La Punition

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1 La Punition « Tu as fait une bêtise, tu vas être punie... » Ton petit visage s’emplit de peur, et les larmes qui coulent déjà sur tes petites joues roses me confirment que tu sais de quoi je parle. Comme d’habitude, tu me supplies entre quelques sanglots, me dis que ça fait mal, tu t’excuses, mais il n’y a rien à faire, je ne me laisserais pas attendrir : Tu as fait une bêtise, tu dois assumer et accepter ta punition, c’est comme ça... Tu restes pétrifiée, tête basse, sanglotante et je te dois te pousser par les épaules pour te faire avancer. Tu résistes, mais ce n’est pas la peine, tu seras punie. Comme à chaque punition, nous nous rendons dans la salle de bain, tu restes debout, sanglotante. Pendant quelques minutes je te regarde en silence, fragile petite chose tremblotante, je serais presque attendris, l’espace d’une seconde, je me dis que la punition serait peut-être un peu trop sévère... Mais non, tu vas être punie, parce que chaque bêtise doit être punie, les enfants doivent être punis, c’est l’éducation, c’est comme ça. Et aussi parce que j’aime te punir. Alors que l’idée de te punir commence déjà à chasser de mon esprit ma raison et mes sentiments, et que mon souffle commence à s’accélérer d’excitation, ma main dérive vers mon entrejambe, et c’est sans surprises que je sens au travers de mes vêtements déjà une bosse dure gonfler sous ma main. Sans aucune pudeur, je malaxe devant tes grands yeux noisette d’enfant innocent ma virilité d’adulte, je ne suis pas gêné, tu sais ce qui vas arriver et tes pleurs commencent à me lasser, je vais te punir, c’est tout. « Déshabille-toi ! » Cet ordre te fais sursauter, et ton regard devient paniqué, tu secoues la tête de droite à gauche, tu me regardes dans les yeux, me suppliant de ne pas le faire, que tu seras gentille, que tu ne le feras plus... Mais il est trop tard, le point de non-retour a été franchi, je veux te punir, j’en ai envie, maintenant. L’excitation est trop forte, mon esprit est comme vidé par la promesse de cette future punition que je vais t’administrer. Je n’en peux plus, je suis esclave de ce sentiment de puissance que j’ai sur toi, j’ai envie de te punir. Tu pleures maintenant à chaudes larmes, tes joues sont recouvertes de larmes, tes yeux sont embués et de la morve coule de ton nez, tu es soumises, tu continues de me supplier dans des pleurs désespérés. Mais plus rien ne peut m’attendrir, la raideur entre mes jambes que je caresse de ma main droite me rend maintenant totalement insensible à tes plaintes d’enfant, je commence à m’impatienter... « Maintenant ça suffit les pleurnicheries ! Tu as fait une bêtise ! Tu assumes tes erreurs, tu te déshabilles et tu prends ta punition, comme une grande ! » La sévérité de ma voix te fait à nouveau sursauter, et c’est dans un sanglot que tu baisses enfin ton pantalon de pyjama rose orné de personnages de dessins animés, révélant ainsi ton petit sexe glabre entre tes petites cuisses. Cette vision m’excite encore plus, je sens des minuscules gouttes de sueur perler le long de mes tempes, mon cœur battre plus fort et ma respiration s’accélérer encore. Je ne tiens plus, je baisse alors mon pantalon et dévoile à tes yeux ma queue dressée, dure, aux veines déjà gonflées et palpitantes. Tu la regardes comme horrifiée, ma seule réaction étant de la saisir dans ma main et de la masser lentement, elle est ruisselante de mon jus d’homme, déjà

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Un père punit sa fille de manière particulière.

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La Punition

« Tu as fait une bêtise, tu vas être punie... »

Ton petit visage s’emplit de peur, et les larmes qui coulent déjà sur tes petites joues roses me confirment que tu sais de quoi je parle. Comme d’habitude, tu me supplies entre quelques sanglots, me dis que ça fait mal, tu t’excuses, mais il n’y a rien à faire, je ne me laisserais pas attendrir : Tu as fait une bêtise, tu dois assumer et accepter ta punition, c’est comme ça...

Tu restes pétrifiée, tête basse, sanglotante et je te dois te pousser par les épaules pour te faire avancer. Tu résistes, mais ce n’est pas la peine, tu seras punie.

Comme à chaque punition, nous nous rendons dans la salle de bain, tu restes debout, sanglotante. Pendant quelques minutes je te regarde en silence, fragile petite chose tremblotante, je serais presque attendris, l’espace d’une seconde, je me dis que la punition serait peut-être un peu trop sévère... Mais non, tu vas être punie, parce que chaque bêtise doit être punie, les enfants doivent être punis, c’est l’éducation, c’est comme ça.

Et aussi parce que j’aime te punir.

Alors que l’idée de te punir commence déjà à chasser de mon esprit ma raison et mes sentiments, et que mon souffle commence à s’accélérer d’excitation, ma main dérive vers mon entrejambe, et c’est sans surprises que je sens au travers de mes vêtements déjà une bosse dure gonfler sous ma main. Sans aucune pudeur, je malaxe devant tes grands yeux noisette d’enfant innocent ma virilité d’adulte, je ne suis pas gêné, tu sais ce qui vas arriver et tes pleurs commencent à me lasser, je vais te punir, c’est tout.

« Déshabille-toi ! »

Cet ordre te fais sursauter, et ton regard devient paniqué, tu secoues la tête de droite à gauche, tu me regardes dans les yeux, me suppliant de ne pas le faire, que tu seras gentille, que tu ne le feras plus... Mais il est trop tard, le point de non-retour a été franchi, je veux te punir, j’en ai envie, maintenant.

L’excitation est trop forte, mon esprit est comme vidé par la promesse de cette future punition que je vais t’administrer. Je n’en peux plus, je suis esclave de ce sentiment de puissance que j’ai sur toi, j’ai envie de te punir.

Tu pleures maintenant à chaudes larmes, tes joues sont recouvertes de larmes, tes yeux sont embués et de la morve coule de ton nez, tu es soumises, tu continues de me supplier dans des pleurs désespérés. Mais plus rien ne peut m’attendrir, la raideur entre mes jambes que je caresse de ma main droite me rend maintenant totalement insensible à tes plaintes d’enfant, je commence à m’impatienter...

« Maintenant ça suffit les pleurnicheries ! Tu as fait une bêtise ! Tu assumes tes erreurs, tu te déshabilles et tu prends ta punition, comme une grande ! »

La sévérité de ma voix te fait à nouveau sursauter, et c’est dans un sanglot que tu baisses enfin ton pantalon de pyjama rose orné de personnages de dessins animés, révélant ainsi ton petit sexe glabre entre tes petites cuisses.

Cette vision m’excite encore plus, je sens des minuscules gouttes de sueur perler le long de mes tempes, mon cœur battre plus fort et ma respiration s’accélérer encore.

Je ne tiens plus, je baisse alors mon pantalon et dévoile à tes yeux ma queue dressée, dure, aux veines déjà gonflées et palpitantes. Tu la regardes comme horrifiée, ma seule réaction étant de la saisir dans ma main et de la masser lentement, elle est ruisselante de mon jus d’homme, déjà

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humide à l’idée de te punir, et une goutte épaisse de liquide translucide s’écoule lentement de mon prépuce alors que je décalotte lentement mon gland. Tu pleures en fixant mon organe d’adulte avec dégoût, ça m’excite.

« Déshabille-toi complètement... »

Cet ordre, je le souffle entre mes lèvres en astiquant mon membre nerveusement, toujours en sanglotant, soumise, tu t’exécutes, retirant ton haut de pyjama et dévoilant ta poitrine inexistante, juste deux petits points roses sur ta peau blanche et lisse d’enfant. Tu es maintenant entièrement nue, ton corps tremble, tandis que moi aussi je retire un à un mes vêtements.

Sur le miroir à côté de nous, je vois ma bite dressée entre mes doigts, mes couilles lourdes balancent juste en dessous et mes poils scintillent de l’humidité de mon jus, et à coté il y a toi, petite chose blanche et soumise dans la lumière blafarde, attendant fébrilement sa sentence en pleurant.

Cette vision m’excite et je t’attrape par le bras, t’attirant vers moi. Je lâche ma queue, attrape ta tête et l’attire vers mon gland déjà rougi par cette envie. Debout, ta petite taille fait que ta bouche atteint facilement ma queue : Tu fermes les yeux, faisant une moue dégoûtée, tandis que ma bite frotte contre ta joue. Je sens la douceur de ta peau sur ma verge, j’attrape tes cheveux bruns et dirige ta bouche vers l’extrémité de mon sexe. Tes petites lèvres douces sur mon gland, tes pleurs étouffés, je suis survolté, je veux goûter à ta bouche avant la punition.

« Ouvre la bouche ! Plus tu résisteras et plus se sera long pour toi ! Tu veux que ça finisse plus vite ? Oui hein ? Alors ouvre la bouche ! »

Dans un dernier regard larmoyant, je sens tes lèvres s’ouvrir peu à peu et mon gland glisser lentement dans ta petite bouche. Je laisse m’échapper un cri rauque de plaisir quand je sens ta petite langue lisse cherchant à éviter mon sexe. Mais ta bouche est trop petite et mon membre trop épais : Je sens ton palais lisse sur mon gland, tes dents sous ma verge, quelle sensation enivrante !

Ta bouche est étroite et à peine la moitié de ma queue y pénètre, mais cette caresse forcée est divine, j’en apprécie chaque seconde tandis que d’un léger mouvement de bassin je fais rentrer et ressortir la masse gluante et dure de ma bite entre tes petites lèvres roses et douces. J’accélère, et empoignant fermement ta petite tête entre mes mains, je force ta bouche au maximum dans un coup sec et vif, et c’est avec une petite toux de ta part que je sens le bout de mon gland heurter le fond de ta gorge. Je reste dans cette position quelque secondes, ton corps tressaute tandis que tu tousses lorsque je maintiens ta tête sur ma raideur. Je finis par relâcher mon étreinte, et c’est à quatre pattes par terre que tu recraches en toussant une petite quantité de liquide translucide et gluant qui s’écrase sur le sol avec un bruit mouillé.

Je te laisse te reprendre, en astiquant toujours mon membre gonflé. Quand tu as fini de tousser, tu me regardes, toujours pleurante, de ta bouche entrouverte s’écoule encore du liquide qui dégouline lentement sur ta poitrine.

« Bon allez, on y va pour ta punition maintenant... »

Encore des sanglots, encore des pleurs, tu me supplies encore, prétextant que tu as déjà assez été punie... Peut-être, mais moi j’en veux plus. Il n’est plus seulement question de ta punition, mais de mon plaisir, du plaisir que ton corps frêle peut me procurer, et c’est de ça que j’ai maintenant envie, la punition n’était qu’un prétexte depuis le début, j’avais juste envie de jouir de ton petit corps d’enfant. Tant pis si c’est amoral, tant pis si c’est mal, je sais qu’un père normal ne fait pas ça, mais l’excitation, cette pulsion irrépressible, a raison de moi, je veux jouir de toi, maintenant.

Tu te relèves lentement, tu pleures toujours, et comme un petit automate tu te mets en position attendant maintenant la fameuse punition.

« Bonne petite, ça c’est ma bonne petite fille obéissante... »

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Tu es de dos, tes petites mains serrent le bord de la baignoire, ta tête est baissée et tes fesses sont relevées : Tu connais cette punition que je t’ai déjà administrée.

Je m’approche, branlant ma queue fermement, ton petit corps tremble. Toujours ma queue à la main, je caresse ton dos, ta peau est douce, je caresse tes fesses, tes petites cuisses qui sont à peine plus épaisses que mes bras, ton petit corps maigrelet m’excite. Je m’accroupis, et frotte ma queue contre la raie de tes fesses, contre la petite fente de ta minuscule chatte. Je sens au bout de mon gland l’intérieur doux et lisse de ton petit sexe infantile, les lèvres à peine formées sont juste de petites excroissances lisses.

Je passe ensuite mon membre tendu entre tes petites cuisses serrées, ma verge frotte contre ton ventre et contre ton entrejambe, quelle sensation splendide que de sentir ta peau douce contre mon sexe ! Je fais quelques vas-et-viens en saisissant tes petites hanches, mes mains font quasiment le tour de ton petit corps fragile. Tu me parais si petite, mon jouet impubère soumis, ma petite chose sexuelle.

Je ressors ma bite et insiste de nouveaux sur tes fesses, tu sais ce qui va se passer puisque cette caresse de ma virilité d’homme sur ton petit derrière enfantin te fais éclater en sanglots dans une longue plainte désespérée.

Je te caresse la tête avec un « Chut, ça va allez... » faussement rassurant, je sais que tu vas avoir mal, et ça fait partie du plaisir que je prends à t’infliger cette punition, je suis immonde, mais j’aime tellement te faire ça, jouir de ton petit corps, de ta souffrance.

J’écarte tes petites fesses et contemple ton petit trou rose, minuscule. Je passe le bout de mon gland dessus, et tu t’agites, pleurant bruyamment en me suppliant encore et encore. Il est trop tard, je commence déjà à forcer ton petit anus avec ma queue, mon gland glisse sans y pénétrer, je retente encore et encore. À chaque nouvelle tentative de pénétrations, tu pleures, me supplies, mais à chaque fois je recommence, essayant encore et encore de pénétrer tes entrailles.

Puis, à force d’essayer, mon gland fini par rentrer doucement, je sens que tu resserres ton anus mais cela ne suffit pas, je force et l’extrémité de mon sexe fini par pénétrer en toi. Tu ne fais plus un bruit, je vois que tu respires plus rapidement, tout comme moi. Je sens l’intérieur lisse et chaud de ton cul autour du bout de ma queue, serrée par ton petit orifice. Je reste comme cela quelques secondes, profitant de cet instant de calme, comme pour te laisser t’habituer à cette sodomie douloureuse.

Puis je recommence à forcer, lentement. Tu pousses un petit cri étouffé tandis que ma verge progresse lentement et doucement, je regarde mon membre dur avancer entre tes petites fesses blanches. Arrivé à moins de la moitié, je stoppe, tu pleures. Je prends une grande respiration, je saisis tes hanches fermement, et d’un coup sec et puissant, pousse mon sexe jusqu’au fond de ton rectum, dont je sens mon gland heurter la paroi.

Tu pousses un cri de douleur strident, tu pleures bruyamment en t’agitant fébrilement. Moi, je ne relâche pas mon étreinte, tenant fermement ton petit corps gigotant entre mes mains. Ma queue est entrée au trois quarts en toi. J’attends que tu te calmes un petit peu, et commence lentement les vas-et-viens. Chaque fois que ma bite pénètre ton intérieur, tu pousses un cri larmoyant de douleur, et moi je laisse échapper un râle rauque de plaisir. Je ressens autour de mon sexe chaque nuance de l’intérieur de ton corps, ma queue est compressée, glissant lentement sur chaque aspérité de tes organes, c’est lisse, chaud.

Je me redresse, soulevant ton corps léger, tes pieds ne touchent plus terre et tu te cramponnes au bord de la baignoire en sanglotant. Tu n’es plus rien, rien d’autre qu’un petit objet sexuel soumis à ma jouissance. Je continue à martyriser ton petit cul en multipliant les allez-et-retours, chaque fois tu cries, chaque fois cela me motive à aller plus fort, plus vite. Tu cries, pleures tandis que moi, je suis survolté par cette avalanche de sensations taboues, j’encule une petite fille, ma fille ! Qu’est-ce que c’est bon !

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Les mouvements de ma queue en toi se font maintenant rapides, tu es désormais complètement assommée par la douleur. Tu pleures mais ton corps est mou, c’est maintenant une petite poupée désarticulée que je sodomise, tu as lâché le bord de la baignoire et ton corps repose mollement sur le rebord de celle-ci. Je jouis de toi, de ta douleur, et j’aime ça.

Mais bientôt, je sens monter en moi une douce chaleur, l’imminence de l’éjaculation. Je te repose doucement à terre, posant ton petit corps harassé par cet assaut sexuel contre-nature sur le tapis de la salle de bain. Couchée sur le dos, je m’allonge sur toi, te donnant les derniers coups rageurs de ma queue dans tes entrailles. Dans un cri de jouissance rauque et prolongé, je sors mon membre de ton petit cul ravagé, dont l’anus n’est plus qu’une plaie difforme rouge et béante. À peine sorti, le premier jet de sperme zèbre ton petit dos blanc, puis un autre, puis encore un : Chaque éjaculation recouvre ta peau. Moi, je crie de plaisir, secoué par les orgasmes successifs que ma procure chaque tressautement de ma queue, évacuant mon jus d’homme sur ton petit corps d’enfant, te souillant de ma semence incestueuse.

La dernière goutte s’écoule lentement du bout de mon sexe et tombe entre tes reins, tandis que j’admire ton dos recouvert de mon jus blanc, gluant et épais, dont les grosse gouttes dégoulinent lentement de chaque côté de tes hanches.

Tu respires rapidement, ton corps est inerte, fatigué de mes assauts anaux. Je m’allonge à côté de toi et dépose un baiser sur ton front mouillé de sueur.

« C’est bien, tu es une bonne petite fille, la petite fille à son papa... ».

Je viens de sodomiser ma propre fille de sept ans et je n’éprouve aucun remords, j’ai même aimé ça, aimé la violer, aimé lui faire mal, jouir de sa souffrance...

Je recommencerais, dès sa prochaine bêtise, pour la punir. Parce que c’est ça que doit faire un père, punir ces enfants quand ils font une bêtise, c’est comme ça.

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