Réservé à l’usage des conseillers

PROFILS DE FONDS TRIMESTRIELS / GESTION DES PRATIQUES / PERSPECTIVES / OPINION T3 – 30 SEPTEMBRE 2013

Le conseiller

ÉGALEMENT DANS CE NUMÉRO :

Conseils fiscaux de fin d’annéeTirer parti du « trou noir » du transfert de patrimoine

Il vous manque une partie importantedu tableau des revenus?Découvrez pourquoile temps est venude mettre le cap sur le revenu.

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Si vous passez tout votre temps à analyser les informations, comment pouvez-vous vous concentrer sur ce qui compte pour votre pratique? Nous éliminons la complexité des questions de fi scalité et de succession pour obtenir des perspectives claires et pratiques. Ainsi, vous pouvez consacrer plus de temps à défi nir votre réussite.

CONSEILS EN PLANIFICATION FISCALE ET SUCCESSORALE

Renaissance peut vous aider à compléter un portrait fi scal éclairé pour vos clients. Téléchargez votre trousse aujourd’hui sur :

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Dans ce numéroPAGE

Investissements Renaissance

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Planification fiscale et successorale 3Agir maintenant pour réaliser des économies d’impôt en 2013

Perspectives économiques 4La reprise mondiale se poursuit

À l’endos de la serviette 6Le trou noir du transfert du patrimoine

Le moment est venu de mettre le cap sur le revenu 8

Rendement, croissance et protection contre les baisses 12

Merci à ceux qui nous ont offert leur soutien 13Promettre moins, ça rapporte plus!

Le monde merveilleux des superaliments 14

Pour un cerveau en pleine forme 17

Lettre du chef des ventes nationales

Voici le numéro de l’automne du magazine Conseiller Renaissance. Le temps se refroidit, annonçant le retour de l’hiver et toutes les bonnes choses qui l’accompagnent. Je dis cela un peu en plaisantant puisque la plupart des gens à qui je parle ne semblent pas aussi emballés que mon fils à l’idée de la glace, de la neige et du froid.

Toutefois, si nous jetons un coup d’œil aux possibilités qu’offre la saison froide, il y a de nombreux points positifs. Qu’il suffise de penser auhockey, au ski, à la motoneige, aux vacances dans le sud et aux fêtes de fin d’année, pour n’en nommer que quelques-uns. Sans doute la période des REER pourrait elle aussi être considérée comme un point positif de l’hiver.

En appliquant la même logique aux placements, nous pouvons sans doute dire que la hausse imminente des taux d’intérêt et la conjonctureéconomique en mutation constituent aussi des points positifs. La plupart s’attendent à une hausse des taux d’intérêt, sans toutefois savoir avec certitude à quel moment elle se produira, et nous devons préparer nos clients à cette éventualité.

La hausse des taux d’intérêt offre de nombreuses possibilités, comme c’est le cas pour l’hiver. Dans le présent magazine, nous présentonsplusieurs options de placement qui vous prépareront au changement de conjoncture. Il existe des options de revenu qui protégeront vos clients en période de hausse des taux d’intérêt et qui les aideront même à faire croître leurs avoirs. Un sujet qui devrait intéresser vos clients est la solution à taux variable que nous avons lancée récemment. Le Fonds de revenu à taux variable Renaissance offre la protection que de nombreux investisseurs recherchent lorsque les taux augmentent et il a reçu un bon accueil tant de la part des clients que de celle des conseillers. N’hésitez pas à discuter de ce sujet ou de toute autre question avec votre partenaire d’Investissements Renaissance.

J’aimerais aussi attirer votre attention sur l’article de Grant Shorten qui traite du transfert de patrimoine (voir page 6). Son exposé durant notre récente tournée a porté sur ce sujet et a incité de nombreux conseillers à mettre en place un plan d’action pour protéger leur entreprise. C’est à lire absolument.

Nous nous employons à établir des relations d’affaires durables avec vous et à devenir votre partenaire de confiance. Je vous remercie de votre soutien et j’attends avec intérêt vos commentaires. N’hésitez pas à communiquer avec moi en tout temps.

Pour toutes les fêtes qui s’en viennent, je vous offre mes meilleurs vœux et j’espère que vous passerez d’agréables moments avec vos proches.

Sincères salutations,

Dave WahlChef des ventes nationalesInvestissements Renaissance416 943-6959

Temps froid et hausse des taux –les possibilités abondent!

Agir maintenant pour réaliser deséconomies d’impôt pour 2013

Investissements Renaissance 3

www.investissementsrenaissance.ca/fr/jamie_golombek/

Twitter @JamieGolombek

Jamie Golombek est directeur gestionnaire,Planification fiscale et successorale pour legroupe Gestion privée de patrimoine CIBC. Il collabore étroitement avec les conseillers pour les aider à offrir des solutions intégrées de planification financière aux clients à valeur nette élevée. M. Golombek est fréquemment présenté par les médias comme un spécialiste de la fiscalité.

www.conseiller.ca/endirectBalado > Comment profiter à fond du REEE et du REEI

PLANIFICATION FISCALE ET SUCCESSORALE

Pour réaliser des économies d’impôt en 2013, il faut prendre certaines mesures d’ici le 31 décembre. Voici quelques idées dont lesclients voudront sans doute discuter avec leurs conseillers fiscaux.

Faire des dons de bienfaisance – Possibilité d’un crédit supplémentaire de 25 %

Le 31 décembre est la dernière journée pour faire un don et obtenir un reçu àdes fins fiscales pour l’année en cours. Le super crédit pour premier don de bienfaisance (SCPD) du gouvernement fédéral est offert pour la première foiscette année. Un client peut demander ce crédit si ni lui ni son conjoint (ou conjoint de fait) n’ont demandé un crédit pour don de bienfaisance au cours descinq dernières années d’imposition, soit de 2008 à 2012. Le SCPD, qui ne peutêtre demandé qu’une seule fois pour les années d’imposition allant de 2013 à2017, donne droit à un crédit d’impôt supplémentaire de 25 % sur les dons de 1 000 $ ou moins effectués après le 20 mars 2013. Lorsque ce crédit est ajouté àl’actuel crédit d’impôt fédéral pour les dons de bienfaisance, l’économie d’impôtatteint 40 % du montant du don total de 200 $ ou moins et 54 % de la portiondu don qui dépasse 200 $, jusqu’à concurrence de 1 000 $. Les crédits d’impôtprovinciaux pour dons de bienfaisance contribuent également à augmenter leséconomies d’impôt.

Enregistrer des pertes en capital

Si les clients possèdent des titres ou des parts de fonds ayant enregistré despertes, ils pourraient envisager de les vendre avant la fin de l’année de façon à annuler les gains en capital qu’ils ont réalisés durant l’année. Les titres négociés sur le marché doivent être vendus avant le 24 décembre pour êtreréglés avant le 31 décembre 2013. Si les clients projettent de racheter les titres,ils doivent s’assurer d’attendre au moins 30 jours. Sinon, les règles de « pertesuperficielle » les empêcheront de réclamer une perte en capital jusqu’à cequ’ils revendent les titres.

Payer des frais de placement

Les clients peuvent déduire les dépenses relatives aux placements (comme l’intérêt sur l’argent emprunté aux fins de placements et les frais de conseil enplacement) dans leur déclaration de revenus de 2013 si elles ont été acquittéesavant le 31 décembre. Notez que 2013 est la dernière année où ils peuvent déduireles frais d’un coffret de sûreté. À partir de 2014, cela ne sera plus possible.

Convertir un REER en FERR à 71 ans

Les clients qui ont eu 71 ans en 2013 ont jusqu’au 31 décembre pour faire leursdernières cotisations à leur régime enregistré d’épargne-retraite (REER) avantde le convertir en un fonds enregistré de revenu de retraite (FERR) ou en rente enregistrée.

Si les clients ont gagné des revenus en 2013, ils peuvent penser à verser unecotisation excédentaire à leur REER en décembre avant sa conversion. Mêmes’ils paient une pénalité fiscale de 1 % sur la cotisation excédentaire pourdécembre, ils obtiendront de nouveaux droits de cotisation le 1er janvier 2014 et pourront déduire la cotisation excédentaire dans leur déclaration de revenusde l’année prochaine.

Les clients devraient toujours discuter des stratégies de planification fiscaleavec un fiscaliste pour déterminer comment elles peuvent s’intégrer à leur plan financier global.

“Si les clients ont gagné des revenus en 2013, ils peuvent penser à verser une cotisation excédentaire à leur REER en décembre

avant sa conversion.”

Malgré la saga à Washington – ou peut-être en raison de celle-ci –,il est important d’examiner le portrait global. Comme prévu, 2013 serévèle être une année de transition entre la reprise et un stade plusavancé du cycle économique.

Il y a un an, les investisseurs se demandaient encore si l’euro allait survivre.Aujourd’hui, il est manifeste que l’euro est là pour rester. Les débats portentuniquement sur le rythme de croissance de la zone euro au cours de laprochaine année ou des deux prochaines années.

Il y a un an, le marché tenait toujours compte du risque que l’économie de laChine connaisse un atterrissage brutal. Aujourd’hui, il est juste de présumerque ce pays a réussi un atterrissage en douceur comme on l’espérait.

Il y a un an, les investisseurs remettaient encore en question la viabilité de lareprise aux États-Unis et du marché de l’habitation en particulier. Aujourd’hui,il est évident que ce pays connaît actuellement une reprise durable.

Le Canada, quant à lui, a désespérément besoin d’une reprise économique àl’échelle mondiale, puisque sa propre économie ne sera pas en mesure de produire une croissance substantielle.

En Europe, maintenant que l’élection en Allemagne est derrière nous, il est trèsprobable que ce pays soit plus souple en ce qui concerne la politique budgétairedes membres très endettés de la zone euro. Déjà, les cibles de dépensespubliques de pays comme l’Espagne, le Portugal, l’Italie et les Pays-Bas ont étérelevées, ce qui commence à aider l’économie de la zone euro. Même si noussommes d’avis que les occasions de gagner de l’argent facilement grâce auxactions européennes sont déjà passées, nous pensons que les valorisations enregistreront encore une certaine hausse, car la politique budgétaire plus souple permettra à certaines entreprises d’afficher des résultats à court termesupérieurs aux prévisions.

En Chine, on observe des signes manifestes laissant croire que l’économie estentrée dans une nouvelle phase. La plupart des indicateurs, y compris l’activitémanufacturière et la demande de produits de base, affichent une remontée encourageante. Selon nos prévisions, la croissance du PIB chinois s’établira àprès de 8 % en 2014. Toutefois, la Chine de demain sera différente sur le plande son économie. En 2015, sa population active commencera à diminuer, soitune conséquence évidente de la politique de l’enfant unique. Par ailleurs, legouvernement est plus déterminé que jamais à augmenter le poids de la consommation dans la croissance économique – et il obtient un certain succès

à cet égard. La nouvelle Chine deviendra moins axée sur les produits de base enraison du ralentissement de la croissance annuelle (de 10 % à environ 7,5 % à8 %) et d’un recours accru aux dépenses de consommation par opposition auxdépenses d’infrastructures comme source de croissance.

La conséquence la plus importante de cette tendance est que l’influence de laChine sur le marché des produits de base deviendra marginalement plus faible.Parallèlement à des facteurs du côté de l’offre comme la découverte de gaz de schiste aux États-Unis, cette tendance implique que même si les prix desproduits de base resteront élevés comparativement à leur niveau à long terme,il sera difficile de prédire la prochaine phase du mégacycle des produits debase. En d’autres mots, il est fort possible que nous approchions de très près la fin de l’actuel mégacycle. Cette possibilité ne signifie pas que les prix des produits de base reculeront (en fait, ils pourraient augmenter en 2014 en raisonde forces cycliques normales), mais il est peu probable que nous observionsdans les prochaines années une poursuite de la tendance de la dernière décennie.

Aux États-Unis, la forte reprise du marché de l’habitation n’a pas été unegrande surprise puisqu’elle a suivi des placements visant à tirer profit de la demande accrue de logements locatifs. Cependant, compte tenu de la hausserécente des taux hypothécaires, des signes précurseurs laissent croire que cettephase de la reprise est terminée. La prochaine phase découlera probablementd’une augmentation de la demande de la part des ménages et d’une propensionaccrue des institutions financières à accorder des prêts. Même si nous constatonsdéjà quelques indices positifs sur ces deux plans, nous entrons probablementdans une zone de transition dans le cadre de laquelle l’activité risque de ralentirdans les prochains mois, avant de reprendre sa tendance ascendante.

En ce qui concerne les taux d’intérêt, puisque Janet Yellen occupe depuislongtemps un poste à la Réserve fédérale américaine, les investisseurs pourraientcroire qu’elle n’offrira que peu de surprises lorsqu’elle prendra les rênes de l’institution. Ces attentes sont toutefois fondées sur une analyse de ses opinionsquant à la politique monétaire manifestées au cours de la crise financière mondialeet de la reprise anémique subséquente caractérisée par une relâche massive del’économie. Un examen plus approfondi de ses antécédents à long terme ainsique d’autres changements à venir liés au FOMC laissent croire qu’il est possibleque l’orientation de la Réserve fédérale pour les deux prochaines années soitplus incertaine que prévu.

Soulignons que Mme Yellen n’a pas toujours mis l’accent exclusivement sur levolet « plein emploi » du mandat de la Réserve fédérale. Son attitude a évoluéen fonction de la conjoncture. Avant l’effondrement du marché de l’habitation

4 Investissements Renaissance

PERSPECTIVES ÉCONOMIQUES

La reprise mondiale se poursuit

L’Europe renonce aux mesures strictes d’austérité La Chine affiche de nouveau une croissance quant aux indicateurs importants

Sources : UBS, Bloomberg, Banque CIBCSource: Banque centrale européenne

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6 %

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France Espagne Portugal Pays-Bas

Anciennes cibles budgétairesNouvelles cibles budgétaires (au printemps 2013)

Cible du déficit en % du PIB pour 2013

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Juil. 2012 Oct. 2012 Janv. 2013 Avr. 2013 Juil. 2013

Cuivre

Pétrole brut

Volume d’importations (variation annuelle en %)

Investissements Renaissance 5

www.investissementsrenaissance.ca/fr/

Benjamin Tal est économiste en chef adjoint à laBanque CIBC. Désigné comme l’un des principauxexperts canadiens du marché immobilier par leFonds monétaire international, il est responsablede l’analyse de l’actualité économique et de sesrépercussions sur les marchés nord-américains des titres à revenu fixe, des actions, des changes et des produits de base.

www.conseiller.ca/endirectBalado > Le point sur l’économie mondiale

et la récession qui a suivi, Mme Yellen était déterminée à enrayer les pressions inflationnistes. Si le Congrès met fin à la paralysie du gouvernement fédéral etévite d’adopter des compressions budgétaires majeures, l’incidence moindre du freinage budgétaire permettrait d’anticiper une accélération de la croissanceéconomique en 2014 et remettrait la réduction du programme d’assouplissementquantitatif à l’ordre du jour dès décembre. Des hausses de taux d’intérêt pourraient facilement suivre au début de 2015, si la diminution du chômage a comme effet de convaincre Mme Yellen de remettre l’accent sur l’inflationcomme elle le faisait par le passé.

Pour ce qui est des perspectives de l’économie canadienne à court terme, il estdifficile de s’enthousiasmer. Manifestement, les consommateurs n’ont pas lecœur à stimuler l’activité économique, les entreprises préfèrent attendre que lebrouillard se dissipe avant d’augmenter leurs dépenses en immobilisations et legouvernement reste un frein pour la croissance économique. La Banque duCanada a finalement rejoint le consensus et a réduit sa prévision de croissanceéconomique à 3,8 % pour le troisième trimestre (une diminution de plus d’unpoint de pourcentage ), en partie parce que le ralentissement de la croissanceau deuxième trimestre n’a pas été aussi important qu’elle le prévoyait (croissance de 1,7 % par rapport à une prévision de 1,0 %).

En réalité, le marché boursier canadien a manifestement besoin du soutien del’économie mondiale. Il faudrait que se produise exactement l’inverse de la situation observée jusqu’ici en 2013. Depuis le début de l’année, le marchéboursier canadien a enregistré un rendement nettement inférieur à celui dumarché américain (2 % contre 18 %) . En y regardant de plus près, on constate

toutefois que les actions canadiennes ont dépassé les actions américainesdans quatre des dix secteurs boursiers de l’indice composé S&P/TSX. Malheureusement, ces quatre secteurs (santé, technologies de l’information,biens de consommation cycliques et biens de consommation de base) nereprésentent que 13,3 % de l’indice.

Ainsi, pour que l’indice regagne du terrain, les secteurs plus importants commel’industrie et l’énergie devront enregistrer de bons résultats. Pour que ce soitpossible, la conjoncture macroéconomique mondiale doit s’améliorer, ce qui devrait se produire en 2014 si tout se déroule comme prévu.

1 Source : Banque du Canada, Rapport sur la politique monétaire, juillet 2013. 2 Source : Bloomberg, Banque CIBC. Au 30 septembre 2013.

Le « trou noir » du transfert de patrimoineLa croissance de votre entreprise dans un monde en mutation

Un raz-de-marée frappera tous ceux qui gèrent des fonds pour le compte de clients âgés.Au cours de la période de 10 ans comprise entre 2012 et 2022, pas moins de 895 milliards de dollars seront en mouvement selon Investor Economics.1

Ce transfert massif de richesse s’effectuera très rapidement, à mesure que lesaînés mourront, laissant un héritage à leurs enfants et à d’autres bénéficiaires. On estime à 1,3 million le nombre de transferts qui auront lieu pendant cette période, et la vaste majorité de ces transferts proviendront de personnes âgées de 75 ans ou plus.

Les Canadiens ne cessent de s’enrichir et, par conséquent, la taille des legs continue d’augmenter. Au cours de la prochaine décennie, la valeur moyenne des transferts de patrimoine parmi le groupe des personnes de 75 ans ou plus devrait avoisiner 700 000 $.

Nous pouvons supposer sans risque de nous tromper que la majorité des bénéficiaires seront des enfants majeurs (et d’autres membres de la famille) des défunts.

Mais il y a un problème…

Un récent sondage sur la gestion de patrimoine réalisé par PricewaterhouseCoopers a confirmé une dure réalité que bon nombre d’entrenous soupçonnaient compte tenu de leur expérience personnelle :

« ...seulement 2 % des enfants majeurs conservent leur héritage auprès du conseillerde leurs parents… »

De nombreux conseillers constatent que lorsqu’un client âgé meurt, l’argentqu’ils géraient pour le compte de celui-ci disparaît tout simplement.

La cause du « trou noir » du transfert de patrimoine est assez évidente. Noussommes trop souvent incapables de « détenir » la cellule familiale. Nous avonspeut-être formé une solide relation de travail avec le père ou la mère de lafamille, mais nous avons peu de liens, voire aucun, avec les enfants majeursou les petits-enfants. Le patrimoine de notre client est transféré à son décèsparce qu’il n’y a pas de raison valable pour que nous continuions à gérer l’argent.

La solution pour conserver les actifs à risque n’est pas un mystère. Permettez-moi de vous présenter une stratégie simple qui vous mettra en contact rapidement avec les membres de la famille et les bénéficiaires de cet argenten mouvement.

« La cellule familiale » – Stratégie d’accumulation d’actifs

Vous serez heureux d’apprendre que cette stratégie ne nécessite pas de sollicitation à froid, ni d’envoi postal, de publicité ou de budget de marketing.Elle constitue toutefois une puissante campagne de prospection, de différenciation, de protection d’actifs et d’accumulation d’actifs.

Étape no 1 : Analyse des clients

Déterminez quels sont les clients à risque (les plus âgés) et dressez une listedes meilleurs candidats pour cette stratégie. Les meilleurs candidats sont lesclients âgés qui vous ont confié des avoirs substantiels aux fins de placementou qui ont une valeur nette personnelle appréciable.

Étape no 2 : Utilisation d’une liste de vérification de la planificationsuccessorale

Rencontrez les clients à risque et parcourez la liste de vérification de la planification successorale standard avec eux. Rappelez-vous qu’il s’agituniquement d’une liste de vérification – ce n’est pas un plan successoral ou financier. La liste doit comprendre des questions simples comme les suivantes : Avez-vous un testament à jour? Avez-vous établi une procurationrelative aux soins personnels? Possédez-vous un coffret de sûreté?

ÉTAPE No 1 Analyse des clients

ÉTAPE No 2Utilisation d’une listede vérification de la planification successorale

ÉTAPE No 3Confirmation de l’existence d’un testament

ÉTAPE No 6Établir un lien

ÉTAPE No 5Invitation à une rencontre familiale

ÉTAPE No 4Identification de l’exécuteur testamentaire ou liquidateur

6 Investissements Renaissance

À L’ENDOS DE LA SERVIETTE

1 Source : Investor Economics. Household Balance Sheet Report - 2013. 2 Source : PricewaterhouseCoopers – Global Private Banking / Wealth Management Survey.

Investissements Renaissance 7

www.conseiller.ca/endirectBalado > Parlez aux cinq sens de vos clients

www.investissementsrenaissance.ca/fr/

Grant Shorten est directeur, Analysesstratégiques à Investissements Renaissance.Il donne une foule de conseils et de stratégiesqui seront efficaces auprès de vos clients et qui auront une incidence immédiate sur vos activités.

Étape no 3 : Confirmation de l’existence d’un testament

En parcourant la liste, vous découvrirez rapidement si votre client possède untestament à jour et une procuration. S’il n’a pas de testament valide, vous leconseillerez sur la marche à suivre et vous lui recommanderez vivement d’enrédiger un dès que possible.

Étape no 4 : Identification de l’exécuteur testamentaire ou liquidateur

Lorsque vous avez confirmé qu’un testament en bonne et due forme a été préparé,demandez au client qui est l’exécuteur testamentaire ou liquidateur de la succession. C’est sera presque toujours un enfant majeur ou un autre membrede la famille. Demandez-lui quelles sont l’expérience et les connaissances financières de la personne qu’il a désignée. Soulignez l’importance du rôle del’exécuteur testamentaire ou liquidateur ainsi que le degré de complexité destâches et de la responsabilité qu’il devra assumer. (C’est une façon de préparerpsychologiquement le client à la prochaine étape.)

Étape no 5 : Invitation à une rencontre familiale

À cette étape importante, invitez le client à participer à une rencontre familialeavec ses invités. Devraient être présents les exécuteurs testamentaires ou liquidateurs, leurs remplaçants, les mandataires, les tuteurs, etc. Votre invitationverbale devra être convaincante, car cette stratégie repose entièrement surune réponse favorable. Dans votre invitation, soulignez au client qu’il est importantque les membres de sa famille soient préparés maintenant pour l’avenir et expliquez le but de la rencontre ainsi que les avantages qu’ils en retireront. À cette étape, vous donnerez des renseignements importants aux membres de la famille de votre client de confiance et ceux-ci sortiront de la rencontremieux informés et plus à l’aise avec les sujets sensibles.

Étape no 6 : Établir un lien

Il s’agit de la dernière étape de la stratégie et la plus cruciale, qui se dérouleralors de la rencontre avec la famille. Vous avez la chance de produire une impression durable et de créer de solides relations avec les participants. Dans cette optique, la rencontre doit comporter trois points essentiels :

Abordez les besoins émotionnels

Simplifiez la complexité

Présentez-vous comme le conseiller de la famille

Les participants auront des raisons « logiques » de se présenter à la rencontre,mais aussi une longue liste de questions et préoccupations émotionnelles plusprofondes, qui se résument comme suit :

« Un de mes parents va mourir dans un avenir pas si lointain et je n’ai vraimentpas envie de faire face à cette situation en ce moment… c’est trop pénible. »

« J’ai été désigné exécuteur testamentaire ou liquidateur dans ce testament, etje n’ai pas la moindre idée de ce que je dois faire ou de ce qu’on attend de moi. »

« J’aimerais vraiment que quelqu’un puisse m’aider dans cette démarche. »

Abordez ces sujets sensibles dès le départ. Commencez par une introductionstratégique à la rencontre familiale. Dites clairement aux participants qu’ils ne sont pas seuls et que vous êtes là pour les aider.

Simplifiez ensuite ce qui est complexe en donnant de l’information aux participants. Abordez des sujets simples comme « En quoi consiste la planification successorale », « Les 8 tâches d’un exécuteur testamentaire ou liquidateur » ou « L’exécution d’un mandat ».

Terminez la rencontre en vous présentant de manière professionnelle comme le « conseiller de la famille ». Pour ce faire, décrivez les avantages duregroupement des avoirs de la famille – ce qui vous met en excellente positionpour aider l’ensemble de la famille avec, par exemple, le transfert de patrimoineentre générations, les services aux aînés, la planification des études, lesplacements et la préparation à la retraite. Exprimez clairement à quel point larelation avec leurs (parents) compte pour vous et demandez calmement à vosinvités de vous donner la possibilité de devenir leur conseiller de confiance.

Dans les jours et les semaines qui suivent la rencontre, effectuez un suivi systématique qui fait appel à plusieurs modes de communication. Envoyez descartes de remerciements et des documents complémentaires, téléphonez auxmembres de la famille pour répondre à leurs questions, envoyez par courriel unsommaire et le lien vers votre site Web et offrez-leur gratuitement un examende leur plan de gestion de patrimoine.

L’imminence du raz-de-marée de l’argent en mouvement est bien réelle, et letrou noir du transfert de patrimoine mettra à l’épreuve même les professionnelsdes placements les plus chevronnés. Mais ceux qui se montrent proactifstransformeront le trou noir en une occasion d’obtenir les actifs existants et par le fait même de nouveaux actifs!

Le moment est venu de mettre le cap sur le revenuAutrefois, le domaine du placement semblait davantage « tout blanc » ou « tout noir ». Un portefeuille équilibré étaitgénéralement composé de titres à revenu fixe traditionnels, comme les obligations d’État, et d’actifs risqués, commeles actions. Toutefois, les temps ont changé et l’ancien modèle ne fonctionne plus. L’incertitude financière persistantea poussé les investisseurs à privilégier les titres plus sûrs, les capitaux ayant afflué vers les titres à revenu fixe etles stratégies équilibrées au cours des 10 dernières années. Après une longue période de rendements historiquementfaibles, les clients ont maintenant de la difficulté à obtenir un revenu suffisant pour leur retraite à l’aide des méthodestraditionnelles. Suite à la page suivante>>

TAUX VARIABLE

TITRES À RENDEMENT ÉLEVÉ

REVENU D’ACTIONS INFRASTRUCTURES

SOLUTIONS DE REVENU TOUT-EN-UN

OBLIGATIONS DE SOCIÉTÉSRenaissance offre des stratégies complémentairesqui peuvent procurer le revenu,la stabilité et la croissancedont les clients ont besoindans le contexte actuel :

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*8 Investissements Renaissance

Tirer parti de la zone grise« Dans le contexte actuel des bas taux d’intérêt, qui risque de se prolonger, vousdevez chercher une occasion de diversifier vos placements et d’accroître votrerevenu, soutient Patrick O’Toole, vice-président, Titres mondiaux à revenu fixe, Gestion globale d’actifs CIBC.

Les experts Renaissance recommandent une réorientation stratégique vers desplacements qui se situent dans la « zone grise », c’est-à-dire entre les stratégiestraditionnelles « tout blanc » ou « tout noir » de titres à revenu fixe et d’actions.

Diverses stratégies et catégories d’actifs se situent dans la zone grise : • Obligations de sociétés• Prêts à taux variable• Obligations à rendement élevé• FPI

Selon la société mondiale d’analyse de fonds Strategic Insight, les « stratégiesde revenu multi-actifs » sont en train de devenir un thème important au sein desportefeuilles de base aux États-Unis, en Europe et ailleurs dans le monde.

Elles offrent aux investisseurs les avantages suivants :1. Augmentation du potentiel de rendement par rapport aux titres à revenu fixe traditionnels

2. Rendement plus élevé que celui des titres à revenu fixe traditionnels3. Meilleure diversification dans les portefeuilles de base

Atténuation du risque grâce à une gestion spécialiséeCes stratégies nécessitent une gestion spécialisée qui permet d’avoir accès auxmeilleures occasions et de produire un revenu additionnel tout en gérant le risque.Voilà pourquoi M. O’Toole se méfie des investisseurs individuels qui achètent des obligations de sociétés séparément. « Si une entreprise éprouve des difficultés, vous pouvez perdre une bonne partie de votre capital. Il vaut mieux investir dans un portefeuille diversifié d’obligations de sociétés. »

« En combinant des obligations de première qualité avec des obligations à rendementélevé, vous diversifiez les secteurs, les sociétés, le risque de défaillance et le risquede taux d’intérêt », ajoute Jeffrey Waldman, premier vice-président, Titres à revenufixe, Gestion globale d’actifs CIBC.

Investir à l’extérieur de l’Amérique du Nord peut également accroître la diversification,mais les clients qui n’aiment pas le risque préfèrent une méthode de placement àfaible volatilité. « Les sociétés d’infrastructure cotées en bourse présentent moins derisque pour les clients qui veulent ajouter des actions mondiales à leurs portefeuilles,affirme Nick Langley, gestionnaire principal de portefeuille à RARE Infrastructure.Grâce à leur revenu stable et à leur faible corrélation avec les actions mondiales,elles procurent une meilleure protection du capital lorsque les marchés sont enbaisse et une part raisonnable des gains lorsque les marchés sont en hausse. » Et pour accroître les rendements des actions, il y a toujours les actions à dividende de première qualité. American Century Investments cherche à obtenir des rendementsdurables en diversifiant les sources de revenus parmi les actions américaines à dividende. « Nous examinons chaque secteur à la recherche d’entreprises ayant lerendement du capital le plus élevé », explique Peter Hardy, vice-président, gestionnaire de portefeuille de clients.

Vidéo > Les Portefeuilles optimaux Renaissance : des solutions de revenu tout-en-un avec Patrick O’Toole, Stephen Carlin et Nick Langley

Voyez comment mettre le cap sur le revenu pour vos clients...

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7 %

8 %

9 %

1995

2000

2005

2010

Duration d’une obligation à 10 ans négociée à la valeur nominale

Rendement à l’échéance 8 %

7,07 ans 9,11 ans

2 %

Hausse de 29 %

Les rendements des obligations traditionnelles sont proches de leurs creux historiques, ce qui complique davantage la recherche de revenus. Le graphique ci-dessous montre pourquoi plusieurs pensent que les obligations gouvernementalesne sont plus dénuées de risque dans l’économie actuelle. En plus du faible apportde revenu, les taux inférieurs ont étiré les durations des obligations, ce qui signifieque les investisseurs sont plus exposés au risque des taux d’intérêt.

Baisse des taux =Hausse du risque

Calcul de la duration, courtoisie d’Investopedia

une protection contre la hausse des taux d’intérêt

des rendements attrayants

une meilleure diversification du portefeuille

Cette catégorie d’actif unique offre aux investisseurs :

Pleins feux sur la zone grise : Prêts à taux variable

PAGE SUIVANTE

Les prêts à taux variable offrent aux investisseurs « une protection intégrée contre les taux d’intérêt, une caractéristique que la plupart des portefeuilles de titres à revenu fixe à rendement élevé ou de première qualité de vos clients ne possèdent pas », affirme John Eanes, gestionnaire de portefeuille, Ares Management, sous-conseiller du nouveau Fonds de revenu à taux variable Renaissance.

Les prêts à taux variable sont des prêts garantis de premier rang consentis par des banques à des sociétés de qualité inférieure, dont le taux d’intérêt est fixé en fonction d’un tauxprédéterminé – habituellement le taux interbancaire offert à Londres (TIOL) – majoré d’un écart. Le TIOL est le taux utilisé par de nombreuses banques dans le monde pour leurs opérations interbancaires. Comme le taux d’intérêt des prêts à taux variable est révisé en fonction du taux d’intérêt en vigueur sur le marché, ces prêts ne présentent généralementpresque aucun risque de duration, contrairement aux obligations traditionnelles.

Prêts garantis par des actifs forts – Une autre caractéristique très intéressante des prêts leviers à taux variable est qu’ils sont garantis par des actifs forts, c’est-à-direque les prêts occupent un rang plus élevé dans la structure du capital en cas de défaillance de l’entreprise. « Bon nombre de ces prêts sont assortis de clauses restrictives quiobligent les émetteurs à maintenir certains paramètres relativement au BAIIA, aux dettes et à la couverture des intérêts et, en cas de non-respect de ces clauses, les prêteurs peuvent négocier des conditions plus avantageuses », ajoute M. Eanes.

Il explique que le taux de défaillance est très faible dans le contexte actuel, les entreprises n’ayant jamais disposé de liquidités aussi élevées. « Nous considérons que la conjoncture actuelle de faible croissance est idéale pour le crédit et en particulier pour les prêts leviers. »

Investissements Renaissance 91 Source : Trends in International Product Development. Strategic Insight Simfund GL.

La baisse des taux des obligations du gouvernement duCanada à 10 ans signifie une plus grande sensibilité auxtaux d'intérêt ( c. -à-d. une plus grande duration)

• Actions à dividende• Actions de sociétésd’infrastructure cotéesen bourse

• Portefeuille optimal de revenu prudent

• Portefeuille optimal de revenu• Portefeuille optimal de croissance et de revenu• Portefeuille optimal d’actions mondiales

Cap sur le revenu

Ce type d’investisseur rechercheun potentiel de croissance. Il estprêt à accepter le risque associé à une gestion plus audacieuse. Il réduit le risque en misant sur un portefeuille bien diversifié d’actions mondiales.

Investisseuraxé sur lacroissance

Ce type d’investisseur vise lacroissance et le revenu en misantsur une solution bien diversifiéeoffrant un potentiel de rendementsupérieur. Il est prêt à accepter un risque supplémentaire pour atteindre ses objectifs.

Investisseuraxé sur lacroissance du revenu

Solutions de placement de base Atténuation des effets de l’inflation : Portefeuille optimal

d’avantages sur l’inflation

Ce type d’investisseur rechercheun revenu et des rendementsplus élevés que l’investisseur axé sur la préservation durevenu. Il est prêt à prendre unrisque supplémentaire pour atteindre ses objectifs.

Investisseuraxé sur l’apport derevenu

Ce type d’investisseur cherche àobtenir un revenu à partir d’unesolution bien diversifiée offrantplus qu’un revenu fixe. Il préfèreune solution tout-en-un d’apportde revenus.

Investisseuraxé sur lapréservationdu revenu

Rendement

Risque

Portefeuillesoptimaux

Trois étapes pour tirer parti del’univers des titres à revenu fixe

NOUVEAUXLe Portefeuille optimal de revenu prudentRenaissance privilégie la production d’unrevenu stable.

Le Portefeuille optimal de croissance et de revenu Renaissance offre un potentiel de croissance supplémentaireà long terme ainsi qu’un revenu.

ÉTAPE 2 | CHOISIR UNE SOLUTION DE BASE EN FONCTION DU TYPE D’INVESTISSEUR

ÉTAPE 1 | DÉTERMINER LE TYPE D’INVESTISSEUR

Les Portefeuilles optimaux Renaissance offrent une solution de placementde base tout-en-un dont le risque, le rendement et le revenu varient. Lesportefeuilles sont conçus en fonction des préférences de l’investisseur enmatière de risque, de rendement et de revenu et offrent des revenus personnalisables grâce aux options de la catégorie T.

Atténuez les effets de l’inflation avec le :• Portefeuille optimal d’avantages sur l’inflation

Portefeuille optimal de revenu prudent

Portefeuille optimal de revenu

Portefeuille optimal de croissance et de revenu

Portefeuille optimal d’actions mondiales

10 Investissements Renaissance

Fonds d’infrastructure mondial Renaissance

Portefeuille optimal d’avantages sur l’inflation Renaissance

Fonds de revenu à taux variable Renaissance

Fonds de revenu élevé Millénium Renaissance

Fonds de revenu d’actions américaines Renaissance

Fonds d’obligations de sociétés Renaissance

Fonds d’obligations de sociétés en dollars américains Renaissance

Fonds d’obligations canadiennes Renaissance

Fonds de revenu à court terme Renaissance

Fonds de revenu diversifié en dollars américains Renaissance

Fonds d’obligations à haut rendement Renaissance

Atténuation deseffets des tauxd’intérêt et del’inflation

Dividendeset revenud’actions

Revenufixe

Revenu diversifié Rendement

fonds Renaissance

Protection contre les hausses de taux et accroissement du revenu

Le Fonds de revenu à taux variable Renaissance vise à procurer aux investisseurs un revenu courant supérieur et à atténuer l’incidence d’une hausse des taux d’intérêt.

Le Fonds de revenu d’actions américaines Renaissance vise à procurer un revenu courant et une croissance du capital à long terme.

Solutions de placement en dollars américains (pour ceux qui ont des dollars américains à investir)

Le Fonds d’obligations de sociétés en dollars américains Renaissancevise à procurer un revenu en investissant principalement dans des obligations,des débentures, des billets et d’autres titres de créance d’émetteurs américains.

Le Fonds de revenu diversifié en dollars américains Renaissance vise à produire un revenu élevé avec un potentiel d’appréciation du capital.

NOUVEAUX

ÉTAPE 3 | PERSONNALISER LE PORTEFEUILLE À L’AIDE DE DIVERSES AMÉLIORATIONS

TYPE D’INVESTISSEUR

SOLUTION DE BASE

AMÉLIORATIONSAU PORTEFEUILLE

Les placements dans les fonds communs de placement peuvent faire l’objet de commissions, de commissions de suivi, de frais de gestion et d’autres charges. Veuillez lire le prospectus simplifié de la famille des fonds d’InvestissementsRenaissance avant d’investir. Les titres de fonds communs de placement ne sont pas couverts par la Société d’assurance-dépôts du Canada ni par un autre organisme public d’assurance-dépôts et ne sont pas garantis. Leur valeur variefréquemment et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement futur.

Pour en savoir plus, visitez le site capsurlerevenu.caet communiquez avec votre représentant d’Investissements Renaissance.

Investissements Renaissance 11

Chercher à améliorer les caractéristiques des Portefeuilles optimaux grâce à un large éventail de fonds.

Rendement, croissance et protection contre les baisses

**Source : Morningstar Direct, au 30 septembre 2013. Rendement standard passé de la catégorie C du fonds d’American Century : sur 1 an, 12,1 %; sur 3 ans, 10,8 %; sur 5 ans, 7,0 %; sur 10 ans, 6,5 %; date de création (13 juillet2001):, 6,1 %. Les rendements sont exprimés en dollars américains et sont ceux de la catégorie C du Fonds de revenu d’actions d’American Century, qui comprend un RFG de 1,94 % et une commission de suivi intégrée de 1 %. Cefonds est seulement offert aux États-Unis. Les données présentées sur les rendements sont pour le Fonds de revenu d’actions American Century de la catégorie C et ne reflètent pas les rendements prévus pour le Fonds de revenud’actions américaines Renaissance. © Morningstar Research Inc., 2013. Tous droits réservés. Les renseignements contenus dans les présentes 1) sont la propriété de Morningstar et/ou de ses fournisseurs de contenu, 2) ne peuventêtre ni copiés ni distribués et 3) leur exactitude, leur exhaustivité et leur fiabilité ne peuvent être garanties. Morningstar et ses fournisseurs de contenu ne peuvent être tenus responsables de toute perte ou de tout préjudice résultantde l’utilisation de ces renseignements. Les rendements passés ne sont pas garants des rendements futurs. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur fluctue souvent et le rendement passé peut ne pas se reproduire. Les placements dans des fonds communs peuvent être assortis de commissions, de commissionsde suivi, de frais de gestion et d’autres frais. Veuillez lire le prospectus simplifié avant d’investir. Les renseignements présentés sont exacts au moment de la première impression et peuvent changer sans préavis. Les frais de gestion pour les parts de catégorie A, de catégorie F et de catégorie Plus sont indiqués dans le prospectus simplifié. Le présent document est à caractère informatif et ne comporte pas de conseils juridiques, fiscaux ou de placement.

Source : Morningstar Direct au 30 septembre 2013Source : Morningstar Direct au 30 septembre 2013

Des antécédents de réussite enmatière de placement dans les actions américaines à dividende.L’économie américaine est la plus importante et la plus diversifiée au monde. Le marché canadien est moins diversifié et les fonds d’actions à dividende sont concentrés dans quelques secteurs, comme la finance et l’énergie. En effectuant des placements aux États-Unis, les investisseurs peuvent atténuer le risque de concentration en achetant des titres dans une gamme plus vaste de secteurs.

Investissez dans les actions américaines à dividende grâce au Fonds de revenu d’actions américaines Renaissance géré par American Century Investments, qui a fait ses preuves en gérant un mandat similaire de titres américains dont l’actif sous gestion dépasse les 10 milliards de dollars américains.

L’importance d’investir dans des actions à dividendeRendement intéressant : actuellement, les stratégies axées sur les dividendes sont intéressantes pour les investisseurs tant sur leplan des rendements en dividendes que celui desrendements totaux, particulièrement par rapport à l’option traditionnelle des titres à revenu fixe,comme les titres du Trésor.

Facteur de rendement total à long terme :les dividendes ont contribué de façon importanteaux rendements boursiers par le passé; ainsi, ilsreprésentent une source majeure de revenu etune composante substantielle du rendement total de placement.

Protection en cas de baisse : les dividendespermettent de profiter à la fois du potentiel dehausse des marchés haussiers et d’une précieuseprotection en période baissière.*

Principales caractéristiques :Accès à des sous-conseillers dans le cadre d’unmandat exclusif.

Utilisation tactique des titres convertibles pourméliorer le profil risque-rendement :

accroître le rendementatténuer la volatilitéoffrir une protection en cas de baisse

30 %

20 %

10 %

0 %

-10 %

-20 %

-30 %

-40 %

-50 %Fonds de revenu d’actionsaméricaines d’American

Century – Catégorie C

Indice S&P 500

25,62 %

-40,20 %

Rend

emen

t tot

al ($

US)

*Remarque : Dans les années 2000 et 1930 (données non présentées dansle graphique), périodes au cours desquelles les marchés subissaient despressions extrêmes, les revenus de dividendes représentaient plus de100 % du rendement total.

Un solide historique de rendement ** et une protection en cas de baisse**

Éclatement de la bulle techno 3/27/00-10/24/02 Crise du crédit 10/9/07-3/9/09

Fonds de revenu d’actionsaméricaines d’American

Century – Catégorie C

Indice S&P 500

-40,12 %

-55,25 %

-30 %

-35 %

-40 %

-45 %

-50 %

-55 %

-60 %

TR

ende

men

t tot

al ($

US)

12 Investissements Renaissance

SOLUTION CLÉ DE PLACEMENT : FONDS DE REVENU D’ACTIONS AMÉRICAINES RENAISSANCE

Promettre moins, ça rapporte plus!

Sans le soutien de conseillers comme vous, InvestissementsRenaissance n’aurait pas le privilège d’aider tant de Canadiens à atteindre leurs objectifs financiers. Nous vous présentons un des spécialistes exceptionnels avec qui nous sommes très fiers de travailler.

Ce que j’aime de notre secteur?

J’aime le fait d’avoir aidé de nombreux clients à atteindre leurs objectifs de retraite et de pouvoir continuer à faire ce que je fais depuis 29 ans aussilongtemps que je le souhaite. Si vous aimez ce que vous faites, vous n’aurezplus jamais à travailler de votre vie.

Tenez-vous compte de la hausse possible des taux d’intérêt dansla planification avec vos clients?

Ni plus ni moins que l’éventualité d’une baisse des taux d’intérêt. J’essaie de concevoir un portefeuille composé de produits peu corrélés entre eux pour qu’il rapporte à long terme, que les taux d’intérêt augmentent ou diminuent. Malheureusement, nous ne pouvons pas planifier en prévision d’un événement extrême, parce que nous n’avons aucune idée de ce que ce sera.

Y a-t-il des catégories d’actif ou des thèmes de placement qui vousparaissent particulièrement attrayants à l’heure actuelle?

La plupart des investisseurs préfèrent investir dans leur pays et il est parfoisdifficile de changer cette mentalité. Cependant, je crois que mes clientsferaient mieux d’investir moins au Canada à l’avenir. Étant donné que leCanada représente 3 % seulement du marché mondial, ils passeront à côté de bonnes occasions s’ils privilégient le marché national.

Quelles sont les principales questions des clients en ce moment etcomment y répondez-vous?

« Quand puis-je prendre ma retraite et quel sera mon revenu de retraite? » La planification rapporte – si vous utilisez un taux de rendement prudent à long terme. Promettre moins, ça rapporte plus! Personne ne m’a jamais congédié parce qu’il pouvait prendre sa retraite plus tôt ou toucher un revenu plus élevé que prévu.

Meilleur conseil pour acquérir de nouveaux clients :

Soyez honnête. Soyez respectable. Faites preuve d’intégrité. Prenez soin de vosclients, sinon quelqu’un d’autre le fera à votre place! Si vous suivez ces conseils,vous obtiendrez des recommandations.

Passe-temps préférés :

Le golf et les voyages. Ce qui est formidable, c’est de combiner les deux – que peut-on demander de plus?

Un objet dont je ne peux pas me passer :

La technologie m’a facilité la vie, mais la constante au fil des années a étémon épouse, Barb. C’est mon roc et une précieuse conseillère! Le travail estparfois difficile. Sans le soutien d’un conjoint, c’est encore plus difficile.

Société : FundEX Investments

Lieu : Comox, C.-B.

Nombre d’années dans le secteur : 29

GaryTripps

Investissements Renaissance 13

MERCI À CEUX QUI NOUS ONT OFFERT LEUR SOUTIEN

SA

LE MONDE MERVEILLEUX DES

Ils contiennent de multiples éléments nutritifs

Ils renforcent votre système immunitaire

Ils aident à prévenir les maladies

Ils vous procurent un regain d’énergie

Ils vous protègent de la déprime saisonnière

SUPERALIMENTS

14 Investissements Renaissance

Que mettez-vous dans votre assiette?Les Canadiens mangent de plus en plus d’aliments transformés. Comptetenu de notre rythme de vie effréné, nous arrêter sur le chemin du retourpour acheter un hamburger ou un plat à emporter à l’épicerie est facile etnous fait gagner du temps.

Même s’ils sont pratiques, les aliments prêts à manger ou transformés nesont pas très bons pour la santé. Voici la vérité sur ce que nous mangeons :

• Les supermarchés regorgent d’aliments transformés pratiques qui compromettent notre santé nutritionnelle.

• Notre alimentation n’est pas très variée. Les deux tiers des calories que nous consommons proviennent de quatre aliments : le maïs, le soja, le blé et le riz.

• Les aliments ne sont pas les mêmes qu’il y a 20 ans. La terre s’appauvrit de sorte que les aliments cultivés sont moins nutritifs, et les agriculteurs ont de plus en plus recours aux produits chimiques dans la culture des plantes et l’élevage des animaux.2

À l’approche du rude hiver canadien (et de la saison de la grippe), nous devonsporter plus d’attention à ce que nous mangeons et intégrer les superalimentsà notre régime alimentaire peut nous aider à éviter des problèmes de santé.

Renforcez votre système immunitaireS’enduire les mains de désinfectant chaque fois que l’occasion se présenteest une façon de se protéger, mais consommer certains aliments et boissonspeut aussi renforcer le système immunitaire.

Par exemple, boire une tisane à la camomille peut aider à prévenir les maladies. Selon une étude réalisée par des chercheurs de l’Imperial Collegeà Londres, les personnes qui ont bu cinq tasses de tisane par jour pendantdeux semaines présentaient une concentration sanguine élevée de composésà base de plante, appelés polyphénols, dont certains sont associés à uneaugmentation de l’activité antibactérienne.3

Continuez à manger votre salade, mais pensez-y à deux fois avant de choisir

une vinaigrette sans matières grasses la prochaine fois. Une étude récentemenée à l’Iowa State University a révélé que sans graisse alimentaire, lecorps n’absorbe pas certains des éléments nutritifs qui sont contenus dansles légumes et qui aident à prévenir les maladies. Les vinaigrettes sansmatières grasses empêchent l’absorption de caroténoïdes, des antioxydantsqui renforcent le système immunitaire. De l’avis de la chercheuse principale,Wendy White, le gras est nécessaire pour que les caroténoïdes puissent atteindre les cellules intestinales qui sont connues pour leur propriété d’absorption. Optez plutôt pour une vinaigrette contenant de bons grasprovenant de l’huile d’olive ou de noisette.3

Augmentez votre énergieLe rythme de vie effréné d’aujourd’hui signifie que nous devons éviter d’êtremalades et aussi de maintenir notre énergie du matin au soir. Bien des gensen manque d’énergie ont recours à des stimulants, comme la caféine et lesucre. Toutefois, le regain d’énergie qu’ils procurent est soudain et de courte durée.

Pour éviter l’état d’excitation et de léthargie qui suit la consommation desucre, privilégiez des aliments à haute teneur énergétique; prenez une collation santé contenant des glucides complexes et une protéine, commedes craquelins de grains entiers accompagnés de fromage faible en gras ou un sandwich au beurre d’arachides avec du pain aux grains entiers. « La combinaison protéines et glucides complexes (qui sont digérés pluslentement que les glucides simples) augmente le taux de glucose dans lesang de façon prolongée », explique Christine Gerbstadt, chercheuse spécialisée dans le contrôle du poids à la Drexel University à Philadelphie.4

Vous pouvez aussi commencer la journée en prenant un déjeuner à forteteneur en fibres et en glucides qui vous donnera de l’énergie à court et àlong terme. Une étude publiée dans la revue International Journal of FoodSciences and Nutrition révèle qu’un repas riche en fibres et en glucides accroît la vigilance entre le déjeuner et le dîner. Pour avoir de l’énergie tout au long de la journée, choisissez des aliments comme des tranches de pain de blé entier grillées ou des céréales riches en fibres et visez un apport total de 25 à 30 grammes de fibres par jour.4

« Le régime alimentaire peut avoir un effet étonnant sur notre bien-être actuel et futur »

Elizabeth Somer – The Essential Guide to Vitamins and Minerals.

Investissements Renaissance 15

Les aliments ont de tout temps été consommés pour leplaisir, mais aussipour leurs propriétésmédicinales et curatives.

Améliorez votre humeur

Les superaliments renforcent notre système immunitaire et augmententnotre énergie, mais saviez-vous que les aliments que nous mangeons peuventchanger la structure de notre cerveau et modifier notre comportement?

Nous sommes nombreux à réduire notre consommation de glucides. Si vousvoulez être de meilleure humeur, n’évitez pas les glucides, mais choisissezplutôt les « bons » glucides. Le tryptophane, un acide aminé non essentiel,est le lien entre les glucides et l’humeur. Même si cet acide aminé se trouvedans presque tous les aliments riches en protéines, les glucides peuventaussi accroître le niveau de tryptophane. Allez-y et consommez davantagede glucides, mais faites de bons choix comme les grains entiers, les fruits,les légumes et les légumineuses qui contiennent d’importants éléments nutritifs et des fibres.5

Une étude réalisée par la Faculté de médecine de l’University of Pittsburgh a montré que, comme les bons glucides, les acides gras oméga-3 peuventaussi améliorer l’humeur. Les participants à cette étude qui avaient un faibleniveau d’acides gras oméga-3 dans le sang étaient plus susceptibles d’êtrelégèrement déprimés et pessimistes.6 « Nous savons que les oméga-3 qui setrouvent dans le poisson réduisent le risque de maladie du cœur et l’arthriteet ils pourraient prévenir les pertes de mémoire et la maladie d’Alzheimer,affirme Mme Somer. Des éléments laissent croire que les oméga-3 réduisentaussi la dépression.1 » Les sardines, le saumon, les graines de lin et les noixsont d’excellentes sources d’acides gras oméga-3.

Enfin, si vous êtes déprimé, vous pourriez manquer de sélénium. Selon uneétude de la Texas Tech University, les suppléments de sélénium ont aidé àtraiter la dépression, et le manque de sélénium a été associé à la mauvaisehumeur. Combattez la dépression saisonnière en mangeant des alimentsriches en sélénium comme les fruits de mer, les noix et les graines, la viande maigre, les céréales entières, les fèves et les légumineuses.7

Les superaliments à ajouter à votre régime

Vous avez entendu parler du pouvoir de la grenade et des bleuets.Mais quels autres superaliments devriez-vous ajouter à votre régime?

AçaíL’açaï est une baie qui pousse au Brésil et qui est reconnue pour donnerun surplus d’énergie, améliorer la digestion et le sommeil, régénérerla peau et aider à l’élimination des toxines.

Ajoutez-en à votre boisson fouettée du matin ou à votre salade de fruits.8

CacaoLe cacao contient des molécules complexes qui sont de puissantscomposés antidépresseurs. Il contient aussi des composés antioxydants,appelés polyphénols, auxquels les chercheurs attribuent les effetspositifs du chocolat sur le métabolisme et l’appareil cardiovasculaire.

Tous les gains pour la santé viennent du chocolat noir qui est le plus proche de sa source, la fève de cacao.8

KéfirSemblable au yogourt, le kéfir est une levure que l’on met dans du lait partiellement écrémé pendant 24 heures pour le faire fermenter. Il contient de grandes quantités de probiotiques qui sont utiles pour rétablir un bon équilibre bactérien nécessaire à la digestion.8

Baies de gojiLe goji est considéré comme le fruit dense le plus nutritif au monde. Il contient des composés anti-inflammatoires, antibactériens et antifongiques naturels. Les baies de goji sont principalement vendues sous forme déshydratée et constituent une excellente collation telle quelle ou ajoutée au mélange montagnard, au muesli ou aux flocons d’avoine.9

Sources : (en anglais)1 http://www.webmd.com/diet/features/superfoods-everyone-needs2 http://www.takingcharge.csh.umn.edu/explore-healing-practices/food-medicine3 http://www.womenshealthmag.com/nutrition/foods-that-help-you-avoid-colds4 http://www.webmd.com/diet/fiber-health-benefits-11/fatigue-fighters-six-quick-ways-boost-energy?page=15 http://www.webmd.com/food-recipes/features/how-food-affects-your-moods?page=36 http://www.huffingtonpost.co.uk/2013/08/30/best-superfoods-reduce-depression_n_3841726.html7 http://www.webmd.com/food-recipes/features/how-food-affects-your-moods?page=38 http://www.readersdigest.ca/food/diet-nutrition/5-super-foods-you-should-eat9 http://thehealthyeatingsite.com/the-health-benefits-of-goji-berries/

Investissements Renaissance 17

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Encerclez les différences – Pouvez-vous trouver les cinq différences entre les images ci-dessous?

Sudoku – Remplissez le casse-tête sudoku afin que chaque rangée,colonne et boîte de 3 cases par 3 cases contienne les chiffres de 1 à 9une seule fois.

Lettres mélangées – Remettez les lettres ci-dessous dans lebon ordre pour former des mots se trouvant dans l’article auxpages 8 à 11.

Source : 4puz.com

6 3 4

3 1 6 7

6 4 1

1 6 4 7 2

5 9 7 36

8 2 6

3 56 9

5 8 9

1. éqiruss

2. ervabali

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