

ant

-

le d

énou

emen

t

L’in

trigu

e es

t dév

elop

pée

avec

in

vent

ivité

. L’

intri

gue

est d

ével

oppé

e de

faço

n ef

ficac

e.

L’in

trigu

e es

t dév

elop

pée

de fa

çon

méc

aniq

ue (e

x. :

clic

hés)

. L’

intri

gue

est p

eu d

ével

oppé

e.

• Le

s pe

rson

nage

s1 -

le

s ca

ract

éris

atio

ns

-

l’évo

lutio

n ps

ycho

logi

que

-

les

rapp

orts

éve

ntue

ls e

ntre

les

pers

onna

ges

Les

pers

onna

ges

sont

dév

elop

pés,

en

eux-

mêm

es o

u da

ns le

urs

rapp

orts

, av

ec im

agin

atio

n.

Les

pers

onna

ges

sont

dév

elop

pés,

en

eux-

mêm

es o

u da

ns le

urs

rapp

orts

, de

faço

n pl

utôt

com

plèt

e.

Les

pers

onna

ges

sont

dév

elop

pés,

en

eux-

mêm

es o

u da

ns le

urs

rapp

orts

, de

faço

n gé

néra

le.

Les

pers

onna

ges

sont

dév

elop

pés,

en

eux-

mêm

es o

u da

ns le

urs

rapp

orts

, de

faço

n lim

itée

ou in

vrai

sem

blab

le, v

oire

in

cohé

rent

e.

• Le

cad

re

-

le li

eu e

t le

tem

ps

Le c

adre

est

pré

sent

é av

ec c

réat

ivité

. Le

cad

re e

st b

ien

inté

gré

au te

xte.

Le

cad

re e

st p

rése

nté

de fa

çon

méc

aniq

ue.

Le c

adre

est

pré

sent

é de

faço

n lim

itée

ou il

logi

que

par r

appo

rt au

text

e.

• Le

thèm

e et

les

sous

-thèm

es

Le th

ème

et le

s so

us-th

èmes

son

t lié

s au

test

et d

ével

oppé

s av

ec o

rigin

alité

. Le

thèm

e et

les

sous

-thèm

es s

ont l

iés

au

test

et d

ével

oppé

s de

faço

n ef

ficac

e.

Le th

ème

et le

s so

us-th

èmes

son

t lié

s au

test

et d

ével

oppé

s de

faço

n gé

néra

le.

Le th

ème

et le

s so

us-th

èmes

son

t à

pein

e lié

s au

test

et p

eu d

ével

oppé

s.

Nar

ratio

n

• Le

s ef

fets

cré

és

-

le ti

tre

-

le p

oint

de

vue

de n

arra

tion

: nar

rate

ur a

bsen

t, té

moi

n, p

artic

ipan

t -

le

ton

(ex.

: dr

amat

ique

, hum

oris

tique

, ém

otif,

de

susp

ens,

etc

.) -

le

s m

oyen

s la

ngag

iers

(var

iété

des

phr

ases

, reg

istre

de

lang

ue

appr

oprié

à l’

inte

ntio

n de

com

mun

icat

ion,

figu

res

de s

tyle

, im

ages

év

oqué

es, d

ialo

gue,

etc

.)

Les

effe

ts c

réés

son

t ric

hes;

ils

sont

m

is e

n œ

uvre

de

man

ière

judi

cieu

se e

t ré

fléch

ie.

Les

effe

ts c

réés

son

t int

éres

sant

s; il

s so

nt

mis

en

œuv

re d

e m

aniè

re e

ffica

ce.

Les

effe

ts c

réés

son

t per

cept

ible

s; il

s so

nt m

is e

n œ

uvre

de

man

ière

ap

prop

riée

dans

l’en

sem

ble

du te

xte.

Les

effe

ts c

réés

son

t sim

plis

tes;

ils

sont

mis

en

œuv

re d

e fa

çon

mal

adro

ite

et/o

u lim

itée.

• La

coh

éren

ce d

u te

xte

-

l’ord

re e

t la

prog

ress

ion

du te

xte

-

l’uni

té d

u te

xte

(cha

mp

lexi

cal,

proc

édés

de

repr

ise,

mar

queu

rs d

e re

latio

n et

org

anis

ateu

rs te

xtue

ls, e

tc.)

-

l’har

mon

isat

ion

des

tem

ps e

t des

mod

es v

erba

ux

La c

ohér

ence

du

text

e es

t réf

léch

ie e

t re

nfor

ce l’

univ

ers

fictif

. La

coh

éren

ce d

u te

xte

est é

vide

nte

et

appu

ie l’

univ

ers

fictif

. La

coh

éren

ce d

u te

xte

est p

rése

nte

et

sout

ient

, dan

s l’e

nsem

ble,

l’un

iver

s fic

tif.

La c

ohér

ence

du

text

e es

t fai

ble.

*Respect des règles de la langue

Dan

s so

n te

xte,

l’él

ève

tient

com

pte

des

règl

es d

e la

lang

ue :

La m

aîtr

ise

de la

lang

ue e

st tr

ès

bonn

e et

tém

oign

e d’

une

cert

aine

élé

ganc

e.

La m

aîtr

ise

de la

lang

ue e

st b

onne

et

per

met

une

exp

ress

ion

effic

ace.

La

maî

tris

e de

la la

ngue

est

ad

équa

te, m

algr

é de

s im

prop

riété

s.

La m

aîtr

ise

de la

lang

ue e

st

limité

e, a

vec

de n

ombr

euse

s im

prop

riété

s.

La m

aîtr

ise

de la

lang

ue e

st

très

lim

itée.

• L’

empl

oi d

es fo

rmes

gra

mm

atic

ales

-

la

conj

ugai

son

des

ver

bes,

les

acco

rds

Le

s fo

rmes

gra

mm

atic

ales

son

t pr

esqu

e to

ujou

rs c

orre

ctes

. Le

s fo

rmes

gra

mm

atic

ales

son

t sou

vent

co

rrec

tes.

Le

s fo

rmes

gra

mm

atic

ales

pré

sent

ent

plus

ieur

s er

reur

s.

La g

ram

mai

re e

st s

ouve

nt in

exac

te.

Il y

a de

nom

breu

ses

erre

urs

fond

amen

tale

s de

gra

mm

aire

.

• L’

empl

oi d

u vo

cabu

laire

-

la

varié

té e

t l’é

tend

ue d

es m

ots

Le v

ocab

ulai

re e

st ri

che

et é

tend

u.

Le v

ocab

ulai

re e

st v

arié

. Le

voc

abul

aire

est

acc

epta

ble.

Le

voc

abul

aire

est

lim

ité.

Le v

ocab

ulai

re e

st in

suffi

sant

.

• L’

empl

oi d

es s

truc

ture

s sy

ntax

ique

s -

l’o

rdre

cor

rect

des

mot

s, la

stru

ctur

e co

rrect

e de

la p

hras

e Le

s st

ruct

ures

syn

taxi

ques

son

t em

ploy

ées

de fa

çon

effic

ace

et

adro

ite.

Cer

tain

es s

truct

ures

syn

taxi

ques

son

t ef

ficac

es.

Les

stru

ctur

es s

ynta

xiqu

es s

ont

sim

ples

et s

ouve

nt c

orre

ctes

. P

lusi

eurs

stru

ctur

es s

ynta

xiqu

es s

ont

inco

rrect

es.

La p

lupa

rt de

s st

ruct

ures

sy

ntax

ique

s so

nt in

corre

ctes

.

• L’

orth

ogra

phe

d’us

age

L’or

thog

raph

e es

t pre

sque

touj

ours

co

rrect

e.

L’or

thog

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e es

t sou

vent

cor

rect

e.

En

géné

ral,

l’orth

ogra

phe

est c

orre

cte.

L’

orth

ogra

phe

est p

arfo

is c

orre

cte.

L’

orth

ogra

phe

est r

arem

ent

corr

ecte

.

* C

es d

eux

gran

des

caté

gorie

s re

grou

pent

l’or

gani

satio

n, le

con

tenu

, le

styl

e et

les

règl

es d

e la

lang

ue. P

uisq

ue la

Pro

duct

ion

écrit

e es

t le

seul

dom

aine

pou

r leq

uel l

es rè

gles

de

la la

ngue

son

t éva

luée

s de

faço

n fo

rmel

le, l

es ré

sulta

ts d

e R

espe

ct d

es rè

gles

de

la la

ngue

pou

rrai

ent a

ugm

ente

r ou

rédu

ire d

’une

cot

e la

not

e fin

ale

de l’

élèv

e en

Pro

duct

ion

écrit

e.

1. Le

s co

mpo

sant

es in

trigu

e et

per

sonn

ages

ont

une

val

eur p

lus

impo

rtant

e qu

e le

s co

mpo

sant

es c

adre

et t

hèm

e.

Cot

es

5 4+

4 3+

3 2+

2 1+

1

Pond

érat

ion

10

0 90

80

70

60

50

40

30

20

Com

posa

ntes

Én

oncé

gén

éral


2e choix : un texte argumentatif

Quelles actions proposez-vous pour réduire le gaspillage alimentaire dans votre communauté, au Manitoba ou au Canada? Dans une lettre ouverte, un éditorial ou un discours, proposez des actions et fournissez des arguments

qui appuient le bien-fondé de vos suggestions.

Rédigez un texte d’environ 500 mots dans lequel vous présentez vos actions.

1er choix : une nouvelle littéraire

En vous inspirant d’une des idées suivantes, rédigez une nouvelle littéraire d’environ 500 mots dans laquelle vous développez un aspect du thème Le gaspillage alimentaire.

Les idées de départ

1. « Ça fait six mois que je n’ai pas fait d’épicerie et que je mange mieux que si je payais mon épicerie. »

Christian, participant du réseau Manger Librement

2. 3.

© iStock.com/Si-Gal

Tâche d’écriture

Le dernier jour du test, vous devrez rédiger une nouvelle littéraire ou un texte argumentatif en choisissant l’UNE des tâches d’écriture suivantes.

En lisant les textes, gardez en tête la tâche que vous avez choisie; cela vous permettra de mieux organiser vos idées.

Note :

En raison de restrictions liées aux droits d’auteur, nous sommes dans l’impossibilité d’afficher l’image no 3 : http://resofrance.eu/insolite/un-amour-de-ca-rotte-14642

Prière de vous référer au document imprimé.

La trousse complète des documents relatifs à ce test est disponible pour emprunt à la Direction des ressources éducatives françaises, à l’adresse www.dref.mb.ca.

De plus, des exemplaires imprimés des documents de test peuvent être commandés du Centre des manuels scolaires du Manitoba, à l’adresse www.mtbb.mb.ca.

http://resofrance.eu/insolite/un-amour-de-carotte-14642

http://resofrance.eu/insolite/un-amour-de-carotte-14642

http://www.dref.mb.ca

http://www.mtbb.mb.ca


Anal

yse

de te

xte

– PÉ

1-A

élé

me

nts

du

te

xte

TEXT

E D

’ÉLÈ

VE

co

mm

en

tair

es

in

trod

uctio

n

suje

t am

ené

su

jet p

osé

pr

ise

de p

ositi

on

su

jet d

ivis

é

1er a

spec

t

Étu

dian

t.e

Bri

an B

owm

anE

cole

510

rue

Mai

nVi

lle

Ville

Win

nipe

g, M

BAd

ress

e

R3B

1B

9

le 6

juin

201

8

Il fa

ut q

ue v

ous

pren

niez

les

étap

es n

éces

sair

es p

our

dim

inue

r le

gas

pilla

ge

alim

enta

ire

à W

inni

peg.

Mon

sieu

r le

mai

re,

Savi

ez-v

ous,

que

dan

s no

tre

mon

de a

ujou

rd’h

ui, n

ous

jetio

ns 1

,3

mill

iard

de

tonn

es d

e no

urri

ture

par

ann

ée (F

ranc

e N

atur

e E

nvir

onne

men

t, 18

)? 1

,3 m

illia

rd d

e dé

chet

s qu

i lai

ssen

t des

effe

ts d

ésas

treu

x su

r no

n-se

ulem

ent n

otre

env

iron

nem

ent,

mai

s no

tre

écon

omie

. Ici

à W

inni

peg,

on

joue

un

gra

nd r

ôle

dans

la c

ontr

ibut

ion

à ce

t mon

tagn

e de

déc

hets

auj

ourd

’hui

. M

ais,

tout

cec

i pou

rrai

t cha

nger

. C’es

t néc

essa

ire

que

vous

com

pren

iez,

M

onsi

eur

le m

aire

, les

ava

ntag

es q

ui v

ienn

ent a

vec

dim

inue

r le

gas

pilla

ge

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enta

ire

à W

inni

peg.

En

intr

odui

sant

les

syst

èmes

de

recy

clag

e au

x ép

icer

ies,

on

prév

oit u

n m

eille

ur e

nvir

onne

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t, éc

ocom

ie e

t com

mun

auté

.Le

s pr

emiè

res

idée

s qu

i vie

nnen

t à n

os tê

tes

lors

qu’on

ent

endr

e le

s m

ots

« le

gasp

illag

e al

imen

tair

e » s

ont l

es id

ées

de c

omm

ent l

e ga

spill

age

détr

uisa

it no

tre

envi

ronn

emen

t. Lo

rsqu

’il e

xist

e de

plu

s en

plu

s de

déc

hets

, on

gas

pille

bea

ucou

p de

s re

ssou

rces

nat

urel

les

et e

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fet,

on la

isse

sor

tir le

s

− af

firm

atio

n −

argu

men

t

Info

rmat

ion

four

nie

par

l’élè

vege

nre

de te

xte

: une

lett

rede

stin

atai

re :

Le m

aire

à W

inni

peg,

Br

ian

Bow

man

et l

e pu

blic

.


gaz

à ef

fet d

e se

rre.

Auj

ourd

’hui

1/3

des

alim

ents

sur

la p

lanè

te s

ont j

etés

da

ns la

pou

belle

(Fra

nce

Nat

ure

Env

iron

nem

ent,

18) e

t les

épi

ceri

es jo

uent

un

gra

nd r

ôle

dans

cet

gas

pilla

ge. B

asé

sur

mes

con

nais

sanc

es, j

e co

mpr

end

que

Win

nipe

g ne

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ticip

e pa

s da

ns le

s sy

stèm

es d

e ré

duct

ion

de g

aspi

llage

au

x ép

icer

ies.

En

cons

éque

nce,

Mon

sieu

r le

mai

re, j

e pr

opos

e qu

e no

tre

ville

nt

rodu

it de

s sy

stèm

es d

e co

mpo

stag

e au

x ép

icer

ies.

À p

rése

nt, l

es d

éche

ts

d’ép

icer

ies

sont

jeté

s da

ns la

pou

belle

. Si o

n pe

nse

à co

mbi

en d

e no

urri

ture

es

t jet

é ch

aque

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à c

ause

des

gen

s qu

i ne

les

ache

tent

pas

, il s

’acc

umul

e.

Si o

n re

gard

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Qué

bec,

il y

a q

uelq

ues

mar

gasi

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ui o

nt d

éjà

intr

odui

t les

sy

stèm

es d

e co

mpo

ste.

Éri

c C

ourt

eman

che,

pro

prié

tair

e d’

un in

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arch

é de

la r

ue S

aint

-Jos

eph

part

icip

ait d

ans

un p

rogr

amm

e de

com

post

age

et a

réd

uit s

on v

olum

e de

déc

hets

par

200

% (C

laud

ette

Sam

son,

9).

Cet

pe

tit c

hang

emen

t a e

u un

gra

nde

impa

cte.

Mêm

e le

s ac

tions

d’u

n se

ule

épic

erie

a v

ue d

es e

ffets

ava

ntag

eux.

Pou

r l’e

nvir

onne

men

t, en

intr

odui

sant

le

com

post

age.

Mêm

e si

on

rega

rde

à Va

ncou

ver,

on

peut

enc

ore

voir

e le

s av

anta

ges

qui v

ienn

ent a

vec

ces

prog

ram

mes

. Le

cons

eille

r m

unic

ipal

, Ja

mes

Boo

thro

yd à

Van

couv

er a

par

lé d

e co

mm

ent à

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tir d

u ga

spill

age

alim

enta

ire

au C

anad

a, o

n co

ntri

bue

énor

mem

ent à

le c

réat

ion

de m

étho

ne,

un g

az à

effe

t de

serr

e qu

i ajo

uter

a à

le c

hang

emen

t clim

atiq

ue (V

anco

uver

, Vi

lle v

erte

, Kat

hlee

n R

oyer

, 4).

En

cons

éque

nce,

la v

ille

a pr

is le

s m

ésur

es

d’in

trod

uire

le c

ompo

stag

e po

ur la

vill

e en

tier,

incl

uant

les

épic

erie

s. G

reg

Cou

sins

qui

trav

aille

à «

Cho

ices

Mar

kets

» de

vrai

t pas

ser

tout

ses

frui

ts e

t lé

gum

es à

le c

ompo

st (V

anco

uver

, vill

e ve

rte,

Kat

hlee

n R

oyer

, 4).

C’es

t

− 1

re ré

fére

nce

(1

re s

ourc

e)

− e

xplic

atio

n −

reco

mm

anda

tion

− e

xplic

atio

n −

2e r

éfér

ence

(2e s

ourc

e)

− d

écla

ratio

n −

3e r

éfér

ence

(3e s

ourc

e)

− d

écla

ratio

n −

4e r

éfér

ence

(3e s

ourc

e)

− s

ynth

èse

Anal

yse

de te

xte

– PÉ

1-A

(sui

te)


2e a

spec

t

évid

ent q

ue le

s sy

stèm

es d

e co

mpo

stag

e fo

nctio

nnen

t. C

’est m

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enan

t le

tour

de

Win

nipe

g à

pren

dre

l’act

ion

pour

aid

er n

otre

env

iron

nem

ent.

« P

ourq

uoi?

». L

a qu

estio

n la

plu

s pe

rtin

ente

qui

sor

t des

bou

ches

du

gou

vern

emen

t lor

squ’

on p

arle

d’a

ider

not

re e

nvir

onne

men

t. C

e n’

est p

as

une

prio

rité

pou

r W

inni

peg

à ce

mom

ent d

û au

x en

jeux

plu

s ur

gent

s. M

ais,

il

exis

te u

ne b

onne

mot

ivat

ion.

En

dim

inua

nt le

gas

pilla

ge a

limen

tair

e à

Win

nipe

g, o

n am

élio

ra n

otre

éco

nom

ie. S

i on

rega

rde

à le

tout

de

Can

ada,

on

voi

t que

« an

nuel

lem

ent,

les

Can

adie

ns je

tent

aux

ord

ures

l’éq

uiva

lent

e de

14,

6 m

illia

rds

de d

olla

rs e

n no

urri

ture

» (H

élèn

e G

agno

n, P

our

en fi

nir

avec

le g

aspi

llage

alim

enta

ire,

22)

14,

6 m

illia

rd d

e do

llars

est

bea

ucou

p de

l’ar

gent

. De

l’arg

ent q

ui v

ient

des

poc

hes

des

Win

nipé

gois

. Tou

t cel

a co

nsid

eré,

je p

ropo

se q

ue le

Win

nipe

g in

trod

uit l

es s

ystè

mes

de

raba

is p

our

les

frui

ts e

t lég

umes

moc

hes.

Peu

t-êtr

e M

onsi

eur

le m

aire

, vou

s de

man

diez

co

mm

ent c

e sy

stèm

e ai

dera

not

re é

cono

mie

? O

n do

it se

ulem

ent r

egar

der

aux

faits

pou

r le

rép

ondr

e. A

ujou

rd’h

ui a

u Fr

ance

, il e

xist

e de

s in

term

arch

és

qui e

ncou

rage

les

gens

d’a

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er le

s lé

gum

es e

t fru

its m

alfo

rmés

à u

n pr

ix

rédu

it. D

ans

un in

term

arch

é de

Pro

vins

, ils

« of

fere

nt à

30%

de

raba

is d

es

pom

mes

, des

ora

nges

et d

es c

arro

ttes

moc

hes

» (D

es lé

gum

es m

oul b

ons,

pa

s ch

ers,

Pie

rre-

Oliv

ier

Fort

in, 2

7). S

i on

tient

com

pte

de la

mon

tant

de

nour

ritu

re n

on-p

érim

és o

u m

alfo

rmés

qui

son

t jet

és p

ar le

s ép

icer

ies

chaq

ue

jour

, tou

t ce

que

le W

inni

peg

reço

it de

ce

syst

ème

de r

abai

s es

t le

profi

t. Le

s co

nsom

mat

eurs

voi

ent q

ue le

s fr

uits

goû

te la

mêm

e et

don

c le

s ac

hète

. Il

− re

com

man

datio

n −

affi

rmat

ion

− a

rgum

ent

− 5

e réf

éren

ce

(4

e sou

rce)

−

reco

mm

anda

tion

− e

xplic

atio

n −

6e r

éfér

ence

(5e s

ourc

e)

− e

xplic

atio

n


3e a

spec

t

dim

inue

ra le

gas

pilla

ge e

t aug

men

tera

les

profi

ts. D

e pl

us, i

l exi

ste

envi

ron

10 à

15%

de

la r

écol

te d

es fe

rmie

rs q

ui n

e so

nt p

as v

endu

s au

x ép

icer

ies

à ca

use

de le

ur a

ppar

ence

mal

-form

é. (G

aspi

llage

alim

enta

ire

à qu

i la

faut

e,

Cla

udet

te S

amso

n, 1

0). E

n in

trod

uisa

nt le

sys

tèm

e de

rab

ais,

ces

pro

duits

pe

uven

t êtr

e ve

ndus

et n

otre

vill

e re

cevr

a en

core

plu

s de

pro

fits.

C’es

t une

vi

ctoi

re p

our

tout

le m

onde

.

Tou

t ce

que

les

syst

èmes

don

t j’a

i déj

à m

entio

nné

ont e

n co

mm

un,

c’est

qu’

ils a

ider

a la

vill

e du

Win

nipe

g. E

n ré

duis

ant n

otre

gas

pilla

ge

alim

enta

ire,

on

prév

oit u

n co

mm

unau

té b

eauc

oup

plus

fort

. Dan

s no

tre

mon

de a

ujou

rd’h

ui, «

1 p

erso

nne

sur

6 so

uffr

e de

la m

alnu

triti

on »

Fran

ce

Nat

ure

Env

iron

nem

ent,

19) S

i on

tient

com

pte

de c

e st

atis

tique

et n

otre

po

pula

tion

dépr

imés

ici à

Win

nipe

g, o

n pe

ut c

oncl

ure

que

si n

otre

gas

pilla

ge

cont

inue

d’a

ugm

ente

r, le

div

ise

entr

e no

tre

popu

latio

n au

gmen

tera

. Pou

r as

sure

r un

e m

eille

ure

com

mun

auté

, c’es

t néc

essa

ire

que

le W

inni

peg

crée

une

sy

stèm

e de

rec

ycla

ge q

ui d

onne

la n

ourr

iture

ext

ra d

es é

pice

ries

aux

gen

s dé

prim

és. C

e ge

nre

de s

ystè

me

exis

te d

éjà

à M

ontr

éal.

Il e

xist

e un

org

anis

me

nom

mé

« Les

frui

ts d

éfen

dus

de M

ontr

éal »

qui

don

ne le

s fr

uits

com

estib

les

de la

vill

e po

ur a

ider

leur

com

mun

auté

. (Le

s fr

uits

de

la r

uelle

, Gilb

ert

Bég

in, 1

6) Il

s do

nnen

t les

frui

ts e

xtra

à la

pop

ote

roul

ante

pou

r le

s ge

ns

isol

és à

Mon

tréa

l au

lieu

de to

ut je

tés.

Cet

org

anis

me

est u

n fo

rt e

xem

ple

de

ce q

ue le

Win

nipe

g de

vrai

t fai

re a

vec

ses

alim

ents

ext

ras

ou n

on-v

endu

s de

s ép

icer

ies.

On

dim

inue

les

déch

ets

en a

idan

t not

re c

omm

unau

té.

− 7

e réf

éren

ce

(6

e sou

rce)

−

déc

lara

tion

− a

ffirm

atio

n −

arg

umen

t −

8e r

éfér

ence

(1èr

e sou

rce)

−

exp

licat

ion

− re

com

man

datio

n −

9e r

éfér

ence

(7e s

ourc

e)

− re

com

man

datio

n


co

nclu

sion

Effe

ctiv

emen

t, si

la v

ille

intr

odui

t ce

syst

ème

de r

ecyc

lage

aux

épi

ceri

es, i

ls

les

forc

ent d

e do

nner

les

denr

ées

aux

banq

ue a

limen

tair

es. C

’est n

atur

elle

po

ur d

es g

ens

de p

ense

r qu

’app

orte

r le

s al

imen

ts e

xtra

aux

ban

ques

al

imen

tair

es e

st tr

op d

e tr

avai

lle. A

rthu

r C

auch

on d

e Q

uébe

c a

dit q

ue

« je

pour

rais

alle

r po

rter

ça

à la

Mai

son

de L

aube

rivi

ère.

..mai

s ça

pre

nd

du te

mps

». (G

aspi

llage

alim

enta

ire

: à q

ui la

faut

e, C

laud

ette

Sim

son,

10)

Cec

i ne

devr

ait p

as ê

tre

un e

xcus

e. P

our

dim

inue

r le

gas

pilla

ge a

limen

tair

e à

Win

nipe

g, to

ut le

mon

de d

evra

it pr

endr

e l’a

ctio

n. D

onc,

en

intr

odui

sant

ce

syst

ème

oblig

atoi

re, o

n at

tend

ra d

e vr

ai c

hang

emen

ts ic

i à W

inni

peg

pour

no

tre

com

mun

auté

.E

nfin,

Mon

sieu

r le

Mai

re, t

out c

e qu

e je

vou

s pr

opos

e c’e

st d

e vo

ire

la

véri

té d

’un

mei

lleur

ave

nir

à W

inni

peg

un m

eille

ur a

veni

r qu

i se

trou

ve d

ans

l’int

rodu

ctio

n de

s sy

stèm

es d

e re

cycl

age

aux

épic

erie

s in

clua

nt le

com

post

age,

le

s ra

bais

et l

es b

anqu

es a

limen

tair

es. S

i vou

s ap

pliq

uiez

ces

sys

tèm

es, o

n au

ra u

ne m

eille

ure

envi

ronn

emen

t, éc

onom

ie e

t com

mun

auté

. Une

mei

lleur

e W

inni

peg. Ve

uille

z ag

réer

, Mon

sieu

r le

mai

re, l

’expr

essi

on d

e m

es s

entim

ents

re

spec

tueu

x.Si

gnat

ure

− e

xplic

atio

n −

10e r

éfér

ence

(6e s

ourc

e)

− s

ynth

èse

− s

ynth

èse

des

a

rgum

ents


Appr

écia

tion

glob

ale

En te

nant

com

pte

des c

ompo

rtem

ents

rech

erch

és p

ar ra

ppor

t à la

Qua

lité

de l’

argu

men

tatio

n et

au

Resp

ect d

es rè

gles

de

la la

ngue

, la

cote

de

5 a

été

attrib

uée

à ce

text

e.

Qua

lité

de l’

argu

men

tatio

n In

trod

uctio

n : n

ivea

u de

per

form

ance

5L’i

ntro

ducti

on c

apte

imm

édia

tem

ent l

’atte

ntion

du

desti

nata

ire e

n fa

isant

pre

uve

d’or

igin

alité

et d

’eng

agem

ent.

Elle

con

tient

tous

les é

lém

ents

ess

entie

ls.

Thès

e et

asp

ects

pré

sent

és :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 5

L’élè

ve d

ével

oppe

sa th

èse

d’un

e fa

çon

solid

e. L

e co

nten

u et

le fo

rmat

de

la le

ttre

cor

resp

onde

nt p

arfa

item

ent à

l’in

tenti

on d

e co

mm

unic

ation

car

la th

èse

sugg

ère

des a

ction

s loc

ales

. Ar

gum

ents

: ni

veau

de

perf

orm

ance

4Le

s arg

umen

ts so

nt p

rése

ntés

de

faço

n pr

ogre

ssiv

e et

logi

que

pour

mie

ux c

onva

incr

e le

lect

eur.

Le d

euxi

ème

aspe

ct e

st u

n pe

u pl

us fa

ible

cep

enda

nt.

Réfé

renc

es :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 5

Les a

rgum

ents

sont

app

uyés

de

nom

breu

ses r

éfér

ence

s cho

isies

judi

cieu

sem

ent.

Le te

xte

conti

ent d

ix ré

fére

nces

tiré

es d

e se

pt so

urce

s diff

éren

tes.

Les

cita

tions

et

réfé

renc

es so

nt a

genc

ées d

e fa

çon

habi

le d

ans l

’arg

umen

tatio

n.St

raté

gie

argu

men

tativ

e : n

ivea

u de

per

form

ance

5La

stra

tégi

e ar

gum

enta

tive

est m

ise e

n œ

uvre

hab

ilem

ent e

t sou

tient

l’en

gage

men

t du

lect

eur.

La

lett

re c

ontie

nt d

e no

mbr

eux

moy

ens l

anga

gier

s qui

renf

orce

nt

l’int

entio

n de

com

mun

icati

on a

vec

disc

erne

men

t.Co

hére

nce

: niv

eau

de p

erfo

rman

ce 5

La c

ohér

ence

est

ass

urée

par

la re

prise

de

la th

èse

dans

les t

rans

ition

s ent

re le

s asp

ects

. Des

org

anisa

teur

s tex

tuel

s effi

cace

s con

trib

uent

à l’

unité

du

text

e.Co

nclu

sion

: ni

veau

de

perf

orm

ance

4La

con

clus

ion

de la

lett

re re

pren

d la

pris

e de

pos

ition

et f

ait u

ne sy

nthè

se d

e l’a

rgum

enta

tion.

Le

lett

re se

term

ine

avec

une

form

ule

de p

olite

sse

bien

cho

isie.

Resp

ect d

es rè

gles

de

la la

ngue

Form

es g

ram

mati

cale

s : n

ivea

u de

per

form

ance

4Le

s for

mes

gra

mm

atica

les s

ont s

ouve

nt c

orre

ctes

. Les

err

eurs

d’a

ccor

d et

de

conj

ugai

son

sont

peu

fréq

uent

es.

Voca

bula

ire :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 4

Le v

ocab

ulai

re e

st a

ssez

éte

ndu

et é

voca

teur

. St

ruct

ures

synt

axiq

ues :

niv

eau

de p

erfo

rman

ce 5

Les s

truc

ture

s syn

taxi

ques

sont

pre

sque

touj

ours

cor

rect

es e

t effi

cace

s.O

rtho

grap

he d

’usa

ge :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 5

L’ort

hogr

aphe

est

pre

sque

touj

ours

cor

rect

e.


Anal

yse

de te

xte

– PÉ

1-B

élé

me

nts

du

te

xte

TEXT

E D

’ÉLÈ

VE

co

mm

en

tair

es

intr

oduc

tion

su

jet a

men

é

suje

t pos

é

suje

t div

isé

1er

asp

ect

2e a

spec

t

C’es

t a to

i de

rédu

ire

le g

aspi

llage

alim

enta

ire.

« 1/

4 de

not

re

épic

erie

son

t gas

pillé

» di

t Joh

ane

Des

pins

, une

ani

mat

rice

du

film

« Le

sc

anda

l du

gasp

illag

e al

imen

tair

e »,

donc

, c’es

t cla

ir q

ue le

gas

pilla

ge e

st

un p

robl

ème.

Tou

t le

mon

de p

eut a

idé

à ré

duir

e le

gas

pilla

ge a

vec

un p

eu d

e l’a

ide

com

me,

plu

s d’

éduc

atio

n à

prop

os d

es d

ates

de

pére

mpt

ion,

réc

ompe

nse

les

pers

onne

s qu

i ne

gasp

illen

t pas

et d

’inve

stir

dan

s le

s fr

igos

libr

e.B

asé

sur

la te

xte

« les

dat

es d

e pé

rem

ptio

n de

s al

imen

ts :

on s

’y fie

ou

non

? » é

crit

par

Mar

ie-È

ve L

afor

t, pa

ges

13-1

5, le

s da

tes

de p

érem

ptio

n so

nt p

érçu

inco

rrec

tem

ent.

Si la

pub

lique

est

édu

qué

et c

ompr

ende

les

date

s de

pér

empt

ion

il n’

aura

pas

aus

si d

e ga

spill

age.

Les

dat

es d

e pé

rem

ptio

n so

nt p

lust

ôt u

ne e

stim

atio

n pa

rce

que

plus

iére

des

pro

duits

son

t enc

ore

com

éstib

le a

près

leur

dat

e de

pér

empt

ion.

Si l

eur

appa

renc

e et

ode

ur n

on p

as

chan

gé v

ous

pouv

ez, n

orm

alem

ent,

le m

angé

. Com

me

exam

ple

« Les

dat

es d

e pé

rem

ptio

n de

s al

imen

t : o

n s’y

fie

ou n

on »

par

Mar

ie-È

ve L

afor

te, p

age

14,

dit «

Sim

ple,

sim

ple

: on

peut

les

man

gé ta

nt q

u’ils

ne

sont

pas

pou

rris

» à

prop

os d

es fr

uits

et l

égum

es.

Tout

le m

onde

sai

t que

le g

aspi

llage

arr

ive,

et i

l y’a

des

per

sonn

es

qui e

ssai

ent d

e ré

duir

e le

ur g

aspi

llage

, mai

s, c

’est n

’est p

as to

ut jo

urs

faci

le.

Auss

i, c’e

st n

’est p

as ju

ste,

lors

qu’

il y

a de

s pe

rson

nes

qui e

ssai

ent d

e ré

duir

e le

ur g

aspi

llage

et i

l y’a

des

aut

res

qui g

aspi

llent

com

me

c’est

leur

em

ploi

. Pe

ut-ê

tre

réco

mpe

nsé

les

pers

onne

s qu

i ne

gasp

ille

pas

est u

n bo

n id

ée. P

our

sim

plifi

é pe

nse

à un

chi

en, s

i il m

ange

la m

aiso

n il

ne m

érite

pas

un

bisc

uit

mai

s, s

i il r

este

tran

quil

il m

érite

un

bisc

uit.

Si le

mon

de r

écom

pens

e le

ur

− 1

re ré

fére

nce

(1re s

ourc

e)

− 2

e réf

éren

ce

(2

e sou

rce)

−

affi

rmat

ion

− a

rgum

ent

− e

xplic

atio

n −

3e r

éfér

ence

(2e s

ourc

e)

− a

ffirm

atio

n −

arg

umen

t −

exe

mpl

e

Info

rmat

ion

four

nie

par

l’élè

vege

nre

de te

xte

: un

disc

ours

dest

inat

aire

: Le

s pe

rson

nes

qui g

aspi

lle

trop

s.


Anal

yse

de te

xte

– PÉ

1-B

(sui

te)

3e a

spec

t

conc

lusi

on

chie

n po

ur q

uoi p

as r

écom

pens

é le

s pe

rson

nes

qui l

e m

érite

. Si l

es p

erso

nnes

fo

nt d

u co

mpo

ste

ou d

onne

leur

alim

ent q

ui r

este

à u

n or

gani

satio

n ca

rita

tive

ils r

ecev

oien

t un

rédu

ctio

n su

r le

ur ta

xes

ou u

n co

llect

ion

d’ar

gent

. « L

’ital

ie p

art e

n gu

erre

con

tre

le g

aspi

llage

alim

enta

ire

» par

Rad

io

Can

ada,

pag

e 32

, exp

lique

que

à d

éja

com

men

cé c

et lo

i, un

e lo

i qui

dev

rait

se tr

ouvé

au

tour

du

mon

de p

arce

que

sa

enco

urag

e le

mon

de d

e ne

gas

pillé

pa

s.Fi

nale

men

t, si

vou

s pe

nsez

que

l’or

gani

satio

n ca

rita

tive

est t

rops

loin

ou

ne v

eut p

as te

s al

imen

ts il

y’a

une

sol

utio

n po

ur c

ela,

des

frig

os li

bres

. La

isse

moi

exp

liqué

, des

frig

o lib

re s

ont d

es fr

igos

qui

se

trou

ve a

u to

ur d

e vo

tre

ville

. Les

per

sonn

es a

port

les

alim

ents

qu’

ils n

e ve

ulen

t pas

au

frig

o,

grat

uite

, ses

frig

os s

ont p

as la

par

ce q

u’il

n’y

a pa

s d’

espa

ce d

ans

votr

e fr

igo.

M

aint

enen

t qu’

il y’a

du

nour

ritu

re d

ans

les

frig

os, l

es a

utre

s pe

uven

t allé

re

gard

é da

ns le

s fr

igos

et p

rend

ent c

e qu

’ils

veul

ent,

ecor

e, g

ratu

ite. C

ela

rédu

it le

gas

pilla

ge p

arce

que

les

alim

ents

que

un

pers

onne

n’u

tilis

e pa

s ou

ne

veu

t pas

est

nor

mal

emen

t gas

pillé

mai

s, a

vec

les

frig

os s

es a

limen

ts s

ont

donn

é un

deu

xièm

e ch

ance

. Aus

si le

s pe

rson

ne q

ui n

’ont p

as l’

arge

nt p

our

la

nour

ritu

re p

euve

nt s

e no

urri

r de

s fr

igos

et d

onne

ses

per

sonn

es u

n de

uxiè

me

chan

ce.

En

conc

lusi

on, c

’est n

’est p

as to

ut jo

urs

faci

le d

e ré

duir

e no

tre

gasp

illag

e al

imen

tair

e m

ais,

c’es

t n’es

t pas

impo

ssib

le n

on p

lus.

Ave

c un

peu

de

l’aid

e on

peu

t réd

uire

not

re g

aspi

llage

. Si l

e m

onde

est

édu

qué

à pr

opos

des

dat

es

− e

xplic

atio

n −

4e r

éfér

ence

(3e s

ourc

e)

− d

écla

ratio

n −

affi

rmat

ion

− a

rgum

ent

− e

xplic

atio

n [s

ourc

e no

n in

diqu

ée]

– d

écla

ratio

n –

refo

rmul

atio

n de

la

th

èse

}


Anal

yse

de te

xte

– PÉ

1-B

(sui

te)

Appr

écia

tion

glob

ale

En te

nant

com

pte

des c

ompo

rtem

ents

rech

erch

és p

ar ra

ppor

t à la

Qua

lité

de l’

argu

men

tatio

n et

au

Resp

ect d

es rè

gles

de

la la

ngue

, la

cote

de

3 a

été

attrib

uée

à ce

text

e.

Qua

lité

de l’

argu

men

tatio

n In

trod

uctio

n : n

ivea

u de

per

form

ance

3L’i

ntro

ducti

on o

rient

e le

text

e d’

une

faço

n gé

néra

le e

t méc

aniq

ue b

ien

que

tous

les é

lém

ents

de

l’int

rodu

ction

soie

nt p

rése

nts.

Thès

e et

asp

ects

pré

sent

és :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 3

La th

èse

est é

tayé

e à

l’aid

e d’

argu

men

ts c

onve

nabl

es. C

epen

dant

, le

text

e ne

pré

sent

e pa

s d’a

ction

s loc

ales

et v

ise si

mpl

emen

t des

solu

tions

gén

éral

es.

Argu

men

ts :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 3

Les a

rgum

ents

sont

adé

quat

s pou

r sou

teni

r le

poin

t de

vue

de l’

élèv

e. D

ans l

e pr

emie

r asp

ect e

n pa

rticu

lier,

l’exp

licati

on m

anqu

e de

dét

ails.

Réfé

renc

es :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 3

Les a

rgum

ents

sont

app

uyés

de

quat

re ré

fére

nces

acc

epta

bles

pro

vena

nt d

e tr

ois s

ourc

es d

iffér

ente

s. U

ne c

inqu

ièm

e ré

fére

nce,

pré

sent

ée d

ans l

e tr

oisiè

me

aspe

ct, n

’est

pas

acc

ompa

gnée

de

la so

urce

.St

raté

gie

argu

men

tativ

e : n

ivea

u de

per

form

ance

4La

stra

tégi

e ar

gum

enta

tive

est m

ise e

n œ

uvre

d’u

ne fa

çon

effica

ce.

On

trou

ve p

lusie

urs m

arqu

es d

e m

odal

ités q

ui so

utien

nent

l’in

tenti

on d

e co

mm

unic

ation

et

enga

gent

le le

cteu

r.Co

hére

nce

: niv

eau

de p

erfo

rman

ce 3

Le te

xte

est o

rgan

isé d

e fa

çon

cohé

rent

e da

ns so

n en

sem

ble.

Conc

lusi

on :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 4

La c

oncl

usio

n re

pren

d la

thès

e et

fait

la sy

nthè

se d

es a

rgum

ents

. El

le c

ontr

ibue

à l’

unité

du

text

e et

se te

rmin

e av

ec u

ne in

terr

ogati

on.

Resp

ect d

es rè

gles

de

la la

ngue

Form

es g

ram

mati

cale

s : n

ivea

u de

per

form

ance

3Pl

usie

urs f

orm

es g

ram

mati

cale

s tel

les q

ue le

s con

juga

isons

et l

es a

ccor

ds so

nt e

rron

ées.

Voca

bula

ire :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 3

Le v

ocab

ulai

re e

st ju

ste

et a

ccep

tabl

e.St

ruct

ures

synt

axiq

ues :

niv

eau

de p

erfo

rman

ce 4

Les s

truc

ture

s syn

taxi

ques

sont

effi

cace

s et s

ouve

nt c

orre

ctes

.O

rtho

grap

he d

’usa

ge :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 3

L’ort

hogr

aphe

est

souv

ent c

orre

cte.

de p

érem

ptio

n, o

n ré

com

pens

e le

s pe

rson

nes

qui n

e ga

spill

e pa

s et

com

men

ce

à ut

lisé

des

frig

os li

bre,

le g

aspi

llage

dev

iend

ra m

oins

en

moi

ns h

aute

. Tou

t le

mon

de p

eut a

idé

à ré

duir

e le

gas

pilla

ge. P

our

quoi

gas

pillé

s’il

y a

des

au

tres

qui

n’on

t pas

l’ar

gent

pou

r la

nou

rritu

re?

synt

hèse

des

ar

gum

ents

ou

vert

ure


Anal

yse

de te

xte

– PÉ

2-A

élé

me

nts

d’in

trig

ue

TEXT

E D

’ÉLÈ

VE

élé

me

nts

de n

ar

ra

tio

n

si

tuat

ion

initi

ale

él

émen

t per

turb

ateu

r 1re

pér

ipét

ie

Prin

cess

e de

s ca

rotte

sE

lena

fixe

son

reg

ard

dans

le v

ide.

La

lum

ière

cre

é de

s pe

tits

poin

ts

de c

oule

ur d

ans

sa v

isio

n, e

t l’a

ir fr

ais

care

sse

sa p

eau

chau

de a

vec

une

fraî

cheu

r qu

’elle

acc

ueill

e av

ec p

lais

ir. M

ais

mal

gré

ses

beau

x se

ntim

ents

, il

n’y

a ri

en à

l’in

téri

eure

. Ele

na p

ouss

e un

gra

nd s

oupi

re e

t fer

me

le fr

igo.

La v

ibra

tion

de s

on té

léph

one

dans

sa

poch

e la

fait

saut

er.

« Sal

ut E

lena

! » C

’est N

aom

i, sa

mei

lleur

e am

ie. «

T’es

prê

te p

our

ce

soir

? » «

Pas

du

tout

! Il n

’y a

abso

lum

ent r

ien

dans

mon

frig

o, e

t je

ne s

ais

pas

quoi

cui

sine

r. Il

va

fallo

ir q

ue j’

aille

à l’

épic

erie

. Tu

vien

s? »

Ele

na p

ose

la q

uest

ion,

mai

s el

le c

onna

ît dé

jà la

rép

onse

: N

aom

i es

t déc

heta

rien

ne e

t dét

este

telle

men

t les

épi

ceri

es q

u’el

le r

efus

e d’

y en

trer

. C

epen

dant

elle

n’a

auc

un p

robl

ème

de m

ange

r le

ur p

oube

lle.

« C’es

t im

mor

al e

t affr

eux

le m

onta

nt d

e no

urri

ture

qu’

ils je

ttent

. To

ut c

ela

pour

rait

être

ven

du, o

u en

core

mie

ux...

» « d

onné

e à

une

banq

ue

alim

enta

ire.

» E

lena

fini

t la

phra

se p

our

elle

, elle

ava

it as

sez

ente

ndu

ce p

etit

serm

on d

e N

aom

i.« C

’est b

on, m

ais

moi

je d

ois

vous

don

ner

à m

ange

r et

il n

’y a

rien

da

ns m

on fr

igo.

À p

lus

tard

. »E

lle r

acro

che

le té

léph

one,

en

pens

ant à

ce

que

Nao

mi a

vait

dit.

Ele

na

la tr

ouva

it fo

lle :

de s

aute

r da

ns d

es b

enne

s à

ordu

res

et tr

ier

la p

oube

lle d

es

autr

es g

ens.

On

ne s

ait j

amai

s ce

qu’

on p

ourr

ait y

ret

rouv

er à

l’in

teri

eure

: de

s co

uche

s sa

lés,

des

mor

ceau

x de

ver

re c

assé

, la

nour

ritu

re p

ourr

it...e

t

− ti

tre

− n

arra

teur

abs

ent

− fi

gure

s de

sty

le :

p

erso

nnifi

catio

n

ant

ithès

e −

dia

logu

e −

effe

t : la

ngue

fam

ilièr

e −

figu

re d

e st

yle

:

énu

mér

atio

n

Info

rmat

ion

four

nie

par

l’élè

veim

age

choi

sie

: 3pu

blic

cibl

e : l

es co

nsom

mat

eurs

qui

ne

sont

pas

cons

cien

ts d

e le

ur

gasp

illag

e al

imen

tair

etit

re :

Prin

cess

e de

s ca

rott

es


Anal

yse

de te

xte

– PÉ

2-A

(sui

te)

2e p

érip

étie

de p

lus

on r

isqu

ait d

e le

touc

her

avec

nos

mai

ns, e

t de

salir

nos

vê

tem

ents

. C’ét

ait d

ange

reus

e et

dég

outa

nte,

et N

aom

i sav

ait q

u’E

lena

re

fusa

it de

le fa

ire.

Ren

due

à l’é

pice

rie.

Ele

na r

egar

de s

a lis

te e

t com

men

ce à

se

faufi

ler

entr

e le

s al

lées

de

nour

ritu

re. E

lle c

ueill

e to

ut c

e qu

’elle

a b

esoi

n de

s ét

agèr

es

: 2 p

ains

, des

ham

burg

ers,

2 p

late

aux

de p

oule

t (ils

son

t en

vent

e!) 2

blo

cs

de fr

omag

e, 2

car

tons

de

lait,

du

yogo

urt,

des

pom

mes

, des

lim

es, u

n sa

c d’

avoc

ats,

un

seau

de

crèm

e gl

acée

, 3 s

acs

de c

rous

tille

s...

Ele

na e

st u

n pe

u sh

oqué

e de

voi

r l’i

mm

ense

pile

de

nour

ritu

re q

ui e

st

accu

mul

ée d

ans

son

char

iot.

Elle

s’es

t dem

andé

e br

iève

men

t com

bien

de

ces

chos

es fi

nira

ient

dan

s la

pou

belle

. « N

aom

i est

vra

imen

t ren

due

dans

m

a tê

te. »

pen

se-t-

elle

. Ça

l’a p

ris

un p

eu d

e te

mps

pou

r to

ut m

ettr

e da

ns s

a vo

iture

, en

pend

ant q

u’el

le le

fais

ait e

lle c

onte

mpl

ait c

e qu

’elle

alla

it pr

épar

er

pour

la fê

te c

e so

ir. P

as lo

in d

’elle

, un

mou

vem

ent a

ttrap

e so

n re

gard

. Ave

c un

gri

ncem

ent q

ui fa

isai

t mal

aux

ore

illes

une

por

te a

rriè

re e

st o

uver

te e

t un

jeun

e ho

mm

e es

t sor

tie d

e l’é

pice

rie.

Il é

tait

habi

llé e

n un

iform

e et

por

tait

une

boîte

qui

ava

it l’a

ir d

’être

rem

plie

. Ele

na o

uvre

la c

amér

a de

son

télé

phon

e et

fa

it un

zoo

m p

our

voir

plu

s pr

oche

. La

boîte

éta

it pl

eine

de

petit

s co

ncom

bres

ve

rt fo

ncés

. L’h

omm

e a

proc

édé

à ou

vrir

la p

oube

lle e

t à je

ter

la b

oîte

à

l’int

érie

ure.

Ele

na e

st r

esté

e bo

uche

-bée

pen

dant

les

5 m

inut

es q

ue c

et h

omm

e a

fait

des

voya

ges

à la

pou

belle

pou

r je

ter

du y

ogou

rt, d

es b

iscu

its, d

u pa

in...

elle

ne

pouv

ait p

as le

cro

ire.

Elle

ess

ayai

t de

se d

ire

que

tout

es c

es c

hose

s av

aien

t dép

assé

s le

urs

date

de

pére

mpt

ion,

mai

s la

voi

x de

Nao

mi p

ersi

stan

t to

ujou

rs. «

Va

véri

fier

». In

capa

ble

de l’

igno

rer,

elle

ferm

e sa

voi

ture

et s

e re

nd v

ers

la b

enne

d’or

dure

s. A

ssis

e su

r le

bor

d, E

lena

reg

arde

ce

qui

− ca

ract

éris

atio

n −

figu

res

de s

tyle

:

mét

apho

re,

én

umér

ation

−

évo

lutio

n

psy

chol

ogiq

ue

− d

ialo

gue

inte

rne

− fi

gure

de

styl

e :

p

erso

nnifi

catio

n −

figu

re d

e st

yle

:

énu

mér

atio

n −

évo

lutio

n

psy

chol

ogiq

ue

− d

ialo

gue

inte

rne


po

int c

ulm

inan

t

déno

uem

ent

sem

ble

être

une

vas

te é

tend

ue d

e po

ubel

le. E

lle v

oit t

oute

s so

rtes

de

chos

es :

des

mor

ceau

x de

boi

s, d

e bo

utei

lles

de b

ière

, des

vêt

emen

ts...

et u

n im

men

se

mon

tant

de

nour

ritu

re.

Just

e en

des

sous

d’el

le, e

lle v

oit s

a bo

îte d

e co

ncom

bres

, des

con

tena

nts

de y

ogou

rt, e

t des

sac

s d’

oran

ges.

Rie

n n’

a dé

pass

é sa

dat

e. E

lena

dev

ient

fâ

chée

, fâc

hée

que

tout

e ce

tte n

ourr

iture

est

gas

pillé

. Elle

dev

ient

si f

âché

e qu

’elle

dec

ide

de fa

ire

la s

eule

cho

se q

u’el

le a

dit

elle

ne

fera

it ja

mai

s : e

lle

saut

e da

ns la

ben

ne d

’ordu

res.

Plus

tard

ce

soir

, Ele

na r

acon

te à

ses

am

is l’

hist

oire

de

son

voya

ge à

l’é

pice

rie.

Tou

t le

mon

de a

été

très

impr

essi

onné

qu’

elle

ava

it en

trée

la b

enne

à

ordu

res

sale

. « J

e co

mpr

ends

mai

nten

ant p

ourq

uoi t

’es te

llem

ent p

assi

onée

d’êt

re

déch

etar

ien,

» di

t-elle

à N

aom

i. « S

uper

! Alo

rs tu

me

rejo

ins

la p

roch

aine

fois

? »

« Cer

tain

emen

t pas

. C’ét

ait l

a ch

ose

la p

lus

dégo

utan

te q

ue j’

ai ja

mai

s fa

it de

m

a vi

e. Ç

a va

ut p

as la

pei

ne. J

’ai u

ne a

utre

idée

. »To

ut le

mon

de é

clat

e de

rir

e; c

’est l

à la

per

sonn

alité

qu’

ils c

onna

isse

nt.

Pend

ant q

ue le

s au

tres

rep

renn

ent l

à fê

te, E

lena

pre

nds

Mao

mi d

ehor

s. E

lle

sort

une

pet

ite e

nvel

ope

brun

e de

sa

poch

e.« C

e so

nt d

es g

rain

es d

e ca

rotte

s. J

e ve

ux fa

ire

pous

ser

mes

pro

pres

lé

gum

es. »

− fi

gure

de

styl

e :

é

num

érat

ion

− é

volu

tion

p

sych

olog

ique

−

figu

re d

e st

yle

:

répé

titio

n −

elli

pse

− d

ialo

gue

− é

volu

tion

p

sych

olog

ique

Anal

yse

de te

xte

– PÉ

2-A

(sui

te)


Appr

écia

tion

glob

ale

En te

nant

com

pte

des c

ompo

rtem

ents

rech

erch

és p

ar ra

ppor

t à la

Qua

lité

de l’

univ

ers fi

ctif e

t au

Resp

ect d

es rè

gles

de

la la

ngue

, la

cote

de

5 a

été

attrib

uée

à ce

text

e.

Qua

lité

de l’

univ

ers fi

ctif

Intr

igue

: ni

veau

de

perf

orm

ance

5L’i

ntrig

ue e

st d

ével

oppé

e d’

une

faço

n or

igin

ale

qui e

ngag

e le

lect

eur d

ans l

’uni

vers

ficti

f cré

é pa

r l’é

lève

. Pe

rson

nage

s : n

ivea

u de

per

form

ance

4Le

per

sonn

age

prin

cipa

l est

car

acté

risé

d’un

e fa

çon

orig

inal

e. L

es p

erso

nnag

es se

cond

aire

s ser

vent

dan

s l’é

volu

tion

psyc

holo

giqu

e ai

nsi q

ue d

ans l

a ca

ract

érisa

tion

du p

erso

nnag

e pr

inci

pal.

Cadr

e : n

ivea

u de

per

form

ance

5Le

s des

crip

tions

des

lieu

x et

des

obj

ets o

rient

ent l

e le

cteu

r et m

ainti

enne

nt so

n in

térê

t. Th

ème

et so

us-t

hèm

es :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 5

L’uni

vers

ficti

f est

orig

inal

et r

elié

au

thèm

e du

test

de

plus

d’u

ne fa

çon.

Eff

ets d

e na

rrati

on :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 5

Les e

ffets

de

styl

e co

nten

us d

ans l

e te

xte

sont

util

isés j

udic

ieus

emen

t pou

r cré

er u

n se

ntim

ent d

e su

spen

se e

t pou

r fai

re re

ssen

tir le

s ém

otion

s. L

e te

xte

com

pren

d pl

usie

urs

figur

es d

e st

yles

, des

dia

logu

es e

t des

type

s de

phra

ses v

arié

s.Co

hére

nce

du te

xte

: niv

eau

de p

erfo

rman

ce 5

La c

ohér

ence

du

text

e es

t ass

urée

par

l’ha

rmon

isatio

n de

s tem

ps v

erba

ux (p

rése

nt, i

mpa

rfai

t, co

nditi

onne

l et f

utur

) ain

si qu

e pa

r des

org

anisa

teur

s tex

tuel

s effi

cace

s.

Resp

ect d

es rè

gles

de

la la

ngue

Form

es g

ram

mati

cale

s : n

ivea

u de

per

form

ance

5Le

s for

mes

gra

mm

atica

les s

ont p

resq

ue to

ujou

rs c

orre

ctes

. Le

text

e co

ntien

t peu

d’e

rreu

rs d

e gr

amm

aire

.Vo

cabu

laire

: ni

veau

de

perf

orm

ance

4Le

voc

abul

aire

est

var

ié e

t app

ropr

ié p

our d

écrir

e le

s ém

otion

s du

pers

onna

ge.

Stru

ctur

es sy

ntax

ique

s : n

ivea

u de

per

form

ance

5Le

s phr

ases

sont

stru

ctur

ées a

droi

tem

ent.

Ort

hogr

aphe

d’u

sage

: ni

veau

de

perf

orm

ance

5L’o

rtho

grap

he e

st p

resq

ue to

ujou

rs c

orre

cte.

Anal

yse

de te

xte

– PÉ

2-A

(sui

te)

situ

atio

n fin

ale

C’es

t mai

nten

ant l

e m

ilieu

de

juill

et, e

t Ele

na r

entr

e du

trav

ail f

aim

et

épui

sée.

Ava

nt d

e co

mm

ence

r à

fair

e so

n so

uper

, elle

sor

t deh

ors

pour

soi

gner

so

n ja

rdin

. La

maj

orité

des

légu

mes

son

t pre

sque

prê

ts, e

t elle

voi

t qu’

il y

a pl

us d

e to

mat

es m

ûrs

aujo

urd’

hui.

Fina

lem

ent e

lle s

e re

nd à

la fi

n; a

ux

caro

ttes.

La

prem

ière

dan

s la

ran

gée

mon

tre

un p

etit

bout

on o

rang

e qu

i sor

t de

la te

rre.

Exc

itée,

Ele

na ti

re g

entim

ent l

a tig

e. M

ais

quan

d la

car

otte

sor

t, el

le e

st s

urpr

ise

de v

oir

pas

une

caro

tte, m

ais

deux

: at

tach

ées

ense

mbl

es

com

me

s’ils

éta

ient

en

trai

n de

s’em

bras

ser.

Ele

na s

ouri

t : m

ême

ses

caro

ttes

avai

ent fi

ères

d’el

le.

− e

llips

e −

figu

re d

e st

yle

:

per

sonn

ifica

tion


Anal

yse

de te

xte

– PÉ

2-B

élé

me

nts

d’in

trig

ue

TEXT

E D

’ÉLÈ

VE

élé

me

nts

de n

ar

ra

tio

n

si

tuat

ion

initi

ale

él

émen

t per

turb

ateu

r

2108

: C

ouvr

ir e

n dé

chet

sC

’est l

’ann

é 21

08 e

t la

mon

de e

n en

pér

il. L

es s

ourc

es a

limen

tair

s es

t pr

esqu

e ep

uisé

à c

ause

qu’

on a

été

gas

pille

ur a

u pa

ssé.

La

mon

de e

st c

ouve

rt

en d

éche

ts e

t il y

a le

s ré

volte

s à

caus

e d’

un m

anqu

e de

nou

rritu

re p

our

la

peup

le. D

ans

la n

ouve

au c

apita

le d

e C

anad

a qu

i s’a

ppel

le G

lade

, il y

a u

n gr

oupe

qui

ess

aye

la fa

çon

de v

ivre

et i

l com

men

ce p

rem

ière

men

t ave

c le

go

uver

nem

ent.

Luca

s es

t le

mai

re d

e G

lade

et s

on g

roup

con

sist

e d’

une

autr

e pe

rson

ne

qui s

’app

elle

Sar

ah. S

arah

est

l’as

sist

ant d

e Lu

cas

est l

es d

eux

part

agen

t les

m

êmes

idée

s. L

ucas

vou

lait

impl

ique

r le

s no

uvea

u lo

is a

u G

lade

et l

a re

sten

t du

Can

ada.

Il v

oula

it im

pliq

uer

un lo

i où

les

pers

onne

s n’

est p

as p

erm

is d

e ga

spill

er e

t jet

ter

les

chos

ses

néce

ssai

re, p

uisq

ue la

con

ditio

n du

terr

e pe

ut

amél

iore

r. L

a bu

t de

Luca

s es

t de

crée

r un

e m

onde

où

on n

e de

vrai

t pas

s’i

nqui

ter

du fa

im e

t d’a

voir

un

futu

r où

la te

rre

n’es

t pas

cou

vrir

en

déch

ets.

Il

veu

t cré

er u

n no

uvea

u m

onde

ver

t.Si

tué

dans

la p

arle

men

t de

Gla

de. L

ucas

est

ent

rain

de

prép

arer

ses

id

ées,

pui

squ’

il po

urra

it pr

opos

er s

es id

ées

au p

rem

ière

min

istr

e du

Can

ada

qui s

’app

elle

Dav

id. L

ucas

esp

ère

que

le p

rem

ière

min

istr

e ad

opt s

es n

ouve

au

lois

et i

dées

à la

res

te d

u C

anad

a.« L

ucas

, le

prem

ière

min

istr

e es

t ici

. » d

it Sa

rah

« Vou

s po

uvez

dir

e qu

’il p

ourr

ait r

entr

er m

on s

alle

. » d

it Lu

cas.

− ti

tre

− n

arra

teur

abs

ent

− ca

ract

éris

atio

n −

cara

ctér

isat

ion

− d

ialo

gue

Info

rmat

ion

four

nie

par

l’élè

veim

age

choi

sie

: 2pu

blic

cibl

e : L

es a

dole

scen

ts 1

4-19

titre

: M

es d

ésir

coro

mpu

t


Anal

yse

de te

xte

– PÉ

2-B

(sui

te)

2e p

érip

étie

La p

rem

ier

min

istr

e a

entr

é la

sal

le e

t ils

ont

pre

nnai

t un

plac

e à

côté

de

le b

urea

u de

Luc

as.

« On

a br

iefm

ent p

arle

r à

prop

os d

e vo

s id

ées

sur

la té

léph

one,

est

-ce

que

nous

pou

vez

donn

é le

s dé

tails

» di

t Dav

id.

« Je

voul

ais

impl

iqué

des

loi à

pro

pos

de la

gas

spill

age.

Je

voul

ais

que

les

com

pagn

ies

et le

s ci

toye

ns n

e pe

uven

t pas

cré

er p

lusi

eurs

déc

hets

. Je

voul

ais

auss

i im

pliq

ué le

s no

uvea

u id

ée q

ui v

ont a

idé

la s

ituat

ion

de fa

im. J

e pr

opos

e un

gra

nd c

entr

e d’

atte

ntio

n su

r l’a

gric

ultu

re. »

dit

Luca

s.« V

os in

tent

ions

son

t bon

, mai

s je

ne

pens

e pa

s qu

’on p

eut i

ntro

duir

e ce

s id

ées

à to

ut la

Can

ada

a ce

mom

ent.

Cep

enda

nt, j

e do

nne

la p

erm

issi

on

d’im

pliq

uer

ce q

ue v

ous

voul

iez

à G

lade

. » d

it D

avid

« Mai

s po

urqu

oi e

st-c

e qu

’on n

e de

vrai

t pas

impl

ique

r ce

s id

ées

au

rest

e du

Can

ada

» dit

Luca

s.« C

’est u

n gr

and

chan

gem

ent,

s’il m

arch

e à

Gla

de p

rem

ière

men

t on

peut

dis

cute

r ce

la u

ne a

utre

fois

. » d

it D

avid

.La

pre

miè

re m

inis

tre

a qu

itté

et m

aint

enan

t Luc

as a

eu

la p

erm

issi

on

d’in

trod

uire

ce

qu’il

veu

t à G

lade

, mai

s pa

s au

res

te d

u C

anad

a. L

ucas

est

dé

cour

agé

qu’il

n’a

vait

pas

eu la

per

mis

sion

d’in

trod

uire

ses

idée

s au

res

te

du C

anad

a. A

lors

, il d

oit e

ncor

e co

ntin

uer

de tr

avai

ller

dur,

Pui

sque

les

lois

pe

ut-ê

tre

impl

ique

r da

ns la

futu

r.D

uran

t les

pro

chai

nes

sem

aine

s Lu

cas

a tr

avai

llé fo

rt p

our

mon

trer

se

s no

uvea

u id

ées

au p

ubliq

ue. L

e pu

bliq

ue e

st e

ntra

in d

’app

ui le

s id

ées

de L

ucas

par

ce q

u’ils

veu

lent

un

chan

gem

ent à

cau

se d

e le

ur m

auva

ise

cond

ition

de

vie.

Luc

as a

util

isé

la m

ajor

ité d

’arg

ent d

u vi

lle p

our

crée

r le

s

− é

volu

tion

p

sych

olog

ique

−

évo

lutio

n

psy

chol

ogiq

ue


Anal

yse

de te

xte

– PÉ

2-B

(sui

te)

3e p

érip

étie

poin

t cul

min

ant

déno

uem

ent

nevv

eau

prog

ram

mes

. Ils

ont

net

oyé

une

gran

de p

ièce

de

terr

epou

r en

leve

r to

us le

s dé

chet

s et

d’ou

vrir

plu

sieu

rs n

ouve

au p

lace

pou

r l’a

gric

ultu

re p

our

réso

udre

la m

anqu

e de

nou

rritu

re. I

l a a

ussi

impl

iqué

son

loi d

e ga

spill

age

et

crée

r le

s no

wea

u pr

ogra

mm

es d

e re

cycl

age

et la

com

post

e.

Aprè

s pl

usie

urs

anné

es, c

’étai

t un

proc

essu

s le

nt m

ais

la v

ille

de

Gla

de q

ui a

été

cou

vert

en

déch

ets

et o

nt e

u le

s gr

ands

pro

blèm

es a

vec

un

man

que

de n

ourr

iture

est

ent

rain

s’a

mél

iore

r et

la c

ondi

tion

de v

ie n

’est

pas

asse

z m

al q

ue l’

avan

t. La

vill

e es

t ent

rain

de

rega

rdé

plus

ver

t et m

oin

com

me

un o

rdur

e.

À ca

use

de la

situ

atio

n du

vill

e de

Gla

de a

am

élio

rer.

Le

prem

ière

m

inis

tre

de C

anad

a a

déci

dé d

’avo

ir u

ne a

utre

réu

nion

ave

c Lu

cas.

Il a

dé

cidé

qui

la r

este

du

Can

ada

va e

ssay

er le

s no

uvea

u lo

i de

Gla

de e

t ces

no

uvea

u pr

ogra

mm

e et

que

un

jour

il e

spèr

e qu

e da

ns la

futu

r le

res

tent

de

Can

ada

pour

rait

deve

nir

un p

ays

plus

éco

logi

que

avec

un

prop

re

envi

ronm

ent s

ans

les

déch

ets.

− e

llips

e


Appr

écia

tion

glob

ale

En te

nant

com

pte

des c

ompo

rtem

ents

rech

erch

és p

ar ra

ppor

t à la

Qua

lité

de l’

univ

ers fi

ctif e

t au

Resp

ect d

es rè

gles

de

la la

ngue

, la

cote

de

3 a

été

attrib

uée

à ce

text

e.

Qua

lité

de l’

univ

ers fi

ctif

Intr

igue

: ni

veau

de

perf

orm

ance

2L’i

ntrig

ue e

st é

labo

rée

d’un

e fa

çon

méc

aniq

ue e

t est

peu

dév

elop

pée.

Les

élé

men

ts e

ssen

tiels

de la

nou

velle

sont

pré

sent

s.Pe

rson

nage

s : n

ivea

u de

per

form

ance

3Le

per

sonn

age

prin

cipa

l est

dév

elop

pé d

e fa

çon

supe

rfici

elle

. Les

acti

ons d

u pe

rson

nage

con

trib

uent

peu

à sa

car

acté

risati

on.

Cadr

e : n

ivea

u de

per

form

ance

3Le

s des

crip

tions

des

lieu

x et

des

obj

ets o

rient

ent p

eu le

lect

eur e

t mai

ntien

nent

diffi

cile

men

t son

inté

rêt.

Thèm

e et

sous

-thè

mes

: ni

veau

de

perf

orm

ance

3L’u

nive

rs fi

ctif m

anqu

e d’

orig

inal

ité b

ien

que

relié

au

thèm

e.

Effet

s de

narr

ation

: ni

veau

de

perf

orm

ance

2Le

s effe

ts d

e st

yle

cont

enus

dan

s le

text

e so

nt tr

ès li

mité

s. L

es lo

ngs d

ialo

gues

rend

ent l

e te

xte

insip

ide.

Cohé

renc

e du

text

e : n

ivea

u de

per

form

ance

3La

coh

éren

ce d

u te

xte

est m

aint

enue

grâ

ce à

des

indi

cate

urs d

e te

mps

.

Resp

ect d

es rè

gles

de

la la

ngue

Form

es g

ram

mati

cale

s : n

ivea

u de

per

form

ance

3Le

s for

mes

gra

mm

atica

les p

rése

nten

t plu

sieur

s err

eurs

.Vo

cabu

laire

: ni

veau

de

perf

orm

ance

3Le

voc

abul

aire

est

acc

epta

ble

pour

déc

rire

les é

moti

ons d

u pe

rson

nage

et l

e ca

dre.

Stru

ctur

es sy

ntax

ique

s : n

ivea

u de

per

form

ance

3Le

s phr

ases

sont

sim

ples

et s

ouve

nt c

orre

ctes

. O

rtho

grap

he d

’usa

ge :

nive

au d

e pe

rfor

man

ce 3

L’ort

hogr

aphe

est

gén

éral

emen

t cor

rect

e.

Le gaspillage alimentaire - edu.gov.mb.ca · 12 Analyse de réponses et de textes d’élèves Le...

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