LA NOUVELLE MONUMENTALITÉ - th3.frth3.fr/imagesThemes/docs/La_nouvelle_Monumentalite_769_.pdf ·...

14
LA NOUVELLE MONUMENTALITÉ ierno Amadou Diallo / Khalil Azedou TD éorie Architecturale / Encadrant : Dinh-Luan Pham ENSAPB – Licence 3

Transcript of LA NOUVELLE MONUMENTALITÉ - th3.frth3.fr/imagesThemes/docs/La_nouvelle_Monumentalite_769_.pdf ·...

LA NOUVELLE MONUMENTALITÉ

Thierno Amadou Diallo / Khalil AzedouTD Théorie Architecturale / Encadrant : Dinh-Luan Pham

ENSAPB – Licence 3

BIOGRAPHIE

James Wines a étudié l’histoire de l’art, la sculpture et la littérature à Syracuse University son diplôme en 1956. Il est le fondateur et le président du SITE et l’ancien directeur de l’Environmental Design and Parsons School of Design. Il a donné des cours dans plus de mille collèges et il enseigne à la Penn State University. Il a écrit de nombreux essais pour des livres. Son livre DE-ARCHITECTURE a été publié en 1987 par Rizzoli International. La maison d’édition allemande Taschen Verlag a publié son livre GREEN ARCHITEC-TURE en l’an 2000.

Texte avant-propos de James Wines

Pour notre travail, nous avons pris la section du texte de James Wines l’architecture verte. Nous faisons brièvement une liste de quelques points que l’archi-tecte James Wines a abordés dans son livre. Premièrement, James Wines parle de l’exploitation et de la de-struction de l’environnement; mais aussi du fait que les architectes ignorent la planète et ses ressources; enfin il prône un politique écologique qui se substitue à l’égoïsme des projets architecturaux. Après notre travail sur le texte de James Wines, nous avons essayé sur la base de ses analyses de dégager les questions et des prob-lèmes qu’elles posent. Ensuite, nous avons élaboré une hypothèse.

Notre science et notre technique se développent rapidement mais à cause de cette expansion notre nature se dégrade. Nous avons au-jourd’hui une économie puissante, mais aucune architecture forte. Nous disons que l’architecture est subalterne et que la raison est instrumentalisée par notre société technique.

1

PROBLÈMATIQUE

Notre science et notre technique ne cessent de progresser mais nous rencontrons toujours de nombreux problèmes ethniques et écologiques. Ces problèmes sont des désavantages et ils sont apparus à cause de la culture de masse. Si on étude la culture de masse, on voie que elle a des avantages et des désavantages. D´un part la culture de masse est produite à cause du bénéfice. L´avantage est que les gens ont la liberté d´acheter ce qu´ils veu-lent. D´autre part, la culture de masse peut contrôler les besoins de la masse. Selon Georg Simmel la culture de masse cause une perte de valeur.Un point important est encore, la culture de masse avec les mass-médias quioffrent les possibilités communicatives et culturelles qui ne sont plus bourgeoises, liée à la classe sociale et conservateurs.

Nous nous posons alors la question de savoir si dans notre société de masse basée sur la consommation, la quantité a une plus grande signification que la qualité et aussi si on peut construire un langage architectural, moderne, monumental et quantitatif.

2

THÈMEAujourd’hui, il y a un fossé entre l’architecture et la société. Cela signifie, que les modèles élaborés par les architectes et par l’urban-iste ne se conforment plus aux attentes de la société actuelle. Les difficultés tiennent à la perte de valeur et de signification dans les bâtiments qui sont construits aujourd’hui. Nous sommes marqués par une culture de masse qui est considérée comme une norme confortable et rassurante. Elle semble apte à satisfaire les besoins et les aspirations des individualités mieux que ne le faisaient les cultures traditionnelles européennes. Nous som-mes d’avis que l’architecture fait désormais partie des mass-médias. C’est pourquoi, l’architecture est davantage considérée comme un produit de consommation que comme un phénomène artistique. L’architecture ancienne était considérée dans son ensemble et sans distinction qualitative. Ensuite nous voulons constater à quel type particulier des mass - médias qui appartient l’architecture : les mass - médias sont des moyennes de communication qui ser-vent de la diffusion des contenus dans la vie publique. Aujourd’hui, on compare aussi l’architecture á un média. Or qu’est-ce qu’est média ; C’est un vecteur de transmission instantanée comme le cinéma, la radio, l’Internet, la télévision, la presse le télé-phone etc.

3

Selon Chase, on peut diviser les mass médias en trois groupes. Lu, entendu et des films ou des bandes dessinées qui sont accompag-nés des mots. Les présentations sans éléments comme le mot et son sont exclues de cette énumération. Donc, l’urbanisme et l’architecture, design et les beaux-arts ne sont pas partie des mass médias, parce que ce qu’ils se composent seulement des images visibles L’hypothèse qu’aussi l’architecture est un mass média, doit être élargi ce catalogue de critères. Les masses-médias peuvent être définis comme des inventions techniques qui diffusent les communications à un groupe ou á une personne. Les communications atteignent des millions de gens beaucoup plus vite et plus fortement. Donc la tâche est d’atteindre le plus grand nombre possible de bénéficiaires de servir et du persuader. C’est aussi valable pour l’architecture, pour l’urbanisme et pour le design, qui peuvent atteindre à travers l’uniformisation et la stan-dardisation de ses produits de bénéficiaires sans différences. Les développements technologiques comme l’industrialisation et préfabrication etc. déterminent de la même manière l’architecture :(Cf. Renato de Fusco. 1972)

4

PREMIER CONCEPT

Aliénation

Les méthodes technologiques comme l’industrialisation, préfabri-cation, transport et montage déterminent l’architecture. Nous n’os-ons pas poser la question, si l’environnement de nos villes où les produits des canaux de communication vont agir dans le bon ou le mal. On ne connaît déjà que la culture de masse est la conséquence du développement technologique. La technique moderne est la cause nécessaire et exclusive de cul-ture de masse. Les masses-médias livrent une grande quantité d’in-formations et ils font partie des véhicules les plus importants à cet égard pour le transport et la propagation de formes de cultures. L’entretien, le confort et les loisirs sont des aspects de la culture de masse qui impliquent le problème de la décision. La question con-troversée est ensuite, à quel point on a le libre choix? Cela le problème que la production en grande série est responsable pour le dommage à l’environnement, le paysage et des structures urbaines.La culture de masse est aussi responsable pour la sociale intention d’aliénation et d’exploitation. 5

Il y a une aliénation de la nature à cause de l’ú urbanisation et de l’individualisation selon Georg Simmel. La vie à l’intérieur de la grande ville est différente dans divers points de vue selon Simmel. Il y a de différence entre la vie dans la grande ville et la vie dans la petite ville (village). La grande ville est le code ou le synonyme de la moderne et le village sont “ la personnification du traditionnel, la forme de société prémoderne. La grande ville est dessinée par un excès de sollicitations d’attrait forte et par la culture de masse . C’est une société hétérogène avec grande liberté individuelle et à cela, personnalité n’est pas perçue mais c’est comme support de roulis. En raison de l’anonymat on essaie de former sa personnalité. La tâche respective est l’accomplissement de la fonction ou du métier. Ça peut avoir un effet égoïste. L’aliénation des hommes ré-sulte sous l’un l’autre. La relation humaine avec du monde d’objet (matériel) se change. Matériel calculant plus tôt caractère quantitatif. Au contraire dans la petite ville ( lent et même courant rythme) on a des contacts personnels. C´est-à-dire qu’on n’est pas anonyme comme dans une grande ville et tout le monde se connaît ( ce qui n’est naturellement pas toujours davantage). On rencontre ses voisins presque chaque jour, donc il en résulte une relation qualitative avec ses semblables et avec des choses matérielles. Il est une tragédie de la culture inclus l’architecture. Au cours de compétition, argent et domination d’intelligences évolutives il y a une augmentation de l’individualité quantitative et aussi il en ré-sulte une perte d’individualité qualitative. On distingue les gens qui vivent dans la grande ville seulement avec le choix de ses produits de consommation et pas avec de propres légalités individuelles. Les gens dans la grande ville sont soumis inévitablement aux lois de la civilisation de masse mod-erne. (Cf. Simmel. 1890, 1900,1903, 1908, 1911)6

SECOND CONCEPT

Quantité - Standardisation

Nous voulons aborder la question de quantité et standardisation dans cette partie. Un exemple de cela est le Crown Hall de Mies v. Rohe comme ar-tefact et le banals“ conteneurs architecture“ d’aujourd’hui pour qui “l’architecture” n’est pas vraiment le mot. Toutefois, le public ne reconnaît pas vraiment les différences. Il se comporte indifférent. Il ne peut pas accepter une telle architecture “sans signification” comme le sien parce qu’elle ne lui donne pas de signaux pour une dispute ou pour une appropriation. La culture de masse remplit les besoins et les souhaits du public. Les communications atteignent des millions de gens beaucoup plus vite et plus fortement. Donc la tâche est d’atteindre le plus grand nombre possible de bénéficiaires de servir et du persuader. C’est aussi valable pour l’architecture, pour l’urbanisme et pour le design, qui peuvent atteindre à travers l’uniformisation et la stan-dardisation de ses produits de bénéficiaires sans différences. Aussi les ordres de grandeur de bâtiments et de villes, qui se tinrent aux exemples traditionnels plus tôt, ça accru gigantesque à travers la fusion des villes, les nouvelles unités d’habitation et les conteneurs d’appartements dont les milliers de gens qui profitent.

7

À ce sujet, nous voulons parler de deux représentants de la stan-dardisation. D´abord, il s’agit de Le Corbusier qui esquisse d’un part à Chandigah monument et d´autre part ses projets (le domi-no, Mono, Citrohan) devaient être construits comme une machine. Le Corbusier reconnaissait non seulement les avantages es-thétiques de la production de masses industrielle et il pensait on pourrait aussi produire des maisons industrielles. (Le Corbusier en 1969, S. 99) Il était d’avis que la préfabrication industrielle comme le principe Domino exige un typage et une standardisation. Le Corbusier décrit de la maison Citrohan comme “ machine à habiter “. Il se référait aux principes préoccupations concernant la cellule, qui pourrait être construite en série comme les voitures. Il a proposé la préfabrication, qui a réduit sautillage ou à l’équipement minimum nécessaire. Ça devait être un concept comme la voiture, les bateaux et avions pour aller de notion. Au total on peut dire que Le Corbusier voudrait construire “ ma-chine à habiter “ et l’inspiration provenait de l’industrie. Le deuxième représentant de la standardisation et de la rationalisa-tion était Walter Gropius qui poursuivait les objectifs la démocrati-sation et la standardisation. Il voulait une démocratisation des arts et établir une connexion avec les masses. Il est Henry van Velde ne voulaient pas accepter la standardisation, mais après la Première Guerre mondiale, ils ont la standardisation. Ils étaient convaincus que la créativité personnelle et l’individual-isme sont la priorité. Ensuite Walter Gropius était beaucoup marqué par le nouveau ra-tionalisme qui reflète la sollicitude à l’époque moderne industrielle. Il a développé le prototype d’une maison préfabriquée, et il était occupé de la construction d’habitations de masses comme la solu-tion des problèmes architecturaux de villes et sociaux. Il m’était engagé pour la rationalisation de l’industrie du bâtiment.8

TROISIÈME CONCEPT

Qualité- Monumentalité

La contrepartie du concept en haut est la question sur la qualité et monumentalité. La construction aux dimensions monumentale existe déjà depuis l’antiquité et le plus souvent chaque intention monumentale res-semble inévitablement à au type de construction ancienne qui sont les porteurs du côté monumental de la culture européenne depuis 2000 ans. On n’arrête pas de construire des constructions monumentales. Les nouvelles constructions monumentales en Allemagne, en Russie et Italie étaient simplement hors de l’architecture moderne. Donc, dans ces pays, les constructions monumentales étaient exploitées pour des fausses idéologies et le pouvoir. Les meilleurs exemples sont la Russie par Stalin et en Allemagne par Albert Speer. L’antiquité grecque était importante pour Giedion, mais elle n’était pas exemple pour la monumentalité.

9

Cependant, les architectes Le Corbusier, Louis Kahn et Oscar Niemeyer représentaient des approches de solution d’une nouvelle monumentalité dans trois capitales extraeuropéennes. Les architectes soulignent l’importance de monuments dans „Nine pointe of architecture“ : .„Le peuple souhaite que plus que des ac-complissements fonctionnels. On doit offrir des bâtiments qui expriment sa vie sociale et commune :“? Cit. In Frampton 1995 S. 191. Les architectes ont vu l’homme comme ils veulent le voir. Ils ont orienté leur design á ses propres idées celui que les gens doivent vouloir. Ils n’ont pas demandé les gens. Il est nécessaire d’apprendre comment l’homme perçoit son envi-ronnement et que comment cette perception affecte son comporte-ment. À cause de cela, Giedion plaidait aux monumentalités. À l’aide du monumentalité, l’architecture a historique et muette devrait transférer à l’affinité émotionnelle et symbolique avec l’homme et le lieu. Un exemple de cette idée est la construction de la nouvelle capitale de la province indienne Chandigarh par Le Corbusier. Aujourd’hui la monumentalité ne s’appelle pas écraser mais élever. Pour ainsi dire, on relie la monumentalité avec la taille. Les archi-tectes comme Rem Kohlhaas sont marquées du terme „Bigness“ et notre présence est lue avec ce terme. Avec le terme Bigness on a trouvé des nouvelles perspectives dans la contemplation de la monumentalité. Nous relions avec „Bigness“ aussi les projets ori-entés vers l’avenir comme par exemple „Vertical Farming“. On construit les„ Farmscrappers“ au centre des agglomérations et on exerce dans les Farmscrappers une agriculture urbaine . Ce sont les nouveaux concepts qui ont avantagé et inconvénients.

10

CONCLUSIONNous avons pensé que technologie et croissance seraient nous of-frir une meilleure vie: Ceci est une idée fausse. Nous croyons que plus de ressources économiques, des possibilités plus techniques et les libertés sociales plus nous apporteraient une vie meilleure . Nous avons absolutisé cela. Nous avons créé de problèmes écologiques, problèmes éthiques et aussi le problème mental. Nous devons commencer à trouver des solutions pour ces prob-lèmes dans notre société maintenant. Comme dit ci-dessus, nous vivons dans une culture de masse et la culture traditionnelle n’est pas importante. À cause de l’économie, les architectes ont essayé de rationaliser et standardiser l’architec-ture dans le passé. Mais on a vu que les projets ne s’orientaient pas à l’idée du public. Ensuite Giedion voulait changer avec son idée de la monumen-talité. Il voulait une architecture émotionnelle et symbolique avec l’homme et le lieu. Maintenant, les nouvelles solutions sont aussi sur la voie comme Farmscrappers, mais ce concept ne suffit pas à notre avis. Il est nécessaire de développer une monumentalité moderne, spécifique, avec des ressources modernes, sans recours dans

l’histoire, avec la grande habileté artistique, écologique et local.

11

La monumentalité n’a de sens que si elle peut être éprouvée essenti-elle, moderne durable et avec conscient de ses responsabilités, vers l’avant et non seulement vers l’arrière. La monumentalité poursuit toujours la perpétuation, définition; Ce n’est pas pour rien que “monumentum” = monument vient de moniere = rappeler à l’ancien et donner. Une construction avec des revendications monumentales . Elle l´élève des quantités en importance et aussi optique. La monumentalité doit dépasser les changements temporels jusqu ´à et l’éternité et elle doit être valables pour les prochaines générations. Il importe donc de bien réfléchir à quelles constructions on devait accorder ce grand geste.

12

BIBLIOGRAPHIE Textes généraux

Renato, Del Fusco. (1972): Architektur als Massenmedium: Taschenbuch.

Simmel, Georg. (1890): Über soziale Differenzierung. Frankfurt am Main: Suhrkamp Verlag.

Simmel, Georg. (1900): Die Philosophie des Geldes. Frankfurt am Main: Suhrkamp Verlag.

Simmel, Georg. (1903): Die Großstädte und das Geistesleben. Frankfurt am Main: Suhrkamp Verlag.

Simmel, Georg. (1908): Soziologie. Untersuchungen über die Formen der Vergesellschaftung. Von Otthein Rammstedt. Frankfurt am Main: Suhrkamp Verlag.

Simmel, Georg. (1911): Der Begriff und die Tragödie der Kultur. In: Hauptprobleme der Philosophie/Philosophische Kultur. Gesammelte Essays. Frankfurt: Suhrkamp Verlag.

Sites internetWalter Gropius Industrie Architekthttps://books.google.fr/books?isbn=3322938107

Le Corbusierhttps://de.wikiarquitectura.com/index.php/Citröhan_Haus

Sigfried Giedionhttps://archiv.gta.arch.ethz.ch/nachlaesse-vorlaesse/giedion-sigfriedhttp://www.ub.edu/escult/doctorat/html/lecturas/sert1.pdf

James Wines https://en.wikipedia.org/wiki/James_Wines

James Wines Logo

https://dentistryontheedge.files.wordpress.com/2007/10/james-wines-highrise-of-homes-project-exterior-perspective.jpg

13