Le Confessionnal

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1 Le Confessionnal Il y a presque un siècle, dans les années vingt, la France sortait d’une guerre d’usure qui avait fini par emporter la classe masculine et fait de nombreuses veuves et vieilles filles. L’omniprésence de l’église jusque dans les campagnes les plus reculées permettait encore aux curés de recevoir à confesse les mères et les filles poussées au péché de chair par manque d’affection. Certaines fautaient avec le mari de leur voisine, d’autres, par frustration, bravaient l’inceste, s’offrant à un oncle, à un cousin éloigné avant de donner naissance à un bâtard déshonorant. Aucun département français n’était épargné par ces pratiques soudaines et fort peu chrétiennes. Ainsi dans une petite commune de l’Aveyron, un prêtre recevait régulièrement les repentances de ses paroissiennes. L’âge des pécheresses variait de l’adolescente délurée à la bigote maintes fois grand-mère. A 70 ans passés, le Père Lefèvre recevait peu de jeunes filles dans son confessionnal sans qu’elles ne soient accompagnées de leur mère ou d’une sœur. La plupart des fillettes ne commettaient de toute façon pas de faute qui mérita l’absolution. Aussi quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’un matin, après le catéchisme, il vit arriver vers lui une petite brunette qui insista, gênée, pour se retrouver dans l’isoloir. – Mon... mon Père ! – Oui Eugénie ?! – Je... je voulais vous dire j’ai... j’ai fait des... des bêtises. Enfin je... je crois. La gamine se sentant honteuse tortillait ses doigts dans le revers de sa robe. – Des bêtises ! Mais quels genres de bêtises une enfant de ton âge peut bien avoir à confesser à son Père ? Rappelle-moi ton âge ma p’tite fille ? – Je vais bientôt avoir 11 ans mon Père. – Et tu crois vraiment que ces bêtises méritent qu’elles soient confessées ? – Ou... oui mon Père ! – Bien, dans ce cas installe-toi, assis-toi et dis-moi ce qui t’amènes Eugénie. La gamine s’assit droit sur son petit banc et marqua une pose, se demandant comment aborder un sujet aussi intime avec un homme, fusse-t-il de Dieu. – C’est... à propos de mon cousin. – Ton cousin ?... – Oui, enfin un de mes cousins. Il... il est venu dans ma chambre l’autre soir. C’était pour jouer au début. – Et quel âge a-t-il ce cousin ? – 13, presque 14, je crois. – 14 ! Et il s’amuse avec des fillettes de ton âge ? – C’étaient plus des jeux après. Il m’a... il m’a obligé à baisser ma culotte devant lui. – Et tu l’as fait ? Le prêtre devint subitement plus attentif. – Il a insisté !

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Un vieux prêtre confesse une jeune fille et abuse d'elle.

Transcript of Le Confessionnal

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    Le Confessionnal

    Il y a presque un sicle, dans les annes vingt, la France sortait dune guerre dusure qui avait fini par emporter la classe masculine et fait de nombreuses veuves et vieilles filles. Lomniprsence de lglise jusque dans les campagnes les plus recules permettait encore aux curs de recevoir confesse les mres et les filles pousses au pch de chair par manque daffection.

    Certaines fautaient avec le mari de leur voisine, dautres, par frustration, bravaient linceste, soffrant un oncle, un cousin loign avant de donner naissance un btard dshonorant.

    Aucun dpartement franais ntait pargn par ces pratiques soudaines et fort peu chrtiennes. Ainsi dans une petite commune de lAveyron, un prtre recevait rgulirement les repentances de ses paroissiennes. Lge des pcheresses variait de ladolescente dlure la bigote maintes fois grand-mre. A 70 ans passs, le Pre Lefvre recevait peu de jeunes filles dans son confessionnal sans quelles ne soient accompagnes de leur mre ou dune sur. La plupart des fillettes ne commettaient de toute faon pas de faute qui mrita labsolution.

    Aussi quelle ne fut pas sa surprise lorsquun matin, aprs le catchisme, il vit arriver vers lui une petite brunette qui insista, gne, pour se retrouver dans lisoloir.

    Mon... mon Pre !

    Oui Eugnie ?!

    Je... je voulais vous dire jai... jai fait des... des btises. Enfin je... je crois.

    La gamine se sentant honteuse tortillait ses doigts dans le revers de sa robe.

    Des btises ! Mais quels genres de btises une enfant de ton ge peut bien avoir confesser son Pre ? Rappelle-moi ton ge ma ptite fille ?

    Je vais bientt avoir 11 ans mon Pre.

    Et tu crois vraiment que ces btises mritent quelles soient confesses ?

    Ou... oui mon Pre !

    Bien, dans ce cas installe-toi, assis-toi et dis-moi ce qui tamnes Eugnie.

    La gamine sassit droit sur son petit banc et marqua une pose, se demandant comment aborder un sujet aussi intime avec un homme, fusse-t-il de Dieu.

    Cest... propos de mon cousin.

    Ton cousin ?...

    Oui, enfin un de mes cousins. Il... il est venu dans ma chambre lautre soir. Ctait pour jouer au dbut.

    Et quel ge a-t-il ce cousin ?

    13, presque 14, je crois.

    14 ! Et il samuse avec des fillettes de ton ge ?

    Ctaient plus des jeux aprs. Il ma... il ma oblig baisser ma culotte devant lui.

    Et tu las fait ?

    Le prtre devint subitement plus attentif.

    Il a insist !

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    Mais tu las fait ! Tu as baiss ta culotte devant ce cousin vicieux ?!

    Oui !

    Et cest tout ?!

    Il... il ma touch l ... ma minette comme jai entendu ma sur le dire.

    Joignant le geste la parole Eugnie dsignait son bas-ventre de lindex.

    Comme a debout ?

    Oui debout.

    Et tu as aim que ton cousin te touche ta minette ?

    Euuh (la jeune fille rougit)... a faisait pas mal, a ma fait comme des picotements dans le ventre.

    Des picotements ? Et... tu as aim ces picotements comme tu dis ?

    Je... je sais pas, mentit Eugnie. Je lui ai dit darrter vous savez.

    Ce quil a fait ?

    En fait... non. Rougit lcolire.

    Et il a mme insist ?...

    Ou... oui ! Comment vous savez ?

    Je suis un prtre g tu sais ; tu nes pas la premire te confesser moi dun tel pch Eugnie. Des garons vicieux cherchent corrompre les jeunes filles par tous les moyens, surtout depuis que les hommes dhonneur sont rests dans cette maudite guerre. Il a fouill ta petite culotte ?

    Oui ! A... avec ses doigts il... il a fait des trucs dans ma culotte. Il... il est pass et repass juste par l o sort le... le pipi ; enfin juste en bas quoi. Confessait honteuse Eugnie.

    Et jusque par o tu fais... caca ?

    ...

    Jusquentre les fesses ?... Rponds-moi Eugnie ! Jai besoin de tout savoir pour implorer labsolution de notre Seigneur misricordieux.

    Oui il est all toucher le trou du derrire, mais je voulais pas ! Je vous jure que je ne voulais pas !

    Ne jure pas ma fille ! Ne jure pas !

    Excusez-moi mon Pre, je ne...

    Vexe la jeune fille baissa la tte sans terminer sa phrase.

    Et il a mis son doigt dans ton derrire ?

    Ou... oui !

    Eugnie renifla, une larme au coin de lil.

    Profond ?

    Non... non juste... juste un peu.

    Et il ta fait mal ?

    Non je... je crois pas non !

    Il ta caress la minette avec un doigt dans le derrire, cest a Eugnie ? Rponds-moi ma fille ! Cest a ?...

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    Il... il la fait tout seul, jai rien demand moi !

    Maintenant Eugnie pleurait.

    Le prtre laissait libre court ses fantasmes et recrait la scne dans son imagination. Il voyait la donzelle ce faire masturber et tre initie aux plaisirs par un coquin peine plus g quelle. cette poque, les paysannes se laissaient trop facilement dniaiser par un voisin, un cousin curieux dexprimenter ce quon leur avait racont dans la cours dcole. Et, comme toujours dans ce genre de confessions sexuelles, notre abb cherchait extraire le maximum de dtails croustillants de ces jeunes pcheresses. Dtails qui lexcitaient et parfois lui procuraient des jouissances spontanes.

    Combien de fois avait-il produit son effort labri des regards, de lautre ct de la paroi ? Combien de fois stait-il souill en entendant ces jeux denfants ? Combien de fois encore stait-il rpandu en simaginant lui-mme dans ces scenarii pervers ?

    Sais-tu quen plus dtre un pch, les filles sont fragiles cet endroit ? Ta maman ne te la jamais dit ?

    Non ! La gamine releva la tte, interloque.

    A-t-il mis ses doigts lintrieur ?

    lintrieur ?...

    ... Dans le trou sous le pipi.

    Dans le... Non euh non je... je crois pas non.

    Tu sais que toutes les filles ont un trou plus gros sous le pipi ?

    Un trou plus gros ?!... Jai jamais regard ou touch la minette ; cest dgoutant, maman me la interdit.

    Ta mre est une sainte femme, Eugnie. Ce trou est trs fragile et prcieux pour les jeunes filles vertueuses. Et... et ce cousin ta montr sooon... son zizi ?

    Les yeux noys de larmes, Eugnie sourit lexpression enfantine quutilisait le prtre pour ne pas la choquer.

    Non beurk ! Leur truc ne mintresse pas ! Ma grande... ma grande sur ma mise en garde l-dessus.

    Ah oui ? Et que ta dit ta grande sur ?

    Queee... que ctait mal pour les filles avant les tudes suprieures, et cest pour a que...

    ... Que tu viens te confesser ton Pre.

    Oui, mon Pre.

    Tu sais, ta sur avant toi tait venue me voir...

    Ma... ma sur !!!!! Elizabeth ?!!!

    Elle-mme, oui. Ctait il y a longtemps et comme toi aprs son catchisme. Peut-tre mme tait-elle plus jeune que toi lpoque, je ne sais plus trs bien.

    Ah... ah bon ! Sexclama Eugnie stupfaite dentendre de tels aveux au sujet de sa sur aine quelle croyait dvote.

    Et ses pchs quelle osa mavouer taient bien pires que les tiens tu sais...

    Piiiires ? ?! Mais comment est-ce possible ?

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    Si je me souviens bien elle stait laisse toucher par... par un monsieur. Un vendeur de porte porte je crois me souvenir.

    Un monsieur !!...

    ... qui elle aurait ouvert en labsence de vos parents. Bien sr, malgr ses protestations, ce suppt de Satan a fini par abuser de son innocence et...

    ... Et ?!!!...

    ... Comme ton cousin, il la touche au mme endroit mais avec plus dinsistance encore. Volant sa vertu...

    Oooooh !... Mme le...

    ... Le quoi ?...

    ... Le derrire ?

    Oui mme l ! Mme le trou du derrire ! Et pire encore, au fil des mois et des annes. Elle tait mme honteuse de mavouer y avoir pris du plaisir entre deux articles de son corrupteur.

    Du plaisir !?

    Eugnie rougit en repensant au plaisir quelle-mme avait ressenti sur la fin avec son cousin.

    Le septuagnaire ne stait pas vid les bourses et le reste depuis des mois, voire des annes ; en fait il navait pas touch un corps fminin depuis que la bonne Ernestine avait trpass. Ses seules rections lui venaient auprs des enfants, lors de sances de catchisme, de confessions ou lorsquil prparait les futures communiantes. Mais il avait toujours su contenir ses pulsions diaboliques comme il aimait les appeler.

    Il tait terriblement frustr de voir ces fillettes et adolescentes se confier lui dans lintimit dun confessionnal. Les paroles changes avec la jeune et jolie Eugnie le renvoyaient une nime fois ses perversions, et il ne voulait pas voir son pire fantasme lui filer une nouvelle fois entre les doigts...

    Bien sr, en plus des mots, le tableau quon lui offrait tait divin. Une poitrine amorant peine un relief que le regard plongeant du prtre fixait avec insistance au travers des croisillons de la cloison de saule. Le dcollet visiblement trop ample de la robe offrait aux pupilles obsdes du confesseur une vue impudique sur les larges mamelons boursouffls de la pradolescente.

    Perturbe et honteuse de ses aveux, Eugnie emballait sa respiration. Elle rapprocha son visage de la fine paroi qui les sparait elle et lui.

    Du plaisir cet endroit ? Chuchota-t-elle de peur que le Divin ne lentende. Comment ce puisse-t-il que lon arrive ressentir quelque plaisir par-l, mon Pre ?...

    ... Chez les dbauches ma fille, uniquement chez les dbauches.

    Ce qui culpabilisa un peu plus la gamine.

    Et plus elle se penchait, plus elle provoquait bien involontairement son vis--vis. chaque inspiration les ttines frottaient contre le tissu, chaque expiration la vision tait divine.

    Alors ma sur, ma propre sur serait une... une de ces femmes sans morale ?

    Elle mavoua stre offerte la fois suivante, et la fois daprs encore. En fait chaque nouvelle dition que le Malin portait votre adresse.

    Offerte au... au Malin ?!!!... prsent Eugnie plaquait son buste la cloison. Je... je me souviens de cette homme prsent, oui.

  • 5

    Labb scnarisait ses fantasmes entre ce quil entendait et ce quil voyait. Il sentait son vieux membre us, fatigu, remonter sous sa soutane, retrouver un semblant de raideur. Ses dogmes vertueux seffaaient devant les vices et perversions qui corrompaient sa cervelle.

    Alors il semporta et murmura loreille dEugnie :

    Oublie-le Eugnie ! Oublie ce Diable je ten conjure ! La pauvre enfant navait pas dix printemps lorsquelle lui donna sa fleur alors quelle navait ni poils ni tton sur le corps...

    Ooooooh !...

    Il sclipsa un instant, juste le temps de tirer les rideaux et de rapparaitre dans lisoloir voisin ; plaqu tout contre elle.

    Oh mon Pre, non ! Que faites-vous ? Non...

    Impatient, il caressa la gorge, exhiba ses dents gtes aux yeux bleus de la jeune fille, tala sa salive infecte sur la joue et loreille et, juste aprs, plongea sa main dans lchancrure de la robe.

    Jai tant attendu ce moment ! Ne dis rien ! Laisse-toi faire et tout ira bien !

    Non mon Pre non ! Arrtez, je ne veux pas !

    ce moment prcis Eugnie comprit que sa dvotion lavait conduite elle aussi droit dans les griffes dun Dmon. Le loup tenait enfin sa brebis et tait bien dcid faire de ses fantasmes une ralit.

    Elle cherchait en vain repousser les 100 kilos dos et de gras qui loppressaient, qui haletaient dans sa nuque.

    Fouillant le dcollet il crasait de sa paume la naissance dun sein, quil molesta entre deux phalanges.

    AEEHH !!... Nooon ! Non mon Pre non pas a !...

    ... Reste tranquille ma petite chatte ! Reste tran... quille !... Ce nsera laffaire que de dix minutes.

    Ctait la premire fois que quelque chose ou quelquun agressait son corps. Toujours jusqualors elle avait t une petite fille chrie et protge par ses proches et sa famille. Le prtre rpait de ses paumes calleuses toujours et encore aux mmes endroits, comme si on lui passait de la toile meri sur la poitrine.

    AEEH !... AEH !!!...

    Petite garce, tu mexcites !

    NON ! NOOON !!... laide !

    Il retroussa la robe courte de la gosse, tira llastique de sa culotte blanche sur sa cuisse. La plaqua contre son embonpoint, caressa la peau virginale de sa main rche ; insinuant ses doigts calleux dans les moindres recoins de son anatomie, de la raie des fesses au sillon du sexe, cherchant dune phalange ou lillet du derrire ou lchancrure du devant. Mais les jambes nerveusement serres dEugnie lirritaient passablement.

    En manque viscral de sexe, le prtre empoigna une cuisse, sagrippa au cul, carta les frles pattes de sa victime avec hargne.

    Non mon Pre, non !... Vous me... vous me faites maaaal !! Je... je ne veux paaaas !!!...

    Les attouchements se prcipitaient. Tout y passait.

    Laisse-toi faire ma fille !... Laisse-toi faire !... Tu tais moins farouche avec ce petit sodomite quand il te grattait loignon ! Hein ! Laisse-moi le visiter mon touuuuur...

    Noooon !...

  • 6

    De son index il cherchait maladroitement le du trou du cul.

    Pour sr, tu es encore verte !

    Sil vous plait ! Vous... vous me faites maaaal !!

    Calme-toi ! Avec un homme cest mille fois meilleur, tu vas voir.

    Il passa sa soutane par-dessus tte et dgagea son vieux sac de couilles frip, parsem de poils blancs par la jambire dun slip tch durine. Une verge fort peu virile suivit le mme chemin.

    Eugnie choque et stupfaite de la tournure des vnements nosa baisser le regard sur les attributs de celui qui se voulait tre son premier amant. Jamais dans ses pires cauchemars elle naurait imagin tre la victime dune telle perversit, et encore moins venant dun homme dglise, de son propre confesseur.

    Tu vas gouter mon chibre o je ne suis pas un homme ! Se dfia-t-il lui-mme en malmenant un sexe hors dusage.

    Le bougre narrivait mme pas bander suffisamment pour commettre son immonde forfait. La queue semi molle et carlate cherchait en vain sa voie entre les cuisses fermes et nerveuses de la jeune pcheresse.

    Il se masturbait frntiquement comme il pouvait, dune main, contre une cuisse ou une fesse de la donzelle quil maintenait tant bien que mal de lautre.

    Arrtez ! Non ! Je ne ve...

    Ya 10 ans jai laiss ta sur ce faire dniaiser par ce vendeur de caniveau, aujourdhui tu ne mchapperas pas ! Ton pucelage ne sortira pas de ce confessionnal Eugnie ! Tu entends !

    Non ! Non ! AE ! NOOOON !...

    La gamine se tortillait le plus loin possible du torse hirsute, repoussant le plus fermement possible les assauts pervers du religieux.

    De son ct le confesseur cherchait prcipiter ses plus bas instincts pour retrouver le droit chemin au plus tt, mais larme de son crime se dployait pniblement.

    Je ne laisserai aucun autre le plaisir de te consommer le premier.

    Il insistait, implorant le Seigneur de lui donner lrection qui se faisait tant dsirer. Et, cest avec une rage froce que la peau dtendue senroula sous un nud violac recouvert de scrtions curantes. Scrtions quil rpandait avec obscnit sur le cuir virginal de sa proie. Guidant en vain son gland dans le giron de la donzelle, il beuglait comme une bte et rut, pillant et profanant tout sur son passage.

    ARGHHH petite garce ! Tes plus sauvage que la frangine ! Argh ! Reste-l !

    Bien qu hauteur de cible il avait le plus grand mal prendre linnocence dune gosse aussi rtive.

    ... Ma ptite fille tu vas, argh... tu vas y passeeeeer !... Au nom du pre je vais te faire feeeeemme !

    Non ! AE !... NOOOOOOOOOOOON !...

    La bave aux lvres il fora le con encore trop vert de la pucelle. Mais ctait sans compter sur lopposition acharne dun pucelage bien dcid conserver son intgrit.

    Maudiiiiiit pucelage qui minterdit ton coooooooon !...

    AE ! Sil... sil vous plait !

    maintes reprises le nud ripa sur la brche pour scraser contre le clitoris ou glisser entre les cuisses. Et chaque assaut il talait dans lentre jambes les scrtions que sa limace vomissait.

  • 7

    Ne sachant pas maitriser cette excitation retrouve, le prtre semporta. Se voyant chouer trop prs du but il brutalisa les chair de lenfant, corcha une hanche, planta ses griffes dans une fesse.

    AEEEEEEHHHH !!..

    force de lutter, les deux trbuchrent et perdirent lquilibre. Chavirant, il se retrouva, dans un vacarme norme, entre les cuisses dune gamine allonge plat dos sur le petit banc du confessionnal. La chance semblait avoir soudainement chang de ct.

    Les jambes pantelantes de part et dautre du banc, Eugnie se retrouvait ainsi bloque, les cuisses maintenues en position par les poignes de lecclsiastique. La culotte de coton au-dessus des genoux tait distendue par lcartement des mollets. La robe plisse rabattue sur la poitrine offrait aux yeux vitreux de son assaillant une vue imprenable sur lobjet de ses dsirs. Un pubis immacul, recouvert dun duvet blond clairsem surmontant un abricot vierge et rougit par les assauts manqus qui venaient de se succder.

    Quel autel ! Merci mon Dieu ! Merci ! ructa labb.

    Les genoux entravs empchaient Eugnie de dfendre son honneur de petite fille. Face elle la bte tait prise dune frnsie de jouissance et, lhomme devenu animal ne put se retenir plus longtemps. Il crabouilla sa pine sur lentaille du bas-ventre et aussitt sa seringue expulsa une paisse onction jauntre et rpugnante lentre du vagin.

    Il profita de lrection soudaine de son organe pour assner un ultime coup de reins entre les cuisses dune gamine surprise par ljaculat clrical.

    Va au DIAAAA... BLEEE ! AAAAARGGGGHHHH !!... .

    Lchancrure du sexe graisse par la mixture favorisa laccouplement pourtant vaillamment repouss par la pucelle.

    AAAAAAHHHHH !!!...

    Lhymen finit par rompre sous lultime coup de boutoir et, dun trait, le pieu de chair semboita dans le ventre sans dfense, emportant tout sur son unique passage.

    AAAAAAAAARGHHHHHHHH !... ... ..

    Dans un rle doutre-tombe le cur finit de dcharger des annes de frustration et dabstinence dans la matrice strile et mutile de la pauvrette.

    Dun dernier spasme, le sphincter essora ce quil restait de semence au fond du con ainsi baptis. Les couilles claqurent une ultime fois contre lanus au milieu des cris et des pleurs.

    Le souffle coup, la face tumfie, lecclsiastique perdit lquilibre et affala sa lourde carcasse bedonnante sur la frle silhouette de sa prise. Son haleine de vinasse bredouilla un AMEN , et il perdit connaissance, pour partie encore prisonnier du ventre quil venait densanglanter.

    La pucelle hurlait la douleur de sa dfloration sous le poids dmesur dun bourreau inanim. Essayant tant bien que mal dchapper ce corps qui ltouffait, elle expulsa elle-mme le pieu qui la dchirait en empoignant au hasard les couilles sches du macchabe aux yeux exorbits.

    La saucisse de chair dgaina dans un bruit de succion et sen suivit une coule peu ragoutante. Elle fit rouler le corps inerte sur le ct et le laissa choir au sol mme la tomette de la nef.

    Eugnie contempla, des larmes dans les yeux, son vagin vif refoulant une ultime descendance faisande. ses pieds, un fond de prostate suintait encore de la tige sans vie qui avait tir le dernier battement du cur fatigu du violeur. Une pulsion inavouable venait dentrainer leur dchance tous les deux.

    *****