Le conseiller Renaissance

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PROFILS DE FONDS TRIMESTRIELS / GESTION DES PRATIQUES / PERSPECTIVES / OPINION T4 – 31 DÉCEMBRE 2014 Le conseiller Réservé à l’usage des conseillers La grande déconnexion Les attentes des investisseurs et la réalité des portefeuilles

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La grande déconnexion

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PROFILS DE FONDS TRIMESTRIELS / GESTION DES PRATIQUES / PERSPECTIVES / OPINION T4 – 31 DÉCEMBRE 2014

Le conseiller

Réservé à l’usage des conseillers

La grandedéconnexionLes attentes des investisseurs et la réalité des portefeuilles

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Les clients qui ont des sommes plus importantes à investir méritent un effort supplémentaire. Renaissance offre une gamme d’options à tarification avantageuse pour les placements à revenu fixe et les produits de revenu tout-en-un qui stimulent la croissance des portefeuilles à long terme.

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CEUX QUI SE CONTENTENT DE DEMI-MESURES NE FONT PAS

L’HISTOIRE.Tarification avantageuse de 58 pb en moyenne1

MDInvestissements Renaissance est offert par Gestion d’actifs CIBC inc. et est une marque déposée de celle-ci.1 Pour les fonds Renaissance de catégorie Plus. Le RFG a été annualisé au 31 août 2014 tel qu’indiqué dans le rapport intermédiaire de la direction sur le rendement des fonds de Investissements Renaissance. Le gestionnaire a renoncé à des frais de gestion ou a absorbé des dépenses d’exploitation, ce qui a réduit le RFG. Pour connaître le RFG ajusté, c’est-à-dire ce qu’il aurait été si le gestionnaire n’avait pas renoncé à des frais de gestion ou n’avait pas absorbé des dépenses d’exploitation, consultez les Rapports annuels de la direction sur le rendement du Fonds. La décision de renoncer à des frais de gestion ou d’absorber des dépenses d’exploitation est examinée chaque année et prise à la discrétion du gestionnaire; cette pratique peut se poursuivre indéfiniment ou cesser à tout moment. Les placements dans les fonds communs de placement peuvent faire l’objet de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres charges. Veuillez lire le prospectus simplifié de la famille des fonds d’Investissements Renaissance avant d’investir. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur varie fréquemment et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement futur.

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Dans ce numéroPAGE

Planification fiscale et successorale 3Utilisation des comptes enregistrés pour mettre à l’abri le revenu fixe à imposition élevée

Perspectives économiques 4Les cinq principaux thèmes de 2015

À l’endos de la serviette 6Accumulation d’actifs : les secrets des conseillers de haut vol Partie 3

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Solution clé de placement 12Montrez aux clients les avantages des prêts à taux variable

Merci à ceux qui nous 13ont offert leur soutienSoyez le partisan de votre client

Lentement, mais sûrement 14

Pour un cerveau en pleine forme 17

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De la directrice gestionnaire de l’équipe des ventes Renaissance

Voici le numéro du quatrième trimestre de 2014 du conseiller Renaissance. La plupart d’entre vous me connaissent, mais c’est ma première collaboration à ce magazine à titre de chef de l’équipe des ventes d’Investissements Renaissance. Je me réjouis d’approfondirnos partenariats et de consolider la confiance que vous nous portez en tant que fournisseur de services privilégié.

La confiance est un élément clé de toute relation mutuelle, y compris les relations avec la clientèle. Mais comment inspirer confiancelorsque les investisseurs canadiens se méfient des marchés, craignent par-dessus tout de perdre leur capital et investissent de manière tropprudente pour atteindre leurs objectifs à long terme? Les résultats d’un récent sondage commandité par Gestion d’actifs CIBC permettentde conclure qu’il est essentiel de répondre à cette question pour renforcer la satisfaction de la clientèle et les relations qui la sous-tendent.

Notre article de fond, intitulé La grande déconnexion : les investisseurs ont des attentes plus élevées à l’égard de leur portefeuille que ce qu’il peut leur offrir, peut vous aider à lever les préoccupations des investisseurs d’aujourd’hui. Il présente les résultats de notre sondageet les recommandations éclairées de MM. Luc de la Durantaye et Grant Shorten. Pour vous préparer avant un entretien avec un client, M. Shorten vous propose un mini-guide en 7 étapes pour informer les clients sur le ratio risque-rendement.

Et lorsque les clients seront prêts à prendre davantage de risques, rappelez-vous qu’Investissements Renaissance offre une gamme de solutions pour chaque niveau de risque. Les Portefeuilles optimaux Renaissance sont des solutions complètes qui offrent aux investisseursla possibilité d’obtenir un revenu, de profiter de l’appréciation du capital et de gérer la volatilité.

Ailleurs dans ce numéro : Jamie Golombek propose un moyen d’optimiser l’épargne-retraite enregistrée, Benjamin Tal expose les cinqprincipaux thèmes économiques de 2015 et Grant Shorten explique comment tirer parti des activités de réseautage.

Nous vous remercions de votre collaboration. N’hésitez pas à nous faire part de vos commentaires.

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Shelly McLeanDirectrice gestionnaire, Ventes nationalesInvestissements Renaissance

Des relations avec la clientèlefondées sur la confiance

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www.investissementsrenaissance.ca/fr/jamie_golombek/

Un récent sondage commandité par Gestion d’actifs CIBC montre qu’enmatière de rendement, les attentes et les portefeuilles des investisseurscanadiens ne concordent pas. Près de la moitié des investisseurs mentionnentque leur objectif principal est la croissance, et un tiers estiment avoir besoind’un rendement annuel d’au moins 6 %. Pourtant, nombre d’investisseursplacent leurs avoirs dans des CPG, des comptes d’épargne et des placementsgarantis, tous des placements à faible rendement.

En fait, plus la volatilité augmente sur le marché boursier, plus les investisseurstendent à se cantonner dans des placements prudents. Les répondants sont17 % à déclarer que la volatilité a influé sur leur plan d’investissement et 22 % de plus sont indécis à ce sujet. Parmi les investisseurs qui ont réagi à l’agitation des marchés, 56 % affirment qu’ils vont investir de manière plus prudente pour mieux protéger leur capital.

Or, les faibles rendements sur les placements prudents en titres à revenufixe risquent d’être encore grugés par les taux d’imposition élevés qui frappent les comptes non enregistrés. Les placements en titres à revenufixe, y compris les fonds obligataires, produisent un revenu d’intérêts imposé à un taux pouvant aller jusqu’à 50 %, selon le taux d’imposition marginal de l’investisseur et la province où il réside. C’est dire qu’un CPG offrant 2 % peut en réalité procurer à l’investisseur un rendement aprèsimpôt de 1 % seulement.

Pour maximiser leurs rendements à long terme après impôt, les clients peuvent s’intéresser non seulement à la répartition de l’actif, mais aussi aumécanisme qui abrite leurs avoirs – c’est-à-dire au type de compte danslequel leurs avoirs sont détenus.

Le budget fédéral de 2008 prédisait que « l’utilisation croissante des CELI aucours des 20 prochaines années, combinée à celle des régimes enregistrésexistants, permettra à plus de 90 % des Canadiens de détenir la totalité de leurs actifs financiers dans des mécanismes d’épargne fiscalement avantageux. » Et les clients auraient tort de ne pas profiter au maximum de ces mécanismes.

Pour 2015, le plafond de cotisation au compte d’épargne libre d’impôt (CELI)est de 5 500 $. L’investisseur qui avait au moins 18 ans en 2009 et n’a jamais cotisé à un CELI dispose d’un plafond de cotisation de 36 500 $.

La plupart des Canadiens savent que le revenu de placement gagné dans unCELI sera complètement exonéré d’impôts, ce qui leur permet de profiter leplus possible des rendements de leur portefeuille.

Ce que les investisseurs ignorent souvent, c’est que le même avantage peut être obtenu au moyen d’un placement dans un régime enregistré d’épargne-retraite (REER) si le taux d’imposition marginal de l’investisseurest le même l’année de la cotisation et l’année du retrait. Cette caractéristiquedes REER a été démontrée dans un article paru dans le numéro précédent etintitulé L’aveuglant remboursement. De plus, pour l’investisseur dont le tauxd’imposition marginal baissera après son départ à la retraite, il est possibleque le rendement d’un REER après impôt soit encore supérieur. Pour 2015, le plafond de cotisation à un REER est de 24 930 $, moins tout facteurd’équivalence; pour cotiser à hauteur de ce maximum, il faut avoir gagné au moins 138 500 $ en 2014.

Assurez-vous donc qu’en 2015 les clients profiteront au maximum de leurscotisations à un régime enregistré.

PLANIFICATION FISCALE ET SUCCESSORALE

Twitter @JamieGolombek

Jamie Golombek est directeur gestionnaire, Planification fiscale et successorale pour legroupe Gestion privée de patrimoine CIBC. Il collabore étroitement avec les conseillerspour les aider à offrir des solutions intégréesde planification financière aux clients à valeurnette élevée. M. Golombek est fréquemmentprésenté par les médias comme un spécialiste de la fiscalité.

Utilisation des comptes enregistréspour mettre à l’abri le revenu fixe à imposition élevée

*Les résultats indiqués dans le présent document sont tirés d’un sondage effectué par Léger sur le Web du 21 au 25 novembre 2014 auprès d’un échantillon représentatif de 1 505 Canadiens francophones ou anglophones âgés de 18 ans ou plus, qui ont un portefeuille de placements en vue de la retraite. À l’aide dedonnées de Statistique Canada, les résultats ont été pondérés selon le sexe, l’âge, la région, la langue parléeà la maison, le niveau d’étude et la présence ou non d’enfants dans le ménage, ce qui garantit la représentativitéde l’échantillon par rapport à l’ensemble de la population étudiée.

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Les cinq principauxthèmes de 2015

PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES

1. L’économie mondiale dépassera les attentes

La politique monétaire a été assouplie dans de nombreux pays; les prix du pétroleont chuté de façon spectaculaire et une multitude d’économies sont stimuléespar la faiblesse de leur monnaie. La Banque du Japon a accru son bilan de façonimportante, tandis que la Banque centrale européenne a annoncé une série demesures d’assouplissement et annoncera sans doute une nouvelle hausse de la cible d’expansion de son bilan et de ses achats d’obligations souveraines en janvier.

L’incidence de ces mesures se manifestera principalement au cours de la deuxième moitié de 2015. Ajoutons à cela l’effet positif de la baisse des prix dupétrole sur la croissance mondiale et l’affaiblissement notable du yen et de l’eurotout comme celui de plusieurs autres monnaies, et il existe de bonnes raisonsd’être un peu plus optimiste à l’égard de 2015. Le marché ne fera pas abstractionde l’ampleur exceptionnelle des mesures de stimulation. Il est très raisonnablede supposer que les marchés boursiers d’Europe et du Japon réagiront demanière positive à ces mesures de stimulation; nous pourrions même constaterune modeste pression à la hausse sur les taux des obligations à long terme.

2. Reprise autosuffisante aux États-Unis

Il est vrai que le dollar américain a nettement progressé au cours des six derniersmois, mais étant donné que leurs exportations ne représentent que 14 % du PIB(la moitié de la moyenne des pays membres de l’OCDE), les États-Unis, à biendes égards, constituent toujours un territoire isolé d’un point de vue économique.

L’activité est vigoureuse au sein de l’économie nationale, notamment grâce à lacroissance importante du taux de création d’emplois. En 2015, l’accroissement ducrédit servira probablement de pierre d’assise à la prochaine étape de la reprise.Puisque les taux de défaillance dans le secteur bancaire sont redescendus à leurniveau d’avant la récession et qu’il existe encore une demande de crédit refouléesubstantielle, il faut s’attendre à une accélération du rythme de croissance ducrédit aux États-Unis.

3. Prendre des positions acheteur sur l’énergie?

Il est impossible de prévoir l’évolution des prix du pétrole dans les prochainsmois. L’offre excédentaire à l’échelle mondiale atteindra son sommet au premiertrimestre de 2015, et l’exploitation du pétrole de schiste ne ralentira pas dans lessix prochains mois puisque la plupart des acteurs du secteur sont adéquatementfinancés pour cette période. Par conséquent, tout ajustement notable du marchéau comptant ne deviendra bien visible que pendant la seconde moitié de 2015.Par conséquent, est-il raisonnable de présumer que d’ici 12 à 18 mois, les prix du pétrole seront plus élevés? Soulignons que l’éventuelle amélioration des valorisations dans le secteur de l’énergie n’affichera pas une trajectoire linéaire.La plus grande partie de cette amélioration surviendra pendant la première étaped’un redressement des prix.

« certains placements cotés BB offrant encore une emprise sur le cycle d’affaires ainsi qu’unediminution relative de la duration... »

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États-UnisMoyenne de l’OCDE

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Source : Banque mondiale, Banque CIBC%

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Janv. 2014 Mars 2014 Mai 2014 Juil. 2014 Sept. 2014 Nov. 2014

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Le taux de change effectif a chuté

Source : Eurostat, Bloomberg, Banque CIBC

Pourcentage des exportations dans le PIB

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www.renaissanceinvestments.ca/en/economy/www.investissementsrenaissance.ca/fr/

De plus, la déconfiture pétrolière mettra le secteur de l’énergie sous pression.Mais c’est également l’occasion d’accéder à des actifs qui demeurent plus oumoins indifférents à la chute du pétrole et dont l’avenir est plus brillant grâce à la baisse des prix de l’énergie. Les investisseurs devraient s’intéresser à certainsplacements cotés BB offrant encore une emprise sur le cycle d’affaires ainsiqu’une diminution relative de la duration, car c’est le début de la prochaine étapede la reprise économique et celle-ci entraînera un resserrement des politiquesmonétaires.

4. Changement de la donne au Canada

Même si les prix du pétrole augmentent un peu par rapport à leur niveau actuel,leur déclin spectaculaire transforme la conjoncture économique au Canada. L’effet net de la baisse des prix du pétrole jusqu’à présent réduira probablementde 0,3 % à 0,5 % la croissance du PIB en 2015. L’Ouest – surtout l’Alberta – serala principale victime; nous prévoyons que cette région subira un ralentissementéconomique notable, voire une correction du marché de l’habitation. En revanche,l’Ontario et le Québec bénéficieront en fait de la diminution des prix du pétrole. À la marge, ce changement de conjoncture améliorera aussi les perspectives dusecteur manufacturier au Canada. La combinaison d’une économie américainevigoureuse, du recul du dollar canadien et d’une importante amélioration de laproductivité entraîne déjà une croissance de l’activité manufacturière canadienne.

La baisse des prix de l’énergie (en premier lieu du gaz naturel) contribuera aussi à cette tendance.

5. Relèvement des taux d’intérêt, mais pas tous au même rythme

Actuellement, il semble que la Réserve fédérale américaine prévoie commencerà relever les taux d’intérêt en juin 2015. Il peut se produire beaucoup de changements d’ici là, mais c’est ce qui est prévu pour l’instant. Soulignons que laRéserve fédérale est exposée au risque de relever les taux d’intérêt trop tôt (ou defaçon exagérée) ou trop tard (ou de façon insuffisante). Sur le plan de la gestiondu risque, la meilleure approche pourrait consister à augmenter rapidement letaux des fonds fédéraux jusqu’à environ 1 % avant de prendre une pause. À cestade-ci, le marché prévoit un rythme de hausse des taux d’intérêt encore plusfaible. Par conséquent, il est possible qu’on enregistre une progression des tauxde rendement des obligations à moyen terme (disons pour les échéances de 2 à 5ans) pendant le premier trimestre de l’année. En ce qui concerne la Banque duCanada, le déclin des prix du pétrole a rendu inutile toute hausse prochaine destaux d’intérêt. En fait, l'institution a réduit le taux à un jour à 0,75 % en janvier,facteur évidemment négatif pour le dollar canadien.

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Kg d'équivalent pétrole par habitant (2012)

« En ce qui concerne la Banque du Canada, ledéclin des prix du pétrole a rendu inutile toutehausse prochaine des taux d’intérêt.»

Source : Banque mondiale, Banque CIBC

Benjamin Tal est économiste en chef adjoint à la Banque CIBC. Désigné comme l’un des principaux experts canadiens du marché immobilier par le Fonds monétaire international,il est responsable de l’analyse de l’actualitééconomique et de ses répercussions sur lesmarchés nord-américains des titres à revenu fixe, des actions, des changes et des produits de base.

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Accumulation d’actifs : les secrets des conseillers de haut volPartie 3 – L’efficacité du réseautage

À L’ENDOS DE LA SERVIETTE

Il se passe quelque chose de magique quand on ex-plore l’esprit de ceux qui excellent dans un domained’expertise. Nous pouvons systématiquement établirun modèle de leur excellence en découvrant leursvaleurs, leurs croyances, leurs méthodes et leurs ap-proches personnelles.

Dans cette série en trois parties, nous découvrirons comment certains desconseillers les plus performants arrivent invariablement à trouver des clientspotentiels et à accumuler des actifs à un rythme supérieur à la moyenne.

Le plus frappant, c’est que les méthodes des conseillers de haut vol n’ontsouvent rien de remarquable ou d’étonnant, ni même de particulièrementcréatif. Ce qui distingue les accumulateurs d’actifs efficaces de la moyenneest la maîtrise de l’essentiel!

Ils considèrent leur temps et leurs ressources comme précieux et il est primordial d’éviter de les gaspiller dans des activités de marketing à faibleimpact. Ils préfèrent se concentrer sur deux ou trois tactiques de prospectionà impact élevé.

Les conseillers de haut vol savent que le marché a changé. Même s’ils ont probablement utilisé des méthodes conventionnelles au début de leurs activités, ils reconnaissent que pour réussir aujourd’hui il faut recourir aumarketing de bouche à oreille, au contact en personne et aux présentationset recommandations personnelles. Les méthodes spécifiques de chacun peuvent varier, mais trois arrivent toujours en tête :

Cette troisième partie de la série porte sur :

« L’EFFICACITÉ DU RÉSEAUTAGE »

L’efficacité du réseautage

Les réseaux personnels sont l’essence même de la vente. C’est probablementle mode de marketing le plus basique qui soit; et pourtant, c’est l’une desfaçons les plus sûres d’entrer en contact avec des clients potentiels et denouer des relations à long terme.

Ce qui pose problème à certains conseillers et les pousse si souvent à abandonner les activités de réseautage, c’est la nécessité de tirer profit de ladynamique issue du réseautage. Le conseiller de haut vol, lui, sait que chaquecomposante de son activité de réseautage exige une exécution précise.

Examinons de plus près chacune de ces composantes.

La première impression

L’effet initial qu’on produit lors d’une activité de réseautage est capital. Les recherches laissent entendre qu’il suffit d’un dixième de seconde pourlaisser une première impression durable à quelqu’un. Et une fois cette impression formée, il est pratiquement impossible de la défaire! Voilàpourquoi il est essentiel de se démarquer en se montrant sûr de soi,chaleureux, professionnel et digne de confiance. Les experts en réseautageconnaissent l’importance de se préparer en vue d’événements, puis d’exhibertous les éléments nécessaires pour laisser une première impression durable.Étant donné la fraction de seconde dont nous disposons, ces éléments serontd’abord essentiellement visuels :

• Posture confiante et langage corporel expressif

• Tenue appropriée

• Sourire cordial et expression engageante

• Poignée de main parfaite (fermeté équivalente, paume vers le haut,contact visuel)

Une fois que vous avez laissé une première impression positive, vous pouvezpasser à l’élément suivant.

La puissance des alliancesstratégiques

Tirer parti des activités clientèle en petit comité

L’efficacité du réseautage

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www.investissementsrenaissance.ca/fr/

Établissement instantané d’un rapport

La capacité de nouer instantanément un rapport avec des inconnus est undon rarement spontané. Heureusement, c’est un art qui s’acquiert assezfacilement. Un rapport s’établit parfois naturellement lorsque deux personnesse découvrent des affinités mutuelles. Mais les experts en réseautage sontcapables d’aiguiser ce phénomène au moyen des techniques suivantes :

1. Découvrir et mettre en valeur des intérêts communs

Nul besoin d’avoir fait un doctorat pour savoir qu’on peut fonder une relationsur des intérêts partagés. Mais on oublie trop souvent l’importance de semontrer proactif dans ce processus. Pour créer un lien plus étroit avec votreinterlocuteur, recherchez par votre conversation les intérêts que vous avez encommun avec lui et misez dessus. Les intérêts communs peuvent porter surn’importe quoi – le cinéma et les loisirs, ou la santé et la forme physique,voire quelque chose de plus ésotérique.

2. S’identifier à son interlocuteur et partager ses idées

Vous pouvez resserrer le rapport noué avec votre interlocuteur en vous identifiant ouvertement à lui et en montrant que vous êtes d’accord avec lui.Il ne s’agit pas d’approuver aveuglément tout ce qu’il dit! Si ses propos sontcontraires à vos valeurs, vous mineriez rapidement votre propre estime.Utilisez plutôt abondamment des expressions comme « je suis entièrementd’accord » lorsque vous découvrez des idées, des notions ou des tendancesphilosophiques qui correspondent clairement aux vôtres.

3. Adapter son style de communication

Il va sans dire que nous sommes naturellement attirés par des personnes qui nous ressemblent. La familiarité s’installe rapidement. Les maîtresréseauteurs prennent le contrôle de ce phénomène et utilisent la puissancede la réverbération, de l’appariement, du rythme et de l’influence. Utiliséesconvenablement, ces techniques permettent d’établir rapidement des rapports. Le concept est le suivant :

Adoptez une posture et une gestuelle semblables à celles de votre interlocuteur. Soyez subtil dans votre approche : votre interlocuteur ne doitpas penser que vous le copiez ou le ridiculisez. Haussez ou baissez le tonpour l’ajuster à celui de votre interlocuteur. Vous pouvez même ajuster votredébit pour l’adapter au sein et réutiliser certains de ses mots clés plus loindans l’entretien. Harmonisez votre état d’esprit général au sien et amenez-legraduellement à une plus grande réceptivité.

Ces techniques sont tellement puissantes qu’on leur reproche de verser dans la manipulation. Pourtant, nous faisons tous appel à un large éventaild’options et de possibilités lors de nos communications, et c’est souventnotre propre état d’esprit ou notre environnement du moment qui déterminent notre style.

Par exemple :

Notre communication avec un ami lors d’un barbecue est fort différentede celle que nous avons avec notre supérieur au travail ou avec un inconnu lors d’une réception... Et pourtant, nos différents « styles » nous paraissent tous parfaitement légitimes.

Adopter la vision du monde d’une autre personne est souvent le compliment le plus flatteur qu’on puisse lui faire. En vous adaptant àvotre interlocuteur, vous l’aiderez à relaxer et à se sentir à l’aise, et vous transmettrez plus efficacement votre message.

Modifier la chimie cérébrale

Chaque fois que nous parlons à une autre personne, nous modifions sachimie cérébrale par les mots mêmes que nous choisissons. La puissancedes mots est remarquable : ils créent instantanément des images dans l’esprit du destinataire et modifient son état émotif. Les activités de réseautage sont l’occasion de moduler et d’orienter le discours pour atteindreun résultat précis. Les experts en réseautage développent une habileté « naturelle » à choisir leurs mots avec soin, à en éradiquer la négativité et àtenir un discours édifiant, inspirant et stimulant. Lorsqu’une personne resteavec un sentiment positif à la fin d’une conversation, elle en conserve uneimpression durable et se montre disposée à poursuivre la relation.

Poursuivre la relation et faire un suivi

La dernière étape du réseautage consiste à faire progresser la relation. Si la conversation le justifie, demandez une carte professionnelle ou des coordonnées en vue de faire un suivi après l’événement. Faites ce premiersuivi dans les 24 à 48 heures après l’activité de réseautage : de cette façon,le contact est maintenu. Ce suivi peut être bref – courriel, appel téléphoniqueou note manuscrite exprimant de la gratitude – mais doit contenir une incitation à l’action. Invitez votre interlocuteur à un autre événement ou àprendre un café avec vous, ou posez-lui des questions appelant une réponse.Parfois, le simple fait d’amener quelqu’un à réagir une fois peut déclencherla mise en place d’un nouvel ensemble de comportements.

Définissez de manière limpide votre marché cible, puis trouvez des moyenscréatifs de passer du temps avec les personnes visées. Au fur et à mesureque nous reproduisons les valeurs, les croyances et les approches desmeilleurs réseauteurs, nous découvrons qu’ils fonctionnent généralementavec une seule et unique ligne directrice : la recherche des possibilités d’offrir un « deuxième avis ».

Grant Shorten est directeur, Analysesstratégiques à Investissements Renaissance.Il donne une foule de conseils et de stratégiesqui seront efficaces auprès de vos clients et qui auront une incidence immédiate sur vos activités.

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Les investisseurs ont des attentes plus élevées à l’égard de leur portefeuille que ce qu’il peut leur offrir

LA GRANDE DÉCONNEXION

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Mais voici où le bât blesse : 42 % des mêmes investisseurs détiennent principalement des CPG, des comptes d’épargne ou d’autres placementsgarantis et prévoient conserver ces placements. Et 40 % d’entre eux qui investissent dans des placements garantis à faible taux précisent qu’ils ont besoin d’un rendement annuel de 4 % ou plus pour répondre à leurs objectifs de placement. En réalité, il faudrait que les taux d’intérêt s’élèventénormément par rapport aux niveaux actuels pour que ces investisseurs obtiennent le rendement souhaité.

Voici ce qu’a déclaré Luc de la Durantaye, directeur gestionnaire, Répartitionde l’actif et gestion des devises à Gestion d’actifs CIBC : « La Banque duCanada restera prudente en maintenant les taux d’intérêt au plus bas possibleà cause du ralentissement de la croissance et du recul de l’inflation. » La Banque du Canada a réduit son taux à un jour à 0,75 % en janvier, le premier changement de taux depuis septembre 2010.

Ce n’est pas demain la veille qu’il montera jusqu’à 6 %. Pour obtenir les résultats escomptés, les investisseurs doivent accroître le risque de leurportefeuille. Qu’est-ce qui les empêche donc de se tourner vers des placements plus conformes à leurs objectifs à long terme?

Les craintes et l’incompréhension

Le sondage mené par Gestion d’actifs CIBC a révélé que 67 % des personnes interrogées qui évitent les placements à rendement élevé le font par crainte de subir des pertes en capital. Les autres, en particulier lesjeunes investisseurs, ne connaissent tout simplement pas d’autres optionsque les placements garantis : c’est le cas de 27 % des investisseurs de 25 à 34 ans. Et un petit nombre d’investisseurs estiment que les placementsnon garantis sont trop compliqués ou trop coûteux.

Comme l’affirme Grant Shorten, directeur, Analyses stratégiques à Investissements Renaissance : « En tant que spécialistes des placements,notre priorité doit être de détecter les émotions qui s’emparent des investisseurs, de reconnaître leur légitimité et de nous ajuster en conséquence. Nos clients de confiance ont besoin que l’on reconnaisse ouvertement leurs émotions et qu’on leur dise que leur réaction, quellequ’elle soit, est complètement logique et justifiée. »

Les craintes des investisseurs sont alimentées par les pertes déjà essuyées.

M. Shorten suggère que « les conseillers pourraient utiliser l’effondrementde 2008 comme base pour instruire nos clients et restaurer leur confiancedans le système financier. C’est normal que les investisseurs aient besoind’être rassurés avant de se voir offrir des placements plus à même de leurpermettre d’atteindre leurs objectifs à long terme. »

« Si nous étudions la crise de 2008 ou la bulle des entreprises point-com de2000, ou encore l’effondrement boursier de 1987, ou la crise du pétrole, oumême la débâcle de 1929... Les marchés boursiers finissent toujours par serelever, souvent pour atteindre des sommets encore jamais vus : il y a là devéritables occasions de créer de la richesse. »

M. Shorten invite les conseillers à démontrer à leurs clients combien de moisil a fallu aux marchés pour se redresser par le passé : « C’est un exercicerassurant et révélateur pour nombre d’investisseurs inquiets. »

Les marchés boursiers se relèvent toujours

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Grippe asiatique

11 septembre

Baisse : -11,7 %1 an plus tard : 29,2 %

Baisse : -11,5 %1 an plus tard : -3,2 %

Effondrement deLehman Brothers

Décote desÉtats-Unis

Baisse : -25,8 %1 an plus tard : 22,3 %

Baisse : -8,9 %1 an plus tard : 4,9 %

Indice composé S&P/TSX Indice MSCI mondialIndice S&P 500

Source : Morningstar Research Inc. Tous droits réservés. Les renseignements contenus ci-dessus : 1) sont lapropriété de Morningstar et (ou) de ses fournisseurs de contenu, 2) ne peuvent être ni copiés ni diffusés et 3) peuvent ne pas être exacts, complets ou à jour. Morningstar et ses fournisseurs de contenu ne peuvent êtretenus responsables de toute perte ou de tout préjudice résultant de l’utilisation de ces renseignements. Lesrendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. Les rendements sont libellés dans la monnaiede base de l’indice.

Les portefeuilles sont-ils positionnés pour produire la croissance que les investisseurs attendent d’eux? D’après un sondage effectué pour le compte de Gestion d’actifs CIBC, 46 % des investisseurs canadiens déclarentque leur principal objectif de placement est la croissance :ils n’ont pas besoin de leur argent dans l’immédiat et investissent à long terme. Ils s’attendent à une croissanceimportante, d’ailleurs : 36 % d’entre eux estiment qu’il leurfaut un rendement annuel de 6 % ou plus.

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L’incertitude est la nouvelle certitude

Pour certains clients, la récente volatilité a des airs de déjà-vu. Parmi les investisseurs qui ont réagi à la volatilité boursière, la plupart (56 %) disentqu’ils vont investir de manière plus prudente. Mais comme l’explique M. de la Durantaye, « la situation actuelle est très différente de celle de 2008,lorsque l’endettement excessif a provoqué la crise du système financier quel’on sait. L’endettement a été considérablement réduit depuis. »

« La situation actuelle est très différente de celle de 2008, lorsque l’endettement excessif a provoquéla crise du système financier que l’on sait. »

« La volatilité des marchés des derniers mois est un phénomène plutôt normal,mais elle peut paraître inhabituelle parce que les marchés des capitaux ontété exceptionnellement stables durant la dernière année », ajoute-t-il. PourM. de la Durantaye, la correction boursière donne l’occasion d’acheter desactions. « Selon le marché ou le secteur mondial en cause, la correction a ramené les actions sous leur juste valeur et créé des occasions d’achat plusintéressantes », conclut-il.

Le moment est venu de prendre plus de risques

Malgré l’état actuel du marché, pour M. de la Durantaye les actions sont lacatégorie d’actif la mieux positionnée pour procurer de solides rendements. « Étant donné les rendements plus modestes des actions et le potentiel limitéde hausse des taux obligataires, les actions devraient continuer de surpasserles obligations, mais l’écart sera moindre qu’au cours des 12 derniers mois.Nos portefeuilles continuent de surpondérer les actions avec prudence et nousprévoyons que les mesures des banques centrales favoriseront l’expansionéconomique et produiront une croissance durable des bénéfices. »

« Nos portefeuilles continuent de surpondérer lesactions avec prudence et nous prévoyons que les mesures des banques centrales favoriserontl’expansion économique et produiront une croissance durable des bénéfices. »

En conclusion, comment convaincre vos clients d’investir? Voici le conseil deGrant Shorten : « Évitez à tout prix de tomber dans le discours scientifique et logique du monde des placements boursiers, de la répartition de l’actif etdes principes de prudence et de diversification. Exposez plutôt votre manièrede travailler avec vos clients pour leur redonner espoir et confiance, comptetenu des formidables occasions qui s’annoncent. »

Il n’est pas nécessaire d’amener vos clients à transférer tous leurs actifs dès maintenant. Ils peuvent commencer doucement. M. Shorten précise : « Suggérez à votre client de diviser ses actifs à investir en deux parts,comme 75 % de “placements sérieux” et 25 % de “placements de l’espoir.”Pendant plusieurs mois par la suite, conservez les “placements sérieux” dans des instruments garantis et prudents, et constituez un portefeuille de “placements de l’espoir” constitué d’actions bien diversifiées. »

7 ÉTAPES POUR INSTRUIRE LES CLIENTSSUR LE RISQUE ET LE RENDEMENT

PASSEZ en revue le plan financier complet de votreclient pour lui rappeler ses objectifs de retraite.

RAPPELEZ à votre client la répartition actuelle deson actif et la liste de ses placements.

RAPPELEZ-LUI aussi l’objectif de placement qu’il a lui-même formulé – par exemple, obtenir unecroissance de 6 à 8 % par an.

MONTREZ-LUI un graphique des taux de rendement historiques à long terme par catégoried’actif, et positionnez ses propres placements sur ce graphique. (Consultez le Portrait global sur notresite Web.)

SOULIGNEZ l’écart flagrant qui existe entre les attentes de votre client et la probabilité d’obtenir la croissance désirée au moyen de la répartitionactuelle de son portefeuille et sa composition.

EXPLIQUEZ que la faiblesse actuelle des tauxn’avait encore jamais été vue auparavant et qu’il est peu probable que le contexte change beaucoupdans les prochaines années.

CONCLUEZ votre entretien en déclarant tout net à votre client qu’il doit se résoudre à abaisser considérablement ses attentes... ou à admettrel’idée d’intégrer à son portefeuille un compartimentbien plus important d’actions bien diversifiées,choisies avec soin et procurant un rendement élevé.

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Grant Shorten

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69 %

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Les résultats indiqués aux présentes sont tirés d’un sondage effectué par Léger sur le Web du 21 au 25 novembre 2014 auprès d’un échantillon représentatif de 1 505 Canadiens francophones ou anglophonesâgés de 18 ans ou plus qui détiennent un portefeuille de placements en vue de la retraite. À l’aide de données de Statistique Canada, les résultats ont été pondérés selon le sexe, l’âge, la région, la langueparlée à la maison, le niveau d’études et la présence ou non d’enfants dans le ménage, ce qui garantit la représentativité de l’échantillon par rapport à l’ensemble de la population étudiée.

Les investisseurspréfèrent toujours les placements canadiens

Les femmes sont plus prudentes que les hommes dans leurs placements

Au Canada, les jeunes se trompent sur ce qu’il faudra pour qu’ils atteignentleurs objectifs de placement

• Parmi ceux qui investiront principalement dans des actions,les deux tiers (69 %) prévoientchoisir des actions canadiennes.

• C’était pratiquement le mêmenombre en 2014 (68 %).

• La majorité des femmes (52 %) parmi les répondants investissent dans des CPG, comparativement à 32 % des hommes.

• La volatilité boursière a influencé les investisseuses : 65 % des femmes déclarent que la récente volatilité desmarchés les incitera à faire preuve de plus de prudence.

• Les Canadiens de 18 à 24 ans sont plus portés à déclarer qu’ils auront besoin d’un rendement annuel de 2 % à 4 % pour atteindre leurs objectifs de placement (27 %, contre 14 % pour la moyenne nationale).

• La volatilité récente a modifié les plans des jeunes Canadiens en matière de placement pourles mois à venir (28 %, contre 17 % pour lamoyenne nationale).

Sondage de 2015 auprès des investisseurs de Gestion d’actifs CIBC – Autres conclusions

Communiquez avec votre représentant Renaissancepour obtenir l’infographie du Sondage auprès des investisseurs de GAC. Ses illustrations appuieront à merveille vos entretiens avec vos clients.

Luc de la Durantaye, Gestion d’actifs CIBC Balado > Trois bonnes raisons de réduire vos placements américains

Craig Jerusalim, Gestion d’actifs CIBC Balado > En 2015, éloignez-vous des matières premières

Patrick O’Toole, Gestion d’actifs CIBC Balado > Belle année en vue pour les obligations nord-américaines

Scott Vali, Gestion d’actifs CIBC Balado > Il n'y a pas que le pétrole dans les matières premières

Présenté par Investissements Renaissance

Écoutez de courts balados de ces experts de Gestion d'actifs CIBC.www.conseiller.ca/endirect

GESTIONNAIRESEnDirectA Accédez aux experts quand vous le voulez

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Montrez aux clients les avantages des prêts à taux variable

SOLUTION CLÉ DE PLACEMENT : LE NOUVEL OUTIL EN LIGNE SUR LES PRÊTS À TAUX VARIABLE RENAISSANCE

Une hausse des taux risque de gruger une bonne part de la valeur destitres à revenu fixe des clients... mais les prêts à taux variable peuventservir à en réduire l’incidence. Investissements Renaissance a mis aupoint un nouvel outil interactif en ligne pour vous aider à informer vosclients sur les avantages de cette catégorie d’actif.

Cet outil explique de manière visuelle :

• comment les taux d’intérêt actuels avoisinent les plus bas niveaux jamais vus et augmenteront tôt ou tard;

• pourquoi une hausse des taux d’intérêt représente un risque pour les placements en titres à revenu fixe traditionnels;

• comment, par le passé, le rendement de la catégorie des prêts à taux variable a surpassé celui des placements à revenu fixe traditionnels en période de hausse des taux;

• comment l’intégration de cette catégorie d’actif dans un portefeuilleéquilibré standard peut en améliorer le profil risque-rendement.

Communiquez avec votre représentant d’Investissements Renaissance pour en savoir plus.investissementsrenaissance.ca1-888-888-3863

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Le Fonds de revenu à taux

variable Renaissance offre à vos clients un moded’accès à cette catégorie d’actif avantageuse.

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Soyez le partisan de votre client

MERCI À CEUX QUI NOUS ONT OFFERT LEUR SOUTIEN

Sans le soutien de conseillers comme vous, InvestissementsRenaissance n’aurait pas le privilège d’aider tant de Canadiensà atteindre leurs objectifs financiers. Nous vous présentonsun des spécialistes exceptionnels avec qui nous sommes très fiers de travailler.

Qu’aimez-vous de votre secteur?

Les clients cherchent à obtenir des conseils de professionnels en qui ils ont confiance et qui prennent leur parti. Kathy Robertson, associée auxplacements, et moi sommes heureuses d’être les spécialistes appelées àseconder leur équipe.

Quelle est votre méthode personnelle pour établir de solides relationsavec la clientèle?

Nous menons des entretiens en personne au cours desquels nous écoutonsavec attention nos clients et leur prodiguons de bons conseils sur tous les aspects de leurs finances. Nous élaborons un plan, puis, ce qui est plus important encore, nous le mettons à exécution! Nous le réexaminons chaque année en concertation.

Quelles sont les principales préoccupations des clients et comment y répondez-vous?

Les clients s’inquiètent d’avoir assez d’argent. Pour être bien sûres de répondre à leurs interrogations, nous élaborons des plans financiers, nous lesréexaminons chaque année et nous les révisons lorsque c’est nécessaire. Decette façon, nous restons au courant des changements qui surviennent dans la vie de nos clients.

Les clients s’inquiètent aussi de traverser la prochaine baisse du marché sansy laisser leur chemise. Les portefeuilles de nos clients sont divisés en fonctionde leur destination première. La partie sur laquelle ils devront effectuer desponctions périodiques touche à peine aux actions et se trouve donc très peuexposée aux fluctuations de valeur sur le marché. Le reste de leurs placementscomprend des actions, mais les fluctuations n’affecteront pas leur mode de vieau quotidien. Cela dit, nous récoltons la croissance quand elle se présente. Cesdernières années, nous avons beaucoup récolté et nous avons repositionné lesprofits de façon à nous protéger en cas de période plus difficile.

Sur quels secteurs ou thèmes de la planification financière ou desplacements entendez-vous vous concentrer davantage à l’avenir?

Notre entreprise est axée sur les clients; or, à mesure que ceux-ci prennent del’âge, leurs besoins évoluent. Ce que nos clients attendent de nous, c’estvraisemblablement que nous les aidions à se défaire de leur propre entrepriseet à transmettre leur richesse à la génération suivante. Notre équipe comptedes conseillers financiers possédant sept titres professionnels : nous sommesbien outillés pour répondre à la demande des clients.

Quel serait votre meilleur conseil pour acquérir de nouveaux clients?

Assurez un excellent service à vos clients actuels et collaborez en toute bonnefoi avec leurs comptables et leurs avocats. Un client satisfait amène de lui-même de nouveaux clients en vous recommandant autour de lui.

Quels sont vos passe-temps préférés?

Je raffole du yoga! Kathy préfère le golf et le hockey.

Quel est l’objet dont vous ne pouvez pas vous passer?

Mon BlackBerry. C’est la bouée de sauvetage qui me rattache au bureau. Kathy dépend davantage de sa montre, qui lui permet de respecter seséchéances et la maintient en alerte.

Société : Saunders Wealth Advisory Group de CIBC Wood Gundy

Emplacement : Charlottetown, Î.-P.-É.

Nombre d’années dans le secteur : 18

Nombre de personnes dans l’équipe : 3

CyrillaSaunders

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LENTEMENT, MAIS SÛREMENT

Vous vous entraînez en vue de courir un marathon, un demi-marathon ou une autre épreuve de fond? Partez du bon pied!

ET AUTRES RÉFLEXIONS SUR LA COURSE DE FOND

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Qui veut aller loin ménage sa monturePréparer votre corps à franchir en courant les 42,2 km d’un marathon « prend un certain degré de maturité, c’est un état d’esprit », déclare Smith.Ce dernier, qui entraîne des coureurs de tous les niveaux depuis plus de 20 ans, a lui-même fait de la compétition pendant près de 30 ans. L’épreuvedu marathon attire habituellement des coureurs déjà aguerris qui cherchentà se dépasser. L’entraînement commence généralement de 16 à 18 semainesavant l’épreuve, ce qui laisse le temps aux coureurs de « conditionner leurcorps au moyen d’un entraînement intelligent et efficace », affirme-t-il. Car c’est là la clé du succès : s’entraîner intelligemment.

Apprendre à marcher avant de courirCe n’est pas très fréquent, mais il arrive qu’une personne sans aucune expérience de la course vienne demander à Smith ses services dans l’espoirde courir un marathon. « D’habitude, dans ces cas-là, nous recommandonsl’adhésion à une clinique du coureur spécialisée. Ces cliniques permettentde relever les défis associés à la course au sein d’un groupe de mêmeniveau. » Les cliniques du coureur sont adaptées à des athlètes de tous les niveaux, et pas seulement aux marathoniens.

D’après Smith, le bon moment pour s’adresser à un entraîneur, c’est « aprèsque vous aurez couru une distance correspondant à la moitié de votre objectif. »Et soyons clairs : courir un demi-marathon ne veut pas dire s’entraîner à moitié.

Le sportif qui s’engage à toutes jambes dans un marathon sans entraînementsuffisant s’expose à bien d’autres avanies que le seul risque de se blesser

physiquement. Il s’expose aussi à un échec cuisant sur le plan émotionnel.Smith raconte qu’il a vu des athlètes se décourager et aller jusqu’à cessercomplètement de courir. « Le corps et l’esprit ont leurs limites. »

Hop! Et que ça saute!Le corps de chacun fonctionne à sa façon. C’est encore plus évident chez lesadeptes de la course de fond. Le principe de base de l’encadrement consisteà poser aux coureurs les questions qui leur permettront de découvrir pourquoiils n’obtiennent pas nécessairement les résultats escomptés. En plus demesurer la distance et la vitesse des coureurs, Smith leur propose une approche personnalisée qui s’appuie sur un logiciel maison. Le logiciel calculeet élabore un plan d’entraînement unique qui aboutit à la formulation derecommandations parfaitement adaptées à chacun. Fondées sur les objectifsdu coureur et les renseignements recueillis, ces recommandations précisentnotamment la fréquence idéale des entraînements, la meilleure façon de lesrépartir en fonction de l’emploi du temps du coureur, la distance à parcourir etle rythme à adopter. Certains organisent alors eux-mêmes leur entraînementen fonction de ce plan, tandis que d’autres préfèrent être encadrés pour lemettre en application. Les coureurs ont l’occasion de poser des questionspendant tout le processus.

Bien des gens pensent que l’entraîneur est là pour les motiver et les pousserà se dépasser; pour Smith, une grande partie de son rôle consiste plutôt à enseigner aux coureurs à se montrer moins exigeants envers eux-mêmes. « Les gens sont parfois trop stricts; ils suivent leur plan d’entraînement avec tellement de rigueur qu’il n’y a plus de place pour les aléas de la vie. » Il lui arrive souvent de les inviter à se détendre et à ralentir le rythme. « Un coureur est parfois son propre ennemi. »

Depuis 1997, la CIBCest le commanditaireprincipal de la Course à la vie CIBC de la Fondation canadiennedu cancer du sein.

Au début de chaque nouvelleannée, nous avons le réflexe de prendre de bonnes résolutions.

Cette décision ferme de faire ou de ne pas faire une chose ou uneautre dans le but de nous améliorer à long terme – et les objectifs desanté et de remise en forme figurent souvent en tête de liste. Nousnous entretenons ici de l’importance de l’entraînement à long termeavec Kevin Smith, président de Marathon Dynamics, entreprise torontoise qui propose aux coureurs des services d’encadrement. Aprèstout, l’entraînement lui-même est un marathon et pas un sprint.

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Cet événement d’un jour mobilise 65 collectivités du Canadaafin d’amasser des fonds pour sensibiliser la population et financer la recherche novatrice contre le cancer du sein et lesprogrammes d’éducation et de sensibilisation. Ensemble, nousavons recueilli 25 millions de dollars en 2014.¹ Les athlètes de toutes les catégories sont les bienvenus : vous pouvezmarcher, courir ou offrir vos services à titre de bénévole pourcontribuer à cette activité de financement et faire avancer leschoses. La Course à la vie CIBC est prévue pour le 4 octobre.N’oubliez pas de réserver cette date à votre agenda 2015!

CHAUSSURES – Achetez unebonne paire de chaussures de courseadaptées à votre voûte plantaire et àvotre foulée. Si vous ne savez pas bienlesquelles choisir, rendez-vous dans unmagasin spécialisé. Les chaussettesaussi sont importantes! Adoptez deschaussettes sans couture et quirespirent afin de prévenir les ampoules.

RÉCHAUFFEMENT – Prenez letemps de vous réchauffer et de vousétirer afin de stimuler votre circulation etde prévenir les blessures en renforçantvos articulations et vos muscles.

SOMMEIL – Assurez-vous de dormir7 ou 8 heures au moins les deux nuitsprécédant la course; évitez toute activitéfatigante la veille de l’événement. Vouspermettrez ainsi à votre corps de bienrécupérer et de fonctionner à sa capacité optimale!

ALIMENTATION – Déjeunez environ deux heures avant la course.Choisissez des aliments simples, énergétiques et faciles à digérer. N’oubliez pas de vous hydrater!

PLAISIR – Le sentiment de fierté que vous ressentirez en franchissant la ligne d’arrivée est sans pareil. Rappelez-vous les raisons qui vouspoussent à participer à la course etpuisez-y votre motivation. Profitez de lasatisfaction qui vous envahira après lacourse pour fixer votre prochain objectif.

¹http://cibccommunity.com/fr/traitements/cibc-run-for-the-cure/

CINQ FACTEURSÀ PRENDRE EN COMPTE :

Courir plus intelligemment Le fait d’avoir un entraîneur dans les parages est très instructif, car c’estsouvent lui qui attirera votre attention sur les petits détails. Smith précise :« Les entraîneurs voient des choses dont les coureurs eux-mêmes ne sont pas conscients et qui sont source de tension inutile. Certainscoureurs serrent les poings ou contractent les muscles du visage, par exemple. » L’entraîneur voit si le coureur estpenché lorsqu’il court, s’il se déhanche ou si sa foulée est trop longue.

Selon Smith, il est vrai que la forme physique estessentielle pour réduire le risque de blessure,mais ce n’est pas l’atout maître pour réussir unmarathon. Il concède : « Certes, c’est important.Mais ce n’est généralement pas ce qui fait défautau coureur qui ne parvient pas à atteindre sonbut. » Certains coureurs préfèrent tenir les brastrès près du corps tandis que d’autres aimentbien les laisser pendre librement. Ce quimarche pour la personne A ne marchera pasnécessairement pour la personne B. Et c’estpourquoi chacun devrait avoir un encadrementpersonnalisé et ne pas se laisser obnubilerpar sa forme physique. Pour réussir, il fautfaire des choix intelligents et rester à l’écoute de son corps.

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Pour un cerveau en pleine forme

Encerclez les différences – Pouvez-vous trouver les cinq différences entre les images ci-dessous?

Sudoku – Remplissez le casse-tête sudoku afin que chaque rangée,colonne et boîte de 3 cases par 3 cases contienne les chiffres de 1 à 9une seule fois.

Lettres mélangées – Remettez les lettres ci-dessous dans lebon ordre pour former des mots se trouvant dans l’article auxpages 8 à 11.

Source : 4puz.com

1. mppincalertnie

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Si vous passez tout votre temps à analyser les informations, comment pouvez-vous vous concentrer sur ce qui compte pour votre pratique? Nous éliminons la complexité des questions de fiscalité et de succession pour obtenir des perspectives claires et pratiques. Ainsi, vous pouvez consacrer plus de temps à définir votre réussite.

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À L’USAGE EXCLUSIF DES CONSEILLERSInvestissements Renaissance et les portefeuilles Axiom sont offerts par Gestion d’actifs CIBC inc. Le présent document a été préparé à l’intention des spécialistes en placements uniquement et ne doit pas être diffusé au grand public. Il est fourni à titre indicatifseulement et ne vise pas à donner des conseils de placement ni des conseils juridiques ou fiscaux. Ce document ne peut être reproduit ou distribué, en totalité ou enpartie, sans le consentement formel écrit d’Investissements Renaissance. MD Axiom, Portefeuilles Axiom et Investissements Renaissance sont des marques déposées de Gestion d’actifs CIBC inc.

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Présenté par

BALADOS dans Conseiller.ca

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Date de création du fonds : 13 novembre 2007. MDInvestissements Renaissance est offert par Gestion d’actifs CIBC inc. et est une marque déposée de celle-ci.

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