Le conseiller Renaissance

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Réservé à l’usage des conseillers LE CONSEILLER RENAISSANCE Apprenez pourquoi les conseillers utilisent le Portefeuille optimal de revenu Renaissance pour répondre aux véritables besoins des clients

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Vos Clients Ont Véritablement Besoin De Quoi Maintenant?

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Réservé à l’usage des conseillers

L E C O N S E I L L E R R E N A I S S A N C E

Apprenez pourquoi les conseillers utilisent le Portefeuille optimal derevenu Renaissance pourrépondre aux véritables besoins des clients

Page 2: Le conseiller Renaissance

Préparez vos clients à ce qui les attend à l’aide du Fonds de revenu à taux variable Renaissance.

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Accès exclusif à l’expertise institutionnelle d’Ares en matière de taux variables

UNE SOLIDE PROTECTION NE

VIENT PAS DE CEUX QUI FONT

LE TRAVAIL À MOITIÉ.

PROTECTION CONTRE LES HAUSSES DE TAUXAvec des hausses de taux qui pointent à l’horizon, les clients ont besoin d’un plan pour protéger leurs portefeuilles. Renaissance s’est associée aux experts d’Ares Management afi n d’apporter une gestion institutionnelle des placements en matière de prêts à taux variable et ce, exclusivement à l’intention des investisseurs individuels canadiens.

MDInvestissements Renaissance est offert par Gestion d’actifs CIBC inc. et est une marque déposée de celle-ci.Les placements dans les fonds communs de placement peuvent faire l’objet de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres charges. Veuillez lire le prospectus simplifi é de la famille des fonds d’Investissements Renaissance avant d’investir. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur varie fréquemment et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement futur.

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Dans ce numéroPAGE

Planification fiscale et successorale 3Les nouvelles règles régissant les fiducies testamentaires pourraient toucher des Canadiens vulnérables

Perspectives économiques 4La Fed commence son décompte pendant que le Canada décolle

À l’endos de la serviette 6Tirer parti des activités clientèle en petit comité, Partie 2

De véritables besoins exigent 8de véritables résultats

Solution clé de placement 12L’avantage des obligations mondiales

Merci à ceux qui nous 13ont offert leur soutienIntéressez-vous à la vie de vos clients

Aliments réconfort canadiens 14

Pour un cerveau en pleine forme 17

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Lettre de l’équipe de vente Renaissance

Lorsque des clients passent vous voir, ils recherchent souvent des conseils pour leurs portefeuilles. Vos clients ont de véritables besoins deplacement, et ils ont recours à votre expertise pour les combler. Pour certains d’entre eux, il peut s’agit d’une protection en cas de baisse lorsquele marché boursier commence à fléchir. D’autres peuvent rechercher une source de revenu régulier pour leur retraite ou un placement qui s’accroîtra au fil du temps, parce qu’ils ont besoin de fonds pour acheter une maison par exemple.

Le Portefeuille optimal de revenu Renaissance a procuré de véritables résultats aux clients au cours des sept dernières années, et ce, malgrédeux importants replis du marché et une longue période de faibles taux. Dans le présent numéro, vous pouvez en apprendre plus sur la manièredont nos conseillers partenaires utilisent cette solution tout-en-un pour répondre aux véritables besoins de leurs clients.

Nous voulons aussi remercier toutes les personnes qui ont assisté à la tournée d’Investissements Renaissance quand elle s’est arrêtée dansleur ville cet automne. Nous apprécions votre appui constant qui fait de cet événement une des tournées à l’intention des conseillers les mieux cotées au Canada.

Nos experts qui ont participé à la tournée continuent de partager leurs connaissances dans Le conseiller Renaissance. Dans le présent numéro,Jamie Golombek évalue à quel point vos clients seront touchés par les nouvelles règles entourant les fiducies testamentaires, qui, selon lui,semblent inéquitables pour les Canadiens vulnérables.

Dans sa mise à jour économique, Benjamin Tal donne son avis sur la croissance au Canada ainsi que des idées sur ce que la Réserve fédéraleaméricaine pourrait maintenant faire.

Vous pourrez aussi découvrir comment tirer parti d’activités clientèle en petit comité dans le deuxième volet du dossier de Grant Shorten intitulé Accumulation d’actifs : les secrets des conseillers de haut vol.

À Renaissance, nous avons à cœur de devenir votre premier partenaire de confiance. Nous recevrons comme toujours vos commentaires avec intérêt.

Équipe de vente Renaissance

Répondre aux véritables besoins de vos clients

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www.investissementsrenaissance.ca/fr/jamie_golombek/

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En 2013, j’ai rédigé un article sur les propositions du gouvernement visant àéliminer l’imposition à taux progressifs des fiducies testamentaires et des successions. Les mesures proposées mettront fin à une technique de planification successorale couramment utilisée par certains Canadiens pour réduire l’impôt à payer sur les revenus de placement tirés de leurs actifs après leur décès.

En août, le gouvernement a fait le point sur les propositions initialement annoncées dans le budget fédéral de 2014 et a publié un avant-projet de loiqui entrera en vigueur à compter de 2016. Selon les règles proposées, unimpôt uniforme au taux maximum, soit 29 % au fédéral, s’appliquerait auxfiducies testamentaires – qui sont constituées après un décès – et aux successions. Il y a quelques exceptions d’importance aux règles proposées.

D’abord, les successions ne sont assujetties à l’impôt uniforme au taux maximum qu’« après une période raisonnable au titre de l’administration » de36 mois. Par conséquent, l’imposition à taux progressifs serait encore possiblependant les trois premières années d’une succession.

Une deuxième exception s’applique à une « fiducie admissible pour personnehandicapée », dont les bénéficiaires ont droit au crédit d’impôt pour personneshandicapées (« CIPH ») du Canada, en raison d’une déficience grave et prolongéedes fonctions physiques ou mentales. L’imposition à taux progressifs continuerade s’appliquer à ces fiducies.

Malgré ces exceptions, les règles proposées ont été l’objet de critiques parcequ’elles ne sont pas équitables à plusieurs égards.

Par exemple, supposons que les bénéficiaires d’une fiducie testamentaire sontadmissibles au CIPH. L’avant-projet de loi visant l’adoption des règles proposéesexige que la fiducie soit créée en vertu d’un testament pour qu’elle puisse êtreassujettie aux taux progressifs. Lorsque les fonds sont légués en fiducie à une personne admissible au CIPH au moyen d’une mention dans une policed’assurance, un REER, un FERR ou un CELI, la fiducie serait alors assujettie àl’imposition au taux maximal, plutôt qu’aux taux progressifs. Nous avons rédigéune proposition au ministère des Finances et nous espérons que cette questionsera réglée en notre faveur dans une nouvelle version du projet de loi.

Ensuite, pour les personnes qui ont une déficience mais qui ne sont pas admissibles au CIPH, aucun allègement fiscal ne sera disponible et l’impôt

uniforme au taux maximum s’appliquera. Il a été estimé que plus de 3,8 millionsde Canadiens ont une déficience mentale ou physique, mais que moins de 800 000 certificats donnant droit au CIPH ont été émis.

Enfin, dans les cas où les bénéficiaires d’une fiducie testamentaire ne sont pas admissibles au CIPH, les règles proposées peuvent mettre le fiduciairedans une position difficile. Par exemple, de nombreuses fiducies ont pour butprincipal de permettre au fiduciaire de continuer à contrôler et à gérer l’actifde la personne décédée et de le protéger au profit des bénéficiaires. Si l’impôtuniforme au taux maximum s’applique, le fiduciaire devra choisir entre payerdavantage d’impôts au sein de la fiducie ou verser un revenu aux bénéficiaires,qui pourraient être assujettis à un taux d’imposition inférieur, mais ne pas êtreen mesure de gérer les fonds. De plus, si ces personnes reçoivent un revenu,elles pourraient ne plus être admissibles à diverses prestations d’invaliditéprovinciales fondées sur le revenu et dont les critères d’admissibilité sontmoins stricts que ceux du CIPH.

1 Les premières conclusions que Statistique Canada a tirées de l’Enquête Canadienne sur l’incapacitéindiquent qu’environ 3,8 millions de Canadiens étaient limités dans leurs activités quotidiennes enraison d’une déficience en 2012. La population visée par l’enquête était composée de Canadiensâgés de 15 ans ou plus au 10 mai 2011 vivant dans un logement privé.

2 Selon l’édition 2013 des statistiques préliminaires de l’ARC portant sur l’année d’imposition 2011,un montant pour personnes handicapées, qui n’est disponible que lorsqu’un CIPH a été accordé, aété réclamé pour un contribuable ou une personne à charge dans 756 500 déclarations de revenus.

PLANIFICATION FISCALE ET SUCCESSORALE

Les nouvelles règles régissantles fiducies testamentairespourraient toucher des Canadiens vulnérables

Jamie Golombek est directeur gestionnaire, Planification fiscale et successorale pour le groupeGestion privée de patrimoine CIBC. Il collaboreétroitement avec les conseillers pour les aider à offrir des solutions intégrées de planification financière aux clients à valeur nette élevée. M. Golombek est fréquemment présenté par les médias comme un spécialiste de la fiscalité.

Twitter @JamieGolombek

www.conseiller.ca/endirectBalado > Aléas du CÉLI

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La Fed commence son décomptependant que le Canada décolle

PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES

États-Unis : Pleins feux sur la Fed

Le programme d’assouplissement quantitatif de la Réserve fédérale américaine(la Fed) est presque terminé, et l’attention se porte désormais sur le moment où la Fed commandera une première hausse des taux d’intérêt. La majorité desanalystes prévoient que cette hausse sera décrétée au milieu de 2015, mais elle pourrait fort bien être effectuée au premier trimestre. En effet, l’économieaméricaine est plus robuste que prévu et plusieurs membres de la Fed commencent à craindre l’inflation.

Certes, la croissance du PIB américain est désormais supérieure à ce qu’elle étaitavant la récession, mais elle reste largement inférieure à la tendance à longterme établie quelques dizaines d’années auparavant. La principale question est de savoir dans quelle mesure la croissance pourra accélérer au cours desprochaines années pour rattraper cette moyenne. Se pourrait-il que la réductionappréciable de la capacité lors de la récession ait provoqué une forte baisse de la croissance potentielle de l’économie? Dans ce cas, une remontée de l’inflationserait beaucoup plus proche que beaucoup ne le croient.

En effet, si la vitesse limite de l’économie est moins élevée que dans le passé, il faudra une croissance moins forte pour entraîner une accélération de l’inflation.Nous n’en sommes pas encore là, puisque l’écart de production aux États-Unisreste positif. Toutefois, à en juger par le rythme de croissance actuel de l’économie, cet écart sera résorbé avant 2016. Dans le passé, la Fed n’attendaitpas au dernier moment et commençait à resserrer sa politique monétaire bienavant que cet écart soit comblé. Mais là encore, quand on constatera ce quiarrive, il sera trop tard.

Si cette vitesse limite a diminué, le taux d’intérêt neutre (qui établit un équilibre,entre l’épargne et les dépenses en immobilisations, qui se traduit par une stabilisation de l’inflation) est lui aussi plus bas. Cela signifie que la Fed n’aurapas à relever fortement les taux d’intérêt pour obtenir une économie stable.

Il existe bien entendu un risque que la Fed relève exagérément les taux d’intérêt,puisqu’il est très difficile de mettre les freins lorsque l’inflation accélère à untaux ne pouvant être observé. La répercussion concrète de cette situation est quela hausse des taux d’intérêt pourrait être trop forte en 2015; le marché obligataireenregistrera alors des rendements décevants; les taux directeurs se stabiliseronten 2016 et les obligations offriront de nouveau des occasions à court terme.

Canada : La croissance directement sous nos yeux

Le portrait de la croissance canadienne est plus positif qu’on s’y attendait auparavant. À ce stade, nous sommes tous fatigués d’entendre parler de lamétéo, mais après avoir reculé au premier trimestre, l’économie est en voie deconnaître une croissance d’au moins 3 % pendant deux trimestres consécutifs.Ce fait à lui seul devrait contraindre la Banque du Canada à revoir ses prévisions. Toutefois, ce résultat supérieur aux attentes antérieures est principalement attribuable à des sources de demande qui auraient dû fléchir au point où nous en sommes, mais dont la vitalité a été prolongée par des facteurs temporaires.

La construction résidentielle et, dans une plus grande mesure, les dépenses de consommation ont stimulé la récente vigueur de l’économie canadienne.Toutefois, comme nous l’avons indiqué dans une récente étude, la croissance de la consommation des ménages n’est pas causée par des facteurs durables,mais plutôt par une nette diminution de l’épargne. Bien que le maintien de cette tendance soit surprenant, il permet de gagner encore plus de temps en attendant l’arrivée des futurs piliers de l’économie canadienne : les exportations et les investissements.

« Dans une certaine mesure, le Canada est en bonne position en ce qui a trait à ses marchés d’exportation. La géographie fait en sorte que les États-Unis sont toujours un marché clé pour le Canada, mais les résultats supérieurs des États-Unis comparativement aux autres pays du G7 accentuent cette dépendance. »

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Source : Marchés mondiaux CIBC

Les taux neutres réels sont en baisse (%)

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www.renaissanceinvestments.ca/en/economy/

www.investissementsrenaissance.ca/fr/

Dans une certaine mesure, le Canada est en bonne position en ce qui a trait àses marchés d’exportation. La géographie fait en sorte que les États-Unis sonttoujours un marché clé pour le Canada, mais les résultats supérieurs des États-Unis comparativement aux autres pays du G7 accentuent cette dépendance.En fait, les exportations destinées au marché des États-Unis progressent déjà àun rythme de près de 17 % sur 12 mois, tandis que celles destinées aux autrespays affichent une croissance tout juste inférieure à 11 %.

Cependant, la plus grande partie de la croissance actuelle provient d’un seulsecteur. Le Canada dépend de plus en plus des produits énergétiques, quireprésentent désormais le quart de ses expéditions vers l’étranger selon leurvaleur en dollars, pour soutenir les exportations, les investissements et la croissance économique. Les estimations de l’Association canadienne des producteurs pétroliers donnent à penser que le lustre de l’or noir n’est pas prèsde s’estomper. Si on effectue un calcul à partir des estimations de production,compte tenu de leur relation relativement stable historiquement avec les exportations destinées aux États-Unis, on peut prévoir que le Canada exportera230 millions de barils additionnels vers ce pays en 2016 par rapport à 2013.

L’enquête de Statistique Canada sur les perspectives des entreprises a permis de prédire avec justesse l’activité réelle, et les réponses plus tôt cette année indiquaient que les chefs d’entreprise ne prévoyaient pas accroître les dépensesd’investissement au pays en 2014. Manifestement, ils étaient plus disposés àdépenser pour acheter des actifs traditionnels ou pour effectuer des acquisitionsà l’étranger. Les investissements directs étrangers par des sociétés canadiennesont enregistré une augmentation record de 9 % en 2013. Le ratio entre les sortiesd’investissements directs étrangers et les dépenses d’investissement se situe àprès de 20 %, un autre sommet record.

« Les investissements directs étrangers par des sociétés canadiennes ont enregistré une augmentation record de 9 % en 2013. »

Toutefois, une proportion croissante de chaque dollar dépensé à titre d’investissement ne sert désormais qu’à remplacer des immobilisations afin de maintenir le niveau de production existant, une tendance qui a pour effet de creuser l’écart entre les investissements et l’augmentation de la capacité de production de l’économie. D’un point de vue pratique, les dépenses d’investissement doivent donc augmenter beaucoup plus rapidement pourrépondre à la fois aux besoins de remplacement et servir aux projets d’expansion.

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Il y a vingt ans Il y a dix ans Juin 2014

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Source : Marchés mondiaux CIBC

Source : Marchés mondiaux CIBC

Part des produits énergétiques sur les exportations totales (%) Ratio entre les sorties d’investissements directs étrangers et les dépenses d’investissement

Benjamin Tal est économiste en chef adjoint à la Banque CIBC. Désigné comme l’un des principaux experts canadiens du marché immobilier par le Fonds monétaire international,il est responsable de l’analyse de l’actualitééconomique et de ses répercussions sur lesmarchés nord-américains des titres à revenu fixe, des actions, des changes et des produits de base.

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Accumulation d’actifs : les secrets des conseillers de haut volPartie 2 – Tirer parti des activités clientèle en petit comité

À L’ENDOS DE LA SERVIETTE

Il se passe quelque chose de magique quand on explore l’esprit de ceux qui excellent dans un domained’expertise. Nous pouvons systématiquement établirun modèle de leur excellence en découvrant leursvaleurs, leurs croyances, leurs méthodes et leurs approches personnelles.

Dans cette série en trois parties, nous découvrirons comment certains des conseillers les plus performants arrivent invariablement à trouver des clientspotentiels et à accumuler des actifs à un rythme supérieur à la moyenne.

Le plus frappant, c’est que les méthodes des conseillers de haut vol n’ont souvent rien de remarquable ou d’étonnant, ni même de particulièrementcréatif. En fait, ce qui distingue les accumulateurs d’actifs les plus efficaces,c’est la « maîtrise des secteurs fondamentaux », qui est supérieure à lamoyenne!

Ils considèrent leur temps et leurs ressources comme précieux et il est primordial d’éviter de les gaspiller dans des activités de marketing à faible impact. Ils préfèrent se concentrer sur seulement deux ou trois tactiques deprospection à impact élevé.

Les conseillers de haut vol savent que le marché a changé. Même s’ils ontprobablement utilisé des méthodes conventionnelles au début de leurs activités, ils reconnaissent que pour réussir aujourd’hui il faut recourir au marketing de bouche à oreille, au contact en personne et aux présentations et recommandations personnelles. Les méthodes spécifiques peuvent varier,mais trois arrivent systématiquement en tête :

Dans la deuxième partie de la série, nous mettrons l’accent sur lafaçon de

« TIRER PARTI DES ACTIVITÉS CLIENTÈLE EN PETIT COMITÉ »

Tirer parti des activités clientèle en petit comité

Le temps des séminaires de placement à grande échelle est révolu. Les conseillers de haut vol d’aujourd’hui misent sur l’organisation de petites rencontres avec quelques clients. Ces rencontres thématiques sont conçues pourvous permettre d’établir une relation sociale avec vos clients et leurs invités.

Examinons de plus près quelques aspects importants de ces activités :

Établissez clairement votre objectif à l’avance :

Ne cédez pas à la tentation d’organiser ces activités simplement pour créer l’illusion que « vous êtes occupés ». Réfléchissez à votre objectif en visualisantclairement votre rôle, du début à la fin. Prévoyez une amorce de conversationconstructive avec chaque invité, tout en visant une atmosphère conviviale. Lorsd’une activité clientèle en petit comité, évitez de vous lancer dans un énergiqueargumentaire de vente ou un cours obligatoire en finance. Parlez brièvementde votre travail, seulement si on vous le demande, puis offrez de fixer un rendez-vous pour poursuivre la discussion. L’objectif principal de cette activitéest d’établir un lien émotionnel avec vos invités, qui sera le point de départd’une relation.

Adaptez l’activité à vos invités :

Il existe un nombre incalculable de formules ou de thèmes possibles pour vosactivités clientèle en petit comité. Votre imagination est votre meilleur allié. Le facteur le plus important lorsque vous réfléchissez à vos thèmes est d’inviterles bonnes personnes aux activités qui leur conviennent. Prenez des notes pendant l’année lorsque vous rencontrez vos clients ou que vous discutez aveceux au téléphone. Posez des questions à propos de leurs passe-temps, leursgoûts et préférences, et consignez dans un dossier l’information sur leursloisirs préférés.

Le pouvoir des alliances

stratégiques

Profiter des rencontres en petit comité

Tirer parti des occasions de réseautage

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Grant Shorten est directeur, Analysesstratégiques à Investissements Renaissance.Il donne une foule de conseils et de stratégiesqui seront efficaces auprès de vos clients et qui auront une incidence immédiate sur vos activités.

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Par exemple…

Si vous savez que plusieurs clients apprécient les œuvres d’art classiques, vous pourriez les convier (avec leurs invités) à un souper et une visite privée d’une exposition à la galerie d’art de votre quartier. D’autres clients pourraient certainement apprécier une dégustation vins-mets dans un vignoble de la région. Les amateurs de voitures seraient ravis d’assister à une démonstration de « voitures classiques » animée par un chef avec un cocktail dînatoire. Les possibilités sont infinies!

Planifiez méticuleusement votre activité :

Profitez de la planification de votre activité pour passer un bon moment avecvotre équipe. Trop souvent, ces activités sont organisées à la va-vite, sanségard aux petits détails, qui ont pourtant une importance capitale. Au bout du compte, ce sont les détails qui détermineront le succès de votre activité. Attardez-vous aux éléments suivants :

• La liste d’invités de vos clients (selon votre thème)

• Les « amis » que vous souhaitez que vos clients invitent

• La date et l’heure de votre activité

• Le cadre, la musique et l’ambiance du lieu choisi

• Le programme de votre activité (en indiquant les heures) – du début à la fin

• Le résultat précis que vous souhaitez obtenir pour chaque client et invité

• Votre stratégie pour favoriser les échanges

• Les rôles et responsabilités des membres de votre équipe à l’activité

Assurez un suivi constant, le plus tôt possible :

Les conseillers de haut vol savent qu’un suivi en temps opportun est crucialpour récolter les fruits d’une activité clientèle en petit comité. Appelez personnellement vos invités dans les 24 à 36 heures suivant l’activité pour les remercier de s’être joint à vous. Reprenez une conversation sur un sujetparticulier là où vous l’aviez laissée et rappelez-leur simplement ce que vousfaites dans la vie. Par exemple, vous pouvez raconter une anecdote à proposd’un client qui vous a contacté au sujet d’un problème, que vous avez pu rapidement résoudre, en toute simplicité. Pendant l’activité, vous avez peut-être échangé suffisamment avec les autres invités pour leur offrir naturellement une revue gratuite de leur portefeuille ou un autre service similaire. Peu importe la manière, assurez-vous de faire évoluer votre relation.

Répétez l’expérience :

Les conseillers qui accumulent invariablement des actifs par l’entremise d’activités clientèle en petit comité réussissent en renouvelant l’expérienceplusieurs fois au cours de l’année. La plupart d’entre eux seraient d’accordpour dire qu’une fréquence mensuelle est idéale, mais certainement pas moins

de 6 à 9 activités par année. C’est en forgeant qu’on devient forgeron et l’organisation de ce type d’activités ne fait pas exception. La perfection naît de la pratique... la fréquence permet d’améliorer l’efficacité globale de votreactivité. Vous pouvez choisir de vous spécialiser dans l’organisation d’un seultype d’activité, que vous répéterez entre 9 et 12 fois au cours d’une année. Enadoptant cette approche, vous atteindrez un niveau inégalé de maîtrise dans laplanification de vos activités clientèle, car votre équipe ne cessera d’améliorerle processus et d’en récolter les fruits.

« C’est en forgeant qu’on devient forgeron et l’organisation de ce type d’activités ne fait pas exception. La perfection naît de la pratique... la fréquence permet d’améliorer l’efficacité globale de votre activité. »

La série Les secrets de la collecte d’actifs des conseillers de haut volcontinue dans les prochains numéros du Conseiller Renaissance. Les articles de Grant Shorten porteront sur les sujets suivants :

PARTIE 3 – TIRER PARTI DES OCCASIONS DE RÉSEAUTAGE

Vidéo > La transparence desfrais et vous : Justifiez vos commissions de suivi

www.conseiller.ca/endirectBalado > 3 questions qui brûlentles lèvres de vos clients

www.investissementsrenaissance.ca/fr/

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Ce trimestre, nous avons demandé à nos conseillers financiers partenaires de nous parler de la façon dont le Portefeuille optimal de revenu Renaissance a répondu aux besoins véritables des clients durant une période prolongée de faibles taux ainsi qu’après

deux importantes baisses des marchés depuis 2007.

Matt TolleyConseiller financierEdward Jones

Cyrilla SaundersVice-présidente et conseillère

en placement, CIBC Wood Gundy

Kathy RobertsonConseillère en placement associée,CIBC Wood Gundy

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PREMIER VÉRITABLE BESOIN : PROTECTION EN CAS DE BAISSE

VÉRITABLE RÉSULTAT : Un produit moins risqué avec 70 %

moins de volatilité après deux importantes baisses des marchés 1

Les banques centrales et les gouvernements sont entrés en scène et ontsoutenu les marchés financiers au début de la crise du crédit. Les mesuresqu’ils ont prises ont été importantes, mais pour la Réserve fédérale américaine(la Fed), cela a probablement assez duré et un retour à la « normale » est maintenant souhaitable. Ce qui se traduira sans doute par une volatilité encore plus grande des marchés financiers. « La protection en cas de baisse et la stabilité des portefeuilles sont devenues encore plus importantes qu’auparavant, affirme Patrick O’Toole, vice-président, Titres mondiaux àrevenu fixe, Gestion d’actifs CIBC et cogestionnaire du Portefeuille optimal de revenu Renaissance. L’importance de la diversification ne peut être exagérée sur des marchés volatils. »

« L’année 2011 est un excellent exemple de la performance du Portefeuille optimal de revenu Renaissance dans un marché en recul. L’indice TSX a baisséd’environ 9 % cette année-là, tandis que le portefeuille a inscrit un rendementde 5 %, a déclaré Matt Tolley, conseiller financier chez Edward Jones à Osoyoos, en Colombie-Britannique. Une telle performance est très rassurantepour les clients et elle leur rappelle pourquoi ils détiennent ce produit. »

Lorsque les marchés déclinent, les conseillères de CIBC Wood Gundy, CyrillaSaunders et Kathy Robertson de Charlottetown, à l’Île-du-Prince-Édouard, essaient d’éviter de vendre des placements en actions malmenés par l’activitédéfavorable des marchés. Elles se fient à des solutions comme le Portefeuilleoptimal de revenu Renaissance pour compléter leurs portefeuilles et assumerle rôle de valeur sûre, qui procure des flux de trésorerie constants et des valorisations de portefeuille durables.

Mme Robertson souligne à quel point il est facile d’être optimiste lorsquel’ensemble d’un portefeuille affiche un bon rendement. Elle et Mme Saundersestiment que la véritable mesure de leur réussite est le niveau de confort desclients lorsque les marchés financiers reculent.

« Le Portefeuille optimal de revenu Renaissance a été créé à la fin de 2007, un moment idéal pour être soumis à une véritable volatilité. Le fait que nousayons été capables d’aborder le rendement négatif de 2008 (-12,3 %), qui apratiquement été tout récupéré en 2009 grâce au rendement positif de 13,4 %,a procuré une joie immense à nos clients et à notre équipe. Nous sommes reconnaissants de pouvoir mettre la course aux profits de côté tout en continuant de respecter l’intérêt supérieur de nos clients. »

Le portefeuille procure une protection en cas de baisse grâce à une vaste diversification au sein des catégories d’actif. Dans la composante à revenufixe, la diversification provient de placements en obligations de premier ordre, enobligations à rendement réel, en obligations à rendement élevé, en obligationsmondiales et en prêts à taux variable. Du côté des actions, la diversification estobtenue par les actions à dividendes et les actions de sociétés d’infrastructure.

Protection en cas de baisse 1

OBLIGATIONS CANADIENNES

OBLIGATIONS MONDIALES

OBLIGATIONS À RENDEMENT ÉLEVÉ

OBLIGATIONS À RENDEMENT RÉEL

PRÊTS À TAUX VARIABLE

ACTIONS CANADIENNES À DIVIDENDES

ACTIONS MONDIALES D'INFRASTRUCTURE

PORTEFEUILLEOPTIMALDE REVENU RENAISSANCE

Lorsque la crise financière a frappé en 2008, de nombreux investisseurs ont été pris par surprise. Peu d’investisseurs, expérimentés ou novices, avaient positionné leurs portefeuilles en vue des perturbations qui ont suivi. La situation est très différente en 2014, mais il reste des similitudes. La plus importante – le paysage économique change bien évidemment.

Dans une période d’incertitude, des besoins de placement particuliers se manifestent : protection en cas de baisse sur des marchésvolatils, potentiel de croissance stable et capacité de dégager régulièrement des revenus malgré la conjoncture du marché. Pour répondre à ces besoins, un portefeuille doit normalement être constitué d’une répartition spécifique et stratégique d’actifs sous-jacents.

août-

2014

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Baisse de 2011

Crise financière mondiale

Portefeuille optimal de revenu RenaissanceRendement total de l’indice composé S&P/TSX

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DEUXIÈME VÉRITABLE BESOIN : CROISSANCE STABLE

VÉRITABLE RÉSULTAT : Rendement annualisé de 8 % sur cinq ans 2

« Après d’importantes corrections du marché et un accroissement du risquegéopolitique, les investisseurs recherchent toujours la croissance, mais ils la souhaitent stable », a affirmé M. O’Toole, soulignant combien l’attitudedes investisseurs a évolué au cours des dernières années.

M. Tolley est d’accord, et il indique aussi que les clients oublient parfois lerisque, surtout lorsque les marchés boursiers sont solides comme au coursdes 12 derniers mois. Il discute souvent avec ses clients et se voit comme un tampon entre ses clients et leurs portefeuilles. « J’essaie de rappeler àmes clients que s’ils profitent de l’ensemble des rendements d’un marchéfortement haussier, ils s’exposent souvent à une grande partie de la baissedu marché au moment d’une correction. La plupart des clients ne peuventtolérer davantage qu’une volatilité modérée de leur portefeuille, » ajoute-t-il.

« J’essaie de rappeler à mes clients que s’ils profitent de l’ensemble des rendements d’un marchéfortement haussier, ils s’exposent souvent à unegrande partie de la baisse du marché au momentd’une correction. »Matt Tolley, conseiller financier, Edward Jones

M. Tolley a recours au Portefeuille optimal de revenu Renaissance pour sesclients qui souhaitent des rendements constants et une volatilité moindre.Selon lui, ce produit constitue « une solution tout-en-un et une assise solidepour la création d’un portefeuille de placement ».

Le portefeuille est structuré de manière à procurer une croissance stabledans des conjonctures de marché diverses. Des actifs comme les obligationsà rendement réel et les actions de sociétés d’infrastructure servent de protection en cas de hausse de l’inflation. Les prêts à taux variable constituent la couche de protection contre les hausses de taux d’intérêt. Les titres à revenu fixe diversifiés et les actions de bonne qualité versant un dividende contribuent aussi au rendement du portefeuille.

Croissance stable 2

TROISIÈME VÉRITABLE BESOIN : REVENU RÉGULIER

VÉRITABLE RÉSULTAT : Distribution annuelle moyenne de 4 % sur sept ans3

« La qualité et le choix des solutions à revenu fixe incluses dans le Portefeuilleoptimal de revenu Renaissance ne sont pas souvent disponibles sur le marchéde détail », souligne Mme Robertson. Les clients qui ont besoin d’un revenurégulier se fient souvent à un portefeuille de titres à revenu fixe. Mais lesproduits comme les obligations des marchés émergents, les obligationsmondiales, les obligations à rendement élevé et les prêts à taux variable, qui peuvent contribuer à atténuer les risques des placements dans des titresà revenu fixe, ne sont pas largement accessibles pour les investisseurs particuliers. Le portefeuille rend cette diversification possible.

Univers des titres à revenu fixe

« Il est évident que le Portefeuille optimal de revenu Renaissance, grâce àses distributions mensuelles régulières d’environ 4 % (ce qui permet unecroissance du capital) ou les distributions avantageuses sur le plan fiscal des catégories T6 et T8, convient au client qui recherche un revenu ou en a besoin. Ces flux de trésorerie opportuns et efficaces sur le plan fiscal constituent une excellente solution pour nos équipes », a déclaré Mme Robertson.

Revenu régulier 3

Portefeuille optimal de revenu Renaissance Catégorie†

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la création

Portefeuille optimal de revenu Renaissance Rendement des distributions – Parts de catégorie A

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Obligationsà rendement

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variable

Titres à revenu fixe spécialisés

Obligationsmondiales

Obligationsdes marchésémergents

Obligations desociétés de

bonne qualité

Obligationsprovinciales

Obligationsgouvernementales

Titres à revenu fixe traditionnels

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Mis à part pour les clients qui ont besoin d’un flux de revenu constant, unrevenu régulier comporte un autre avantage. M. Tolley a remarqué que si lecours d’un actif varie légèrement ou même s’il baisse, certains clients arrivent difficilement à conserver le placement. C’est aussi vrai pour lesplacements qui sont des « trésors cachés » largement sous-évalués. Selon lui, un portefeuille assorti d’un flux de revenu régulier constitue un excellent moyen d’aider les clients à conserver leurs placements. En fait, lesinvestisseurs sont payés pour attendre, ce qui les aide à rester disciplinéslorsque les marchés sont volatils. « D’une certaine manière, c’est un peucomme offrir un immeuble à la location en attendant qu’il prenne de lavaleur. Le revenu régulier que les placements dégagent les rend avantageux,et il est ainsi plus facile sur le plan psychologique de conserver les placements et d’éviter de les vendre trop tôt. »

Les défis qui s’annoncent pour les investisseurs peuvent se transformer enavantages si on garde à l’esprit certaines stratégies simples. Les portefeuillesassortis d’un flux de revenu régulier permettent aux investisseurs de conserverleurs placements dans des marchés volatils. La croissance stable et les rendements réguliers du portefeuille pendant des perturbations du marchésont rassurants. La protection en cas de baisse qui préserve la valeur du

portefeuille signifie que le capital est toujours disponible pour que le client puisse profiter des avantages qu’offrent des occasions futures. LePortefeuille optimal de revenu Renaissance procure ces avantagesdans une seule solution simple.

Patrick Bradley, Brandywine Global Balado > Investir dans le trou d’une aiguille

Nick Langley, RARE Infrastructure Balado > Surveillez les infrastructures et services publics

Stephen Carlin, Gestion d’actifs CIBC Balado > Les services financiers, des refuges contre la volatilité

Nicholas Leach, Gestion d’actifs CIBC Balado > L'importance de la durée dans les obligations à haut rendement

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1 En comparaison à l’indice composé de rendement total S&P/TSX. La volatilité est mesurée par l’écart-type des rendements quotidiens au cours des périodes du 18 juin 2008 au 9 mars 2009 (fonds : 12,50, indice :56,01) et du 5 avril 2011 au 3 octobre 2011 (fonds : 6,10, indice : 23,11).

2 Rendement pour la période de cinq ans terminée le 31 août 2014. La date de création du fonds est le 13 novembre 2007. †Catégorie revenu fixe canadien équilibré Morningstar. Chaque taux de rendement indiquéest un taux de rendement total composé annuel historique pour les parts de catégorie A tient compte des fluctuations de la valeur des parts et du réinvestissement de toutes les distributions mais qui ne tientpas compte des commissions d’achat et de rachat, des frais de placement ni des frais optionnels ou de l’impôt sur le revenu payable par un porteur qui auraient eu pour effet de réduire le rendement.

3 Rendement des distributions des parts de catégorie A du fonds pour la période du 13 novembre 2007 (création) au 30 septembre 2014. Le rendement des distributions pour une période est calculé en divisant lesdistributions effectuées au cours des 12 mois précédant cette période par la valeur marchande dans cette période. Le fonds vise une distribution mensuelle. Il est prévu que le taux de la distribution mensuellesera de 1/12 d’approximativement 4 % par année pour les parts de catégorie A. Les distributions des autres catégories peut varier. Nous pouvons rajuster les taux de distribution mensuelle à notre gré. Leversement des distributions n’est pas garanti et peut fluctuer. Si le montant annuel distribué est supérieur au revenu net et aux gains en capital réalisés nets du portefeuille, l’excédent représentera un remboursementde capital. Le rendement total des parts de catégorie A est de 4,0 %, en assumant que les distributions ne sont pas réinvesties.

« La qualité et le choix des solutions à revenu fixeincluses dans le Portefeuille optimal de revenu Renaissance ne sont pas souvent disponibles sur le marché de détail. »Kathy Robertson, conseillère en placement associée, CIBC Wood Gundy

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Page 14: Le conseiller Renaissance

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Source : Bloomberg. Rendements en dollars américains représentés par le Citigroup WGBI.

L’avantage des obligations mondiales

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Les quatre piliers des rendements supérieursajustés au risque

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Gérer activementle risque dechange pourprotéger lecapital et accroître lesrendements

Effectuerpatiemmentune rotationentre lespays

Contrôler le risque enachetant des titressous-évalués

La diversification des obligations permet de contrer la hausse des taux

Le resserrement des politiques monétaires par les banques centralesmondiales exercera une pression à la hausse sur les taux d’intérêt et à la baisse sur les prix des obligations. En raison des différents cycleséconomiques et monétaires à l’échelle mondiale, les taux d’intérêt ne suivent pas tous la même courbe et les prix offerts sur les diversmarchés obligataires ne sont pas tous touchés en même temps. Les investisseurs qui diversifient leur composante à revenu fixe dans destitres mondiaux peuvent profiter de ces écarts de prix.

L’accès à un large éventail de marchés abaisse le risque

Les obligations mondiales procurent une exposition aux politiquesmonétaires, aux profils de taux d’intérêt, aux taux d’inflation et aux cycles économiques de marchés situés ailleurs qu’en Amérique duNord. Une répartition d’obligations diversifiées à l’échelle mondialepermet de profiter des facteurs favorables de certains pays, qui peuvent compenser les effets à la baisse d’autres pays.

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Les pays offrant les meilleurs rendements diffèrent chaque année

• Approche individuelle : Fonds d’obligations mondiales Renaissance

• Approche diversifiée : Portefeuille optimal de revenuRenaissance (pondération de 10 %)

Page 15: Le conseiller Renaissance

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Intéressez-vous à la vie de vos clients

MERCI À CEUX QUI NOUS ONT OFFERT LEUR SOUTIEN

Sans le soutien de conseillers comme vous, Investissements Renaissance n’aurait pas le privilèged’aider tant de Canadiens à atteindre leurs objectifsfinanciers. Nous vous présentons un des spécialistesexceptionnels avec qui nous sommes très fiers de travailler.

Qu’aimez-vous de votre secteur?

J’adore établir des relations avec les différents types de personnes, surtout celles que je ne rencontrerais pas nécessairement si je n’étais pas conseiller financier.

Quelle est votre méthode personnelle pour établir de solides relations avec la clientèle?

Je m’intéresse à leur vie. Tous les conseillers ne sont pas réellement intéressésà ces aspects de la vie de leurs clients – ils remplissent le formulaire de renseignements sur le client, mais ça s’arrête là. J’aime approfondir les intérêts et les passions de mes clients.

Quelles sont les principales préoccupations des clients et comment y répondez-vous?

La plus grande préoccupation est le coût associé aux placements et la rémunération des conseillers. Pour faciliter les conversations, j’aborde le sujetmoi-même. Je suis fier que ma société ait pris les devants et qu’elle divulgueles frais clairement sur les relevés et les confirmations, même avant que les normes du secteur nous imposent de le faire. Cette transparence est essentielle à l’établissement de relations à long terme avec les clients.

Sur quels secteurs ou thèmes de la planification financière ou desplacements entendez-vous vous concentrer davantage à l’avenir?

De nombreux conseillers se concentrent sur la planification successorale et le transfert de patrimoine entre les générations. J’ai adopté une stratégie différente en abordant des clients plus jeunes, qui forment un groupegénéralement sous-exploité. Ces relations peuvent servir d’assises à vos

activités pour de nombreuses années. De plus, l’établissement d’un plan financier à un jeune âge peut être extrêmement avantageux, car le temps joueen votre faveur.

Quel serait votre meilleur conseil pour acquérir de nouveaux clients?

Assurer un suivi en temps opportun, que vous ayez rencontré quelqu’un à unévénement, que vous ayez bavardé avec une personne sur le trottoir ou quevous ayez à communiquer avec un client potentiel qu’un client vous a référé.Appelez, envoyez un courriel ou rédigez une note à la main. Plusieurs conseillerslaissent tomber le suivi, mais c’est vraiment important.

Quels sont vos passe-temps préférés?

Ma femme et moi aimons le curling et le soccer. J’ai essayé le surf quand j’étais à Hawaï et j’ai été surpris de la force que ça exige. Le soccer et le curling sont de bons exercices, mais faire du surf est un défi.

Quel est l’objet dont vous ne pouvez pas vous passer?

Il ne s’agit pas d’un « objet », mais je ne serais rien sans mon assistante, Allison. Elle s’occupe du fonctionnement du bureau et s’assure que tout estfait. Sans elle, je ne pourrais ni garder mes clients ni accroître ma clientèle.

MattTolleySociété : Edward Jones, Osoyoos, C.-B.

Nombre d’années dans le secteur : 5 ans

Membres de l’équipe : 2

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Aliments reconfo ´CANADIENS

Analyse de quelques-uns de nos mets préférés. Appétissant, non?

La délicate fraîcheur de l’air et les magnifiques couleurs qu’ont prises les feuilles ne signifient qu’une chose : l’automne est arrivé!

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Page 17: Le conseiller Renaissance

De la poutine à toutes les saucesDes frites recouvertes de fromage en grains et nappées de sauce. Trois ingrédients simples composent une poutine, sans doute la quintessence desaliments réconfort canadiens. Il est difficile de savoir exactement où la poutinea pris naissance, mais ce plat est apparu au Québec à la fin des années1950.¹ Par la suite, de nombreuses variations savoureuses de la poutine classique ont été créées partout au pays – certaines avec des garnitures de luxe comme le porc effiloché, le bacon, le foie gras et le homard.

En 2007, la SRC a mené un sondage auprès de son auditoire pour connaîtreles plus importantes inventions canadiennes de tous les temps, et la poutines’est classée au dixième rang. Elle a devancé le microscope électronique, le BlackBerry, la transmission radiotéléphonique et la crosse.²Des poutineries ouvrent un peupartout au Canada et le Web regorge de blogues dédiés à larecherche de la poutine parfaite.

Des pommes de terre,encore des pommes de terreLa poutine ne serait pas ce qu’elle est sans les frites. Nous devons donc ren-dre hommage au légume sur lequel tout repose. Pilée, au four, gratinée oufrite, quel que soit votre mode de cuisson préféré, la pomme de terre est unmodèle d’aliment réconfort. Par chance, nous n’avons pas à parcourir degrandes distances pour en trouver : l’Île-du-Prince-Édouard est notre carrefourde la pomme de terre! Marquées par leurs conditions de croissance uniques,les pommes de terre de l’Île-du-Prince-Édouard se développent grâce aux étéschauds, aux hivers froids, aux précipitations naturelles et au sol rouge richeen oxyde de fer. Les pommes de terre de l’Île sont rouges, blanches, jaunes oubleues, donc vous pouvez composer un magnifique bouquet de pommes deterre à votre prochain repas.

Les pérogies font partie de nos plats de pommes de terre favoris. La ville deDauphin, au Manitoba, s’est fait connaître en accueillant le festival national

ukrainien du Canada. Chaque été, des milliersd’Ukrainiens de tout le pays, et d’ailleurs dansle monde, envahissent la ville et célèbrentleur musique, leurs traditions et la perfectiondes pérogies aux pommes de terre.

En plus de leur potentiel culinaire, les pommes de terre sont remplies d’éléments nutritifs. Une pomme de terre de taille moyenne contient jusqu’à 45 % de l’apport quotidien

recommandé de vitamine C, et encoreplus de potassium qu’une portion de banane ou de brocoli.³

NousYle bœuf de l’AlbertaLa viande et les pommes de terre sont des éléments fondamentaux des plats réconfort,surtout quand on les cuit dans une mijoteuse.Vers l’ouest, le Canada est formé d’hectares de grands pâturages et de terres agricolesfertiles – le royaume du bétail. La production bovine est le secteur agricole le plus important en Alberta; elle représente 44 % de la production totale du pays.L’industrie du bœuf en Alberta esttrès dynamique et les Canadiens lastimulent – 65 % du bœuf de l’Alberta est consommé au pays.4 Cette industrie est parfaitement intégrée au style de vie de l’ouestet est célébrée chaque année dans le cadre du Stampede de Calgary; l’exposition sur le parcours du bétail met l’accent sur des normes de production alimentaire sûre, des pratiquesdurables sur le plan de l’environnement et le bien-être des animaux.5

Faites ressortir toute la saveur du bœuf de l’Alberta cet automne dans vos plats mijotés,chilis et ragoûts. Et que dire de l’odeur du bœufbraisé du dimanche? Sublime. La mijoteuse dégage un mélange bigarré d’odeurs qui flottentdans la maison pendant que toutes les délicieusessaveurs se combinent en cuisant à la perfection.Les Canadiens savent aussi que même si la saison du barbecue est techniquement terminée,nous n’attendrons pas la fin de l’hiver avant defaire griller nos steaks. Il n’y a qu’à pelleter un chemin jusqu’au barbecue et à en profiter à l’année.

Un tour à la cabane à sucre En regardant notre cher drapeau national, on achaque fois envie de se sucrer le bec. Les racines del’érable sont profondément ancrées dans l’histoire du Canada; l’emblème dela feuille d’érable est devenu synonyme de notre identité canadienne, toutcomme le sirop d’érable.

À l’origine, le sirop d’érable était ramassé par les autochtones, mais il a rapidement capté l’attention des colons européens, surtout au Québec. L’industrie du sirop d’érable de la province est le plus gros producteur aumonde et ses bénéfices stimulent l’économie.6 La cabane à sucre fait partie

C’est le moment idéal – et une bien bonne excuse – pour combler notre besoin de confort et isoler nos corps de nouveau.

Les aliments réconforts canadiens ont pris forme sous l’influence de constantesvagues d’immigration, ainsi que de nos vastes paysages diversifiés. Ce ne sontpas les mets particuliers qui importent, mais plutôt les ingrédients eux-mêmes,comment ils sont combinés et ce qu’ils signifient pour nous. Certains viennentdu froid et se retrouvent dans un plat qui nous réchauffe le cœur.

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Les pommes de terre conservent bien la chaleur (pensez à la patate chaude!); alors la prochainefois que vous avez besoin d’une compresse chaude, faites bouillir une pomme de terre ou deux,enveloppez-les d’un linge propre et appliquez le tout sur vos muscles endoloris.

L’industrie bovine de l’Alberta a apporté 12,7 milliards de dollars à l’économie canadienne en 2012.

L’idée de tremper un beigne dans du café est tirée d’un film de 1934 mettant en vedette Clark Gable, New York-Miami.12

Le Japon compte sur le Canada pour obtenir 99 % de son sucre d’érable et de son sirop d’érable.13

En 1675, le roi d’Angleterre a interdit les cafés, prétendant qu’il s’agissait d’endroits où les gens se rencontraient pour conspirer contre lui.

Sources : ¹ http://fr.wikipedia.org/wiki/Poutine_(plat) ² http://www.nytimes.com/2007/05/23/dining/23pout.html?_r=2&³ http://www.peipotato.org/why-pei-potatoes/nutrition-facts 4 http://www.albertabeef.org/page/about-industry5 http://ag.calgarystampede.com/upload/press_release/710/01/news-release---calgary-stampede-beef-cattle-highlights.pdf 6 http://www.siropderable.ca 7 http://www.purecanadamaple.com/benefits-of-maple-syrup/antioxidants-in-maple-syrup 8 http://www.purecanadamaple.com/benefits-of-maple-syrup/antioxidants-in-maple-syrup 9 http://www.cbc.ca/archives/categories/lifestyle/food/my-canada-includes-tour 10 http://www.coffeeassoc.com/coffeeincanada.htm 11 http://fr.wikipedia.org/wiki/Tim_Hortons12 http://fb-troublemakers.com/12-interesting-facts-about-doughnuts-17307/ 13 http://www.ats-sea.agr.gc.ca/asi/6164-eng.htm

Aliments réconfort canadiens : Amorces de conversation lors d’un cocktail

intégrante de la culture québécoise et estdevenue une tradition au début de chaqueprintemps. La visite d’une cabane à sucre au Québec est tout un événement – vous y danserez au son de la musique et, évidemment, vous pourrez verser du siropd’érable sur tout ce que vous mangerez, directement d’une carafe placée au centre de la table.

Le sirop d’érable comporte certains avantages inattendus pour la santé et contient 54 antioxydants différents.7

Cela le distingue considérablement de sesconcurrents, et on le classe avec les bananes, le brocoli cru et les pommesgala en matière de pouvoir antioxydant.8 Il ne faut donc pas vous sentir tropcoupable d’en mettre sur vos crêpes!

Un beigne et un café!Les Anglais ont leur thé; nous avons notre café. Vous n’êtes pas la seule personne à être incapable de fonctionner avant d’avoir eu votre dose quotidienne. Presque aussi populaire que l’eau, le café est la boisson favoritedes adultes au Canada, le buveur de café moyen en consommant 2,6 tasseschaque jour.9

Et au cœur de la culture canadienne, il y a le café et les beignes. Nous savonsqu’une tasse de café frais accompagnée d’un beigne glacé à l’érable formeune combinaison gagnante. C’est probablement ce qui explique, ainsi quel’accès sans fil gratuit, pourquoi 57 % des cafés préparés que nous buvonssont achetés dans un établissement où l’on vend des beignes ou des bagels.10

Les Canadiens mangent plus de beignes par habitant et possèdent plus depoints de vente de beignes que tout autre pays.11

Et il ne faut pas oublier la patinoire. Que vous apportiez votre café ou quevous l’achetiez dans la machine distributrice de l’aréna, tout ça fait partie du plaisir d’aller voir une partie. La chaleur et le réconfort que l’on ressentquand on tient un café dans ses mains en ont fait un accessoire typiquementcanadien. Et on n’a pas deux mains pour rien. L’autre sert à tenir un beigne, évidemment.

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Page 19: Le conseiller Renaissance

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Lettres mélangées – Remettez les lettres ci-dessous dans lebon ordre pour former des mots se trouvant dans l’article auxpages 8 à 11.

Source : 4puz.com

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