L'Avenir - Voici un Belge très méchant

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(c) LES EDITIONS DE L’AVENIR S.A. CE JOURNAL EST PROTEGE PAR LE DROIT D’AUTEUR. LA REPRODUCTION DE TOUT ELEMENT (TEXTE, PHOTO, INFOGRAPHIE), PAR QUELQUE MOYEN QUE CE SOIT, EST SOUMISE A AUTORISATION. TEL : +32 81/248.801 FAX : +32 81/222.840 jeune femme. « J’avais un peu de mal avec les années 80 et puis, cette année, quand j’avais l’occasion de sortir, d’aller voir certains concerts, j’ai été charmée par ces titres-là. Ça me donnait la pêche et j’ai voulu al- ler dans ce sens. » Au rayon des auteurs, la belle a de nouveau su s’entourer. Après Kyo, Calogero ou son ex, Maxime Nucci, on re- trouve cette fois-ci Pierre-Domini- que Burgaud (Le Soldat rose, Pierre Souchon…) et la chanteuse Rose pour les textes. Quant à la musique, elle est signée Siméo, Feed (le complice de Sliimy) ou Florent Lyonnet, moitié du duo electro Jamaïca. Un album diable- ment entraînant, funky parfois, qui risque de bien passer la rampe sur scène. M.U. > Jenifer, « Appelle moi Jen », Universal. Interview : Magalie BEGON W alter, de son vrai nom Bertrand Wautlet, ma- nie l’humour noir avec délectation. La preuve avec son spectacle Belge et méchant où le Bruxellois place la barre très haut. Gare à vos zygomatiques. Les Belges ont plutôt bonne réputation. D’où cette question : pouvons-nous vraiment être méchants ? En réalité, les Belges sont par- fois trop gentils. Dans notre pays, il y a une grande valorisa- tion du consensus. Et le consen- sus en humour, ce n’est pas très intéressant. Bref, mon spec- tacle est un pied de nez gentil à la réputation des Belges… Dans votre spectacle, vous osez vous en prendre à Coluche et aux restos du cœur… Je tiens à souligner que je suis un grand admirateur de Colu- che. Mais je fais confiance à l’intelligence du public pour lire entre les lignes du specta- cle. À mon sens, en humour, il ne faut pas se fixer de limites en termes de thèmes. Mais cer- tains sujets passent mieux avec tel ou tel comique. Tout dé- pend de la personnalité de l’hu- moriste. Vous êtes belge mais vivez à Paris. Vous revendiquez toujours votre belgitude ? Bien sûr ! Mais en même temps, je me sens très bien à Pa- ris. Pour être honnête, je ne comprends pas ces personnes qui disent : « J’aime bien Paris, c’est une belle ville mais ça doit être difficile d’y vivre ». Je ne suis pas d’accord. Exemple, les trans- ports en commun fonction- nent très bien… sauf en cas de grève. C’est difficile pour un « petit » Belge de percer à Paris ? Ni plus ni moins que si vous êtes français. Le secteur de l’hu- mour fonctionne à la méritocra- tie. Où les passe-droits n’exis- tent quasiment pas. La seule chose qui est prise en compte est votre capacité à faire marrer le public. On s’en fiche de votre couleur de peau, de votre natio- nalité ou de vos origines socia- les ! Justement, votre parcours est assez atypique. Vous êtes diplômé de Solvay et avez travaillé comme consultant. Bref, rien à voir avec le stand up… Déjà, quand j’étais à Solvay, j’aimais la scène. J’étais fort im- pliqué dans la vie du cercle et j’ai également participé à la Re- vue. Bref, pas le genre d’étu- diants dont la vie se résumait aux auditoires. Vous ne regrettez pas votre ancienne vie ? Non sauf que la vie de bureau donne beaucoup de grains à moudre pour un humoriste. C’est un formidable lieu pour observer les caractères, la façon dont les gens se comportent… Et je m’en suis bien sûr inspiré pour le spectacle. > « Belge et méchant », le samedi 4/12 au Comédie centrale de Charleroi et le samedi 18/12 au Comédie centrale de Liège C réé en août dernier au Théâtre du Peuple de Bus- sang, le spectacle Le gros, la vache et le mainate a été qualifié par la presse française du « spec- tacle le plus drôle que l’on ait vu de- puis longtemps ! » En Belgique, c’est à Liège qu’il faudra aller pour découvrir cette pièce mise en scène par Bernard Menez. Un projet complètement atypi- que comme il l’explique dans un communiqué de presse. « Pierre Guillois, l’auteur, et son as- sistante, connaissaient ma filmo- graphie, notamment les films avec Jacques Rozier, François Truffaut, Pascal Thomas. Ils savaient aussi que j’avais fait beaucoup de théâ- tre. Au départ, ils souhaitaient me don- ner le rôle de l’une des deux tatas, mais je ne m’y voyais pas trop. Au fil des discussions, Pierre Guillois a eu l’idée de me confier la mise en scène. J’avais beaucoup entendu parler du Théâtre du Peuple, à Bus- sang, de ce lieu original et voilà que l’on me proposait de prendre part à une création là-bas. Je me suis donc lancé dans le projet avec beaucoup de plaisir. » À écouter le metteur en scène et comédien, la pièce elle- même, touche tous les genres, ce qui implique une grande dis- ponibilité des comédiens. « Le contenu artistique est très va- rié, continue Bernard Menez, les intermèdes des tatas, les numéros de strip-tease qui éclatent comme des petites bulles, le décor qui bouge (NDLR : réalisé par l’équipe du Théâtre de la Place qui co-produit le spectacle) et la partie chantée, très importante. Nous ne sommes pas tous de grands chanteurs, à l’exception du comédien Olivier Martin-Salvan. Ces chansons sont originales, corro- sives et rythment tout le specta- cle. » Mais surtout, Le gros, la vache et le mainate propose quelques ter- ribles prestations d’acteurs dont certains dans des contre-em- plois étonnants. « Pierre Guillois a réussi à réunir sur scène des co- médiens improbables. La force du duo de tantes naît d’un décalage : Pierre Vial, pilier de la Comédie Française, habitué à un univers plutôt classique, et Jean-Paul Muel, monument de théâtre, qui parti- cipa au Grand Magic Circus de Jé- rôme Savary incarnent deux vieilles pies qui débitent des hor- reurs. Pour le plus grand plaisir des spectateurs ! » Un spectacle qui veut aussi bousculer tous les tabous mais sans choquer pour autant. C’est du moins ce qu’affirme Menez. « C’est une des qualités de la pièce ! Elle n’est pas du tout convention- nelle. Pendant les répétitions, j’étais parfois inquiet de la direc- tion que Le gros, la vache et le mainate prenait. Mais il s’est avéré que le spectateur est évidem- ment capable d’un très haut ni- veau de second degré. Et qu’il prend des distances par rapport aux discours provocateurs sur la mort, l’enfance, le chômage, le sexe, l’argent. Les rapports entre les per- sonnages, dans ce spectacle, repous- sent en effet les limites. » Paul et Xavier, dont le ventre rond fait la fierté, repeignent leur appartement en chantant : ils attendent un heureux événement ! Mais voilà que le jeune père meurt en couche… Ses deux tantes, commères irascibles, venues pour accueillir l’enfant, décident de s’installer et de veiller le mort, dont l’esprit virevolte dans la maison. Mais entre Paul qui tombe bien vite dans les bras d’un amant, le bébé qui dégoûte tout le monde, un strip-teaseur qui provoque l’émoi et un oiseau de malheur qui chante du Luis Mariano, cette comédie musicale complètement givrée part en vrille ! Le décor s’écroule, les comédiens se rebiffent, les personnages échappent à leur auteur et le metteur en scène lui-même tente de reprendre les rênes de ce cabaret déjanté ! > «Le gros, la vache et le mainate», Pierre Guillois et Bernard Menez, du mardi 7 au samedi 11/12 à 20 h 15 et le 8/12 à 19 h, www.theatredelaplace.be © David Sieber La troupe de Notre-Dame de Paris va bien remonter sur scène. Mais uniquement pour quatre concerts, à Kiev, Moscou et St-Petersbourg (du 7 au 12/12). « On va uniquement chanter les chansons, sans les costumes, avec un grand orchestre et une chorale. » Et après ? « Peut-être que cela nous donnera le goût de refaire autre chose… » Quant à une tournée pour l’album Version intégrale, Garou élude. « Rien n’est prévu. Je dois prendre une grosse décision concernant 2011. Ce serait une énorme aventure. » Du cinéma ? «Non, ce n’est pas ça. Mais cela nous donnera l’occasion de nous réentendre (rires). » Pierre Vial et Jean-Paul Muel incarnent deux tatas dans une pièce corrosive et drôle mise en scène par Bernard Menez. our Jenifer À Liège, un spectacle hors du commun mis en scène par Bernard Menez : «Le gros, la vache et le mainate ». peu) Très élégant dans ce costume, Walter entend ainsi revenir aux bases du stand up où les comiques laissaient au vestiaire leur jean délavé. LIÈGE Menez à la mise en scène Garou chante l’amour, sous l’angle des ruptures… Mais ce n’est pas la faute de Laurie! COMÉDIE CENTRALE Voici un Belge très méchant Un gros projet en 2011 Une pièce déjantée 17

description

Sulfureux. Jouissif ! Irrésistible selon le Pariscope, « Belge et méchant » est un spectacle dans lequel rien ni personne n'échappe à la plume impétueuse de cette machine de guerre du rire (Le Telegramme) : Coluche et les restos du cœur, l'alcoolisme et ses bienfaits, le mariage, le couple : Walter dit tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Mis en scène par la talentueuse Stéphanie Bataille, son spectacle est devenu la sensation comique belge à Paris en convainquant tous les dimanches, lundis et mardis soir le public du Point Virgule, charmé par son irrévérence. Walter nous scotche avec sa décadence jusqu'au-boutiste - Le Point Desproges et Guillon ont un fils caché belge : Walter - Le Soir Un cocktail efficace. Belge et drôle ! - Télérama Une machine de guerre du rire - Le Télégramme Un ton proche de celui de Pierre Desproges - Le Soirmag Walter est un Jacques Brel qui aurait fusionné avec un Jacques Dutronc. C’est irrésistible ! - Le Pariscope

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(c) LES EDITIONS DE L’AVENIR S.A. CE JOURNAL EST PROTEGE PAR LE DROIT D’AUTEUR. LA REPRODUCTION DE TOUT ELEMENT (TEXTE, PHOTO, INFOGRAPHIE), PAR QUELQUE MOYEN QUE CE SOIT, EST SOUMISE A AUTORISATION. TEL : +32 81/248.801 FAX : +32 81/222.840

jeune femme. « J’avais un peu demal avec les années 80 et puis, cetteannée, quand j’avais l’occasion desortir, d’aller voir certains concerts,j’ai été charmée par ces titres-là. Çame donnait la pêche et j’ai voulu al-ler dans ce sens. » Au rayon desauteurs, la belle a de nouveau sus’entourer. Après Kyo, Calogeroou son ex, Maxime Nucci, on re-trouve cette fois-ci Pierre-Domini-que Burgaud (Le Soldat rose,Pierre Souchon…) et la chanteuseRose pour les textes. Quant à lamusique, elle est signée Siméo,Feed (le complice de Sliimy) ouFlorent Lyonnet, moitié du duoelectro Jamaïca. Un album diable-ment entraînant, funky parfois,qui risque de bien passer larampe sur scène. ■ M.U .> Jenifer, «Appelle moi Jen»,

Universal.

� Interv iew :Magal ie BEGON

Walter, de son vrai nomBertrand Wautlet, ma-nie l’humour noir avec

délectation. La preuve avec sonspectacle Belge et méchant où leBruxellois place la barre trèshaut. Gare à vos zygomatiques.

Les Belges ont plutôt bonneréputation. D’où cette question :pouvons-nous vraiment êtreméchants ?

En réalité, les Belges sont par-fois trop gentils. Dans notrepays, il y a une grande valorisa-tion du consensus. Et le consen-sus en humour, ce n’est pastrès intéressant. Bref, mon spec-tacle est un pied de nez gentil àla réputation des Belges…

Dans votre spectacle, vous osezvous en prendre à Coluche et auxrestos du cœur…

Je tiens à souligner que je suisun grand admirateur de Colu-che. Mais je fais confiance àl’intelligence du public pourlire entre les lignes du specta-cle. À mon sens, en humour, ilne faut pas se fixer de limitesen termes de thèmes. Mais cer-tains sujets passent mieux avectel ou tel comique. Tout dé-

pend de la personnalité de l’hu-moriste.

Vous êtes belge mais vivez àParis. Vous revendiquez toujoursvotre belgitude ?

Bien sûr ! Mais en mêmetemps, je me sens très bien à Pa-ris. Pour être honnête, je necomprends pas ces personnesqui disent : « J’aime bien Paris,

c’est une belle ville mais ça doitêtre difficile d’y vivre ». Je ne suispas d’accord. Exemple, les trans-ports en commun fonction-nent très bien… sauf en cas degrève.

C’est difficile pour un « petit»Belge de percer à Paris ?

Ni plus ni moins que si vousêtes français. Le secteur de l’hu-

mour fonctionne à la méritocra-tie. Où les passe-droits n’exis-tent quasiment pas. La seulechose qui est prise en compteest votre capacité à faire marrerle public. On s’en fiche de votrecouleur de peau, de votre natio-nalité ou de vos origines socia-les !

Justement, votre parcours estassez atypique. Vous êtes diplôméde Solvay et avez travaillé commeconsultant. Bref, rien à voir avec lestand up…

Déjà, quand j’étais à Solvay,j’aimais la scène. J’étais fort im-pliqué dans la vie du cercle etj’ai également participé à la Re-vue. Bref, pas le genre d’étu-diants dont la vie se résumaitaux auditoires.

Vous ne regrettez pas votreancienne vie ?

Non sauf que la vie de bureaudonne beaucoup de grains àmoudre pour un humoriste.C’est un formidable lieu pourobserver les caractères, la façondont les gens se comportent…Et je m’en suis bien sûr inspirépour le spectacle. ■ > «Belge et méchant», le

samedi 4/12 au Comédie centralede Charleroi et le samedi 18/12au Comédie centrale de Liège

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Créé en août dernier auThéâtre du Peuple de Bus-sang, le spectacle Le gros, la

vache et le mainate a été qualifiépar la presse française du « spec-tacle le plus drôle que l’on ait vu de-puis longtemps ! » En Belgique,c’est à Liège qu’il faudra allerpour découvrir cette pièce miseen scène par Bernard Menez.Un projet complètement atypi-que comme il l’explique dansun communiqué de presse.« Pierre Guillois, l’auteur, et son as-sistante, connaissaient ma filmo-graphie, notamment les films avecJacques Rozier, François Truffaut,Pascal Thomas. Ils savaient aussique j’avais fait beaucoup de théâ-tre.Au départ, ils souhaitaient me don-ner le rôle de l’une des deux tatas,mais je ne m’y voyais pas trop. Aufil des discussions, Pierre Guillois aeu l’idée de me confier la mise enscène. J’avais beaucoup entenduparler du Théâtre du Peuple, à Bus-sang, de ce lieu original et voilàque l’on me proposait de prendrepart à une création là-bas. Je mesuis donc lancé dans le projet avecbeaucoup de plaisir. »

À écouter le metteur en scèneet comédien, la pièce elle-

même, touche tous les genres,ce qui implique une grande dis-ponibilité des comédiens.« Le contenu artistique est très va-rié, continue Bernard Menez, lesintermèdes des tatas, les numérosde strip-tease qui éclatent commedes petites bulles, le décor quibouge (NDLR : réalisé parl’équipe du Théâtre de la Placequi co-produit le spectacle) et lapartie chantée, très importante.Nous ne sommes pas tous degrands chanteurs, à l’exception ducomédien Olivier Martin-Salvan.Ces chansons sont originales, corro-sives et rythment tout le specta-cle. »Mais surtout, Le gros, la vache etle mainate propose quelques ter-ribles prestations d’acteurs dontcertains dans des contre-em-plois étonnants. « Pierre Guillois

a réussi à réunir sur scène des co-médiens improbables. La force duduo de tantes naît d’un décalage :

Pierre Vial, pilier de la ComédieFrançaise, habitué à un universplutôt classique, et Jean-Paul Muel,monument de théâtre, qui parti-cipa au Grand Magic Circus de Jé-rôme Savary incarnent deuxvieilles pies qui débitent des hor-reurs. Pour le plus grand plaisirdes spectateurs ! »Un spectacle qui veut aussibousculer tous les tabous maissans choquer pour autant. C’estdu moins ce qu’affirme Menez.« C’est une des qualités de la pièce !Elle n’est pas du tout convention-nelle. Pendant les répétitions,j’étais parfois inquiet de la direc-tion que Le gros, la vache et lemainate prenait. Mais il s’estavéré que le spectateur est évidem-ment capable d’un très haut ni-veau de second degré. Et qu’ilprend des distances par rapportaux discours provocateurs sur lamort, l’enfance, le chômage, le sexe,l’argent. Les rapports entre les per-sonnages, dans ce spectacle, repous-sent en effet les limites. » ■

Paul et Xavier, dont le ventre rondfait la fierté, repeignent leurappartement en chantant : ilsattendent un heureux événement !Mais voilà que le jeune père meurten couche… Ses deux tantes,commères irascibles, venues pouraccueillir l’enfant, décident des’installer et de veiller le mort, dontl’esprit virevolte dans la maison.Mais entre Paul qui tombe bien vitedans les bras d’un amant, le bébéqui dégoûte tout le monde, unstrip-teaseur qui provoque l’émoi et

un oiseau de malheur qui chantedu Luis Mariano, cette comédiemusicale complètement givrée parten vrille ! Le décor s’écroule, lescomédiens se rebiffent, lespersonnages échappent à leurauteur et le metteur en scènelui-même tente de reprendre lesrênes de ce cabaret déjanté ! ■ > «Le gros, la vache et le mainate»,

Pierre Guillois et Bernard Menez,du mardi 7 au samedi 11/12 à20 h 15 et le 8/12 à 19 h,www.theatredelaplace.be

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La troupe de Notre-Dame de Parisva bien remonter sur scène. Maisuniquement pour quatre concerts,à Kiev, Moscou et St-Petersbourg(du 7 au 12/12). «On va uniquementchanter les chansons, sans lescostumes, avec un grand orchestreet une chorale. » Et après?«Peut-être que cela nous donnera legoût de refaire autre chose…» Quantà une tournée pour l’album Versionintégrale, Garou élude. «Rien n’estprévu. Je dois prendre une grossedécision concernant 2011. Ce seraitune énorme aventure. » Du cinéma?«Non, ce n’est pas ça. Mais celanous donnera l’occasion de nousréentendre (rires). » ■

Pierre Vial et Jean-Paul Muel incarnent deux tatas dans une piècecorrosive et drôle mise en scène par Bernard Menez.

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COMÉDIE CENTRALE

Voici un Belge très méchant

Un gros projeten 2011

Une pièce déjantée

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