La politique produit (1). 20092 3 Comprendre le consommateur pourquoi est- ce si important... La...
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Transcript of La politique produit (1). 20092 3 Comprendre le consommateur pourquoi est- ce si important... La...
La politique produit (1)
2009 2
2009 3
Comprendre le consommateur pourquoi est-ce si important...
La segmentation
La cible
Le positionnement
Les différentes dimensions du produit
Cycle de vie, portefeuille et gamme
2009 4
Du marché au segment
Le marché est composé de
plusieurs segments
Comment satisfaire l’ensemble des segments ?
2009 5
Segmentation, cible et positionnement
POURQUOI LA SEGMENTATION ?
Hétérogénéité des marchés
Orientation client, one to one ou le marketing individualisé
éclatement des styles de vie, réorganisation des rôles au sein de
la famille, tribalisation, consommateur peu fidèle, émergence des
seniors
être concurrentiel ET rentable gestion optimale du portefeuille produit ou de l ’assortiment
(Evry 2 versus Parly 2) adaptation des composantes du plan marketing aux différents
segments (automobile) recherche des segments les plus rentables, abandon des
autres (PPR) différenciation (Virgin versus Fnac, Pepsi versus Coca) connaissance de la clientèle finale
2009 6
SEGMENTATIONL’arme stratégique d’aujourd’hui
Répondre aux attentes des clients mieux que ne le font les concurrents
avantage concurrentiel = segment pertinentLe « Pâtes food » de Paul Vignau
Mac Do, Pizza
Exploiter de nouvelles opportunités de marché déceler de nouvelles opportunités
Hôtels = espaces dédiés aux femmes seules
Concentrer ses forces pour mieux optimiser ses dépenses marketing
Clients actifs versus clients inactifs (CRM)
Mauvaise segmentation : produit substituable donc cannibalisation
2009 7
Les différents types de segmentation
Niveau desegmentation
Caractéristiques
Contre-segmentation Hôtels Formule 1Gamme simplifiée, produits peudifférenciés, clientèlestandardisée
Macro-segmentation Hôtels à étoileOffre différenciée adaptée àchaque segment
Segmentation de niche Hôtels luxueuxSegments détectés très étroits,efforts marketing concentrés
Micro ou hyper-segmentation
PalacesMarketing individualisé ou oneto one, un produit=un client
2009 8
La démarche de Segmentation
L ’approche du marché
Définition du marché à atteindre
Analyse qualitative et quantitative de la demande
Les procédures de segmentation
Définition des unités (individus, entreprises)
définition et choix des critères de segmentation
Ciblage et implications stratégiques
Choix des cibles
Définition d’une stratégie marketing
Choix et adaptation des actions de marketing opérationnel
2009 9
L ’approche du marché
Besoin des clients
Compétences-clés et distinctivesde l’entreprise
Ressources de ses partenaires
Contrainteset caractéristiques de l ’environnement
2009 10
L’approche du marchéLes compétences-clés et distinctives de
l’entreprise
Compétence-clé (essentiellement technique) Elle contribue fortement aux avantages du produit aux yeux
des clients (Toyota Prius, moteur hybride) Elle a de nombreuses applications (aide à sa notoriété,
fidélise…) Elle est difficile à imiter par la concurrence (pas de Me-Too
possible à moins d ’un fort investissement de la part des concurrents notamment au niveau communication)
Compétence distinctive aptitude managériale plus vaste (Hippopotamus et sa
politique de CRM..., Dell)
2009 11
L’approche du marché Contraintes et caractéristiques
de l ’environnement, Analyse externe
L ’analyse Swot : forces, faiblesses, opportunités et menaces (Strenghts, Weaknesses, Opportunities, Threats)
Analyse externeOpportunité (phénomène externe pouvant avoir une influence
favorable sur l’activité ou la rentabilité ) Vieillissement de la population (restauration sociale) Mondialisation des habitudes alimentaires Internet (nouveau circuit de vente possible pour le tourisme /
réservations)Menaces (problème posé par une tendance défavorable ou une
perturbation de l’environnement) Récession économique Modification de la législation (tabac et restaurants)
2009 12
L ’approche du marché Contraintes et caractéristiques
de l ’environnement, Analyse interne
Performance I mportanceTrèsbonne
bonne moyenne faible Elevée Moyenne Faible
MARKETINGNotoriété
PDM
Satisfaction client…
FINANCECash flow
Structure du capital
PRODUCTION
RESSOURCESHUMAINES
2009 13
L’approche du marchéAnalyse qualitative et quantitative de
la demande, les besoins des clients
LA CONNAISSANCE DE LA DEMANDEETUDES DOCUMENTAIRES ET QUALITATIVES
RECHERCHE DOCUMENTAIRE ENTRETIENS DE GROUPES REUNIONS CONSOMMATEURS
- CERNER LES BESOINS, LES MOTIVATIONS, LES FREINS A L ’ACHAT, LES HABITUDES DE CONSOMMATION
- PROFIL DU CONSOMMATEUR (âge, sexe, habitat, niveau de vie, CSP)
- RELATION DU CONSOMMATEUR AVEC SON PRODUIT : notoriété, image de marque, modes d ’utilisation, degré de satisfaction
ETUDES QUANTITATIVES CONFIRMATION AUPRES D ’UN ECHANTILLON REPRESENTATIF DE LA
POPULATION VISEE
2009 14
L’approche du marchéressources des partenaires
Les alliances stratégiques : elles renforcent ou complètent les ressources ou compétences de l’entreprise
Alliances produit ou service Brioche Dorée travaille avec Sodexho et Compass
Stratégie de développement de franchiseEsprit de France et ses partenaires culturels (Château de
Versailles, de Vaux…) Alliances de communication
MacDonalds et les goodies Disney Alliances logistiques
Participation minoritaire de MacDonald dans la sandwicherie britannique Prêt à Manger
Aide à l’implantation sur le marché britannique (Rachat d ’Aroma) Alliances tarifaires
hôtels et loueurs de voitureCinéma et restaurantChateaux et Hôtels de France / Europcar/American Express
Site Internet
2009 15
LES PROCEDURES DE SEGMENTATION
Définition des unités Business to Business Business to Consumer
Business to Consumer, les critères de segmentationpar circuit de distributionpar segment de produitpar segment de clientèle
par circuit de distribution Restauration d’hôtel Para Restauration (stations
services, GMS, Charcutiers Traiteurs)
Restauration indépendante Restauration de gare, TGV...par segments de produit
Sandwicherie, Pizza, Fast Food
Question : comment trouver des groupes homogènes ?
2009 16
LA SEGMENTATION PAR SEGMENT DE CLIENTELE
Les critères sociodémographiques
Les critères de personnalité et de style de vie
Les critères comportementaux
Les critères d’avantages recherchés
Wakodoo : de l’aliment pour bébé à l’aliment pour senior
Les plats cuisinés une personne
DASANI, l’eau purifiée de Coca scandale en Europe, succès aux USA
Les critères sociodémographiques et culturels
2009 17
Segmentation Whirlpool Styles de vie
Les superwomen (18%): tiennent à la perfection en toute chose: leur travail, leurs enfants, leur personne, leur maison.
Les expérimentales (19%): adorent l’innovation et le changement; très peu fidèles aux marques, elles considèrent la nouveauté en soi comme une motivation d’achat.
Les mamans confiture (16%): vivant plutôt dans les régions rurales, elles conservent dans leurs congélateurs les fraises et les haricots de leur jardin.
Les anti-surgelés (8%): traditionalistes, elles mettent un point d’honneur à acheter tous les jours des produits frais au marché
Les mères au foyer (28%):mères traditionnelles, leur mari et leurs enfants passent avant tout; dans leurs achats elles recherchent systématiquement le bon rapport qualité/prix.
Les décontractées (11%): filles de mères au foyer, elles en partagent certaines valeurs mais accordent plus d’importance à leur bien-être personnel. Plutôt que de suivre la mode, elles cherchent leur propre style.
2009 18
LA SEGMENTATION PAR SEGMENT DE CLIENTELE
Les critères comportementaux
Statut d’utilisateur, fidélité
transformer des non acheteurs en acheteurs : invitation opérations de
RP / consommation restaurant
Perrier et le lancement des Fluos auprès des jeunes
En fonction des quantités consommées
Air France et les miles
Récence, montant, fréquence : la segmentation RFM
2009 19
LA SEGMENTATION PAR SEGMENT DE CLIENTELE
L’analyse RFM
S 1 N ouveauxA ncienneté < 12 m ois
S 2 InactifsR écence > 36 m ois
S 3 O R S 3 A rgen t
S 4F réquence< une fois tous les ans
S 5F réquence
en tre une fois tous les anset une fois et dem i pa r an
S 6F réquence
> une fois pa r an
S 3 B ronze
S 2 A ctifsR écence < 36 m ois
S 2 A ncienneté > 12 m ois ou p lus
C LIE N TS
Récence
Montant
FREQUENCE
2009 20
UNE BONNE SEGMENTATION
Les segments doivent traduire des attitudes et des comportements différents
être mesurables
être atteignables
être substantiels (c ’est à dire suffisamment importants en terme de CA pour justifier une politique marketing différenciée)
2009 21
LE POSITIONNEMENT
Question : quelles caractéristiques distinctives souhaitons nous voir attribuer à notre produit par le public?
L’eau légende : Quézac L’eau terroir : Salvetat L’eau plaisir : Perrier L’eau de table : Badoit
Atouts potentiels du produit
Positionnement des produits concurrents
Attentes du public
LE TRIANGLE D’OR DU POSITIONNEMENT
2009 22
MAPPING POSITIONNEMENT DES MARQUES D ’EAU
Santé
Source
Plaisir
Table
Eau Médicament
Eau Beauté
Eau dynamisante
Eau du bien manger
Eau plaisirEau terroir
Eau jeunesse
Eau légende
Eau brute
Arvie
Hépar
Evian
Quézac
Valvert
Volvic
PerrierSalvetat
Badoit
San Pellegrino
Vittel
St Yorre
Contrex
Célestin
2009 23
Les axes possibles de différenciation
Le positionnement sur lesattributs et lesperformances du produit
Fauchon
Le positionnement surl’imaginaire du produit
Buffalo grill et lesgrands espaces
Le positionnement sur despublics cibles spécifiques
Mac Donald et lesenfants
Le positionnement sur unmode de consommation
Brioche dorée, Pommede Pain…Pizza Hut
La politique produit (2)
2009 25
ELABORER UNE NOUVELLE OFFRE PRODUIT
Les différentes dimensions d’un produit et les tests produits
Cycles de vie des produits, prévisions de vente, équilibre de la gamme
Stratégies prix
2009 26
Un produit est une offre présentée sur un marché qu ’elle soit un
service ou un bien tangible ou intangible
Ceci est une voiture Ceci est un leasing
2009 27
LES DIFFERENTES DIMENSIONS DU PRODUIT
ConceptMarketing
Formule
Performances
Packaging
Services associés
Marque
Avantage produit
2009 28
Concept Marketing Idée de mobilité : La Smart
Formule produit Lessive écologique : les noix
de lavage et la saponine
Performances produit simplicité d’utilisation autres / promesse produit
AVANTAGE PIONNIER
2009 29
Travailler sur un concept produitIdée produit: une texture différente
Cible:
consommateurs et prescripteurs les enfants de 6 à 12 ans
acheteurs: les mères d’enfants de 6-12 ans
Segmentation et analyse force/faiblesse/opportunités/menaces du marché des bonbons et de la marque Haribo
Positionnement: colorants d’origine naturelle, trois textures
Moteurs: Le produit: trois parfums dans un même bonbon, nouvelle texture
TRIBU
2009 30
AVANTAGE PRODUIT
DISTINCTIF
REPONDRE A UNE ATTENTE (*)
FACILEMENT COMMUNICABLESANS AUGMENTATION MAJEURE
DU PRIX DE VENTE
DURABLE
2009 31
Tiré de Direct PANEL
Béta-tests
2009 32
2009 33
PACKAGING
Fonctions techniquesprotection et conservation
du produitcommodité d’utilisation
transport, stockagerangement et élimination
protection de l ’environnement
Fonctions de communicationImpact visuel (alerte)
Reconnaissance / IdentificationExpression du positionnementInformation du consommateur
Impulsion à l’achat
2009 34
2009 35
Le rouge est mis ! Le bouchon rouge est là pour capter l’attention insister sur la notion d’énergie induite dans la marque. Et puis, le rouge n’est plus banni du secteur des eaux minérales après le coup spectaculaire de la Badoit Rouge...
2009 36
2009 37
Les kawaï Les personnages que nos amis japonais pourraient qualifier de « kawaï », « trop mignons ». Ce sont généralement des bébés animaux qui, bien que souvent sauvages (ours, dragons, dinosaures, félins), sont transformés en symboles de douceur et/ou de pureté
Projection valorisante et idéalisée de l’enfant bébé, ils sont bien évidemment à privilégier pour séduire les mères et les plus jeunes enfants. Exemple : l’ourson bleu Nestlé, Danonino de Danone, le personnage Qoo créé par Coca-Cola au Japon, ...
2009 38
Les packagings animés Les personnages prennent vie sous la forme du produit ou de son packaging, le plus souvent grâce à l’apparition d’une bouche et de 2 yeux. Les plus jeunes enfants jusqu’à environ 6 ans restent très sensibles aux caractéristiques et attributs physiques du produit : d’où le fameux « je t’aime, je te mange ». Exemple : les fromages Kidiboo, les compotes Pom’Potes, le Kinderino, les Vitalitos de Vittel, la gamme Tesco Kids, Natchan de Suntory ...
2009 39
Les héros Les « héros » aux aptitudes physiques, mentales et morales exceptionnelles. Véritables mentors et modèles « aspirationnels », ils sont susceptibles d’attirer des enfants de 4 à 12 ans selon l’univers imaginaire qui leur est associé . Exemple : Prince de Lu et son univers onirique permettront de cibler essentiellement les 4-8 ans alors que le tigre Tony des Kellogg’s Frosties recrutera les pré-ados voire, les ados grâce à son univers lié au sport.
2009 40
Ici, matin = jauneet jaune = chaleur, gaîté et impact
Décomposer l’image du facing (logo, illustration produit, icônes diverses, fond)
Le matin évoqué par un metsPour susciter appétit
Le villageTradition + nostalgie+ réconfort
2009 41
Qui a dit que le bar code était un mal obligé et qu’il fallait donc le caser au dos des emballages avec d’autres mentions légales ?
2009 42
2009 43
SERVICES ASSOCIES
2009 44
MARQUE ET DIFFERENCIATION
Définition : Une marque est un nom,
un terme, un signe, un symbole, un dessin ou toute combinaison de ces éléments servant à identifier les biens ou services d’un vendeur ou d ’un groupe de vendeurs et à les différencier des concurrents (Marketing Management, 12 ième édition)
2009 45
MARQUE ET DIFFERENCIATION
Un ensemble d’attributs LV : cher, luxueux, mode
Un ensemble d’avantages ou bénéfices clients avantages fonctionnels ou émotionnels
Bouygues, qualité
Un ensemble de valeurs Danone
Une culture Mercedes = marque allemande
Une personnalité personnalité marque et personnalité consommateur
2009 46
LE CAPITAL MARQUE
Le capital d ’une marque est la valeur apportée par la marque aux produits et services qu ’elle couvre
Actif intangible qui confère une valeur psychologique et financière à l ’entreprise
Créer des objets magnifiques qui
changent la vie des gens
Steve Jobs, PDG d ’APPLE
2009 47
CE QUE PERMET LE CAPITAL MARQUE
Aveugle Dénommé
Préfère Pepsi 51% 23%
Préfère Coca-Cola 44% 65%
Indifférent 5% 12%
Choix des colas dans des tests aveugles et nominatifs
2009 48
LA GESTION DU PORTEFEUILLE DE MARQUES
Le portefeuille de marques est l’ensemble des marques qu ’une entreprise donnée commercialise dans une catégorie de produits
LU - disparitionPrinceTaillefinePetit Ecolier
Grand nombre de marques = verrouillage du marchéProcter & Gamble : 30% du marché des lessives
Ariel, Gama, Dash, Vizir, Bonux
Réduire son portefeuille = réduire les coûtsDanone a supprimé l’Alsacienne au profit de Belin (économie 12
Millions d ’euro/AN)
Réduire son portefeuille = perdre des PDMFusion Arthur Martin-Electrolux
2009 49
2009 50
Personnalisation
2009 51Synergie
2009 52Associations de marque, co-branding
Laurent Perrier- Baccarat
2009 53
RENFORCER ET REVITALISER UNE MARQUE
Renforcer une marque améliorer ses performances marketing
Burberry ’s 7 ième au Palmarès Ipsos Presse 2004 13, 86 (impact x agrément)
Fauchon
2009 54
FAUCHON ACCÉLÈRE SA CROISSANCE SUR LE MARCHÉ DE LA RÉCEPTION
Un axe de conquête prioritaire en 2009 : la Réception
FAUCHON présente ce vendredi 20 mars sa nouvelle ligne FAUCHON RÉCEPTIONS.
2009 55
Revitaliser une marque réussir son « repositionnement » sur un marché en mutation
Mixa Bébé de l’Oréal 3 lancements de produits : Mixa soins intensifs peaux sèches (stick, crème
pour les mains, lait pour le corps) En un an deuxième place du marché derrière Nivéa
Vente de Findus par Nestlé à Equity en 2000 clause de non concurrence sur les plats cuisinés surgelés (3 ans) Rachat par Capvest en 2006 développement de nouveaux produits : poissons panés déjà enduits d’huile,
légumes Wok retour sur les plats cuisinés (41% des consommateurs l’ont encore à l ’esprit )
avec formats familiaux et barquettes micro-onde (étude ethnographique)
2004 - Lancement de la barquette micro-ondable en plat cuisiné.
2005 - Lancement Sachet Micro-ondable.
2009 56
AVANTAGES ET RISQUES DE L ’EXTENSION DE MARQUE
Le cas Ralph Lauren
Etude réalisée par McKinsey sur le levier de la marque Lauren (1999)
Évaluer la réceptivité des consommateurs à l ’extension de marque
La marque serait elle aussi performante que les marques présentes sur les secteurs visés ?
Oui pour les vêtements de sport (73%) Oui pour les costumes (71%)
Non pour l ’ameublement (22%)
2009 57
ILLUSTRATIONSGESTION DE MARQUE
Danone et son programme relationnel
2009 58
CONFISERIE
CARAMBAR
Sauces
Maille
Amora
Plats cuisinés
Marie
Bières
Kronenbourg
Pâtes
Panzani
Hors alimentaire
EmballagesLégitimité santé
faible ou nulle
Alimentation infantile
BLEDINA
Biscuits
LU
Légitimité santé forte
Produits
laitiers
frais
Danone
Eaux
Evian
Volvic
Cœur de légitimité
santé
Source : thebrandcity
2009 59
Volvic, Evian, Badoit, Taillefine, Salvetat
Actimel, Yoghourt nature, Velouté, Activia, Dany, Jockey, Gervita, Bulle de Yaourt, Taillefine, Danette, Danacol, Fjord, Recette
crémeuse de fruit
Nutrition médicale, Nutrimel
2009 60
Le papier se décline en deux supports, un guide annuel et un consumer mag tri annuel. Les deux sont envoyés par mailing sous la bannière "Danone et Vous", mais avec des
positionnements bien différents.
Le guide, expert
Le consumer mag, les coulisses du métier
Danone et vous
Une marque relationnelle pour une vision à 360° du consommateur
2009 61
Nourrir le CRM
Le bingodes marques
Base de données relationnelles9 milions de foyers
16% de foyers activés, foyers avec enfants = foyers Joyeux
Comparaison base Secodip
2009 62
2009 63
AFFRONTER LES MARQUES DISTRIBUTEURS
Augmenter la publicité et la promotion des ventes Influence sur le prix
Se différencier par la RD Danone et son yoghourt anti-cholestérol
Commercialiser une partie de leur production sous marque MDD
2009 64
AVANTAGES ET RISQUES DE L ’EXTENSION DE MARQUE
Utiliser une marque qui a fait ses preuves pour lancer un produit appartenant à une nouvelle catégorie
Effet de levier : fait de s ’appuyer sur la marque initiale pour exploiter d ’autres opportunités
Virgin Bic
Soda StylosParfum
Transports aériens Briquets CollantsServices financiers Rasoirs
Points communs : aspect AUCUN ludique de la marque
2009 65
LES FORCES DE LA MARQUE PAR INTERBRAND
LE LEADERSHIP(25%)LA STABILITE (15%)
LE MARCHE (10%)
LA PORTEE GEOGRAPHIQUE
(25%)
LA TENDANCE (10%)
LE SOUTIEN MARKETING
(10%)LA PROTECTION (5%)
Capacitéà traverser les frontières
géographiques et culturelles
Tx de croissanceMarché potentiel
Barrières à l’entrée
Marque déposéelogos
Brevets
Montantdes dépenses
MarketingQualité de la
communication
Capacitéà rester moderne
2009 66
INTERBRAND ET LA VALEUR FINANCIERE DES MARQUES
Les gains de la marque
La force de la marque
VALEUR
FINANCIERE
DE LA MARQUE
Score X Taux
d ’actualisation =
Coefficient multiplicateur des gains de la
marque
2009 67
GE
2009 68
L ’EVALUATION DU CAPITAL MARQUELA GRILLE D ’ANALYSE BAV (brand
asset valuator) de Young and Rubicam
05
101520253035404550
Marque en développement
DPEC
0
5
10
15
20
25
30
Marque Leader
DPEC
0
5
10
15
20
25
30
35
40
Nouvelle marque
DPEC
0
5
10
15
20
25
30
35
40
Marque en déclin
DPEC
Stature de la marque (estime et connaissance)
Forc
e d
e la m
arq
ue (
diff
ére
ncia
tion
et
pert
inen
ce)
2009 69
LE CAPITAL MARQUE EN FONCTION DES MARCHES
Marché Marque Autres actifsincorporels
Actifs corporels Total
Produits de luxe 70 5 25 100
Produitsalimentaires etboissons
55 5 40 100
Servicesfinanciers
30 50 20 100
Automobile 30 20 50 100
Technologies del’information
20 50 30 100
Commerce dedétail
15 15 70 100
Produitspharmaceutiques
10 50 40 100
Produitsindustriels
5 25 70 100
Services publics 0 30 70 100
Source INTERBRAND
2009 70
EVALUER SA MARQUE
OUTILS D ’EVALUATION DE LA MARQUE VIA LES ETUDES
QUALITATIVES
2009 71
L'approche TRI*M (Measuring, Managing, Monitoring), développée par TNS Sofres et étalonnée à l'échelle internationale, constituera un apport précieux pour gérer votre atout réputation.
TRI*M complète vos mesures d'image habituelles, pour évaluer en profondeur la qualité et les leviers de votre réputation
Notre expérience des problématiques d'image corporate montre qu'il est réducteur d'évaluer la réputation à partir d'un simple
score de « bonnes opinions ». Pour bien approcher la qualité de la réputation d'une entreprise, il faut combiner différentes
dimensions : la réputation d'ensemble qui vous est prêtée, votre crédit de compétence et de réussite, votre capital affectif : notre
indice TRI*M intègre ces différentes dimensions
2009 72
Une vision panoramique de vos différents stakeholders
Le TRI*M Corporate Reputation Radar permet
d'étalonner votre réputation sur vos différents stakeholders :
collaborateurs potentiels, grand public, journalistes, investisseurs,
et tout public qui vous intéresse...Ainsi est-il facile
d'identifier les cibles à risque, qu'il faut travailler plus
particulièrementSur ce graphique, la réputation corporate auprès
du grand public, des investisseurs et des journalistes est bien meilleure qu'auprès des
clients et collaborateurs potentiels.
2009 73
La Grille TRI*M permet de visualiser clairement les réponses à trois questions fondamentales :
1. À quels aspects les stakeholders se disent-ils
sensibles (importance déclarée) ?
2. Comment votre entreprise se positionne-t-elle (symboles) ?
3. Quels aspects influent réellement sur votre réputation
(importance calculée) ?
Dans cet exemple, cette entreprise est bien notée sur les critères « orientation clients » et « leadership » qui constituent des leviers stratégiques pour sa réputation.
2009 74
Lancement, croissance, maturité, déclin
CYCLE DE VIE DES PRODUITS
PROFIT
LancementCroissance Maturité
Déclin
VENTES
2009 75
CYCLE DE VIE DES PRODUITS
modes Gadgets
Séquence
à double cycle
Cycle
Croissance
Déclin
Stabilisation
Cycle
à
rebondissement
2009 76
CYCLE DE VIE PRODUIT ET MARCHE
Le cycle de vie des produits à résurrection
1970renouveau de la moto (cf. Japon)
Shake out
Marché en croissance
molle
guerre des prix
disparition de la majorité des
acteurs
reconstruction
2009 77
CYCLE DE VIE PRODUIT ET MARCHE
Marché up produit down
Appareils photo numérique
Appareils photo
numérique Polaroid
Ventes de Marlboro
light
Marché down
Produit up
Marché des cigarettes
2009 78
PROFIT
Lancement Croissance Maturité Déclin
VENTES
Créer la
notoriété
favoriser l ’essai
Ventes faibles
coûts unitaires
élevés
Clientèle
innovateurs
Construireune forte part de marché
Accroître leprofit en
maintenantla part de marché
Réduire les dépenses et
récolter
Adopteursprécoces Majorité Traditionnelle
Ventes
croissantes
coût unitaire moyen
Ventes maximalescoût unitaire
faible
Ventes déclinantes
coût unitaire faible
2009 79
LES 5 CATEGORIES D ’ACHETEUR DEFINIES PAR ROGERS
16%
retardataires
34%
Majorité tardive
34%
Majorité précoce
13,5
Adopteur précoce
2,5%
Innovateurs
Les innovateurs : plus jeunes, niveau supérieur de revenus, CSP
élevée, mobilité sociale, s ’identifient comme des pionniers, reçoivent plus
d ’informations, leaders d ’opinion
2009 80
LE PORTEFEUILLE DE PRODUITS
Les produits peuvent être regroupés en Ligne : se complètent et se substituent
Ligne produits d’apéritif Balhsen (cacahuètes, Minipizzas)
Gamme : regroupement de lignes autour d’une technologied’un marché (automobiles utilitaires/ personnels)d’un contexte de consommation (snacking)
Largeur : nombre de lignes de produits
Profondeur : nombre de
produits offerts dans chaque ligne
Nombretotal
d ’articles qui la composent
Gamme
2009 81
EQUILIBRE DE LA GAMME
Produits/ caractéristiques
Objectifs Exemple
Produit d’appel Prix bas
Faire venir et vendre un autre produit
Yaourts sucrés nature Offres Promotionnelles
Produit d’entrée de gamme Bonne qualité, prix bas
Faire effectuer un premier achat de la marque
Mercedes Classe A, Premiers prix des grandes marques
Produit de haut de gamme (forte valeur ajoutée)
Donner une image valorisante de la marque
Samsung, Téléviseurs 16/9
Produit de cœur de gamme (forte notoriété, fortes ventes)
Générer du CA et de la marge
Coca Cola Classique
Produit Périphérique Profiter de l’impulsion donnée par le cœur de gamme
Prince de Lait
Produit Tactique Gêner la concurrence, prendre de la place en linéaire
Multiples variétés d’une lessive
2009 82
GAMME ET CHIFFRE D ’AFFAIRES
% cumulés
du chiffre d ’affaires
% cumulé du nombre de produits
classés par ordre
décroissant d ’importance
20%
80%
100%
100%
Règle des 80/20
vieux produits
produits prometteurs
A compléter
Rentabilité produit (star, dilemme, vache à lait, poids mort)
Age des produits
2009 83
Part de marché relative
Vaches à lait
Poids mort
Stars Dilemmes
TAUX DE CROISSANCE DU MARCHE
Matrice du BCG Modèle McKinsey
+ -
+
-
Faibles Moyens Forts
Atouts de l ’entreprise
Attraits du
marché
Fort
Moyen
Faible
2009 84
GESTION DE LA GAMMESTRATEGIE DE RENOUVELLEMENT DES
PRODUITS
Ancien
produit
Nouveau
produit
La mauvaise
Nombreux clients passés à la concurrence
La bonne
Nouveau
produit
Ancien
produit
Cannibalisation
volontaire
2009 85
LES STRATEGIES DE PRIX ET DE COMMUNICATION EN PHASE DE
LANCEMENT
PRIX
FAIBLE ELEVE
FORTE
FAIBLE
COMMUNICATION
PENETRATION
RAPIDE
PENETRATION
PROGRESSIVE
ECREMAGE
RAPIDE
ECREMAGE
PROGRESSIF
2009 86
STRATEGIES MARKETING EN PHASE DE LANCEMENT
Stratégie de pénétration rapide
Bas prix, communication élevée, forte concurrence, acheteurs sensibles aux prix
Stratégie d’écrémage rapide Prix élevé, communication importante, préférence pour la marque, clients impliqués, prêts à payer le prix fort
Stratégie de pénétration progressive
Bas prix, peu de communication, marché vaste, acheteurs sensibles au prix
Stratégie d’écrémage progressif
Prix élevé, peu de communication, marché étroit, peu de concurrence
2009 87
PHASE DE DEVELOPPEMENT
Facteurs clé de succès maîtrise de la commercialisation faire connaître et apprécier la marque
2009 88
PHASES DE MATURITE ET DECLIN
Réduction des coûts
Réduction des prix
Nouveaux entrants
Acheteurs sont des suiveurs
Volumes gagnés au détriment de la concurrence
PDM réduits
Concentration du marché
Gestion d ’un marché de maturité
Évolution lente des PDM
Maturité Déclin
Capacitésà produire de
grandes quantités
Réduction des coûts
Rentabilité de l ’activité