LE CLAIR DE LUNE – MONTHLY UPDATE

N°3 25 Août au 25 Septembre 2010

LE JOURNAL DEDIE AUX INSATIABLES DU PARANORMAL

Comme chaque mois, retrouvez le journal de Clair de Lune dans votre

boîte aux lettres Made In Internet.

Suivez donc sur ces pages les trois acolytes qui se font un plaisir

de rédiger pour vous des articles sur leurs recherches personnelles, leurs

expériences et les nouveautés.

Clair de Lune évolue avec vous, grâce à vous et à votre curiosité.

Merci du temps passé à nous lire.

Marie-H. Eurydice.

Le Monthly Update est bien chargé ce mois-ci. Effectivement, Clair de Lune s’est intéressé aux

monstres marins qui défrayent encore la chronique en 2010 :

Le monstre du Loch Ness, Champ, l’Ogopogo...

Il y aura une série de témoignages accompagnée d’une théorie sur l’identité de ces monstres.

Vous avez également l’accès au deuxième cours de cartomancie ainsi qu’ à un sujet spécial qui nous a

complètement passionné : les cas de possession et d’exorcisme.

Le point UFO sera dédié, cette fois aux « Abductees ». L’Améthyste sera notre cristal du mois avant

de retrouver Eurydice pour la deuxième partie de son sujet consacré aux Mythes Vampiriques.

Bonne lecture.

Sommaire.

Monstres Marins

Nessie p. 2

Champ p. 3

L’Ogopogo p. 4

Autres Monstres p. 5

Explications p. 6

Cartomancie : cours n°2 p.7

Le Point UFO : Enlèvements et Abductees p. 8 à 9

Possession & Exorcisme p. 10 à 12

Lithothérapie : L’Améthyste p.13

Le point d’Eurydice : Vampire : Origines du Mythe - Part II p.14

Votre espace p.15

Horoscopes p.16

MONSTRES MARINS p.2

Nessie : Le Monstres du Loch Ness

Situé en Ecosse dans les Highlands, au sud-ouest de la ville d'Inverness, le Loch (lac) Ness (du monstre), avec ses 230 mètres de profondeur abriterait un monstre marin depuis le XVIIème siècle : plus de 4 000 témoins ont

affirmé avoir vu le monstre depuis qu’un chirurgien témoigne en 1930. Témoignages - Historique

1933. Un chirurgien londonien en vacances, Hugh Gray,

prend le premier cliché du monstre. Elle fut publiée dans le

Daily Mail de Londres.

1960. Tim Dinsdale, ingénieur en filme un document sur

lequel on peut y distinguer une bosse, d’un brun rougeâtre,

qui traverse le loch puis tourne et longe la rive opposée. Les

experts qui examinèrent la pellicule ne décélèrent aucun

trucage.

1971. Le 14 octobre, le père Grégory Brosey contemplait le

lac en compagnie d’un visiteur de l’abbaye bénédictine.

Subitement, une violente agitation des eaux les fit sursauter.

A 300 mètres, un grand animal se profila. Il dressa la tête à 2

mètres de haut puis s’éloigna.

1975. Le 8 juillet, Allen Wilkins, un enseignant, et son fils

virent à 7h20 une forme noire d’environ 7 mètres apparaître

et disparaître. A 10h12, l’enseignant accompagné de sa

femme, photographia trois grosses bosses triangulaires. Les

bosses disparurent à l’approche d’un bateau à moteur.

A 21h25, Wilkins et plusieurs personnes virent une tâche

noire émergeant de l’eau et formant deux bosses.

1976. Le 21 juillet, deux mécaniciens d’Inverness se

trouvaient sur un bateau lorsqu’ils virent une bosse dans leur

sillage. Ils firent demi-tour pour aller voir ça de plus prêt.

Là, ils observèrent cinq bosses noires, de 3 à 4 mètres de

long et d’un peu moins d’1 mètre de haut. Ils purent

observer ce ballet aquatique pendant une quinzaine de

minutes.

Lettre du 15 Août 1938.

Dans un courrier adressé aux autorités britanniques un chef

de police, officiant en 1930 à Iverness affirme que

l'existence du monstre ne fait "aucun doute". Il précise

"qu'une créature étrange se trouvant dans le Loch Ness ne

fait désormais aucun doute mais que la police disposant

d'un quelconque pouvoir pour le protéger est plus

qu'incertain". Le chef de la police poursuit sa lettre en

expliquant qu'il s'inquiète en particulier de la présence dans

la région de deux chasseurs "déterminés à capturer le

monstre mort ou vif". Il affirme avoir "prévenu" l'un d'entre

eux "du désir que la créature soit laissée tranquille.

Morphologie

L’animal possède une tête reptilienne, un long cou qu’il peut

dresser à environ 2 mètres au-dessus de l’eau ainsi que de

grands yeux. Il possède 2 ou 3 bosses sur le dos. La queue

est mobile et créée des remous importants quand il nage. Les

photos prises montrent une grande ressemblance entre

Nessie et les plésiosaures - notamment les élasmosaures - .

Cependant, aucun des restes de celui-ci firent retrouvés en

Europe. Les Plésiosaures sont censés avoir vécu dans un

milieu marin salé et non en eau douce.

« A la fin du dernier âge glaciaire, il y a 10 000 ans

environ, la fonte des glaces a fait considérablement monter

le niveau des mers. Emportés par cette montée des eaux,

plusieurs plésiosaures auraient pu se trouver jetés dans les

eaux du loch nouvellement formé ».

Cela voudrait dire que les plésiosaures ont survécu à la

grande extinction et qu’ils auraient réussi à s’adapter à une

eau gelée (géologiquement impossible, ils auraient été

congelés par la pression des glaciers).

Tous les reptiles marins ont disparu en même temps que

les dinosaures à la fin du Crétacé.

Recherche et Exploration

Prouver l’existence de Nessie est complexe puisque le

monstre ne semble pas vouloir se montrer quand il le

faudrait. Aussi, les eaux du loch sont difficiles à explorer :

la visibilité du Loch moyenne est de 1,50 mètre.

En 1972, l’Académie de science organisa une expédition

dirigée par le Pr. Rines. La nuit du 8 août, vers une 1h,

l’équipe commença à voir dans le rayon sonar les traces

épaisses et noires d’une grande masse en mouvement.

Le sonar enregistra l’apparition de deux gros objets. La

caméra stroboscopique photographia les tâches détectées.

En raison de l’opacité de l’eau, les vues étaient floues.

L’analyse par ordinateur révéla des images intéressantes :

Un grand aileron en mouvement de 1,20 à 1,80 mètre de

long, 2 objets ressemblant à des gros animaux, l’écart entre

les deux corps était d’environ 3,50 mètres.

En juin 1975, une nouvelle expédition fut organisée avec un

matériel de détection plus sophistiqué. Plusieurs

photographies montrent :

Une partie d’un corps rosâtre, le torse antérieur, le cou et la

tête d’un animal vivant ainsi

que deux courts ailerons. La

meilleure photo montre la tête

de l’animal. Elle a été prise de

profil et l’on peut observer une

gueule ouverte et plusieurs

excroissances formant des

cornes.

Les scientifiques ont décrit l’animal de la manière suivante :

Longueur : 6 m avec un cou épais de 45 cm. Une gueule de

22 cm de long et 13 cm de large. Des cornes de 15 cm,

écartées de 25 cm. Les photos rapportées par cette

expédition ébranlèrent les scientifiques les plus sceptiques.

Le zoologue Oudemans a consacré deux mémoires au

monstre et a conclu à son existence.

Personne ne nie qu’il existe au fond

de ce loch un ou plusieurs animaux

mais une chose est certaine : Nessie

n’est pas un cas unique. De

nombreuses autres créatures ont été

observées, voire repêchées à travers

le monde.

Sources : www. Nouvelobs.com

http://www.dinosoria.com/loch_ness.htm Marie-H.

Dent retrouvée sur le rivage du Lac

MONSTRES MARINS p.3

Champ : Le Monstre du Lac Champlain

Les histoires du monstre du lac Champlain, dans le Vermont, remontent à plus d'un siècle.

Cette créature reptilienne fut l'objet de campagnes de chasse. Devenu célèbre, le monstre fut baptisé « Champ ».

Témoignages – Historique

1880. Un groupe de chasseurs prétendit avoir trouvé sa

proie et l'avoir tuée :

« II n'y avait que vingt-cinq pieds entre nous et le serpent en

furie. Nous l'avons chacun atteint d'une balle quand la tête

parut tourner et que le corps immense commença à onduler.

Des jets de sang fusèrent de sa tête ».

À la fin, les chasseurs excités virent un spasme parcourir

l'immense longueur du corps du serpent et :

« Il ne remonta plus. »

1977. Ce qui a relancé l’affaire, c’est la photo prise par

Sandra Mansi. Au début du mois de juillet, Sandra Mansi

contemplait avec un ami la calme beauté du lac Champlain,

lorsqu'ils remarquèrent que l'eau se mettait à s'agiter, et

virent apparaître une tête sur un long cou souple, recourbée

au-dessus d'une masse noire. En dépit de son effroi, Sandra

Mansi eut la présence d'esprit de s'emparer de son appareil et

de prendre rapidement quelques photos. Elle réussit à en

prendre une très nette d'un être apparemment animé, de

couleur brun-gris et de forme serpentine.

Quelque temps plus tard eut lieu une audition publique pour

appuyer le dépôt d'une loi visant à protéger la créature.

Sandra y déclara avec ferveur :

« Je veux simplement que vous sachiez que "Champ" existe.

Croyez-moi, il est bien là! »

Cette photo a fait l'objet d'analyses scientifiques

poussées et personne jusqu'ici n'a émis de doutes sur son

authenticité.

Les défenseurs de Champ déclarèrent que toutes les eaux du

lac au voisinage de Port Henry seraient interdites « à

quiconque ferait du mal, poursuivrait ou tuerait le monstre

marin du lac Champlain ». Le monstre fit de multiples

apparitions en 1981.

Morphologie

Selon plusieurs hypothèses, la créature connue sous le nom

de « Champ » serait un plésiosaure, un animal préhistorique

disparu il y a soixante-cinq millions d'années.

Eric Olsen – 31 Mai 2009

Une vidéo d'une créature nageant sur le lac Champlain près

d'Oakledge Park à Burlington, suscite de nouvelles

discussions à propos de Champ. La vidéo d’1.57min, prise

au lever du jour par un habitant de Burlington, montre un

animal traversant l'embouchure de la petite crique de la zone

de plage du parc.

« Je filmais juste l'eau quand, du coin de l'œil, j'ai vu

quelque chose bouger, je me suis tourné vers la

chose et j'ai essayé de zoomer dessus »

« Vous pouvez voir que cela bouge à la fois

horizontalement, à travers l'eau, et verticalement, plongeant

sous la surface et remontant. Ça m'a fait l'impression de

quelque chose de long qui n'était pas très corpulent. »

Olsen a posté ce qu'il a filmé sur YouTube : http://www.youtube.com/watch?v=p00Xn1XRPJw&feature=player

_embedded#!

Loren Coleman, un cryptozoologue basé à Portland,

dans le Maine, a déclaré que ce qu'Olsen avait filmé était

à ce jour la meilleure preuve photographique de Champ.

« Nous devons découvrir ce qui se passe ici. Une analyse

scientifique formelle doit être réalisée sur le film pour le

découper image par image. Il doit être examiné très

sérieusement. » a déclaré Coleman.

Sandra Mansi, maintenant âgée de 66 ans, a regardé la vidéo

d'Olsen et a dit qu'il y avait des similitudes et des différences

entre ce qu'elle a vu en 1977 et ce que montre le film

d'Olsen :

« Je vois la forme de la tête, combien elle est grosse « La

seule chose qui me pose problème, c'est le cou. Il ne me

semble pas assez long... Quoi qu'il ait vu, cela a un lien avec

ce que j'ai vu. Dites lui 'Bienvenue au Club'. »

Scott Mardis de Winooski, un autre cryptozoologue qualifie

la vidéo d'Olsen de très impressionnante.

« Elle ne semble pas avoir été retouchée, l'objet de la vidéo

a la même texture générale que le reste de l'image. Ça ne

semble pas avoir été créé sur ordinateur. Ça ressemble à un

Champ.

Mardis et Coleman ont expliqué que les mouvements et

la taille de l'objet excluaient la possibilité que ce soit un

castor, un orignal ou tout autre mammifère plus

commun.

Ils ont fait l'hypothèse que cela puisse être une espèce de

phoque inconnue avec un cou inhabituellement long.

« Cela pourrait être des tas de choses »

Ellen Marsden, professeur de biologie à l'Université du

Vermont :

« Cela ne ressemble pas à une créature à l'aise dans l'eau.

Elle nageait comme si quelque chose se passait mal. »

Olsen a dit qu'il n'avait jamais vu l'objet sortir du lac.

Il a raconté qu'il était resté au parc encore une demi-heure

avant de partir.

Il y a eu plusieurs prétendues observations de Champ au

cours des ans mais peu étaient accompagnées de preuves

photographiques.

Source : Burlington Free Press

http://www.infos-paranormal.net/

Marie-H.

MONSTRES MARINS p.4

L’Ogopogo : Le Monstre du Lac Okanagan

Ogopogo, célèbre monstre connu comme le Nessie d’Amérique du Nord résiderait dans le plus grand lac de la Colombie-Britannique. Il est le doyen des monstres lacustres en Amérique du Nord.

gopogo ou Naitaka : « démon du lac » est un

monstre marin légendaire qui vivrait dans le

lac Okanagan dans la province de Colombie-

Britannique au Canada.

Bien avant l’arrivée des Européens, les Amérindiens

savaient que dans les profondeurs du lac Okanagan

habite une terrible créature et leurs légendes en faisaient

mention.

Témoignages – Historique

Les premiers témoignages européens sur le monstre

remontent à 1850.

1890. En juillet, Thomas Shorts, capitaine du vapeur

Jubila, aperçut la grande créature d’au moins 5 mètres,

au large de Squally Point. Le monstre avait une énorme

tête de bélier, le brave capitaine tenta de capturer le

monstre, mais celui-ci s’échappa.

D’autres rencontres suivirent. Les journaux en parlent à

profusion. Plusieurs expéditions furent organisées pour

capturer le serpent géant, mais sans aucun succès.

1949. M. Leslie Kerry et la famille Watson se

promenaient dans un bateau, quand leur embarcation fut

attaquée par une créature à la forme reptilienne de neuf

mètres de long et avec une queue fourchue. Les

vacanciers en réchappent par miracle.

D’autres familles qui pique-niquaient sur les rives, ont

vu la scène et ont remarqué que le monstre était noir et

avait la peau lisse.

1959. M. Dick Miller, rédacteur d’une revue très

sérieuse et respectable, Vernon Advertiser, faisait une

croisière sur le lac en compagnie de sa femme et d’un

couple d’amis.

À un moment donné, le groupe aperçoit, à environ 75

mètres dans leur sillage, ce qui paraissait être un serpent.

La créature avançait vite. Sa tête était à environ 25

centimètres au-dessus de l’eau.

Le monstre avait un museau court et cinq bosses. Sa

couleur a semblé proche d’un vert très foncé.

Dérangée par le bruit du moteur, la créature baissa la

tête et s’enfonça peu à peu sous l’eau. Naturellement, la

revue a publié le rapport.

Le tirage fut épuisé en 10 minutes et on dut réimprimer

la publication qui s’est vendue jusqu’à Toronto et aux

États-Unis.

1968. Ogopogo a essayé d’attraper un groupe de jeunes

skieurs nautiques. Miraculeusement, ils se sauvent, eux

aussi.

La même année, un film a été tourné par M. Art Folden

qui a réussi à surprendre le monstre.

Son film fit sensation dans le monde.

1976. Le 3 Août, M. Ed Fletcher, de Vancouver prend

cinq photos du monstre. On n’y voit presque rien, en

raison de la grande distance entre le photographe et

l’objet, mais avec un peu d’imagination, on y distingue

notre cher Ogopogo.

Des statues d’Ogopogo ont été érigées à plusieurs

endroits autour du lac. Nul doute, ces œuvres d’art

ont l’objectif pratique de permettre aux habitants et

aux touristes de se familiariser avec l’image

d’Ogopogo. De cette façon, ils pourront mieux

l’identifier le moment venu.

Source : http://canada.grandquebec.com/contes-legendes/monstre-ogopogo/

La Dracontologie.

Les eaux canadiennes ont vu apparaître, à travers le temps, des créatures semblables à l’Ogopogo dans le lac Manitoba : le Manipogo et le lac Winnipeg : le Winnipogo.

Même le Québec possède sa légende avec le monstre du lac Memphrémagog en Estrie.

Apparu pour la première fois en 1816, le monstre du lac Memphérmagog a toujours été un phénomène intriguant pour les habitants et les touristes de la région.

J. Boisvert, natif de la région, a baptisé la bête « Memphré » en 1986.

Cet homme a créé, la même année, l’institut international de Dracontologie du lac Memphrémagog ayant pour

mission l’étude et la documentation du célèbre serpent de mer.

La dracontologie est une science nouvelle ayant vu le jour en 1985. Elle est une branche le la cryptozoologie.

Le mot « dracontologie » est dérivé des termes grecs drakon (dragon), et logia (l’étude logique).

Marie-H.

O

MONSTRES MARINS p.5

Autres monstres

Le cousin bulgare de Nessie

Rabicha est situé près de la grotte de

Magoura, qui rappelle l’architecture

d’une cathédrale.

Nessie a un homologue bulgare à ce

que pensent les habitants du village eu

Nord-Ouest du pays.

Ils sont convaincus qu’un monstre

énorme, probablement un survivant

des temps préhistoriques, habite les

profondeurs du lac. Celui-ci atteint les

rochers de Belogradtchik, elles-mêmes

sujettes à de multiples légendes et

mystères.

Des ombres mouvantes de la taille

d’un sous-marin ont été aperçues au

fond du lac, ainsi que des ondulations

soudaines et des gémissements.

Le lac est à présent fermé : l’eau qui

s’y accumule n’est pas évacuée.

Les chercheurs estiment que cela

permettrait au monstre d’y vivre en

isolement.

« Le lac est âgé entre 3,5 et 4 millions

d’années, comme le Loch Ness en

Écosse » affirme le maire de

Bélogradtchik, E.Tsankov.

« Quiconque désire en apprendre plus

sur les mystères du lac et sur le Nessie

bulgare est le bienvenu à

Bélogradtchik. Le lac, qui ne s’est

d’ailleurs pas asséché depuis des

millions d’années, n’est pas assez

étudié par les scientifiques, mais il est

très intéressant. Les pêcheurs du

village disent qu’ils ont vu des

poissons énormes dans les eaux, d’une

longueur de 5 mètres et pesant 350

kilos. »

La légende dit qu'avant de plonger

dans les eaux glauques du Rabicha,

le monstre avait élu demeure dans la

grotte de Magoura, un site

emblématique du tourisme de la

région.

Necker – Le monstre du lac Storsjö

Un monstre vivant dans le lac au

centre de la Suède, alimente depuis

plus de trois siècles les légendes du

pays scandinave. Il aurait été filmé par

des caméras de surveillance.

Août 2008.

« Nous avons filmé le mouvement d'un

être vivant. Et il ne s'agit pas d'un

brochet, ni d'une perche, nous en

sommes certains" a indiqué à l'AFP

Gunnar Nilsson (président de

l'association des commerçants de la

ville de Svenstaviks).

Cette association a installé en juin, 6

caméras de surveillance, dont 2 sous-

marines sur le lac de Storsjö.

L'objectif de ce projet, qui a jusqu'ici

coûté quelque 43.000 euros, est de

percer le mystère de ce Nessie suédois,

aperçu plus de 200 fois depuis le

premier témoignage en 1635 et dont la

dernière apparition connue remonte à

juillet 2007.

D'après les témoignages, le monstre

serait de forme longiligne, recouvert

de bosses, avec des oreilles ou

nageoires repliées sur la tête qui

ressemblerait à celle d'un chien.

Brosnie – Le monstre du lac Brosno

Le folklore local parle depuis 1864

d'une créature vivant dans le lac de

Brosno au nord ouest de Moscou.

Brosnie est représenté comme un

dragon lacustre iridescent. Des témoins

donnent à la créature une tête de

serpent. Son identification est

impossible.

Chessie – Le monstre de Chesapeake

Bay – USA

Plusieurs rapports sur ce monstre

marin le décrivent comme un monstre

lacustre. Il mesurerait 12 m de long.

De 1977 au milieu des années 80,

beaucoup de témoignages ont eu lieu.

Il n’y a presque pas de photo où

Chessie est visible.

Issie – Le monstre du Lac Ikeda

La consonance d’Issie avec Nessie

n’est pas anodine puisqu’il hante aussi

un lac : le Lac Ikeda aux abords de la

ville Ibusuki au Japon.

Dans ce cas de figure, la thèse du

plésiosaure est souvent avancée.

Cependant, le lac Ikeda s’étant formé à

la suite d’une éruption majeure il y a

seulement 20000 ans, cela ne convient

pas pour Issie.

Le premier témoignage date de 1961

mais ce n’est qu’à partir de 1978 que

l’histoire fut prise au sérieux. Le 3

septembre 1978, le monstre fut

observé par une vingtaine de personnes

réunies.

Le 4 janvier 1991, une famille

originaire de Fukuoka qui roulait sur la

route scénique faisant le tour du lac,

réussit à prendre le monstre sur la

caméra vidéo familiale.

A partir des différents documents, il

semble qu’Issie soit un monstre au

corps noir entre 10 et 20 mètres avec

deux “bosses” sur le dos. Mais

contrairement à Nessie, personne n’a

encore vu Issie sortir son cou de l’eau.

Le monstre du Lac de Van - Turquie

En juin 1997, Unal Kozak filme un

animal de 7 à 15 mètres de long, doté

d’un long cou, de trois bosses et d’une

tête chevaline.

Kozak a également écrit un livre sur la

créature, y compris des schémas du

monstre basé sur les descriptions

d'environ 1.000 témoins.

Le monstre du Lac Hanas – Chine

Les observations les plus

spectaculaires en matière de poissons

monstrueux viennent du lac Hanas, au

nord-ouest de la région autonome du

Xinjiang, à l’ouest de la Chine.

Selon les riverains, ce grand lac isolé

abriterait depuis longtemps d’énormes

monstres aquatiques de couleur rouge.

Ils ont été observés par un groupe

d’étudiants et un biologiste, le

professeur Xiang Lihao.

En effet, ce dernier vit un jour

apparaître dans ses jumelles deux

énormes masses rougeâtres qui se

déplaçaient rapidement sous la surface

de l’eau. Ces créatures ressemblaient

beaucoup à des saumons, mais d’une

taille extraordinaire, que le savant

estimait à 10 mètres environ.

Sources : http://www.infos-paranormal.net/

RTL Info- Radio Bulgarie

http://www.commecadujapon.com/articles/2

0070311-issie-monstre-du-lac-ikeda.html

http://tyron29.kazeo.com/La-

cryptozoologie/Les-monstres-des-

lacs,a369594.html

Il existe aussi : le Skrimsl résidant

dans le Lac Lagerfljót d’Islande ; le

monstre du Lac Sudal en Norvège ; le

Gluant Amincissez résidant dans le

Lac Payette dans l’Idaho et le monstre

du Lac Khaly.

Marie-H.

MONSTRES MARINS p.6

Hypothèses, Théories & Explications

La mystérieuse carcasse du Zuiyo Maru

Une des découvertes les plus intéressantes se produisit le 10

avril 1977, au large des côtes de Christchurch, en Nouvelle-

Zélande. Un chalutier japonais, le Zuiyo Maru, prit dans ses

filets, à environ 300 mètres de profondeur, une bien étrange

masse pesant un peu plus de deux tonnes. Les pêcheurs

furent stupéfaits, une fois la carcasse remontée à la surface,

un animal inconnu de 9,60 mètres, doté d’un cou et d’une

queue étirés en longueur et de quatre nageoires.

Malheureusement pour la cryptozoologie, le capitaine fut

davantage impressionné par l’odeur pestilentielle et le

liquide graisseux qui suintait sur le pont que la créature elle-

même. Il ordonna à ses hommes de rejeter l’intrigant

cadavre à la mer, après avoir l’avoir pesé, mesuré et

photographié.

Les scientifiques japonais et du monde entier furent

consternés de cette action. Les savants conclurent que

l’animal était peut-être un plésiosaure, un reptile marin

supposément disparut depuis fort longtemps, mais qui aurait

pu survivre jusqu’à nos jours. Cette espèce vivait

effectivement au large des côtes australiennes il y a près de

100 millions d’années.

Les Zeuglodontes Pour expliquer zoologiquement l’existence des monstres

lacustres serpentiformes, les spécialistes portent leur regard

sur un passé remontant à 25 millions d’années : l’époque

présumée de la disparition des derniers zeuglodontides.

Atteignant jusqu’à 21 m de long, ces mammifères

serpentiformes avaient vraisemblablement la possibilité de

fléchir leur colonne vertébrale comme les monstres lacustres

actuels. Certains paléontologues doutent que les

zeuglodontes aient de réelles ressemblances avec les

animaux serpentiformes actuels. Mais l’évolution a pu

transformer ces descendants, mutation après mutation.

Un plesiosauroidea en Russie Les plésiosaures sont apparus au début de la période

jurassique et ont prospéré jusqu'à l'extinction du Crétacé.

Etant de grands reptiles du Mésozoïque, ils n'étaient pas des

dinosaures.

L'hypothèse d'un plésiosaure pour expliquer les

observations de Nessie est réfutée par la forme du cou de

Nessie, qui d'après les témoignages et les photos est

souvent présentée comme courbée.

Cette disposition était totalement impossible pour un

plésiosaure. Le crane d'un plésiosaure a été retrouvé sur une

plage de Californie.

Théorie pour le Loch Ness. 2005

Il y aurait des troncs d’arbre au fond du lac. La nature de

l'eau, la végétation et surtout la pression fait que ces troncs

sont chargés en gaz.

Avec le temps, certains par la poussée d’Archimède

remontent à la surface, et quand ils l’atteignent, le gaz

emprisonné se trouve libéré ce qui fait plein de bulles.

Les gens voient des grandes formes noires, des bulles, des

remous, les mouvements d'une forme noire, qui une fois le

gaz échappé, se remplissent d’eau et coulent.

Ainsi ils disparaissent au fond du lac. Ca expliquerait les

écarts entre les différents témoignages.

A l’heure actuelle, les seules preuves de l’existence des

monstres lacustres sont d’ordres photographiques. Jusqu’à

présent, aucun spécimen d’une espèce inconnue n’a été

capturé.

Sources :

http://tyron29.kazeo.com/La-cryptozoologie/Les-monstres-des-

lacs,a369594.html

http://fr.wikipedia.org/wiki/Plesiosaurus

http://mystereetparanormal.unblog.fr/tag/monstre-marin/

Marie-H.

Cartomancie : Cours N°2 p.7

Le mois dernier je vous ai appris comment on procédait à un tirage pour répondre à une question détaillée grâce au tirage en croix. Ce mois-ci je vais éclaircir certains points.

Poser la question à voix haute ?

Peut-importe, il est important que vous songiez fortement à votre question ou à la personne concernée dans votre question lors de la coupe de votre jeu ou lorsque le cartomancien ou le voyant devant vous, vous demande de couper le jeu. En règle générale, lorsque c’est un cartomancien qui vous tire les cartes, vous répétez la question dans votre tête.

Un cérémonial ?

Bougies, encens, pierres, cristaux…pourquoi pas. Ce n’est surement pas obligatoire et encore moins primordial. Le but est de vous écoutez Vous-même, votre Moi. Vos intuitions, votre voie intérieure.

Il est cependant important et je le répète, de procéder au tirage sur une petite nappe en velours afin que les cartes accrochent bien.

Aussi, il est conseillé de dédier un autel, ou une table, un guéridon avec cette nappe, uniquement pour le tirage de carte afin que les énergies résident à une place consacrée.

Plusieurs personnes dans une pièce ?

Je le déconseille. Pour tirer les cartes, il faut être uniquement avec le consultant dans un endroit isolé aux bruits, aux champs magnétiques, aux appareils électroniques. Toute source énergétique autre que naturelle est à bannir. Rien de pire que les portables ou les ordinateurs.

Pour ne pas « prendre » le fil énergétique de quelqu’un d’autre, on évite de tirer les cartes devant

une autre personne que celle concernée.

Y a-t-il des règles ?

Oui. Evidemment, nous n’avons pas le droit de divulguer certaines informations.

Les flashs (photos, images cinétiques…) sont là pour nous aider à répondre à la question et ne doivent en aucun cas, être précisées au consultant.

Il y a aussi des fois où vous ressentirez le besoin de vous taire. Faites-le. Pour les plus empathes d’entre vous, vous ressentirez des douleurs, des angoisses. Si vous pensez pertinent de les révéler, alors faites-le (si cela ne nuit en aucun cas au client).

Ne tirez pas les cartes si vous êtes fatigués, migraineux, alcoolisés… Concernant la fatigue, 1 tirage sur 2 sera faussé ; souvent les cartomanciens ou voyant ne ressentent rien. L’analyse ne se fait donc que sur la lecture de carte. Il en est de même pour la migraine. Concernant l’alcool, les plus chanceux d’entre vous verront leurs capacités se décupler avec les ressentis bien plus forts aussi. Alors attention au climat physique et sensoriel.

Aussi, ne prenez pas le client en victime. Vous êtes là pour lui remuer les puces, pas pour le conforter dans son mal être. Il y a toujours une raison karmique à son mal.

Est-ce fiable ?

Les débuts pourront vous paraître difficiles, un seul mot d’ordre : l’entraînement. Vos tirages seront de plus en plus fiables au fur et à mesure que vous tirerez les cartes. Soyez proche de vos cartes. Ne les laissez pas prendre la poussière dans un coin et sortez-les le plus souvent possible. C’est un instrument et pas n’importe

lequel. Dans ce monde, tout est à traiter avec respect.

Prier ?

Oui. Il vous faudra prier vos êtres chers disparus avant ou après chaque tirage pour ainsi les remercier de l’aide qu’ils vous ont apportés.

Evidemment, les informations entendues ou vues durant une séance de voyance ne résultent pas uniquement d’une lecture, d’une analyse banale de carte mais d’une communication avec les défunts ou entités supérieures.

Les cartes sont un outil à la communication, un médiateur à la réception d’informations sur un autre plan astral.

Vous avez peur des « fantômes » ?

Pourquoi donc ? Ils ne vous feront pas de mal, ils sont juste là, à vos côtés durant le tirage.

Ils vous aident à voir plus clair. N’attendez pas à ce qu’ils se manifestent, vous allez perdre votre temps ! Ils vont et viennent. D’ailleurs, le mot « fantômes » est inexact. Nous parlerons de « Guides ». Ce sont des entités supérieures. Chaque personne a des guides bien définis. Vous pouvez donc les appeler avant le tirage afin de leur demander un éclairage grâce à leur énorme lampe torche. Comme je l’ai dit dans le point précédant, on n’oublie surtout pas de les remercier !

Enfin, il est important que seul(e), vous, touchiez vos cartes. Vos énergies sont imprégnées, elles y résident.

Rangez-les là où personne ne pourrait les déranger. Vous pouvez aussi les envelopper d’un linge de soie.

Je reste disponible pour toutes questions. Bon entraînement !

Marie-H.

Le Point UFO : Enlèvements & Abductees p.8

Le phénomène d’enlèvement par les extraterrestres - abduction - est l'une des parties les plus controversées de l'ufologie. Depuis la première abduction officiellement recensée (le cas Betty et Barney Hill), des milliers de

personnes, ont prétendu avoir été enlevées par des extraterrestres. Cependant, aucune preuve scientifique n'a été apportée pour soutenir la réalité des enlèvements.

ans le système de

classification de Hynek,

les abductions sont

répertoriées en tant que « rencontres

rapprochées du 4e type » (RR4).

Ces témoins prétendent avoir subi un

examen médical de la part des aliens.

Beaucoup d'entre eux affirment que

ces êtres leur auraient mis un

implant dans le cerveau, le nez ou le

sexe.

Cette thèse est soutenue par l'écrivain

et ufologue Jimmy Guieu.

D'autres personnes prétendent que

les extraterrestres les auraient

enlevées pour leur faire part d'un

message : on surnomme en ufologie ce

type de témoins des « contactés »,

pour les différencier des « abductees »

(victimes d'enlèvement).

Le cas du couple Hill – Etats Unis –

1961.

Ce fut le premier cas allégué

d'enlèvement par des

extraterrestres. Il s'agit aussi du

premier cas où des extraterrestres

de petite taille et de couleur grise, ou

« Gris », sont mentionnés.

Le 19 septembre 1961, après une

semaine de vacances au Canada, Betty

et Barney roulent sur la route n°3 en

direction du sud pour rentrer chez eux,

à Portsmouth. Peu de temps après

avoir dépassé la ville de Lancaster,

vers 22h00, Barney aperçoit dans le

ciel une lumière qui se déplace d'une

manière erratique. Il signale cette

lumière à Betty qui ne comprend pas

non plus de quoi il s'agit. Barney sort

du véhicule et observe l'étrange

lumière avec ses jumelles. Il aperçoit

un objet discoïdal avec deux courtes

ailes terminées par deux lumières

rouges. Il discerne même ce qu'il pense

être des hublots. Pris de panique, le

couple remonte dans la voiture et

redémarre en trombe.

Un étrange son, décrit par Barney

comme un « bip-bip », envahit alors

l'habitacle de la voiture. Le même

son se répète une deuxième fois et les

Hill découvrent qu'ils viennent de

parcourir plus de 55 km sans qu'ils

en gardent le moindre souvenir.

Leurs deux montres sont arrêtées

(missing time).

Lorsqu'ils arrivent à leur domicile, ils

comprennent qu'ils ont 2 heures de

retard sur leur horaire. Ils n’ont aucuns

souvenirs. Barney découvre de

nombreuses griffures sur le cuir de ses

chaussures et ressent une vive douleur

dans le dos. Il découvre qu'en plusieurs

endroits la peinture de la carrosserie de

leur voiture a disparu, laissant le métal

à nu.

À partir du 30 septembre, Betty

commence à faire de nombreux

cauchemars où elle se voit poursuivie

par « des visages difformes avec des

grands yeux de chats ».

Elle développe également différents

symptômes dépressifs : mélancolie,

perte d'appétit et angoisse.

Au printemps 1962, après plusieurs

traitements sans résultat, leur médecin

de famille les oriente vers un

psychiatre qui finira par diagnostiquer

un stress post-traumatique.

Celui-ci les orientera vers le Dr.

Simon, psychiatre spécialisé en

hypnothérapie, afin qu'il tente un

traitement régressif destiné à ramener à

un niveau conscient les souvenirs du

traumatisme.

C’est en décembre que Bettyet Barney

commencent des séances d'hypnose

qui s'étaleront sur plus de 7 mois

durant lesquels le médecin enregistra

plus de 40h de bandes audio.

Lors de ces séances, Betty et Barney,

qui furent toujours interrogés

séparément, racontèrent qu'après

l'observation de l'ovni, Barney tenta

d'échapper à ce dernier et s'engagea

dans un chemin forestier où leur

véhicule finit par caler.

L'ovni atterrit à 60 m de la voiture et

une dizaine de créatures de petite taille

en descendirent et se dirigèrent vers le

couple.

Les créatures firent monter le couple

dans l'ovni, séparèrent Betty et Barney

et leur firent subir ce que les Hill

prirent pour une sorte d'examen

médical. Betty prétendit avoir réussi à

communiquer avec l'une des créatures

qui lui présentèrent une carte stellaire

et lui demanda si elle était capable de

situer la Terre. Comme elle répondit

par la négative, la créature lui rétorqua

que cela ne servait alors à rien qu'elle

lui montre d'où elle venait. La créature

raccompagna Betty hors de l'ovni, où

elle retrouva Barney déjà installé dans

la voiture et lui promit qu'elle allait

tout oublier de cette expérience.

Le cas Walton – 1975 –

L'enlèvement de Travis Walton se

déroula du 5 au 10 novembre 1975.

Le 5 novembre 1975, Walton et six de

ses collègues du service des forêts

rentrent en camion après une journée à

couper du bois du côté de Snow Flake.

(Arizona)

Vers 18h00, ils commencent à

apercevoir une puissante lueur à

travers les arbres. Au détour d'un

virage, ils découvrent l'origine de la

lumière : un disque métallique,

surmonté d'une coupole émettant une

lueur jaunâtre.

L'objet mesure 6 m de large et 2,50 m

de haut. Il semble flotter à quelques

mètres de la route. Paniqué, le

chauffeur stoppe le camion 30 m avant

l'objet.

Walton, malgré les mises en garde de

ses collègues, décide d'aller voir l'objet

de plus près et descend du camion.

S'approchant à quelques mètres de

l'OVNI, Walton est brusquement

frappé par un rayon lumineux bleuté et

s'écroule.

Terrifiés, ses collègues quittent

immédiatement l'endroit aussi vite que

le permet le camion. Après avoir

parcouru quelques centaines de mètres,

Mike Rogers (le chef d'équipe) voit

une forte lumière les survoler à

D

quelques mètres au-dessus des arbres

et disparaître.

Les hommes décident, alors, de revenir

sur le site de l'observation mais Travis

Walton et l'objet ont disparu.

Aussitôt prévenues, les autorités

lancent des recherches pour retrouver

Walton.

Le 10 novembre, en fin de journée, le

beau-frère de Travis reçoit un appel

téléphonique : il s'agit de Travis qui

l'appelle d'une cabine publique à

quelques kilomètres de là.

On le retrouve sur place entièrement

nu, désorienté et en état de choc,

amaigri et déshydraté. Incapable de se

souvenir de ce qu'il a fait pendant ces 5

jours et obsédé par des images

terrifiantes d'œil le fixant, Travis

accepte de se soumettre à une séance

d'hypnose régressive afin de faire

"remonter" les souvenirs de cette

période.

Suite à la séance, Travis racontera

l'histoire suivante : Après avoir perdu

connaissance sur la route, il se réveille

dans une pièce entouré de trois

créatures d'1m50 de haut qu'il décrira

comme ressemblant à des "fœtus".

Pris de panique, il repousse

violemment les trois créatures et tente

de s'échapper de la pièce par une porte.

Il débouche dans une pièce plus grande

où se trouve un siège, ainsi que

plusieurs leviers de commande. Une

créature, de forme beaucoup plus

humaine et portant un casque, entre

alors dans la pièce et guide poliment

Travis vers une autre pièce mais refuse

de répondre à toutes les questions qu'il

lui pose.

À peine entré dans la nouvelle pièce,

on lui met un masque respiratoire sur

le visage et il perd de nouveau

conscience. Lorsqu'il revient à lui, il a

juste le temps de voir l'OVNI

disparaître.

Walton écrivit un livre sur cette

affaire : The Walton experience qui fut

p.9

publié en 1978 et réédité en 1996 sous

le titre Fire in the Sky.

Un médecin local confirma l'état

d'extrême désorientation et de

déshydratation sévère dont souffrait

Travis lorsqu'on le retrouva le 10

novembre.

Lors des nombreux interrogatoires que

subirent Travis et ses collègues, leurs

témoignages ne purent être pris en

défaut et ne varièrent jamais.

Travis Walton accepta de se soumettre

au test du détecteur de mensonge et le

réussit haut-la-main.

A noter aussi que Whitley Strieber,

célèbre auteur américain de science-

fiction, prétend avoir rencontré les

extraterrestres. Il raconte cet

événement en 1988 dans son livre

"Communion : A True Story". Cette

histoire a inspirée le film « le jour

d’après ».

Les implants.

Un implant extraterrestre est un petit corps étranger qui

aurait été introduit dans le corps d’un humain par des

extraterrestres, à son insu ou au cours d’abductions.

A partir de 1994 les prétendus implants sont récupérés le Dr.

Leir, chirurgien. Ils se révèlent très variés.

Les implants récupérés ne le sont pas dans le cerveau ou la

cavité nasale, mais plutôt dans les extrémités.

Comme les savent les médecins, un corps étranger peut

pénétrer dans le corps sans que ce soit remarqué (lors d'une

chute). De tels objets étrangers pourraient alors s'entourer

d'une membrane, comme plusieurs des "implants" récupérés.

Dans Confirmation W. Strieber décrit les implants, dont un

enlevé de sa propre oreille externe. Il se révèle être du

collagène, la substance à partir de laquelle le cartilage est

formé.

La sophistication apparente des objets

récupérés semblent de plus en plus étonnantes

par rapport à nos propres capacités

technologiques supérieures (nanotechnologies).

L’abduction – Les caractéristiques.

Il y a plusieurs étapes caractéristiques dans les expériences

d’abduction. Elles se caractérisent tout d’abord par la

"capture" : qui se produit le plus souvent durant la nuit lors

de laquelle la personne a l’impression d’être "enlevée" par

des extra-terrestres.

Vient ensuite une phase "d’examens", physique et

psychologique, qui s’avère souvent désagréable.

L’abduction se termine généralement par une phase de

"retour" et des "conséquences" pouvant être aussi bien

physiques que psychologiques.

Les abductions sont fréquemment décrites sous la forme

d’un rêve au contenu inhabituel. Les détails de ces

expériences émergent durant des sessions d’hypnose

pratiquées après l’expérience.

L’expérience d’abduction est complexe et relativement

mal comprise. Certains facteurs psychologiques comme

la tendance aux faux-souvenirs, l’hypnotisabilité, la

paralysie du sommeil ont pu être relié aux expériences

d’abduction.

Symptômes des Abductees par la Dr. Richard Boylan

Fatigue extrême et anxiété. Réaction forte devant des objets

associés à la réalité extraterrestre. Insomnie persistante et/ou

de très forts cauchemars. Réveil systématique entre 3 h et 4h

du matin sans raison. Un intérêt anormal pour les ovnis.

Lecture maniaque de livres ou visionnement effréné de films

sur le sujet des ovnis. Obsession pour tout ce qui a trait aux

ovnis sans raison apparente. Collection de maquettes ou

figurines. Irritabilité ou brusque changement d'humeur après

un phénomène inexpliqué. Bleus et égratignures survenues

durant la nuit sans explication valable. Cicatrices

inexplicables en des endroits étranges qui apparaissent

subitement. Expérience de temps manquant. Attitude

radicalement différente face aux tâches quotidiennes.

Conscience planétaire. Principe de l'unité. Empathie envers

d'autres personnes Abductees. Sentiment de détenir un

message télépathique. Sentiment de cohabiter avec

quelqu'un d'autre. Soudaine habileté psychique. Attrait pour

des sujets religieux, philosophiques. Sentiment d'avoir un

ami invisible. Sentiment d'avoir une mission. Urgence de se

rendre à un endroit précis sans raison valable. Sentiment

d'avoir un frère ou une sœur ou un enfant quelque part

ailleurs. Sentiment de ne pas appartenir à la terre.

54% des cas d'enlèvement seraient des femmes.

Leur expérience est généralement négative.

Sources : http://www.circee.org/abduction-enlevement-extraterrestre.html

www.wikipédia.fr

Marie-H.

Possession & Exorcisme p.10

J’ai bien évidemment mes propres théories concernant les

cas de possession. Descendante d’une religion catholique

non pratiquante, je prie le Notre Père (notion de Source

Universelle) pour faire monter mes défunts et les entités qui

passent aux alentours. Je prie aussi les élémentaux. J’ai

effectivement moins de facilité avec les autres croyances. Je

vous parle de ceci dans ce sujet puisqu’il est certain que les

cas de possession et d’exorcisme ont un rapport avec la foi,

l’église, que j’ai moi-même du mal à comprendre et à

discerner. Ce sujet est donc un panel d’articles que j’ai

trouvé sur Internet pour essayer, comme vous, de

comprendre. Une séance de spiritisme est très souvent à

l’origine de ce genre de phénomènes. Si certains d’entre

vous, ressens une vive douleur dans le dos, un poing à la

nuque, un poids : vous avez à faire à une entité. Si elle n’est

pas évoluée, faites attention à la possession de corps. Idem si

votre aura reste ouverte pour une quelconque raison. Les

entités s’accrochent à vous sans que vous vous en rendiez

compte. Contactez vite un professionnel s’il y a des

phénomènes inexpliqués autour de vous qui démarrent.

Il me paraît aussi évident, que pour être victime d’une

possession, tout comme la Psychokinèse, un(e) adolescent(e)

dont l’affect et l’émotionnel est instable sera d’autant plus

visé(e) qu’un individu stable. Attention au spiritisme donc !

(Oui-ja Board, chaîne spirite, écriture automatique,

qu’importe) Je crois que je ne le répéterais jamais assez : il

est si difficile pour vous, curieux, de vous ressaisir et

d’éviter ce genre de chose ?

Marie-H.

L'emprise du démon

Plusieurs cas authentique de

possession ont été rapportés par

l'Église au cours de ces cent dernières

années. Parmi les cas de possession les

mieux documentés, le plus vieux cas

remonte à 1865. Avis au croyant

Catholique selon l'Église elle-même,

la possession par le démon est réel.

À ce sujet le rituel Romain représente

en détail le mode d'emploi afin de

déterminer les critères d'une

possession authentique et même la

notice pour exorciser un être possédé.

Un des professionnels dans le domaine

de l'exorcisme est le Père Adolf

Rodewyk.

Il a écrit à l'âge de 71 ans, un

manuel sur la possession et

l'exorcisme. Publié pour la première

fois en 1963 et traduit en anglais

sous le titre Possessed by Satan,

l'auteur donne de sérieuses

recommandations face aux

exorcismes.

Les cas réels de possession sont très,

très rares.

Les états du possédé

On distingue un état de calme et un

état de crise. L'état de crise se traduit

par des contorsions, des éclats de rage,

des paroles impies et blasphématoires.

Pendant la période de calme, tout est

généralement oublié et le

comportement redevient bien adapté,

voire très pieux.

Mis à part sa signification théologique

particulière et les éventuels

phénomènes parapsychiques qui lui

seraient associés, la crise de possession

ne se distingue pas d'une crise

d'hystérie.

Le diagnostic différentiel entre

maladie mentale et possession

diabolique ne se fait que sur

l'existence de phénomènes

paranormaux.

Les symptômes de la possession

Il existe des signes permettant le

diagnostic de possession. Le Rituel

Romain énonce trois symptômes

essentiels : Parler ou comprendre

une langue inconnue (glossolalie),

découvrir les choses éloignées et

secrètes (voyance), faire montre

d'une force inexplicable par

l'habitus physique de la personne

considérée (psychokinèse).

Les gestes pieux mettent le possédé

dans une rage folle et le conduisent à

blasphémer horriblement. L'amnésie

de la possession est fréquente, et

souvent constante.

Les marques du diable, pour l'Eglise

du Moyen Age, ne se limitaient pas

aux trois signes. On donnait la

préséance à d'autres symptômes tels

que la lévitation et surtout des zones

d'anesthésie, des points du corps

anormalement insensibles.

Remèdes

Il est utile de considérer les "remèdes"

proposés par l'Eglise:

La confession générale (relative à

l'ensemble de la vie passée), le jeûne,

la prière, la communion, les objets

bénis et surtout l'eau bénite ainsi que

l'exorcisme qui consiste, au nom du

Christ, à intimer au démon l'ordre

d'avouer son nom, puis de quitter le

possédé.

Méthode en 11 parties établie par le

pape Paul V

Récitation par le prêtre en étole

violette, dont un bout entoure le cou

du possédé, d'une litanie

accompagnée d'une aspersion d'eau

bénite. Récitation du Psaume LIV.

Adjuration à la divinité et interrogation

faite au démon de son nom et d'où il

provient;

Récitation de certains passages des

Evangiles (Jean I ; Luc X-XI ; Marc

XVI). Prononciation du premier

exorcisme contre le Démon par le

prêtre posant la main droite sur la

tête du possédé. Prière préparatoire.

Prière accompagnée de divers signes

de croix sur la personne possédée.

Second exorcisme prononcé avec

une certaine violence contre l'

"Antique Serpent". Nouvelle prière.

Troisième et dernier exorcisme.

Récitation de cantiques, de psaumes et

de prière finales.

La science face aux démons

Les maladies de la personnalité se

confondent avec les cas de possession.

Le patient assume deux ou plusieurs

personnalités. L'épilepsie, l'hystérie et

les maladies de la personnalité sont

susceptible de se manifester par des

symptômes confondus avec ceux de la

possession.

C'est à l'Église qu'il revient d'établir

si des manifestations paranormales

se produisent dans le contexte d'une

aversion caractérisée pour la

religion. Si oui, l'Église classifie ce

cas d'authentique. Par la suite un

prêtre conseille un exorcisme aux

proches de la victime. Ainsi que

l'exige la procédure de l'Église

Catholique, ce cas est soumis par la

suite à une autorité hautement

compétente en matière d'exorcisme et

de possession. Ce cas est évalué selon

la notice du Rituel Romain et est

ensuite recommandé à l'Évêque du

diocèse, qui a lui seul le pouvoir

d'autoriser la célébration des rites de

l'exorciste.

Deux révérends exorcistes sont

sélectionnés et depuis 1978, il est

obligatoire qu'un médecin soit

p.11

présent lors de l'exorcisme.

Source:

Le grand livre du mystérieux

http://www.paranormal-

fr.net/dossiers/possession-et-exorcisme.php

Cas d’Exorcisme Le cas d’Emily Rose.

Née le 21 septembre 1952, Anneliese Michel avait une vie

normale. Du jour au lendemain, sa vie bascula un jour de

1968 quand elle a commencé à trembler et à ne plus savoir

contrôler son corps. Lors de ses crises, elle perdait sa voix,

ne savait plus appeler ses parents pour avoir de l'aide. Un

neurologue a diagnostiqué qu'elle souffrait d'épilepsie. Elle a

été admise à l'hôpital pour un traitement.

Après ses premières attaques, elle a commencé à voir des

visages, des grimaces démoniaques lors de sa prière

journalière. Dès lors, elle savait que le mal qui l'a rongeait

était une possession. Elle entendait des voix. Les démons lui

donnaient des ordres. Anneliese en a parlé aux médecins qui

ne savaient plus comment l'aider. C'est à ce moment précis,

qu'elle a perdu toute confiance en la médecine. Début 1973,

les parents d'Anneliese ont cherché plusieurs pasteurs pour

un exorcisme mais ceux-ci pensaient qu'elle devait continuer

de prendre ses médicaments. De plus, pour pratiquer un

exorcisme, il fallait répondre à des caractéristiques bien

spécifiques : parler une langue que l’on n’aurait jamais pu

parler, avoir des pouvoirs surnaturels…

En 1974, un pasteur a autorisé à ce que l'on pratique un

exorcisme. Mais cela a été rejeté par sa hiérarchie. Son état a

empiré, les crises furent de plus en plus violentes. Elle

insultait, battait et mordait les autres membres de sa famille.

Elle refusait de manger. Elle dormait à même le sol. Elle

mangeait des araignées et buvait sa propre urine. On pouvait

l'entendre toute la journée en train d'hurler, de briser les

crucifix et détruire des peintures représentant Jésus. Elle a

commencé à se mutiler, arracher ses vêtements et uriner à

même le sol. Après avoir vérifié l'état de sa possession en

1975, le clergé a autorisé un exorcisme basé sur le rituel

romain. Il était déterminé qu'Anneliese devait être sauvée de

la possession de plusieurs démons incluant : Lucifer, Judas

Iscariot, Néron, Caïn, Hitler et Fleischmann et d'autres âmes

damnées qui se manifestaient à travers elle. A partir de

1975, on pratiquait un ou deux exorcismes sur elle chaque

semaine. Parfois, les attaques étaient tellement fortes qu'elle

devait être maîtrisée par trois hommes ou être enchaînée.

Elle a pu reprendre un semblant de vie cependant, les

attaques ne stoppèrent pas. Elle se trouvait souvent paralysée

et inconsciente, refusait de manger. A cause des nombreuses

génuflexions (plus de 600), elle eut une rupture ligamentaire

au niveau des genoux. 40 cassettes audio ont été enregistrées

lors des exorcismes afin de préserver les détails. Le dernier

jour du rite se déroula le 30 juin 1976, à ce stade, Anneliese

souffrait d'une pneumonie. Elle avait le visage émacié et

souffrait d'une grande fièvre. Elle était exténuée

physiquement. Elle restait consciente de sa situation. Sa

maman a enregistré la mort de sa fille. Après sa mort, un

procureur a enquêté et suite a cela les deux prêtres exorcistes

et les parentes d'Anneliese ont été inculpés pour négligence

ayant entraîné la mort. Depuis cette affaire, chaque

exorcisme Catholique pratiqué doit être maintenant sous la

surveillance d'un médecin. Les parents et les deux prêtres

ont eu une peine d'emprisonnement de 6 mois de prison.

Le cas de Roby – cas du film L’EXORCISTE.

En son temps cette histoire de possession et d'exorciste n'a

pas fait grand bruit. A l'époque le respect de la vie privé

n'était pas un vain mot. Dans la banlieue de Washington, ce

situe la maison de Mount Rainier au Maryland où Roby a

passé son enfance. La maison sera néanmoins abandonnée,

quelques années après le drame. Elle sera finalement

incendiée par les voisins qui en avaient peur. Il n'y en reste

que des ruines donc personne ne connais le propriétaire.

Jusqu'au mois de janvier 1949, Roby qui est alors âgé de 13

ans, il a toujours été un écolier sans histoire.

Pourtant il sera au centre d’évènements tragiques et étranges

qui vont se dérouler dans cette maison. Roby et sa tante

faisaient des séances de spiritisme. Elle se disait médium et

a initié le garçon à cette pratique très dangereuse. Dans

l'ancien testament cette pratique était punie de mort car

permettant la venue d'un démon en notre monde.

A la suite de ces jeux, des phénomènes étranges apparurent :

bruits, grattements dans les murs, objets se déplaçant seuls,

fruits volant à travers la pièce, tables tournant sur elles-

mêmes. Un matin, la mère de Roby vit des traces de griffes

sur son matelas. Le 26 Janvier, la tante mourût.

Roby fût très affecté, et se retourna vers la planche de oui-ja

dans l'espoir de rentrer en contact avec elle. Il changea,

devînt renfermé sur lui-même et ses nuits étaient emplis de

cauchemars. La famille ne comprenant pas cette situation

qui devenait insupportable, se tourna vers l'Eglise pensant y

trouver une réponse. Ils furent accueillis par le révérant

Shultz. Roby fût placé en institut psychiatrique. Le révérant

proposa une autre explication : la possession. La famille se

rendit alors à l'Eglise St James, où ils rencontrèrent le père

A. Hugues, jeune prêtre.

Lorsque le prêtre et Roby se sont rencontrés, le téléphone

sur le bureau du prêtre se mit à bouger tout seul, la pièce

était devenue glaciale. Effrayé, le prêtre conclu à une

possession, qui incluait un exorcisme, les conditions

requises n'étaient pas toute réunies, le prêtre était jeune, sans

expérience en la matière. Le père Hugues se prépara malgré

tout le mieux qu’il pût, il fit admettre le garçon à l'hôpital de

Georgetown où devait se dérouler l'exorcisme.

Le premier exorcisme : devant la très grande agitation de

l'enfant, la décision de l'attaché au lit avec des sangles fût

prise, Hugues commença alors l'exorcisme. Plus l'exorcisme

avançait plus l'enfant devenait violent, prononçait des

paroles obscènes et blasphématoires. Le prêtre ne se laisse

pas influencer et continua sa séance, mais dans un moment

de relâchement de celui-ci, le garçon réussi à défaire une de

ces sangles, arracha un ressort du sommier et entailla le bras

du prêtre de l'épaule au poignet. Il comprit qu'il était

confronté au Diable en Le garçon une fois la crise passée,

rentra chez lui.

Dès le lendemain matin, le mot "Louis" apparu sur sa

poitrine marqué avec du sang comme si il avait été gratté à

l'aide d'ongles ou autre chose. Les parents affolés, et

originaires de la ville de St-Louis, se rendirent chez l'oncle

du jeune homme, habitant cette ville. Les phénomènes

étranges continuèrent. La fille de cet oncle, se rendit à

l'Eglise St François Xavier pour parler aux prêtres de ce qui

se passait chez elle. Elle rencontra le père Bishop qui,

accompagné du père W. Bowdern se rendirent chez la

famille. Au moment de leur visite le garçon était devenu très

agité, blasphémait, et montrais un grand dégoût envers le

prêtre et tout objet religieux en général.

C'est après cette première rencontre que fût écris l'un

des plus complets rapports sur une possession

démoniaque au

XXème siècle. Le père Bowdern tenu un journal de toutes

les rencontres avec le démon et de tous les faits qui se

passèrent concernant cette affaire.

Extraits de l’exorcisme

Mercredi 9 Mars

"...des douleurs intenses à l'estomac semblent avoir frappé le

jeune garçon, la mère ayant levé la couverture du lit et la

veste de pyjama du petit, nous vîmes de longues

égratignures en zig zag sur le torse du jeune homme..."

Vendredi 11 mars

"...le garçon était endormis quand un flacon d'eau bénite

posé à 60 cm de son lit, fût projeté dans l'angle opposé de la

pièce. A notre sortie, un bruit prodigieux se fit entendre

venant de la chambre, à notre arrivée, l'armoire avait glissé

le long du mur et était maintenant complètement retournée.

Une chaise se déplaça d'environ 60 cm. Un crucifix et divers

objets saints disposés sous l'oreiller, avait glissés jusqu'au

pied du lit. Quand aux reliques elles étaient éparpilles dans

toute la pièce..." Il fût décidé qu’il fallait pratiquer un

exorcisme.

Mardi 15 Mars

"...le matelas se mît à vibrer, la relique de Ste-Marie posée

sur le lit fût une nouvelle fois projetée à travers la pièce."

Ce sera le père Bowdern qui pratiquera l’exorcisme.

Mercredi 16 Mars

p.12

Le père Bowdern prit comme assistant le père Halloran, et

un autre prêtre. Ils se rendirent chez Roby puis

commencèrent la séance d'exorcisme. Les premières prières

provoquèrent la projection du flacon d'eau bénite contre le

mur opposé, le lit se mit avoir des soubresauts.

"Le premier Precipio provoqua chez le garçon une vive

réaction. 3 larges égratignures apparurent sur la poitrine du

jeune homme, à l'énonciation des noms de Dieu, sa Sainte

mère et de St Michel. Les marques les plus profondes furent

celle d'une tête de diable sur la jambe droite, l'apparition

d'un homme cornu dessiné grossièrement, et l'apparition du

mot "Hell" sur sa poitrine."

Lundi 21 Mars

Il fût décidé d'emmener le garçon à l'hôpital psychiatrique

pour continuer l'exorcisme.

Dimanche 27 Mars

"...nouvelle phase de cracha diabolique, il crachait avec une

incroyable précision, à 1m50 il pouvait vous toucher en

plein visage, ses yeux étaient fermés et pourtant il visait

parfaitement..."

Vendredi 1 Avril

Pour faciliter les choses l'enfant se fut baptisé selon les rites

normaux du baptême.

Samedi 2 Avril

Après le baptême, il fallu lui donner l'Eucharistie, ce fût un

véritable combat, après 5 reprises où l'Hostie fût recrachée et

plus de 2h d'acharnement, le rosaire fût récité et le jeune

homme avala enfin l'hostie.

Dans le courant de la semaine sainte les phénomènes

s'accélérèrent incroyablement, les prières qui avaient l'effet

le plus important étaient celles dédies a Saint Michel.

Lundi 18 Avril 10h00

Communion plus exorcisme : le Diable s'écriait "Ca ne

suffit pas... il doit prononcer un mot, un seul mot et il sera

libéré, mais il ne le prononcera jamais..."

22h45 Transe mais plus calme que d'habitude pendant la prière

dédiée à St Michel, puis d'un coup une voix ferme et grave

sortie de la bouche du garçon, "Satan, je suis St-Michel et

je t'ordonne de quitter ce corps au nom de Dominus

immédiatement !" Le garçon fût pris d'un soubresaut, un immense bruit se fît

entendre. Au même moment les prêtres présents dans l'église

virent l'image de St Michel combattant le Démon dans le

dôme de l'église. L'enfant sorti de sa transe et dit : "Il est

parti". Il n'avait aucun souvenir de ce qui lui était arrivé,

mais malgré cela gardait l'image de St Michel combattant le

Démon.

Il est mort à 86 ans en 1983.

Hugues, quand à lui est mort en 1980.

Roby lui, s'est marié. Il est aujourd'hui père de deux enfants,

il vit au USA où il est pilote de ligne.

Sources:

The New York Times, 8 août 1976 - Adolf Rodewyk, Possessed by

Satan p.11-20; Times, 8 août 1978.

http://actualitedeletrange.unblog.fr/2008/01/page/4/

Marie-H.

THE EXORCIST de William Friedkin – 1973 Nota : Beaucoup de disparitions et de phénomènes inexpliqués se sont déroulés lors du tournage de ce film.

Lithothérapie : L’Améthyste p.13

Historique

L'améthyste est une pierre de

couleur violette ou pourpre.

D'après les anciens, sa propriété la plus

connue est de protéger son porteur de

l'ivresse. La raison de ce rapport entre

l'améthyste et de la boisson est la

ressemblance qu'à la couleur de cette

pierre avec celle du vin.

Certains prétendent que son nom ne

signifie pas ivrognerie, mais qu'il est

celui d'une nymphe, Ametho,

qu'aimait Bacchus, le dieu du vin,

qu'elle rejeta pour suivre Diane, la

déesse de la chasteté.

Au Moyen-âge, on considérait que

cette pierre apportait la sérénité et

aidait à rester chaste.

On a utilisé l’améthyste pour en faire

des chapelets, on la creusait souvent en

forme de coupe où l'on pouvait boire,

naturellement, sans craindre de

s'enivrer.

L'améthyste change de couleur quand

on la chauffe : elle pâlit. Elle tend

également à blanchir, probablement à

cause de la lumière du jour à laquelle

on l'expose.

Comme pour l'émeraude, il y a deux

sortes d'améthyste : l'améthyste

orientale ou sapir violet et occidentale

ou vraie améthyste (quartz).

Le quartz doit être clair et violet foncé.

Comme toutes les formes de quartz,

l'améthyste fait partie du système

cristallin hexagonal.

Gisement

Les améthystes existent un peu partout

dans le monde. Le Brésil a été à une

époque un si grand fournisseur que les

prix de cette pierre ont baissé.

Auparavant, l'améthyste était

extrêmement coûteuse. Aujourd'hui, de

nombreux pays en produisent et son

manque de rareté l'empêche de

concurrencer les diamants, les rubis et

les émeraudes.

On en trouve également au Mexique et

en Caroline du Nord, au Canada, en

Irlande, en France, en Espagne, en

Allemagne, en Autriche…

M. Weinstein mentionne un

gigantesque cristal découvert en 1928

au Brésil, qui aurait pesé environ 93 kg

et dont la hauteur dépassait 62 cm.

Propriétés

L’améthyste est LA pierre de haute

spiritualité par excellence.

Douée d’une très forte énergie c’est

une pierre de pureté, de purification et

de protection notamment contre les

attaques psychiques.

Pierre de calme et de sagesse elle

ouvre à des sphères de hautes énergies

et active le Chakras Coronal.

Elle permet en ce sens un contact avec

les esprits et les hautes entités et aide

grandement pour la méditation et touts

travaux spirituels, notamment

d’élévation de la conscience.

Elle aide à se concentrer et amplifier la

volonté.

C'est une des rares pierres

extrêmement purifiante, sa couleur

violette équilibre les vibrations

animales (rouge) et les vibrations

calmes (bleu).

L'améthyste est une pierre de

transformation de conscience vers

l'équilibre, la progression spirituelle.

Elle active le 7ème et le 6ème chakra,

purifie le foie. Elle transforme le

négatif en positif. Elle favorise les

études et la méditation. C’est un

excellent purificateur de l’Aura.

L'améthyste foncée est la plus

puissante.

L'améthyste apaise, approfondit et

purifie le climat détérioré par la

tension et l'hypersensibilité, celui d'une

salle d'attente de médecin, par

exemple.

Placée sous l'oreiller, elle favorise le

sommeil. L’améthyste donne de

l'assurance. Elle permet aussi

d’évacuer le chagrin, de garder la tête

froide et de rester sobre. Elle est

recommandée en cas de : vertiges, de

furoncles, de varices, d’infections

diverses, de menstruations

douloureuses, pour les cures de

désintoxication, les chutes de cheveux,

les douleurs névralgiques. Elle

renforce le système immunitaire,

améliore l'activité du cerveau droit

ainsi que des glandes pinéale et

pituitaire. Elle purifie le sang, aide à la

régénération et à la purification sur

tous les niveaux de conscience. Elle

supprime les illusions et améliore les

aptitudes psychiques.

En cas de migraines, il faut s'en tapoter

la tête. C'est aussi la pierre des

hommes d'affaires.

Source :

http://www.lepantheon.net

Marie-H.

L’Améthyste d'Afrique

Quartz Améthyste

Améthyste d'Uruguay

Améthyste rubanée

Améthyste de Vera Cruz

Améthyste verte ou Amegreen

Le point d’Eurydice : Vampire : Origines du Mythe - Part II p.14

La légende des vampires puise ses origines dans des traditions mythologiques anciennes et l'on retrouve des

êtres légendaires dotés de caractéristiques des vampires dans toutes sortes de cultures à travers le monde.

e personnage du vampire fut

popularisé en Europe au

début du XVIIIe siècle et

émergea plus spécifiquement en

Europe orientale, dans les Balkans :

dans les traditions folkloriques locales,

les vampires étaient dépeints comme

des revenants en linceul qui, visitant

leur aimée, causaient mort et

désolation dans le voisinage.

Les vampires à travers l’Histoire.

C'est en Serbie, vers 1725 que le mot

« vampire » fait son apparition.

À la même époque, le bénédictin

lorrain Augustin Calmet, décrit le

vampire comme un revenant en

corps se distinguant ainsi des

fantômes ou esprits.

1725

Le mot « vampire » apparaît pour la

première fois en 1725, lorsqu'un

rapport présente l'exhumation du

récemment mort Peter Plogojowitz : un

paysan serbe, qui reste encore à ce jour

le cas le plus célèbre de vampire

historique dans le monde.

1726

Vient ensuite celui d'Arnold Paole,

soldat et paysan autrichien mort en

1726 et à l'origine de deux épidémies

de « vampirisme » dont la seconde, en

janvier 1731, fit l'objet d'un rapport

circonstancié par le médecin militaire

Johann Flückinger, connu sous le titre

de Visum et Repertum.

Un autre cas de vampirisme est celui

de Johannes Cuntius de Silésie

cependant le plus célèbre reste Sava

Savanović.

The Vampyr – 1819

Le personnage plus charismatique et

sophistiqué du vampire des fictions

modernes est apparu avec la

publication en 1819 du livre The

Vampyre de John Polidori. Ce livre

remporta un grand succès.

Dracula – 1897

C'est l'ouvrage de Bram Stoker datant

de 1897, Dracula, qui reste la

quintessence du genre, établissant une

image du vampire toujours populaire

de nos jours dans les ouvrages de

fiction, même s'il est assez éloigné de

ses ancêtres folkloriques dont il ne

conserve que peu des spécificités

originelles.

Antiquité.

Dans la Grèce antique, les ombres du

royaume d'Hadès sont friandes du sang

des victimes. Les Anciens craignaient

l’errance de leur âme sur Terre s’ils

n’étaient pas enterrés par leur famille

ou leurs amis. Aristée, Platon et

Démocrite soutenaient que l'âme ne

peut demeurer auprès des morts si elle

privée de sépulture. Les âmes

malheureuses et errantes se laissent

alors attirer par l'odeur du sang. Les

devins se servaient de ces âmes pour

deviner les secrets et trésors. Ayant

connaissance de leur présence, les

hommes cherchèrent des moyens pour

les apaiser ou les contrer.

En Crète, selon Pausanias, on

enfonçait dans la tête de certains morts

un clou. Ovide aussi parlera des

vampires. Théocrite évoque aussi les

empuses (spectres multiformes de la

nuit pouvant se muer en monstres

innommables ou en créatures de rêve,

aussi appelées démons de midi).

Moyen-Âge.

Au XIIe siècle, les vampires étaient

censés être si nombreux en Angleterre

qu'ils étaient brûlés pour calmer la

passion populaire.

Plus tard, au XIVe siècle, Herenberg

cite précisément deux cas en 1337 et

1347 : les coupables de vampirisme

furent empalés et brûlés. De même, au

XVe siècle, les épidémies de pestes

sont l'occasion pour la population

d'une véritable frénésie anti-vampire.

Les légendes

Erzsébet Báthory – XVIème

On voit apparaître au XVIe siècle, la

première grande figure du

vampirisme : la comtesse hongroise

Erzsébet Báthory.

"La comtesse sanglante" a

grandement inspiré les légendes de

vampires.

Entre le XVIe et XVIIe siècle, elle a

torturé et tué un nombre incertain de

jeunes filles. Les fausses légendes

prétendaient qu'elle tuait ces jeunes

filles dans le but de se baigner dans

leur sang afin de rester éternellement

jeune. Elle reste pour beaucoup

l'incarnation du côté aristocratique du

vampire.

En Moravie, l'évêque d'Olmütz, devant

la multiplication des plaintes des

villageois, mit sur pied des

commissions d'enquêtes.

Le premier cas de vampirisme attaché

à un nom et étudié un tant soit peu est

celui Michael Casparek, en 1718. Son

cas fit l'objet d'une enquête officielle,

dans son petit village de Liptov en

Hongrie.

Vlad Tepes Dracul – XVème

Vlad III Basarab, dit Ţepeş

(l'empaleur) ou encore Drăculea (le

dragon, le diable) est aujourd'hui un

des plus grands personnages de

l'histoire associé au mythe des

vampires.

La source de la légende est une

propagande lancée à l'époque contre le

prince, qui pour être sanguinaire ne

l'était pourtant pas davantage que ses

détracteurs contemporains. Il était

connu et l'est toujours pour

l'imaginaire collectif sous le nom de

Vlad l'empaleur.

Ce prince du XVème siècle, dont le

réputation était sanguinaire, a inspiré

"Dracula", le roman de fiction de Bram

Stoker.

Les nombreuses reprises littéraires et

cinématographiques ont fini par faire

de "Dracula" un personnage de la

culture populaire mondiale.

Source : Wikipédia

Eurydice.

L

Votre Espace 15

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Horoscope du mois de Septembre p.16

BELIER

Vous vous poserez certaines

questions embarrassantes

concernant l'état de vos finances.

Ne remettez pas à plus tard pour

faire précisément le point même si

vous redoutez les réponses à vos

interrogations.

Mieux vaut connaître une pénible

vérité que de vivre l'incertitude.

TAUREAU

Vous ressentez une grande

impression de liberté. Vous avez

envie de changement et votre

moral est au beau. Profitez-en pour

entreprendre. Certaines mises au

point ont besoin d'être faites, ne

vous en privez pas. Vous réussirez

là où jusqu'à présent vous hésitiez.

GEMEAUX

Une personne qui ne vous veut pas

que du bien pourrait

particulièrement vous irriter.

Comme vous n'êtes pas très sûr de

sa sincérité vous êtes tenté de ne

pas la ménager. Mais la forme est

là et votre patience vous aidera à

sauter cette barrière

infranchissable qui vous sépare.

CANCER

Il y aurait beaucoup à dire sur un

projet qui mijote depuis

longtemps. Tournez la page, on

vous comprendra. Avant de

prendre la parole, assurez-vous que

l'on sera à votre écoute. Vous avez

sans doute raison, faites preuve de

logique dans votre argumentaire,

on vous croira.

LION

Ne vous plaignez pas si la chance

ne se décide pas à vous sourire tout

de suite. Il y a fort à faire pour

vous convaincre que c'est bientôt

votre tour. Vous savez bien que la

provoquer et y croire sont les

éléments prioritaires pour que la

chance éclaire votre chemin.

VIERGE

Vous pourriez connaître un certain

retard dans un rendez-vous qui

vous semble important. Ne vous

impatientez pas car cela vous

donnera le temps de réfléchir à la

façon de conduire cet entretien.

Vous aurez ainsi plus de chances

de trouver une plus heureuse

conclusion.

BALANCE

La situation paraît se compliquer et

pourtant rien n'indique qu'il y ait à

s'inquiéter. Les choses finiront par

s'arranger, à vous de faire preuve

de patience. Un sentiment sincère

anime quelqu'un de très sérieux

que vous aimeriez mieux

connaître.

SCORPION

Saisissez au vol la proposition que

l'on vous fera de façon un peu

brusque, Vous avez tout à y gagner

car vous traversez une époque

bénéfique qui vous porte chance,

D'autant plus que votre forme

physique qui progresse ne vous

décevra pas, faites néanmoins

preuve de prudence.

SAGITTAIRE

Vous pourrez goûter sans retenue

aux joies intenses qui vous sont

offertes. Les sentiments de

quelqu'un à votre égard évoluent

favorablement. Une rencontre

inattendue vous précipite dans une

hésitation soudaine. Vous prendrez

la bonne décision, celle qui

convient.

CAPRICORNE

La grande forme est là si vous

faites un peu de gymnastique

matinale. Votre énergie est au beau

fixe ce qui vous permet de relever

avec succès un nouveau défi

important pour vous. Une nouvelle

aventure vous attend, profitez des

beaux instants que vous allez

vivre.

VERSEAU

La prudence est de rigueur surtout

s'il s'agit de prendre des décisions

personnelles importantes

concernant des personnes qui vous

sont proches. Prenez soin de les

consulter en priorité avant de vous

engager dans une voie incertaine

qui pourrait vous conduire à une

impasse.

POISSONS

Vous allez prendre des décisions

très importantes sur le plan

sentiments. Faites attention à ne

pas vous engager trop vite.

Assurez-vous que la personne

intéressée par vos déclarations soit

correctement "branchée" sur la

même longueur d'ondes que vous.