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Editorial

Depuis 1951, 1 % du montant de la construction d’un établissement scolaire est versé à la création d’une œuvre artistique au sein de ce bâtiment. Au fil du temps, un patrimoine riche et varié s’est donc constitué au sein de l’académie par ce biais.

En septembre 2014, une quinzaine d’établissements avait ouvert leurs portes à l’occasion du week-end des Jours Européennes du Patrimoine. Depuis 2015, l’opération a été étendue également à une semaine entière, qui débute cette année avec les Journées Européennes du Patrimoine. Elle s’inscrit dans ce programme sous le nom de « journées du 1 % artistique ». L’ouverture sur le temps scolaire donne ainsi plus de facilité aux établissements désireux de faire partager leur œuvre artistique. 23 collèges et lycées, auxquels il faut rajouter le rectorat et le campus universitaire, ont accepté cette année de participer à cette opération afin de faire découvrir un patrimoine témoignant de plus d’un demi-siècle de création artistique contemporaine. En 2015, la Bourgogne avait ainsi été, selon les chiffres du Ministère de la Culture et de la Communication, la région ayant ouvert le plus d’établissements.

Cette manifestation constitue donc une manière d’associer les établissements scolaires aux Journées Européennes du Patrimoine et de mettre en avant un patrimoine scolaire encore trop méconnu, symbole de l’importance que l’académie de Dijon accorde tout au long de l’année à l’ensemble d’un patrimoine si riche propre à cette région.

Le patrimoine artistique au cœur des établissements scolaires

À l’occasion des traditionnelles Journées Européennes du patrimoine, programmées les 17 et 18 septembre sur le thème « Patrimoine et citoyenneté », 23 collèges ou lycées de l’Académie de Bourgogne sont donc prêts à accueillir le public afin de mettre à l’honneur leurs créations artistiques réalisées au titre du 1 % artistique.

Cette ouverture a donné lieu dans de nombreux établissements à une forte implication des équipes afin de retrouver une mémoire un peu oubliée quant à la date ou aux conditions d’installation de ces multiples créations artistiques. Des membres de la communauté éducative ont pu travailler ou même faire travailler des élèves sur ces œuvres, ou le feront à partir de la rentrée. Des médiations très originales seront proposées, sous forme de plaquettes distribuées, de visites, d’expositions, parfois même d’un rendez-vous avec l’artiste auteur de l’œuvre (comme à Chenôve ou peut-être à Saint-Saulge). Du samedi 17 au vendredi 23 septembre, avec un temps fort ce vendredi 23 après-midi, le public pourra franchir le seuil de ces établissements et admirer les œuvres.

On espère ainsi, en montrant leur création artistique, donner des établissements publics une image qui ne soit pas seulement « scolaire », par exemple à des parents d’élèves qui, trop souvent, franchissent la porte pour une réunion avec les enseignants sans penser entrer dans un lieu artistique. Bref, il était important que l’éducation nationale soit plus associée encore à cet important rendez-vous annuel des Journées Européennes du Patrimoine en montrant que ses établissements font aussi partie intégrante du patrimoine local.

Origines et principes du 1 % artistique

Un premier projet du 1 % fut lancé en 1936 au moment du Front Populaire, mais ne put aboutir. On doit au sculpteur français René Iché (1897-1954), fondateur du Syndicat national des sculpteurs statuaires professionnels, de rédiger en 1951 le projet qui installa définitivement alors le 1 % artistique, également dénommé 1% artistique. En 1951, l’arrêté pris ne concernait à cette époque que l’Éducation nationale et proclamait : « 1 % des sommes consacrées par l’État pour chaque construction d’établissement scolaire ou universitaire devra financer la réalisation d’une œuvre d’art contemporaine intégrée au projet architectural ». À partir de 1961, et notamment sous l’impulsion d’André Malraux, le 1 % fut étendu progressivement à l’ensemble des constructions neuves de bâtiments publics, ainsi qu’à la réhabilitation ou à l’agrandissement de bâtiments. Depuis 1951, on estime ainsi à plus de 12000 le nombre d’œuvres créées en France par cet intermédiaire.

Concrètement, la commande publique s’oblige à réserver 1% du montant HT des travaux de création, d’extension ou de réhabilitation d’un bâtiment public à la création artistique. Le maître d’ouvrage réunit alors un comité artistique composé de lui-même, du maître d’œuvre, d’un représentant de la DRAC, etc., pour choisir l’œuvre retenue qui est ensuite réalisée à l’intérieur du bâtiment. Le but de ce 1 % consiste bien sûr à ouvrir l’art à des publics pas forcément toujours familiers des musées.

60 ans de création artistique contemporaine

Grâce au dispositif du 1% artistique, les établissements de l’enseignement secondaire en Bourgogne sont nombreux à être les dépositaires d’une production artistique originale. Depuis plus d’un demi-siècle, l’ensemble de ces œuvres constitue un véritable panorama de la création contemporaine.

Les œuvres y sont très diverses : bas-reliefs, carrelages, mosaïques, fontaines, stèles, tapisseries, peintures, vitraux... Les matériaux le sont tout autant : les sculptures, très nombreuses, sont réalisées en bois, bronze, acier, polyester, terre-cuite, grès, céramique, béton, etc.

Installées à l’intérieur des bâtiments ou à l’extérieur, elles ont pour auteurs des artistes français, souvent bourguignons, ou étrangers parfois installés en Bourgogne, comme par exemple le célèbre peintre chinois Yan Pei-Ming, au collège André Malraux à Dijon. Certaines œuvres ont pu parfois être malmenées par les aléas du temps, détruites en totalité ou en partie, comme le dodécaèdre éclaté du collège Bibracte de Château-Chinon, dont une partie a disparu.

Ces œuvres ont formé et continuent de former le quotidien de générations d’élèves et d’enseignants qui, pour beaucoup, ignorent qu’elles sont présentes au titre du 1 %. Elles représentent en tout cas le symbole d’une ouverture forte des établissements scolaires sur le monde de l’art contemporain et sont bien sûr quelquefois étudiées par le professeur d’arts plastiques ou le professeur d’histoire au sein de leurs cours, à l’image du Disque de Phaïstos de Jean-Bernard Métais au collège La Croix-Menée du Creusot, afin d’aborder la mythologie par exemple.

Le rectorat

Le bâtiment du rectorat, œuvre de l’architecte Rudy Ricciotti, ouvre ses portes et dévoile l’œuvre du 1% artistique réalisée par Gérard Traquandi

Le rectorat de Dijon accueille les services de l’éducation nationale en Bourgogne, représentés par Frédérique Alexandre-Bailly, rectrice de l’académie de Dijon, chancelière de l’université de Bourgogne, ainsi que ceux de la direction départementale des services de l’éducation nationale de la Côte-d’Or (DSDEN 21), représentés par Evelyne Greusard, directrice académique et de la direction régionale de l’ONISEP.

540 agents, répartis dans 210 bureaux, travaillent ainsi au service des 275000 élèves et 26500 enseignants, personnels d’éducation, d’administration et de direction qui composent l’académie.

Ce bâtiment est l’œuvre de l’architecte français Rudy Ricciotti, lauréat en 2006 du grand prix national de l’architecture. Parmi ses réalisations :

^ 2013 : Le MUCEM : Le musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée à Marseille ^ 2012 : Le département des arts de l’Islam au musée du Louvre à Paris ^ 2011 : Musée Mémorial du camp de Rivesaltes, à Rivesaltes, Pyrénées-Orientales ^ 2006 : Centre chorégraphique national d’Aix-en-Provence, intitulé « le Pavillon Noir », ...

Pour en savoir plus sur Rudy Ricciotti : http://www.rudyricciotti.com/

L’entrée du bâtiment débouche sur un vaste hall où est exposée l’œuvre du 1 % artistique réalisée par Gérard Traquandi. Né en 1952 à Marseille, il partage sa vie entre Marseille et Paris. Diplômé de l’École des Beaux-Arts de Marseille il a été professeur invité à l’ENSBA à Paris en 2002-2003. Jusqu’en 1995, il a enseigné à l’École supérieure des Beaux-Arts de Marseille, à l’École d’architecture de Marseille et à l’École d’art de Nîmes. Ces dernières années, il a exposé au Musée Cantini à Marseille, à l’Institut Français de Berlin, à l’Artothèque Pierre Tal-Coat d’Hennebont, au Musée des Beaux-Arts de Valenciennes et à la Maison Européenne de la Photographie, à Paris.

« Violet nocturne et céleste s’accorde à une terre d’ombre naturelle jouant des contrastes terre-ciel, solide-fluide, traitant du corps et de l’esprit, sans oublier que le violet est la couleur symbole de la connaissance. Les couleurs utilisées ont une grande qualité de résistance à la lumière et sont d’une exceptionnelle qualité pigmentaire (couleurs des terres de Bourgogne) ».Pour en savoir plus sur Gérard Traquandi : http://ateliersauguste.tumblr.com/post/54413642088/interview-de-gerard-traquandi-artiste-peintre-au

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En savoir plus sur le bâtiment :

Haut de 33 m, cet immeuble est constitué de 10 niveaux (dont un sous-sol) avec une surface de 11 400 m2.

Ce bâtiment possède des atouts en matière de développement durable. Quatre aspects peuvent être notamment remarqués :

^ La volonté de l’architecte de privilégier la lumière naturelle : la structure générale est en béton armé avec des façades en parement de pierre agrafée. Les bureaux sont particulièrement lumineux. Le bâtiment comporte un atrium végétalisé à partir du 5ème niveau.

^ Un mode de chauffage alternatif aux énergies fossiles : le bâtiment sera raccordé au réseau de chaleur de l’agglomération dijonnaise. La production de chaleur sera assurée en partie par des énergies renouvelables (l’usine d’incinération et par une chaufferie).

^ La performance énergétique : le bâtiment est équipé de dispositifs permettant de diminuer sa consommation énergétique.

^ Les modes de déplacement alternatifs à la route : le bâtiment, à proximité de la place de la République, se situe à 2 km du centre ville ou encore à 2,4 km de la gare ce qui lui permet de bénéficier de modes de circulation alternatifs : un arrêt du tramway (T1 - Auditorium), une station de vélo en location (vélodi) se situent à proximité immédiate.

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Événements particuliers

La plupart des établissements présenteront leur œuvre notamment à leurs nouveaux élèves, sous forme par exemple d’une visite guidée avec un professeur, par des élèves, comme au collège des Lentillères à Dijon, ou par des associations, comme les « Amis de Marcelle Cahn » au collège P. Fort d’Is-sur-Tille. A cette occasion, le public extérieur est invité à franchir les portes de l’établissement, tout en respectant bien sûr les consignes de sécurité mises en place. Parfois, les réunions de rentrée avec les parents débuteront d’abord par une visite à l’œuvre du 1 %, comme au collège J. Arnolet de Saint-Saulge. A chaque fois, l’objectif est bien que tous, équipes pédagogiques, élèves, parents fassent connaissance avec l’œuvre comme avec le principe du 1 %, la questionnent et puissent se l’approprier. Au lycée L. Blum au Creusot, la visite sera complétée par une exposition de toiles de l’artiste. Parfois, ce sont des productions artistiques d’élèves qui seront exposées à proximité comme au collège Albert Camus à Genlis. Certains établissements ont réalisé des plaquettes explicatives qui seront distribuées aux visiteurs, comme au lycée J. Amyot à Auxerre. Le collège Miles de Noyers, à Noyers-sur-Serein a quant à lui décidé d’inscrire la présentation dans le cadre d’une journée « nature et culture » destinée aux élèves de 6ème. Au collège Bibracte de Château-Chinon, l’œuvre, restaurée directement par les élèves lors des congés des vacances de Pâques dans le cadre du dispositif « Ecole ouverte » sera ainsi mise en valeur. Enfin, notons que certains établissements ont prévu d’inviter les artistes, comme le collège E. Herriot à Chenôve ou le collège J. Arnolet à Saint-Saulge. Et, fait unique, au collège Jean Bertin, c’est le professeur d’arts plastiques, lui-même artiste-auteur du 1 %, qui pourra en parler à ses élèves en toute connaissance de cause. La plupart de ces présentations auront lieu le vendredi 23 septembre après-midi, mais quelques établissements ouvriront également lors du week-end des Journées Européennes du Patrimoine des 17 et 18 septembre et, présenteront, à cette occasion, d’autres éléments de leur patrimoine (les lycées Les Marcs d’Or et Le Castel ,comme les collèges Le Parc et Marcelle Pardé, à Dijon, le collège Paul Fort à Is-sur-Tille ou le lycée J. Amyot à Auxerre). Cette petite présentation témoigne de la variété des médiations proposées comme de l’habitude désormais prise dans l’académie de valoriser ce patrimoine auprès de l’ensemble des personnes fréquentant les établissements, de même qu’auprès du public extérieur.

Pour confirmer les horaires précis d’ouverture ainsi que le type de médiation proposée, il est conseillé de téléphoner auparavant.

Hommage à Gottfried Honegger

Décédé en janvier 2016 à l’âge de 98 ans, l’artiste suisse Gottfried Honegger, l’un des créateurs du concept d’Art concret, fervent défenseur de la place des œuvres d’art dans l’espace urbain, qui a exposé aux quatre coins du monde, avait réalisé des œuvres pour le 1 % des établissements bourguignons. Le public pourra donc (re)découvrir son œuvre et lui rendre hommage en admirant ses sculptures au collège A. Billaut à Nevers, au lycée Th. Monod à Blanzy, ainsi que sur l’esplanade Erasme sur le campus de l’université de Dijon.

Focus :Quelques œuvres

présentées lors des Journées du 1 % artistique

Vitres gravées au collège Édouard Herriot à Chenôve

En 2009/2010, l’artiste Thierry Géhin, originaire de Franche-Comté, auteur déjà de plusieurs œuvres au titre du 1 %, réalisa au collège Édouard Herriot de Chenôve une intervention in situ de grande envergure. Étudiant les voies de circulation menant les élèves au collège de Chenôve à partir de données cartographiques, il a ainsi réalisé un tracé qu’il a développé par jeu de symétries afin de symboliser les quatre points cardinaux. Le motif une fois obtenu a été gravé sur verre par sablage et placé dans les principaux espaces de circulation de l’établissement : halls, couloirs ou escaliers. Au total, plus de 330 m² de gravures sur verre ornent l’établissement et pourront être admirées par le public le vendredi 18 septembre après-midi. Le collège avait déjà ouvert ses portes l’année passée, et la présence de l’auteur, Thierry Géhin, avait permis de nouer des contacts avec les enseignants, ce qui leur a permis de mener, avec l’artiste, un des projets « patrimoines en Bourgogne » réalisé durant l’année 2014/15. A noter que l’artiste, Thierry Géhin, devrait être présent pour expliquer son travail.

Deux spatiaux de Marcelle Cahn L’œuvre de Marcelle Cahn, artiste-peintre française (1895-1981), se confond avec l’évolution de la peinture du XXème siècle. Elle réalisa également de nombreux collages ainsi que des « spatiaux », c’est-à-dire des maquettes de sculptures abstraites ouvrant l’imagination. Grâce notamment à Gottfried Honegger, deux de ces spatiaux furent, de son vivant, réalisés en sculptures, dans le cadre du 1 % artistique. Les deux seuls spatiaux réalisés de Marcelle Cahn seront donc accessibles lors de ces Journées du patrimoine. L’Envol ou Plans dans l’espace avec sphère est une sculpture en tôles peintes, émaillées et vernies exposée sur la pelouse du collège Le Parc à Dijon. À Is-sur-Tille, le collège F. Fort propose une sculpture en polyester peint installée en 1976, Spatial C, dont l’articulation des plans et les ouvertures pratiquées permettent de conduire la lumière et d’offrir une grande variété de couleurs.

La mythologie au Creusot

Enfin au Creusot, il ne faut pas manquer de découvrir au collège La Croix Menée, deux sculptures dues à un artiste hongrois, Pierre Szekely (1923-2001), Signes humain III, ainsi qu’à un artiste français, Jean-Bernard Métais (né en 1954), le Disque de Phaïstos, qui accueille les usagers du collège à l’entrée. Ce disque est un étonnant tube anneau métallique de vaste dimension accueillant sur les deux faces du disque des vitraux. Des signes en spirale représentant une inscription datée du début du 2ème millénaire et retrouvé en 1908 dans un palais crétois ont été gravés sur les faces du disque. Des citations sur le temps encerclent l’œuvre : une belle invitation pour ceux qui le regardent à réfléchir sur la connaissance, l’énigme et le temps.

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Annexe : Liste et coordonnées des établissements scolaires qui dévoileront leur 1 %

artistique à l’occasion de la semaine du 1 % artistique

(17-23 septembre 2016)

[Pour connaître les horaires d’ouverture, veuillez téléphoner à l’établissement]

Côte-d’Or

Établissement Œuvre Artiste Médiation et horaires

Contact

Collège Lentillères - Dijon

Mur de photographies d’élèves

C. Boltanski Visite guidée le 22/09, 14h-17h

03 80 68 81 81

Collège Le Parc - Dijon

Sculpture en tôles peintes émaillées et vernies

Marcelle Cahn Visite guidée, le 17/09, 9h-12h

03 80 53 10 90

Lycée Les Marcs d’Or - Dijon

Sculptures et fresque

L. del Pezzo, A. Métayer et Cl. Lepape

Visite le 17/09, 9h-12h

03 80 41 00 60

Lycée Le Castel - Dijon

Sculpture Visite guidée avec visite du petit castel, 17/09 et 18/09, 14h-18h

03 80 76 70 00

Collège André Malraux - Dijon

2 tableaux représentant des enfants du collège

Y. Pei-Ming Visite commentée, le 23/09, 14h-18h

03 80 74 93 40

Collège Paul Fort - Is-sur-Tille

Sculpture en polyester peint

Marcelle Cahn Visite guidée, 17/09, 14h-17h

03 80 95 10 88

Collège E. Herriot - Chenôve

Vitres gravées Thierry Géhin Visite guidée, en présence de l’artiste, 23/09, 14h-17h

03 80 52 20 55

Collège Al. Camus - Genlis

Sculpture Jean Gorin Visite guidée, 23/09, 14h-16h30

03 80 37 72 01

Collège Fr. Pompon - Saulieu

Sculpture O. Cyr Noël Œuvre accessible depuis la rue

03 80 64 12 97

Nièvre

Établissement Œuvre Artiste Médiation et horaires

Contact

Collège Bibracte - Château-Chinon

Sculpture D. Babinet Distribution d’une plaquette, 23/09, 14h-16h30

03 86 85 13 11

Collège Jean Arnolet - Saint-Saulge

Sculpture sur panneau de bois

F. Rouillot Présentation aux parents le 22/09 à 17h30 et présentation aux élèves (présence de l’artiste à confirmer) le 23/09, 10h-12h

03 86 58 30 35

Collège Les Courlis - Nevers

Peintures sur plafond à caissons

P.-F. Gorse Visite libre, du 19 au 23/09, 8h20-12h45

03 86 59 78 00

Collège Adam Billaut - Nevers

Sculpture en acier inoxydable

G. Honegger Visite libre, le 23/09, 14h-16h30

03 86 71 88 80

Saône-et-Loire

Établissement Œuvre Artiste Médiation et horaires

Contact

Lycée L. Blum (Site Jaurès) - Le Creusot

Mosaïque, reliefs peints, sculptures sur bois, sculpture en béton creux et plaques de métal. Carrelage mural en céramique

P. Leygonie, A. de Bary et F. Perreaut

Visite commentée, 17/09, 9h-12h

03 85 77 67 00

Collège La Croix-Menée - Le Creusot

Sculpture en granit béton et tube anneau avec vitraux gravés

P. Szekely et J.-B. Métais

Visite guidée, 23/09, 17h-18h

03 85 55 10 99

LP Th. Monod - Blanzy

Sculpture en métal

G. Honegger Visite libre, 23/09, 14h-17h

03 85 67 76 20

Yonne

Établissement Œuvre Artiste Médiation et horaires

Contact

Cité Pierre Larousse - Toucy

Sculpture en métal. Sculpture obélisque avec graphismes et calligraphie

J.-B. Métais Visite guidée, 23/09, 14h-17h

03 86 44 14 34

Lycée Fourier - Auxerre

Sculpture G. Lartigue, Fr. Brochet

Visite guidée, 16/09, 13h30-18h

03 86 72 53 10

Collège - St Georges-sur-Baulche

Stèle en fonte figurant le concept de l’aérotrain

F. Dehaut Présentation aux élèves le 23/09, 10h-12h

03 86 48 33 44

Collège Leroi-Gourhan - Vermenton

3 sculptures en pierre calcaire

Yves Varanguin Présentation aux élèves, le 23/09, 14h-16h45

03 86 81 69 05

Collège Miles de Noyers - Noyers-sur-Serein

Fresque avec photos de classe du collège depuis sa création

L. Gueneau Présentation, le 23/09, 14h-17h

03 86 82 69 01

Lycée J. Amyot - Auxerre

Sculpture A. Carmassi Visite inscrite dans la visite générale du lycée, 17/09, 10h-17h

03 86 94 21 70

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Rectorat de l’académie de Dijon2G rue général Delaborde

BP 81 921 - 21 019 Dijon cedex

Contact presse :Service communication

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