la Scène nationale d’Orléans

Musiqueet dansedécembre2013 janvierfévrier2014

3 – Scène nationale d’Orléans

Musique de chambre

Quatuor DiotimaLe Quatuor Diotima poursuit son cycle de concerts, amorcé le 10 octobre 2013, avec une magnifique soirée en compagnie d’œuvres de Béla Bartók, de Arnold Schoenberg et du jeune compositeur mexicain vivant en Autriche, Arturo Fuentes. Pour ces deuxième et troisième sessions, le Quatuor Diotima nous présente un programme toujours très convaincant. Et, n’oubliez pas, nous nous retrouverons le 15 avril pour la dernière étape de ce cycle avec d’autres compositeurs invités toujours joués par le Quatuor Diotima.

Violon 1 Yun-Peng ZhaoViolon 2 Guillaume LatourAlto Franck ChevalierVioloncelle Pierre Morlet

Concert #2

Béla Bartók Quatuor n° 1Gérard Pesson Nouvelle pièce(Commande du Bayerischer Rundfunk et du Quatuor Diotima, avec le soutien de la Fondation pour la Musique Ernst von Siemens, de la DRAC Centre, de la Région Centre et de HCMF Huddersfield)Alban Berg opus 3Franz Schubert Quatuor n° 9

Jeudi 5 décembre 20h30Salle VitezTarifs de 5 € à 24 €

Ce même jour à 18h, salle VitezConférence sur les quatuors de Béla Bartók animée par Charles Tobermann, Musicologue et professeur d’éducation musicale au lycée Jean-Zay d’Orléans en présence du Quatuor Diotima

À l’issue du concertRencontre publique avec le Quatuor Diotima et Gérard Pesson

Gérard Pesson est probablement l’un des plus importants compositeurs français d’aujourd’hui. Nous sommes très heureux de vous faire entendre son 3e quatuor à cordes. La musique de Gérard Pesson combine l’art si français de la transparence, de l’équilibre et de l’élégance, avec des moyens musicaux remarquablement expérimentaux.

En complément de programme, nous jouerons deux compositeurs emblématiques de la musique viennoise, Alban Berg et Franz Schubert, dans deux œuvres de jeunesse, pleine de fougue et d’énergie. Franck Chevalier

Concert #3

Béla Bartók Quatuor n° 3Alberto Posadas SombrasJohannes Brahms Quintette avec clarinette

Mardi 28 janvier 20h30Salle VitezTarifs de 5 € à 24 €

Alberto Posadas est la figure centrale de la composition aujourd’hui en Espagne. Nous nous connaissons depuis plusieurs années, et nous avons eu la chance de créer deux cycles pour quatuor à cordes : Liturgia Fractal et Sombras. La musique d’Alberto Posadas allie la puissance et la force de la tradition musicale espagnole à la construction mathématique, particulièrement les fractales. Le quintette pour clarinette de Brahms, aux couleurs d’automne, apaisera à coups sûrs le feu de la musique de Posadas. Franck Chevalier

En amont du concert à 19h, salle Le Kid 2e Salons de MusiqueEdwige Phitoussi rencontre le Quatuor Diotima et poursuit avec eux ses interviews sur les tendances musicales de cette saison.Gratuit ! Inscription au 02 38 62 45 68

Quatuor Diotima © Molina Visuals

CycleDiotima

4 – Scène nationale d’Orléans

Chanson

Le Salon des RefuséesClaire DiterziChant, guitare et basse Claire DiterziPercussions Etienne BonhommeViole de gambe Christine PayeuxViolon et basse Carla PalloneGuitare et basse Thomas Naïm

Mardi 10 décembre 20h30Salle BarraultTarifs de 5 € à 24 €Durée 1h30

À l’issue du concertRencontre publique avec Claire Diterziet son équipe

Nous n’avions pas pu recevoir Claire Diterzi au cours de la saison dernière, car sa tournée avait été malheureusement réduite, mais elle ne nous avait pas oubliés et cette soirée risque d’être inoubliable.

Claire Diterzi est l’une des plus talentueuses artistes de la scène française actuelle. Elle est à la fois auteure, interprète, musicienne et comédienne. Pour cette nouvelle création, ce nouveau projet musical, écrit à Rome, en résidence à la Villa Médicis, où elle fut la première artiste de « musiques actuelles », la formule du concert a été choisie dans toute sa simplicité. « Le Salon des Refusés », en 1863, fut une exposition réunissant de nombreux artistes qui n’avaient pas été choisis dans la sélection officielle du Salon de la sculpture et

de la peinture. Le titre du concert Le Salon des Refusées est aussi une référence directe aux violentes réactions suscitées par la nomination de Claire Diterzi, venant des musiques actuelles, à la Villa Médicis. Ici, Claire Diterzi épure la forme pour mieux magnifier le fond. Aucune débauche scénographique ou de machines à sons, une formule concert dans toute sa simplicité, quatre musiciens sur scène, pour sublimer les mots de l’intimité. Onze chansons pour évoquer un voyage dans le temps, un va-et-vient permanent entre le passé et le présent grâce à une arme redoutable, la viole de gambe.

L’expérience sensorielle est bouillonnante, viscérale, prenante et parfois déconcertante. L’Express

Danse

Now the field is openHooman SharifiImpure company, dEEp doWN dopEiZM (3D) et Javid Afsari Rad

Chorégraphie et lumière Hooman SharifiPar et avec Anne Golberg Stavn, Camilla Tellefsen, Mathias Jin Budtz, Ida Louise Sundby, Jens Jeffry Trinidad, Ida Gudbrandsen, Matthew William Smith, Hooman Sharifi, Rikke BaewertMusique Javid Afsari Rad, Habib Meftah, Boushehri, Reza Samani

Jeudi 12 décembre 20h30Salle BarraultTarifs de 5 € à 24 €Durée 1h environ

Né en Iran en 1973, Hooman Sharifi part dès l’âge de 14 ans pour la Norvège. Son expérience de la danse commence avec le hip-hop et le street jazz. Plus tard, il apprend les techniques du ballet classique et de la danse moderne. En 2000, il obtient le diplôme de chorégraphe au National Colege of Ballet and Dance à Oslo. En 2000 toujours, il fonde sa propre compagnie, Impure company, sur le principe que l’art a tout à voir avec la politique, où politique signifie conscience sociale et engagement.Et depuis, l’aventure continue. Nous vous présentons l’étape la plus récente.

Ni un concours, ni une confrontation mais une rencontre entre danse hip-hop, danse contemporaine et musique traditionnelle persane. No Battle ! mais une expérience chaude qui nous vient du froid.Hooman Sharifi s’est complètement installé, avec sa famille exilée d’Iran, en Norvège.Un changement culturel profond, une résurrection et de nouvelles compositions multi-culturelles.Now the field is open « Maintenant, le chant de la création est ouvert » et libre !Une rencontre des plus subtiles entre de blondes danseuses contemporaines dansant un hip-hop revisité et acompagnées d’une somptueuse musique iranienne donnée en live.Tout un programme à découvrir !

Le Salon des Refusées © Laurent Seroussi

Now the field is open © Arash A. Nejad

7 – Scène nationale d’Orléans

Concert

Bach / KurtágSolistes de l’Ensemble intercontemporainHautbois Philippe GrauvogelClarinette basse Alain BillardPiano Sébastien VichardAlto Odile AuboinVioloncelle Eric-Maria Couturier

György KurtágHommage a R. Sch. op 15d, pour clarinette, alto et pianoSignes, Jeux et Messages (extraits)Johann Sebastian BachExtraits transcrits de la Cantate BWV 106, de la Sonate en trio BWV 527, de la Suite anglaise BWV 807, de la Suite française BWV 806, des chorals et préludes pour orgue BWV 659 et BWV 734, du Clavierübung BWV 684 et de l’Orgelbüchlein BWV 599-644

Mardi 17 décembre 20h30Salle VitezTarifs de 5 € à 24 €Durée 1h15 environ

György Kurtág, à 88 ans, reste un créateur rare qui aime à jouer, à métamorphoser, voire à défier l’œuvre musicale que ce soit ses propres compositions dont il offre plusieurs versions ré-adaptées ou les œuvres d’autres compositeurs sous la forme d’un dialogue.György Kurtág, le mystérieux compositeur qui défie Bach titrait Le Figaro à la suite d’un concert à la Cité de la Musique à Paris.

Dans le « programme composé » que propose aujourd’hui la Scène nationale, « Kurtág répond à Bach qui répond à Kurtág » plusieurs versions d’une même œuvre sont jouées et un dialogue continu se maintient ave Bach. Les transcriptions de pièces de Bach offrent un pendant aux transcriptions de György Kurtág.

Ce sont cinq solistes de l’Ensemble intercontemporain qui mènent avec merveille cette conversation et cet échange à plusieurs mains. Rappelons que l’Ensemble intercontemporain est un ensemble de 31 solistes, créé par Pierre Boulez en 1976. Cet ensemble diffuse régulièrement de la musique du vingtième siècle à nos jours. Sa réputation mondiale n’est plus à faire !

Danse

L’âme au diableJérôme Marin, Marianne Baillot, Daniel LarrieuD’après un répertoire choisi dans les enfers de la chanson française.

CréationChorégraphies Jérôme Marin, Marianne Baillot et Daniel LarrieuDirection musicale Jean-Yves RivaudScénographie Sylvain Dufour

Vendredi 20 décembre 20h30Salle BarraultTarifs de 5 € à 18 €Durée 1h15

À l’issue de la représentationRencontre publique avec les artistes

Jérôme Marin passe cette année son Mastère. De Monsieur K. à Cabaret Berlin, l’an dernier, sa nouvelle création (toujours à Orléans) est chargée de promesses. Il sera entouré de Marianne Baillot qui, en résidence à Orléans, l’an passé, créait un remarquable Yeeepeee !!!. Daniel Larrieu qui avait commencé avec brio son aventure chorégraphique à Orléans, avec une création de résidence remarquée, Anima, se joindra à l’équipe. À trois, ils nous présenteront un tour de chant dansé, L’âme au diable.

Si la chanson française recèle des joyaux fabuleux, elle possède aussi en son sein des chansons moins délicates qui, pour certaines, eurent (hélas) aussi leur moment de gloire. Nous exhumerons des enfers où elle est enfermée cette obscure et (peu) flatteuse partie de la chanson française, pour la confronter à nos pratiques artistiques et, surtout, à notre époque.Jérôme Marin

En amont du spectacle

Lundi 16 à 19h, Cinéma Les Carmes (7 rue des Carmes à Orléans)En lien avec L’âme au diable, venez assister à la projection du film Vénus noire réalisé par Abdellatif Kechiche (Palme d’Or Cannes 2013 avec La Vie d’Adèle). Tarif habituel du cinéma. Réservation au 02 38 62 94 79

Mardi 17 à 18h, Cercil (45 rue du Bourdon Blanc à Orléans)Autour des chansons haineuses, un linguiste viendra nous éclairer sur le poids de ces mots racistes que l’on trouve dans certaines chansons écrites, chantées. En présence des artistes. Gratuit ! Inscription au 02 38 42 03 91 (places limitées)

Bach / Kurtág (Ensemble intercontemporain) © A. Warme-Janville

L’âme au diable © Sébastien Pons

8 – Scène nationale d’Orléans

Réveillon / Nouvel An

Les BalletsTrockadero de Monte CarloDirecteur artistique Tory DobrinMaître de ballet Paul Ghiselin assisté de Raffaele MorraAvec Bernd Burgmaier, Robert Carter, Paolo Cervellera, Loic Consalvo, Boysie Dikobe, Paul Ghiselin, Duane Gosa, Carlos Hopuy, Chase Johnsey, Davide Marongiu, Philip Martin-Nielson, Carlos Miller, Raffaele Morra, Lawrence Neuhauser, Alberto Pretto, Carlos Renedo

Mardi 31 décembre 20h30 et mercredi 1er janvier 17hSalle TouchardDurée 2h avec entracteTarif plein 36 € – tarif réduit 28 €

Créés en 1974, à New York, par un groupe passionné de danse classique désirant présenter une vue ludique et humoristique du ballet classique traditionnel, les Ballets Trockadero de Monte Carlo sont d’abord apparus dans des spectacles de Broadway. Les Trocks, comme on les a surnommés affectueusement, ont rapidement suscité des articles élogieux, contribuant à établir le succès populaire et artistique de la troupe. Le concept original des Ballets Trockadero de Monte Carlo n’a pas changé depuis leur création.

C’est une compagnie de danseurs professionnels, exclusivement masculins, interprétant avec brio, parodie, humour et travestissement les grands ballets du répertoire romantique. Leur technique irréprochable et leur humour irrésistible se fondent dans un spectacle aussi sublime qu’hilarant. La compagnie effectue des tournées de plus en plus prestigieuses parcourant avec succès les plus grandes villes du monde, Barcelone, Hong Kong, Tokyo, Londres, Berlin, Melbourne, Sydney, Moscou, Paris… et Orléans pour cette fin d’année !

Les amateurs de ballet en raffolent et ceux qui détestent le genre… adorent ! Télématin

Un programme envoûtantLe Lac des cygnes (Acte II)Musique de TchaikovskyCette incursion dans le royaume magique des cygnes est la pièce “signature” des Trocks.Go For BaroccoMusique de J.S. BachHéritier stylistique du Concerto Barocco de BalanchineRaymonda’s WeddingUn divertissement en deux scènes sur une musique de Alexander Glazunovet une surprise qu’il nous est impossible de dévoiler à l’avance !

Bonnes fêtes de fin d’année à tous et toutes !

Le Café du Théâtre sera, comme à l’accoutumée, ouvert le soir du réveillon du Nouvel An (réservations au 02 38 62 98 09).

Les Ballets Trockadero de Monte Carlo © Sascha Vaughn

La Scène nationale présente, comme à son habitude, un grand spectacle pour une fête de fin d’année joyeuse.

11 – Scène nationale d’Orléans

Musique baroque

Chronique d’un musicienLes Folies françoisesCarl Philipp Emanuel Bach (1714 – 1788)Spectacle hommage à l’occasion du tricentenaire de sa naissanceÉcrit et interprété par Gilles CantagrelIllustrations musicales interprétées parles Folies françoisesViolon et direction musicale Patrick Cohën-AkenineTraverso Jocelyn DaubigneyClavecin Béatrice MartinVioloncelle François Poly

Carl Philipp Emanuel Bach, fils cadet de Jean-Sébastien Bach, né à Weimaril y a trois siècles.Trio pour flûte, violon et basse continue H.573 en do majeurLa sensibilité et la mélancolie.Un âge nouveau Libre fantaisie en fa mineur H.536, pour clavecin et violon

Carl Philipp Emanuel Bach,éléments de l’autobiographieTrio pour flûte, violon et basse continue H569

Berlin. La vie sociale. Et à la cour, avec Graun, Benda et QuantzSonate pour flûte seule en la mineur H.562Jean-Sébastien Bach reçu à Potsdampar Frédéric IIJ.S. Bach, Offrande musicale BWV 1079Fugue canonique

Hambourg. La passion pour le clavier. Extraits du VersuchAdieu a mon clavier Silbermann H.272 Un portrait, par Burney et d’autres amis et visiteursTrio pour flûte, violon et basse continue H.578 en si majeur

Samedi 11 janvier 20h30Salle BarraultTarifs de 5 € à 24 €Durée 1h20

Depuis leur création et installation à Orléans, les Folies françoises se sont données pour mission de revisiter le répertoire baroque des xviie et xviiie siècles dans un esprit de grande liberté, de pluralité et de créativité qui était le propre des musiciens du Grand Siècle.

À l’occasion du tricentenaire de la naissance de Carl Philipp Emanuel Bach qui fut, pendant 30 ans, claveciniste à la cour du Roi Frédéric II de Prusse, les Folies françoises proposent de mieux faire connaître ce compositeur de génie et encore méconnu à travers récits et anecdotes qui entourent la vie du compositeur contés par le grand spécialiste de la famille Bach, Gilles Cantagrel (ancien directeur de France Musique).

À l’issue du concertRencontre publique avec les musiciens

Chronique d’un musicien (Les Folies françoises)

PH © Nicolas Laverroux

Danse

PHMié CoquempotCompagnie K622Chorégraphie Mié CoquempotMusique Pierre HenryDéveloppement interaction temps réel Jean-Marie BoyerDessin Frédéric LormeauAssistant a la chorégraphie Jérôme AndrieuInterprètes Julien Andujar, Jérôme Brabant, Vinciane Gombrowicz, Maud Pizon, Emeline Pubert

Jeudi 23 janvier 20h30Salle BarraultTarifs de 5 € à 24 €Durée 1h

Mié Coquempot et Pierre Henry, une collaboration entre deux classes d’âge, pour le meilleur !PH est une incarnation chorégraphique de l’expérience musicale que propose Pierre Henry. Le compositeur, après son historique collaboration avec Maurice Béjart, signe son retour à la danse en offrant à Mié Coquempot et sa compagnie K622, une sélection de trois œuvres puisées dans son répertoire : Envol, Empreintes et Grande Toccata.L’univers créé par la chorégraphe fait écho autant à la texture synthétique qu’à l’aspect organique de la musique. La danse, maisaussi la lumière, le dessin, la vidéo, avec

le concours des technologies les plus contemporaines, permettent à PH de se déployer dans tout le volume et les surfaces du théâtre, répondant à la dramaturgie conduite par la musique.

Mié Coquempot animera en amont de ce spectacle, un atelier ouvert aux amateurs et basé sur la pratique de petites chorégraphies inspirées de PH.Samedi 18 janvier (13h à 18h) et dimanche 19 janvier (10h à 15h), salle BarraultTout public à partir de 15 ans, aucune pratique de la danse n’est nécessaire. Renseignements au 02 38 62 45 68.

12 – Scène nationale d’Orléans

Concerts

Guillaumede Machaut2 soirées, 3 ensembles placés sous la protection de ce poète et premier grand compositeur du xive siècle, dont l’œuvre suscite toujours l’admiration des musiciens.

La Messe de Nostre DameEnsemble Diabolus in Musica

de Guillaume de MachautDirection Antoine GuerberTénors Raphaël Boulay, Olivier GermondBarytons Jean-François Delmas,Mathias SpoerryBaryton-basse Emmanuel VistorkyBasse Philippe Roche

Mercredi 15 janvier 20h30Salle BarraultTarifs de 5 € à 24 €ou Pass pour les 2 concerts Guillaume de MachautDurée 1h10

Premier cycle de messe polyphonique composé entièrement par le même auteur, la messe de Nostre Dame de Guillaume de Machaut est probablement l’œuvre musicale médiévale la plus connue. L’Ensemble Diabolus in Musica replace cette œuvre majeure dans son contexte liturgique par l’alternance des mélodies du propre grégorien d’une messe votive mariale avec celles de l’ordinaire polyphonique de Guillaume de Machaut.

Machaut, Quatuor de saxophones

Saxophone ténor, direction artistiqueQuentin BiardeauSaxophone alto Gabriel LemaireSaxophone baryton Simon CouratierSaxophone alto Francis Lecointe

Le quatuor Machaut, bien connu à Orléans, sera heureux de vous présenter son travail de recherche musicale autour de Machaut : une expérience sonore inédite, complètement inattendue et mystique.

Puis, nous retrouverons le quatuor de saxophones le 14 mai au Théâtre pour un autre concert autour de Machaut.

À l’issue de chaque concertRencontre avec les musiciens

CycleCairnToutes choses ont leur saisonEnsemble Cairn

Direction musicale Guillaume BourgogneDirection artistique Jérôme CombierFlûtes, clarinettes, percussion, violon, violoncelle, hautbois, guitare, piano, alto

Guillaume de Machaut, Guillaume Dufay, Isabel Mundry, Stéphane Borrel, Jérôme Combier

Avec le soutien de l’Onda – Office national de diffusion artistique

Jeudi 16 janvier 20h30Salle BarraultTarifs de 5 € à 24 €ou Pass pour les 2 concerts Guillaume de Machaut

Deuxième concert, cette saison, de l’Ensemble Cairn. Après Dialogue persan proposé en novembre dernier en compagnie et en dialogue avec un ensemble de musiciens traditionnels persans, Cairn s’attache à produire, à nouveau, un dialogue entre l’époque médiévale et l’époque contemporaine en rappelant que les rapports de la langue,du chant et de la musique de chaque époquene sont pas aussi éloignés les uns des autres.

Jérôme Combier, compositeur en résidence à la Scène nationale pour deux saisons et directeur artisique de l’Ensemble Cairn, animera dans le cadre de ce concert des ateliers et des rencontres avec le Conservatoire et le lycée Jean Zay d’Orléans.

Nous retrouverons Jérôme Combier le 15 mars 2014 pour la Finale du 11e concours international de piano d’Orléans. Françoise Thinat, présidente du Concours international de Piano, lui a commandé une pièce qui sera imposée aux finalistes.

La Messe de Nostre Dame (Ensemble Diabolus in Musica) © DR

En deuxième partie de soirée, après chacun des deux concerts

15 – Scène nationale d’Orléans

Comédie musicale

Bells Are RingingLivret et lyrics Betty Comden, Adolph GreenMusique Jule StyneMise en scène Jean LacornerieDirection musicale et transcription Gérard LecointeChorégraphie Raphaël CottinAvec Les Percussions Claviers de Lyon,Sébastien Jaudon pianoEt Gilles Bugeaud, Claudine Charreyre, Estelle Danière, Quentin Gibelin, Sophie Lenoir, Colin Melquiond, Julie Morel,Maud Vandenbergue, Jacques Verzier, Franck Vincent

Créée au Théâtre de la Croix-Rousse en novembre 2013Spectacle en français, chansons en anglais surtitrées en français

Mardi 4 février 20h30Salle BarraultTarifs de 5 € à 24 €Durée 2h10 avec entracte

Jean Larconerie nous avait réjoui, lors de la saison dernière, avec l’opérette de Jacques Offenbach, Mesdames de la Halle, présentée pour le réveillon du Nouvel An.Le metteur en scène nous revient, cette année, avec une comédie musicale encore jamais jouée en France : Bells are Ringing. Cette production récente (novembre 2013) du Théâtre de la Croix-Rousse reprend une comédie musicale qui avait triomphée à Broadway, en 1956, avant d’être adaptée au cinéma par Vincente Minelli et entrer dans la liste des « trésors culturels mondiaux ».Un plaisir à ne pas bouder !

Ces cloches qui sonnent ne sont pas celles d’une église mais celles du téléphone. Car cette comédie musicale des années cinquante a pour héroïne une jeune opératrice, Ella Peterson, qui, en ces temps sans répondeurs, prend en note les messages destinés aux abonnés absents. Sa gentillesse la mène à dépasser ce rôle car elle se lie d’amitié

avec ses clients : un dentiste qui aurait préféré être musicien, un jeune comédien au chômage et, surtout, un auteur dramatique en panne d’inspiration dont elle va tomber amoureuse. Décidée à tout mettre en œuvre pour les aider, sans qu’ils puissent la reconnaître, Ella va prendre différentes identités pour mener à bien ses projets alors que l’entreprise pour laquelle elle travaille est mise sur écoute par un inspecteur de police soupçonneux… De nombreux rebondissements tragiques ou drôles vont se succéder mais le happy end sera, bien sûr, au rendez-vous.

À l’issue de la représentationRencontre avec l’équipe artistique

Cirque

m2Compagnie Ea EoCréation et interprétation Eric Longequel, Sander De Cuyper, Jordaan De Cuyper, Bram DobbelaereAide a la mise en scène Joke Laureyns, Kwint Manshoven

Mercredi 5, jeudi 6, vendredi 7,samedi 8 février 20h30Salle VitezTarifs de 5 € à 18 €Durée 1h

Séances scolaires les 6, 7 février a 14h30

La compagnie Ea Eo est née de la rencontre entre quatre jongleurs. Leur langage utilise donc, fragilité, rythme, graphisme, vitesse, impact, performance, suspension, équilibre, chute… Ce quatuor franco-belge impressionne tous les spectateurs lors de leur passage. m2, en fait, au-delà d’un simple numéro de jonglage, c’est aussi une mise en scène très active qui explore différentes questions autour de la territorialité, de l’espace vital et de l’exclusion.

Autant de questions philosophiques dont l’approche par le corps et le jonglage crée une pédagogie nouvelle très positive. Le public est embarqué d’emblée et les enfants présents sont complètement convaincus par cette école qui les met en joie et en réflexion.

Chaque fois, et c’est la grande force de m2, les numéros de jonglerie servent le propos avancé, l’intégration de l’individu dans le groupe ou son expulsion. On ne jongle pas pour jongler, mais bien pour marquer son territoire, pour accepter son voisin ou pour le rejeter. La presse

Ea Eo réussit à propulser l’art de la jonglerie dans une nouvelle dimension, tout en décochant un regard critique sur le monde. m2 dévoile une toute nouvelle génération de circassiens qui pousse fort pour mener le cirque ailleurs, loin de la piste. Le Devoir.com

À l’issue de la représentation du mercredi 5Rencontre avec les interprètes

Bells Are Ringing, portrait Jean Lacornerie © Bruno Amsellem

m2 © Anke Schwarzer

16 – Scène nationale d’Orléans

Musique de chambre

Le chant du cygneWilhem Latchoumia et Christophe DesjardinsPiano Wilhem LatchoumiaAlto Christophe Desjardins

Franz Schubert Schwanengesang(Le chant du cygne)Benjamin Britten Lachrymae opus 48Dimitri Chostakovitch Sonate opus 147Franz Schubert 4 Lieder, extraits du Schwanengesang (transcription pour alto et piano)Johannes Brahms Sonate opus 120 n° 1

Mercredi 12 février 20h30Salle BarraultTarifs de 5 € à 24 €Durée 1h40 entracte compris

Sous ce titre tiré de l’une des pièces du programme, Wilhem Latchoumia et Christophe Desjardins ont réuni des œuvres majeures du répertoire, qui pourtant, n’est pas très étendu pour leurs deux instruments. Et d’ailleurs, celle qui donne son nom au concert est-elle une transcription de Lieder, tant l’alto est capable de se substituer à la voix.Nous avons déjà reçu Wilhem Latchoumia à la Scène nationale d’Orléans où il fut, dès 2006, honoré pour avoir emporté le premier prix du Concours international de piano d’Orléans présidé par Françoise Thinat. Au cours de la saison dernière, vous avez pu l’écouter dans un programme consacré à John Cage et le 25 septembre dernier, vous étiez ravis d’assister à un récital de composé d’un programme articulé autour de Debussy et Wagner.

Christophe Desjardins, quant-à-lui, est très engagé dans la création et la diffusion du répertoire de son instrument, l’alto. Certains gardent peut-être en mémoire le concert orléanais de la 4e édition du Festival Rue de l’Accordéon, Christophe Desjardins était en duo avec un accordéoniste virtuose Téodoro Anzellotti. Homérique !

Latchoumia et Desjardins, une rencontre de rêve !

À l’issue du concertRencontre avec les artistes

Le chant du cygne © Hadrien Lanoote

Jazz

Hommage à Ennio MorriconeMédéric Collignon et « Septik »Cornet de poche, voix Médéric CollignonFender Rhodes Yvan RobilliardBatterie Philippe GleizesBasse Jean-Philippe MorelGuitare Maxime DelpierreSaxophone Christophe MonniotPiano Mathieu Jerome

Dimanche 16 février 17hSalle BarraultTarifs de 5 € à 24 €Durée 1h30

Médéric Collignon, que l’on a pu entendre l’été dernier au festival Vague de jazz des Sables d’Olonne qu’il parraine depuis sa création il y a dix ans, est également un habitué des Victoires de la musique où il cumule les prix prestigieux : 2007 Révélation instrumentale, 2010 Artiste de l’année,2013 Trophée du disque de l’année pourÀ la recherche du roi Frippé (Just Looking) dédié à Robert Fripp (guitariste britannique fondateur, en 1969, du groupe rock progressif King Crimson).Dans son hommage à Ennio Morricone,avec sa formation Septik, c’est toujours avec la même inépuisable énergie qu’il rejoue, revisite la musique de Morricone magnifiquement propice à de nouveaux arrangements et improvisations.Médéric Collignon remet ainsi en valeur les diverses mélodies qui restent autant de citations des musiques signées Ennio Morricone qui accompagnèrent le renouveau du western lancé par le réalisateur Sergio Leone.

Dernières actualités

Derniers CD parusVague de jazz de François Bon, Joëlle Léandre, Philippe Carle et Médéric Collignon À la recherche du roi frippé de Médéric Collignon, Yvan Chiffoleau, Philippe Gleizes et Franck Woeste

Dernière heureLe vénérable Ennio Morricone, le plus célèbre et le plus prolifique compositeur de musique de film du xxe siècle, après 11 ans d’absence, se produira en concert à Paris-Bercy, en février 2014.

Le chant du cygne © Hadrien Lanoote

Hommage à Ennio Morricone © Alexandre Lacombe

19 – Scène nationale d’Orléans

Danse

The PyreGisèle VienneConception, mise en scène, chorégraphieet scénographie Gisèle VienneCréation musicale, interprétation et diffusion live KTL (Stephen O’Malleyet Peter Rehberg) exceptée la chanson Back Eyed Dog de Nick Drake de l’album Made to love magic.Texte Dennis CooperLumière Patrick RiouCréé en collaboration avec et interprétépar Anja Röttgerkamp (dans le rôlede la danseuse)et en alternance dans le rôle du fils Lounès Pezet, Léon Rubbens et Kamiel Van LooyAvec la voix de Dennis CooperStylisme et conception des costumesJosé Enrique Ona SelfaCréation vidéo Gisèle Vienne, Patrick Riou en collaboration avec Robin KobrynskiFabricant Décor Leds, Designgroup professional GmbH / LED Lightdesign« À Jonathan et Jean-Luc »

En partenariat avec le Centre Dramatique National / Orléans-Loiret-Centre (coproduction) et le Centre chorégraphique national d’Orléans (résidence)

Mercredi 19, jeudi 20 février 20h30Salle BarraultTarifs de 5 € à 24 €Durée 1h10

Épurée dans sa construction, The Pyre (le bûcher) estompe les frontières entre danse, arts visuels, musique et littérature. Livré au feu des projecteurs, le corps de la danseuse incarne tour à tour différentes figures de la femme à la fois objet de fantasme et mère, meurtrie dans sa chair jusqu’à en disparaître en fumée.

The Pyre articule de manière inédite la chorégraphie de Gisèle Vienne avec le texte dont elle s’inspire. Fondé sur le refoulement de la narration, le fascinant rituel sacrificiel confronte le spectateur à des personnages mutiques – une mère et son fils ? A chacun de reconstituer le scénario de ce drame muet à l’issue de la représentation, à la lumière du court roman de Dennis Cooper qui en dévoile finalement la drame tout en ouvrant à des lectures multiples.

Exposition

Trough Their Tears (À travers leurs larmes)Gisèle VienneRéalisé en collaboration avec Dennis CooperSérie photographiée en 2007 53 photos

Photographies Gisèle VienneSéquence photographique réalisée par Gisèle Vienne et Dennis CooperRéalisation des poupées Gisèle Vienne, Dorothéa Vienne-Pollak, Raphaël RubbensCréation lumière de l’exposition Patrick Riou

Vernissage le mardi 18 février à 18h30Exposition du 18 février au 15 marsÀ la galerie Le Pays où le ciel est toujours bleu Oulan Bator, 20 rue des Curés à Orléans. Ouvert les jeudis, vendredis et samedis de 15h à 18h30

Through Their Tears (À travers leurs larmes) est une séquence photographique créée par Gisèle Vienne et Dennis Cooper, d’après des photographies et des poupées réalisées par Gisèle Vienne. Cette série est une exploration plurielle des préoccupations communes à ces artistes dans la représentation d’adolescents confus à la recherche de sensations fortes, enclins à l’autodestruction. Leur part obscure est représentée de manière romantique, leur tristesse et leur mal-être stylisés et leur anéantissement pris en charge de manière fantasmatique.

Cette série photographique a fait l’objet d’une publication en avril 2011 Jerk / Through Their Tears de Gisèle Vienne,Dennis Cooper, Peter Rehberg et Jonathan

Capdeville (cd + livre), aux Editions DISVOIR / série : ZagZig. En collaboration avec l’Atelier de Création Radiophonique de France Culture. Une édition française et une édition anglaise, comprenant la pièce radiophonique Jerk et la séquence photographique « Through their tears » (Production DACM en coproduction avec STUK Kunstencentrum- Louvain).

Le livre de Gisèle Vienne Jerk / Through Their Tears, ainsi que les photos, édités chez POL, seront en vente à la librairie Les Temps Modernes dans le hall de la Scène nationale et à la galerie Oulan Bator.

Trough Their Tears © Gisèle Vienne

The Pyre © Hervé Véronèse - Centre Pompidou

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CalendrierDécembreJeudi 5 Musique de chambre Quatuor Diotima #2 20h30Mardi 10 Chanson Le Salon des Refusées 20h30Jeudi 12 Danse Now the field is open 20h30Mardi 17 Concert Bach / Kurtág 20h30Vendredi 20 Danse L’âme au diable 20h30Samedi 21 Samedis du jazz Jednak 5tet 17h00Mercredi 31 Danse Les Ballets Trockadero de Monte Carlo 20h30

JanvierSamedi 1er Danse Les Ballets Trockadero de Monte Carlo 17h00Samedi 11 Musique baroque Chronique d’un musicien 20h30Mercredi 15 Soirées Machaut La Messe de Nostre Dame 20h30Jeudi 16 Soirées Machaut Toutes choses ont leur saison 20h30Samedi 18 Samedis du jazz Duo Renaudin-Cahours 17h00Jeudi 23 Danse PH 20h30Mardi 28 Mus. de chambre Quatuor Diotima #3 20h30

FévrierMardi 4 Comédie musicale Bells Are Ringing 20h30Mercredi 5 Cirque m2 20h30Jeudi 6 Cirque m2 20h30Vendredi 7 Cirque m2 20h30Samedi 8 Cirque m2 20h30Mercredi 12 Mus. de chambre Le chant du cygne 20h30Dimanche 16 Jazz Hommage à Ennio Morricone 17h00Mercredi 19 Danse The Pyre 20h30Jeudi 20 Danse The Pyre 20h30Samedi 22 Samedis du jazz Prex 17h00

Nouveauté ! Visite du Théâtre d’OrléansQui n’a jamais rêvé de découvrir ce qui se cache derrière les rideaux rouges du théâtre ?

Dès maintenant jusqu’en juin 2014Cette saison, la Scène nationale d’Orléans vous offre la possibilité de découvrir l’envers du décor en organisant des visites guidéesdu Théâtre d’Orléans. Le rendez-vous est fixé à 15h, tous les deuxièmes samedis de chaque mois (excepté juillet et août).Laissez l’équipe technique vous emporter pour une visite de deux heures maximum. Les visites sont gratuites, le nombre de places est limité à 20 personnes, la réservation est donc obligatoire au 02 38 62 45 68. Les inscriptions sont à effectuer avant la fin du mois précédant le mois de la visite. Retrouvez les dates des visites sur notre site internet www.scenenationaledorleans.fr rubrique Autour des spectacles.

Informations / Réservation

Billetterie sur internet www.scenenationaledorleans.fr – au guichet du mardi au samedi de 13h00 à 19h00Par correspondance Théâtre d’Orléans BP 21269 45002 Orléans Cedex 1 – par mail infos@theatredorleans.frPar téléphone 02 38 62 75 30 du mardi au samedi, de 14h à 19h – page facebook “Scène nationale - Orléans”Tarif dernière minute Moins de 26 ans : 5 € dans la limite des places disponibles, 15 minutes avant la représentation.

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