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Communiqué de presse, le 30 juin 2013

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Le Centre des monuments nationaux présente La promenade nocturne

« Chant d’ombres à la Merveille » à l’abbaye du Mont-Saint-Michel

du 11 juillet au 24 août 2013

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Contact presse : Jean-Marc Bouré : jean-marc.boure@monuments-nationaux.fr – 02 33 89 80 04 Retrouvez également toutes nos actualités sur www.presse.monuments-nationaux.fr

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� © CMN Paris �����������������������

�SOMMAIRE Communiqué de presse et présentation de la promenade nocturne « Chant d’ombres à la Merveille »

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Synopsis : « Chant d’ombres à la Merveille »

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Scénographie Kolektif Alambik p.10 Informations pratiques p.12 L’abbaye du Mont-Saint-Michel

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Le Centre des monuments nationaux

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Monuments placés sous la responsabilité du Centre des monuments nationaux pour être ouverts à la visite

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Communiqué de presse et présentation du concept

A la nuit tombée, l’abbaye du Mont-Saint-Michel lève le voile sur son passé et ses mystères. Décors de lumières et d’images, ambiances sonores et musicales prennent possession des lieux. Ils invitent à des découvertes surprenantes et originales. La harpe, la viole de gambe, la flûte traversière ou le violoncelle font vibrer les mélodies de Bach, Debussy, Haendel, Chopin… « Chant d’ombres à la Merveille » conçu par le Kolektif Alambik est un véritable voyage dans le temps entre rêve et réalité. ���������������������

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�Au début de la promenade, les spectateurs peuvent apprécier la sobriété et la fidélité historique à laquelle se sont tenus les auteurs, notamment avec la scénographie réalisée dans le Scriptorium-Salle des Chevaliers (espace dédié jadis à l'écriture des lettres par les moines de l'abbaye). Le plafond avec 100 lettrines mises en lumière, dont les reflets sont projetés sur les murs, va capter le visiteur et rendre compte du travail colossal des scribes. Au fur et à mesure des pièces, le public sera invité dans des lieux insolites où la mise en scène est parfois décalée. Il aura la surprise de découvrir certains mécanismes revenus à la vie : des petits spectacles dans le spectacle, des concerts, une pièce de théâtre d'ombres... A l'issue du voyage, la magie des lieux se mêle une fois de plus à la féérie des images et de la musique. �������

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Synopsis de « Chant d’ombres à la Merveille » En arrivant en haut de l’escalier du grand degré, une ambiance lumineuse de couleur sur le haut des marches indique le début de la promenade nocturne. Les autres circulations jusqu’à la chapelle Sainte Madeleine sont balisées par un éclairage simple permettant aux visiteurs d’évoluer en toute sécurité. Cette chapelle est éclairée par la lumière du jour déclinante à travers le vitrail. Cette dernière est progressivement remplacée par une source artificielle placée sur le chemin de ronde de la tour Périne et illuminant le sol et le plafond. Dans la salle des hôtes, le public est accueilli par la fin du jour qui se mêle à la lumière des bougies. Des portes-bougies démesurés encerclent les six piliers de cette salle.

© Kolektif Alambik Dans les cheminées de la salle des hôtes, sera projetée l’imagerie du Mont-Saint-Michel à travers les époques avec des extraits de films super 8, issus du fond documentaire de l’Agence Régionale de Conservation de l’Image et du Son.

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Le Scriptorium – salle des chevaliers évoque l’écriture et les enluminures. Orienté plein ouest, le soleil couchant vient éclairer à travers les vitraux une nappe de lettres transparentes suspendues entre les piliers. Elles renvoient leurs reflets de lumière sur l’ensemble de la salle. A la tombée de la nuit, la lumière artificielle et ses reflets se substituent progressivement à celle du soleil. �

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Lettres suspendues entre les piliers

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�� Le promenoir des moines invite le public à la nuit. Dans une ambiance nocturne, les voûtes se nappent d’un ciel étoilé accompagné par un musicien.

© Kolektif Alambik

La lumière dans l’escalier mène vers l’Aquilon. Ce dernier invite à l’imaginaire. A partir de maquettes, le manipulateur apporte sa vision du Mont-Saint-Michel en mixant vidéo, jeux d’ombres, superpositions et incrustations d’images. �En sortant de l’Aquilon, le visiteur découvre sur la droite la porte romane ouverte sur la baie. Sur la gauche, l’escalier est balisé par une suite de bocaux lumineux dont la lumière oscille doucement. ��������������

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© Kolektif Alambik

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Le public arrive ensuite dans les cachots. Le premier cachot est porte close, à découvrir par sa petite lucarne une ambiance sonore suggestive. Le cachot double est ouvert, à voir sur le sol et les murs une imagerie plus naïve et plus abstraite que celle du premier cachot créant ainsi une atmosphère étonnante... Dans l’entrée romane, une lumière froide traverse le vitrail de couleur. Des bocaux lumineux viennent compléter l’éclairage du lieu. L’escalier nord/sud est balisé par des bougies placées dans les petites niches murales. Une lumière douce vient sublimer Notre Dame sous terre. Quelques bougies s’ajoutent à l’atmosphère souterraine du lieu. La chapelle Saint Etienne est illuminée par une lumière de circulation. Dans une ambiance sonore, le public découvre éclairée de l’intérieur la grande roue en bois. Sur le mur de la citerne se projette l’ombre imaginaire d’une roue qui tourne. En approchant de l’ossuaire apparaissent dans le fond des images fantasmagoriques et animées d’os en mouvement dans l’esprit des lanternes magiques du XVIIIe siècle. On traverse ensuite le passage dans une lumière de circulation. Arrivé dans la crypte Saint Martin, grâce à un long travail de recherche afin de recueillir de la matière, associé à la technique dite du « mapping » (conception des environnements et décors qui peuplent un jeu vidéo), cette salle retrouve ses couleurs le temps d’un été.

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Crypte St Martin�

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La salle des gros piliers devient une galerie d’images sur le thème des bâtisseurs. Chacun des piliers sert de support. Une lumière douce éclaire chacune des 5 chapelles donnant ainsi de la profondeur à l’ensemble de la salle. ��

� © Kolektif Alambik

���Notre Dame des trente cierges garde son atmosphère de recueillement. Comme son nom l’indique, des cierges illuminent la salle. La croix au-dessus de l’autel est éclairée par de multiples sources projetant plusieurs ombres en mouvement sur les murs. � Dans l’abbatiale, l’éclairage existant garde le côté majestueux de l’édifice. En complément de celui-ci, les quatre piliers du transept sont éclairés puis les voûtes de la nef, accentuant encore ainsi la grandeur de l’édifice. Un musicien invite le public à découvrir la terrasse. Les portes ouvertes vers le parvis ouest laissent voir la baie au loin. Sur le sol du parvis des lignes lumineuses viennent dessiner les 3 travées disparues en 1776. Celles-ci permettent la circulation de nuit et donnent un côté graphique à l’ensemble. Depuis la terrasse, un laser redessinera l'ombre du Mont-Saint-Michel sur le sable en contrebas. Dans le passage entre l’abbatiale et le cloître, la charpente de ce dernier est mise en lumière. Sur le mur du dortoir des moines des projections abstraites et colorées emmènent le visiteur vers un « ailleurs » et marquent une pause avant l’entrée dans le cloître. ��

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La lumière du cloître révèle délicatement l’architecture des doubles voûtes, le public circule tout autour. A travers la grande baie vitrée du cloître, il aperçoit en contrebas le jardin mis en lumière avec de grands bougeoirs donnant une autre dimension à cet espace extérieur. Dans le réfectoire, les 100 lucioles de la fée électricité viennent animer l’espace. Cette œuvre d’art contemporaine se veut respectueuse du lieu, toute en élégance et en sobriété. La fin de la visite mène dans les jardins. Ils sont éclairés par le balisage existant. En arrivant en bas des marches, le visiteur aperçoit une nouvelle projection monumentale sur la façade sud de l’abbaye.

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Kolektif Alambik Le Kolektif Alambik, c'est la rencontre de deux projectionnistes, Olivier Farcy et Fabrice Guibout. L'aventure commence, lors d'un concert d'«Electric Suicide» en 1992, Olivier et Fabrice, associés à l'époque sous le nom de «Drellerd», projettent leurs créations d'images sur scène pendant la performance du groupe. L'alchimie son / images s'opère immédiatement de façon magique. Ils décident alors de renouveler l'expérience tout en mettant sur pied un projet. C'est après huit années d'expérimentations et de recherches que naît le Kolektif Alambik. Le concept du Kolektif Alambik est la “Distillerie d'Images”. Il consiste à sculpter la lumière à partir de créations visuelles. Ainsi les membres du Kolektif rassemblent, créent et collectent des images fixes et animées issues de films (fictions, documentaires). « En amont, nous travaillons sur support argentique. A partir de ces images, nous intervenons en appliquant des techniques artisanales telles que le grattage, la peinture, la chimie, les superpositions, les collages, les altérations ainsi que les traitements spécifiques lors du tirage des photos... » Ces nouvelles images sont ensuite projetées aux moyens de différentes sources de projection (Projecteurs Cinéma, Diapos, Défilants ou Vidéoprojecteurs). Cette projection peut se faire sur des supports originaux adaptés ou créés pour un événement spécifique ou déjà existant tels que des écrans, façades, édifices, mobiles, suspensions... et sur différentes matières comme le lycra, les toiles, les tulles, le velum....Véritable art nocturne, les œuvres se dévoilent à la tombée de la nuit réelle ou artificielle. Ces créations s'effectuent en concertation avec les partenaires du projet afin de lier leur propos aux installations. Des projections picturales d'intérieur aux projections picturales monumentales, les créations du Kolektif Alambik redessinent les lieux, transforment l'espace et métamorphosent un lieu. Aux vues de leurs diverses expériences, les membres du Kolektif Alambik ont la volonté d'inscrire leur travail au cœur de la vie des habitants et de permettre à la population de redécouvrir le paysage quotidien ainsi que de modifier les regards portés sur l'architecture et l'environnement urbain. En perpétuelle recherche, le Kolektif Alambik travaille actuellement à la mise en œuvre et au développement de nouvelles idées. Les nouvelles technologies sont une véritable source d'inspiration et permettent de confronter nos techniques ancestrales à des techniques novatrices et modernes. Le « mapping », qui consiste à mettre en mouvement et déstructurer une image fixe en est un exemple.

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Leurs références (illuminations, projections, scénographies) :

Gare du Nord Gare de Lyon Eurockéennes de Belfort Printemps de Bourges Zénith de Paris Bataclan de Paris Divan du Monde à Paris Citélum / Holorapt Salon du Bourget Festival des Francophonies Festival de musique « les Zicalizes » Festival « Marsatac » à Marseille Festival « Chalon dans la rue » (IN) à Chalon-sur-Saône Festival « du Vent » à Calvi Festival « Réveillon / Citée Rêvée » à Montbéliard Illumination du Château de Vincennes / Centre des monuments nationaux Festival « Pflasterspektakel » à Linz / Autriche Festival « OLALA » à Lienz / Autriche

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Informations pratiques Centre des monuments nationaux Abbaye du Mont-Saint-Michel 50170 Le Mont-Saint-Michel Tél. 02 33 89 80 00 / Fax 02 33 70 83 08 abbaye.mont-saint-michel@monuments-nationaux.fr www.mont-saint-michel.monuments-nationaux.fr Dates et horaires : Tous les soirs du 11 juillet au 24 août, sauf le dimanche De 19 h à minuit Déambulation libre dans le monument sans réservation Dernière entrée à 23 h Accès au Mont-Saint-Michel par navette 24h/24 Stationnement gratuit de 19h à 2h. Accès à la visite de jour de 9 h à 18 h tous les jours Droits d’entrée : Plein tarif : 9 € Tarif réduit (18-25 ans hors Union Européenne) : 5,50 € Tarif professionnels du tourisme et groupes à partir de 20 pers : 7 € Tarif groupes scolaires (forfait 30 élèves) : 30 € Gratuit pour les moins de 18 ans en individuel (sur présentation d’un justificatif) Gratuit pour les moins de 26 ans ressortissants de l’un des 27 pays de l’union européenne et résidents réguliers non européens sur le territoire français Gratuité pour les titulaires du pass éducation du Ministère de l'Education nationale

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L’Abbaye du Mont-Saint-Michel

La longue histoire du Mont-Saint-Michel aurait commencé en 708, lorsque l’évêque Aubert fit élever sur le Mont un premier sanctuaire en l’honneur de l’Archange pour y installer une petite communauté de chanoines. En 966, des bénédictins s’installèrent au Mont à la demande du duc de Normandie Richard Ier et furent à l’origine de l’essor du nouveau monastère.

Très vite, l’abbaye devint un lieu de pèlerinage majeur de l’Occident chrétien mais aussi un des centres de la culture médiévale où furent produits et conservés un grand nombre de manuscrits.

Carrefour politique et intellectuel où se sont croisées les traditions carolingiennes et l’influence gréco-arabe, l’abbaye bénéficiait aussi des échanges entre la Grande-Bretagne et la France. L’architecture de l’abbaye témoigne de la maîtrise et du savoir-faire du Moyen Âge.

Son plan ne peut être rapproché d’aucun autre monastère. Tenant compte de la forme en pointe du Mont, les architectes ont enroulé les bâtiments autour du rocher granitique. L’église abbatiale, située au sommet du Mont, repose sur des cryptes qui créent une plate-forme de 80 mètres de long.

Le bâtiment de la Merveille est quant à lui souvent évoqué comme le fleuron de l’architecture de l’abbaye. Il est le témoin de la maîtrise architecturale des bâtisseurs du XIIIe siècle qui réussirent à appuyer sur la pente du rocher deux corps de bâtiments de trois étages.

Les structures sont de plus en plus légères au fur et à mesure de la progression vers le sommet. Ainsi, la foi, la culture, l’art et l’architecture constituent la forte identité du Mont-Saint-Michel.

Mais c’est aussi un village qui a toujours évolué dans le sillage de l’abbaye depuis le Xe siècle. Au XIVe siècle, il s’étendait déjà jusqu’aux pieds du rocher. Les remparts qui l’entourent en font un exemple d’architecture militaire. Au cours de la guerre de Cent-Ans, ils résistèrent à tous les assauts anglais et firent du Mont un lieu symbolique de l’identité nationale.

Suite à la Révolution, les propriétés de l’église furent déclarées « biens nationaux » et en 1793 l’abbaye fut reconvertie en prison. Cette transformation sacrilège lui fut en fait salvatrice puisqu’elle lui évita la démolition. En 1863, un décret impérial y mit fin. En 1874, le site a été classé monument historique et depuis 1979, le Mont-Saint-Michel est inscrit sur la liste du Patrimoine Mondial de l’Humanité de l’UNESCO.

L’abbaye est ouverte au public par le Centre des monuments nationaux.

Administrateur : Jean-Marc Bouré Tél. 02 33 89 80 04 - Fax 02 33 70 83 08 jean-marc.boure@monuments-nationaux.fr

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Le CMN en bref Sites archéologiques de Glanum et de Carnac, abbayes de Montmajour et du Mont-Saint-Michel, châteaux d’If et d’Azay-le-Rideau, domaine national de Saint-Cloud, Arc de triomphe ou encore villa Savoye, constituent quelques-uns des 96 monuments nationaux, propriétés de l’Etat confiés au Centre des monuments nationaux. Premier réseau public français culturel et touristique avec plus de 9 millions de visiteurs par an, le centre des monuments nationaux conserve et ouvre à la visite des monuments d’exception, leurs parcs et jardins. Ils illustrent, par leur diversité, la richesse du patrimoine français. S’appuyant sur une politique tarifaire adaptée, le CMN facilite la découverte du patrimoine monumental pour tous les publics. Son fonctionnement repose à plus de 86 % sur ses ressources propres issues notamment de la fréquentation, des locations d’espaces ou encore du mécénat. Fondé sur un système de péréquation, le Centre des monuments nationaux est un acteur de solidarité patrimoniale. Les monuments bénéficiaires permettent la réalisation d’actions culturelles et scientifiques sur l’ensemble du réseau.

Monuments placés sous la responsabilité du Centre des monuments nationaux ouverts à la visite

Aquitaine Grotte des Combarelles Abri de Laugerie-Haute Abri de Cap-Blanc Grotte de Font-de-Gaume Site archéologique de Montcaret Gisement de La Ferrassie Gisement de La Micoque Abri du Poisson Grotte de Teyjat Gisement du Moustier Tour Pey-Berland à Bordeaux Abbaye de La Sauve-Majeure Grotte de Pair-non-Pair Château de Cadillac Château de Puyguilhem

Auvergne Château de Chareil-Cintrat Cloître de la cathédrale du Puy-en-Velay Château d'Aulteribe Château de Villeneuve-Lembron

Bourgogne Château de Bussy-Rabutin Abbaye de Cluny

Bretagne Maison d'Ernest Renan à Tréguier Grand cairn de Barnenez Sites mégalithiques de Carnac Site des mégalithes de Locmariaquer

Centre Crypte et tour de la cathédrale de Bourges Palais Jacques Cœur à Bourges Tour de la cathédrale de Chartres Château de Châteaudun Château de Bouges Maison de George Sand à Nohant Château d'Azay-le-Rideau Cloître de la Psalette à Tours Château de Fougères-sur-Bièvre Château de Talcy

Champagne-Ardenne Château de La Motte-Tilly Palais du Tau à Reims Tours de la cathédrale de Reims

Franche-Comté Cathédrale de Besançon et son horloge astronomique

Paris Arc de triomphe Chapelle expiatoire Conciergerie Domaine national du Palais-Royal Hôtel de Béthune-Sully Musée des Plans-Reliefs Panthéon Sainte-Chapelle Tours de la cathédrale Notre-Dame

Ile-de-France Château de Champs-sur-Marne Château de Jossigny Château de Maisons Villa Savoye à Poissy Domaine national de Rambouillet Domaine national de Saint-Cloud Maison des Jardies à Sèvres Basilique cathédrale de Saint-Denis Château de Vincennes

Languedoc-Roussillon Château et remparts de la cité de Carcassonne Tours et remparts d'Aigues-Mortes Fort Saint-André de Villeneuve-lez-Avignon Site archéologique et musée d'Ensérune Forteresse de Salses

Midi-Pyrénées Site archéologique de Montmaurin Château d'Assier Château de Castelnau-Bretenoux Château de Montal Abbaye de Beaulieu-en-Rouergue Château de Gramont

Nord-Pas-de-Calais Colonne de la Grande Armée à Wimille Villa Cavrois

Basse-Normandie Château de Carrouges Abbaye du Mont-Saint-Michel

Haute-Normandie Abbaye du Bec-Hellouin

Pays-de-la-Loire Château d'Angers Maison de Georges Clemenceau à Saint-Vincent-sur-Jard

Picardie Château de Coucy Château de Pierrefonds Tours de la cathédrale d'Amiens

Poitou-Charentes Tour de la Lanterne, tour Saint-Nicolas et tour de la Chaîne à La Rochelle Château d'Oiron Abbaye de Charroux Site gallo-romain de Sanxay

Provence-Alpes-Côte d'Azur Place forte de Mont-Dauphin Trophée d'Auguste à La Turbie Site archéologique de Glanum Château d'If Abbaye de Montmajour Monastère de Saorge Cloître de la cathédrale de Fréjus Abbaye du Thoronet

Rhône-Alpes Château de Voltaire à Ferney Monastère royal de Brou à Bourg-en-Bresse