Le Cul de Sabine

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1 Le Cul de Sabine Je l’avoue sans honte, je suis fessomane, popotinophage, séantopathe, fondementaliste, croupionophile et fionomaniaque. En un mot comme en cent, je vénère le cul ! Celui des femmes bien entendu ! Pas le cul poilu et incomplet des hommes, qui ne débouche sur rien d’autre que sur une disgracieuse paire de couilles, surmontée d’un non moins repoussant goupillon. Non, ce que j’aime par-dessus tout, c’est le cul de ces dames, cette lune riante et rayonnante qui me transforme en explorateur et m’invite invariablement à me prendre pour Jules Verne ou Hergé, partant à la découverte de ces terres lunaires, glissant dans le canyon profond qui les sépare, débouchant tantôt sur la jungle d’une toison pubienne, tantôt sur la rondeur glabre d’un petit con joufflu entre lequel je peux enfin m’enfoncer à loisir. Car en dehors de sa beauté rieuse – ne parle-t- on pas d’un « posté-rieur » –, le cul féminin est une porte, un chemin initiatique vers le paradis. Dès que mes pas s’inscrivent dans ceux d’une adorable inconnue, mes yeux sont comme aspirés par cette rondeur fascinante qui m’invite à la suivre, en me lançant des « clins-de-fesses » à chaque pas de la belle. Je suis sûr que, comme moi, vous avez remarqué ce balancement sensuel et naturel qu’aucun cul masculin ne saura jamais égaler. Un balancement aussi éblouissant que celui du pendule d’un hypnotiseur, capable de me faire oublier ma destination et m’aimanter, aussi irrésistiblement que le pôle magnétique attirant l’aiguille d’une boussole. Il m’est ainsi arrivé de faire des kilomètres à la poursuite d’un cul particulièrement captivant, de prendre le métro, le bus, le RER, sans quitter du regard les deux sphères magiques, avant de les voir disparaître à mon plus grand désespoir, tantôt dans un taxi, tantôt derrière une porte d’immeuble, me laissant comme un somnambule sortant de son rêve éveillé à plusieurs kilomètres de chez lui. C’est ainsi que j’ai rencontré Sabine. Elle se tenait à l’arrêt du bus juste devant la terrasse où je prenais un café. Elle portait une petite robe d’été, serrée à la taille, qui mettait en évidence la courbe sensuelle de ses hanches et la rondeur affolante de sa croupe. Elle me tournait le dos, visiblement absorbée par la lecture de son roman, me laissant m’enivrer de son superbe derrière et de cette paire de fesses dont je pouvais presque percevoir la chaleur, tandis que mes yeux remontaient le long de ses cuisses dénudées. Des cuisses fermes, un peu rondes, juste comme il faut. Pour qu’un cul acquière toute sa splendeur, il faut qu’il soit monté sur une belle paire de cuisses, s’arrondissant harmonieusement tandis qu’elles s’élèvent vers le paradis. J’ai tout juste eu le temps de laisser un billet de cinq euros sur la table en faisant signe au serveur, avant de me précipiter dans le bus où elle venait de disparaître. Toutes les places assises étaient occupées. Je me tenais à la main courante à moins d’un mètre de cette inconnue qui m’avait marabouté par le seul pouvoir de ses fesses. Pour la première fois, je pouvais distinguer son visage, de profil car elle était encore plongée dans la lecture de son roman. Elle portait des lunettes, devait avoir une trentaine d’années. Des boucles rousses retombaient sur ses épaules, encadrant une paire de seins parfaitement raccord avec son généreux fessier. Je n’y peux rien, mais lorsque je regarde le décolleté d’une femme, je ne peux pas m’empêcher de penser au sillon profond qui sépare ses fesses, et qui, contrairement à celui des seins, mène à d’extraordinaires trésors. Les rondeurs de leurs attributs mammaires ne sont là que pour me rappeler l’astre rayonnant qu’elles abritent sous leurs jupes et qui me capture invariablement dans son orbite comme un misérable objet céleste attiré par le soleil. Elle a fini par se retourner vers moi, prenant conscience de ce regard que je laissais courir sur elle depuis de longues secondes. Je lui ai souri le plus naturellement du monde, de ce sourire béat et un peu stupide que l’on a dans les moments d’extase. Elle a haussé les épaules en faisant une grimace un peu méprisante, et elle m’a tourné le dos sans même réaliser qu’elle m’offrait le plus beau des cadeaux. J’aurais pu le toucher, si j’avais seulement avancé la main de quelques centimètres. Mais je

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Les aventures torrides d'un culophile fessomane.

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    Le Cul de Sabine

    Je lavoue sans honte, je suis fessomane, popotinophage, santopathe, fondementaliste, croupionophile et fionomaniaque. En un mot comme en cent, je vnre le cul ! Celui des femmes bien entendu ! Pas le cul poilu et incomplet des hommes, qui ne dbouche sur rien dautre que sur une disgracieuse paire de couilles, surmonte dun non moins repoussant goupillon.

    Non, ce que jaime par-dessus tout, cest le cul de ces dames, cette lune riante et rayonnante qui me transforme en explorateur et minvite invariablement me prendre pour Jules Verne ou Herg, partant la dcouverte de ces terres lunaires, glissant dans le canyon profond qui les spare, dbouchant tantt sur la jungle dune toison pubienne, tantt sur la rondeur glabre dun petit con joufflu entre lequel je peux enfin menfoncer loisir. Car en dehors de sa beaut rieuse ne parle-t-on pas dun post-rieur , le cul fminin est une porte, un chemin initiatique vers le paradis.

    Ds que mes pas sinscrivent dans ceux dune adorable inconnue, mes yeux sont comme aspirs par cette rondeur fascinante qui minvite la suivre, en me lanant des clins-de-fesses chaque pas de la belle. Je suis sr que, comme moi, vous avez remarqu ce balancement sensuel et naturel quaucun cul masculin ne saura jamais galer. Un balancement aussi blouissant que celui du pendule dun hypnotiseur, capable de me faire oublier ma destination et maimanter, aussi irrsistiblement que le ple magntique attirant laiguille dune boussole.

    Il mest ainsi arriv de faire des kilomtres la poursuite dun cul particulirement captivant, de prendre le mtro, le bus, le RER, sans quitter du regard les deux sphres magiques, avant de les voir disparatre mon plus grand dsespoir, tantt dans un taxi, tantt derrire une porte dimmeuble, me laissant comme un somnambule sortant de son rve veill plusieurs kilomtres de chez lui.

    Cest ainsi que jai rencontr Sabine. Elle se tenait larrt du bus juste devant la terrasse o je prenais un caf. Elle portait une petite robe dt, serre la taille, qui mettait en vidence la courbe sensuelle de ses hanches et la rondeur affolante de sa croupe. Elle me tournait le dos, visiblement absorbe par la lecture de son roman, me laissant menivrer de son superbe derrire et de cette paire de fesses dont je pouvais presque percevoir la chaleur, tandis que mes yeux remontaient le long de ses cuisses dnudes. Des cuisses fermes, un peu rondes, juste comme il faut. Pour quun cul acquire toute sa splendeur, il faut quil soit mont sur une belle paire de cuisses, sarrondissant harmonieusement tandis quelles slvent vers le paradis.

    Jai tout juste eu le temps de laisser un billet de cinq euros sur la table en faisant signe au serveur, avant de me prcipiter dans le bus o elle venait de disparatre. Toutes les places assises taient occupes. Je me tenais la main courante moins dun mtre de cette inconnue qui mavait marabout par le seul pouvoir de ses fesses. Pour la premire fois, je pouvais distinguer son visage, de profil car elle tait encore plonge dans la lecture de son roman. Elle portait des lunettes, devait avoir une trentaine dannes. Des boucles rousses retombaient sur ses paules, encadrant une paire de seins parfaitement raccord avec son gnreux fessier.

    Je ny peux rien, mais lorsque je regarde le dcollet dune femme, je ne peux pas mempcher de penser au sillon profond qui spare ses fesses, et qui, contrairement celui des seins, mne dextraordinaires trsors. Les rondeurs de leurs attributs mammaires ne sont l que pour me rappeler lastre rayonnant quelles abritent sous leurs jupes et qui me capture invariablement dans son orbite comme un misrable objet cleste attir par le soleil.

    Elle a fini par se retourner vers moi, prenant conscience de ce regard que je laissais courir sur elle depuis de longues secondes. Je lui ai souri le plus naturellement du monde, de ce sourire bat et un peu stupide que lon a dans les moments dextase. Elle a hauss les paules en faisant une grimace un peu mprisante, et elle ma tourn le dos sans mme raliser quelle moffrait le plus beau des cadeaux. Jaurais pu le toucher, si javais seulement avanc la main de quelques centimtres. Mais je

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    me suis content de le regarder, se dressant firement sous le rideau fleuri de la robe. Un homme tait assis juste ct delle, plong dans la lecture de son journal. Et jaurais voulu larracher de sa place pour pouvoir my installer, le visage quelques centimtres de ses cuisses, pour menivrer de leur odeur et laisser mon regard se glisser sous les plis de sa robe agite par les secousses du bus.

    Lorsquelle a appuy sur la sonnette pour demander larrt, elle ma regard une nouvelle fois et, une nouvelle fois, je nai pu lui retourner que mon sourire de ravi de la crche. Elle allait descendre et je nallais pas pouvoir mempcher de la suivre. Elle me remarquerait tout de suite. Hsiterait, aprs stre retourne une ou deux fois pour mvaluer. Avant de sarrter et me faire face.

    Si vous narrtez pas immdiatement de me suivre, jappelle la police, cest compris ?

    Excusez-moi, Mademoiselle, mais dans le bus jai cru remarquer que vous lisiez La Pharmacienne dEsparbec et je ne sais pas ce qui ma pris, jai eu soudain envie de vous parler.

    Jai vu avec soulagement son visage de rousse sempourprer et jai bni louvrage du pornocrate de mavoir donn une occasion rve pour laborder. Je ne pense pas quelle aurait aussi bien ragi si je lui avais annonc tout de go ne pouvoir rsister au pouvoir magntique de son cul.

    Ne soyez pas gne surtout. Je trouve cela formidable que des jeunes femmes lisent ce genre de rcits. Mme si Esparbec se complat parfois dans lexcs, il a une faon tellement dcomplexe de prsenter les choses du sexe que mme les pires horreurs arrivent nous moustiller.

    Je on me la prt. Cest la premire fois que je lis un ouvrage de ce genre.

    Je nen doute pas, Mademoiselle, et le rouge brillant qui enflamme vos joues en tmoigne indniablement.

    Elle ne savait que rpondre, se contentant de me regarder comme si jtais un extra-terrestre dbarqu dune plante inconnue. Je crois que mes cinquante-cinq ans, mon allure sportive et lgante, mon paisse chevelure poivre et sel, et mon teint mditerranen, ont d la rassurer. Je lui paraissais sans doute trange et curieux, mais probablement pas dangereux, et lclat brillant qui illuminait ses grands yeux verts mincitait penser quelle souhaitait en savoir plus sur cet inconnu expert en littrature pornographique.

    coutez, je ne voudrais pas mimposer, mais il y a une jolie terrasse juste l. Me permettrez-vous de vous inviter un caf ?

    Elle a hsit une longue seconde, regardant sa montre, moins pour vrifier lheure que pour se donner le temps de la rflexion.

    Pourquoi pas, mais jai un rendez-vous dans trois quarts dheure.

    Magnifique ! Merci, vraiment.

    Le pige tait tendu et tandis que nous nous avancions vers la terrasse ombrage, je ne pouvais mempcher de penser ce cul qui se balanait sensuellement mes cts et que jobservais discrtement du coin de lil avec lespoir de pouvoir bientt y promener autre chose que le regard.

    Je nai pas eu trop de mal la convaincre quun verre de vin blanc conviendrait mieux cet aprs-midi ensoleill. Jai command une bouteille de pinot grigio, en la rassurant en lui disant quelle pourrait mabandonner quand bon lui semblerait.

    votre sant et la sant des pornocrates ! Si je ne suis pas indiscret, consentiriez-vous me dire comment vous en tes venue lire ce genre douvrage ?

    Et vous ?

    Moi ? Oh bien sr. Voyez-vous je suis professeur danthropologie et je mintresse plus particulirement la place du sexe dans les socits modernes. ce titre, la littrature rotique, ou

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    mieux pornographique, apporte des perspectives particulirement intressantes sur les murs de nos contemporains et sur les fantasmes qui les guident. Vous ne trouvez pas ?

    Euh je ne sais pas. Pour ce qui me concerne, cest une amie qui me la prt la semaine dernire.

    Cest ainsi que jai appris quelle sappelait Sabine, quelle avait trente-deux ans, quelle travaillait comme rdactrice dans un magazine fminin, et quun mois plus tt, son petit ami lavait quitte. Elle en tait son deuxime verre de vin blanc et ne semblait plus du tout proccupe par son prochain rendez-vous. Je la regardais en souriant, plongeant de temps en temps les yeux dans son dcollet pour me glisser entre ses apptissantes mamelles. Elle a d remarquer mes regards, car jai vu soudain sa peau frmir et ses joues se colorer tandis que je linvitais me dire ce quelle pensait du livre.

    Les personnages autant que les situations me rpugnent, et pourtant le rcit de leurs bats est incontestablement efficace, il faut bien lavouer.

    Cela vous excite ?

    Elle ma regard de ses grands yeux verts qui parlaient pour elle, avant davaler dun trait son verre de vin blanc. Bien sr que cela lexcitait, toute comme lexcitait la perspective de me lavouer.

    Oui.

    Jaimerais que vous men lisiez un chapitre, cela ne vous drange pas ?

    ? Ici ?

    Pourquoi pas, vous avez une autre ide ?

    Cest--dire que jhabite deux pas, si vous voulez

    Jen serais honor.

    Cest ainsi que je me suis laiss conduire vers son appartement, la laissant marcher juste devant moi pour contempler le va-et-vient de sa robe provoqu par lharmonieux balancement de sa croupe. Je lai suivie dans lescalier troit menant son appartement, au quatrime tage dun immeuble cossu, menivrant du ballet de ses cuisses slevant devant moi, jusqu me laisser percevoir, lespace dune seconde, la blancheur clatante dune large culotte de coton blanc. Jai fini par dtourner le regard, craignant que mon excitation grandissante ne finisse par venir bout de ma rsistance. Ce cul tait moi, jallais le possder et cette ide me raidissait dangereusement la queue.

    Son appartement tait un petit trois-pices et je me suis install dans le fauteuil du salon, tandis quelle dbouchait la sur de la bouteille de blanc que javais achete au bistrot avant de partir. Lappartement tait plutt coquet, incontestablement fminin, dcor de photos de vacances. Une bibliothque bien garnie et une discothque plutt varie mont clair sur les gots de la belle qui est venue sasseoir sur le divan, posant la bouteille et deux verres sur la table basse qui nous sparait. Elle a rempli nos verres dans un silence un peu embarrass que je nai pas os rompre.

    notre sant ?

    notre sant !

    Nouveau silence. Elle gardait ses genoux serrs lun contre lautre, et je pouvais percevoir son inquitude et son embarras dans lample mouvement de ses seins chacune de ses respirations. En ralit, jtais presque aussi inquiet et embarrass quelle, et je me contenais de lui sourire, de ce sourire bent qui me venait chaque fois que je pensais son cul. Je ne voulais pas le perdre, le laisser mchapper alors que je le tenais porte de la main. Alors, je me suis tu, attendant quelle se dcide se lancer leau.

    Elle a choisi de retarder le moment en proposant de mettre un peu de musique. a ma permis de lui mater le cul en toute libert tandis quelle se penchait sur la colonne de CD la recherche dune

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    ambiance adquate. Jai avanc ma main vers le divin derrire, larrtant quelques centimtres de la croupe dresse pour en dessiner le contour et, sans jamais effleurer sa robe, sentir sa chaleur sous mes doigts. Elle a fini par choisir un album de musique malienne, un blues africain, chaud et sensuel souhait.

    Alors vous voulez vraiment que je vous lise un chapitre de La Pharmacienne ?

    Rien ne me ferait plus plaisir, sauf peut-tre si vous acceptiez de me le lire en me tournant le dos.

    Vous voulez que je vous tourne le dos ?

    Oui. Jaimerais que vous vous agenouilliez sur le divan en appuyant vos coudes sur le dossier.

    Lespace dun instant elle a d me prendre pour un fou et jai vu un clair dangoisse passer dans ses yeux. Continuer ou arrter ? Elle devait choisir, en une fraction de seconde, et je crois quune nouvelle fois, mon sourire bat a d la rassurer. Elle a clat de rire en me traitant de fou et en se considrant encore plus folle de ne pas me mettre dehors sur le champ. Mais elle a fini par se lever, et, aprs avoir pris le roman dans son sac, elle a pris la position demande, moffrant son cul dress en majest, moins dun mtre de mon visage.

    Monsieur a un chapitre prfr ?

    Non. Lisez donc partir de lendroit o vous vous tes arrte tout lheure.

    Alors, elle sest mise lire haute voix, dune voix chaude et douce qui hsitait et trbuchait sur les chapelets de mots crus enfils par lauteur. Elle cambrait les reins plus que ncessaire comme si elle voulait offrir son cul mon adoration. Tandis quelle avanait dans son rcit, qui narrait les bats de Beau-P et de Laura, son cul sest mis sagiter, discrtement dabord, plus visiblement ensuite, comme si une colonie de fourmis avait soudain lu domicile dans sa large culotte.

    Serait-ce trop demander que de vous inviter remonter votre robe sur vos reins ? Je vous donne ma parole que je ne quitterai pas mon fauteuil.

    Elle sest arrte durant cinq longues secondes et je crois que mon cur sest arrt de battre en mme temps. Je ne pouvais pas voir son visage et elle ne pouvait pas voir le mien, dfait et angoiss lide davoir t trop vite, trop loin. Mais, lorsquelle a pos le livre sur le dossier du divan, et que, sans se retourner ni prononcer un mot, elle a lentement remont sa robe au-dessus de ses cuisses, puis de ses fesses emballes dans le slip de coton blanc, pour finir par la poser sur son dos, mon visage a aussitt repris sa batitude mystique.

    Jaurais pu rester des heures contempler le spectacle blouissant de cet extraordinaire derrire, moul dans un crin blanc et pos sur une paire de cuisses muscles et bien en chair. Je pouvais deviner la ligne sombre de la raie de son cul qui se dessinait en transparence sous le coton et cette tche sombre et humide qui se dessinait en-dessous du triangle blanc, tandis quelle me racontait les turpides de lignoble Beau-P.

    la manire dont elle agitait son derrire, il est clair que le con de Sabine senflammait de plus belle, sous leffet du rcit quelle continuait grainer dune voix de moins en moins assure, mais aussi de lexhibition laquelle elle soffrait, sans doute pour la premire fois de sa vie. Je me suis pench par-dessus la table basse pour saisir dlicatement llastique de la culotte du bout des doigts, et la faire descendre avec une infinie lenteur, le ventre nou lide que je pourrais rompre le charme. Mais la surprise passe, Sabine a continu lire son roman avec encore davantage de chaleur dans la voix, comme si elle vivait dans sa chair les aventures de la pauvre B et de son cruel beau-pre.

    Jai abandonn la culotte mi-cuisse et je me suis enfonc dans le fauteuil, puis et ravi comme un sportif aprs un intense effort couronn de succs. Voil, cest fait, il est moi , ai-je pens, tout en me noyant dans la contemplation du superbe paysage. Ce cul bnit, cet astre rayonnant, chaud comme un soleil et ple comme une lune. Une lune pleine et brillante qui mattirait aussi srement que sa grande sur attire les mares. La courbe parfaite que dessinaient les deux miches charnues

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    et leur jolie teinte rose propre aux rousses semblaient sorties tout droit du pinceau de Renoir. Jai gliss mon regard dans le ravin profond. Jai ressenti la chaleur brlante qui grandissait tandis que je mapprochais du pelage roux et brillant de sa petite chatte que je pouvais discerner sous ses superbes fesses.

    Je crois quelle a bien d me lire trois chapitres avant que je me rsigne interrompre ma contemplation. partir du deuxime, elle avait commenc se caresser le minou, timidement dabord, plus librement ensuite, trbuchant de plus en plus souvent sur les mots, interrompant son rcit pour laisser chapper de profonds gmissements chaque fois que ses doigts la conduisaient plus prs de lextase. Je ne pouvais pas la laisser plus longtemps dans cet tat. Sa chatte avait faim dune queue, une belle grosse queue de mle capable dteindre le feu qui lui enflammait le ventre. Et, en toute modestie, la nature ma pourvu de tout ce quil faut en la matire.

    Je me suis donc avanc derrire elle, mais avant de lui offrir ce gourdin quelle tait impatiente daccueillir entre ses cuisses, je me suis dabord rassasi de ses chairs que jai caresses, palpes, malaxes, ptries de mes doigts affams. Jai cart ses collines charnues pour dcouvrir une jolie petite rondelle carmin qui sest timidement referme lorsque je lai frle du bout des doigts. La jolie Sabine ntait visiblement pas une assidue de la sodomie, pour autant quelle ne lait jamais pratique. Jai press le cercle frip du bout de lindex et elle sest arrte de lire tout en contractant timidement son anus. Jai gard le doigt pos sur la porte de son cul durant de longues secondes, puis jai enfonc une phalange, doucement, lentement, admirant llasticit du sombre orifice, regardant fascin le tremblement de ses fesses, tandis que mon doigt disparaissait peu peu dans ses entrailles.

    Le doigt toujours enchss dans son cul, jai jou avec les chairs trempes de sa chatte, sentant glisser entre mes doigts les rivires de liqueurs schappant de son volcan en ruption. Elle jouissait, rlait, mappelait Beau-P , mimplorait de la baiser, enfin.

    jai jai des prservatifs dans le tiroir de la table, prenez-moi, je vous en supplie !

    Je nai pas pu mempcher de sourire en pensant la timide Sabine que javais aborde quelques heures plus tt et qui narrtait pas de me surprendre. Je ne lai pas fait languir plus longtemps, et, le doigt encore enfonc dans son petit trou, jai gliss mon sucre dorge dans sa caverne chaude et humide souhait.

    Il nest pas de position plus dlicieuse que celle de la levrette. Elle permet dadmirer le cul de sa partenaire, offert dans toute sa splendeur, le voir scraser contre notre bassin et contempler la courageuse bite qui apparat puis disparat entre les fesses chaque coup de boutoir. Quel plus grand plaisir pouvais-je souhaiter que le spectacle des fesses magnifiques de Sabine, se dressant devant moi, tandis que je lui ramonais le con. Je les ai serres, claques, ptries, pendant que ma jeune pouliche hennissait de plaisir, tout au long dune sance de trot enlev qui dura de longues minutes.

    Puis, lorsque jai senti arriver le moment fatidique, je lui ai offert un galop final avant de me retirer, et, aprs quelques brefs coups de poignet, inonder ses fesses dpaisses tranes de sperme chaud.

    Elle na pas boug. Elle est reste de longues secondes la tte pose sur ses bras replis sur le dossier du sofa, le cul dress et macul de tranes blanches, sa petite culotte blanche tendue entre ses cuisses. Aprs avoir rang ma bite rabougrie dans le nid confortable de mon slip, je me suis rassis dans mon fauteuil pour contempler une dernire fois son blouissant derrire. Je nous ai vers un verre de vin et elle a sembl sveiller en entendant le son cristallin du vin coulant dans le verre. Elle sest retourne, pour me regarder avec un sourire la fois innocent et complice.

    Merci.

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    Cest moi qui vous remercie. Vous avez un derrire damner le plus insensible des saints, et pour ce qui me concerne, je suis prt brler en enfer prsent que vous mavez donn loccasion dy goter.

    Elle a clat de rire avant de remonter sa culotte sur ses fesses sans se proccuper de la signature collante de mon sperme encore affiche sur ses fesses et revenir sasseoir sagement sur le divan.

    Est-ce que vous ne feriez pas une petite fixette sur le cul par hasard ?

    Mon Dieu ! Je suis dcouvert ! Le cul est toute ma vie, je lavoue Votre Honneur !

    Elle a ri nouveau, imaginant sans doute que jexagrais. Et pourtant, je ne suis pas loin de le penser. Je me suis ddi au cul comme dautres se ddient la philatlie ou la pche la ligne. Mais je ne vous parle pas de ces pcheurs du dimanche qui ne sintressent pas vraiment aux poissons quils convoitent. Non, moi je suis un pcheur assidu, quasi professionnel, qui entretient une relation charnelle avec le fruit de sa passion.

    Et les seins ? Vous naimez pas les seins ?

    Elle avait dboutonn son corsage pour faire jaillir une superbe paire de lolos quelle pressait sensuellement sous mes yeux bahis. Ce nest pas que je naime pas les seins, mais je trouve quon en est trop souvent du. Trop petits, trop gros, trop flasques, trop carts, trop haut, trop bas. Contrairement au cul, je trouve quils ne se prtent pas la dcouverte, laventure. Le cul est une porte, comme je crois lavoir dj dit, et sa beaut est autant dans la porte elle-mme que dans ce qui se cache derrire le derrire.

    Je dois quand mme avouer que les seins de Sabine taient magnifiques. Dune grosseur, dune rondeur et dune fermet parfaite. Et la manire provocante avec laquelle elle les caressait juste sous mon nez commenait faire de leffet sur mon entrejambe pourtant bien fatigu. Elle sest mise rire quand je lui ai expliqu ma thorie sur le cul et les seins, et jai ri avec elle.

    a vous dit de rester dner ? Si vous navez rien prvu bien sr.

    Ce sera avec un trs grand plaisir.

    Mais je crois que jai besoin de prendre une douche avant de nous prparer quelque chose. Faites comme chez vous en attendant.

    Elle ma abandonn dans le salon tandis que je la regardais sloigner, un large sourire bat illuminant mon visage. Jai fouill son frigo, sorti de quoi nous prparer une omelette et une salade. Et dix minutes plus tard, je lattendais devant une table dresse et le repas prt.

    Dites-donc ! Vous pouvez venir dner tous les soirs si vous voulez !

    Elle est rapparue dans le salon vtue dune serviette ponge noue autour de sa poitrine et qui descendait juste sous ses fesses. Ses boucles rousse encore humides tombaient sur ses paules. Elle tait magnifique et, son regard tonn, jai compris que je mtais encore fait la tte de linnocent du village regardant passer un groupe dcolires.

    Ce nest rien. Jespre que vous aimez les omelettes. part admirer les culs, je sais aussi faire des omelettes.

    Nous avons dn comme deux vieux amis, parlant de tout et de rien en descendant une nouvelle bouteille de blanc. Et pendant tout ce temps, malgr tous mes efforts, je ne pouvais penser qu ce cul magnifique dont les fesses nues scrasaient sur la chaise et que je me languissais de possder nouveau.

    mon tour de moccuper du dessert !

    Sabine a disparu dans la cuisine, emportant les reliefs du repas, aprs mavoir volontairement offert le spectacle de ses fesses dnudes tandis quelle se penchait sur la table pour ramasser les plats et

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    les assiettes vides. Elle est revenue deux minutes plus tard, comme un apparition, entirement nue, lil ptillant et un large sourire dessin sur les lvres, tenant dans une main un ravier de fraises et dans lautre une bombonne de crme chantilly. Elle me les a tendus avant de sallonger en travers de la table, ses fesses de desse dresses juste sous mes yeux blouis.

    Bon apptit !

    Nous avons clat de rire en mme temps avant que je ne fasse disparatre ses apptissantes miches sous une paisse couche de crme. Nous avons partag les fraises que je frottais contre ses fesses pour les faire apparatre peu peu derrire leur pais manteau sucr. Je lui ai cart les jambes pour recueillir les dernires coules de crme jusquau cur de sa chatte, donnant aux fraises un dlicieux got sal.

    Ne bougez pas, je dois nettoyer la table prsent.

    Jai fait chauffer des serviettes au bain marie que je suis venu poser dlicatement sur son cul macul de crme. Elle a sursaut sous leffet de la chaleur intense qui sest mis rayonner dans ses chairs, avant de se dtendre et me laisser la nettoyer doucement, me glissant dans la moindre crevasse, enflammant ses muqueuses de ma serviette brlante. Elle sest mise ronronner comme une chatte, faisant onduler sa croupe au rythme de mes caresses. Puis, soudain, elle sest leve dun bond, mentranant par la main derrire elle.

    Venez !

    Avais-je choix ? Mais qui voudrait avoir le choix lorsquune jeune femme entirement nue, dlicieuse et sensuelle, vous entrane derrire elle dans sa chambre ? Je me suis laiss dshabiller docilement jusqu me retrouver nu moi aussi. Elle ma allong sur le lit, sur le ventre, pour se mettre examiner mon derrire.

    Voyons voir ce quil y a de si fascinant dans ces deux masses de graisse.

    Je vous ai dj dit combien je trouve le cul des hommes inintressant et incomplet par rapport celui de nos compagnes.

    Voyez-vous quand une femme est sur le ventre, son sexe demeure parfaitement fonctionnel. Il prolonge le cul, il le complte, il le couronne en quelque sorte. Tandis que chez les hommes, que voulez-vous faire de cet attribut coinc contre notre ventre comme sil avait peur quon ne le dcouvre. Pour moi cest clair, il ny a aucune comparaison entre nos culs respectifs, un cul-de-basse-fosse contre un cul cr par les dieux pour le plaisir des hommes et, bien entendu, des femmes !

    Vous tes fou !

    Elle a clat de rire en me donnant une grande claque sur les fesses. Je me suis retourn dun bond, arrtant son bras avant quil ne retombe une seconde fois. Nous nous sommes battus et, pour la premire fois, nous nous sommes embrasss, passionnment, avec gourmandise, comme deux amants trop longtemps spars. Nous nous sommes caresss, enlacs, emmls sans jamais desserrer notre treinte, ni sparer nos lvres ou nos langues. Jai fini par la retourner sur le ventre et je me suis assis ct delle.

    Vous voyez Sabine, le cul dune femme commence bien plus haut quon ne limagine. Il commence ici, dans cette valle profonde qui termine le dos et traverse vos reins. Dans ces deux petites fossettes qui nappartiennent quaux femmes et qui sont comme deux refuges placs au pied de vos admirables collines.

    Tout en parlant je lui caressais doucement le bas du dos, pressant avec mes pouces le pimont de ses fesses et le creux de ses reins.

    Cette valle o lon se prpare entamer lescalade des fesses. Une escalade plus ou moins raide, sur un sol plus ou moins ferme selon la constitution de la dame, mais toujours une escalade

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    magnifique, initiatique presque. Cette partie du corps de la femme o la courbe concave des reins se transforme en celle convexe des fesses est pour moi lune des plus belles choses que la nature ait jamais cre. Et chez vous, elle a quelque chose de magique tellement elle est parfaite. Il faut dire que lascension de vos jolies rondeurs est pour le moins sportive. Vos fesses slvent, majestueuses, voquant tout la fois la fermet minrale du cul dune statue antique, et la chaleur sensuelle et frmissante dune peau de bb. Rien nest plus doux au toucher quune peau de fesses dlicieuse comme la vtre, je vous assure.

    Nous nous sommes mis rire tandis que mes mains se promenaient librement sur ses magnifiques dmes de chair. Je lui ai cart quelque peu les jambes pour permettre mon regard et mes mains de poursuivre leur promenade la dcouverte des mystres de son cul.

    Mais le cul nest pas que lascension dun col, aussi admirable soit-il, ni mme sa descente qui complte pourtant magnifiquement la courbe du S et vient se terminer, presque comme une virgule, au sommet de la longue ligne des cuisses. Non, le cul cest lescapade, lcole buissonnire, le chemin de grande randonne. Le cul, cest ce ravin mystrieux et profond qui spare les deux hmisphres et mne tout droit au paradis. Ce chemin initiatique mille fois parcouru et pourtant toujours diffrent.

    Je laiss mon doigt glisser entre ses fesses, venant frler sa petite rondelle puis son buisson dj bien humide, et sentant ses chairs frmir sous mon passage. Je lui ai cart les miches, mamusant lui dcrire les grimaces comiques de son petit trou que jtirais en tous sens.

    Je prtends quavec un peu dentranement, on peut deviner le caractre dune femme au comportement de son trou du cul ! Si, si, je vous assure ! Vous pouvez rire si vous voulez, mais vous savez, jen ai vu des trous du cul dans ma vie, au propre comme au figur dailleurs. Et contrairement leur visage ou leurs paroles, le trou du cul dune femme ne ment pas. Il y en a des fatigus de la vie que rien ne pourrait rveiller, des enthousiastes, des timides, des culs serrs, aussi engageants que des gardiens de prison, des culs impatients, des culs accueillants, autant de cul quil y a de femmes en somme.

    Et le mien alors ?

    Le vtre est plutt timide, rflchi dirais-je. Inquiet et curieux aussi. Un petit trou dintellectuelle toujours la recherche don ne sait pas trop quoi, pourvu que ce soit autre chose. Cest aussi un petit trou jovial et rigolo, laise en socit et, si je peux me permettre, ouvert aux autres.

    Elle a clat de rire.

    Cest assez bien jug. Et vous avez vu tout a dans mon petit trou ? Vous mimpressionnez, vous savez.

    Il ny pas de mystre, si vous aimez quelque chose avec intensit, comme moi jaime le derrire des dames, vous apprenez vite dcouvrir des tas de choses que les autres se contentent dignorer.

    Parlez-moi encore de mon cul.

    Vous savez, je pourrais en parler toute le nuit de votre cul, et, croyez-moi, vous seriez la premire me demander darrter. Jaimerais que vous remontiez vos genoux sous votre torse, comme cela oui, de manire redresser votre superbe sant. cartez bien les jambes pour quil puisse soffrir dans toute sa splendeur. Voil, cest parfait. On ne peut rver de plus blouissant spectacle. Le cul dans toute sa splendeur. Les fesses bien cartes pour moffrir la vision de ce miroir de lme qui me regarde en frmissant dinquitude, ou alors dimpatience, difficile dire. Et pour couronner le tout, le buisson ardent de votre joli minou roux, qui tremble lui aussi et pleure dj de plaisir.

    La tte plonge dans les draps, Sabine prenait son pied. Son derrire ondulait sensuellement tandis que mes paroles coulaient dans ses oreilles et venaient inonder mes doigts glisss entre ses cuisses. Agenouill entre ses jambes, jai visit sa petite rondelle du bout de la langue, la sentant se

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    contracter sous mes assauts, avant de rendre les armes et laisser pntrer un petit centimtre de chair dans la place forte. Je continuais la doigter doucement tandis que ma langue lui assouplissait lanus. Depuis que javais arrt de dcrire les merveilles de son cul, seul les ronronnements touffs de Sabine rsonnaient dans la pice.

    L, il ny a plus de doute, voil bien un trou du cul curieux, aussi enthousiaste et attirant que sa propritaire.

    Vous savez que vous allez me rendre folle si vous continuez !

    Je vous avais prvenu Mais le cul ne serait pas le cul sil ne culminait pas sur le plus pris des trsors, celui qui mne droit au cur des femmes, ce con brillant qui nous ouvre les portes du palais au moment mme o le cul disparat pour se fondre dans les cuisses. La plupart des hommes prfrent aborder le con par sa face avant, et si cette approche prsente bien des plaisirs, pour ce qui me concerne, je prfre laborder par larrire. Qui a-t-il de plus beau, de plus doux, de plus excitant que cette petite bande de chair qui spare le trou du cul de la chatte. Nest-ce pas que cest excitant, lorsque je passe de lun lautre du bout de mon doigt, caressant votre rondelle avant de glisser entre lvres brillantes et frmissantes de votre con. Nest-ce pas divin ?

    Sabine gmissait de plus belle. Ses liqueurs sales scoulaient en saccades chaque fois que mes doigts passaient de sa chatte au trou de son cul.

    Mme si vos boucles rousses sont magnifiques, perles de vos liqueurs intimes, personnellement, je prfre les chattes piles dont on peut admirer les contours et la rondeur des grandes lvres, rappelant en miniature celles des fesses. Vous voyez, lorsque jcarte vos poils comme ceci, jai limpression de voir un magnifique abricot, rond et particulirement juteux auquel je ne peux mempcher de goter.

    La tte enfonce entre ses cuisses, je me dlectais en lui lchant la chatte. Ses liqueurs coulaient dans ma bouche au rythme des spasmes qui lui agitaient le corps. Ses cuisses brlantes menserraient la tte tandis que ma langue senfonait dans son con. Elle a fini par scrouler sur le flanc, puis sur le dos, mentranant dans sa chute. Je me suis allong ct delle et son corps sest enroul autour du mien comme une liane. Nous nous sommes embrasss, comme deux amants aprs avoir fait lamour, sauf que, pour ce qui me concerne, javais encore mon barillet charg.

    Je nai jamais rencontr un homme comme vous auparavant.

    Et vous en avez rencontr beaucoup sans doute

    Pas tant que a en fait, mais les hommes daujourdhui ne savent plus prendre le temps. Vous, cest diffrent. On dirait que vous jouissez par la contemplation.

    Jouir peut-tre pas, encore que a mest arriv au dbut, mais cest vrai que ma jouissance est dautant plus intense quand jai pu auparavant admirer et dcouvrir avec passion le cul de ma partenaire. Et quand le cul est du calibre du vtre, je ne vous dis pas le pied.

    Je vois a !

    Sa main avait saisi mon sexe et cest vrai quil tait plutt en forme. Aprs lavoir caress quelques secondes, elle sest redresse pour venir saccroupir mes cts, orientant son derrire dress en direction de mon visage, avant de poser ses lvres gourmandes sur ma queue quelle tenait dans ses mains. Fellation divine que celle qui vous laisse promener vos mains et votre regard sur un cul admirable, balanant au rythme du va-et-vient de la bouche gourmande sur votre bite. Je dois dire que je prfre mille fois cette position celle du 69 qui vous coince la tte entre les cuisses, vous empchant de distinguer lastre radieux, vous obligeant tendre le cou pour approcher ce con qui schappe chaque fois que votre partenaire se penche sur votre queue. Non, il ny a pas de comparaison, et si japprcie normment une sance de broute minette, il faut que je sois au-dessus de ma partenaire et aux commandes de lavion. Tandis que l, je pouvais mabandonner

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    cette bouche qui me dvorait la bite tout en profitant pleinement de ce cul offert que je ne me privais pas de visiter avec vnration.

    Jai fini par la repousser, sentant que japprochais dangereusement du point de non-retour. Je lai allonge sur le dos, lui cartant largement les cuisses pour pouvoir admirer, pour la premire fois en fait, les merveilleuses dentelles irises de sa chatte.

    Parlez-moi de mon con ? Laimez-vous moins que mon cul ?

    Comment pouvez-vous dire une chose pareille, le con et le cul ne sont rien lun sans lautre. Sans le second, le premier ne serait quune citadelle sans dfense et sans charme, tandis que sans le premier le second ne serait quune petite porte triste, orpheline du palais quelle est cense protger. Le con est en quelque sorte lapothose du cul.

    Dcrivez-le-moi.

    Elle a ferm les yeux tandis que je lui dcrivais les contours de son con, accompagnant du doigt mes observations anatomiques.

    Votre con est timide comme le trou de votre joli cul, cest pour a quil se cache derrire cette toison rousse, visiblement taille de frais. Pas trop pourtant, pour conserver un voile pudique sur sa fente brillante, mais quand mme assez pour rvler la coquetterie de sa matresse. Et lorsquon carte le rideau des poils humides et entremls, on dcouvre les grandes lvres rondes, juteuses, aussi apptissantes que vos fesses. Avec vos cuisses ainsi cartes, elles ont bien du mal protger lentre de ce palais dont les chairs irises tremblent sous mes doigts. Vos petites lvres largement ouvertes sont plutt discrtes, tout en tant bien dcoupes. Je suis sr que lorsque votre chatte est ferme, on les distingue peine entre ces grosses lvres joufflues. Et que dire de votre clitoris qui se dresse comme un phare au sommet de la crevasse brillante, et que je fais rouler entre mes doigts, que jtire et que jcrase pour notre plus grand plaisir. Jaimerais que vous puissiez admirer, comme je le fais, la beaut de vos chairs offertes mes regards. Cette bouche bante et brillante qui se contracte au rythme de votre plaisir, ces liqueurs qui scoulent entre vos cuisses pour venir rejoindre votre petit trou. Vous les sentez nest-ce pas ?

    Jai avanc ma bouche et je lui ai lch la chatte avec dlectation, longuement, patiemment, mabreuvant au bouillon sal de sa jouissance, jusqu ce quelle crie grce et me repousse en me suppliant de la baiser une bonne fois pour toutes ! Jai clat de rire avant de la retourner une dernire fois. Je nai pas d lui en dire plus, elle ma delle-mme offert son cul dress, la tte enfonc dans les draps, impatiente daccueillir ma grosse queue dans son volcan brlant. Aprs avoir enfil un prservatif, je me suis agenouill derrire elle, pour me glisser entre ses cuisses et pntrer jusqu la garde dans sa bouche gourmande. Elle a fait tout le travail, sagitant comme une possde sur ce manche qui lui traversait le con, claquant frntiquement ses fesses contre mon ventre, rlant, jurant, rivalisant avec Esparbec qui serait le plus cru des deux.

    Jaurais pu me laisser aller et rejoindre lextase mon tour. Mais, tandis que mon pouce lubrifi de ses liqueurs lui assouplissait la rondelle, je me prparais partir lassaut de l ultime frontire comme aurait dit le Capitaine Kirk.

    Quand mon gland sest pos sur le trou entrouvert de son cul, Sabine a brusquement contract ses fesses, visiblement peu enthousiaste lide de me laisser visiter cette partie de son anatomie. Mais jai lhabitude de ce genre de raction chez les jeunes femmes un peu trop crbrales, confondant dans un mme dgot le contenant et le contenu. Le plus efficace, dans ce genre de circonstances, est de donner un claque vigoureuse sur le cul de la belle. La surprise et lclair lectrique qui lui traverse alors les chairs, suffisent dtendre le plus contract des sphincters. Il ny a plus qu accompagner le tout dun petit coup de reins et laffaire est faite, le gland est pass et la place est prise.

    Je suis sr que a na pas d vous arriver souvent de vous faire enculer.

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    euh en en effet

    Et vous navez pas trop aim, nest-ce pas ? Vous avez trouv cela un peu dgotant, humiliant peut-tre.

    oui

    Et prsent, quest-ce que vous en pensez ?

    Cest cest diffrent je voudrais que que vous me pntriez davantage.

    Je regardais son cul cartel et ce petit cercle sombre qui enserrait la hampe de mon sexe, se contractant nerveusement comme la bouche dun serpent avalant une proie trop grande pour lui. Je me suis gliss dans son cul lentement, doucement, sentant ses chairs scarter devant limposant visiteur. Davantage encore que la levrette, cette forme denculage offre une vision incomparable sur le va-et-vient de la queue jouant cache-cache dans lintimit de sa partenaire.

    Sabine rlait de plaisir, la main glisse entre ses cuisses pour apaiser le feu qui lui enflammait la chatte, tandis que ma bite coulissait souplement entre ses reins. Jai fini par exploser dans ltroite prison de ces entrailles. Elle a pouss un petit cri de surprise sous la pression soudaine de ma queue sagitant une dernire fois au fond de son cul.

    Ctait fini. Nous nous sommes crouls sur le flanc, ma bite toujours profondment enfonce dans son sant. Elle a remont le drap sur nos corps enchsss lun dans lautre, et nous nous sommes endormis dans cette position, son corps serr contre le mien et ma queue bien au chaud dans le doux crin de son cul.

    Le Cul de Marianne

    Aprs ma premire rencontre avec Sabine, nous nous sommes revus peu prs deux fois par semaine, chez moi le plus souvent. Nos mtiers respectifs nous laissaient de grandes plages de libert dont nous profitions pendant que le commun des mortels transpirait sur sa fiche de calcul ou devant des clients impatients. Elle venait souvent dans laprs-midi et le rituel tait immuable. Elle sappuyait au rebord de la fentre donnant sur le parc, me faisant la lecture dun livre pour adulte que javais choisi pour nous, pendant quassis moins dun mtre derrire elle, je contemplais lblouissante nudit de son enivrant fessier.

    Quelques fois une jupe ou une robe tait remonte sur ses reins, la petite culotte descendue mi cuisses, parfois son pantalon et sa culotte reposaient ses chevilles, comme une petite fille sapprtant soulager sa vessie. Je continuais lui parler de mon amour, de mon adoration pour son cul magnifique, elle est continuait mouiller rien quau son de ma voix.

    Ds notre deuxime rendez-vous, trois jours peine aprs notre premire rencontre, elle stait dbarrasse de son buisson de poils friss pour moffrir le cadeau de sa chatte nue comme au premier jour. Je ne mtais pas tromp. Lorsquelle se tenait debout, les jambes peine cartes, ses grosses lvres sentrouvraient peine, ressemblant presque une chatte denfant. Et lorsque je lai fait sagenouiller sur le lit, comme notre habitude, jai vers une larme mue en regardant ces deux admirables fruits fendus poss lun sur lautre. Le premier rayonnant, majestueux, et le second accroch juste en-dessous, comme une petite pche ple et mre ne demandant qu tre croque.

    Je peux vous le confirmer, votre con est tout aussi blouissant que votre cul.

    Alors prenez-les lun et lautre, et arrtez de me faire aussi cruellement languir.

    Ctait pourtant dans cette langueur contemplative que naissait notre dsir et elle y gotait autant, si pas plus, que moi. Ctait un jeu et ne nous lassions pas dy jouer. Je lui parlais de son cul, de son con,

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    de son corps de desse, de ses seins dont, disait-elle, je ne moccupais pas assez. Puis je la prenais, toujours par derrire, comme un drogu du cul prenant sa dose.

    La fesse na pas tard faire partie de nos jeux. Il faut dire que nos lectures partages voquaient assez souvent ltonnant pouvoir de la fesse. Cest ainsi quun jour, ce devait tre notre troisime ou quatrime rendez-vous, tandis quelle me lisait un chapitre de l loge de la fesse , je lui ai demand ce quelle en pensait.

    Je ne sais pas je trouve a plutt humiliant

    Mais lorsque je vous claque les fesses tandis que ma bite visite votre chatte ou votre petit trou, quest-ce que vous ressentez ?

    Cest assez excitant, je dois bien lavouer, mais je ne suis pas sre de vouloir en dcouvrir davantage.

    Vous avez tort, la fesse est un art, lorsquelle est assene par un spcialiste.

    Et vous en tes un, cest cela ?

    Disons que je me dbrouille plutt pas mal, en tout cas, aucune de mes patientes ne sest jamais plainte.

    Un traitement pour les malades du cul, en quelque sorte. Trs peu pour moi.

    Cest votre choix, en attendant pourquoi ne reprendriez-vous pas votre lecture ?

    Elle ma regarde avec un air excd, son admirable cul toujours dress sous mon nez. Tandis que je la regardais avec mon sourire niais dessin sur le visage, elle sest brusquement redresse, laissant retomber sa robe sur ses fesses, avant de remonter nerveusement sa petite culotte et disparatre de mon appartement sous le prtexte dun rendez-vous urgent.

    Jaurais pu essayer de la retenir, de la convaincre, de mexcuser pour cette maladie honteuse, pour cette culopathie dont je ne parvenais pas me librer. Mais je suis rest prostr devant la fentre ouverte et le livre quelle venait dy abandonner, mon sourire bat encore imprim sur mes lvres. Je savais quelle allait tt ou tard succomber aux plaisirs brlants de la fesse et, cette simple ide, jai senti ma queue frtiller denthousiasme.

    Le lendemain, elle ma appel.

    Je vais au vernissage dune amie ce soir. Jaimerais vous y emmener, a vous plaira jen suis sre. Quen dites-vous ?

    Pas avant que nous ayons rgl lincident dhier.

    Javais un rendez-vous, je vous dis. Je lavais oubli, voil tout.

    Bien sr. Vous vous rappelez quand jai dcouvert votre caractre en observant votre trou du cul. Je vous ai dit que ce joli opercule ne mentait jamais, et que les paroles des femmes taient bien moins fiables. Eh bien, si en cet instant je pouvais tudier votre trou du cul, je suis sr quil ne me raconterait pas la mme histoire.

    Vous tes vraiment incorrigible ! Allez, ne vous faites pas prier !

    Non. Je veux que ce soit votre cul qui me le demande !

    Mon cul ? Mais mais vous tes vraiment fou lier vous !

    Elle a raccroch brutalement et je nai pas pu mempcher de sourire, persuad que jallais entendre nouveau la sonnerie du tlphone quelques minutes plus tard.

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    All ?

    Si mon cul vous le demande, vous voudrez bien maccompagner ce vernissage ?

    a dpend de la manire dont il me le demande.

    Je passerai chez vous six heures et vous naurez qu voir cela avec lui, a vous va ?

    Passer plutt cinq heures, il se peut que votre cul et moi ayons parler plus longtemps que de coutume.

    All ?

    Daccord, je passerai cinq heures.

    Bingo ! Des fourmillements dimpatience me parcouraient les doigts et la queue lide que jallais bientt prendre nouveau possession de son admirable fessier. Ah, le cul de Sabine, plus beau cul quil mait t donn de connatre. Un cul que je redcouvrais et qui me surprenait chaque fois.

    Deux heures plus tard, elle tait dans mon appartement, vtue dune robe en satin qui moulait effrontment ses sensuelles rondeurs, apparition troublante dune pin-up des annes soixante, une coiffure de lionne, les seins prts jaillir dun dcollet pigeonnant, le cul troitement emprisonn dans un crin brillant, et les jambes habilles de soie noire.

    Je nous avais prpar une bouteille de champagne et je lui en ai offert une coupe tout en la complimentant sur sa tenue et son incomparable beaut.

    Cest a, foutez-vous de moi. Alors, il parat que vous voulez parler une partie trs spcifique de mon anatomie ?

    Ne soyez donc pas si ngative, dtendez-vous donc un peu. Jai limpression que ce nest plus la mme Sabine que jai devant moi.

    Vous voulez dire la Sabine qui vous offre son cul chaque fois que vous le lui demandez ?

    Non, je veux dire la Sabine qui jouit en moffrant son cul et en le partageant avec moi. Est-ce que cette Sabine a brusquement disparu ?

    non.

    Elle a aval sa coupe de champagne et plongeant ses grands yeux verts dans les miens. Je suis sr davoir entendu son cul soupirer de dsir la perspective de soffrir une nouvelle fois mes caprices.

    Jaime mieux a. Je vais donc vous demander de venir vous allonger sur mes genoux sur le divan. Il est temps que jaie cette petite conversation avec votre derrire.

    Elle a hsit, me laissant mavancer seul vers le divan, me regardant masseoir, sans savoir que faire. Puis elle sest avance vers moi. Emmaillote dans sa robe, elle sest glisse le long de mes cuisses pour poser son admirable popotin juste sous mon nez. Je lai caress longuement, laissant glisser mes mains sur le tissu brillant, pressant ses chairs emprisonnes, dcouvrant sa chaleur en plongeant sous la robe. Je le sentais frmir, sassouplir, soffrir avec dlice mes caresses et ronronner doucement en sentant monter le plaisir.

    Cest le moment que jai choisi pour assener la premire claque qui a rsonn dans lappartement en mme temps que le cri du Sabine. Bientt suivie par une deuxime, puis une troisime, tandis que les cris de la jeune femme saccompagnaient de jurons et dimprcations pour le moins dsobligeantes mon gard.

    Mais, jai lhabitude. Cest toujours pareil la premire fois. Jimagine que cest comme monter une jeune et vigoureuse pouliche pour la premire fois. Elle va ruer, elle va se cabrer, elle va essayer de vous dsaronner, mais ce nest quune question de patience. Et, au bout de la dixime claque, ma

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    pouliche tait devenue plus docile, se contentant de mordre les coussins pour touffer ses gmissements chaque fois que ma main scrasait sur ses fesses brlantes.

    Pour ce qui me concerne, la fesse ne doit jamais aller jusqu abmer la dlicieuse harmonie du cul. Je ne comprends pas ces fesses brutales qui martyrisent le derrire jusqu y laisser des traces sanglantes et persistantes durant plusieurs semaines. Pour moi, les traces dune bonne fesse doivent avoir disparu en moins de vingt-quatre heures. Le but est de rveiller le cul de la belle, pas de le dfigurer. Cest pourquoi il faut varier les coups, tant par lintensit que par le rythme ou le point dimpact, laisser le temps au cul de respirer avant de lentraner dans un nouveau tourbillon de sensations. Le caresser, vrifier la faon dont la peau rpond nos assauts, tester la temprature de la surface rougissante pour pouvoir en apprcier la brillance, sassurer quentre les cuisses, la petite chatte reconnaissante pleure de plaisir sous leffet de la fesse.

    je je voudrais retirer ma robe

    Vous avez peur de la tacher avec cette petite rivire que je sens grandir entre vos cuisses, cest a ?

    oui

    Mais bien sr, voyons.

    Je lai regarde se dshabiller, comme si elle spluchait de sa peau de satin gris pour laisser apparatre une belle peau de rousse, bien plus moustillante. Elle portait des sous-vtements de nylon rouge, trs sixties eux aussi, surtout la culotte moulante et semi-transparente qui lui emballait effrontment le cul, un peu comme sur la couverture des Mains Baladeuses , autre roman du clbre pornocrate. Je nai pas boug, me contentant dattendre quelle vienne reprendre la pose. Ce quelle a fini par faire, en ralisant que je nen avais pas fini avec son brlant derrire.

    Emprisonnes dans la large culotte de nylon, ses fesses taient vraiment blouissantes, plus apptissantes que jamais. Je nai pas pu mempcher de les faire rougir encore un peu avant de baisser le voile synthtique pour contempler lastre brillant de son cul, rayonnant comme un soleil couchant. Je crois que jai d rester en adoration plus dune minute, et cest le frottement de la chatte de Sabine contre mes cuisses, qui ma rveill de ma rverie. Le petit animal tait affam et je navais pas le cur de le dcevoir.

    Jai termin le travail sur ses fesses nues, les regardant trembler sous mes assauts. Comme une vague irrsistible emportant tout sur son passage, un tsunami dmotions lectriques qui se diffusait dans ses chairs, jusquau creux de ce con dbordant que je sentais couler sur mes cuisses.

    Alors, est-ce que vous allez encore vous comporter comme une enfant lavenir ? Ou bien allez-vous enfin accepter de vous offrir sans autre arrire-pense ?

    non et oui.

    Trs bien, prenez donc la pose alors, je crois que jai encore quelque chose dire ce cul magnifique.

    Elle sest agenouille sur le divan, moffrant son cul dress et rougissant. Je nai pas pu mempcher dy poser un chapelet de baiser, le regardant frmir dimpatience dans lattente de larrive de mon pais gourdin.

    cartez vos fesses.

    Le visage appuy sur le dossier du divan, elle sest excute, moffrant la vision de ses orifices bants. Elle a d entendre le bruit de lenveloppe mtallique que jai dchire, puis celui du prservatif que jai droul et gliss sur ma queue, raide comme la justice.

    Jai lui ai visit tant le con que le cul, la faisant gmir de plaisir chaque fois que ma queue senfonait tantt au fond de sa caverne, tantt au cur de ses entrailles, et que ses fesses brlantes scrasaient contre mon ventre. Jai fini par exploser dans son cul et nous nous sommes crouls en

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    sueur, affals lun sur lautre dans le divan. Elle a tourn son visage vers le mien et nos bouches se sont dvores avec passion, pendant que ma bite continuait sagiter nerveusement tout au fond de son petit trou.

    Alors ? Ne vous lavais-je pas dit ? Les culs ne mentent pas, et je peux dire que le vtre est dune honntet absolue. Jai rarement connu un cul aussi enthousiaste et aussi reconnaissant du plaisir quon lui donne.

    Cest bon, vous avez gagn. Dornavant je nobirai plus qu mon cul, et pour linstant, il me dit quil est temps daller ce vernissage. Mais avant, il aimerait bien que vous retiriez votre engin fatigu pour que je puisse me rhabiller.

    Je lai libre et ma queue a provoqu un petit bruit de pet en sextrayant de son anus. Nous avons clat de rire tandis quelle remontait sa large culotte sur son cul rougeoyant.

    Si vous coutiez votre joli cul ensoleill, je crois que vous lentendriez vous dire quil prfre sentir lair frais du soir venir apaiser le feu qui lui brle les fesses.

    Elle sest contente de sourire en se dbarrassant de sa culotte avant denfiler sa robe sur ses fesses dnudes.

    Faites voir. Cest bien mieux comme a. Votre culotte est superbe mais elle dessinait dhorribles balafres sur vos adorables rondeurs. prsent, elles apparaissent dans toute leur splendeur, dlicieusement moules dans leur fourreau de satin.

    Nous nous sommes rendus pied la galerie et, fidle mes habitudes, jai march quelques pas derrire elle, suivant mon toile du berger et son balancement hypnotique. Je dois dire que je ntais pas le seul maveugler des admirables rondeurs moules dans lcrin brillant. Les hommes autant que les femmes se retournaient sur son passage, tout en jetant un regard curieux dans ma direction, se demandant sans doute pourquoi je ne marchais pas aux cts de ma partenaire.

    La galerie tait pleine dune foule de bobos, intellectuels de gauche, entre quarante et soixante ans pour les messieurs, probablement dix vingt ans de moins pour les dames et, si je navais pas t au bras de Sabine, je me serais sans doute immdiatement lanc la chasse de lun ou lautre de ces culs lgants qui sagitaient sous mes yeux devant les uvres de lartiste.

    Je vous prviens que si je vous vois regarder dautres derrires que le mien, je compte bien moi aussi avoir une petite conversation avec votre cul dont il risque de se souvenir.

    Allons ma chre, si je regarde ces culs si dlicieusement offerts, ce nest que pour le plaisir de me dire que le plus beau saccroche mon bras.

    Jaime mieux a ! Venez, je vais vous prsenter Karima.

    Karima tait lartiste, lamie de Sabine. Jusqu ce moment, je navais, pas vraiment prt attention aux uvres accroches aux cimaises de la galerie. Mais en traversant la foule, regardant au-dessus des paules, et quelques fois au-dessous des jupes de ces dames, jai dcouvert que les toiles, les sculptures et les installations de la fameuse Karima tournaient toutes autour du sexe. De grandes toiles prsentant des corps enlacs, lacrs de coups de pinceaux brutaux, des miniatures pointillistes de cons plus ralistes que nature, des moulages de queues comme en faisait Cinthya Plaster Caster dans les annes soixante-dix, un carr constitu de moniteurs vidos o dfilaient un kalidoscope de cul, de con, de bites ou de seins.

    Karima, je te prsente Jrme. Jrme voici Karima, qui a produit toutes ces jolies choses.

    Ah, cest donc vous, le fameux Jrme !

    Karima tait une grande brune de prs dun mtre quatre-vingt, dont laccent autant que le physique rvlaient les origines maghrbines. Pas spcialement jolie, avec son visage un peu trop anguleux. Pas spcialement bien roule non plus, avec ses petits seins dformant peine le mini tee-shirt

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    quelle portait mme la peau. Et pourtant avec ses yeux de gazelle, sa large bouche gourmande, et sa belle paire de fesses muscles enserres dans son jean taille basse, je ne peux nier quelle me faisait de leffet.

    Jrme, je prfre. Quand on mappelle le fameux Jrme , je me sens toujours un peu mal laise, question de modestie sans doute.

    Vous savez, cest Karima qui ma offert La pharmacienne et cest donc un peu grce elle que je vous ai rencontr. Je lui ai racont votre passion pour le cul et votre thorie sur le fameux miroir de lme qui se logerait entre nos fesses, et a la beaucoup amuse.

    Si jen crois vos uvres, vous semblez partager au moins un peu de cette passion.

    Jaurais bien du mal le cacher. Le sexe est lune des dernires choses que les individus puissent sapproprier librement. Aujourdhui, toute autre satisfaction de nos dsirs passe par la case pognon. Mais comme ils nont pas encore russi taxer notre cul, cest toujours la meilleure manire de trouver un peu de bonheur dans cette socit mercantile.

    Voil bien un discours que je partage. Mais, dites-moi, ny a-t-il pas une petite contradiction entre ce discours et votre petit business. Si je ne me trompe pas, avec vous, le cul aussi est mercantile ?

    Elle a clat de rire, un rire cristallin comme les glaces de son pays natal.

    Il faut bien vivre, pas vrai. Dailleurs, venez voir, jai quelques pices qui pourraient vous intresser.

    Elle nous a entrans vers une petite vitrine garnie de bijoux reprsentant presque exclusivement des culs fminins, ainsi que paires de seins ou de couilles membres.

    Quelque chose qui vous ferait plaisir peut-tre ?

    Jai tout de suite port mon attention sur une srie de broches reprsentant des culs de femme en miniatures, tous plus ralistes les uns que les autres. Il ne ma pas fallu plus de cinq secondes pour dcouvrir ladmirable cul de Sabine rduit quelques centimtres, et pourtant toujours aussi magnifique.

    Je pense en effet que je vais vous acheter celui-l.

    Excellent choix. Jai pris beaucoup de plaisir raliser cette pice, nest-ce pas Sabine ?

    euh oui, ctait assez spcial, cest vrai. Mais si je me rappelle bien, il ny a pas que mon auguste derrire qui ait fini sur ce prsentoir. Alors, le fameux Jrme , seriez-vous capable de retrouver le derrire de Karima aussi facilement que le mien ?

    Sabine me regardait avec un petit sourire et un air de dfi qui illuminait ses yeux verts, tandis que jaccrochais ma veste le bijou dor moul sur son cul de desse. Je lui ai retourn son sourire, presquavec reconnaissance. Ce genre de dfis, elle pouvait me les lancer aussi souvent quelle le voudrait. Jai regard Karima, lair de dire si tu es prtes, je le suis aussi . Elle a clat de rire et sest retourne, les mains sur les hanches, cambrant les reins pour moffrir le spectacle de son admirable derrire.

    Il tait emball dans un jean moulant qui enveloppait ses rondeurs muscles et dont la taille basse dvoilait le pimont des fesses et le passage en entonnoir conduisant droit la raie du cul. Je ne me suis pas priv dadmirer avec attention ce superbe derrire dartiste qui, aprs tout, ntait pas la moins belle des uvres dart prsentes dans la galerie. Me penchant au-dessus de ses reins dnuds sous son mini tee-shirt, pour glisser mon regard le long de son dos, sous la taille du jean pour constater quelle ne portait rien entre ses fesses nues et lpais tissu de coton. Maccroupissant presque entre ses cuisses pour admirer le double sourire de sa paire de miches, et le petit coquillage moul dans le jean et que jimaginais trembler sous lindiscrtion de mes regards.

  • 17

    Il faut dire quun petit cercle stait form autour de nous se demandant ce que Karima avait encore bien pu inventer, les reins cambrs, le cul dress, offert linspection mticuleuse dun quinquagnaire lallure professorale. Malgr la nature volontairement provocante de son art, Karima ntait pas vraiment laise, dautant quaprs lavoir longuement contempl, jai brusquement saisi pleines mains ses deux fesses muscles, en prenant lair dune rflexion profonde.

    Cest sans aucun doute, le troisime partir de la gauche.

    Javais encore les mains colles aux fesses de Karima et je navais plus regard le prsentoir depuis que Sabine mavait mis au dfi. Ce quelle ne savait pas, cest que javais tout de suite reconnu le cul de Karima parmi la dizaine de paires de fesses exposes dans la vitrine. Tout le monde sest mis applaudir et rire pour saluer mes exploits. Sabine tout autant que Karima me regardaient avec un clat de passion brillant au coin de lil. Je les avais bluffes et je ntais pas peu fier de mon coup.

    Jaimerais lacheter. Est-il vendre ?

    Karima a regard son amie ne sachant que penser. Je me suis content de leur sourire, lune et lautre. Puis Sabine a tourn son visage vers moi, avec ce petit air coquin quelle savait si bien prendre.

    Jaimerais vous loffrir, vous permettez ?

    Rien ne me ferait plus plaisir !

    Karima sest mise rire, dun rire qui sonnait un peu faux, un peu forc, comme si elle voulait sempcher de penser ce que son amie venait dvoquer mots couverts. Elle ma elle-mme accroch la broche de lautre ct de ma veste, juste en face du cul de Sabine, puis elle sest rapidement clipse pour rejoindre un autre groupe dinvits, me laissant seul avec Sabine, riant tous les deux comme deux complices.

    Et maintenant, on fait quoi ?

    Je ne sais pas moi. Enfin si, jai bien une ide

    Vous voulez voir mon cul, cest a ?

    ben

    Vous tre vraiment incorrigible, vous. Venez, je vais vous le montrer mon cul !

    Elle ma entrane dans la galerie, pour se poser devant la mosaque dcrans dordinateurs sur lesquels dfilaient des images de sexes, de seins, de cul. Je me suis gliss derrire elle, entourant ses hanches et son ventre de mes bras, pressant fermement mon artillerie contre ses fesses. Je nai pas tard reprer parmi les images vidos, les plus adorables trsors de ma compagne, tantt son cul, tantts ses magnifiques lolos, tantt son petit minou encore dissimul sous son pelage roux. Je dois dire que jtais au paradis, sentant mon gourdin durcir contre ses superbes miches, tout en contemplant un joli dfil de culs et de cons, quelque fois malencontreusement interrompu par quelques bites plus ou moins poilues ou enthousiastes. Sabine ntait pas moins sensible au spectacle, et je sentais ses fesses se frotter sensuellement sur le vigoureux pilon qui me dformait lentrejambe. Je me suis pench pour lembrasser dans le cou.

    Encore dix secondes et je ne rponds plus de rien.

    Venez !

    Fidle son habitude, elle ma entran derrire elle, jusquaux toilettes.

    Celles des hommes. Elles sont toujours plus vastes et moins peuples.

    Je nallais pas la dtromper. Sans prter la moindre attention un homme qui se soulageait la vessie tout en nous regardant avec cet air bent quont les hommes quand ils pissent, elle ma entran

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    dans une cabine, o, en quelques secondes peines, elle a libr ma queue, la enveloppe dans un prservatif, a remont sa robe sur ses reins, avant de tendre son cul admirable et frmissant dimpatience en direction de mon gourdin.

    Je lui ai ramon le con avec une certaine prcipitation, je lavoue, sans mme prendre le temps de contempler la surface brillante de ses fesses, encore rose du traitement que je leur avais inflig quelques heures plus tt. Je nai pas vraiment lhabitude de ce genre dacrobaties, et mon ge, cest un plaisir que je nai plus trop envie de dcouvrir. Cest ainsi quaprs une dizaine de coups de rein, jai fini par exploser un peu piteusement dans la chatte trempe de la jolie Sabine.

    Excusez-moi, mais je ne suis pas un grand spcialiste du cul furtif, du coup discret entre deux portes, dans un ascenseur ou, comme ce soir, dans les toilettes. Je comprends et je partage lexcitation intense quil provoque, mais pour ma part, je prfre le cul manifeste, celui que lon peut apprcier ouvertement et souhait.

    Peut-tre, mais a vous a au moins soulag la grappe non ? Vous allez peut-tre pouvoir penser autre chose maintenant, non ?

    Je vais essayer, cest le moins que je puisse vous promettre, mais je ne suis pas sr de pouvoir respecter ma parole trs longtemps. Que diriez-vous daller dner.

    Nous sommes alls dner dans un petit resto italien o, le prosecco aidant, je nai pas pu tenir ma promesse au-del du secondo piatto . Il faut dire que le serveur regardait avec grand intrt les deux admirables culs dors qui ornaient ma veste. Intrt quil partageait avec la poitrine frmissante de Sabine qui, sous leffet du mme prosecco, semblait dborder de dsir.

    Quaviez-vous en tte en moffrant le cul de votre amie ?

    Javais envie de vous faire plaisir, voil tout.

    Vraiment ?

    Jai dcroch la broche pour lobserver plus attentivement.

    Cest vraiment un trs beau cul, moins mouvant que le vtre bien sr, mais nanmoins trs sduisant. Ferme, muscl, avec un raie bien droite jusqu lextrmit des fesses, une raie quil ne me dplairait pas dcarter pour voir ce quelle cache. Regardez, on distingue les premires rondeurs du con et le dbut de la fente qui les spare. Un magnifique travail, vraiment. Merci pour le cadeau.

    Si ce nest pas indiscret, cela vous a pris quand cette adoration du cul ?

    Oh, cest une longue histoire, a va vous embter, je vous assure.

    Membter ? Sil y a bien quelque chose que je ne risque pas de faire avec vous, cest de membter. Je meurs denvie de dcouvrir comment on devient fessophile.

    Cela remonte mon enfance. Entre 15 et 16 ans, aprs lcole, jallais attendre chez une voisine que mes parents reviennent de leur travail.

    Jai donc commenc lui raconter comment Marianne, la voisine, mavait involontairement initi au culte du derrire.

    Comme vous pouvez limaginer, elle avait une paire de fesses qui, lorsque je les ai vues pour la premire fois, me paraissaient normes. Elles taient moules dans un jean extra slim comme en portaient les filles dans les annes soixante. Ma mre tant plutt du genre modeste du cul , ctait sans doute la premire fois que je ralisais, quen dehors des mamelles nourricires dont ma bouche gardait encore le souvenir, les femmes taient dotes dune autre paire de rondeurs, bien plus intrigante que la premire. Et celles de Marianne savaient tre intrigantes. Quelle porte un pantalon, une jupe ou une robe, je ne lai jamais vue autrement que la taille serre, comme pour mettre en vidence cette courbe fascinante qui dmarrait la taille pour slancer presque

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    lhorizontale et chuter aussitt, tantt dans les plis de la jupe ou la robe, tantt pour dessiner dans le tissu du pantalon, un arc de cercle merveilleux qui se terminait brusquement juste au sommet des cuisses.

    Je faisais mes devoirs dans la cuisine, tandis quelle soccupait de me prparer le goter et le repas de Grard, son mari. Javais du mal me concentrer sur mes exercices dalgbre prfrant me consacrer la gomtrie des courbes ou la physique des corps. Je regardais ces deux masses charnues sagiter sensuellement sous mon nez, et, sans doute sans le savoir, jai d connatre mes premiers mois.

    Je me rappelle dun jour o le four refusait de sallumer, ce qui lavait amene passer de longues minutes le tronc enfonc dans la cuisinire et le cul dress dans ma direction. Je me le rappelle comme si ctait hier. La bouche ouverte et, trs probablement, un sourire bat dessin sur le visage, jai contempl ses jambes et ses cuisses paisses, largement dvoiles sous la petite jupe volant quelle portait ce jour-l et sous laquelle jessayais de glisser mon regard. Je me suis pench, encore et encore, jusqu parvenir enfin discerner une large culotte blanche, lumineuse comme un soleil, qui emballait sensuellement son magnifique derrire. Sous le coup de lmotion et de lattraction universelle, ma chaise brusquement bascul et je me suis retrouv sur le sol dans un norme fracas, allong sous les jupes de Marianne.

    Eh bien Jrme ? a va ? Tu ne tes pas fait mal, jespre ?

    Non Madame, ce nest rien je vous assure, ma chaise a gliss, excusez-moi.

    Je me suis relev dun bond, les joues en feu, redressant la chaise pour me plonger aussitt sur mon devoir de franais. Jaurais voulu que la terre me dvore sur le champ.

    Tu dois faire attention quand tu te penches, tu pourrais te blesser la prochaine fois.

    Elle a clat de rire, comme si elle avait devin la raison de ma chute.

    partir de ce jour, il mest arriv souvent de me pencher sous la table de la cuisine, pour admirer la drobe la petite culotte de Marianne et les belles fesses quelle enveloppait. Je crois quelle ntait pas dupe et je suis sr que quelques fois, elle prenait plus de temps que ncessaire pour fouiller dans les armoires de la cuisine, tantt penche au fond dun placard, tantt perche sur une escabelle la recherche dun ustensile quelconque.

    Jrme, tu veux bien tenir lescabelle ? Elle est un peu branlante.

    Je ne la trouvais pas si branlante que cela, mais je nallais pas refuser une telle invitation glisser librement mon regard curieux sous les jupes de ma jolie voisine, la dcouverte de son blouissant derrire.

    chaque fois que Grard rentrait chez lui, aprs sa journe de boulot, il assenait une grande claque joviale et enthousiaste sur le cul de son pouse, sa faon lui de dire bonsoir mon amour . Au dbut, jai trouv cela surprenant, mes parents ayant toujours eu un comportement, disons, plus rserv . Je ne comprenais pas comment Marianne pouvait se laisser claquer le derrire de cette faon. Je trouvais que Grard tait une brute mal leve qui ne mritait pas ce magnifique trsor quil martyrisait tous les jours. Mais, en entendant le rire clatant de la jeune femme et en observant les tendres treintes amoureuses qui suivaient cette salutation brutale, jai compris que le cul devait receler des mystres que je rvais de dcouvrir chaque jour davantage.

    Je crois que je dois ma fessophilie autant Grard qu Marianne. Si la seconde ma apport la matire, le premier ma appris la passion. Car sil claquait le cul de sa femme tous les soirs, cest parce quil ladorait encore plus que moi. Chaque fois quil en avait loccasion, il le caressait, glissant discrtement sa main sous ses jupes lorsquil me pensait concentr sur mes exercices de math.

    Un soir, je devais avoir dix-sept ans, et le cul de Marianne, ou du moins ses fesses toujours enveloppes dans de larges culottes, navait presque plus de secrets pour moi. Comme souvent, je

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    mtais retourn discrtement pour les regarder du coin de lil. Grard se tenait debout derrire Marianne les mains plonges dans la vaisselle, lui glissant des baisers dans le cou, tout en laissant courir ses mains sur ses cuisses dnudes. Jtais habitu leurs treintes, et si, au dbut, jtais plutt jaloux, je me suis trs vite pris pour Grard, comme sil tait mon missaire, partant vers des territoires quil dcouvrait pour moi. Marianne, ne le laissait jamais aller bien loin, sous lexcuse du gamin attabl devant ses cahiers. Mais ce jour-l, elle tait sans doute plus fatigue que dhabitude, elle avait besoin de la chaleur de son mari et elle semblait heureuse de sabandonner ses caresses.

    Les mains de Grard sont remontes doucement, tendrement, dlicatement le long des cuisses jusqu saventurer sous la jupe avec dinfinies prcautions, remontant peu peu avec elles le tissu volant jusqu se poser sur les fesses. Je lai entendue murmurer le gamin loreille de Grard qui sest retourn vers moi, les mains poses sur le gnreux derrire de son pouse. Je nai pas pu dtourner le regard, hypnotis que jtais par lexhibition de la culotte de Marianne, une large culotte blanche comme son habitude, emprisonne dans les serres de mon alter ego. Je devais sourire batement, comme dhabitude et Grard ma lanc un clin dil complice.

    Ne tinquite pas, il est plong dans son cahier de maths.

    Mais sil se retournait ?

    Chuut il ne se retournera pas, si tu ne fais pas de bruit.

    Les mains de Grard se sont glisses sous la culotte, et Marianne na pas pu retenir un petit Oh ! de surprise quelle a aussitt touff, de crainte dattirer mon attention. Je ne sais pas si elle se doutait ou non que mon attention ft depuis longtemps dj passionnment attire par son impressionnant fessier. Toujours est-il quelle na plus ragi, se contentant de sappuyer sur ses mains plonges dans leau de la vaisselle, tandis que celles de son mari se promenaient sur la peau brlante de ses fesses.

    Je regardai lombre de ses mains passant sous le fin tissu de coton, se glissant entre les fesses la recherche de trsors qui mtaient encore inconnus. Lorsquil a descendu llastique de la culotte jusque sous les deux globes charnus que je dcouvrais pour la premire fois, jai senti soudain une chaleur humide envahir mon entrejambe tandis que ma petite queue juvnile crachait pour la premire fois le jus de la jouissance.

    Merde alors !

    Quelque chose qui ne va pas Jrme ?

    Elle stait retourne brusquement repoussant Grard en faisant brusquement redescendre sa jupe sur ses fesses dnudes, et je me suis retourn presquaussi vite quelle.

    Ce ce nest rien, cest juste un exercice que je narrive pas faire.

    Va donc aider le gamin au lieu de faire tes cochonneries !

    Trs bien, mais ce nest que partie remise, princesse.

    En me lanant un nouveau clin dil, Grard est donc venu sasseoir mes cts pour maider rsoudre ce fameux problme. Lorsque mes parents sont venus me chercher ce soir-l, jai d dployer des trsors de discrtion pour leur cacher lentrejambe de mon pantalon, macule de ma premire semence.

    partir de ce soir-l, Grard et moi sommes devenus complices, parfois quand nous tions seuls au salon, il racontait sa passion pour le cul de Marianne, men dcrivant tous les mystres, tous les trsors. Je suis devenu un spcialiste du cul de ma voisine, une spcialit toute thorique malheureusement, agrmente de temps autres par les regards furtifs que me concdait Grard lorsquil parvenait me dvoiler les rondeurs affolantes de sa dlicieuse pouse.

  • 21

    Il ma mme donn une photo de Marianne en dshabill vaporeux. Extraite dune sance de nu artistique quelle avait accept de raliser pour lui faire plaisir.

    Il y en dautres plus coquines. Je te les montrerai peut-tre une autre fois. Pour linstant, tu peux te faire suer le poireau avec celle-ci.

    Jai donc appris faire suer le poireau, faire pleurer popaul, mlaguer le bambou et autres gracieuset que Grard mapprenait dun air professoral. Un jour que je regardais mon feuilleton prfr dans le salon, il est venu me chercher en me demandant de le suivre en silence. Le feuilleton venait de commencer et il savait parfaitement que je ne laurais rat pour rien au monde. Rien sauf, bien sr, le cul de Marianne !

    Nous avons travers le salon pas de loup jusqu la cuisine. Comme souvent, Marianne tait affaire devant la vaisselle du soir. Elle nous tournait le dos, vtue dune petite robe dt, serre la taille. Nous lavons regarde durant quelques secondes, comme fascins par ce magnifique postrieur qui sagitait quelques mtres devant nous, puis Grard ma demand de me tenir discrtement dans le couloir.

    Tu ne vas pas regretter ton feuilleton, crois-moi.

    Il sest avanc vers son pouse pour lenlacer comme son habitude, son corps coll contre le sien, la couvrant de baisers, laissant courir ses mains librement sur son corps.

    a y est, tu as encore un coup de chaleur, cest a ?

    Qui ? Moi ? Cest plutt toi qui ma lair davoir un coup de chaleur si jen crois la temprature qui rgne sous ta robe.

    Les mains de Grard avaient disparu sous la robe, glissant le long de ses cuisses, de ses hanches jusqu remonter le vtement largement au-dessus de ses fesses.

    Arrte ! Si le gamin arrivait, on aurait lair fin !

    Tu sais que mme un tremblement de terre narriverait pas le dloger quand il y a Zorro la tl. Laisse-toi faire, jen ai tellement envie, ton joli cul me manque trop.

    Tu vas me rende folle !

    Il a remont la robe sur le dos de Marianne qui cambrait les reins pour le plus grand plaisir de son mari, et pour le mien aussi qui les observais depuis le couloir plong dans la pnombre. Il lui a enlev sa culotte et elle sest laisse faire en silence, les bras tendus appuys contre lvier. Il sest cart la laissant le cul lair, pour mieux nous laisser ladmirer et je crois que jen ai pleur dmotion. Puis il sest mis lui caresser les fesses, jusqu ce que son cul magnifique se mette onduler doucement au rythme de ses mains. Je lai vue sursauter, pousser un petit gmissement discret, puis salanguir lorsque les doigts se sont glisss dans la raie de son cul jusqu descendre entre ses cuisses. Cest la premire fois que je voyais deux tres faire lamour et jen tais boulevers de bonheur.

    Ma queue commenait sagiter douloureusement, comme quelques mois plus tt, lorsque javais jacul dans mon pantalon. Mais depuis, javais appris me cirer le braquemart et contrler son enthousiasme. Mais ce soir-l, je sentis que mes efforts allaient tre vains et, tandis que je trpignai sur place esprant calmer les frmissements de ma queue, une lame du plancher a fini par craquer sous mes pieds.

    Quest-ce que cest ? Tu as entendu ?

    Un silence pesant sest abattu sur la cuisine, interrompant brusquement les ronronnements de chatte que poussait Marianne pendant que Grard lui doigtait labricot. Lcho de la musique de Zorro remontait du salon.

    Il ny a personne, Jrme est devant la tl, je te dis.

  • 22

    Daccord, mais fais vite alors, je naimerais pas quil nous trouve dans cette position.

    Tu sais, il a presque dix-huit ans, ce nest plus vraiment un gamin.

    Raison de plus, je ne veux pas quil se fasse des ides.

    Moi, je trouve que a devrait faire partie des programmes de lducation nationale. Tout jeune garon, ou jeune fille dailleurs, devrait pouvoir apprendre ce genre de choses de ses ans.

    Tu es compltement cingl ! En attendant, si tu ne me prends pas dans les cinq secondes qui suivent, il se pourrait que jaille lui demander de te remplacer.

    Ah, a te plairait, hein, petite cochonne.

    Il ne lui a pas laiss le temps de rpondre, enfonant une queue qui me paraissait dmesure entre les cuisses de son pouse qui na pas pu retenir un petit cri de surprise avant de se mettre gmir sous les coups de boutoirs de son mari.

    Cen tait trop. Ma queue, que javais sortie de sa prison lorsque Grard avait baiss la culotte, sest agite brusquement sous leffet des vocalises de moins en moins discrtes de Marianne. Un puissant jet de sperme a brusquement jaillit de ma bite dado. Jai maladroitement essay de retenir le liquide tide entre mes doigts tout en men allant prcipitamment vers les toilettes, tandis que les vocalises de Marianne disparaissaient sous la musique d Un cavalier qui surgit lors de la nuit .

    Lorsque je suis revenu dans le salon aprs mtre nettoy les mains et le zob, Grard tait assis devant la tl avec sur les lvres, un sourire bat que je ne connaissais que trop bien.

    Alors, lpisode ta plu ?

    Ctait sans aucun doute le meilleur de la srie !

    Nous avons ri comme deux gamins venant de faire une bonne plaisanterie, et nous avons eu du mal nous arrter lorsque Marianne a fait son apparition dans le salon. Nous regardions tous les deux fixement lcran de la tl, nosant pas affronter son regard, Grard pouffant intrieurement de rire et moi-mme, partag entre lide de rire avec lui et celle de disparatre comme par magie pour ne pas avoir affronter le regard de Marianne. Elle a clat de rire notre plus grand soulagement.

    Pas un pour sauver lautre ce que je vois ! Vous faites une belle paire tous les deux !

    Elle est venue sasseoir entre nous dans le divan, nous prenant tous les deux par lpaule pour nous serrer contre elle, et nous sommes rest regarder la tl tous les trois, jusqu ce que mes parents ne viennent me chercher, mon plus grand regret.

    Quelques jours plus tard, mes parents mont annonc que nous allions bientt dmnager dans une grande maison entoure dun parc magnifique o je pourrai inviter tous mes copains de lyce, jai failli mvanouir. Jai pli brusquement avant de menfuir pour menfermer dans ma chambre leur grand tonnement.

    a a t mon premier chagrin damour, un chagrin si profond que je pensais que je ne men remettrais jamais, envisageant de fuguer ou mme den finir si je devais perdre mes rencontres avec le cul de Marianne. Mes parents nont jamais su la raison de cette mlancolie qui maccompagn durant de longs mois aprs notre dmnagement.

    Marianne a t plus perspicace, il faut dire que je ne pouvais pas lui cacher la vrit.

    Allons, ce nest pas si grave et puis, tu verras, tu vas bien tamuser dans ta grande maison.

    Je men fiche de la grande maison. Je nai pas envie de dmnager, voil tout.

    Mais ce nest pas parce que tu dmnages quon ne se verra plus. Tu reviendras nous voir et puis, tu nous inviteras un jour chez toi avec Grard, non ?

  • 23

    Je nai pas pu me retenir plus longtemps et jai clat en larmes, un chagrin profond que je voulais partager avec elle. Elle ma pris la main pour mentraner vers le salon et sasseoir sur le divan mes cts. Elle a pris mon visage couvert de larmes et la pos sur sa poitrine. Jai continu pleurer sur la peau douce de ses seins dcouverts sous un large dcollet, sentant leur chaleur rconfortante venir apaiser mon visage, jusqu tarir mes larmes et me laisser somnolant, sur le plus agrable des oreillers.

    Il ne nous restait que deux semaines, deux semaines aux cours desquelles, Marianne a troqu ses larges culottes pour des strings plutt oss pour lpoque, ne manquant pas une occasion de moffrir la vision de ses fesses dnudes et de son petit minou, emball dans un petit cocon de satin. Deux semaines qui mont offert deux nouveaux pisodes de Zorro , au cours desquels jai pu admirer et partager lintense beaut de la jouissance, menhardissant un peu plus chaque fois, jusqu me retrouver dans la cuisine, un mtre derrire Grard et peine plus loin du cul magnifique quil caressait et visitait pour moi.

    Si elle stait retourne, elle aurait dcouvert mon sourire dillumin. Mais elle a ne la jamais fait, se contentant de regarder droit devant elle, en fermant les yeux peut-tre, gmissant de plaisir en se laissant emporter par les assauts passionns de son mari. Je crois quelle savait que jtais l, que je la regardais avec des yeux brillants dadmiration, et pourtant elle ne men a jamais rien dit. Ctait notre petit secret elle et moi.

    La veille de notre dmnagement, alors que je venais tout juste de fter mes dix-huit ans, Marianne a convaincu mes parents de me laisser passer la nuit chez eux.

    Comme cela il ne sera pas dans vos pattes ce soir. Vous avez sans doute encore pas mal de choses prparer, avait-elle invoqu. On comptait aller au cinma avec Grard, on pourrait emmener Jrme avec nous.

    Jai donc pass ma dernire soire dans le quartier de mon enfance en compagnie de la plus dlicieuse des femmes et Grard, mon initiateur et mon ambassadeur auprs du Saint Sige. Nous sommes alls voir LExorciste sous linstance de Grard. Pour ce qui me concerne, je ntais pas trop fan des films dhorreurs.

    Tu verras, tu ne vas pas le regretter.

    Il ma lanc un de ses clins dil dont il avait le secret et jai tout de suite compris quil devait avoir quelque chose en tte. En fait, ce malin de Grard savait parfaitement que Marianne tait particulirement rceptive au spectacle sanglant et Grand-Guignol des films dhorreur, et, dans ce genre de registre, LExorciste est plutt un chef-duvre. La pauvre a donc pass le film assise entre nous deux, nous serrer nerveusement le bras, dissimuler son visage derrire le ntre, pousser des cris stridents, comme dailleurs plus de la moiti de la salle. Et pendant ce temps, Grard et moi, essayons de la tranquilliser en posant chacun une main rconfortante sur ses cuisses.

    Je regardais discrtement le visage de Grard qui continuait me lancer des clins dil entendus, tandis que Marianne se dissimulait le visage et que nos mains remontaient lentement sa jupe pour se glisser le long de ses cuisses dnudes. Ctait la premire fois que je la touchais et je sentais trembler mes doigts moites tandis quils se glissaient sous le tissu fleuri. Mon cur battait cent lheure, acclrant dangereusement, les spasmes qui magitaient la queue. Lorsque ma main a rencontr celle de Grard qui, comme moi savanaient la conqute du Graal, Marianne a attrap nos poignets pour descendre nos mains jusquau milieu de ses cuisses et pour les retenir sous les siennes jusqu la fin du film. Tout compte fait, je crois que je prfrais cela, parce que je naurais pas pu me retenir bien longtemps si mes doigts avaient fini par effleurer sa petite culotte.

    Nous sommes rentrs pied vers onze heures trente. Grard et Marianne tendrement enlacs marchaient quelques pas devant moi et mon professeur en culophilie me laissait observer ses caresses sur les fesses de son pouse, remontant plusieurs fois sa robe pour me rvler les deux

  • 24

    sphres ples et brillantes de son cul, avant que Marianne ne le rabroue en riant et loblige interrompre momentanment ses assauts.

    Lorsque nous sommes arrivs la maison, Marianne a invoqu une irrsistible fatigue pour nous abandonner et aller se coucher. Le tendre baiser quelle a pos sur ma joue na pas effac ma dception de la voir disparatre aussi brusquement.

    Ne tinquite pas, jai une petite ide en tte.

    Pour le coup, Grard tait immdiatement parvenu me redonner le moral. Javais une confiance absolue en lui, et sil avait une petite ide, elle ne pouvait qutre intressante. Il ma demand de lattendre dans le salon et il a disparu rejoindre son pouse. Dix minutes plus tard, il tait de retour, nu comme un vers. Son monstrueux gourdin pendait entre ses jambes.

    Dshabille-toi et suis-moi.

    Je nai pas rflchi une seconde et je me suis dsap comme il me le demandait, avant de le suivre dans lescalier. Arrivs devant la porte de leur chambre coucher, il sest arrt.

    Ds quon sera rentrs, tu ne diras plus un mot, OK ? Tu te contenteras dobir aux souhaits de Marianne

    OK.

    Alors, il a ouvert la porte. La chambre tait faiblement claire par une petite lampe de chevet. Marianne tait allonge sur le lit, elle portait un masque de nuit et ses mains taient dresses au-dessus de sa tte. En mapprochant, jai vu que ces poignets taient attachs la tte de lit par une paire de menottes. Un drap tait remont sur son corps et au-dessus de sa poitrine qui sagitait au rythme de sa respiration. Elle aurait pu tre endormie et pourtant elle tait bien veille, prte soffrir nous.

    Grard ? Cest toi ?

    Oui mon amour, jai t massurer que le gamin tait bien couch, et prsent je suis tout toi.

    Tout en lui parlant, Grard a tir doucement sur le drap pour le faire descendre le long de son corps dnud, dvoilant ses apptissantes mamelles, rondes, fermes et juteuses souhait, glissant sur son ventre, jusquaux premires frondaisons de son buisson quil a fini par rvler dans toute sa splendeur brillante. Ctait la premire mais aussi la dernire fois que je voyais le corps dnud de Marianne, rayonnant dune pleur irrelle dans la pnombre de la chambre. Nous navons pas pu nous empcher de la contempler durant de longues secondes, regardant sa peau frissonner dimpatience, comme si elle se languissait de nos caresses.

    Caresse-moi les seins, jaime sentir tes mains se promener sur ma peau.

    Grard ma regard en souriant. Jtais comme paralys, je ne pouvais pas croire quil minvite caresser sa femme, et pourtant son regard insistant tait plus quexplicite.

    Jai donc avanc mes mains tremblantes vers ses deux masses blanches et brillantes qui sagitaient sous la respiration nerveuse de Marianne. Je les ai frls du bout des doigts avant doser les saisir pleines mains, pour dcouvrir pour la premire fois la chaleur et la douceur dune poitrine de femme, en apprcier le caractre mallable qui nous invite les palper, les soupeser, les presser. Tout cela tait nouveau pour moi, et pourtant javais limpression que mes mains taient comme possdes, comme si le corps de Marianne et le regard attentif de Grard maidaient les promener avec assurance sur les collines charnues.

    Je me suis mis jouer avec ses ttons, les sentant durcir sous mes doigts. Grard ma fait un signe de la tte minvitant tter les gnreuses mamelles. Jai avanc ma bouche pour sucer avec dlice un de ses longs ttons dresss, sentant son corps onduler de plaisir sous les caresses de mes lvres et de ma langue. Grard a pris ma main pour la poser doucement sur le ventre chaud et tremblant de

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    Marianne. Je me souviens que je tremblais autant quelle, tandis que mes doigts glissaient sur cette magnifique colline, descendant doucement vers le sommet de ses cuisses et son sombre buisson.

    Malgr lintensit des motions qui traversaient mon corps et mon esprit, ma queue tait tonnement sereine. Certes en veil, mais en mme temps paisible, comme si elle attendait un moment plus opportun pour se laisser emporter son tour. Marianne a doucement cart ses cuisses lorsque mes doigts se sont glisss le long de sa fente. Je me souviens encore de cette incroyable sensation, comme si je caressais un petit animal qui frmissait sous mes doigts. Entre les boucles brunes, je voyais briller ses chairs roses et mystrieuses qui tremblaient sous le passage de mes doigts. Jai regard Grard qui, un sourire anglique dessin sur le visage, contemplait le spectacle de sa femme se faisant doigter par un jeune puceau. Sans mme men rendre compte, mes doigts ont t avals par sa bouche gourmande, pour se retrouver pour la premire fois dans cette caverne brlante et inonde de liqueur que javais si longtemps fantasme.

    Le corps de Marianne ondulait, avanant son bassin le rencontre de mes doigts, les accueillant avec dlice entre