La Physique Des Abductions

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Document sur les enlèvements extraterrestres.Travaux de Corrado MalangaSECRET D'ETATS ENCORE EN 2015.Voir:http://www.divulgation.fr

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  • LA PHYSIQUE DES ABDUCTION

    Corrado Malanga26 Octobre 2007

    la lumire de ce que les tmoins des abduction disent avoir vu, nous pouvons finalement dvelopper une thorie qui embrasse toute la physique actuelle. Les enlevs sont en effet de simples observateurs, qui rapportent les sensations physiques prouves pendant une abduction.Je me servirai donc de ces sensations et observations visuelles, auditives et kinesthsiques pour vrifier si la thorie propose jusque l (l'Univers holographique de Bohm) nous permet, d'un cot, de comprendre de quelle faon ont lieu les enlvements et de l'autre, de dcrire correctement l'Univers, tant dans sa partie holographique tant dans celle relle.Il va de soi que nous devons accepter les tmoignages des enlevs comme tant vrais et non pas les considrer comme des interprtations errones d'vnement plutt diffrents, comme font au contraire la science actuelle et les ufologues d'tat. D'aprs eux, la fausse interprtation serait due une falsification, volontaire ou involontaire, dtermine par une manie de thtralisme ou par une absence de qualits pr-requises qui ne font pas bien comprendre aux tmoins ce qui s'est rellement vrifi: nous avons compris il y a longtemps que les vritables maniaques de thtralit sont justement les ufologues et que les phnomnes d'abduction sont tout fait rels.La science officielle, manuvr par les gouvernements, qui depuis toujours font du chantage aux chercheurs en promettant des fonds pour les recherches ceux qui (politiquement correct) auront un bon comportement d'aprs leurs paramtres et qui est suffoqu par l'paisseur d'esprit de ceux qui ont russi leur carrire universitaire grce aux habituels concours truqus, en ce cas spcifique nous aidera, en nous fournissant des formules mathmatiques et des thories en mesure de nous expliquer ce qui se passe pendant une abduction. Vous avez bien compris: il ne s'avrera pas ncessaire d'inventer quoi que ce soit de nouveau ou de farfelu, il suffira d'utiliser ce que la science a produit et ne veux pas utiliser.

    Les tmoignages bruts et rudes

    Il est intressant de comprendre ce qui se passe pendant une abduction, ou pour mieux dire, pendant sa phase initiale et finale, et voir si, nous pouvons obtenir partir des rcits des enlevs, des dtails qui puissent, en quelque sorte, nous mettre sur le bon chemin pour comprendre comment fonctionne la ralit virtuelle, c'est dire l'ensemble des paramtres nomms Espace, Temps et nergie: en quelques mots si nous pouvons vrifier la capacit de dcrire correctement la virtualit au moyen de formules mises disposition par les chercheurs. ce propos, voici quelques tmoignages obtenus travers les enregistrements des hypnoses rgressives.

    Tmoignage n 1

    Deux amis sont dans une boite de nuit; l'un attend dehors la porte du dgagement des toilettes tandis que l'autre va aux toilettes. Il sort aprs 25 minutes, en tat de confusion mentale. Il a, de plus, sa veste couverte d'une poudre blanche qui se rvle immdiatement tre trangement parfume. Son ami lui demande de justifier le temps pass aux toilettes, mais presque immdiatement ils retournent la piste de danse, o se trouvent un tas de gens qui s'agitent aux rythme de la musique.Quand les deux amis sortent de la boite, celui qui tait rest aux toilettes va chercher son blouson au vestiaire et dcouvre que, bizarrement, sont blouson aussi est couvert de cette poudre blanche. Une sance de PNL, active sans pravis sur le tmoin principal, rvle une ralit choquante. L'ami qui est aux toilettes est sur le point de sortir, il se tourne et ne trouve plus la porte, mais il voit une sorte

  • de passage qui n'est pas clair o, environs un mtre de terre, apparaissent les silhouettes de deux petits tres la peau fonce et sans vtements: bref, les Gris habituels qui sont dcrits en de multiples expriences d'abduction. Il est compltement paralys, en position horizontale et est pouss travers la grande piste de danse, o le peu qui reste des tres vivants semble transparent et statique . Il passe travers les murs, les tables et les personnes, qui semblent vanescentes: presque comme si elles n'taient plus l. Les deux petits Gris emmnent son corps jusqu' proximit de la porte de la boite, comme si il tait tendu sur un brancard sans roulettes, ensuite ils s'arrtent au vestiaire , o un des deux petits tres saute de l'autre cot du comptoir et prend son blouson, le jette dessus le corps de l'enlev et tous sortent travers la porte de la boite. Dehors, plus haut, il y a la lumire habituelle qui d'ici peu prlvera le trio, en l'emmenant vers le haut. Dans l'ovni l'enlev est remis en position verticale, mais avant a, les deux petits tres extraterrestres lui enlvent les chaussures, dans lesquelles il avait mis une grande quantit de talc pour pouvoir les chausser plus facilement. Le talc se renverse sur ses vtements et sur son blouson.Au retour l'enlev, toujours immobilis en position horizontale, et les deux Gris descendent de l'ovni, transports par l'habituelle lumire tractive . Ils repassent devant le vestiaire et ils se souvient qu'a ce moment le blouson qui le couvrait tombe parterre, ensuite ils traversent la boite, o les gens sont toujours immobiles, transparents et quasiment invisibles, mais en position diffrente par rapport au moment o ils taient sortis. L'enlev est reconduit aux toilettes et ce moment... tout bouge nouveau et la musique tourdissante recommence. Il ouvre la porte et il trouve ses vtements inexplicablement recouverts de talc, il regarde son ami et ne peut pas donner soi-mme aucune explication plausible: 25 minutes de notre temps se sont couls et il est totalement confus.

    Tmoignage n 2

    Sous hypnose l'enlev raconte qu'il est dans le train qui va Padoue pour aller rendre visite un ami: il est parti de Rome et n'est pas encore arriv Florence. un moment donn l'ordinateur portable sur lequel il est en train de travailler dans son compartiment vide se bloque. Tout le reste aussi se bloque: tout est fig. Le train n'avance pas: pourtant il n'a pas frein. Il est tout simplement immobile. Un flanc du wagon devient transparent et il voit deux Gris qui arrivent presque en volant et qui rentrent dans son compartiment, o tout est immobile. Il est prlev et il lvite hors du train. Il aperoit en haut l'habituel ovni, dans lequel il est sur le point de rentrer et il a mme le temps de voir, en bas, son train qui est arrt devant un tunnel qu'il allait emprunter. Quand, aprs un temps non mesurable, il est ramen du haut vers le train, celui-ci est toujours immobile, mais la scne est au ralenti. L'enlev est replac dans son compartiment et les deux Gris s'loignent du mme cot d'o ils taient venus, en passant au travers les lanires du wagon. Il s'aperoit que son ordinateur est tomb parterre et que, en face de lui sur la gauche, est assis un autre passager qui n'tait pas l avant et qui maintenant est en train de dormir.Soudainement le train redmarre, les bruits et les vibrations recommencent, le contrleur passe et il court derrire ce dernier encore confus et lui demande: combien de temps il faut encore pour Florence? Le contrleur le regarde un peu perplexe et lui rpond qu'ils ont dj quitt Bologne et ils arriveront bientt Padoue. la gare l'tat de confusion mentale de l'enlev sera peru aussi par son ami, qui me donnera aussi son tmoignage ce propos. L'ordinateur portable, par contre, ne fonctionnera jamais plus.

    Tmoignage n 3

    Avec la technique de l' ancrage , active par mail, sans mme ma prsence, une dame se souvient d'une exprience qui lui laissera un traumatisme et qui remonte son adolescence, quand, elle tait la mer avec son pre et sa mre et elle allait se noyer, mais son maillot de bain restera sec, et son pre s'tait jet de la plage vers elle pour la sauver, ensuite il s'tait fch avec le matre-nageur et les passants parce que ils n'avaient rien fait pour sauver la pauvre enfant. Finalement ils taient

  • rentrs chez eux sans chercher d'autres explications. Sa mre aussi avait un vague souvenir de ce qui s'tait pass, trs confus et qui discordait avec le peu que la fille se souvenait. L' ancrage lui permettra de revivre une scne compltement diffrente par rapport ses souvenirs: elle est dans l'eau quand tout se bloque. Elle ne respire pas l'eau et celle-ci ne rentre pas dans ses poumons, mais elle voit de toute manire la mer bouillir comme si une chose trs lumineuse venait d'en bas . elle a l'impression de se trouver dans une bulle transparente, sans tre contact avec l'eau de la mer. Elle revit la situation du haut et, bien que de faon confuse, elle aperoit qu'en haut il y a quelque chose qui la tire dedans. Quand elle redescend, tout est immobile: les passants et le pre, qui est entrain de courir vers sa fille, sont bloqus comme dans une photo en 3D. On n'entend pas un bruit. Son pre un moment donn la prend par la main et tout recommence bouger nouveau. L'abduction durera beaucoup, mais pour tous, sur la plage, le temps semble s'tre arrt trangement.

    Tmoignage n 4

    Une dame, qui tait sortie dans son jardin un soir, aperoit derrire un arbre quelqu'un qui lui pointe un pistolet dessus et lui tire une balle. Elle croit avoir subi un attentat, elle rentre chez elle, mais son mari, contrairement sa fille, n'a rien entendu et se moque d'elle.Sous hypnose profonde la femme raconte que derrire l'arbre il y a une crature extraterrestre trs grande, qui ressemble un serpent debout, avec des bras, des jambes et une queue, accompagn par un petit Gris. Un des deux tres pointe quelque chose contre la femme et, par celui qui pourrait ressembler un canon de pistolet, sort un cne presque transparent qui se dirige vers la femme. Le cne s'agrandit de plus en plus. La scne se droule au ralenti et quand le cne envahit la zone d'o la femme observe le phnomne, le temps s'arrte: tout s'arrte. Mme le chien, que la femme fait sortir dans le jardin avec elle, semble bloqu en l'air, probablement dans la tentative d'attaquer les agresseurs. La femme se soulve en l'air et voit sortir par la fentre sa fille, qui lvite dans le jardin en position horizontale. Le deux femmes sont amenes intrieurement un OVNI. Quand l'abduction se termine, les deux femmes sont ramenes une dans le jardin et l'autre dans sa chambre, toujours en passant par la fentre. ce moment le temps recommence s'couler, on entend nouveau les bruits du milieu, la femme ne se souvient pas ce qui s'est pass et court vers son mari. Nanmoins se sont couls au moins 40 minutes depuis que la femme a hurl la premire fois. Le mari a compltement oubli ce premier hurlement, du moment que il ne s'est rien pass depuis, et, concentr dans son travail l'ordinateur, il ne s'est pas proccup de ce qui s'est pass. La fille, au contraire, se souvient du bruit du coup de pistolet. Tous ceux qui ont particip l'vnement sont atteints par l'incertitude de leurs propres capacits cognitives.

    Tmoignage n 5

    En fin d'aprs-midi un homme rentre chez lui avec sa voiture, sur laquelle il vient peine d'installer un GPS, et il ressent soudain un coup de sommeil. Il s'arrte: il n'y a personne, ou du moins il ne voit personne passer. Il s'endort, mais quand il se rveille il remarque une chose bizarre: sa voiture, entretemps, a effectu un trange parcours qui est rest mmoris sur son GPS. La voiture a continu rouler sur cette route, elle a tourn gauche en empruntant un petite route de campagne latrale , ensuite elle est retourne en arrire et a parcouru une boucle, en retournant sur la route principale du dpart, ensuite elle continu pendant quelques kilomtres. L le tracement s'interrompt brusquement. L'ennui est que la voiture ne se trouve pas la fin du tracement mmoris par le GPS, mais au dbut, comme si elle avait t ramene en arrire dans le trajet jusqu'au moment que l'homme s'est endormi . Par contre le retour n'a pas t enregistr. Pendant une sance d'hypnose l'homme se souvient qu'il ne s'tait nullement endormi, mais un moment donn, aprs avoir pris la petite route secondaire, un OVNI plein de saurodes et de militaires italiens l'ont enlev avec violence.

  • Tmoignage n 6

    Une jeune-fille raconte un rve trange o certains tres, qui ressemblent des militaires, pntrent dans sa chambre une nuit, en entrant aisment par la porte de chez elle. Elle entame une sorte de bagarre avec ces derniers et l'un d'entre eux la charge sur son paule pendant qu'elle s'agite, rcalcitrante, en opposant rsistance. Le militaire se retourne et prend les escaliers de son appartement pour l'emmener dehors et lui fait cogner un genou contre la plainte de la porte. Le lendemain la jeune-fille se souvient de ce rve de faon trs prcise et confesse de ne pas savoir pour quelle raison, son rveil, elle se retrouve avec une abrasion au mme endroit o dans son rve elle avait cogn son genou. Elle va mme contrler la plainte de la porte de sa chambre coucher et trouve une tache de sang (probablement le sien) l'endroit o dans son rve elle avait cogn.L'analyse de l'vnement pendant une sance d'hypnose rvle, mme pour ce cas, une ralit diffrente: un moment donn la jeune-fille se rveille et entend que quelqu'un rentre par la porte de sa maison. Elle appelle sa mre, mais elle s'aperoit vite que dans l'appartement personne existe. Elle se retourne et remarque que mme dans l'aquarium qu'elle a dans sa chambre les poissons n'y sont plus. Elle est la seule personne vivante dans la maison. Des tres arrivent, qui ne sont pas des militaires mais des extraterrestres amphibiens (confronter avec: Corrado Malanga Alieni o Demoni, Chiaraluna Edizioni, PG, 2007). la suite il y a une bagarre, comme dans son rve, mais avec d'avantage de dtails qui, pour la ncessit d'tre bref, il n'est pas utile de dcrire ici. La jeune-fille, qui avait dj t soumise des sances d'hypnose et avait appris des techniques particulires de dfense, russit faire fuir les extraterrestres deux fois de suite, aprs elle s'aperoit que les poissons sont retourns dans l'aquarium et, dans un tat de demi-inconscience, retourne se coucher, contente que les mthodes de dfense qu'elle a appris fonctionnent vraiment.

    Tmoignage n 7

    Un enlev vient peine de finir d'assister l'accouchement de sa jeune pouse. L'accouchement lieu en prsence de mdecins e tout se passe en ma prsence, lointaine, pendant que j'explique au fur et mesure au mari, enlev dj libr du problme, ce qui se passe. Il est conscient du problme et est dsormais libre des interfrences extraterrestres tandis que sa femme est profondment croyante et non consciente de la ralit des vnements. Inutile de dire que tout l'accouchement se droule comme une aventure miraculeuse. Tout d'abord une malformation crbrale en proximit de la glande pinale nous prpare au pire ( la malformation disparaitra ensuite). Aprs il y a la tentative habituelle, vers le septime mois et demi, d'une naissance prmature, cela arrive frquemment aux enfants des enlevs (elle sera retarde avec une thrapie pharmaceutique), en dernier le nouage du cordon ombilical. L'accouchement est en soi une srie d'vnements miraculeux: il suffit de dire que le nouveau-n vient la lumire avec le cordon ombilical nou et que, d'aprs les mdecins, il aurait d tre mort depuis deux semaines. Mais, comme nous le savons, les extraterrestres sont d'excellents gyncologues et suivent l'accouchement de leur futur enlev mme aprs les premiers moments qui suivent la naissance, comme de nombreux tmoignages sous hypnoses m'ont permis de comprendre. Dans ce cas aussi les choses ne vont pas de faon diffrente. L'infirmire confie le nouveau-n son pre, qui doit l'emmener en ascenseur l'tage au dessous, la nursery. En sortant de l'ascenseur, toutefois, le nouveau-pre ressent des douleurs au bras gauche, o une blessure qui ressemble une brulure de cigarette apparait soudainement de faon vidente. La technique de l' ancrage, qu'il a dj appris utiliser, dvoile le mystre. Dans l'ascenseur le temps s'arrte, un passage s'ouvre travers le plafond et du haut descend l'habituel Gris, qui essaye d'arracher du bras du pre le nouveau-n. Le gniteur oppose rsistance, ou du moins il essaye, et le petit Gris, avec sa baguette qui donne une dcharge lectrique, procure une brulure importante sur le bras du gniteur, qui laisse la prise.L'ascenseur est immobile... tout est immobile... le temps ne s'coule pas... ensuite le Gris habituel revient et remet le petit dans les bras de son pre, dans l'ascenseur immobile, aprs l'avoir fait sortir

  • d'une espce de poche en plastique transparente que d'autres enlevs ont dcrit sous hypnose: il parait qu'il s'agit d'une sorte de rcipient pour nouveau-n. L'ascenseur dmarre aussitt mais, quand les portes s'ouvrent, la douleur au bras l'atteint. Tout s'est droul en quelques instants.

    Tmoignage n 8

    Une enleve sort de sa voiture pour aller faire quelques courses, elle est sur le point d'ouvrir la porte du magasin et elle ne finit pas de tourner la poigne que... elle se retrouve entre deux employes du magasin qui discutent entre elles. Les deux employes sont franchement merveills, mais... que dire? Voil son rcit, mais la vrit est que, au moment o la femme est sur le point d'ouvrir la porte du magasin, le temps se fige et pour elle commence une nime sortie non requise, en compagnie de l'extraterrestre Gris habituel.

    Tmoignage n 9

    Sur le bateau qui va Cagliari le tmoin fait un cauchemar habituel: pendant qu'elle dort dans son sac de couchage, elle se rveille (?) et voit que dans le bateau il n'y a plus personne, ensuite elle rve d'un bruit trs fort et elle croit que le bateau est entrain de voler, car (toujours dans son rve) elle voit le bateau voler vritablement. Ensuite elle rentre dans la pice habituelle avec un couloir circulaire, o un petit groupe de bonne-surs (?) marchent la queue-le-le et une femme plus grande lui dit quelque chose.En analysant son TAV (Test d'AutoEvaluation) je dduis que cet vnement peut recueillir en soi d'autres ralits et je lui apprend se servir de la mthode de l' ancrage.Le rcit qui en ressort, bien que encore avec quelques lacunes, est compltement diffrent de son rve, mais fait partie de celui-ci: la femme se rveille par un bruit terrible que produit le bateau, mais sur le bateau il n'y a plus personne. Une partie du bateau devient transparent et elle est emmene vers le haut, dans le ciel. Pendant qu'elle se trouve en cette position elle aperoit le bateau en bas, immobile, tandis que, en haut, il y a un immense vaisseau spatial mtallique qui laisse couler l'eau que la femme, dans son rve, avait interprt comme la carne du navire mme, qui tait sortit de l'eau en la laissant couler (le vaisseau extraterrestre tait sortit de la mer). Tout est immobile et, pendant que la femme se trouve dans l'ovni, il ne faut pas avoir beaucoup d'imagination pour comprendre qui sont en ralit les petites bonne-surs noires qui marchent la queue-le-le aux ordres de la femme plus grande, beaucoup plus grande, qui demande l'enleve de collaborer, malgr son refus, accomplir les choses habituelles qu'ils font aux enlevs. Au retour dans le bateau, tout se droule comme dcrit plus haut et tout est encore fig. Tout se remettra en marche, magiquement, la fin de l'abduction. Au mme moment prcis les autres passagers aussi vont rapparaitre, en confondant encore plus les capacits interprtatives de la femme par rapport ce qui s'est pass. Tout deviendra pour toujours un rve, jusqu' ce que l' ancrage commencera faire son travail.

    Le temps ne s'arrte pas, parce que il n'existe pas

    Au premier abord on pourrait croire que, pendant une abduction, le temps s'arrte de quelque faon, mais cela ne pourrait pas se produire: si le temps s'arrtait, en effet, tout serait arrt. En d'autres termes ni l'enlev ni les extraterrestres ne pourraient pas bouger non plus.De la mme faon que si c'tait l'espace qui tait bloqu, car celui-ci est li au temps et, pour ce que nous savons, la variation de l'espace produit des valeurs non nulles de temps.Comme j'ai dj soulign prcdemment, parfois le temps semble non seulement s'arrter, mais mme aller en arrire. Un enlev se rveille aprs un rve mouvement, o des petits tres l'enlvent, en l'arrachant de sa chambre coucher. Probablement il ne s'agissait pas d'un rve parce que, en se rveillant essouffl et effray, il dcouvre, en regardant l'horloge sur la table de chevet de

  • sa chambre coucher, qu'il s'est rveill avant d'aller se coucher: il s'tait couch 23:30 et, aprs un long rve , il s'tait rveill 22:30.Un autre enlev s'endort dans un avion et, quand il se rveille, il s'aperoit que dans la fuselage il n'y a personne. Il s'agite essouffl pour chercher quelqu'un, pendant que l'avion vole, mais il se rendort l'improvise, ou pour mieux dire, il ne se souvient pas de ce qui s'est pass. Quand il se rveillera, aprs les quarante minutes habituelles environ, tout sera normal autour de lui. Tout restera dans son esprit sous forme de rve. Mais est-ce t vraiment un rve?

    Essayons une premire approche

    La vision quantique de l'Univers nous permet de le reprsenter, pour le moment, avec une approximation. J'ai dj soulign, en effet, que l'espace-temps est une grille de points o sont dfinis de faon complte seuls les nuds o l'espace et le temps (mais aussi l'nergie, omise pour simplifier la vision des choses. N.d.A.) se croisent.

    L'Univers, par consquent, existerait uniquement dans ces points, tandis que au milieu il n'y aurait rien. Des points, nous pourrions dire, illumins par l'axe de la Conscience, qui, comme j'ai dj soulign depuis longtemps, se comporterait comme un projecteur d'informations qui illumine un cran de cinma. De loin, un observateur imprudent l'image projete sur l'cran et pleine d'informations semblera homogne, mais, observant attentivement l'cran avec une loupe, on s'aperoit que l'image qui se forme uniquement sur les points o existent les

    filaments du tissu de l'cran mme. Elle est inobservable dans les trous entre la trame et la chaine du tissu, l o elle n'interagit pas avec le fil. Dans l'image cot chaque cercle blanc est un point de la ralit virtuelle, tandis que le noir reprsente l'absence de ralit.En fonction de cette reprsentation, l'existence est un parcours prcis mais quantifi, obtenu en sautant d'un point blanc l'autre, comme si la ralit tait un ensemble trs dense de photogrammes et non pas une action continue. Cette vision de la ralit virtuelle nous permet d'avoir des mesures de temps et d'espace bien dfinies et de ne pas prendre en considration, entre une mesure et l'autre, une variation continue, mais plutt l'existence de valeurs diffrentes et indpendantes d'espace et de temps. Bref notre vie ne serait pas un continuum de situations, mais une srie trs longue et dense d'images statiques qui se suivent sur un imaginaire cran de cinma.

    Mais que ce passe t-il quand l'extraterrestre arrive?

    Admettons, donc, que notre existence soit descriptible comme une srie de situations assimilables autant de photogrammes d'un film projet sur le grand-cran de la ralit virtuelle.Notre cerveau examine un seul photogramme la fois. Si un observateur hypothtique, sur un petit hlicoptre, se dplaait cot de la pellicule exactement la mme vitesse, il verrait, en dessous de lui, toujours le mme photogramme, c'est dire la mme image, et il illuminerait uniquement celle-ci avec son phare, comme nous reproduisons dans les images ci-dessous.Nous verrons ensuite que c'est uniquement un aspect de ce qui arrive en ralit, mais pour l'instant il reprsente un progrs pour la comprhension de ce qui se passe pendant une abduction.L'hlicoptre ne serait rien d'autre qu'un OVNI, qui interagit avec la ralit spatio-temporelle de l'enlev, en bloquant le temps localement. Cela arriverait parce que l' OVNI se situerait sur l'axe de la ralit locale de l'enlev et interagirait, en phase, avec son temps.

  • EVENEMENT N TEMPS

    ESPACEPour l'enlev et pour l'extraterrestre le temps s'arrte, mais il ne s'arrte pas pour les autres choses animes, c'est dire celles qui sont pourvues de Conscience, qui disparaitraient de la scne perue par l'enlev.Ce serait, en gros, comme si quelque chose ait retenu les extraterrestres et l'enlev l'intrieur du photogramme 4 (Evento 4, N.d.t) de la reconstruction graphique, tandis que tous les autres objets vivants auraient avanc, rgulirement, aux photogrammes 5, 6, 7...Au dbut de l'enlvement, l'enlev est prlev du photogramme arrt. En d'autres termes l'extraterrestre bloque l'enlev et laisse avancer rgulirement les autres personnages du film. Pour obtenir ceci, il voyage dans le temps (Tempo N.d.t.) la mme vitesse que l'enlev, en obtenant l'effet du petit hlicoptre mentionn en haut qui poursuit le photogramme 4, mais son dplacement est li uniquement un axe, celui du temps. Celui qui se trouve dans le photogramme 4 et celui qui se trouve dans l'hlicoptre auront la perception que le temps ce soit arrt, comme deux voitures qui roulent cote cote le long d'une autoroute auront l'une vers l'autre l'impression d'tre immobiles, et l'extraterrestre peut interagir avec la ralit de l'enlev, qui parat immobile par rapport lui simplement parce que le paysage voyage la mme vitesse que lui: apparemment tout est immobile.Nous verrons bientt que mme les plus insignifiantes inconsquences, difficiles saisir ce niveau, seront rapidement aplanies en modifiant certains paramtres locaux.Cette description n'est rien d'autre que celle que j'ai dj propos, quand j'ai suggr l'hypothse que l'extraterrestre se dplace physiquement sur la grille holographique en bougeant uniquement dans le temps o dans l'espace. l'enlev se prsenterait justement la situation qu'il raconte, c'est dire que tout est immobile excepts lui et les extraterrestres, les seuls pouvoir se dplacer intrieurement cet espace-temps bloqu . il n'y a personne d'autre aux alentours, parce que ceux qui vivent ont avanc aux photogrammes suivants. Nous remarquons que les choses inanimes restent immobiles, tandis que ce qui est vivant peut bouger sur la grille holographique, comme soutiennent certains spcialistes de la physique de la ralit virtuelle de Bohm. Encore une fois la ralit virtuelle parat quantifie tant dans l'espace, dans le temps et dans l'nergie.

    L'introduction du concept de Conscience arrange tout

    Mme avec tout ce que je viens d'exposer jusque l , n'apparat encore pas trs clair ce que nous appelons tre vivant et qu'est-ce qui lui attribue, sur la grille holographique, le degr de libert que le restant de ce qui existe ne semble pas possder.Ceci est du l'introduction de l'axe de la Conscience: uniquement celui qui possde Conscience, c'est dire a en soi la Ralit Relle et non seulement celle virtuelle, peut tre considr comme tre vivant . le reste n'est pas vivant. Voil ma dfinition de vie : la vie est conscience. Un

  • poisson est conscience, un humain est conscience, mais pas un frigidaire, ni un ordinateur.

    Ce que nous venons d'noncer jusque ici dcrit la virtualit comme projection de la Ralit Relle, la Conscience, sur un cran de cinma qui a, comme axes, ceux de l'Espace, du Temps et de l'nergie, bien identifiables sous forme de couleurs que prennent les images. Nous verrons que le modle couleur-univers nous sera bientt trs utile; il s'agit d'une tentative de visualiser travers des images en 3D ce qui possde beaucoup plus de dimensions.C'est le moment de rgler le compte avec la virtualit, pendant que la conscience regarde, en s'amusant pour l'inutilit de la chose.

    LES DIMENSIONS DE L'UNIVERS HOLOGRAPHIQUE

    Jusqu' prsent tout l'univers virtuel a t tal sur un plan. taler sur un plan l'Univers signifie construire un filet de points, les nuds quantiques, qui constituent les lieux o la virtualit existe et reprsentent des hypothtiques photogrammes de vie. Mais ni l'espace ni le temps ni l'nergie existent, tant, d'aprs Bohm, des composants de la virtualit: Bohm soutient que l'univers est concentr en un seul point (univers non local, comme l'appellent les physiciens).Nous devrions alors nous demander quelle distance graphique existe entre un point et l'autre de la grille. Nous savons qu'entre les deux il y a le vide. Ceci signifie peut-tre que, par exemple, nous ne pouvons pas quantifier le trou spatio-temporel qui existe entre un vnement et un autre? Si c'tait le cas, nous devrions nous demander ce qui se passe entre un photogramme et un autre: l'Univers s'arrte, et avec lui nous aussi, ensuite il revit dans le photogramme suivant, mais est-ce que nous nous en apercevons?Une discussion avec un ami pourrait ainsi durer des milliards d'annes entre un photogramme et un autre sans que nous puissions nous en apercevoir? Nous nous endormirions la fin de chaque photogramme pour nous rveiller au dbut du suivant, sans avoir aucune conscience de qui existe entre les deux photogrammes? Certainement cela pourrait tre lgitime, puisque au milieu rien n'existe et la Conscience n'interagit pas avec sa propre partie virtuelle.En vrit ces questions n'ont aucun sens thorique: entre un vnement et un autre il n'y a aucun autre vnement et le fait de tracer les vnements comme des petits cercles d'une grille, placs a une distance X l'un de l'autre, est uniquement une reprsentation graphique. Mais, effectivement, si on voulait raliser une reprsentation graphique correcte, on pourrait se demander quelle est la taille de chaque petit cercle et quelle distance correcte doivent tre tracs les petits cercles sur le plan spatio-temporel. la deuxime question nous pourrions rpondre avec certaines donnes qui nous sont fournies par la physique contemporaine, utilisant les valeurs calcules par Max Planck, qui s'est pris la peine de calculer les dimensions de ce qu'il y a de plus petit et mesurable dans l'Univers.

    Quelle distance il y a entre les vnements sur le plan spatio-temporel holographique?

    cette question sans consistance nous donnons une rponse banale: n'importe quelle distance prise entre deux vnements quantifis est graphiquement valide, du moment que entre un vnement et un autre nous n'avons pas la possibilit d'tablir quoi que ce soit. Tout ceci, en termes mathmatiques, signifie une seule chose, que les vnements sont tous l'intrieur du mme point: il n'y a pas autre possibilit que de les situer tous sur le mme point.En d'autres termes taler ces points sur une surface plane est simplement une astuce qui sert l'esprit pour qu'ils soient spars et visibles simultanment comme vnements diffrents, et non pas comme un mme vnement. En effet l'esprit, si nous plaons plusieurs choses dans un mme espace tridimensionnel, considre qu'il existe une seule chose, et non pas plusieurs choses superposes. Si l'action de tracer les divers vnements cote cote le long des axes de l'espace et du

  • temps nous assure une meilleure comprhension de la diversification des vnements, celle de les placer les uns sur les autres nous fournit l'ide que Bohm possde de l'Univers non local, o tout est sur un mme point.La thorie des Super-chaines, requiert au moins 10 dimensions: les quations qui dcrivent la thorie des Super-chaines, pour lier la relativit gnrale avec la mcanique quantique, pour expliquer la nature des particules, pour unifier les forces et ainsi de suite, ont besoin d'utiliser desdimensions supplmentaires aux quatre classiques (trois spatiales et une temporelle). Ces dimensions, d'aprs les thoriciens des chaines, sont entirement enveloppes dans l'espace rid prcdemment dcrit par Kaluza et Klein. Les savants s'aperoivent maintenant qu'une des position de la physique est celle de considrer l'Univers congel et qu'ils existent trois grandes singularits, qui concident avec l'espace, le temps et l'nergie, pourvues de dimensions inusuelles, qui peuvent contenir d'autres dimensions qui incluent Hyperespaces et Univers entiers. Il s'agit d'un argument assez compliqu qui, nous le verrons, n'est pas ncessaire pour comprendre ce qui se passe en ralit sans devoir faire recours aucun calcul comme font les physiciens modernes. Pendant que Bohm tudie la physique de l'Univers Holographique, Aspect confirme la possibilit que Bohm aie raison, dcouvrant que chacun des deux photons entirement spars l'un de l'autre, des milliers d'annes lumires de distance, sait exactement ce qui arrive l'autre. Nous pouvons donner une seule explication: l'Univers n'est pas local et les deux photons en ralit coexistent au mme endroit de points. Pribram, neurophysiologiste, retient, ensuite, que notre cerveau est un lecteur d'hologrammes qui peroit l'Univers en trois dimensions, avec des lois physiques qui gouvernent la physique de l'hologramme: les jeux sont faits.

    Les dimensions de l'Univers

    Mais quelle est la taille de l'Univers? Ne croyez pas que les savants ne l'aient pas calcul, sur la base de donnes dj calcules par Planck.

    David Bohm Alain Aspect Karl Pribram

  • Si nous raisonnons comme nous avons toujours fait, nous nous trouverons face des chiffres trs grands. Par exemple notre galaxie, la Voie Lacte, a un diamtre d'environ 50 000 annes lumires, c'est dire qu'un photon, pour la parcourir entirement, mettrait cinquante mille ans.Planck, de son point de vue, calcule de faon rigoureuse la fois combien est petit le plus petit objet mesurable et combien est grand l'univers entier. Il s'agit de calculs extrmement rigoureux, et en accord avec la physique actuelle, qui nous fournissent des indications prcises. D'aprs Planck, en effet, le plus petit temps mesurable est:

    tp = (hG/2pic 5) 1/2

    O h est la constante de Planck, G est la constante de gravitation universelle et c est la vitesse de la lumire. Toujours d'aprs Planck, la plus petite longueur physiquement mesurable est:

    lp = (Gh/2pic3)1/2

    Voici les valeurs plus petites sur l'chelle spatio-temporelle, tandis que la plus petite nergie mesurable est pour Planck la suivante:

    E = h = hc/

    O reprsente la plus petite longueur d'onde mesurable, c'est dire lp.Planck indique aussi la plus petite masse mesurable, qui est:

    mp = (hc/2piG)1/2

  • En ralit il ne s'agit pas ici de la plus petite masse mesurable, mais plutt de la plus petite masse qu'un trou noir avec un rayon de Scwarzschild la longueur d'onde de Compton et une longueur effective gale la longueur de Planck pourrait avoir; non pas la plus petite chose qui existe, mais la la chose plus petite et pleine de matire.Maintenant, si nous considrons que l'Univers a un age estim de 4.3 x 1017 secondes, nous pouvons affirmer aussi que l'age de l'Univers est environ 8 1060 tp (temps de Planck).En considrant tous les paramtres, un simple calcul, accept par la physique moderne, nous permet d'affirmer que le temps de Planck vaut environ 5.391 10-44 secondes et la longueur de Planck a une valeur de 10-35 mtres.

    L'Univers dans un grain de sable

    Mais quel sens donner, d'un point de vue purement physique, par exemple au temps ou la longueur de Planck? On dit que, en dessous de ces valeurs, les objets perdent leur dfinition et ne peuvent plus tre mesurs. On a voulu donner cette interprtation des donnes un sens souvent limitatif. En d'autres termes on pense que, au del de ces limites physiques, les appareils, lis aux lois de la physique qui fournissent justement ces valeurs, ne peuvent plus aller: c'est un chat qui se mord la queue. On a dit que c'tait Dieu qui a construit l'Univers et avoir impos une sorte de

    limite aux observations humaines, justement parce que, sans cette limite, Dieu mme aurait pu tre observ. Bien que la chose vous paraitra trange, toutes ces penses ont un fond de vrit.Que veut-on dire avec la phrase que, au dessous d'une certaine, petite, valeur on ne peut plus rien mesurer? Qu'il n'y a plus rien voir, ou bien qu'ils existent des choses plus petites, mais invisibles?Si encore, pour la dernire fois, nous utilisons le plan spatio-temporel en plaant les vnements quantifis sur cette surface, nous nous apercevrons que les vnements, si ils taient l'un cot de l'autre,

    auraient une certaine dimension. Du moment que entre un vnement et un autre rien n'existe, nous serions tents de situer un vnement cot de l'autre comme plusieurs petits cercles qui se touchent. Ces petits cercles auraient la dimension dicte par Planck et ainsi nous dcouvrirons que l'Univers a exactement 8 x 1060 cercles le long de l'axe du temps et, obligatoirement, aussi le mme nombre de petits cercles le long des axes de l'nergie et de l'espace, car chaque petit cercle est caractris par les trois paramtres ensemble. En effet, si l'Univers est compos d'vnements les plus petits possible et dfinissables grce aux mesures de Planck, nous pourrions certainement les situer les uns cot des autres: de cette manire nous garantirions d'un cot le continuum spatio-temporel et de l'autre aussi la quantification mme.La physique nous indique le nombre de petits cercles, c'est dire les vnements plus petits, que nous pouvons disposer sur la grille holographique, mais elle nous indique pas comment ils sont disposs l'un cot de l'autre.Bohm, par contre, nous l'indique: les petits cercles sont tous au mme endroit, l'un superpos l'autre.Voici, en effet, la seule faon d'avoir une solution unique, et non pas une infinit de solutions, comme seraient infinies les faons de disposer les petits cercles sur un plan spatio-temporel.Tous les paradoxes qui pourraient naitre si, par exemple, les petits cercles seraient la queue-le-le, disposs n'importe quelle distance l'un de l'autre, exception faite si la distance est gale zro, tombent d'un seul coup.

  • La Conscience de l'Univers intervient

    Si le plus petit objet qui existe possde les dimensions fournies par Planck et tous les point qui forment l'Univers sont superposs, alors l'Univers mesure 10-35 mtres le long de l'axe de l'espace et environ 10-44 secondes le long de l'axe du temps. Il serait aussi bien dlimit sur l'axe de l'nergie par la constante de Planck multiplie par la vitesse de la lumire.Tout l'Univers se rduirait une petite boule o tout se trouve dedans. Mais comment concilier cette observation avec le fait que celui qui lit semble prendre plus d'espace et plus de temps?Comment nous pouvons renfermer dans une petite boule tout l'Univers que une certaine physique calcule comme immense?C'est simple: il suffit de considrer que l'espace, le temps et l'nergie sont virtuels, et non pas rels, autrement dit ils n'existent pas sinon en tant que projections de la Conscience humaine, qui, est elle aussi, produit de la cration (Conscience Cosmique).Certains pourraient cependant objecter que nous fournissons uniquement des paroles en l'air: la Conscience ne ce mesure pas! Effectivement est inhrente la dfinition mme de Conscience l'axiome qu'elle ne peut pas tre mesure ni vue, mais nous pouvons la voir indirectement travers sa cration, c'est dire avec la partie virtuelle de l'Univers.Donc, n'ayez aucune crainte. Dans la dfinition mme de Conscience existe l'axiome qu'elle ne peut pas tre mesurable. Il ne s'agit donc pas de quelque chose qui va contre les dfinitions qui entourent le problme.

    La Conscience est-elle quantifie?

    La dfinition de Conscience, du moins comme nous l'avons esquisse jusque l, semblerait pouvoir prvoir sa quantification, du moment que l'espace, le temps, et l'nergie, cres par celle-ci, le sont. L' exprience du troisime astronaute pourrait en effet tre interprte en admettant que la conscience ait deux tats, up et down, qui se succdent une certaine frquence. De cette faon un vnement pourrait tre non enregistr par un observateur, pourvu que l'vnement mme ait interagi avec lui quand il tait en tat down.Qu'est-ce qui se passe dans le modle o l'espace-temps rsulte dcrit comme un plan? La Conscience serait reprsentable comme un rayon de lumire projet, qui illumine parfois, avec une certaine frquence, tous les petits cercles du plan. Cette hypothse ne satisfait pas deux conditions qui l'entourent:

    A) L'tat de conscience up se vrifierait simultanment en tous les tres vivants, et non pas en moments diffrents (l'exprience des trois astronautes ne pourrait pas tre explique).B) La Conscience varierait son tat de up down (ne satisfaisant pas l'axiome qui l'impose comme invariant absolu).

    Donc, en faisant recours toujours au plan spatio-temporel utilis jusque l (appel LGO), nous pourrions comparer la surface celle d'un tube cathodique d'une vielle tl, o les diffrents points (pixels), sont illumins par le rayon de la Conscience un la fois, trs rapidement et avec une certaine frquence.La Conscience serait toujours allume (le rayon cathodique) et les pixel seraient up ou down en moment diffrents l'un de l'autre.Mais encore une fois nous heurtons deux conditions qui l'entourent:

    C) Il est vrai que, en effet, l'axe de la Conscience reste toujours allum, mais, en illuminant chaque pixel, elle varie quand mme sa direction sur l'cran, donc elle n'est pas invariante.D) Il n'y a aucune possibilit de survie dans un univers ou chaque pixel vit (tat up) uniquement quand les autres sont morts (tat down).

  • L'ide de l'existence de la Conscience semble paratre alors comme une chose qui nous complique la vie et nous ne fournit pas un simple systme descriptif, du moins de la partie virtuelle.Mais je ne suis pas seul soutenir l'existence d'une Conscience Universelle, ou pour mieux dire que l'Univers possde une composante de la conscience [Searle's Ontology of the Mind in the Universe: A Criticism (Daniel D. Novotny, UB Spring 2002, second version)].Le savant Stephen Hawking se pose aussi des problmes d'ordre philosophique, qu'il ne peut pas rsoudre avec la mthode scientifique, du moment que l'objet de sa recherche impose une mthode logique-philosophique.Hawking soulve principalement des questions d'ordre philosophique et thologique:

    Pourquoi l'univers est tel qu'il apparat? Pourquoi quelque chose existe, au lieu que rien? Pourquoi l'univers exige un Crateur pour expliquer son existence?

    Il s'agit de questions qui traitent de la cration et d'un Dieu Crateur.Mais partir des considrations de Hawking nait la question suivante:

    Une thorie sur chaque chose peut expliquer notre propre existence?

    Hawking ne se rend pas compte d'appeler Dieu avec le terme Conscience et l il est en parfait accord avec moi, et de plus il se place vis vis de la pense scientifique en se demandant si, travers le raisonnement et les formules, nous pouvons comprendre tout, soulevant le mme problme que je viens de soulever dans ce travail, mais si c'est moi qui le dit, je ressemble un visionnaire. Eh bien, les dtracteurs de ma pense sachent que Hawking, du moins sur ceci, est en accord avec moi, bien qu'il soit parti de prmisses totalement opposes aux miennes.Alexandre V. Boukalov, du Centre of Physical and Space Researches, International Institute of Socionics, dans un article titr Consciousness and Physical Universe publi dans Physics of Consciousness and Life, Cosmology and Astrophysics Journal, Issue 1, 2001, se demande si un univers conscient existe vraiment. Il soutient que, tant le rayon de l'Univers gal 1026 mtres, considrant que chaque cellule existante possde la longueur de Planck, 10183 cellules oprationnelles sont prsentes dans ce qu'il nomme Mta-galaxie (l'Univers. N.d.A.).

    La frquence oprationnelle de ces cellules comporte pl = 1/tpl ~ 1044.Les oprations calcules de notre Univers au niveau de Planck seraient:Z = N = 101831044~10227 par seconde.http://www.socionics.ibc.com.ua/physics/01-1/ascons.html#_ftnref1Remarquons que le nombre de cellules oprationnelles est pratiquement identique celui que j'ai calcul pour une seule dimension, du moment que (81060 tp)3 N. Ces valeurs seraient celles qu'il faudrait attribuer une Conscience Universelle, ou plus exactement les oprations que la partie virtuelle de la Conscience excuterait si nous pouvions la comparer un ordinateur.Mais partir de tout ce que nous venons de dire nous obtenons que le nombre de cellules de Boukalov n'est rien d'autre que le nombre de pices plus petites de la virtualit, qui reprsentent les briques de l'Univers et sont situes toutes en un unique point virtuel de la taille d'une petite boule constitue de plusieurs petites boules qui n'interagissent pas entre elles part certaines lois gomtriques spciales que nous verrons bientt.Revenons encore une fois au SuperSpin, avec l'hypothse d'aprs laquelle la partie virtuelle de l'Univers est caractrise par des Rotons particuliers qui, selon leur orientation dans l'espace, dans le temps et dans l'nergie, produisent des phnomnes lectriques, magntiques et gravitationnels.

  • Les Rotons du SuperSpin

    le Roton, tel qu'il est dcrit dans la thorie du SuperSpin, est un lieu de points qui appartient la virtualit, qui peut tre dcrit mathmatiquement avec une opration gomtrique de rotation. Le Roton est donc un objet qui se caractrise par un vecteur et un vecteur unitaire. En considrant l'espace-temps tal sur le plan spatio-temporel, les Rotons ne sont rien d'autre que les objets de Planck. Pour cette raison, dornavant, je les appellerai Rotons de Planck. Examinons un de ces derniers:

    Il s'agit d'une sphre caractrise par une rotation d'une frquence angulaire prcise sur chacun des trois axes. Le Roton ne reprsente pas seulement le plus petit objet de l'Univers, mais reprsente aussi tout l'Univers, du moment que ses limites contiennent tous les autres Rotons, les uns superposs aux autres et non pas l'un dans l'autre. Les divers Rotons peuvent interagir ou bien ne pas interagir, en fonction des respectives frquences angulaires de rotation.En ce modle de micro-univers sur le modle de Bohm le plan spatio-temporel de dpart s'est repli sur lui-mme jusqu' superposer tous les Rotons les uns sur les autres.Pour simplifier la comprhension de ce micro-univers, voici de quelle faon apparaitraient deux Rotons si ils taient immobiles.

    Dans le dessin de gauche nous avons tracs aussi les axes de l'nergie, de l'espace et du temps, tandis que dans le dessin de droite apparat un deuxime Roton avec une inclinaison des axes diffrente. Les deux Rotons ne sont pas en phase, car aucun des trois axes se superpose et ils ne

  • interagissent pas entre eux. Il y a 10183 Rotons, qui sont lus 10227 fois par seconde, naturellement sur l'chelle virtuelle du temps.Comment sont lus ces Rotons? Comment nous pouvons voir si ils sont en tat up ou down (quand ils ne sont pas lus)? Qui lit ces Rotons?Les Rotons sont lus par la Conscience, qui finalement, en cette transformation de coordonnes, perd son incorrecte forme d'axe et devient un point au centre des Rotons. Un point d'o elle diffuse continuellement son essence. Jusqu' prsent dans les dessins nous avons du maintenir la Conscience sous forme d'un axe pour essayer de donner dans l'esprit du lecteur une image de celle-ci. On ne peut pas nanmoins dcrire la Conscience comme un axe, parce que elle est indescriptible de n'importe quelle faon dans la ralit virtuelle. Elle est, et sera toujours, pareille: elle ne s'allume pas ni s'teint, ne change rien. Elle ne peut pas avoir une forme d'axe, mais uniquement celle d'un point gomtrique sans dimensions, une ide et rien d'autre. Mais de ce point commence la cration d'espace, temps et d'nergie, qui sont lus comme grandeurs virtuelles, sous forme d'hologrammes.Mais qu'est-ce qui donne, alors, un aspect quantifi la ralit virtuelle?Avant tout le fait que les Rotons ont un nombre prcis et fini et entre un Roton et l'autre il y a une diffrence angulaire quantifie. Les Rotons ne possdent pas tous les angles possibles, autrement ils seraient infinis, mais peuvent exister seulement des angles opportuns.Si les Rotons sont au total environ 10180 , cela signifie que pour chaque dimension (espace, temps et nergie), il y a environ 1060 rotons dans 360 degrs, c'est dire environ 31058 informations pour chaque degrs sexagsimal.

    Bibliographie1. Boukalov A.V. Psycho-Informational Environment and Structure of Events within thePhysical Space-Time. Synchronics. // Physics of Consciousness and Life,Cosmology and Astrophysics. V.2. # 2. (2002).2. Green M., Schwarz J., Witten E. Superstring theory (Cambridge University Press.1987).3. Grof S. Beyond the Brain. Birth, Death and Transcendence in Psychotherapy (StateUniversity on New York Press, 1985).4. Immanuel Kant, Critique of Pure Reason, tr. by Werner S. Pluhar and PatriciaKitcher (Hackett, 1996)5. Lem S. Summa technologiae (Wyd. Lit. Krakow, 1964).6. Linde A.D. Particle physics and inflationary cosmology. (Boston,MA: HarvardUniversity Press) (1990).7. Markov A.A. Teorija algorifmov (Moscow, 1954).8. Markov A.A. O logike konstruktivnoj matematiki (Moscow, 1972).9. Printzipy samoorganizatzii (Moscow, 1966).10. Smorodinskij J.A. Physics-Uspekhi. V.168, # 2. (1991).11. Pauli W., Jung C.G. Naturerklarung und Psyche. Studien aus dem C.G.JungInstitut, IV, Zurich, 1952. (The Interpretation of Nature and the Psyche (New York[Bollingen Series LI] and London, 1955).12. Bennet C. H. et al. Phys. Rev. Lett. 70. 1895 (1993).13. Braunstein S.L., Mann A. Phys. Rev. A 51. R 1727 (1995); 53. 630(E) (1996).14. Braunstein S.L., Kimble H.J. Phys. Rev. Lett. 80. 869 (1998).15. Cirac J.I., Parkins A S. Phys. Rev. A 50. R 4441 (1994).16. Davidovich L. et al. Phys. Rev. A 50. R 895 (1994).17. Einstein A., Podolsky B., Rosen N. Phys.Rev. 47, 777 (1935).18. Penrose R. The Emperors New Mind: Concerning Computers, Mind and Laws ofPhysics. (Oxford Univ. Press. 1989).

  • TOUTES LES COULEURS DE L'UNIVERS

    Il est difficile d'imaginer des structures composes de chiffres aussi grands, c'est tout fait normal. J'ai pens d'utiliser la physique des couleurs pour essayer de donner une explication plutt visuelle de la ralit virtuelle.Celle-ci n'est pas la premire tentative d'utiliser les couleurs pour la physique: par exemple pour la physique des quark on a nomm trois types de quark avec trois couleurs.

    J'ai dj dfini la Conscience comme une essence qui, travers un acte de volont, se divise en trois couleurs fondamentales, auxquelles j'ai associ espace, temps et nergie: je vais continuer donc parcourir cette voie.Les couleurs sont un aspect de la ralit virtuelle et il se peut qu'ils soient la chose plus virtuelle qu'il existe au monde.Les couleurs fondamentales sont trois, le

    rouge, le bleu et le vert, et on obtient partir de ces derniers toutes les autres couleurs. Il est vident que chaque couleur reprsente une longueur d'onde, qui est li mathmatiquement une frquence, donc aussi une nergie: en quelques mots un Roton. Si chaque Roton nous faisons correspondre une frquence, les jeux sont faits. Nous pourrions de la mme faon construire un diagramme avec ce que l'on appelle les couleurs complmentaires, qui sont le jaune, le magenta et le cyan (voir en haut droite). Si, chaque angle du roton par rapport celui de dpart, nous construisons une carte des couleurs, celle-ci peut tre reprsente comme une sphre des couleurs. Par ailleurs nous pouvons comprendre que la couleur est li physiquement l'nergie en considrant la relation qui cours entre couleur et chaleur.

    La sphre des couleurs apparaitrait, comme ci-dessous, l o la couleur reprsente l'angle du roton, qui correspond au pourcentage de vert, bleu et rouge, ou pour mieux dire en ce contexte, espace, temps et nergie.Si, au contraire, on voulait utiliser le systme HSL (Hue, Saturation, Luminance) pas de problme. Luminance serait un angle qui indique l'nergie, saturation un vecteur de profondeur qui indique l'espace et hue un angle qui indique le temps.

  • Dans ce schma sont reprsents peu de couleurs, mais en ralit elles seraient 10281 , exprimes par une sphre iridescente sans pratiquement aucune sparation, mais avec une certaine continuit entre une couleur et l'autre; toutefois, un examen plus attentif, les couleurs auraient des valeurs numriques quantifis.http://fc.retecivica.milano.it/rcmweb/tesoro/tesoro99/suk/colori/testo.htm#BibliografiaSi, par contre, nous voulons afficher graphiquement mme la lumire comme paramtre de profondeur, la sphre devient par consquent un double cne, une toupie, qui nanmoins reprsenterait bien le rotonhttp://en.wikipedia.org/wiki/HSL_color_space

    De n'importe quelle faon on dcidera de dcrire la virtualit avec la mthode des couleurs ou, d'aprs la dfinition de quelqu'un, l'espace des couleurs , cela me conviendra, mais par simplicit j'ai choisi l'espace sphrique, qui s'adapte bien la dfinition de Roton.

    Que ce passe t-il dans un Roton?

    Le modle d'espace-temps tal sur un plan situe la tte de rception, prcdemment appele (nous savons maintenant de manire incorrecte) Axe de la Conscience, derrire le dos d'un hypothtique observateur plac devant l'cran o l'on projette le film de la virtualit. Nous avons donc la tte de rception (le projecteur), le spectateur (nos sens) et la fin l'cran (la virtualit projete). Dans le micro-univers de Bohm, contrairement, nous avons toujours la tte de rception, l'observateur, qui est la fois metteur en scne du film, spectateur, et l'cran qui est sphrique, mais l'observation lieu l'intrieur du Roton. En d'autres termes l'observateur, suivant que le Roton examin soit inclin d'une faon ou de l'autre, voit uniquement un point de la surface de la sphre rotonique, caractris par une couleur spcifique, et observe uniquement celui-ci. Dans la ralit macroscopique chacun d'entre nous est compos de milliards de Rotons, qui, globalement, voient une image qu'ils interprtent, naturellement, comme relle bien que tant elle-mme virtuelle.Regardons, donc, l'intrieur d'un Roton.

  • Au centre du Roton il existe un point que nous avons reprsent comme une sphre, mais il faut se souvenir que cette sphre n'a pas de dimensions et ne peut pas tre vue dans la virtualit. Regardant partir de ce point vers l'extrieur, nous voyons une sorte d'cran de tlvision quantifi, en mesure de visualiser des milliards d'images en fonction de la direction o l'on regarde. En effet le projecteur du film, qui correspond aussi l'observateur, peut projeter, c'est dire crer, un espace-temps pour chaque direction que peut assumer l'observateur, tout simplement, il le vit comme rel. Par consquent les images que nous voyons sont virtuelles et nous, qui sommes distraits, nous les considrons comme relles et les vivons comme telles. Nous vivons nos expriences de vie de faon diffrente, en fonction de la direction que notre Conscience dcide de regarder l'intrieur du PoliRoton qui l'enveloppe (libre arbitre. N.d.A.). Il faut remarquer que la Conscience individuelle habite l'intrieur de la Conscience Gnrale de l'Univers, place au centre du Tout. Il semblerait que la chose soit en relation avec le concept de mmoire Akashi des anciens orientaux ou avec celui de champ morphogntique de certains chercheurs modernes. En d'autres mots l'exprience individuelle serait comme une feuille en papier qui est crite et mise disposition de tous ceux qui peuvent et veulent la lire. Et ce n'est pas tout: si on voulait, il serait possible, pour chacun de nous, de bnficier de toute la connaissance de l'Univers, du moment qu'il suffirait d'atteindre le point o existe la Conscience globale, qui contient aussi notre Conscience individuelle. l'intrieur du modle que je viens de proposer, effectivement, notre Conscience est uniquement une part de la Conscience du Tout.Ces discours pourraient paratre, une premire vue, sans aucune base, mais mme la virtualit dcrite par les savants semble prvoir une hypothse de ce genre. L'une parmi les choses qui m'ont toujours frapp est la faon dont, dans les diffrentes priodes de l'histoire, certaines personnes ont dcouvert les mmes choses au mme moment, que ce soit une forme d'art de peinture qui nait et se dveloppe en mme temps en diffrent endroits de la plante, aux expriences sur les souris qui apprennent accomplir certains exercices pendant que d'autres souris, jamais analyses auparavant, semblent les apprendre aussi instantanment, la chimie, o les ractions chimiques mmes sont dcouvertes par deux ou plusieurs chercheurs en mme temps, mme sans communication rciproque (par exemple la raction de Diels et Adler ou celle de Friedel et Krafts). Tout ceci ferait penser l'existence d'un canal d'information o passent les informations, non pas travers l'espace-temps, mais utilisant ce que l'on appelle paramtres cachs, ou variables caches, en physique moderne: paramtres que j'appelle Conscience.

    Le symbolisme archtypique de la couleur

    Pribram mme, dans son travail sur la virtualit, a pens la couleur (Consciousness reassessed, Mind and Matter, 2(1), 7-34, 2005, and literature cited therein). Cela encourage considrer que le modle de Roton color soit facilement comprhensible pour ce lecteur de virtualit qu'est notre esprit. Par ailleurs il se peut que ce soit justement sa ressemblance avec ce que nous sommes entrain de dcrire le rendre facilement utilisable. D'aprs ce que l'on vient de dire en ressort que le temps

    n'existe pas dans la Ralit Relle: c'est uniquement une projection virtuelle de la Conscience. Notre Conscience, celle de nos prdcesseurs et celle de nos successeurs puisent fond dans la Conscience Akashi situ au centre du PoliRoton que nous venons de suposer.En effet, comme Sergio Pavone nous explique(http://www.esoteria.org/web_utenti/simbologia.htm),les six couleurs fondamentales considres, c'est dire les trois fondamentales et les trois complmentaires, peuvent tre places 60 degrs l'une de l'autre sur une roue des couleurs (image gauche).

  • La roue des couleurs est obtenue partir du spectre des couleurs en mettant l'une aprs l'autre les couleurs mmes selon leur longueur d'onde, de la plus courte, le bleu, jusqu' la plus longue, le rouge. Malheureusement nos yeux voient les couleurs grce aux cnes, qui ont une rponse non linaire en percevant le rouge, le bleu et le vert, ce qui fait dformer sensiblement la roue des couleurs et situe le vert presque la place du jaune, tandis que le jaune et l'orange restent toujours entre le vert et le rouge mais disposent d'une zone plus rduite de la roue des couleurs (image gauche).

    Ainsi il faut distinguer la thorie physique de la faon avec la quelle nos yeux reconstruisent les couleurs. Le rsultat final est un diagramme tridimensionnel de la perception des couleurs extrmement compliqu, appel Tristimulus, de comprhension difficile.Tout ceci est li l'ide que ce que nous percevons n'est pas la ralit. Nous devrions donc nous rfrer la ralit de la sphre des couleurs ou du cercle des couleurs et non pas au systme RGB, mais plutt au systme RYB, par ailleurs utilis dj par Goethe, dans son trait sur la perception des couleurs. Si nous prenons donc le cercle des couleurs, continue Pavone, nous dcouvrons qu'il a t utilis pour y insrer les symboles du corps, de l'esprit, de l'me et de l'Esprit, sous forme des signes alchimiques-gomtriques correspondants.

    comme pour dire que depuis toujours la Sophia des anciens savants avait donn aux couleurs et la gomtrie, qui est sous-tendue de ces derniers, les symboles qui en ressortent jusque dans les rapports gomtriques et physiques que nous, hommes modernes, nous avons dduit de la circonfrence chromatique extraite de la perfection de l'arc-en-ciel et dmontr avec les instruments de la technologie scientifique rationnelle, mais avec beaucoup moins de qualits de ce que ces anciens avaient fait auparavant. Cela quivaut dire que le processus rationnel scientifique a appauvri la richesse des processus d'information de la Nature mme tandis que, comme dit Jung, au de-l de la valeur mathmatique du simple calcul, les chiffres qui reprsentent ces formes et ces rapports sont des archtypes d'un ordre intrieur de la nature mme qui, travers ces derniers, a tendance se manifester de manire consciente la nature humaine par l'intermdiaire de la projection symbolique qui nait de l'Inconscient et devient conscient grce l'usage correct des quatre fonctions de la conscience .

  • L'ide dforme de la perception des couleurs par laquelle le jaune est dplac jusqu'au point o le bleu prend sa place, a une raison symbolique importante. D'aprs les Vda sacrs nous vivons dans une Maya, une magie qui, comme un voile, obscure la ralit: une tromperie que nos sens perptuent continuellement. Si le symbolisme des couleurs reprsente la faon archtypique que notre Conscience possde pour nous communiquer quelque chose et pour se manifester nous, par consquent cette tromperie est la reprsentation symbolique du fait que nous avons une vision dforme de notre ralit. La dformation concerne toute la comprhension, ainsi que tout le cercle des couleurs, et nous obtenons un vision dforme d'me, esprit, Esprit et corps. Remarquez que les couleurs n'ont pas t choisies par hasard, mais reprsentent symboliquement justement Esprit, me, esprit et corps et leur position sur la roue des couleurs n'est pas casuelle non plus, pour cela la sphre des couleurs reprsente un modle correct pour identifier exactement la virtualit, qui rsulte nanmoins dforme par notre capacit l'interprter. Donc 10180 couleurs: autant que les Rotons qui auraient t cres au dbut par la Conscience.Ils existent par ailleurs d'autres modles d'espace des couleurs et les scientifiques ne se sont mme pas aperus qu'ils rcupraient fidlement les symboles anciens, alchimiques et sotriques, en effet des symboles archtypiques.

    L'espace rhombodrique des couleurs de Kppers

    Kppers dfinit son rhombodre comme un espace des couleurs idal. Il s'agit d'un modle de vecteur rigoureux, qui considre les trois forces de sensation de l'organe visuel, les trois Couleurs Fondamentales, comme trois vecteurs 60 degrs l'un de l'autre, avec origine dans le sommet infrieur du rhombodre, o se trouve le Noir, qui n'est pas une couleur, (K). chaque possible sensation de couleur on assigne un point en cet espace de couleur, en respectant rigoureusement les lois de la composition des forces. Chacun de ces points est dfini de manire incontestable par le biais des potentiels des trois Couleurs Fondamentales. L'image gauche reprsente le rhombodre B tourn de 180 degrs par rapport celui appel A.

    Un lecteur attentif pourrait trouver une certaine ressemblance avec le symbolisme de la Cabale hbraque ( droite).Eh bien, il ne s'agit pas d'une concidence, mais d'une ralit lie la mathmatique des couleurs, qui est universelle. Il ne faut pas s'tonner donc de la retrouver dans la Cabale hbraque, qui reprsente la tendance raffine expliquer l'Univers avec le lobe gauche du cerveau donnant le contrle de l'homme un Dieu constitu de rgles, qui ne tient pas compte d'une me anarchique qui, au contraire, est

    l'expression humaine plus proche la ralit divine. On en dduit que le Dieu des Hbreux est extraterrestre, sans me, capable de raisonner uniquement avec son lobe gauche, qui n'a rien voir avec le vrai Dieu, qui est la Conscience universelle.http://www.ipsi.fraunhofer.de/Kueppersfarbe/it/index.html

  • Bibliographie

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    LOCALITE ET NON LOCALITE DE L'INFORMATION

    Arrivs l, il nous reste plus que de comprendre o est la diffrence entre considrer l'Univers comme local, c'est dire soumis aux lois de la relativit gnrale, pour la quelle il n'est pas possible de transmettre une information d'un endroit l'autre de l'Univers mme en dpassant la vitesse de la lumire, et penser, au contraire, que l'Univers est un hologramme non rel, donc virtuel, o la vitesse n'existe pas parce que n'existent pas non plus l'espace ni le temps. Pour ce dernier cas la vitesse de transfert des donnes d'un point l'autre de l'Univers devrait tre infinie, comme affirme la physique de Bohm.Eh bien, d'aprs moi il n'y a aucun contraste entre les deux thories, mais simplement un diffrent point d'observation: l'observateur, en effet, ne serait donc pas l'homme, mais une partie de lui. Nous avons deux types d'instruments pour l'observation dans l'homme, qui sont le lobe droit et le gauche du cerveau. Si le gauche donne raison Einstein, le droit donne raison Bohm. Comment cela est-ce possible?Pribram, nous l'avons vu, affirme que notre cerveau est un lecteur d'hologrammes. Notre cerveau est quelque chose de totalement diffrent de notre esprit chose que nous l'avons dsormais clairci. Le cerveau appartient au corps humain et est uniquement une portion de matire organique sans volont, tandis que l'esprit possde volont et transcendance, sous forme d'une composante active de conscience.Notre cerveau possde deux lecteurs, deux ttes qui lisent le CD (ou le DVD) de la ralit: le lobe gauche lit les donnes en squence, croyant que les vnements se produisent au moment o ils sont lus, tandis que ils sont tous gravs dans le support.Le lobe droit lit toutes les donnes simultanment, en parallle.Vous vous interrogerez sur la forme de cet trange DVD et la rponse a dj t fournie: le DVD que nous lisons est une sphre de plusieurs couleurs, ou pour mieux dire une sphre faite de sphres, compose d'une infinit de Rotons de Planck. Tandis que la virtualit, c'est dire le lobe gauche, lit les vnements en squence, l'un aprs l'autre, comme ferait un lecteur de DVD, le lobe droit lit les vnements en partant du centre du Roton mme, de la Conscience, et effectuant une lecture sphrique concentrique des donnes.Dans un cas nous avons un lecteur de rotation (qui correspond un oprateur mathmatique de rotation) tandis que, pour l'autre, nous avons un lecteur radial (qui correspond un oprateur mathmatique de divergence). Le flux des informations suivrait donc deux parcours diffrents, partant toujours du centre du Roton, pour lire toutes ces informations, c'est dire les images, comme sur un cran de projection cinmatographique, mais en s'largissant radialement en toutes les directions de faon instantan, ou bien en parcourant un arc sur la surface interne du Roton mme.

  • Vitesse de lecture du lobe gauche

    La vitesse avec la quelle est lue de faon angulaire l'information est donne par la formule de la vitesse angulaire V = R o reprsente la frquence angulaire et R le rayon de Planck. Pour ce que nous avons dit prcdemment, si nous assumons que V est gal a c, nous aurons:

    c = (Gh2/2c3)1/2

    En mettant sous forme explicite nous obtenons:

    = (c52/Gh)1/2 = 1/tp

    Vu que le temps de Planck est le plus petit temps mesurable, nous pouvons dduire que la vitesse maximale ou le lecteur lobe gauche lit les informations quivaut la vitesse de la lumire c.Ce qui est en parfait accord avec la perception de l'Univers de Einstein, selon laquelle la vitesse de la lumire ne peut pas tre dpasse et signifie que, mme si le rayon lecteur de chaque roton (la tte de lecture. N.d.A.) tait immobile et les rotons tournaient sur eux-mmes imitant justement le modle du DVD, leur vitesse priphrique maximale serait c. Dans notre cas nous avons trois lecteur, disposs 90 degrs l'un par rapport l'autre, qui sont reprsents par les lecteurs de l'espace, du temps et de l'nergie, reprsents leur fois par les axes cartsiens S, T, E des illustrations prcdentes.

    Par consquent la vitesse maximale pour aller de Rome Milan, c'est dire la vitesse la quelle le lecteur d'hologrammes situ dans le lobe gauche de notre cerveau est en mesure de se dplacer, ne peut pas tre majeure que la vitesse de la lumire et le lecteur lit un point la fois en partant de Rome jusqu' Milan. N'importe quel dplacement, que se soit sur l'axe de l'nergie, sur celle de l'espace et sur celle du temps, ne pourra se produire uniquement qu' une vitesse maximale gale c. Rome et Milan reprsentent deux images quantifies de la Ralit Virtuelle, qui correspondent, leur fois, deux couleurs spcifiques de la sphre des couleurs.Ce n'est pas un cas si la vitesse maximale que nous pouvons imaginer pour passer d'un point l'autre de la grille holographique (la vision tale de la virtualit. N.d.A.), est celle qui exprime le rapport entre l'espace de Planck et le temps de Planck:

    lp/tp = (Gh/2c3)1/2/(Gh/2c5)1/2 = c

    Vitesse de lecture du lobe droit

    Le lobe droit lit les informations de manire radiale et toutes simultanment. Lire radialement

  • signifie se dplacer sur un seul axe, de l'nergie, de l'espace ou du temps.En d'autres termes il s'agirait de lire les donnes de la surface interne du roton de Planck, c'est dire examiner un photogramme sur l'cran de projection, en se dplaant d'abord uniquement dans l'nergie, ensuite dans l'espace et ensuite dans le temps, mais non pas dans le domaine temps-espace-nergie .

    Dans cette reconstruction graphique, par exemple, sont lus simultanment quatre vnements, quatre Rotons de la reprsentation tale sur le plan spatio-temporel. Il va de soi que, avec un Univers de la dimension d'un Roton de Planck, tous les Rotons pourraient tre lus simultanment par l'axe de la Conscience: tous ensemble, immdiatement ou presque. Tandis que la lecture le long de la surface du roton serait sujette la vitesse maximale de la lumire, la lecture radiale du lobe droit aurait une vitesse finie, mais normment plus leve de celle de la lumire, tout en ne la dpassant pas.Je m'explique mieux. La vitesse est calcule comme rapport entre espace et temps, mais l'espace et le temps sont en ralit des diffrences entre un espace initial et un espace final, de la mme faon que le temps est la diffrence entre un temps initial et un temps final. Parfois, pour simplifier, le temps et l'espace initiaux sont considrs gal zro, uniquement parce que on suppose des axes cartsiens avec origine au point de dpart, identifi comme starting point dans celles que l'on considre comme conditions qui entourent le problme cinmatique.Le lobe gauche lirait simplement les diffrences de temps et d'espace qui courent entre l'enregistrement du premier vnement (je suis entrain de partir de Rome) et du deuxime (je suis entrain d'arriver Milan). Le lobe droit lirait, contrairement, les vnements je suis entrain de partir de Rome et je suis entrain d'arriver Milan simultanment, ce qui annule espace et temps, en faisant paratre infinie la vitesse de passage entre les deux vnements, indpendamment de la vitesse de mouvement du lecteur (radial), o elle s'tend de faon sphrique du centre de la Conscience et, en se dplaant radialement, elle touche simultanment les deux vnements.Dans le deuxime cas, par contre, nous irions vers un paradoxe: pour certaines valeurs de distance entre deux vnements lire, le temps de lecture des donnes pourrait paratre en contraste avec ce que l'on vient d'noncer. En effet il faut admettre que, quand on est entrain de lire les donnes avec le lobe gauche, c'est dire on est entrain de parcourir la surface du roton de Planck la vitesse maximale de la lumire, le temps de lecture des donnes correspond au temps employ pour aller du premier au deuxime vnement, mais au cas o on lirait avec le lobe droit, c'est dire avec la Conscience, si celle-ci s'tendrait radialement vitesse maximale autorise par la virtualit du systme, c'est dire encore une fois la vitesse de la lumire, pour distances, sur la surface du roton, plus petites du rayon de Planck, la lecture des donnes avec le lobe gauche mettrait moins de temps de celle avec le lobe droit. En d'autres termes, pour lire deux donnes simultanment, si la vitesse de propagation de la Conscience tait gale celle de la lumire, le lobe droit aurait besoin de plus de temps que le lobe gauche qui les lit une la fois. Mais ceci est un paradoxe, justement, du moment qu'il est impossible d'effectuer des lectures en dessous de la longueur de Planck. De plus il

  • faudrait admettre, comme par ailleurs il dj t fait dcrivant les mouvements d'objets sur la grille holographique qui ont lieu uniquement dans l'espace ou dans le temps ou dans l'nergie, que les lectures des trois paramtres observables, espace, temps et nergie, soient rciproquement indpendantes.Tout d'abord est lue l'nergie, puis l'espace et la fin le temps, sans lequel la mesure n'aurait aucun sens niveau de la ralit virtuelle et cela est valable tant pour la lecture tangentielle sur la surface du Roton de Planck que pour celle radiale. Cela donne une raison l'existence du principe d'indtermination de Heisenberg, qui ne prvoit pas, sur petite chelle, la possibilit de mesurer plus d'un paramtre la fois. En effet, si on mesure d'abord l'nergie, quand on parvient mesurer le temps, l'nergie mme serait dj altre, en prenant une nouvelle valeur sur la surface du Roton de Planck.

    Nature de l'Indtermination Quantique

    La nature de l'Indtermination de Heisemberg a donc deux aspects, selon qu'on la regarde avec le lobe gauche (mesurant quelque chose qui appartient la virtualit et se dplace de manire angulaire sur la surface du Roton de Planck), ou bien qu'on la regarde avec le lobe droit (effectuant la mesure radialement au Roton de Planck). Effectivement, pour le premier cas, comme nous l'avons dj dit prcdemment, les trois mesure d'espace, de temps et d'nergie ne seraient pas excutable simultanment. La raison de cela rside dans le fait que la Conscience peux se mettre en phase avec l'nergie ou avec l'espace ou avec le temps, mais non pas avec les trois ensemble simultanment. Il faut signaler que d'aprs la physique moderne serait n d'abord l'nergie et uniquement aprs l'espace, dont la variation aurait donn lieu au temps. Ce n'est pas un hasard, si dans la visualisation du Roton, les axes de l'nergie, espace et temps ne pointent pas vers la mme direction, mais possdent trois vecteurs unitaires placs 90 degrs entre eux, regardant donc vers des directions diffrentes de la virtualit, mme si spatio-temporellement trs proche. l'intrieur de la reprsentation avec l'Univers des couleurs, la Conscience, dcrite comme un rayon de couleur blanche qui contient toute l'information, se diviserait en trois rayons:Rouge, Bleu et Vert (Jaune en ralit) et mme le rayon Blanc s'occupera ensuite de se mettre en phase avec un la fois seulement de ses trois composants principaux.Pour ce cas la physique calcule aussi les erreurs qu'on peux effectuer en mesurant deux paramtres la fois:

    Et = (hc5/2G)1/2(hG/2c5)1/2 = h

    Es = (hc5/2G)1/2(Gh/2c3) = hc/2

    st = (Gh/2c3)1/2(hG/2c5 )1/2 = hG/2c4

    La premire formule reprsente le principe d'indtermination classique, tandis que les deux autres formules, d'aprs moi, sont deux autres principes indfinis lis non seulement au plan nergtique-temporel, mais aussi ceux nergtique-spatial et spatio-temporel, comme si la reprsentation de l'Univers tait un cube aux cots Energie, Espace et Temps.Du point de vue du lobe droit les choses vont, au contraire, de faon diffrente. En effet le lobe droit ne lit pas espace, temps et nergie ensemble, mais lis simultanment plusieurs valeurs en couple de temps, d'espace et d'nergie et premire vue semblerait tre en mesure de devancer l'indtermination; mais lire ensemble plusieurs vnements, mme si du mme genre, produit une interfrence dans la Conscience. On obtient une lecture qui est le rsultat de deux vnements,

  • provocant la lecture d'un vnement intermdiaire. C'est exactement ce qui se passe quand on essaye de lire la position d'un photon qui traverse simultanment deux fissures et percute l'cran situ derrire celles-ci.Nous l'avions dj annonc prcdemment, mais maintenant le phnomne est encore plus vident: ce n'est pas l'appareil qui mesure, mais l'oprateur pourvu de Conscience, du moment que c'est cette dernire qui l'accomplit effectivement. Quand nous essayons de mesurer en deux endroits de l'espace-temps, de regarder simultanment deux point de la grille holographique, voil apparatre les figure d'interfrence. Tout ceci se passe, dans la ralit virtuelle, quand on essaye de regarder entre deux vnements, entre deux Rotons. Je suis sur le point de regarder simultanment en deux points de l'espace-temps et les figures d'interfrence agissent sur ma conscience, me fournissant une vision statique de la probabilit que l'vnement soit rellement comme je le perois.

    R interprtation du paradoxe d'Einstein-Podolsky-Rosen

    Le paradoxe d'Einstein, Podolsky et Rosen est une exprience idale qui indique comme une mesure excute sur une partie d'un systme quantifi peut propager instantanment un effet sur le rsultat d'une autre mesure. Dans un article des trois auteurs dont le paradoxe doit son nom on voulait mettre en vidence que la physique quantique n'tait pas une thorie exacte, du moment qu'elle ne parvenait pas calculer exactement les valeurs de chaque variable. D'aprs les auteurs, ce dfaut produisait une thorie qui n'est pas dcrite entirement et donc pas acceptable vis vis de la thorie de la relativit, qui leur paraissait dcidment plus complte. Le dfi se droulait entre Einstein et sa thorie relativiste et Niels Bohr et la thorie des quanta. C'tait en 1935, quand Einstein disait que Dieu ne joue pas aux ds et qu'on ne peut pas faire de la probabilit qu'un vnement se produise une mesure de la ralit. Bohr avait un avis tout fait diffrent et rpondit l'article d'Einstein, Podolsky et Rosen aprs un an, dfendant son point de vue. Le problme est que la thorie des quanta est en mesure d'expliquer des tas de choses mais est incapable d'obtenir des mesures simultans de deux vnements.Bohm arrive, avec une simple exprience hypothtique, la substance du problme.Supposons que nous ayons deux observateurs, un Rome et l'autre Milan, et qu'un troisime observateur, mi-chemin, lance deux lectrons, ns ensemble, un vers Rome et l'autre vers Milan. Les deux lectrons ainsi gnrs, pour la mcanique quantique, possdent une caractristique intrinsque: si l'un d'eux est caractris par un spin droite, l'autre, d'aprs la mcanique des fermions (particules subatomiques avec un nombre quantique non entier), aura un spin gauche. Le spin peut tre imagin avec une grande marge d'approximation comme la rotation d'une toupie. Si un lectron tait une toupie, nous pourrions le visualiser comme un objet qui tourne avec le mouvement des aiguilles d'une montre ou avec un mouvement inverse: celui-ci serait le spin. Les spin ressemblent aux engrenages qui s' engrnent l'un avec l'autre: si il y en a un qui tourne dans un sens, l'autre doit forcment tourn dans le sens inverse et ce n'est pas possible d'engrener ces deux (Rotons du SuperSpin N.d.A.) un troisime engrenage (ou Roton), sous peine de faire gripper la machine. Grce ce dernier exemple tous les physiciens du monde entier ce moqueront de moi, nanmoins, il s'agit, ni plus ni moins, de la ralit des choses. Les deux lectrons naissent ensemble pourvus de cette caractristique, donc, si l'un d'entre eux est projet vers Rome t l'autre vers Milan, quand celui qui arrive Rome est mesur et, par exemple, tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, nous savons immdiatement que celui qui arrivera Milan tournera en sens oppos.Qu'est-ce que cela signifie pour la mcanique quantique? Que nous pouvons donc prvoir le futur?On aborde nullement cette hypothse dans le travail d'Einstein, Podolsky et Rosen. Les auteurs du travail sont intresss par une chose bien plus importante que prvoir le futur: que la thorie des quanta est plus faible que la leur (la relativit en gnral). On s'en fou si les choses vont d'une faon ou l'autre, semble affirmer le prix Nobel Einstein, l'essentiel est que j'ai raison: Dieu ne joue pas aux ds!Il faut signaler que l'affrontement entre physiciens quantiques et relativistes ne se produit pas

  • uniquement dans le domaine de la physique, mais aussi dans le milieu de la religion: Einstein est Juif et profondment croyant, tandis que les physiciens quantiques paraissent insensibles l'existence de Dieu et sont athes.Il y en a un qui essaye de dmontrer que Dieu ne joue pas aux ds, les autres soutiennent que le hasard existe justement parce que, si Dieu existait, il ne jouerait pas aux ds: donc... Dieu n'existe pas. Mais revenons l'exprience. Einstein affirme que la quantique est en mesure de prvoir l'tat du spin (rotation) d'un des deux lectrons sans disposer de celui-ci, sans mme avoir la ncessit de le mesurer, mais nanmoins ne parvient pas prvoir quoi que ce soit, si on essaye d'effectuer la mesure sur l'lectron qui arrive Milan si l'observateur a la tte tourne.J'essaye de mieux l'expliquer: si j'observe l'lectron de l'axe x et je sais que, Rome, le spin de l'axe x est positif, sans devoir faire la mesure je sais aussi bien que, l'axe x Milan sera ngatif, par contre si j'observe, Milan, le spin de l'axe y, je ne peux faire aucune prdiction et je dois attendre qu'on me dise quel spin on voit Rome.Il n'est pas facile de comprendre quel grave problme se cache derrire cet vnement. Moi aussi, au dbut, je l'avais considr insignifiant, mais ensuite j'ai essay de me mettre la place d'Einstein, qui avait le problme de dmontrer qu'il tait plus fort que Bohr, mais qui, probablement, n'avait aucun intrt pour le reste. Einstein considrait une thorie valide uniquement si elle dcrivait parfaitement tous le points qui l'entourent: la physique quantique ne les dcrivant pas tous, tait donc une thorie incomplte.Les objections que nous pouvons faire l'article sont nombreuses et toutes plutt graves.Premirement Einstein tablit la validit d'une thorie en jugeant en fonction de l'ide prjuge que les conditions qui l'entourent doivent tre forcment toutes claircies.Quelqu'un devrait m'expliquer comment on peut dmonter une chose pareille, qui d'aprs la physique devrait reprsenter plutt un axiome, c'est dire une chose en soi non dmontrable et qu'on ne peut pas savoir si elle est juste ou pas tant qu'on n'affronte pas son application pratique. L'exprience confond, navement, deux vnements avec un seul, en effet un couple d'lectrons, qui qui ont origine l'un anti-paralllement l'autre pour une loi physique incontestable, ne reprsentent pas deux vnements, mais un seul, dont une moiti est lue Rome et l'autre Milan. Deux vnements, au contraire, sont reprsents par la lecture du spin sur deux axes indpendants. La physique, avec l'aide de la mathmatique, a dmontr aussi que deux oprateurs de spin ne sont pas interchangeables entre eux sur l'axe x et y ( ainsi sont ils nomms) et donc on ne peut pas faire des prvisions sur l'axe y si elles ont t dj faite sur l'axe x. Il faut attendre qu'on fasse la mesure aussi sur y Rome, pour connatre quelle sera la mesure du spin Milan, qui paraitra, naturellement, encore une fois oppose celle de Rome. Les prvisions, bref, seront incompltes sur les trois axes x, y et z et cela, d'aprs Einstein, rend la thorie non valide. Mais comment nous pouvons rinterprter l'exprience, la lumire de l'Univers non local? Cela parat simple: la lecture du spin du mme axe Rome et Milan ne sont pas deux vnements, mais un seul, et on effectue une seule mesure d'un seul vnement. La mesure peut tre faite soit Rome soit Milan, ou bien simultanment Rome et Milan, mais nous aurons toujours un seul rsultat.

  • Un droite Un gauche

    En quelle direction tournera le spin sur cet axe?

    Changer d'axe de mesure entre Rome et Milan quivaut faire, d'un seul vnement, deux mesures diffrentes. Pour la thorie du Roton de Bohr cela quivaut lire simultanment l'nergie et l'espace, situs 90 degrs l'un vis vis de l'autre. Du moment qu'ils ne sont pas interchangeables entre eux, niveau des respectifs oprateurs mathmatiques, ils ne peuvent pas tre lus simultanment, moins de se contenter de mesures statistiques: c'est dire 50% de probabilit que le Roton tourne droite et 50% de probabilit qu'il tourne gauche.Donc, si nous essayons d'effectuer deux mesures simultans, nous obtiendrons la superposition des tats quantiques et nous verrons une figure d'interfrence, une donne finale moyenne entre deux possibilit. Nous ne saurons pas si le spin est droite ou gauche et toute tentative de mesurer sa valeur aura une probabilit du 50% de voir l'lectron tourner droite ou gauche par rapport l'axe de rfrence.Tout ceci, dsol pour Einstein, est en parfait accord avec la physique quantique et avec la ralit quantifie de l'Univers, non seulement sur l'axe de l'nergie, mais videmment mme sur l'axe de l'espace et sur sur l'axe du temps.Bohm ne parvient pas rsoudre ce paradoxe, moins d'intervenir sur le systme physique en introduisant le paramtre Conscience, qui, malheureusement pour les physiciens, n'est pas mesurable. Les physiciens aiment appeler ces choses avec le terme de paramtres cachs.

    L'indtermination de Heisenberg reste debout

    Pour ce qui est de la physique quantique classique, Heisenberg affirme de pouvoir dmontrer que, si on observe quelque chose, celle-ci sera perturbe par l'observation et sera donc modifie un tel point qu'elle nous donnera une image d'elle mme diffrente. C'est comme si nous disions que nous ne pouvons tre nullement certains de ce que nous observons: c'est la mort de la perception, mais non pas la mort de la physique.D'autres physiciens sont d'avis que cette vision est dsormais obsolte, du moment que le paradoxe d'Einstein, Podolsky et Rosen dmontrerait clairement l'inexactitude de ce que nous venons d'exposer, mais le problme surgit justement de celui-ci. En effet, si deux lectrons naissent ensemble et leur rotation est oppose le long de l'axe d'observation (ce n'est pas important si il s'agit de x, y ou z), on peut imaginer que, en observant l'lectron qui arrive Rome, nous perturbons sa perception, mais pourquoi devrait on avoir une perception perturbe de ce qui se passe Milan, situ loin de l'observateur? Pour la simple raison, videmment non saisie par celui qui fait une telle objection, que l'lectron qui se trouve Rome et Milan sont le mme lectron, le mme vnement, et non pas deux diffrents. Cela signifie que, si on perturbe l'lectron qui se dirige

  • Milan, sans retard, celui qui se dirige Rome sera perturb simultanment aussi. Encore une fois la non localit du systme, c'est dire l'Univers, explique ce que Einstein et Bohr n'expliquent pas. Elle concilie les deux physiques, car elle explique simultanment les deux points de vue.Il faut se rappeler que le paradoxe Einstein, Podolsky et Rosen nait d'une exprience virtuelle, jamais accomplie et uniquement thorique. Si il tait rellement effectu, nous pourrions vrifier que, quand l'lectron qui se dirige Milan est perturb, celui qui se dirige Rome le sera aussi. On ne peut pas confier une exprience hypothtique, mme si fond sur des prcises expressions de Virtualit (les formules), l'avenir de la comprhension humaine: d'abord on mesure, aprs on en discute!C'est ce que soutient la science officielle, et aussi ce que nous raconte l'exprience d'Aspect que nous avons dj vue.L'ide de Bohm met un terme la dispute: il n'y a pas deux vnements, mais un seul. L'lectron de Rome et celui de Milan sont la mme chose, se trouvent depuis toujours au mme endroit et nous avons l'impression, si nous les observons avec le lobe gauche de notre cerveau, qu'ils se dplacent sur la surface d'un espace-temps virtuel et totalement inexistant, la surface du Roton de Bohr, mais la Conscience lit les deux lectrons comme s'il s'agissait d'un unique vnement, dont la distance dans l'espace-temps est gale zro.Dj dans le paradoxe de Einstein, Podolsky et Rosen existe, donc, l'explication de tout.Einstein, en s'opposant Bohr, la fin s'tait oppose soi-mme.

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