Le conseiller Renaissance

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ÉGALEMENT DANS CE NUMÉRO : La communication en trois dimensions Prêt pour une randonnée? Rapport 2013 sur les infrastructures Une route stable devant soi PROFILS DE FONDSTRIMESTRIELS / GESTION DES PRATIQUES / PERSPECTIVES / OPINION T1 – 31 MARS 2013 Renaissance Le conseiller

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Rapport 2013 sur les infrastructuresUne route stable devant soi

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ÉGALEMENT DANS CE NUMÉRO :

La communication en trois dimensions

Prêt pour une randonnée?

Rapport 2013sur les infrastructuresUne route stable devant soi

PROFILS DE FONDS TRIMESTRIELS / GESTION DES PRATIQUES / PERSPECTIVES / OPINION T1 – 31 MARS 2013

RenaissanceLe conseiller

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POUR DÉFENDRE NOTRE EMPIRE DRESSONS UNE

PETITE BARRIÈRE

LES VRAIS LEADERS ÉLABORENT DES PLANS SOLIDES : DÉCISIONS ACTUELLES À L’ÉGARD DU REVENU.

C’est une décision difficile à prendre, mais le moment est venu d’aller de l’avant. Nous avons atteint la croisé des chemins. Se réfugier derrière des actifs plus « sûrs » pour contrer les marchés volatils peut avoir fonctionné jusqu’ici, mais la faiblesse record des rendements s’avère maintenant une menace. Le temps est venu de planifier.

Renaissance est déterminé à en faire encore plus pour vous. Nous disposons d’outils pratiques, de solutions et d’un soutien hors pair qui facilitent la prise immédiate de décisions relatives au revenu.

NOUVE UX outils MIS À JOUR sur les décisions actuelles à l’égard du revenu maintenant disponibles.

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VIIe siècle av. J.-C., La Chine a entrepris la construction de sa Grande Muraille.

MDInvestissements Renaissance est offerts par et est une marque déposée de Gestion d’actifs CIBC inc. Les placements dans les fonds communs peuvent être assortis de commissions,de

commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres frais. Veuillez lire le prospectus simplifié de la famille des fonds d’Investissements Renaissance avant d’investir.

SOLUTIONS ACTUELLES À L’ÉGARD DU REVENU

Portefeuille optimal de revenu Renaissance

Fonds de revenu à court terme Renaissance

Fonds de revenu élevé Millénium Renaissance

Portefeuille optimal d’avantages sur l’inflation Renaissance (Atténuation de l’inflation)

TROUSSE D’OUTILS POUR LES DÉCISIONS RELATIVES AU

REVENU

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Dans ce numéro

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Planification fiscale et successorale 3Américains résidant au Canada : les problèmes fiscaux s’accentuent

Perspectives économiques 4Amérique du Nord : ralentissement

À l’endos de la serviette 6La communication en trois dimensions

Rapport 2013 sur les infrastructures 8

Solution clé de placement 12Comment accéder à l’avantage des infrastructures maintenant

Merci à ceux qui nous ont 13offert leur soutienLa conception du portefeuille est essentielle

Prêt pour une randonnée? 14

Pour un cerveau en pleine forme 16

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INVESTISSEMENTS RENAISSANCE

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Lettre du chef des ventes nationales

Le printemps est enfin arrivé. À cette période de l’année, l’espoir revient au centre de notre vie privée et de nos aspirations professionnelles.Douceur des températures, gazon bien vert et bleu de l’eau... le monde nous semble meilleur, tout à coup.

Le printemps est un cadeau du Ciel et nous en avons bien besoin. L’hiver n’en finit pas de finir (même si les statistiques montrent qu’il suitgénéralement le même schéma, d’année en année) et nous sommes prêts pour les vacances.

L’arrivée du printemps nous incite à faire des projets, à organiser des réunions de famille et d’amis. Peu importe la phase que nous traversons dansnotre vie professionnelle ou privée, l’avenir nous semble plus souriant à cette époque de l’année. On se sent bien.

Si nous, conseillers, sommes dans un tel état d’esprit, croyez-vous qu’il en soit autrement pour nos clients? Absolument pas. Ils ressentent lemême regain d’optimisme. La nature humaine est ainsi faite. Après la période des REER, celle des déclarations de revenus et celle de la planificationpour la nouvelle année, c‘est peut-être le bon moment de planifier des événements avec nos clients et de leur parler de tout ce qui n’est pas lié à leurs finances.

Vos clients sont à la recherche d’idées de voyage, d’un équipement de baseball pour leurs enfants, d’un collecteur de fonds pour un nouveau planchodrome ou d’un programme d’été pour les aînés? Proposez-leur votre aide. Cultivez leur optimisme en les rassurant sur leurs finances et laissez-les vous faire part de leur enthousiasme et de leurs projets personnels. Vos relations avec vos clients s’en trouveront renforcées et vous enapprendrez bien davantage sur l’aspect humain des personnes avec qui vous travaillez. Assurez-vous de prendre le temps nécessaire pour avoir desconversations personnelles avec tous vos clients, ce printemps. Vous pourriez même en faire autant avec vos équipes.

Même si la capacité de convertir les revenus d’intérêts en gains en capital nous est retirée, le printemps et l’espoir qui l’accompagne reviennentchaque année. C’est garanti.

Comme toujours, nous avons à cœur d’établir des relations d’affaires durables avec vous et de devenir votre partenaire de confiance. N’hésitez pasà m’appeler pour me faire part de vos commentaires ou de vos idées. Je vous souhaite un joyeux printemps!

Bien cordialement,

Dave WahlChef des ventes nationalesInvestissements Renaissance416 943-6959

Cultivez l’optimisme du printemps

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INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 3

Pour les citoyens Américains qui vivent au Canada (on estime leur nombre à 1 million), la détention de parts de fonds communs de placement canadienspeut devenir un casse-tête fiscal.

Les États-Unis sont le seul pays à exiger de ses citoyens qu’ils déclarent leursrevenus de source mondiale, peu importe leur pays de résidence et leursautres nationalités. La plupart des autres pays, et c’est le cas du Canada,fondent leur système d’imposition sur le lieu de résidence.

Le problème pour les déclarants américains est que la loi fiscale américaineconsidère les fonds communs de placement canadiens comme des sociétés deplacement étrangères passives (Passive Foreign Investment Companies, PFIC).Par conséquent, ils sont régis par des règles fiscales draconiennes et des exigences de déclaration annuelle compliquées.

Par exemple, en vertu des règles relatives aux PFIC, lorsqu’un investisseurcède des parts de fonds communs de placement canadiens ou tire certainstypes de distributions de ces fonds, il est assujetti, pour sa déclaration derevenus américaine, aux taux qui s’appliquent au revenu gagné et non au tauxpréférentiel applicable aux gains en capital. De plus, suivant le moment où lesdistributions sont versées (ou les titres sont cédés), des pénalités d’intérêtpeuvent s’appliquer.

Les règles relatives aux PFIC sont extrêmement complexes et nécessitent uneprocédure spéciale de déclaration des revenus, notamment l’utilisation de laformule 8621, intitulée Information Return by a Shareholder of a Passive Foreign Investment Company pour chaque PFIC détenue. La formule comptetrois pages et six rubriques. Selon les instructions de la formule, le temps estimé pour se mettre en conformité avec les règles relatives aux PFIC dépasse31 heures, soit 11 heures pour s’informer sur la loi ou la formule, 15 heurespour la tenue des dossiers et un peu plus de 20 heures pour remplir et envoyerla formule. Et nous parlons d’une seule PFIC.

Il ne faut donc pas s’étonner de voir les spécialistes en déclaration de revenusdéconseiller à leurs clients américains d’investir dans des fonds communs deplacement canadiens étant donné qu’il leur sera difficile de récupérer les frais

qui leur seront facturés pour le temps passé à tenir les dossiers à jour et àremplir les formulaires requis par la législation américaine.

Récemment, l’Institut des fonds d’investissement du Canada (IFIC), quireprésente une large part du secteur des fonds de placement canadiens, a demandé au gouvernement américain d’exclure les fonds commun de place-ment canadiens des règles relatives aux PFIC.

Il a présenté sa demande à deux comités du Congrès américain : le FinancialServices Working Group Committee on Ways & Means et l’International TaxReform Working Group.

Dans sa demande, l’IFIC propose la négociation d’une solution administrativevisant à exclure les fonds commun de placement canadiens des règles relativesaux PFIC par un échange de lettres d’entente entre l’Agence de revenu duCanada et l’Internal Revenue Service.

Joanne De Laurentiis, présidente-directrice générale de l’IFIC, estime que letraitement aux fins de l’impôt des fonds communs de placement au Canada etaux États-Unis présente suffisamment de similarités pour justifier l’exclusiondes fonds communs de placement canadiens des règles relatives aux PFIC.

PLANIFICATION FISCALE ET SUCCESSORALE

Américains résidant au Canada :les problèmes fiscaux s’accentuent

www.investissementsrenaissance.ca/fr/jamie_golombek/

Twitter @JamieGolombek

Jamie Golombek est directeur gestionnaire,Planification fiscale et successorale pour legroupe Gestion privée de patrimoine CIBC. Il collabore étroitement avec les conseillers pour les aider à offrir des solutions intégrées de planification financière aux clients à valeur nette élevée. M. Golombek est fréquemment présenté par les médias comme un spécialiste de la fiscalité.

www.conseiller.ca/endirectBalado > Le budget fédéral vu par les planificateurs

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4 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE

Amérique du Nord : ralentissement

PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES

La principale préoccupation des marchés semble être la solidité de la repriseaux États-Unis. Même si la situation n’est pas aussi grave que le laissentcroire certaines des données les plus médiatisées, il n’en reste pas moins queles marchés risquent pour un certain temps de devoir modérer leurs attentesconcernant la croissance économique aux États-Unis. En effet, tous les indi-cateurs récents témoignent de façon régulière de cette faiblesse. Le secteurmanufacturier a affiché un résultat inférieur aux prévisions, alors que la confiance des consommateurs a été un peu plus faible. Ajoutées à cela lesdonnées décevantes sur le marché de l’emploi et le portait dressé par ces informations est conforme à notre prévision que la croissance au deuxièmetrimestre sera inférieure aux solides résultats du premier trimestre.

Il était manifeste que le rythme du premier trimestre ne se maintiendrait pas.La question est donc de savoir jusqu’à quel point le ralentissement actuel del’activité aux États-Unis est temporaire. Il est en ce moment fort raisonnablede supposer une croissance économique inférieure à 2 % au cours des deuxprochains trimestres. Sans être catastrophique, elle serait nettement inférieureà la croissance estimée de 3,4 % enregistrée au premier trimestre.

Au Canada, la situation commence à se clarifier. La perte de 54 500 emploissalariés observée au mois de mars n’était qu’une correction de la hausse inexpliquée de 50 700 emplois enregistrée au mois de février. Outre la volatilité d’un mois à l’autre, l’économie canadienne a créé mensuellementune moyenne de seulement 10 000 emplois au cours des six derniers mois.

Toutefois, il est inquiétant de constater que le commerce extérieur canadienpendant les deux premiers mois de l’année n’a pas profité de la vigueur relativede l’économie américaine au premier trimestre. Au contraire, le déficit commercial s’est creusé. Maintenant qu’elle ralentit, l’économie américainene peut qu’avoir un effet négatif sur les échanges commerciaux canadiens.

Du côté des consommateurs canadiens, étant donné le ralentissement dumarché de l’emploi, le revenu disponible réel par habitant a diminué au coursdes six derniers mois de 2012. Il n’est donc pas surprenant que les ventes audétail au Canada affichent une croissance négative. L’amélioration des ventesd’automobiles en janvier a bien contribué à stimuler l’activité, mais cettehausse pourrait être de courte durée, étant donné que les ventes d’automobilessont déjà revenues à leurs niveaux d’avant la récession. Il est difficile dedéterminer quel élément pourrait changer le cours des choses dans un avenirrapproché. Depuis le début de l’année, la croissance des salaires a été décevante, tout au plus, et un grand nombre d’observateurs s’attendent à voirflancher le marché de l’emploi, en raison principalement des pertes d’emploisdans le secteur public et la construction.

La croissance anémique du revenu au Canada signifie aussi que le ratiodette/revenu, surveillé attentivement, continuera d’établir de nouveaux sommets records au cours des prochains trimestres. La croissance de la dettedes ménages est actuellement plus lente que durant la récession de 2007 et,mis à part la période de quasi-récession de 1995-1996, elle n’a jamais été

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Ralentissement de l’emploi au Canada

Source: Statistique Canada, CIBC. Source: Statistique Canada, CIBC.

Stagnation des revenus – Revenu disponible réel des ménages par habitant

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aussi faible depuis 30 ans en dehors des périodes de récession. Autrementdit, à moins qu’un choc majeur ne vienne ébranler le système, il n’est pasréaliste de croire que la croissance de la dette des ménages ralentira poursuivre la faible croissance du revenu. En ce moment, la hausse du ratiodette/revenu n’est pas imputable à la dette, mais au revenu.

Qu’est-ce que cela signifie pour le marché? Malgré la forte sous-performancede l’indice S&P/TSX par rapport à l’indice S&P 500, bon nombre d’actionscanadiennes ont affiché une belle tenue. Sur les 10 principaux secteurs duTSX, un secteur a inscrit un rendement comparable à celui de l’indice S&P500 et trois autres l’ont joliment dépassé, à savoir la santé, les technologiesde l’information et l’industrie. Le retard du TSX est attribuable aux secteursqui, malheureusement, comptent parmi les poids lourds de l’indice.

Sans surprise, les ressources font partie du problème, dans un contexte où lacroissance de l’économie mondiale tarde à prendre de la vitesse. Les servicespublics ont cédé un peu de terrain, mais ce sont les matériaux qui ont le plussouffert, en raison du piètre rendement d’exploitation du segment minier etdes prix décevants des produits de base. Le secteur américain des matériauxa également accusé un retard par rapport à l’indice S&P 500, mais il est toujours en territoire positif. Les titres énergétiques canadiens, qui sont enavance sur l’année, ont été distancés par leurs homologues américains, enraison de l’inquiétude entourant la capacité des pipelines et de la concurrencede la production américaine, qui est en hausse.

L’autre divergence importante a été observée dans le secteur de la finance.Les titres bancaires américains profitent d’une reprise de l’habitation et de laconsommation, ainsi que du sentiment que l’héritage de la crise financière esten train de s’estomper. De son côté, le secteur financier canadien commenceà être intéressant du fait des dividendes versés, mais les investisseurs considèrent que la période faste de la demande intérieure de crédit estrévolue et qu’il est voué à un ralentissement de la croissance des bénéfices.

Qu’est-ce qui pourrait inverser la vapeur? La croissance mondiale. La sur-pondération de l’énergie et des matériaux industriels avantagerait le TSX si, comme nous le prévoyons, 2014 est marquée par une amélioration de lacroissance aux États-Unis et en Asie et, au moins, par la fin de la récession enEurope. Pour ce qui est des prix des produits de base, les sociétés aurifèrespourraient ne pas enregistrer une poussée similaire et devront prouver aux investisseurs qu’elles peuvent faire mieux en ce qui a trait à la maîtrise descoûts et à la réalisation des objectifs de production.

Pour l’instant, étant donné la faiblesse des taux d’intérêt, les titres du TSXpourraient surpasser les titres à revenu fixe. L’actualité économique de 2013étant toujours assez calme, les investisseurs compteront davantage sur lesdividendes que sur les gains en capital à court terme. Mais vers la fin de l’année, lorsque les yeux seront tournés vers l’amélioration des perspectivesde croissance mondiale en 2014, la situation pourrait s’inverser et le marchéde Toronto pourrait enregistrer une amélioration plus rapide que New York et prendre la tête.

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Total Énergie Finance Matériaux

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Pourquoi le TSX est-il à la traîne? – Appréciation depuis le début de l’année

Source: CIBC

www.investissementsrenaissance.ca/fr/

Benjamin Tal est économiste en chef adjoint à laBanque CIBC. Désigné comme l’un des principauxexperts canadiens du marché immobilier par leFonds monétaire international, il est responsablede l’analyse de l’actualité économique et de sesrépercussions sur les marchés nord-américains des titres à revenu fixe, des actions, des changes et des produits de base.

www.conseiller.ca/endirectBalado > Une année de transition pour le Canada

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6 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE

La communication en trois dimensions

À L’ENDOS DE LA SERVIETTE

La communication avec les clients actuels et éventuels estla clé du succès des activités de services-conseils. Maisnous nous limitons parfois aux modes de communicationque nous préférons si bien que nous risquons de passer à côté d’occasions très prometteuses.

Réfléchissez-y un instant… Notre expérience du monde passe par nos cinq sens.

Tout ce que nous savons, apprenons et ressentons est le résultat de l’informationtransmise par un ou plusieurs de nos sens. Pour voir, entendre, ressentir, sentir ou goûter, nous utilisons les canaux sensoriels suivants :Visuel (vue), Auditif (ouïe), Kinesthésique (toucher)… et dans une moindremesure… Olfactif (odorat), Gustatif (goût).

L’odorat et le goût peuvent contribuer considérablement à notre expériencedans certaines circonstances, mais ce sont surtout les trois premiers canaux,appelés par leur acronyme VAK, qui dominent et influent sur notre expériencede la vie.

Aussi appelés « systèmes de représentation », les canaux VAK(OG) sont les mécanismes qui transmettent l’information du monde extérieur à notrecerveau. En fait, les êtres humains tentent tout simplement de décoder

l’information qu’ils perçoivent en interprétant rapidement les données et enattribuant une signification personnelle à chaque expérience. Naturellement,la signification que nous donnons à un événement dépend largement de nosvaleurs et de nos croyances, mais elle est aussi fortement influencée par lesexpériences semblables que nous avons eues dans le passé.

Comment notre compréhension de ce concept de base peut-elle nousaider à communiquer avec les investisseurs?

La réalité est que nous sommes tous différents et que nous assimilons ettraitons l’information de manière différente. Certaines personnes sont des apprenants « visuels », alors que d’autres sont « auditifs » ou encore appren-nent en « agissant » ou de façon « kinesthésique ». Sans étude scientifiquecontrôlée, il est difficile de démontrer la répartition de la population entre lestrois styles d’apprentissage. Mais le simple fait de savoir qu’ils existent peutnous être très utile.

Sur le plan fonctionnel, l’apprenant visuel réagit mieux lorsqu’on lui présente desimages, des tableaux, des graphiques et d’autres éléments visuels. En revanche,l’apprenant auditif aura moins besoin de graphiques, mais sera captivé par unedescription verbale ou une explication. L’apprenant kinesthésique pour sa partcherchera à comprendre un concept par le ressenti physique ou émotionnel.

Vous est-il déjà arrivé à la fin d’une rencontre avec un client actuel ouéventuel de vous demander ce qui n’avait pas marché? Peut-être avez-vouseu l’impression d’avoir réussi à livrer un message percutant, mais échoué àvous faire bien comprendre de votre interlocuteur. Peut-être même avez-vouseu l’impression de parler une langue étrangère. C’était peut-être le cas, dumoins pour votre interlocuteur dont le mode d’apprentissage est différent.

Imaginez ce qui se passe lorsque nous présentons une recommandationuniquement sous forme verbale (auditive) à un client visuel. Même si nousprenons soin d’utiliser des anecdotes descriptives et de choisir des mots poétiques, le client visuel tentera désespérément de se former des « images »à partir de ce que nous disons.

Je ne sous-entends pas que les discussions avec les clients sont vouées àl’échec si les styles d’apprentissage sont différents, mais je crois que nouspouvons prendre des mesures importantes pour créer et livrer des messagesde la manière la plus imaginative possible.

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Canaux sensoriels

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Connaître le système de représentation privilégié du client à l’avance seraittrès utile et permettrait d’adapter nos messages en conséquence. Dans lapratique, toutefois, nous avons rarement l’occasion de dresser le profil de nos clients à l’avance. Quelle est la solution?

Apprendre à communiquer en trois dimensions

En suivant le processus étape par étape décrit ci-dessous, vous serez enmesure de créer des messages qui susciteront l’intérêt de TOUS vos interlocuteurs, quel que soit le style d’apprentissage qu’ils privilégient.

Première étape : Déterminez votre style d’apprentissage dominant

Il est possible qu’à ce stade-ci vous connaissiez déjà votre principal styled’apprentissage. Si ce n’est pas le cas, demandez-vous si vous apprenezmieux de manière visuelle, auditive ou kinesthésique. Pensez à la façon dontvous appreniez à l’école, dont vous préférez vous divertir ou retenez le mieuxl’information. Il se peut qu’un canal sensoriel domine tous les autres ou quevous trouviez un certain équilibre entre plusieurs canaux. Quoi qu’il en soit,tenez compte de votre découverte.

Deuxième étape : Déterminez de quelle façon votre préférence peutnuire à votre efficacité

Maintenant que vous connaissez votre système de représentation privilégié,demandez-vous comment cette préférence peut influer sur la façon dont vous communiquez avec vos clients actuels et éventuels. Si vous êtes plutôtauditif, avez-vous tendance à parler beaucoup lors de vos rencontres, mais à présenter peu d’éléments visuels? Si, en revanche, vous êtes visuel, essayez-vous de communiquer vos idées au moyen de feuilles de calcul et de tableaux et en donnant peu d’explications? Ou peut-être préférez-vousraconter des histoires émouvantes ou faire des démonstrations pratiquespour communiquer vos idées de façon kinesthésique, tout en négligeantd’autres moyens importants.

Quel que soit votre style, nous savons maintenant qu’un pourcentage de vosclients n’est pas en mesure de comprendre, de retenir ou de se rappeler l’information de la manière la plus optimale… pour eux.

Troisième étape : Élaborez et livrez tous vos messages en trois dimensions! (VAK)

Vous avez une chance inestimable de créer des messages riches en trois dimensions auxquels vos clients pourront s’adapter en fonction de la dimension qui leur convient le mieux. Voici une façon simple de considérer ce processus… Votre objectif ultime est d’utiliser tous les canaux VAK afin de montrer, de dire et de faire participer.

Au moment de choisir le contenu des messages destinés aux investisseurs,déterminez et intégrez d’abord divers moyens visuels, graphiques, images, diagrammes et tableaux qui retiendront l’attention. Chaque élément choisidoit raconter une histoire fascinante et convaincante sans nécessiter beaucoup d’explications.

Rédigez ensuite le texte qui expliquera, décrira et développera les élémentsvisuels. La clé est de décrire les graphiques d’une manière efficace, comme si vous n’aviez pas l’intention de les montrer pendant la rencontre.

Autrement dit, vos descriptions verbales doivent pouvoir être utilisées seules,avec ou sans les éléments visuels. N’oubliez pas que le client auditif seraégalement attentif au volume, au timbre et au ton de votre voix; votre débitsera donc crucial.

Songez enfin à ajouter un élément kinesthésique à votre message, commeune démonstration interactive sur votre ordinateur, des documents à remettreau client ou une question à poser au client sur ce qu’il pense de l’idée quevous venez de lui soumettre.

En résumé

En comprenant et en respectant nos différents styles d’apprentissage,nous pouvons voir notre modèle de communication avec un œil neuf. Et en modifiant tout simplement notre stratégie de communication, nous pouvons commencer à créer une expérience plus riche et plus stimulante pour nos clients actuels et éventuels.

VISUEL AUDITIF KINESTHÉSIQUE

Diapositives Descriptions verbales Objets

Tableaux Explications Démonstration

Graphiques Histoires Formation pratique

Feuilles de calcul Métaphores Séance interactive

Images Leçons de vie Jeu de rôles

Dessins CD audio Construction

Vidéos MP3 Axé sur les émotions

Communiquez avec votre représentant Renaissance pour accéder aux outils VAK sur les « décisions actuelles à l’égarddu revenu » et d’autres sujets

www.conseiller.ca/endirectBalado > Une inspection multipoint pour votre pratique de conseiller

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Grant Shorten est directeur, Analysesstratégiques à Investissements Renaissance.Il donne une foule de conseils et de stratégiesqui seront efficaces auprès de vos clients et qui auront une incidence immédiate sur vos activités.

Page 10: Le conseiller Renaissance

INFRASTRUCTURESRAPPORT 2013 SUR LES

Revenu continu, bonne diversification, croissance stableet avantage dans un contexte inflationniste.

Les infrastructures mondiales conviennent tout particulièrementaux investisseurs à long termed’aujourd’hui.

8 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE

Page 11: Le conseiller Renaissance

INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 9

Malgré les hauts et les bas des marchés et des économies, les investisseursjouiront d’un avantage en ajoutant une composante d’infrastructures mondialesà leur portefeuille. Les infrastructures, qui représentent environ 6 % duRégime de pensions du Canada, sont une catégorie d’actif qui a une faiblecorrélation avec l’indice de référence canadien S&P/TSX 500 et d’autres éléments de base des portefeuilles des Canadiens.

Pour connaître les facteurs qui favoriseront la croissance de cette catégoried’actif unique en 2013 et dans les années à venir, nous nous sommes entretenusavec Nick Langley, directeur et gestionnaire principal de portefeuille à RAREInfrastructure. RARE, dont le siège social est situé à Sydney en Australie, est une société mondiale axée uniquement sur les infrastructures cotées en bourse, qui figure parmi les plus prospères au monde.

Une voie mondiale pour les investisseurs prudents

À cause de leur aversion pour le risque, bon nombre de Canadiens hésitent à investir à l’extérieur du pays. Les infrastructures leur offrent donc une excellente occasion d’investir à l’échelle mondiale dans une catégorie d’actifmoins volatile, selon M. Langley. « Elles procurent une meilleure protectiondu capital lorsque les marchés sont en baisse et une part raisonnable desgains lorsque les marchés sont en hausse. » Étant donné les distributions derevenu prévisibles et la protection naturelle contre l’inflation qu’offrent lessociétés d’infrastructures, RARE vise à obtenir des rendements stables à longterme. « Les rendements dans l’ensemble sont intéressants par rapport auxindices boursiers mondiaux et aux actifs comparables », ajoute-t-il.

LES 3 PRINCIPALES RÉGIONS FAVORABLES À LA CROISSANCE DES INFRASTRUCTURES SELON RARE

Amérique du Nord Cette région peut passer rapidement de la récession à la croissancegrâce à l’aide soutenue de la Réserve fédérale américaine.

Asie (sauf la Chine et le Japon)Étant donné la forte croissance de la population et du revenu ainsi quela stabilité des gouvernements, cette région recueille les liquiditésgénérées dans les marchés développés.

Amérique centrale et Amérique du SudMême commentaire que pour l’Asie, sauf que le processus est pluslong dans cette région, car certains pays, comme le Brésil, manipulentla réglementation afin d’accaparer une plus grande part de la richesse.

LES 3 PRINCIPAUX SECTEURS FAVORABLES À LA CROISSANCE DES INFRASTRUCTURES SELON RARE

Secteur ferroviaire aux États-Unis Secteur exposé et sensible à la croissance du PIB aux États-Unis, carles sociétés ferroviaires acheminent les marchandises dans tous lessecteurs d’activité du pays.

Tours de télécommunication aux États-UnisSecteur exposé indirectement à la croissance des abonnements auxtéléphones intelligents et des téléchargements de données sans fil.

Installations portuaires à l’échelle mondialeSecteur en voie de profiter de l’intensification du commerce mondialet intrarégional, en particulier les ports desservant les marchés émergents.

MONDIALESDécouvrez pourquoi l’occasion offerte actuellement par les infrastructures s’applique aussi bien aux tours de télécommunication nécessaires pour satisfaire notre appétit insatiable pour les communications mobiles qu’aux services publics essentiels.

Page 12: Le conseiller Renaissance

10 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE

Tours de télécommunication aux États-Unis – infrastructure technologique

Selon M. Langley, les tours de télécommunication aux États-Unis, que l’onn’associe pas généralement au secteur des infrastructures, présentent plusieurscaractéristiques qui rendent leur espace particulièrement intéressant en cemoment. « Les consommateurs ont indiqué que les téléphones intelligents et les tablettes électroniques seront leurs appareils de choix dans l’avenir. La fonctionnalité accrue de ces appareils nécessite une couverture sans fil etune largeur de bande plus importantes. Les entreprises américaines de télé-communications sans fil doivent maintenant améliorer leurs réseaux, ce quinécessite l’installation de nouveaux équipements sur les sites des exploitantsde tours. Elles sont en train de déployer des réseaux de quatrième génération(4G), aussi appelée Long-Term Evolution, ce qui se traduit par une hausse des revenus pour les exploitants de tours qui font payer les fournisseurs deservices sans fil en fonction de la taille et du poids de l’équipement qu’ils fixent sur la tour. »

« Les possibilités d’ériger de nouvelles tours sont très limitées, de sorte queles sites actuels sont recherchés et leurs exploitants jouissent presque d’unmonopole. Le déploiement des réseaux 4G prendra un certain temps et RAREy voit un avantage puisque l’ensemble du marché n’a pas encore découvertles occasions offertes par les tours en ce qui a trait à la technologie. De plus,un certain nombre d’exploitants de tours sont aussi en train de se convertir en fiducies de placement immobilier afin de pouvoir éliminer l’impôt des sociétés et accroître leurs rendements en dividendes puisqu’ils seront alorstenus de distribuer 90 % de leur revenu imposable aux investisseurs. »

Une protection naturelle contre l’inflation

Les infrastructures constituent un placement pratique en périodes de haussedes prix, puisque les tarifs des services publics, les péages ou les coûts desprojets augmentent avec l’inflation. Selon M. Langley, la plupart des placementsdu portefeuille de RARE sont directement ou indirectement liés à l’inflation. « Au Royaume-Uni, en Australie et en Amérique du Sud (qui représentent 21 %du portefeuille actuellement), les tarifs des services publics sont rajustés enfonction de l’inflation chaque année et, de plus, leurs actifs font l’objet d’unrajustement pour que leurs rendements soient protégés contre une hausse del’inflation. Bon nombre d’exploitants d’auto routes à péage détenus par RARE(10 %) voient les péages rajustés chaque trimestre ou une fois l’an pour tenircompte de l’inflation. Prenons l’exemple de Transurban, un constructeur international d’autoroutes à péage.

Son principal actif en Australie est rajusté chaque trimestre en fonction dutaux le plus élevé entre le taux d’inflation et 1 % (ce qui signifie une majorationdes tarifs d’au moins 4 % par année).

« En Amérique du Nord (20 % du portefeuille), les services publics sont liésindirectement à l’inflation, puisque les organismes de réglementation publicsdéterminent le rendement nominal cible des capitaux propres (investis dansles actifs). Par conséquent, lorsque l’inflation augmente, le rendement cibledes capitaux propres augmente aussi. Nous disons qu’ils sont liés indirecte-ment parce que le rajustement accordé par l’organisme de réglementation se fait de façon ponctuelle et qu’il peut prendre un an ou même plus, de sorteque l’entreprise offre une protection décalée contre l’inflation.

« Les rendements de plus de la moitié des placements en portefeuille sontdonc plus ou moins liés à l’inflation au fil du temps. Parmi les autres sociétésen portefeuille, 23 % (aéroports, communication par satellite et certaines sociétés ferroviaires) voient une partie de leurs actifs rajustés en fonction del’inflation chaque année et pour le restant, soit 19 % (surtout les ports ainsique les sociétés ferroviaires et les tours de télécommunication aux États-Unis), les tarifs sont négociés et rajustés en fonction soit de l’inflation, soitd’un rendement cible nominal, avec le temps. »

Protection contre la hausse des taux d’intérêt

Selon M. Langley, RARE considère l’exposition aux taux d’intérêt en termesde taux réels majorés de l’inflation. « Les services publics représententgénéralement la partie du portefeuille qui est protégée contre les taux réels.Cette protection s’explique par le fait que leurs rendements cibles sont rajustés régulièrement (entre quatre et huit fois par année au Royaume-Uni,en Australie et au Brésil) ou de manière ponctuelle (États-Unis).

« Le portefeuille est exposé à l’effet que les taux réels ont sur un certain nombre de titres de sociétés d’infrastructures (autoroutes à péage, aéroports,ports, sociétés ferroviaires et autres sociétés sensibles au PIB) qui ne disposentpas de mécanismes de compensation des taux d’intérêt dans leurs accords deconcession. Si les taux réels augmentent par suite de la reprise de l’économiemondiale, ces entreprises peuvent profiter de leur sensibilité à la croissancedu PIB. Soulignons que bon nombre de ces entreprises offrent une protectioncontre l’inflation.

« Par conséquent, si l’augmentation des taux d’intérêt résulte d’une haussede l’inflation, le portefeuille sera en grande partie protégé. Si la hausse faitsuite à des variations des taux réels, environ la moitié du portefeuille profiterade la croissance du PIB mondial. »

« Les sociétés détenues dans le portefeuille de RARE

n’ont pas réduit leurs dividendes depuis qu’elles y figurent. »

Nick Langley, directeur et gestionnaire principal de portefeuille, RARE Infrastructure

« L’ensemble du marché n’a pas encore découvertles occasions offertes par les tours en ce qui a trait à la technologie. »Nick Langley, directeur et gestionnaire principal de portefeuille, RARE Infrastructure

Page 13: Le conseiller Renaissance

Revenu stable

Selon M. Langley, le portefeuille de RARE produit habituellement un rende-ment de 3 % à 6 % tout au long du cycle économique.

« Au début du cycle, lorsque l’économie sort de la récession (comme c’est lecas actuellement), le rendement en dividendes est habituellement à son plusbas, parce que le portefeuille privilégie les sociétés d’infrastructures dont la composante de croissance du capital est plus élevée par rapport à leur rendement total. Ces sociétés affichent aussi la plus forte croissance des dividendes lorsque les bénéfices se redressent après la récession.

« Les sociétés détenues dans le portefeuille de RARE n’ont pas réduit leursdividendes depuis qu’elles y figurent. Le revenu est un élément crucial desrendements à long terme que RARE attend des sociétés d’infrastructures

et celles-ci sont évaluées en fonction de la stabilité de leurs dividendes et deleur potentiel de croissance », souligne M. Langley.

Les infrastructures sont un complément aux décisions actuelles à l’égard du revenu

Dans le contexte actuel des faibles rendements, il serait sage pour les investisseurs qui recherchent un revenu additionnel et une croissance stabled’intégrer une composante étrangère à leur portefeuille s’ils veulent atteindreleurs objectifs de placement.

Utilisez la nouvelle affiche Décision actuelle à l'égard durevenu pour briser la glace.Montrez aux clients pourquoi le moment est venu d’examiner des sources de revenuautres que traditionnelles pour obtenir le rendement additionnel dont ils ont besoin.

Consultez votre exemplaire dans ce numéro

Vidéo > Infrastructures mondiales : Une route stable devant soi

Balado > Misez sur lacroissance, et surtout passur l’Europe

INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 11

Vous trouverez à la page suivante des solutions Renaissance qui donnent à vos clients un accès aux infrastructures mondiales.

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Fonds d’infrastructure mondial RenaissanceMSCI mondial

Une faible corrélationsignifie de meilleures

propriétés de diversification

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14Fonds d’infrastructure mondial RenaissanceIndice MSCI mondial

Meilleure diversification qu’avec les actions mondialesCorrélation avec l’indice composé S&P/TSX

Un placement mondial moins volatilÉcart-type sur 5 ans (au 31 mars 2013)

Source: Bloomberg, Gestion d'actifs CIBC Source: Bloomberg, Gestion d'actifs CIBC

Page 14: Le conseiller Renaissance

12 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE

Comment accéder à l’avantage des infrastructures maintenant

SOLUTION CLÉ DE PLACEMENT

ÉTAPE NO 1 Choisissez de réduirele risque du porte-feuille et d’accroîtreles rendements en ajoutant des infrastructures.

ÉTAPE NO 2Sélectionnez l’une des deux excellentessolutions suivantes.

ÉTAPE NO 3Faites confiance aux experts.

• Intérêt unique pour les sociétés d’infrastructure mondiales cotées en bourse (il s’agit d’un spécialiste des infrastructures qui gère des fonds, et non d’un gestionnaire de fonds qui gère des infrastructures)

• Plus de 70 années d’expérience collective dans le secteur des infrastructures• Cherche à reproduire le profil risque/rendement des infrastructures non cotées• Rajustement du portefeuille en vue de la prochaine phase du cycle économique grâce à une gestion active

ZSi vous souhaitez un complément d’information sur comment faire profiter de ces solutions à vos clients, communiquez avec votre représentant d’Investissements Renaissance.

1 Source : Morningstar, pour la période mentionnée se terminant le 31 mars 2013 pour les parts de catégorie A des Fonds. © 2013 Morningstar Research Inc. Tous droits réservés. Les renseignements contenus dans les présentes 1) sont la propriété de Morningstar et/ou de ses fournisseurs de contenu, 2) ne peuvent être ni copiés ni diffusés et 3) leur exactitude, leur exhaustivité et leur fiabilité ne peuvent être garanties. Morningstar et ses fournisseurs decontenu ne peuvent être tenus responsables de toute perte ou de tout préjudice résultant de l’utilisation de ces renseignements. Les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. Les rangs quartiles sont déterminéspar Morningstar Research Inc., une société de recherche indépendante. Les rangs quartiles permettent de comparer le rendement d’un fonds à ceux d’autres fonds, dans une catégorie donnée; ils sont susceptibles de varier chaquemois. 2 Portefeuille optimal de revenu Renaissance créé le 13 novembre 2007. Fonds d’infrastructure mondial Renaissance créé le 20 octobre 2010.

Les placements dans les fonds communs de placement peuvent faire l’objet de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres charges. Veuillez lire le prospectus simplifié de la famille des fonds d’InvestissementsRenaissance avant d’investir. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur varie fréquemment et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement futur.

Cote Depuis la Morningstar 1 an 2 ans 3 ans 5 ans création2

Accès diversifié : Portefeuille optimal de revenu Renaissance ���� 8,2 % 6,0 % 7,4 % 4,7 % 4,3 %

Quartile1 1 1 1 1 s.o.

Infrastructures seulement :Fonds d’infrastructure mondial Renaissance ����� 18,2 % 10,2 % 11,1 % 4,2 % 3,3 %

Quartile1 1 1 1 1 s.o.

Rend

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t tot

al s

ur 3

ans

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30 % infrastructures/70 % indice composé S&P/TSX

20 % infrastructures/80 % indice composé S&P/TSX

100 % indice composé S&P/TSX

Plus derendement

Moins de risque

Source : Morningstar Direct au 31 décembre 2012.

Rendement au 31 mars 2013. Source : Morningstar Direct.

Page 15: Le conseiller Renaissance

INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 13

La conception du portefeuille est essentielle

MERCI À CEUX QUI NOUS ONT OFFERT LEUR SOUTIEN

Sans le soutien de conseillers comme vous, InvestissementsRenaissance n’aurait pas le privilège d’aider tant de Canadiensà atteindre leurs objectifs financiers. Nous vous présentonsun des spécialistes exceptionnels avec qui nous sommestrès fiers de travailler.

Ce que j’aime de notre secteurLe secteur des placements de la clientèle privée me fascine toujours même aprèstoutes ces années, et ce, pour deux raisons. Mon travail me permet d’apporterun soutien à des gens intéressants qui ont des objectifs de vie différents. La situation de chaque client est différente et comporte des défis et des possibilitésqui doivent faire l’objet de recherches et ensuite être présentés de façon claireau client. De plus, le contexte de placement évolue sans cesse. Certaines solutions autrefois jugées prudentes ne sont plus de mise aujourd’hui, et il y atoujours de nouveaux produits et services à découvrir. On ne s’ennuie jamais!

Que faites-vous pour aider les clients en cette période de faibles rendements?Les faibles rendements sont certainement un problème en ce moment. Les portefeuilles d’obligations à échéances échelonnées et les portefeuillesd’obligations d’État, qui étaient les solutions traditionnelles, ne conviennentplus à de nombreux clients. Dans pareille situation, trois possibilités s’offrentaux clients. Augmenter le capital en épargnant davantage ou travailler pluslongtemps. Ou encore, accroître les actifs « risqués » dans le portefeuille deplacements. Le revenu de dividendes provenant des actions peut être plusélevé que les rendements des obligations. Ce n’était pas le cas dans le passé,mais un portefeuille d’actions bien conçu peut produire actuellement un niveau de liquidités supérieur à celui d’un portefeuille de titres à revenu fixe.Cependant, le risque doit toujours faire l’objet de discussions et être bien compris. La conception du portefeuille est donc cruciale et la diversification ne consiste pas uniquement à détenir plus de titres, mais à détenir des titresnon corrélés et de qualité appropriée.

On parle beaucoup de « grande rotation ». Avez-vous l’intention d’accroître la composante d’actions?Ajouter des actions aux portefeuilles des clients présente un risque qu’il fautanalyser avec soin et présenter clairement. J’utilise un processus ascendantde conception de portefeuille qui consiste à faire concorder les besoins de liquidités des clients avec le revenu de placement. Compte tenu des faiblesrendements des titres à revenu fixe, les portefeuilles des clients accordent

déjà une plus grande place aux actions et j’ai déjà accru la composante d’actions dans mes portefeuilles équilibrés. Pour faire un tel changement, il faut apporter une attention particulière à la sélection des actions afin demaintenir le risque global à un niveau approprié pour les clients.

Quel est votre avis sur l’ajout des infrastructures comme catégoried’actif dans les portefeuilles de vos clients?Étant donné que la composante d’actions a augmenté, les infrastructures sont devenues un placement clé dans les portefeuilles des clients pour deuxraisons : le revenu stable et la faible corrélation avec les autres catégoriesd’actif. Les recherches et la sélection des titres sont toutes aussi crucialespour cette catégorie d’actif que pour les autres. Examiner les rendementsboursiers et les données sur la corrélation n’est indiqué que s’ils peuvent être reproduits. Il est important de trouver un fonds où les placements en infrastructures sont des actifs forts ainsi que des titres négociables afin deconstruire un portefeuille vraiment diversifié à faible risque.

Meilleur conseil pour acquérir de nouveaux clientsTravaillez avec les centres d’influence à chaque occasion, à commencer parvos clients.

Passe-temps préférésLa voile et la musique

Un objet dont je ne peux pas me passerMon téléphone cellulaire – comment faisions-nous pour survivre avant?

Société : Conseils de placement privés, Gestion de patrimoine TD

Nombre d’années dans le secteur : 26

Nombre de personnes dans l’équipe : 2

Ann E. Martin, CFA

Page 16: Le conseiller Renaissance

Que ce soit sur les routes de campagne ou les pistes cyclables de la ville, le cyclisme au Canada montrepartout des signes de popularité grandissante. Il n’y a aucune raison de nepas prendre part au plaisir de rouler ce printemps.

14 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE

Page 17: Le conseiller Renaissance

INVESTISSEMENTS RENAISSANCE 15

Selon Cyclisme Canada, le nombre decyclistes certifiés au pays augmente

d’environ 10 % par année. D’ailleurs, en2012, le Globe and Mail titrait un article :

« Cyclisme : le nouveau golf »(Cycling is the new golf).

Admirables accessoires Le site Web blessthisstuff.com a publié sa liste

des neuf meilleurs accessoires de vélo de 2012.On y trouve notamment :

• Un porte-bouteille de vin en cuir qui se fixe au cadre du vélo.

• Un amplificateur de son iPhone pour vélo, qui vous permet d’écouter vos listes de

lecture lors de vos déplacements.

• Une valise-remorque qui permet de transporter vos effets professionnels

et vos sacs d’épicerie.

• Une lumière sans interrupteur qui détecte vos mouvements et

s’allume automatiquement quand il fait suffisamment sombre.

www.blessthisstuff.com

Perspective d’un cycliste…

Pour obtenir quelques conseils pratiques, nous nous sommes entretenus avec EdVeal, cycliste de route de catégorie 1 et champion en titre de la Coupe de l’Ontario.Ed est entraîneur et propriétaire de Real Deal Racing (www.realdealracing.ca).

Quelle condition physique doit-on avoir pour se mettre au cyclisme?

« Aucune condition physique particulière n’est nécessaire. N’attendez pas d’avoiratteint votre forme physique idéale avant de commencer à prendre plaisir à faire duvélo. En fait, plus tôt vous commencerez, plus vite vous atteindrez rapidement lacondition physique idéale pour rouler. Transpirer et être un peu à bout de soufflepeut être plutôt agréable si ce genre de sensation ne vous fait pas peur. »

Quelles sont certaines des choses à faire et à ne pas faire en matière de cyclisme?

« Certaines personnes mettent trop l’accent sur l’entraînement. N’oubliez pas de profi -ter du temps que vous passez dehors et du paysage que vous ne seriez pas en mesured’admirer si vous étiez en voiture. Déviez de vos trajets habituels et ayez le sens del’aventure. La pratique du vélo peut être vraiment très agréable, et la vitesse et la miseen forme peuvent parfois faire ombrage à ce plaisir. Encore aujourd’hui, je roule pourm’amuser, que ce soit en sautant une bordure de trottoir, en passant dans une flaqued’eau ou en conduisant en zigzaguant (quand je peux le faire sans danger). »

Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui souhaite participer à des courses?

« Je lui conseillerais d’abord de s’habituer à rouler en groupe. Je lui dirais ensuitede demander la collaboration d’un ami en qui elle a confiance pour s’exercer à rouler près de quelqu’un et pour pratiquer l’effet d’aspiration [technique de cyclismeavancée qui consiste à se placer en ligne droite à quelques pouces seulement d’unautre cycliste de manière à réduire le facteur éolien]. Lorsqu’on maîtrise la technique,on peut demander à un troisième et à un quatrième cyclistes de se joindre au groupe.Je lui suggérerais de commencer à sillonner les routes de campagne pour prendre del’expérience avant de s’aventurer sur l’autoroute. Le cyclisme en groupe exige denombreuses compétences, qui ne s’acquièrent pas du jour au lendemain. Avant departiciper à une activité de ce genre, il faut s’exercer à la prise de virage, à la tenuedu vélo et au cyclisme avec d’autres. »

Quels sont certains des avantages de faire partie d’un groupe de cyclistes?

« Il y en a trop pour tous les nommer. De nos jours, il existe des clubs incroyables quiproposent de nombreuses randonnées et activités tout au long de l’année. Comme lecyclisme est un sport très social, la rencontre d’autres personnes qui ont la même pas-sion que moi constituerait la principale raison pour laquelle je me joindrais à un club. »

Quelles activités de cyclisme peuvent plaire à toute la famille?

« N’importe quelle série d’épreuves de vélo de montagne conviendrait parfaitement. Ils’agit d’une activité de huit heures durant laquelle vous pouvez établir un campement,rouler autant que vous le voulez et profiter de promenades en plein air sur le site. Voilàqui pourrait s’avérer l’activité de cyclisme par excellence pour toute la famille. »

De façon générale, l’âge et la condition physique n’ont aucune importance; le cyclismeest une activité que tous peuvent aimer pratiquer. Vous pourriez même envisager dejoindre ou de former un groupe de cyclistes dans votre collectivité. Vous souhaitezprendre la bonne direction? Il existe de nombreuses ressources sur le cyclisme, et envoici quelques-unes qui vous aideront à entreprendre votre parcours dès aujourd’hui :www.canbike.net, www.cyclismecanada.ca et www.tourducanada.com. À vos pédales!

De nombreux facteurs augmentent la popularité du cyclisme : les baby-boomers en quête d’une activité à plus faible impact que la course, une visibilité accrue du sport dans les médias (l’an dernier, Ryder Hesjedal de laColombie-Britannique a remporté le Giro d’Italia), une forte augmentationdes activités de bienfaisance liées au cyclisme et la pratique du vélo qui devient une option plus viable pour les navetteurs (pistes cyclables, meilleur équipement, prix de l’essence).

Vous n’avez pas enfourché un vélo depuis votre tendre enfance? C’est le moment idéal de vous remettre en selle. Vous aurez d’abord besoin d’unvélo, et faire un choix soulèvera plusieurs questions : • Combien cela coûtera-t-il? D’un vélo usagé déniché sur eBay pourmoins de 100 $ à un vélo de route de grande qualité pour plus de 2 500 $,vous avez amplement le choix.

• Quelle utilisation vais-je faire de mon vélo? Que vous envisagiez departiciper à des courses, de sillonner des sentiers ou de rouler pour vousrendre au travail, vous aurez très certainement votre mot à dire dans lechoix du vélo qui vous convient.

• De quels accessoires ai-je besoin? Casques, gants, lunettes, vête-ments, lumières, cyclomètres : les choix d’accessoires branchés pour vélone manquent pas.

Peu importe les besoins, tout le monde y trouve son compte. Pour déterminerles accessoires qui vous conviennent, adressez-vous au personnel d’uneboutique de vélo réputée. Souvenez-vous du moment où vous avez achetévotre voiture de rêve. Vous avez pris le temps de choisir celle qui comblaittous vos besoins. Il en va de même pour un vélo. Idéalement, choisissez un cadre en fonction de la longueur de vos jambes. Et n’oubliez pas de mettre le vélo à l’essai à quelques reprises.

Page 18: Le conseiller Renaissance

16 INVESTISSEMENTS RENAISSANCE

Vérifiez vos réponses à l’adresse www.investissementsrenaissance.ca/magazine/reponses

Pour un cerveau en pleine forme

Sudoku – Remplissez le casse-tête sudoku afin que chaque rangée,colonne et boîte de 3 cases par 3 cases contienne les chiffres de 1 à 9une seule fois.

Lettres mélangées – Remettez les lettres ci-dessous dans lebon ordre pour former des mots se trouvant dans l’articleaux pages 8 à 11.

Encerclez les différences – Pouvez-vous trouver les cinq différences entre les images ci-dessous?

3 8 9 7

1 6 3

6 5 7 1

6 9 5 4

9 1

5 8 1 6

7 2 1 3

5 1 7

9 3 4 7

1. rtsou

2. jarsuéts

3. sritaf

4. ucimctomnliétaoné

5. nadbe

6. ncrooittep

7. veisrsec

8. séurtel

9. énsecrsio

10. téstbaili

Source : 4puz.com

Page 19: Le conseiller Renaissance

ILS ONT EXPRIMÉ LEUR SOUTIEN EN

DONNANT UN PETIT BIBELOT.

LES GRANDS LEADERS SAVENT QUE POUR MONTRER UNE VÉRITABLE RECONNAISSANCE, IL FAUT FAIRE UN EFFORT SUPPLÉMENTAIRE.

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pas une statue de 50 mètres, mais vous devez avoir des solutions qui vous permettent de leur montrer votre reconnaissance, en ajoutant de la valeur pour vos meilleurs clients et en créant des relations d’affaires à long terme.

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Page 20: Le conseiller Renaissance

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À L’USAGE EXCLUSIF DES CONSEILLERSInvestissements Renaissance et les portefeuilles Axiom sont offerts par Gestion d’actifs CIBC inc. Le présent document a été préparé à l’intention des spécialistes en placements uniquement et ne doit pas être diffusé au grand public. Il est fourni à titre indicatifseulement et ne vise pas à donner des conseils de placement ni des conseils juridiques ou fiscaux. Ce document ne peut être reproduit ou distribué, en totalité ou enpartie, sans le consentement formel écrit d’Investissements Renaissance. MD Axiom, Portefeuilles Axiom et Investissements Renaissance sont des marques déposées de Gestion d’actifs CIBC inc.

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Page 21: Le conseiller Renaissance

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vaincre la morosité européenne »

Par : Nick Langley, RARE Infrastructure

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les obligations »

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Page 22: Le conseiller Renaissance

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LES GRANDS LEADERS SAVENT QUE DÉCODER LA COMPLEXITÉ PEUT RAPPORTER BEAUCOUP.

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PLANIFICATION

FISCALE

1953Découverte de l’ADN, le code

génétique du corps humain.

02001F (201304)