La Une : Bien-être & qualité de vie Le point GSE - … · que soit son orientation sexuelle ou...

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Le point GSE Gestion de la Santé en Entreprise Bien-être & qualité de vie au travail avril 2015 Editorial 1 La Une : Bien-être & qualité de vie au travail 1 L’écho des régions 2 Le coin des responsables : Diversité , passer de la tolérance à l’enrichissement mutuel 2 Notre nouveauté : Le programme Pro-de-Sens « Apprentis » 3 Astuce santé : De l’utilisation judi- cieuse des couleurs 3 Obtention de la certification ISO 4 Annonce : Afterwork 2015 de PMSE 4 Contacts 4 DANS CE NUMÉRO : EDITORIAL 1 Bonjour à tous, Nous avons le plaisir de vous annon- cer que la parution de notre newsletter se fera dorénavant trois fois par an et qu’elle est désormais disponible en format PDF dans la rubrique « actualité » de notre site internet www.pmse.ch. Voici donc le second numéro 2015 qui s’articule autour du thème central de la qualité de vie au travail. Qu’enten- dons-nous par ce sujet qui alimente souvent les discussions de pause-café ? Les réponses sont éclairées sous diffé- rents angles : la notion de diversité & comment la valoriser plutôt que de la stigmatiser, l’intégration des jeunes apprentis, le développement de compé- tences dans le secteur de la santé et l’utilisation des couleurs dans notre environnement de travail . J’en profite pour vous inviter à réser- ver la date du 13 octobre 2015 dès 16 heures pour participer à notre pro- chain Afterwork sur le même sujet. J’ai également le plaisir de vous pré- senter notre nouveau médecin du tra- vail, le Dr Marie-Thérèse GIORGIO qui a rejoint PMSE SA. Au bénéfice d’une large expérience en médecine du travail, elle occupe le poste de direc- teur médical depuis le 1er avril et sa mission est de développer ce départe- ment au sein de PMSE SA. Je vous laisse découvrir son parcours sur notre site internet. Je vous souhaite une excellente lecture et un beau printemps. Annick Rieker, Directrice de PMSE SA La mondialisation de l’économie a im- posé aux entreprises une nouvelle ma- nière de fonctionner : gestion des coûts, rationalisation des procédures, management à distance, moins de hié- rarchisation… Cela pousse parfois le manager à deve- nir exclusivement « un gestionnaire » qui n’est plus en contact avec la réalité du terrain. Un décalage se crée ainsi entre le manager et les équipes de ter- rain. On constate alors des tentatives de structurer, clarifier, organiser, mais cela engendre souvent des tâches qui se complexifient et paradoxalement, un surcroît de travail, parfois dénué de sens, là où on visait une simplification et plus d’efficacité. Ces dernières années, l’accent a beau- coup été mis sur les risques psycho- sociaux (charge de travail trop faible ou trop élevée, soutien social man- quant, latitude décisionnelle faible, pression du public, violence au travail, atteinte à l’intégrité, demande contre- éthique, travail émotionnel, contrainte extérieure, changements itératifs, sen- timent de réaliser un travail de mau- vaise qualité (qualité empêchée) avec pour conséquences possibles le stress au travail, l’épuisement professionnel, des pathologies physiques ou psy- chiques. Le danger de se focaliser uni- quement sur l’aspect risque nous fait oublier que le travail est avant tout un facteur d’épanouissement, d’enrichis- sement et souvent, même, source de bien-être. Dans cette même optique, un nouveau courant émerge qui se centre plus sur l’aspect ressource que sur l’aspect risque : c’est la qualité de vie au tra- vail. Cette notion de bien-être au travail est souvent comprise à tort comme étant un espace de liberté sans limite pour les collaborateurs. Mais comme le di- sait Sartre « la liberté des uns s’arrête où commence celle des autres ». Selon Clot (2010), c’est le « bien faire » qui crée le bien-être. En effet, on a tous fait l’expérience que le sentiment d’avoir fait du bon travail nous procure de la satisfaction et le sentiment du devoir accompli. La perception du tra- vail bien fait n’est pas forcément la même pour le collaborateur que pour son cadre. C’est pourquoi il est primor- dial de pouvoir échanger sur sa vision du travail au sein des équipes avec les cadres. La qualité de vie au travail demande à la fois des compétences personnelles (relationnelles, gestion du temps, ca- pacités de ressources, identification de ses besoins..) et une communication d’entreprise qui laisse la place au dia- logue ascendant et non plus stricte- ment descendant du cadre vers le col- laborateur. Un collaborateur qui aura identifié ses besoins et qui les aura communiqués de manière claire, aura plus de chance d’être entendu pas un cadre lui-même soumis à une charge de travail importante et devant gérer toute l’équipe. Miser sur la qualité de vie au travail est une solution gagnant-gagnant. Il a été montré que les entreprises inves- tissant dans la prévention et dans le dialogue organisationnel étaient plus productives et les collaborateurs bien dans leur travail restent plus dans l’en- treprise, s’investissent davantage et ont un meilleur équilibre entre vie per- sonnelle et professionnelle. Dr M.-T. Giorgio et Dr Katia Schenkel PMSE SA ch. de la Muraille 12 1219 le Lignon - Genève Tél: +41.22.970.19.06 Fax: +41.22.970.19.07 [email protected]

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L e p o i n t G S E G e s t i o n d e l a S a n t é e n E n t r e p r i s e

Bien-être & qualité de vie au travail

avril 2015

Editorial 1

La Une : Bien-être & qualité de vie au travail

1

L’écho des régions 2

Le coin des responsables :

Diversité , passer de la tolérance à l’enrichissement mutuel

2

Notre nouveauté : Le programme Pro-de-Sens « Apprentis »

3

Astuce santé : De l’utilisation judi-cieuse des couleurs

3

Obtention de la certification ISO 4

Annonce : Afterwork 2015 de PMSE 4

Contacts 4

DANS CE NUMÉRO :

EDITORIAL

1

Bonjour à tous,

Nous avons le plaisir de vous annon-cer que la parution de notre newsletter se fera dorénavant trois fois par an et qu’elle est désormais disponible en format PDF dans la rubrique « actualité » de notre site internet www.pmse.ch.

Voici donc le second numéro 2015 qui s’articule autour du thème central de la qualité de vie au travail. Qu’enten-dons-nous par ce sujet qui alimente souvent les discussions de pause-café ? Les réponses sont éclairées sous diffé-rents angles : la notion de diversité & comment la valoriser plutôt que de la stigmatiser, l’intégration des jeunes apprentis, le développement de compé-tences dans le secteur de la santé et l’utilisation des couleurs dans notre environnement de travail .

J’en profite pour vous inviter à réser-ver la date du 13 octobre 2015 dès 16 heures pour participer à notre pro-chain Afterwork sur le même sujet.

J’ai également le plaisir de vous pré-senter notre nouveau médecin du tra-vail, le Dr Marie-Thérèse GIORGIO qui a rejoint PMSE SA. Au bénéfice d’une large expérience en médecine du travail, elle occupe le poste de direc-teur médical depuis le 1er avril et sa mission est de développer ce départe-ment au sein de PMSE SA. Je vous laisse découvrir son parcours sur notre site internet.

Je vous souhaite une excellente lecture et un beau printemps.

Annick Rieker,

Directrice de PMSE SA

La mondialisation de l’économie a im-posé aux entreprises une nouvelle ma-nière de fonctionner : gestion des coûts, rationalisation des procédures, management à distance, moins de hié-rarchisation…

Cela pousse parfois le manager à deve-nir exclusivement « un gestionnaire » qui n’est plus en contact avec la réalité du terrain. Un décalage se crée ainsi entre le manager et les équipes de ter-rain. On constate alors des tentatives de structurer, clarifier, organiser, mais cela engendre souvent des tâches qui se complexifient et paradoxalement, un surcroît de travail, parfois dénué de sens, là où on visait une simplification et plus d’efficacité.

Ces dernières années, l’accent a beau-coup été mis sur les risques psycho-sociaux (charge de travail trop faible ou trop élevée, soutien social man-quant, latitude décisionnelle faible, pression du public, violence au travail, atteinte à l’intégrité, demande contre-éthique, travail émotionnel, contrainte extérieure, changements itératifs, sen-timent de réaliser un travail de mau-vaise qualité (qualité empêchée) avec pour conséquences possibles le stress au travail, l’épuisement professionnel, des pathologies physiques ou psy-chiques. Le danger de se focaliser uni-quement sur l’aspect risque nous fait oublier que le travail est avant tout un facteur d’épanouissement, d’enrichis-sement et souvent, même, source de bien-être.

Dans cette même optique, un nouveau courant émerge qui se centre plus sur l’aspect ressource que sur l’aspect risque : c’est la qualité de vie au tra-vail.

Cette notion de bien-être au travail est souvent comprise à tort comme étant un espace de liberté sans limite pour les collaborateurs. Mais comme le di-sait Sartre « la liberté des uns s’arrête où commence celle des autres ». Selon Clot (2010), c’est le « bien faire » qui

crée le bien-être. En effet, on a tous fait l’expérience que le sentiment d’avoir fait du bon travail nous procure de la satisfaction et le sentiment du devoir accompli. La perception du tra-vail bien fait n’est pas forcément la même pour le collaborateur que pour son cadre. C’est pourquoi il est primor-dial de pouvoir échanger sur sa vision du travail au sein des équipes avec les cadres.

La qualité de vie au travail demande à la fois des compétences personnelles (relationnelles, gestion du temps, ca-pacités de ressources, identification de ses besoins..) et une communication d’entreprise qui laisse la place au dia-logue ascendant et non plus stricte-ment descendant du cadre vers le col-laborateur. Un collaborateur qui aura identifié ses besoins et qui les aura communiqués de manière claire, aura plus de chance d’être entendu pas un cadre lui-même soumis à une charge de travail importante et devant gérer toute l’équipe.

Miser sur la qualité de vie au travail est une solution gagnant-gagnant. Il a été montré que les entreprises inves-tissant dans la prévention et dans le dialogue organisationnel étaient plus productives et les collaborateurs bien dans leur travail restent plus dans l’en-treprise, s’investissent davantage et ont un meilleur équilibre entre vie per-sonnelle et professionnelle.

Dr M.-T. Giorgio et Dr Katia Schenkel

PMSE SA ch. de la Muraille 12 1219 le Lignon - Genève Tél: +41.22.970.19.06 Fax: +41.22.970.19.07 [email protected]

L’écho des régions : Le bien-être au travail… au quotidien

Peu de chiffres permettent d’évaluer objectivement la pré-

sence des personnes LGBT1 dans la population active, par manque de recensement. Les associations de ces commu-nautés avancent le chiffre de 5 à 6% de représentation des

personnes LGBT1 parmi les travailleurs. Plusieurs études montrent clairement que la santé de ces personnes est di-rectement affectée par les discriminations, les injures ba-nalisées, les violences physiques et psychologiques, les actes homophobes, particulièrement chez les jeunes LGBT. Elles vivent un stress quotidien lié au fait d’appartenir à une minorité encore fortement stigmatisée et soumise à des discriminations institutionnelles et individuelles.

Ces minorités sexuelles n'ont pas les mêmes chances que les hétérosexuels en terme de santé. Cacher son homo-sexualité, voire s’inventer un conjoint du sexe opposé, est une manière de se protéger. Mais cela implique le renonce-ment à certains droits, comme pouvoir bénéficier d’un con-gé pour Partenariat enregistré ou d’avantages familiaux. Cette dissimulation peut aussi entraîner souffrance au tra-vail et difficultés professionnelles. Une étude de l'Autre Cercle met en évidence le fait que 26% des sondés déclarent qu’il y a eu des comportements homophobes sur leur lieu de travail. Pas moins de 85% d’entre eux affirment que leur entreprise n’a rien fait pour y mettre fin.

Certaines entreprises ou institutions publiques se penchent sur le sujet. Pour la 2ème année consécutive, une campagne d’affichage a été mise sur pied par la ville de Genève à l’oc-

1 LGBT : Lesbienne - Gay - Bisexuel - Transexuel

casion de la Journée interna-tionale contre l’homophobie et la transphobie 2014. Son but ? Interpeller le grand public sur le fait que la vie privée est na-turellement présente sur le lieu de travail et que, pour les per-sonnes LGBT, être soi au tra-vail peut être un enjeu. «L’homophobie et la transpho-bie au travail sont une réalité, elles doivent être prises au sé-rieux et cesser d’être un ta-bou», explique la Maire de Ge-nève et magistrate en charge des Ressources Humaines, Sandrine Salerno.

Piste de réflexion

Toute entreprise doit veiller à assurer un climat de con-fiance qui permette à chaque employé de s’épanouir, quelle que soit son orientation sexuelle ou son identité de genre. Pour l’entreprise, aborder les questions LGBT au travail est une source de bien-être, d’échanges, d’avantages et de res-pect mutuel. Bien souvent, l’envie est présente mais c’est le manque de connaissance ou la gêne d’aborder le sujet qui bloque bon nombre de dirigeants.

Condensé de l’article d’ Annick Rieker, directrice PMSE SA dans HR Today, janvier 2015.

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Silvia Günter Directrice

CH-alémanique

En Romandie, une entreprise nous a demandé d’intervenir car elle souhaitait offrir à son personnel un accompagnement, suite à la mise en place de son nouveau système informatique. Il nous a semblé important de travailler sur le thème du stress et de l’épuisement professionnel. En effet, un changement radical du mode de fonctionnement peut engendrer la perte de repères et, de ce fait, devenir un facteur de stress.

La formation proposée se décline en 2 modules-ateliers : le premier traite des façons de se ressourcer au quotidien et du développement de compé-tences personnelles, tandis que le second décrit la cascade du stress, l’objec-tif étant d’éviter la mise en place de stress chronique et ses conséquences néfastes. Il s’agissait donc, pour chacun-e, de trouver un équilibre entre ses lieux d’usure et de ressources en faisant l’apprentissage de micro-pratiques (exercices respiratoires, mindfulness) et en découvrant ses zones de con-fort par des exercices de visualisation.

A souligner… le premier module, très apprécié, a dû être répété pour ré-pondre à la demande suscitée par le bouche-à-oreille et le retour des pre-miers participants auprès de leurs collègues. En plus d’une prise de cons-cience individuelle, on voit bien que les aspects pratiques de ces outils répon-dent à un vrai besoin : le stress n’est pas que perception. Dans ce cas, il était consécutif à un changement organisationnel dans l’institution.

Quelques commentaires de participants :

« L’échange entre collègues sur des sujets touchant à l’émotionnel semble un bon moteur pour un meilleur esprit d’équipe »

« Une manière d’aborder le sujet de façon ludique et pratique. »

« Je ne sais pas quoi dire… c’était super, Bravo ! »

Emmanuel Genton Directeur

CH-Romandie

Lydia Rouillou Directrice

Région Genève

Le coin des responsables dirigeants : Diversité, passer de la tolérance à l’enrichissement mutuel

PMSE SA ch. de la Muraille 12 1219 le Lignon - Genève Tél: +41.22.970.19.06 Fax: +41.22.970.19.07 [email protected]

Les couleurs influencent l’humeur, éveillent des souvenirs et sentiments. Chaque couleur est associée à une vertu et agit différemment sur l’organisme.

Le rouge est assimilé à quelque chose de dynamique, rap-pelle l’énergie et la passion. Le jaune fait référence au so-leil, à la lumière, à la chaleur. Le vert est associé à la na-ture, à la vie, à l’espoir et représente la croissance, la vi-talité et l’abondance. Le bleu évoque la fiabilité et la confi-ance et favorise la créativité. Le violet, quant à lui, nous entraine vers la magie et l’ambiguité alors que le noir favo-rise l’introspection et ouvre des possibilités. Le blanc rap-pelle la sérénité et l’innocence, dynamise l’esprit et la con-centration mentale, mais épuise le corps, comme le gris d’ailleurs qui favorise également la concentration. Pour terminer, rappelons que les couleurs vives dynamisent mais agitent le corps et l’esprit.

Certaines études en mileu hospitalier ont essayé d’évaluer de quelle façon la qualité de la lumière, le bruit, les odeurs ou le choix des couleurs influencent le processus de guérison des patients ou la satisfaction des collaborateurs. Il n’a pas été facile de mesurer de manière scientifique l’in-fluence d’un bâtiment sur le processus de guérison, mais on a pu, par exemple, mesurer concrètement que la modifica-tion de certains facteurs permettait de réduire la durée d’hospitalisation.

Fort de ces informations, on peut imaginer les bénéfices de l’aménagement approprié d’un lieu de travail, bureau, cabi-net ou d’un lieu de repos destiné aux collaborateurs d’une entreprise. Cela demande bien sur un peu de réflexion et d’investissement, mais qu’un employé se plaise sur son lieu de travail, et les répercussions sur son humeur, sur la quali-té de son engagement et de sa performance sont autant de bénéfices pour lui et son employeur.

Notre actualité : Pro-de-Sens® « APPRENTIS »

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Au-delà du ressenti personnel et subjectif, des études montrent que l’architecture, le design et les

couleurs ont une influence sur le bien-être. On a constaté qu’un environnement agréable contribue à

diminuer le stress, la tension artérielle et le rythme cardiaque d’une personne hospitalisée. Ces con-

stats objectivés en milieu hospitalier sur des personnes malades peuvent être transposés à d’autres.

La réussite d’un apprentissage ne va pas de soi. Malgré toutes les mesures existantes, on constate, selon les sec-teurs, un taux d’échec important qui inquiète les profes-sionnels et les entreprises. En effet, un apprenti repré-sente un investissement important pour la relève de de-main. Plusieurs études se sont penchées sur la question et il ressort qu’un point essentiel dans le succès d’un appren-tissage réside dans la relation de confiance qui s’établit entre le jeune et son formateur.

Dans certains secteurs comme le bâtiment, le formateur (formé par l’OFPC) ne se trouve pas toujours en lien direct avec l’apprenti au quotidien. Sa formation et son intégra-tion sont alors confiées aux professionnels de terrain qui n’ont pas reçu cette formation et qui gèrent l’apprenti au quotidien. Comment améliorer cette intégration dans les équipes et aboutir à une réussite accompagnée ?

Depuis 2014, nous travaillons sur le projet Pro-de-Sens®

Apprentis afin d’augmenter les chances de réussite de l’apprentissage. Pour cela, nous avons mis en place une formation destinée aux accompagnateurs de terrain (chefs directs, superviseur, compagnons) afin de leur donner les clés de l’accompagnement d’un apprenti sur le terrain. Il s’agit de 4 heures de formation pour un module de base qui traitera du suivi de l’apprenti, de la manière de trans-mettre son savoir et d’établir un climat favorable à l’abou-tissement de l’apprentissage. En parallèle, nous avons un module de base destiné aux apprentis centré sur l’entrée dans la vie active, l’appropriation de ce nouveau rôle d’ap-prenti, la connaissance de ses droits ainsi que des mo-dules complémentaires sur les addictions, la santé phy-sique (alimentation, sommeil, port de charge…) et la santé psychologique (gestion du stress, des conflits, régulation des émotions, …). Nous souhaitons rendre ce programme le plus accessible possible aux entreprises et mettre en place des cours interentreprises pour en faciliter l’accès. Pour réaliser cet objectif, nous sommes en contact avec des associations patronales.

Si vous êtes intéressés à rejoindre ce programme ou à en savoir plus, n’hésitez pas à nous contacter.

Katia Schenkel, Dr en psychologie, Département RDE.

Références : «Résiliation de contrats d’apprentissage dans le secteur principal de la construction», rapport final, Patrizia Hasler, SSE, avril 2014.

« Accompagnement et rupture d’apprentissage », A.Berthoud & P-A Michaud, Institut universitaire de médecine sociale et préventive, Lausanne, 1997

« La santé et le suivi des apprentis en entreprise»,

Le point GSE, PMSE SA, Katia Schenkel, juillet 2014

L’astuce Santé : De l’utilisation judicieuse des couleurs

Références : Revue “Soins infirmiers, SBK/ASI, décembre 2014, p. 52-55 http://blog-santeautravail.com/sante-au-travail/

PMSE SA ch. de la Muraille 12 1219 le Lignon - Genève Tél: +41.22.970.19.06 Fax: +41.22.970.19.07 [email protected]

Siège social & région Genève Ch. de la muraille 12 1219 Le Lignon Tél. +41 22/970.19.06 Messagerie : [email protected] Pour la Romandie Rue de Cossonay 172 1020 Renens Tél. +41 (0) 21 634 81 73 Pour la Suisse Alémanique Hohlgasse 45 5000 Aarau Tél. +41 (0) 62 823 19 21

Pour plus d’informations :

Päivi Karhu Responsable des ventes

Tél.: 079 129 41 11

Retrouvez-nous sur le web:

www.pmse.ch

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L’obtention des certifications

ISO 9001 & 14001 pour PMSE SA

L’Afterwork

PMSE SA

13 octobre 2015

Réservez d’ore et déjà

cette date… les détails

suivront dans notre

prochaine newsletter

Fin décembre 2014, PMSE SA a obte-

nu la certification ISO 14001 & ISO

9001, gage de qualité, de confiance et

d’innovation pour une entreprise.

Toute l’équipe de PMSE SA s’est impli-

quée dans cette démarche en clarifiant

les procédures des différents secteurs.

Marie Badoil, responsable Qualité et

Arnold Schenkel, responsable RH ont

finalisé cette démarche validée par

un audit annuel.

Arnold Schenkel

Responsable RH

Marie Badoil

Responsable Qualité

PMSE SA ch. de la Muraille 12 1219 le Lignon - Genève Tél: +41.22.970.19.06 Fax: +41.22.970.19.07 [email protected]