La ségrégation des allèles Pierre Ray Département de Génétique.
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La ségrégation des allèles
Pierre Ray
Département de Génétique
Plan
• Rappels : le cycle cellulaire, la méiose, le chromosome
• Dominance et récessivité
• Ségrégation allelique
• Liaison génétique
Rappel : le cycle cellulaire (1)
G1G0
Mort cellulaire
Cellule quiescente
Phase de synthèse de l’ADN
Préparation à la mitose
Phases G1-G2 = INTERPHASE activité fonctionnelle de la cellule.
Décondensation
Chromatine à l’interphase1 fibre d’ADN
Fin de Phase S 2 fibres d’ADN
1 Chromosome Métaphasique
Chromosome anaphasique
Rappel : l’ADN pendant le cycle cellulaire
Quantité d’ADN
4c
2c
INTERPHASE
G1G0
S
G1
G2
MITOSE
G2
c
MITOSE MEIOSE
1ere Div
2ème Div
6
Anaphase
Rappel la méiose : 1ere division cellulaire
Métaphase : Formation du fuseau bipolaire4c, 2n à 2 chromatides
54
Prophase : Recombinaison des chromosomes homologues4c, 2n à 2 chromatides
3
Prophase : condensation des Filaments en chromatides 4c, 2n à 2 chromatides
2
Fin de phase S 4c ADN, 2n chromosomes à 2 chromatides
1’1’’
2’ 2’’
1’1’’
2’ 2’’
1
Phase G1Chromatine à l’interphase 2c ADN, 2n chromosomes
1’1’’
2’ 2’’
10
4 gamètes 1c ADN n chromosomesÀ 1 chromatide
Rappel la méiose : 2eme division cellulaire
9
Anaphase II Séparation des chromatines homologues
8
Métaphase II
7
2 cellules filles à2c ADNn chromosomes à 2 chromatides
Caryotype “brut” normal 46, X,Y
G-Banding (Giemsa) sur noyau en prophase/métaphase
Après traitement par la Cochicine : interagie avec les microtubules du fuseau
= bloque la division cellulaire.
Méiose : conclusion
génome diploïde gamètes haploïdes
• Du fait de ces recombinaisons tous les gamètes sont différents
• Des recombinaisons ont lieu entre les chromatides non-sœur des chromosomes homologues lors de la 1ere division de Méïose.
46,XX 46,XY
23,X23,Y
• Succession de 2 divisions cellulaires formant à partir d’une cellule diploïde (2n chromosomes) quatre cellules haploïdes (n chromosomes).
Caryotype “final” normal 46, X,Y
Les chromosomes sont identifiés et appariés grace à la carte cytogénétique.
Centromère
Télomère
Chromatides soeurs
Locus et allèles
Locus : site physique où se situe une séquence d’ADN (codante ou non) sur un chromosome
ChromosomesHomologues
Allèle : une des formes que peut prendre une même séquence, à un locus donné.
Individu diploïde comporte pour chaque locus 2 allèles (1 mat, 1 pat)
• identiques :homozygote • différents : hétérozygote
ChromosomeMaternel
ChromosomePaternel
Mat. Allele Pat. Allele
Allèle sauvage : le plus fréquent/non pathologique.
Locus A
Ségrégation allélique
• Ségrégation allélique
– séparation des allèles dans les cellules filles
– repose sur la disjonction des paires de chromosomes lors de la méïose
– probabilité de transmission d’un gène maternel ou paternel est de 1/2
Les lois de transmission des caractères chez le pois par Grégor Mendel
• Les 3 premières lois de l'hérédité
• si l'on croise des lignées pures différant pour plusieurs caractères, chacun de ces caractères se comporte de façon indépendante vis-à-vis de l'autre
• dans la descendance d'un croisement impliquant 2 individus F1 (génération F2), les 2 caractères parentaux réapparaissent suivant une proportion prédictible de 3:1
• dans la 1ère génération d'un croisement impliquant 2 lignées pures différant par un unique caractère, tous les individus présentent un même phénotype. Le caractère qui se manifeste dans la génération F1 est qualifié de dominant et le caractère qui en est exclus est qualifié de récessif
Dominance – Récessivité. Expression phénotypique des différents allèles
Génotype Phénotype
Homozygote AA [A]
Hétérozygote Aa [A]
• Dominance : l’allèle dominant A manifeste toujours son caractère
Génotype Phénotype
Hétérozygote Aa [A]
Homozygote aa [a]
• Récessivité–Allèle récessif a ne se manifeste pas en présence de A, ne s’exprime qu’à l’état homozygote
– Co-dominance : Aa exprime à la fois le génotype AA et aa (ex : Groupes sanguins A et B)
– Semi-dominance : phénotype Aa est intermédiaire entre AA et de aa
• Génotype : constitution allélique des gènes d’un individu (à un locus donné). • Phénotype : manifestation visible du génotype. Plus généralement c’est l’ensemble
des caractères observables d’un individu, dépend du génotype en interaction avec le milieu.
Ségrégation d’un couple d’allèles
Individu AA : gamètes A PA = 1
Individu aa : gamètes a Pa = 1
Individu Aa : gamètes A ou a PA = 1/2 Pa = 1/2
Tableaux des gamètes :
A Aa Aa [A] Aa [A]
a Aa [A] Aa [A]
AA x aa : [A] x [a]
Phénotype : 100% [A]
A AA AA [A] AA [A]
a Aa [A] Aa [A]
AA x Aa : [A] x [A]
Phénotype : 100% [A]
A aA AA [A] Aa [A]
a Aa [A] aa [a]
- Phénotype : 75% [A]
Aa x Aa : [A] x [A] :
A aa Aa [A] aa [a]
a Aa [A] aa [a]
Aa x aa : [A] x [a]
Phénotype : 50% [A]
Ségrégation de deux couples d’allèles : Aa , bB (1)
aA
b B
a a
AA
b Bb B
b
b
A
Ab
b
a
aA
A
B
Ba
a B
B
Ségrégation de deux couples d’allèles : Aa , bB (2)
b
b
a
aA
A
B
Ba
a B
B
b
b
A
A
25% a, b 25% A, B 25% a,B 25% A, b
ba
ba A
B
AB
aB
aB
Ab
bA
Fin
1ere
div
isio
nG
amèt
es
Ségrégation de deux couples d’allèles
Individu AABB : gamètes AB p(AB) = 1
Individu aabb : gamètes ab p(ab) = 1
AB AB ab AaBb [AB] AaBb [AB]
ab AaBb [AB] AaBb [AB]
Tableaux des gamètes :
AABB x aabb :
Phénotype : 100% [AB]
Ségrégation de deux couples d’allèles
• Individu AaBb, phénotype [AB]• 4 types de gamètes : AB ou Ab ou aB ou ab. pAB = pab = pAb = paB = 1/4
Tableaux des gamètes :
AaBb x AaBb
AB Ab aB ab
AB AABB [AB] AABb [AB] AaBB [AB] AaBb [AB]
Ab AABb [AB] AAbb [Ab] AaBb [AB] Aabb [Ab]
aB AaBB [AB] AaBb [AB] aaBB [aB] aaBb [aB]
ab AaBb [AB] Aabb [Ab] aaBb [aB] aabb [ab]
9 Génotypes : AABB, AABb, AaBb, Aabb, AaBB, aaBB, aaBb, AaBb, aabb
4 Phénotypes : 2 parentaux : p[AB] = 9/16, p[ab] = 1/16
2 recombinés : p[Ab] = 3/16, p[aB] = 3/16
Loi de ségrégation indépendante des caractères
– pendant la méïose, la ségrégation d’une paire d’allèles est indépendante de la ségrégation d’une autre paire d’allèles
– Pour 1 couple d’allèles 2 types de gamètes 3 génotypes
– Pour 2 couples d’allèles 22 = 4 types de gamètes 32 = 9 génotypes
– Pour 3 couples d’allèles 23 = 8 types de gamètes 33 = 27 génotypes
– Pour n couples d’allèles 2n types de gamètes 3n génotypes
– loi vérifiée que dans le cas de couples d’allèles indépendants (situés sur des chromosomes différents)
Liaison génétique
• Coségrégation de 2 ou plusieurs allèles au cours de la méïose en raison de
la proximité physique de leur locus sur le génome
– Echange réciproque de matériel génétique entre les chromatides de chromosomes homologues survenant lors de la méïose au niveau des chiasmas
– Mécanisme responsable des recombinaisons génétiques
Recombinaison (I)
Recombinaison(II)
• Recombinaisons génétiques– aléatoires et imprévisibles
– loi statistique : la probabilité de recombinaison entre 2 locus dépend de la distance physique qui les sépare.
– en moyenne 60 chiasmas par génome diploïde pendant la méïose– points chauds de recombinaison – variation du nombre de crossing over en fonction du sexe
(femme > homme)
Recombinaison (III)
• Taux de recombinaison entre deux locus
– pourcentage de gamètes recombinés parmi l’ensemble des gamètes transmis par les parents.– = nombre de gamètes recombinés / nombre de gamètes transmis
•indépendance des 2 locus : = 1/2•liaison des 2 locus : 0 < 1/2
25%25%
Ap
Am Bm
Bp
méïose
Ap Bp
Ap Bm
Am Bm
Am Bp
> 50% gamètes parentaux
< 50% gamètes recombinés
Allèles liés
Recombinaison (IV)
Ap
BmAm
BpBpAp BmAm
BmAp BpAm
25% 25%
= 50% gamètes parentaux
= 50% gamètes recombinés
méïose
Allèles non liés
Thomas Hunt Morgan
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• Morgan découvre un certain nombre de mutations. Il étudie leur transmission d’une génération à l’autre.
• Il découvre 4 groupes de liaison: les mutations ne se répartissent pas au hasard dans les descendants.
• Il émet l'hypothèse que ces quatre groupes de liaison sont assimilables aux 4 paires de chromosomes de la drosophile. La liaison étant donc "simplement le résultat mécanique de la localisation des gènes dans les chromosomes”
• Morgan présente avec Alfred Sturtevant en 1913 la première carte génétique. Depuis on a défini le centiMorgan (cM) comme unité de recombinaison: 1 cM étant égal à 1% de crossing-over.
Les expériences de Morgan, indépendance des caractères (1)
On croise deux lignées pures de drosophiles : Type sauvage : ailes longues [L] et yeux rouges [R] Double mutant : aux ailes vestigiales [v] et sans yeux [w]
La descendance (F1) est constituée uniquement d’individus aux ailes longues et aux yeux rouges.
L wv R
F1= [ LR]
1 2
L R
L w
v R
v w
Gamètes F1
1
1
1
1
2
2
2
2
L R v wxGamète sauvage
Gamète muté
1 1 22
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Les males de (F1) X femelles (vv,ww) donnent 4 phénotypes dans les mêmes proportions
Les expériences de Morgan, indépendance des caractères (3)
AB Ab aB ab
ab AaBb [AB] Aabb [AB] aaBb [aB] aabb [ab]
ab AaBb [AB] Aabb [Ab] aaBb [aB] aabb [ab]
ab AaBb [AB] Aabb [Ab] aaBb [aB] aabb [ab]
ab AaBb [AB] Aabb [Ab] aaBb [aB] aabb [ab]
Phènotypes attendus : 0.25: 0.25: 0.25: 0.25
Tableau des gamètes :
On croise les males de (F1) avec femelles (vv,ww)
x
L R
L w
v R
v w
Gamètes F1
1
1
1
1
1
1
1
1
v w
Gamète muté
1 2
L wv R
1 2
L wv w
1 2
v wv R
1 2
v wv w
1 2
497 [LR]
502 [ Lw]
510 [vR]
498 [vw]
Confirmation de la loi de ségrégation indépendante des caractères avec 0.25: 0.25: 0.25: 0.25
Les expériences de Morgan, indépendance des caractères (2)
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Les expériences de Morgan, association des caractères (1)
On croise : lignée sauvage (LL, RR),
Double mutant : ailes vestigiales (vv) et aux yeux bruns (bb).La descendance (F1) est constituée uniquement d’individus [L,R]
Lbv
x
Gamète sauvage
Gamète muté
F1= [ LR]
22
R bv
2L
2
R
bv
2
L2
R
Gamètes des F1 males
Les males de (F1) X femelles (vv,ww) donnent les 2 phénotypes sauvages dans les mêmes proportions.
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Les expériences de Morgan, association des caractères (2)
bv
2L
2
R
bv
22
bv
50% [ LR]
50% [vb]
On croise alors des males (F1) avec des femelles (vv,bb).
On obtient : 996 [L,R], 1008 [v,b].
bvx
Gamètes muté
2
bv
2
L2
R
Gamètes des F1 males
Pas de recombinaison au cours de cette méiose
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Les expériences de Morgan, association des caractères (3)
On croise (LL, RR), et (vv,bb). F1 est constituée uniquement d’individus [L,R] On croise alors des femelles de (F1) avec des males (vv,bb).
On obtient : 716 [LR], 702 [vb], 296 [Lb], 238 [vR].
Lbvx
Gamète sauvage
Gamète muté
F1= [ LR]
22
R bv
2L
2
RbL
2
v2
R
Gamètes des F1
femelles
L2
R
bv
2
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bL
2
v2
R
Gamètes des F1 males
L2
R
bv
2
bvx
Gamète muté
2
Les expériences de Morgan, association des caractères (3)
[Lb]
[vR]
[ LR]
[vw]
bv
2
bv
2
bv
2
bv
2
L2
R
2
bv
2
v2
R
bL
716
702
296
238
Nb total de méioses : 1952Nombre de gamètes recombinés : 534
Fraction des gamètes recombinés : 534/1952= 0.27%.
Distance entre les 2 loci = 27 cM
On observe des recombinaison lors de la méiose femelle
Morgan Conclusions
• Morgan a confirmé les lois de ségrégation des caractères de Mendel.
• Démontré l’indépendance de certain caractères et l’association d’autres et confirmé la notion de chromosomes.
• Défini la notion de recombinaison et conclu qu’elle était fonction de la distance entre les gènes positionnés sur un même chromosome et a pu établir une carte génétique de la drosophile.
• A observé que les recombinaisons chez la drosophile avaient lieu uniquement lors de la méiose des femelles.
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Ailes vestigiales Yeux bruns
Sans Yeux w
Cartographie du génome : Cartes génétiques
– Ordonnancement de marqueurs polymorphes grâce à l’analyse statistique de leur
ségrégation (transmission) au cours des générations
– Observation empirique : analyses familiale et statistique – possibilité de distinguer les 2 allèles
– disposer d’un nombre suffisant de méïoses pour permettre à l’analyse statistique d’être significative
– Cartes établies à partir de la fréquence des recombinaisons méïotiques
– Distance exprimée en centiMorgan
• 1 cM correspond à une fréquence de recombinaison de 1 % entre 2 marqueurs (1 crossing over
pour 100 méïoses = 99% gamètes parentaux, 1% recombinés)
– Carte génétique de la femme est environ 40 % plus grande que celle de l’homme
(nombre de recombinaisons supérieur)
Cartographie du génome : Cartes physique
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Marqueurs polymorphes
Distance physique (Millon pb) Gènes
Carte cytogénétique
– Ordonnancement de fragments clonés
chevauchants reconstituant la
molécule d’ADN de départ
– Distances mesurées entre les différents
marqueurs sont en paires de bases et
sont dites absolues
– En moyenne 1 cM = 106 pb
– Même ordre des marqueurs pour la
carte génétique et la carte physique,
seules les distances relatives changent
– La distance génétique est une
approximation de la distance réelle
physique
• De nombreux marqueurs génétiques sont présents tout au long du génome. - Minisatellites : nombre variable de répétitions de séquences courtes (14-100 nt)
- Microsatellites : nombre variable de répétitions de nucléotides répétés (2, 3 ou 4).
- SNPs : Single nucléotide polymorphisms : substitutions d’un nucléotide.
Les différent type de polymorphismes
Identification des allèles par PCR fluorescente
Primers
Laser sensor
Amplified product
Fluorescence
Size (bp)10020
Electropherogram
Les allèles des marqueurs microsatellites se distinguent après amplification du locus par PCR et migration éléctrophorètique (séparation des fragments amplifiés en fonction de leur taille).
Amplification d’un marqueur microsatellite
CA, n=5
CA, n=5
Allèle Paternel
Allèle Maternel
Individu homozygote pour le marqueur étudié.
CA, n=8
CA, n=5
Allèle Paternel
Allèle Maternel
Individu hétérozygote pour le marqueur étudié.
Marqueurs, locus et haplotype
7q31.2
LocalisationChromosomique
7q32
7p22
7p11
D7S655
LocusGene Markers
D7S3112
CFTR
Chr 7
M
Alleles Chr. Pat.
23
4
7
7
2
34
8
Alleles Chr. Mat.
28
4
2
3
3
2
N
Haplotype Morbide Haplotype normal
Un haplotype est la constition allèlique d’un individu pour plusieurs loci contigus, normalement hérités en block par l’un des parent.
∆ ∆
Exemple d’une étude familiale de ségrégation
D7S3112
42D7S3112
53
D7S3112
52
D7S655
83D7S655
72
D7S655
73MM
NN
48
32
MN
32
48
57
23
Example d’une étude familiale de ségrégation (2)
MM
23
57
4
8
N
N 3
2
D7S3112
D7S655
N
N2
3
D7S3112
D7S655
M
M
Mat.
2
3
D7S3112
D7S655M
5
7
M
M
Pat.
5
7M
• Exemple : L'hyperthermie maligne, 6 gènes identifiés, dont MHS5 et RYR 1.
I:13 22 1
2 13 2
D1S3766D1S3767MHS5D1S3768D1S3769
I:21 31 2
1 31 3
II:13 12 1
2 13 1
D1S3766D1S3767MHS5D1S3768D1S3769
II:22 31 2
1 32 3
Application : Etude familiale de ségrégation, identification du gène morbide
Etude de liaison au locus MHS5
Exclusion du gène MHS5
I:12 11 2
3 2
D19S220D19S421
RYR1D19S422
I:22 31 2
1 3
II:12 21 1
3 1
D19S220D19S421
RYR1D19S422
II:22 21 1
3 1
Etude de liaison au locus RYR 1
RYR 1 est candidat
Conclusion
• L’étude de la ségrégation des allèles par analyse de marqueur polymorphe est un outil puissant qui peut être utilisé en recherche, pour la cartographie du génome ou en diagnostic génétique.
• Les paradigmes établis au début du siècle (et avant) constituent toujours la base de la génétique moderne.