L’ACTION COLLECTIVE AU COEUR DES PRATIQUES D’ÉDUCATION ... · Stéphanie Salagan, viendra...

L’ACTION COLLECTIVE AU COEUR DES PRATIQUES D’ÉDUCATION POPULAIRE

Ce colloque propose une formule participative où nous serons amené-e-s à explorer différentes formes d’actions collectives pour ensuite procéder à l’or-ganisation et à la mise en œuvre d’actions. Venez vivre un moment stimulant et mobilisant destiné à nous ressourcer et à outiller le mouvement d’éducation populaire autonome (ÉPA).

Ce colloque s’adresse principalement aux membres du MÉPACQ ainsi qu’aux organismes communautaires s’identifiant aux pratiques d’éducation populaire autonome, autant à leurs membres, militantes et militants, qu’à leurs salarié-e-s, ainsi que celles et ceux de nos alliés du mouvement étudiant et syndical.

Ce thème représente la suite logique et la conclusion des trois années de for-mations que nous avons animées partout au Québec :

• Formation de 2014 : Le rôle des groupes communautaires dans la transformation sociale • Formation de 2015 : La construction d’un rapport de force • Formation de 2016 : La grève et les mouvements sociaux • Colloque de 2017 : En action pour la justice sociale

• Faire connaître les pratiques d’ÉPA • Ramener la défense collective des droits au coeur de l’ÉPA • Réaffirmer l’ÉPA comme un élément incontournable des luttes et de la mobilisation sociale

PRÉSENTATION GÉNÉRALE

OBJECTIFS DU COLLOQUE

VENEZ VIVRE, EN TEMPS RÉEL, LE PASSAGE DE LA RÉFLEXION À L’ACTION

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PROGRAMMATION

9 MAI : de 19h à 21h30SOIRÉE D’OUVERTURE : REGARD SUR LES LUTTES ACTUELLES

La soirée d’ouverture sera l’occasion de nous ouvrir à d’autres formes de luttes émergentes dans divers mouvements sociaux afin d’illustrer la diversité et l’efficacité de l’action collective.

STANDING ROCK, ALLYSHIP ET SOLIDARITES EN AMERIQUE DU NORDStéphanie Salagan (Réseau québécois des groupes écologistes)

L’histoire des évènements de Standing Rock en 2016 jusqu’à présent, au niveau de la bataille juridique et des actions directes, ont marqué le mouvement activiste environnemental aux États-Unis. Par sa force de mobilisation internationale et d’organisation à l’intérieur des camps, Standing Rock a créé un précédent à suivre pour les autres camps d’activistes qui se sont déployés par la suite afin de contrer les pipelines et de protéger l’eau. Une militante écologiste, Stéphanie Salagan, viendra relater les faits importants de la lutte en cours ainsi que nous partager son expérience d’un mois au Dakota du Nord, à l’intérieur du camp de Standing Rock.

ENSEMBLE CONTRE LES VIOLENCES SEXUELLES SUR LES CAMPUS QUÉBÉCOIS! Mélanie Lemay et Ariane Litalien (Québec contre les violences sexuelles)

Travailler ensemble pour encadrer les institutions d’enseignement postsecondaire, voici l’objectif principal que se sont données les trois jeunes étudiantes à l’origine du groupe-mouvement «Ensemble contre les violences sexuelles sur les campus québécois». Toutefois, elles ne veulent pas que cela : « Nous sommes un mouvement social qui veut faire changer les choses »’, ajoutent-elles. Toutes trois survivantes, deux d’entre elles viendront nous entretenir de l’historique de leur lutte : des expériences négatives vécues sur les campus (dépôt de plaintes pour violences sexuelles, manque de connaissances et d’empathie du personnel, absence de conséquences pour les agresseurs, etc.) en passant par le succès soudain de leur initiative citoyenne, elles nous exposeront à la banalisation de la culture du viol, sur les campus et ailleurs, ainsi qu’à la vive nécessité d’une éducation sérieuse et collective au consentement.

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10 MAI : de 9h à 12hATELIERS : L’ACTION COLLECTIVE EN RAFALE

Une série de courts ateliers exploratoires, d’une durée de 45 minutes chacun, vous donneront l’occasion d’explorer différents types d’action. Les ateliers offerts seront en fonction des grandes catégories suivantes : action dérangeante, espace public, visibilité, artistique.

ACTIONS DÉRANGEANTES

COMMENT AGIR CONCRÈTEMENT SUR NOTRE MILIEU ? ATELIER DE REDÉCORATION URBAINEVania Wright-Larin (RÉPAC 03-12)Comment agir sur son milieu pour favoriser la mobilisation ? Nous apprendrons à déterminer ensemble ce qui, dans notre environnement économique, socioculturel, politique et physique, in-fluence notre capacité de mobilisation et comment on peut agir sur ces facteurs. En plus de ces conseils d’organisation très pragmatiques, nous utiliserons Saul Alinsky pour créer des façons créatives de brasser notre milieu. Bref, l’idée est de savoir déterminer le plus facilement et le mieux possible comment choisir puis créer des actions directes, des gestes de visibilité, de la « redécoration » urbaine pour se fabriquer un environnement propice à la mobilisation !

GROUPES SOCIAUX EN COLÈRE : ATELIER SUR LES ACTIONS DÉRANGEANTESMarie-Ève Duchesne (Comité Populaire St-Jean-Baptiste)Actions de perturbations, actions tannantes, actions dérangeantes…chaque mouvement a sa propre « couleur » quand vient le temps de parler d’actions qui repoussent les limites de la léga-lité. Cet atelier très pratico-pratique nous permettra d’échanger ensemble sur ce genre d’actions : quelles formes peuvent-elles prendre ? Quels risques, notamment légaux, doivent être pris en considération ? Comment gérer les craintes (normales !) qui émergent la veille ou pendant ce type d’actions ? Une panoplie de conseils, histoires et petits trucs d’organisation seront partagés lors de cet atelier qui se veut à la fois concret et dynamique.

BLOQUONS LE TRAFFIC !Michel Savard (Table des Groupes populaire de la Côte-Nord)Au-delà des slogans tapageurs, l’appropriation de la route est un moyen efficace pour faire entendre nos revendications. Toutefois, plusieurs considèrent que c’est un moyen de « dernier recours ». Bloquer la route ne s’improvise pas; pourtant, bon nombre d’organisations le font pour faire pression sur les gouvernements. Un survol des différentes façons d’utiliser la chaussée à des fins de lutte sociale vous sera donc proposé. Quels sont les risques ? Qu’est-ce qui est légal? Quelles sont les autorisations nécessaires? Le but est de vous donner envie de perturber pacifiquement le quotidien des automobilistes, piétons et cyclistes, et ce, en toute sécurité, tout en envoyant un message fort de mobilisation. Après tout : « À QUI LA RUE? À NOUS LA RUE! »

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OCCUPATION DE L’ESPACE PUBLIC

LE PORTEUR DE PAROLES, OUTIL DE PRISE DE PAROLE ET DE PARTICIPATION CITOYENNEMarie-Iris Légaré et quelqu’un d’autre (CPRF)Parmi toutes les possibilités qui s’offrent à nous pour occuper l’espace public, il y a le Porteur de paroles. Plutôt que de tenter de convaincre ou d’imposer un point de vue, ce dispositif vise à entrer en dialogue, en conversation avec les citoyenNEs autour d’une question ouverte, d’un enjeu d’intérêt public. Les passants peuvent s’arrêter, le temps de lire les réponses données par d’autres, échanger avec les interviewers et même ajouter leur contribution originale à cette collection de paroles. Le CPRF (Carrefour de Participation, Ressourcement et Formation) vous propose de découvrir en quoi cet outil permet réellement de partir du vécu et des aspirations des gens qui composent une communauté.

CREER PUIS EXPOSER L’EMPOWERMENT COLLECTIF DES FEMMES : LE PROJET D’ART COMMUNAUTAIRE « MARCHE MON-DIALE DES FEMMES 2015 » Ariane Gauthier-Tremblay et une participante (Centre Ressource pour Femmes de Beauport)Ce projet, dont le CRFB viendra nous exposer la démarche participative et démocratique, vi-sait à favoriser la prise de parole et l’implication des femmes. Démarche d’éducation populaire artistique et féministe, le projet a amené des femmes de milieux variés à nommer et à mettre en commun leurs réalités, à identifier les facteurs qui les construisent et à proposer des solutions pour améliorer leurs conditions de vie. Il a permis à des femmes exclues de trouver un réseau accueillant et autonomisant. Individuellement et collectivement, ces dernières ont transformé un sentiment d’impuissance en pouvoir d’agir, de dire et de créer un projet de société à leur image : égalitaire, solidaire, écologique, pacifique, etc.

QUEL RAPPORT AU TERRITOIRE? ATELIER – DÉCOLONISATIONDanik Laporte (RÉPAT)Parce que nos cerveaux sont des territoires occupés ? Parce que nos espaces publics sont colonisés ? Parce qu’on nous vend en canne, en boîte, en vrac la nature ? Parce qu’on priva-tise et chosifie les rapports sociaux, les lieux, l’histoire et l’existence ? À travers cet atelier, nous pourrons discuter du morcellement, du déracinement et de l’éclatement de nos communautés. Nous pourrons ensuite identifier ensemble pourquoi on résiste, pour quels raisons on lutte et quels types de territoires nous protégeons et devons protéger. Démocratisons l’espace public et le paysage ! Habitons le Territoire !

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ACTIONS DE VISIBILITÉ

DROP LA BANNIÈRE!Hubert Pinault (Syndicat des Étudiant-e-s Salariées de l’Université de Montréal)Le « drop de bannière » est une tactique militante couramment utilisée pour donner une visibilité à une cause. Bien planifié, ce type d’action peu prendre les allures d’un coup d’éclat et engendrer une couverture médiatique tout en étant relativement exempt de risques, accessible aux personnes moins expérimenté-e-s et peu demandant en terme de temps, d’argent et de matériel. Cet atelier couvrira tous les aspects du déploiement d’une bannière, de la planification à la mise en action (tactiques pour favoriser la visibilité, repérage, matériel, division des tâches, etc.) en passant par la confection physique de la bannière et les enjeux de sécurité qui entourent ce type d’action.

L’ACCOMPAGNEMENT : ALLYSHIP ET SOLIDARITÉ INTERNATIONALEJeanne Ricard (Projet Accompagnement Québec-Guatemala)Comment être un-e allié-e efficace dans les luttes de défense des droits humains que mènent d’autres peuples ou des communautés dont on ne fait pas partie? En effet, et plus que jamais, l’adoption d’une posture anti-raciste, anti-impérialiste, et anti-sexiste semble nécessaire. Malgré la complexité des enjeux liés à la solidarité internationale, nous pensons qu’il est possible d’agir en tant qu’allié-e-s, de démontrer sa solidarité sans reproduire de logiques colonisatrices, d’agir sans détruire des communautés sous prétexte des nécessités de « l’aide internationale ». Nous vous proposons de découvrir le concept d’accompagnement international, ce type d’actions de solidarité qui se distingue des approches de coopération internationale classique, et ce, avec comme angle d’approche l’accompagnement au Guatemala.

POUR UN FLASH-MOB PUNCHÉ ET EFFICACE!Julie Bellavance (ROC-O3)D’abord connu pour surprendre et divertir un public, ou encore utilisé à des fins publicitaires, un flash-mob peut aussi servir à faire connaître des revendications! C’est une forme d’action qui permet d’agir collectivement et qui peut être un outil de pression politique. En d’autres mots, les flash-mobs sont efficaces pour manifester autrement. Conçus pour attirer l’attention, ils peuvent prendre plusieurs formes : chorégraphie de danse, die-in, mise en scène théâtrale, freeze (Statut!), chant, etc. ! Que ce soit pour communiquer un message revendicateur ou pour divertir les passants, son effet de surprise en fait un moyen d’action de qualité. Mais… qu’est-ce qui caractérise un flash-mob exactement? Quelles sont les étapes pour en créer un? Quels sont les éléments gagnants et les pièges à éviter? C’est ce que nous verrons dans cet atelier, le tout ponctué d’exemples de flash-mob pour nous inspirer.

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ACTIONS ARTISTIQUES

ATELIER SÉRIGRAPHIECaroline Jean (MÉPAC, Saguenay-Lac-Saint-Jean-Chibougamau-Chapais)Technique artistique popularisée par le mouvement américain Pop art, la sérigraphie est un procédé d’impression souvent utilisé aujourd’hui dans les milieux militants. Ce procédé, utilisé massivement dès les années 60, avait surtout pour objectif la publicité. L’impression en série étant très utile pour des affiches et, par la bande, la critique sociale de la culture industrialisée. Au niveau pratique, la sérigraphie s’effectue à l’aide d’un cadre et d’un pochoir sur lequel est tendu un tissu. Versatile, elle permet l’impression sur de multiples surfaces : T-shirts, bannières, « patchs », sacs, affiches, etc. En plus de donner des résultats esthétiques très intéressants, elle est à la fois simple, peu dispendieuse et permet de reproduire (et en masse!) un message politique attrayant sur toute sorte de supports visibles dans nos milieux de luttes.

ATELIER D’ÉCRITURE SLAM : POÉSIE ORALE ENGAGÉE 101Marianne Verville (Sherbrooke) Cet atelier vise à transmettre les notions de base de la poésie orale, pratiquées dans les soirées slam, dans l’objectif de créer des textes poétiques qui pourront faire passer des messages, des témoignages ou des revendications politiques de façon naturelle, percutante et captivante. Par le biais d’exercices d’écriture, en solo et en groupe, nous découvrirons les particularités littéraires de la poésie orale : les figures de style les plus efficaces, le rythme, l’interprétation, etc. Il sera aussi question du principe de « slam sauvage », une action artistique inattendue qui se performe dans les endroits publics.

DE L’INDIGNATION A « L’OBJET-SYMBOLE » : COMMENT TRANSFORMER UNE IDEE EN IMAGE QUI MARQUERA LES ESPRITS ?Caroline Moreau (Artiviste, Centre-du-Québec)L’action collective peut-elle rimer avec l’expression artistique? Est-il possible de trouver UN symbole qui vaut 1000 mots? L’art possède un grand pouvoir de transformation sociale; il marque l’imaginaire et touche les sens. Comment utiliser cet allié pour faire entendre nos revendications? Comment trouver, à travers diverses disciplines et matériaux, ce qui représente le mieux les messages que nous voulons faire passer? Que ce soit dans une manifestation, une action ou encore en tant qu’outil d’éducation populaire, l’art est un allié précieux et rassembleur qui nous permet d’atteindre nos objectifs de sensibilisation. Comme le dit l’adage, c’est en forgeant que l’on devient forgeron. C’est donc en créant que l’on devient encore plus créatifs et créatives!

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10 MAI : 13H À 18HDE LA PAROLE AUX ACTES : ORGANISATION ET MISE EN OEUVRE D’ACTIONS COLLECTIVES

Les ateliers du jeudi après-midi vous donneront l’occasion de vivre, en temps réel, le passage de la réflexion à l’action. Les participant-e-s choisiront un atelier où ils et elles expérimenteront l’organisation d’une action. Par exemple, l’organisation d’une action dérangeante ou d’une action artistique pourraient être des actions expérimentées dans les ateliers. À la fin de l’après-midi, chacun des ateliers mettra en œuvre son action. Le matériel nécessaire ainsi que des moyens de transport seront disponibles.

11 MAI : DE 9h À 12hRETROUR SUR LES ACTIONS COLLECTIVES ET PLÉNIÈRE

La plénière du vendredi sera l’occasion de parcourir l’ensemble des actions qui auront été organisées la veille. En deuxième partie, cette plénière abordera les prochaines étapes de la lutte pour la justice sociale. Comment nous pouvons travailler avec les autres mouvements sociaux pour élargir et faire converger la lutte contre l’austérité et la lutte du communautaire pour l’avancement de la justice sociale.

SPÉCIAL «ÉQUIPE MÉDIAS»Parce que la visibilité médiatique, tant dans les médias traditionnels que dans les réseaux sociaux, est l’un des objectifs visés lorsque nous organisons des actions, nous vous proposons une formule inédite ! En parallèle des différents ateliers qui seront donnés en matinée, nous vous invitons à vous inscrire à l’équipe médias qui participera à différents ateliers vous permettant de vous familiaricxser avec les notions de base de cet important travail. Notez que cette équipe sera responsable de la couverture médiatique et de la visibilité sur les réseaux sociaux des actions qui seront organisées en après-midi.

Au programme : L’avant-midi sera consacrée à une période d’échanges, d’apprentissages multimédias (en fonction des besoins et des connaissances des participantes et des participants) et d’élaboration d’une stratégie médiatique pour couvrir la demi-journée d’actions du colloque. L’après-midi consistera à participer aux ateliers d’organisation des actions avec en tête la couverture médiatique. Les personnes-ressources seront disponibles pour répondre aux questions et donner un coup de main pour les photos, tweets, articles, etc.

Les places sont limitées ! Nous avons besoin d’un maximum de 12 participantes et participants pour compléter l’équipe médias. Inscrivez-vous rapidement !

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L’ACTION COLLECTIVE AU COEUR DES PRATIQUES D’ÉDUCATION POPULAIRE9H À 10H : MEDIAS TRADITIONNELSCaroline Déry (RÉPAC 03-12)

• Appel aux médias (rédaction et envoi de communiqués de presse à travers des canaux officiels et non-officiels, etc.)

• Préparation d’une conférence de presse (enjeux logistiques, préparation de dossiers de presse pour les médias, etc.)

• Préparation d’un ou d’une porte-parole (fonctions d’attaché-e de presse sur le terrain, briefings efficaces, etc.)

• Trucs de rédaction de brèves et d’articles en tout genre.

10hÀ 11H : WEB ET MÉDIAS SOCIAUXVéronique Laflamme (FRAPRU) et Justin Lavoie (militant étudiant)

• Le fonctionnement de base de Wordpress ainsi que quelques trucs et astuces (gestion quotidienne, mises à jour, etc.)

• Trucs usuels pour rendre son site web facile à consulter et attrayant (choix et tailles de polices, fonctionnement sur les téléphones mobiles, etc.)

• Visibilité de son site sur les médias sociaux (Facebook, Twitter, etc.) et sur Internet (moteurs de recherche tels que Google, etc.)

• Comment utiliser les différents médias sociaux, en particulier Facebook et Twitter, pour rendre visibles nos actions avant, pendant et après?

11H A MIDI : PHOTOGRAPHIE ET VIDEOMarie-Isabelle Rochon (étudiante et photographe)

• Techniques de base de la photographie et de la prise de vidéo. • L’art de raconter une histoire : comment interpeller un auditoire? Comment informer tout

en demeurant captivant? • Prise de vue, cadrage et composition : pourquoi certaines images fonctionnent et d’autres

non? Comment rendre une image (photo ou vidéo) intéressante?• Comment couvrir un évènement de manière efficace.

13h à 18h : COUVERTURE DES ACTIONSParticipation aux ateliers d’organisation des actions avec en tête la couverture médiatique. Les personnes-ressources seront disponibles pour répondre aux questions et donner un coup de main pour les photos, tweets, articles, etc.

11 MAI - PRÉSENTATION DES ACTIONS LORS DE LA PLÉNIÈREBilan de 30 minutes lors de la plénière pour présenter les actions et la couverture médiatique des actions de la veille.

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FRAIS D’INSCRIPTION

L’inscription inclut les activités, les documents, l’hébergement et les repas : (déjeuner, dîner, souper du 10 mai et déjeuner et dîner du 11 mai). Nous remboursons les frais de transport sur demande (0,25$/km) sous réserve de co-voiturage.

Membre du MÉPACQ* Non-membre

Prix salarié-e-s : 100 $ 150 $

Prix militant-e-s : 75 $ 125 $

* Personne associée à un groupe de base membre d’une table régionale du MÉPACQ.

Date limite pour les inscriptions : 14 avril 2017

Pour vous inscrire, allez remplir le formulaire en ligne disposnible sur le site du MÉPACQ : www.mepacq.qc.ca

Ou envoyez-nous le formulaire par la poste au 1600 De Lorimier, bureau 392, Montréal, H2K 3W5

Pour information : 514-843-3236 - [email protected]

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FORMULAIRE D’INSCRIPTIONNom : __________________________________________________________________Groupe : __________________________________________________________________Courriel : __________________________________________________________________ Téléphone : __________________________________________________________________

Inscription Membre salarié-e (100$) Non membre salarié-e (150$) Membre militant-e (75$) Non membre militant-e (125$)

Je veux participer à l’équipe médias Oui Non (Notez que vous ne pourrez pas participer aux autres ateliers du matin)

HébergementAvez-vous besoin d’hébergement ? Oui Non Occupation simple (moyennant un supplément de 43$ (21,50$ / nuit )) Occupation double Personne avec qui vous partagerez votre chambre : ______________________________ TransportAvez-vous besoin d’une aide financière pour les frais de transport? Oui Non Nombre de km : _______________________

RepasAvez-vous des spécificités alimentaires? Oui Non(Allergies, végétarisme/végétalisme, restrictions, etc.)

Si oui, spécifier : _______________________________________________________________

Resterez-vous pour le dîner du jeudi le 11 mai? Oui Non

Besoins particuliersAvez-vous des besoins particuliers dus à un ou des handicaps? Oui Non Si oui, quels sont-ils? ___________________________________________________________

Avez-vous besoin d’un service de gardiennage? Oui Non Nombre d’enfants : ____________________

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