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La Mémoire du Monde à l’ère numérique : numérisation et conservation Une conférence internationale sur l’accès permanent au patrimoine documentaire numérique DU 26 AU 28 SEPTEMBRE 2012 Vancouver, Colombie-Britannique, Canada Sheraton Vancouver Wall Centre Programme de la conférence Organisée par : En collaboration avec :

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La Mémoire duMonde à l’èrenumérique :numérisation etconservationUne conférence internationale sur

l’accès permanent au patrimoine

documentaire numérique

DU 26 AU 28 SEPTEMBRE 2012Vancouver, Colombie-Britannique, Canada

Sheraton Vancouver Wall Centre

Programme de la conférence

Organisée par :

En collaboration avec :

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Table des matières1 Bienvenue

5 Comités de la conférence

7 But et objectifs

9 Informations générales

11 Événement pré-conférenceÉvénement post-conférence

12 Le programme en un coup d’œil

16 Planificateur personnel

18 Programme de la conférence

41 Affiches

42 Commanditaires

44 Exposants

Contact

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1 n

Bienvenue à la conférenceL’ère numérique a radicalement transformé nos habitudes, noscomportements et nos aspirations. Elle influe sur les identités et lescultures, tout en transformant la forme du savoir que nous transmettronscomme héritage aux générations futures.

L’une des priorités essentielles de l’UNESCO est de maintenir l’accès ausavoir. Cette mission guide les actions que nous menons pour développeret encourager les politiques garantissant la survie de la mémoire dumonde. La conférence internationale La Mémoire du monde à l’èrenumérique : numérisation et conservation est une initiative essentielle pourpermettre la transmission de connaissances en faveur des objectifsmondiaux de développement.

Cette conférence fournira une plateforme pour mettre en relation lescitoyens avec des institutions publiques et privées du monde entier. Elleconstitue une occasion de sceller de nouvelles alliances stratégiques demanière à sauvegarder le savoir. Elle permettra également de renforcer lesactions menées par l’UNESCO pour promouvoir le savoir et partager lesexpériences sur la conservation du patrimoine numérique.

Je souhaite la bienvenue à tous les participants à la conférence etencourage chacun et chacune à étudier tous les aspects de laconservation du savoir sous forme numérique, afin d’élaborer dessolutions qui assurent un développement durable et équitable pour tous.

Irina Bokova

Directeur généralUNESCO

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3 n

Message du maire

Au nom des habitants de Vancouver et de mescollègues du conseil municipal, je voudraissouhaiter chaleureusement la bienvenue àVancouver aux délégués de la conférence del’UNESCO.

Vancouver est une ville pionnière sur le planéconomique, de l’innovation et desdivertissements. Forte d’une communauté à ladiversité culturelle extraordinaire et d’unenvironnement naturel à couper le souffle, allant dela mer jusqu’au ciel, Vancouver est un endroit quenous considérons comme unique. J’espère qu’enplus d’assister à la conférence, vous aurezl’occasion de jouir de nombreuses activitésculturelles et de loisirs que notre ville peut vousoffrir. Je sais que toute personne participant àl’organisation de l’événement fera de son mieuxpour que vous passiez un séjour exceptionnel.

Nous espérons que vous apprécierez le tempspassé à Vancouver et que la conférence sera ungrand succès.

Gregor RobertsonMaire de Vancouver

Message du président

À une autre époque de l’histoire humaine, la plus grandemenace pour le savoir enregistré n’était autre que le feu.

Construite au 3e siècle av. J.-C., la bibliothèqued’Alexandrie, en Égypte, servait d’archive pour les empirespassés et de sanctuaire où 400 000 documents, parmilesquels des livres sacrés, des chroniques et des texteslittéraires, étaient conservés. Par ailleurs, 42 800 autresdocuments étaient stockés non dans la bibliothèqueprincipale mais dans une annexe, le Temple de Serapis.Après la destruction par le feu de la bibliothèque principaleen 48 av. J.-C., les érudits ont continué à exploiter lacollection du Temple de Serapis, jusqu’à ce que celle-ci neparte également en fumée en l’an 391 de notre ère.

Nous ne saurons jamais exactement quelle masse deconnaissances a été perdue à cause de ces deux incendies ; en revanche, nous sommes conscients dudanger que représentent leurs équivalents modernes, àsavoir le piratage informatique, les pannes de courant et lacorruption des fichiers de sauvegarde. Limiter ces menacesrevient aujourd’hui à protéger l’entrepôt de la sagessehumaine. Face aux défis posés par la technologie, maiségalement par l’économie, la politique et la culture, un effortcollaboratif est nécessaire au niveau mondial afin depréserver les connaissances sous forme numérique, et cepour le bénéfice des générations futures.

En tant qu’organisatrice de cette conférence de l’UNESCO,l’UBC saisit l’occasion de participer à cet effort multinationalde première importance. Ce que vous contribuez àpréserver aujourd’hui en tant que délégués permettra auxgénérations à venir de trouver des réponses à leursquestionnements. J’ai l’honneur et le plaisir de souhaiter àchacun et chacune d’entre vous la bienvenue à Vancouver.J’ai hâte de connaître les résultats de vos délibérations,qui participeront sans nul doute à un avenir où lesdécouvertes et contributions de plus grands penseurs duglobe seront sauvegardées et partagées par tous.

Stephen J. ToopePrésident et vice-chancelier de l’UBC

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5 n

Comités de la conférence

COMITÉ DU PROGRAMME

PrésidentsLuciana Duranti, Canada

Jonas Palm, Suède

MembresSharon Alexander-Gooding, Barbade

Allan Bell, Canada

Paul Conway, États-Unis

Adrian Cunningham, Australie

Mariella Guercio, Italie

Shadrack Katuu, Kenya

Lekoko Kenosi, Botswana

Claudia Lacombe Rocha, Brésil

Jeremy Leighton John, Royaume-Uni

Michael Losavio, États-Unis

Chileshe Lusale, Zambie

Hemalatha Ramasamy, Malaisie

Saeed Rezaei Sharifabadi, Iran

Dietrich Schüller, Autriche

Joie Springer, UNESCO

Ken Thibodeau, États-Unis

Anne Thurston, Royaume-Uni

Jian Wang, Chine

SecrétaireElizabeth Shaffer, Canada

COMITÉ DE PLANIFICATION

Janis Karklin’š, Sous-directeur général, UNESCO

Maria Liouliou, UNESCO

Joie Springer, UNESCO

Caroline Haythornthwaite, Université de la Colombie-

Britannique

Ingrid Parent, Université de la Colombie-Britannique

Jewel Buksa, BUKSA Strategic Conference Services

COMITÉ D’ORGANISATION

Michel Benard, Google

Carlos Castro, Organisation mondiale de la

propriété intellectuelle, Genève

Wiebke Dalhoff, Fédération internationale des

associations de bibliothécaires et des

bibliothèques, La Haye

Pauline Dugré, Commission canadienne pour

l’Unesco, Ottawa

Luciana Duranti, Université de la Colombie-

Britannique, Vancouver

Stuart Hamilton, Fédération internationale des

associations de bibliothécaires et des

bibliothèques, La Haye

Caroline Haythornthwaite, Université de la

Colombie-Britannique, Vancouver

Dominique Levasseur, Délégation canadienne,

Paris

David Leitch, Conseil international des archives,

Paris

Alethea Lodge-Clarke, Microsoft, New York

Natasa Milic-Frayling, Microsoft, Cambridge

Jonas Palm, Archives nationales suédoises

Ingrid Parent, Université de la Colombie-

Britannique, Vancouver

Guilda Rostama, Organisation mondiale de la

propriété intellectuelle, Genève

Dietrich Schüller, Programme Information Pour

Tous, UNESCO / Groupe de travail Politique

internationale

Michèle Stanton-Jean, Gouvernement du

Québec, Paris

Janis Karklin’š, Sous-directeur général, UNESCO

Joie Springer, UNESCO

Maria Liouliou, UNESCO

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Memories should do more than linger. We can help.SLAIS, The iSchool at the University of British Columbia, s’engage à former les professionnels en matière de leadership pour la planification,la mise en œuvre et la promotion de la préservation, l’organisation et l’utilisation efficace du patrimoine documentaire numérique, à lafois sous forme numérique et traditionnelle. Reconnue sur la scène internationale, l’école offre le programme de maitrise enarchivistique, en bibliothéconomie, la Maitrise ès arts en littérature pour enfants, et le doctorat. Pour en connaître davantage sur notreformation et nos étudiants, visitez www.slais.ubc.ca.

À l’occasion de la conférence UNESCO « Mémoire du monde à l’ère du numérique : numérisation et conversion », nous avons le plaisird’accueillir à notre ville et sur notre campus les délégués venus de partout dans le monde et nous sommes reconnaissants desmembres de notre communauté qui ont contribué à la réussite de cette conférence :

n Doyen Gage Averill et la Faculté des arts pour leur soutien financier

n Directrice de la bibliothèque à UBC Ingrid Parent et Directrice de SLAIS Caroline Haythornthwaite, co-présidents du Comité deplanification

n Professeure Luciana Duranti, co-président du Comité de programmation

n Les étudiants SLAIS responsables du développement du Electronic Preservation Initiatives (EPI) : A UNESCO Memory of the WorldDatabase

n La Faculté SLAIS et les étudiants

n Les étudiant bénévoles de SLAIS

The University of Toronto Libraries is proud to partner with the University of British Columbia Libraries

to sponsor this important conference and to work with partner libraries across Canada

TO PRESERVE FOR FUTURE GENERATIONS THE DOCUMENTARY HERITAGE OF CANADA

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7 n

À PROPOS DE LA CONFÉRENCE

La conférence internationale de l’UNESCO Mémoire du

monde à l’ère numérique : numérisation et conservation

étudiera les principaux problèmes affectant la conservation

du patrimoine documentaire digital, de sorte à élaborer

des stratégies contribuant à une meilleure protection des

données numériques et permettant de définir un plan de

mise en œuvre qui soit notamment adapté aux pays en

développement.

Aujourd’hui, le savoir est principalement créé et transmis

grâce aux médias numériques ; cependant, il est très

éphémère, et sa disparition pourrait se traduire par un

appauvrissement humain. Malgré l’adoption de la Charte

de l’UNESCO sur la préservation du patrimoine numérique

en 2003, les risques de perte du patrimoine numérique

sont insuffisamment pris en compte.

En tant que produits culturels et sources de savoir, les

données numériques possèdent une valeur économique.

Elles jouent un rôle majeur dans le développement durable

des pays, dans la mesure où les données personnelles,

gouvernementales et commerciales sont de plus en plus

souvent enregistrées exclusivement sous forme

numérique. Les données nationales numérisées

représentent également une richesse immense pour les

pays concernés et pour la société dans son ensemble. La

disparition de ce patrimoine entraînerait un

appauvrissement économique et culturel et entraverait les

progrès en matière de connaissance.

OBJECTIFS DE LA CONFÉRENCE

La sauvegarde de documents numériques est une

question essentielle qui concerne chacun d’entre nous.

Cependant, la majorité des individus ne sont pas

conscients du risque de perte ou du niveau de ressources

nécessaires pour une protection à long terme. Cette

conférence fournira une plateforme pour présenter les

principales actions menées en la matière, tout en

sensibilisant sur les problèmes pour trouver des solutions

à l’échelle mondiale.

Assurer la continuité numérique des données nécessite

d’aplanir différents obstacles d’ordre juridique,

technologique, social, financier, politique et autres. La

conférence de Vancouver cherche donc à mettre en

œuvre :

® le lancement d’initiatives spécifiques liées à la

préservation numérique et à la promotion de l’accès au

patrimoine documentaire grâce à la numérisation ;

® l’élaboration d’orientations politiques en matière de

numérisation ;

® la mise à jour ou la révision de la Charte de l’UNESCO

sur la conservation du patrimoine numérique ;

® la sélection de cadres juridiques permettant de favoriser

une conservation numérique durable ;

® un accord sur la promotion ou le développement de

normes d’échange ;

® la définition des rôles spécifiques incombant aux

professionnels, aux universitaires, aux entreprises et

aux États pour faire face aux différents problèmes, et

enfin l’élaboration d’un modèle de coopération.

PROGRAMME

Les sessions de la conférence visent à étudier les

principaux problèmes affectant la conservation du

patrimoine documentaire numérique à l’échelle mondiale.

Les participants débattront de manière à évaluer les

politiques actuelles et à proposer des recommandations

pratiques en ce qui concerne l’accès permanent au

patrimoine documentaire numérique. Des experts

internationaux reconnus de l’accès et de la préservation

numérique du patrimoine culturel compteront parmi les

orateurs principaux. L’appel pour les résumés de

présentations orales a suscité 240 soumissions au niveau

mondial ; environ 100 d’entre elles ont été retenues.

But et objectifs

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9 n

EVÉNEMENTS SOCIAUX - OÙ, QUAND,QUOI PORTER

Réception d’ouverture26 septembre 20121815 – 1930Hôtel Sheraton Wall CentrePavilion Ballroom Tenue : Tenue d’affaires formelle

Dîner et tours au Musée d’Anthropologie27 septembre 20121730 – 2200Musée d’Anthropologie, Université de laColombie-BritanniqueTenue : Tenue d’affaires décontractéeTour du Musée suivi du dînerTransports du et vers le Sheraton Wall CentrefournisDépart du lobby North Tower de l’hôtel vers leMusée à 1730Départ du bus vers l’Hôtel à partir de 2130

REPAS ET RAFRAÎCHISSEMENTS

La nourriture fournie lors de la conférence

comprend :

® Des pauses-rafraîchissements quotidiens

au milieu de la matinée et de l’après-midi

® Des déjeuners quotidiens

® Une réception de bienvenue (mercredi)

® Un dîner au Musée d'Anthropologie (jeudi)

Remarque: ni le petit-déjeuner ni le café du

matin ne sont fournis.

Information générale

HORAIRES DU BUREAU D’INSCRIPTION

Lieu: Lobby North Tower

Mardi 25 septembre : 1900 – 2100 Mercredi 26 septembre : 0730 – 1800 Jeudi 27 septembre : 0730 – 1700Vendredi 28 septembre : 0800 – 1200

INTERPRÉTATION SIMULTANÉE

Les séances plénières et un certain nombre desessions parallèles seront traduites simultanémentde l’anglais vers le français ou du français versl’anglais. Veuillez vous procurer des casquesauprès du bureau d’inscription.

COORDONNÉES DE L’HÔTEL

Sheraton Vancouver Wall Centre Hotel1088 Burrard StreetVancouver, Colombie Britannique, CanadaTel: 604.331.1000 ou 1.888.627.7058

Concierge de l’hôtelPour des informations sur la ville de Vancouver, y compris des informations sur les restaurants et lestransports, veuillez contacter le concierge qui se trouveaux lobbies North Tower et South Tower de l’hôtelSheraton Vancouver Wall Centre.

INFORMATIONS EN CAS D’URGENCEPolice, Ambulance, Feu – appelez 911

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We invite delegates to explore the UBC campus, including these events and attractions:

Wu Han Chi: One Family – Two Nations Exhibition / Sept. 13 – 26, 2012Asian Centre Auditorium, 1871 West Mall

A native of Taishan, Kwantung province, Wu Han-Chi (1872-1913) had been elected as a member of the lower houseof the first formal parliament in 1913. He played an active role in uprisings that shaped the future of modern Chinaand was assassinated on political grounds.

“The Iron Pulpit”: Missionary Printing Presses in British Columbia / Sept. 14 – Oct. 31, 2012Irving K. Barber Learning Centre, 1961 East Mall, Level 1

A display of texts produced on missionary printing presses in British Columbia, 1850s to 1910s.

The Wallace B. Chung & Madeline H. Chung Collection / OngoingIrving K. Barber Learning Centre, 1961 East Mall, Level 1

The Chung Collection is a 25,000 piece collection that tells the journey of early British Columbia history and thedevelopment of the Chinese community in Canada. Designated as a national treasure by the Canadian CulturalProperty Export Review Board.

On behalf of UBCLibrary, welcomeconference delegatesand enjoy your stay in Vancouver, British Columbia.UBC Library advances research,learning and teaching excellenceby connecting communities,within and beyond the University,to the world’s knowledge.

Stay connected with UBC Library after the conference – bookmarklibrary.ubc.ca or follow us on Facebook or Twitter @ubclibrary.

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11 n

Mardi 25 septembre 20121830 – 1930

Lieu: Sheraton Wall Centre, Pavilion Ballroom D

Confiance, droits et la conservation numériqueDavid Giaretta, Directeur, Alliance pour l’accèspermanent (APA), et Alliance Permanent Access tothe Records of Science in Europe Network(APARSEN)

Ce discours est offert aux participants de la Conférence del’UNESCO par le Département d’études avancées de l’InstitutPeter Wall de l’Université de la Colombie-Britanniquewww.pwias.ubc.ca/). Cet événement public et gratuitconclut l’atelier interdisciplinaire exploratoire de l’Institut PeterWall sur « la confiance et les droits contradictoires dansl’environnement numérique », dirigé par Luciana Duranti ettenu sur le campus de l’UBC du 24 au 25 septembre 2012.

Pour plus d’informations, veuillez consulter le site internet del’atelier à : www.digitaltrust.pwias.ubc.ca./

Présentation des prix

Le discours public sera suivi par l’attribution du prix EmmettLeahy et une réception offerte par Huron Legal, l’Institut PeterWall et l’École des études bibliothécaires, archivistiques et del’information à l’Université de la Colombie-Britannique, aucours de laquelle la Fondation internationale de l’EducationARMA attribuera ses bourses aux gagnants de 2012. Cettepartie de l’événement est également ouverte au public etgratuite.

Samedi 29 septembre 2012Session 1 : 1000 – 1200

OU

Session 2 : 1400 – 1600

Lieu: UBC Robson Square, Salle C440

Atelier Archivematica 0,9Peter Van Garderen, Courtney C. Mumma, Artefactual Systems Inc.

Cet atelier de style tutoriel offre un enseignement pratique enutilisant la première version bêta du système de conservationnumérique libre Archivematica. Mené par l’équipe deconception Archivematica, les participants traiteront deséchantillons de matériaux numériques depuis l’acquisitionjusqu'à l’archivage et l’accès. Les participants pourront utiliserleur propre ordinateur portable pour accéder aux copieshébergées dans le cloud du système web d’Archivematica etsuivre les étapes du travail pratique.

Exigences : portable avec WiFi et navigateur (Browserminimum exigences: IE 9 +, Firefox 10+, Safari 5.1, Chrome16 +)

Coût : 199 $ CAD

Nombre maximal des participants par session : 20

Pour vous inscrire, veuillez consulter la page:http://archivematica.org/workshops

Evénements avant la conférence

Evénements après la conférence

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Mercredi 26 septembre 2012 Interprétation simultanée = (IS)

0900 – 0930 Introduction et cadre

0930 – 1000 Ken Thibodeau, National Institute for Standards and Technology

1000 – 1030 Seamus Ross, Université de Toronto

1030 – 1100 Pause Pavilion Ballroom

1100 – 1130 Luciana Duranti, Université de la Colombie-Britannique

1130 – 1200 Anne Thurston, International Records Management Trust

1200 – 1330 Déjeuner Grand Ballroom

1510 – 1540 Pause et expositions/affiches Pavilion Ballroom

SÉANCE PLÉNIÈRE n°1 : RATIONALE DE LA CONFÉRENCE (IS) Grand Ballroom0900 – 1200

SÉANCES PARALLÈLES1330 – 1510

ThèmeA

Les initiativesconcernant

l’infrastructurede la propriétéintellectuelle

du patrimoinenumérique

BInfrastructures

deconservation :les modèlesactuels et lesalternativespossibles

CLes défis liés

à desdocumentsnumérisés

DLa missionCODATA :

conserver lesdonnées

scientifiquespour le futur

EConserver la

tradition et lesarts du

spectacle sousforme

numérique

Atelier n°1Le projet « Archive-matica » :répondre aux défis

techniques dela continuiténumérique

Expo n°1

Décoder laMémoire du

monden°2

Conserver lepatrimoinenumérique

Salle Grand Ballroom Junior A/B Junior C Junior D Port McNeill Parksville Pavilion D

1330 – 1350 H. Christenson, J. Wilkin

I. Pescini, W. Volpi

E. Griffin K. Madsen, Mincaye,

R. Katikala,C. Ross

J. Springer

1350 – 1410 E. TownsendGard

F. G. Mwangi P. Caldwell L. Kenosi

1410 – 1430 J. Franklin J. York S. Del Greco J. Langdalen

1430 – 1450 K. Hennessy H. Stancic,I. Milosevic,

A Rajh

D. R. F. Taylor, T. Lauriault

L. Sorensen, T. Jones

N. Milic-Frayling,B. van der Werf

1450 – 1510 Discussion Discussion Discussion Discussion

P. Van Garderen, T. Hooten, P. Jordan,

C. Mumma, E. McLellan

O. Stokkmo,A. Guadamuz,F. X. Nuttall,

M. A. Wilkinson

n 12

Le programme en un coup d’œil

S. Ross, V. Owen, M. Ouma

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13 n

1700 – 1715 Pause et expositions/affiches Pavilion Ballroom

Jeudi 27 septembre 2012

0900 – 0930 Brewster Kahle, Archives Internet

0930 – 1000 Vinton Cerf, Google

1000 – 1030 Jeanne Sheldon, Microsoft

1030 – 1100 Pause et expositions/affiches Pavilion Ballroom

CÉRÉMONIE D’OUVERTURE (IS) Grand Ballroom1715 – 1815

SÉANCE PLÉNIÈRE n°2 (IS) Grand Ballroom0900 – 1030

SÉANCES PARALLÈLES1540 – 1700

1815 – 1930 RÉCEPTION DE BIENVENUE Pavilion Ballroom

SÉANCES PARALLÈLES1100 – 1215

1540 – 1600 F. M. Melo Alves, J. A. Moreiro

González,J. M. Matias

B. Sprout,S. Romkey

W. Liu H. Besser C. Becker,A. Rauber, H. Kulovits

L. Frate

1600 – 1620 B. Ferland,T. Muller

N. Grindley C. Lee,K. Woods

R. V. Lewin

1620 – 1640 J. VanOudenaren

K. Bradley C. Rogers,J. L. John

T. Reilly

1640 – 1700 Discussion Discussion Discussion Discussion

ThèmeA

Au-delà del’accès : la

numérisationpour préserver

la culture(IS)

BStratégies decréation de

dépôtsnumériques

CLa propriété

intellectuelle et la protectiondes savoirstraditionnels

DInvestigation

numérique pourla conservationdu patrimoine

numérique

EDonner une

voix numériquepermanente

aux sans voix

Atelier n°2Rôles et

responsabilitésdans la prise de

décisionconcernant laconservationnumérique :

vers unegouvernance

efficace

Expo n°3La

transformationnumérique ausein de l’Officenational du film

du Canada –Des films aux

octets

Salle Grand Ballroom Junior A/B Junior C Junior D Port McNeill Parksville Pavilion D

1100 – 1120 A. Vilks J. Schleser F. Foscarini S. Cavaglieri

1120 – 1140 I. Chew,H. Jailani

H. Ryckman T. Kaiku, V. Puipui

S. R.Sharifabadi, M. Tajdaran, Z.R. Jambari

1140 – 1200 E. Bodê L. Nathan, E. Shaffer

X. Wang, Y. Nie

J. Boel, A. Cowling, C. Michotte,A. Torrance

1200 – 1215 Discussions Discussion Discussion Discussion

N. Wallaszkovits

C. LacombeRocha,

A. Picone

ThèmeA

Les stratégiesnationales,

fondement dela solidarité

BLes produits

Web 2.0,patrimoine

documentairenumérique:

pouvons-nousy accéder et les

conserver ?

CLe rôle de la

culture dans lanumérisation etla conservation

numérique

DModèle deréférence

Système ouvertd’archivage

d’information :réponse ouinspiration ?

Atelier n°3La numérisationde collections

sonores depetite taille :problèmes et

solutions

Expo n°4InterPARES :l’expériencebrésilienne

Salle Parksville Pavilion D Junior C/D Port McNeill Junior A/B Grand Ballroom

D. Z. Johnsson,G. Nicholas,K. Christen, M. Torsen

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n 14

1215 – 1330 Déjeuner Grand Ballroom

1505 – 1530 Pause et expositions/affiches Pavilion Ballroom

1645 Fin des séances pour la journée

Transfert par bus : Départ du lobby North Tower de l’hôtel à 1730. Pour plus de détails, veuillez consultezla section « Informations générales ».

Vendredi 28 septembre 2012

0900 – 0930 Ruediger Klein, Royal Netherlands Academy of Arts and Sciences

0930 – 1000 Dietrich Schüller, Phonogrammarchiv, Académie autrichienne des sciences

1000 – 1030 Pause et expositions/affiches

0900 – 1000 SÉANCE PLÉNIÈRE n°3 (IS) Grand Ballroom

1330 – 1505 SÉANCES PARALLÈLES

1530 – 1645 SÉANCES PARALLÈLES

1730 – 2200 DÎNER Musée d’Anthropologie, Université de la Colombie-Britannique

1330 – 1350 M. Guercio D. S. H.Rosenthal

A. Sheppard S. Higgins E. Watson

1350 – 1410 R. Källman U. BoegvadKejser,

A.B. Nielsen,A. Thirifays

A. Barnard J. Esposito R. Marcoux, L. Richard,

M. K. Konaté

1410 – 1430 V. Reich U. P. Cabral J. R. Baron,S. Attfield

P. Forget B. Oswald

1430 – 1450 S. Knight P. Liebetrau E. Goh J. Bastian, R. Harvey

K. Christen, J. Anderson,

M. Ashley

1450 – 1505 Discussion Discussion Discussion Discussion Discussion

W. Runde,C. Cabulea

1530 – 1550 V. Lemieux L. Dong H. Liu I. King J. B.Ntungirimana (IS)

C. Pescatore

1550 – 1610 M. Groover M. Demoulin G. Navarro J. L. John F. Al-Sabah

1610 – 1630 K. Thibodeau D. Giaretta M. Holden E. Borglund W. Torborg, T. Vann

1630 – 1645 Discussion Discussion Discussion Discussion Discussion

ThèmeA

Collaborationou non-

collaborationdans la

conservationnumérique : cequi fonctionne

BL’économie dela conservationde l’information

numérique(IS)

CA-t-on besoind’un nouveau

cadre légal pourla conservationnumérique ou

est-ce que la politique

suffira ?

DConservationnumérique : laconvergencedes défis, desinstitutions et

desconnaissances

(IS)

ELes expériencesde la numérisation

et de laconservation

numérique dansla perspective

des paysémergents

Atelier n°4ARCOMEM –

ArchiveCommunityMEMories

Salle Parksville Grand Ballroom Junior C/D Pavilion D Port Alberni Junior A/B

ThèmeA

S’assurer quecela ne se

reproduira pas

BFaire confiance

aux archives

CL’archivage duWeb, une partieintégrante de laconstruction du

patrimoinedocumentaire

de notreépoque

DLa technologie,médiateur dupatrimoine, etses relations

avec lesindividus

ERessources ou

expertiselimitées :

études de caspour régler les

difficultés

Expo n°5Gestion des

déchetsradioactifs au

cours desgénérations

Salle Parksville Port Alberni Junior C/D Port McNeill Pavilion D Junior A/B

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1225 – 1340 Déjeuner Grand Ballroom

1515 – 1545 Pause et expositions/affiches Pavilion Ballroom

CONCLUSION SÉANCE PLÉNIÈRE (IS) Grand Ballroom1545 – 1630

SÉANCES PARALLÈLES1340 – 1515

SÉANCES PARALLÈLES1030 – 1225

1110 – 1130 E. Ceccuti P. Manoni, G. Michetti

G. Samuelsson Y. Guan

1130 – 1150 A. Jansen L. Enns, G. Badesha

S. Katuu M.Y. Huang

1150 – 1210 R. Butler, M. Newnham

W. Allasia, F. Falchi,

C. Meghini

C. Prom A. Hay, G. Peterson

1210 – 1225 Discussion Discussion Discussion Discussion

1030 – 1050 J. Gagnon J. Tennis A. Prodan C. Rudolph, N. Kuntze

1050 – 1110 C. Frick A. Rabinowitz, M. Esteva, J. Trelogan

G. Michetti A. Alva, B. Endicott-Popovsky, S. David

15 n

1340 – 1400 A. Das A. Pam P. Botticelli, A. Clark,

P. Montiel-Overall,

R. Prouty

B. Gordon J. Fang, Z. L. Jiang, S. M. Yiu,

L. Hui, K. P. Chow,

N. He

D. Katre, L. Duranti,

S. Xie

1400 – 1420 L. Weir K. Matusiak, T. Johnston

V. Wintermans,M. de Niet

M. Casey J. Huang, Y. Chen, K. Choo,

X. Fu, Z. Ling

1420 – 1440 S. Reilly J. Bushey P. Conway G. Blood F.R. Van Staden,H. S. Venter

1440 – 1500 H. Rosen, T. Johansson, H. Johansson

A. Altobellis L. Björk P. Pellizzari,A. Hegewisch

Y. Cai, P. Ji

1500 – 1515 Discussion Discussion Discussion Discussion Discussion

1110 – 1130 C. Ambaud

1130 – 1145 M. Berendse

1145 – 1200 P. Burnhill, F. Pelle,

P. Godefroy, F. Guy,

M. Macgregor, A. Rusbridge

1200 – 1225 Discussion

1030 – 1045 C. M. Skarlupka

1045 – 1100 C. Nicolai, R. Oriente, F. Serván

1100 – 1115 E. Kuzmin

E. Shaffer, C. Rogers, D. Force, E. Goh

ThèmeA

Perspectives etcoopération

internationales

BLa mémoire

audiovisuelledu monde :

défis pratiqueset solutionsthéoriques ?

CMétadonnées

et formats pourla numérisation

et laconservationnumérique

DUn cadre

méthodologiquepour assurer laconservation

ELes objets

numériques :une preuve

légale

Atelier n°5Eduquer les

professionnelsdes archives au

sujet de laconservationnumérique

Salle Parksville Pavilion D Junior C/D Port McNeill Port Alberni Grand Ballroom

ThèmeA

Les initiativesinstitutionnelles

etinterorganisa-tionnelles dansla numérisation

BConserver lesimages : quedevons-nous

savoir ?(IS)

CLa numérisation

à petite etgrande échelle:vers un modèle

conceptuelcommun

DConservationdu matérielaudiovisuel

EFaire confianceaux données etaux documents

en ligne

Expo n°6Le centre

d’excellenceindien sur laconservationnumérique etl’InterPARES

Salle Parksville Grand Ballroom Junior C/D Port McNeill Port Alberni Pavilion D

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n 16

Mercredi 26 septembre 2012

Jeudi 27 septembre 2012

SÉANCE PLÉNIÈRE n°1 : RATIONALE DE LA CONFÉRENCE Grand Ballroom0900 – 1200

SÉANCES PARALLÈLES1330 – 1510

1540 – 1700 SÉANCES PARALLÈLES

CEREMONIE D’OUVERTURE Grand Ballroom1715 – 1815

1815 – 1930 RÉCEPTION DE BIENVENUE Pavilion Ballroom

SÉANCE PLÉNIÈRE n°2 Grand Ballroom0900 – 1030

SÉANCES PARALLÈLES1100 – 1215

Planificateur personnel

A B C D E Atelier n°1 Expo

Grand Ballroom Junior A/B Junior C Junior D Port McNeill Parksville Pavilion D

1330 – 1350

1350 – 1410

1410 – 1430

1430 – 1450

1450 – 1510

n°1

n°2

A B C D E Atelier n°2 Expo n°3

Grand Ballroom Junior A/B Junior C Junior D Port McNeill Parksville Pavilion D

1540 – 1600

1600 – 1620

1620 – 1640

1640 – 1700

A B C D

Parksville Pavilion D Junior C/D Port McNeill

1100 – 1120

1120 – 1140

1140 – 1200

1200 – 1215

Atelier n°3 Expo n°4

Junior A/B Grand Ballroom

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17 n

Vendredi 28 septembre 2012

CONCLUSION SÉANCE PLÉNIÈRE Grand Ballroom1545 – 1630

SÉANCES PARALLÈLES1340 – 1515

SÉANCE PLÉNIÈRE n°3 Grand Ballroom0900 – 1000

SÉANCES PARALLÈLES1030 – 1225

DÎNER Musée d’Anthropologie, Université de la Colombie-Britannique1730 – 2200

SÉANCES PARALLÈLES1530 – 1645

SÉANCES PARALLÈLES1330 – 1505

A

Parksville

1030 – 1045

1045 – 1100

1100 – 1115

1115 – 1130

1130 – 1145

1145 – 1200

1200 – 1225

B C D E Atelier n°5

Pavilion D Junior C/D Port McNeill Port Alberni Grand Ballroom

1030 – 1050

1050 – 1110

1110 – 1130

1130 – 1150

1150 – 1210

1210 – 1225

A B C D E Atelier n°4

Parksville Grand Ballroom Junior C/D Pavilion D Port Alberni Junior A/B

1330 – 1350

1350 – 1410

1410 – 1430

1430 – 1450

1450 – 1505

A B C D E

Parksville Port Alberni Junior C/D Port McNeill Pavilion D

1530 – 1550

1550 – 1610

1610 – 1630

1630 – 1645

Expo n°5

Junior A/B

A B C D E

Parksville Grand Ballroom Junior C/D Port McNeill Port Alberni

Expo n°6

Pavilion D

1340 – 1400

1400 – 1420

1420 – 1440

1440 – 1500

1500 – 1515

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n 18

Programme de la conférence

Jour 1: Mercredi 26 septembre 2012 Interprétation simultanée = (IS)

0900 – 0930 ® Introduction et cadrePrésident : David Walden, Secrétaire général de la Commission canadienne pour l’UNESCOJanis Karklin

’š, Sous-directeur général de l’UNESCO

0930 – 1000 ® La lutte contre les changements de forme : Les perspectives de la conservation de la Mémoire à l’ère numériquePrésidente : Luciana Duranti, Université de la Colombie-Britannique, CanadaKen Thibodeau, National Institute of Standards and Technology, États-Unis

On démarre avec la question de base « De quoi s’agit-il ? ». La conservation numérique se présente sous différentesformes: la conservation de la technologie de l’information, la conservation des objets numériques crées au moyende cette technologie ou la conservation des informations apportées par ces objets numériques. Même si chaquealternative présente des points forts et des faiblesses, chacune apporte son lot de difficultés. Cette questionexplorera le caractère changeant de la mémoire numérique et fournira un cadre pour un discours rationnel sur sesdéfis divers et variés.

1000 – 1030 ® L’économie de la création, de la curation et de la conservation numériquesPrésidente : Maria Guercio, Université de Rome “La Sapienza”, ItalieSeamus Ross, Université de Toronto, Canada

Le défi économique en est un parmi les nombreux défis pour la représentation et la conservation systématiques denos archives sous forme numérique. Ce discours, qui s’ouvrira sur un aperçu sur les coûts d’expertise,d’administration et de technologie, analysera l’économie de la conservation numérique en se penchant sur le coût etles revenus dans le but de dévoiler les modèles économiques susceptibles de soutenir la pérennité à long terme denotre vaste éventail de matériels numériques qui ne cesse de grandir.

1030 – 1100 Pause et expositions/affiches Pavilion Ballroom

1100 – 1130 ® La confiance et les droits contradictoires dans l’environnement numérique Président : Jonas Palm, Archives nationales de SuèdeLuciana Duranti, Université de la Colombie-Britannique, Canada

Tandis que les technologies numériques qui émergent et évoluent servent particulièrement les besoins desgouvernements, des entreprises et des individus, les conséquences souvent imprévues de leur utilisation peuventêtre néfastes. Quand WikiLeaks a commencé à dévoiler au grand public le plus grand ensemble de documentsconfidentiels jamais publié, on s’est rendu compte à quel point nos droits tant chéris, bien que parfoiscontradictoires, étaient mis en péril dans le monde numérique (secret contre transparence et confidentialité contreaccès à l’information). De plus, la fabrication, la conservation et l’accès aux archives dans l’environnement de

SÉANCE PLÉNIÈRE n°1 : RATIONALE DE LA CONFÉRENCE (IS) Grand Ballroom0900 – 1200

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19 n

l’Internet, lequel dispose de multiples réseaux et peut être facilement piraté, créent des failles dont la responsabilitérevient aux institutions et ce, peut-être à leur insu. Peut-on faire confiance aux données ?

1130 – 1200 ® Numérisation et conservation : les opportunités qui s’offrent à l’échelle mondiale et les défis culturelsPrésident : Lekoko Kenosi, Université du BotswanaAnne Thurston, International Records Management Trust, Royaume-Uni

Nos sociétés disposent de la plus grande opportunité qu’elles n’aient jamais eue auparavant de conserver etpartager l’information et de donner plus de pouvoir aux citoyens grâce à l’accès à l’information. Les professionnelsde l’information peuvent tirer profit d’un ensemble de bonnes pratiques internationales pour la gestion del’information numérique, le développement du cadre et de l’ensemble des compétences nécessaires à la création, laprotection et la conservation de l’information numérique dans laquelle les gouvernements et les citoyens peuventavoir confiance et dont la fonction reliera les générations entre elles dans le temps. Le défi consiste à partager cesconnaissances dans le monde entier aussi rapidement que possible et d’exposer clairement les problèmes majeursconcernant la conservation.

1200 – 1330 Déjeuner Grand Ballroom

1330 – 1510 Séances parallèles

Présidente de la séance : Daphne Zografos Johnsson, Organisation Mondiale de la PropriétéIntellectuelle

La séance s’ouvrira par une description de l’approche « HathiTrust » qui vise à tirer profit légalement des œuvresqu’elle rassemble, comme la révision des droits d’auteur, les opportunités pour les détenteurs de droits à faireconnaître leurs œuvres et les mécanismes d’adhésion à la loi actuelle. Ensuite, s’ensuivra la présentation du « Durationator » : un outil logiciel permettant aux utilisateurs du monde entier d’apporter des informations au sujet d’une œuvre et d’obtenir des données juridiques relatives aux droits d’auteur de cette œuvre. Enfin, laséance se penchera sur la contribution de l’anthropologie numérique au discours sur l’héritage numérique et lapropriété culturelle.

1330 – 1350 ® Les droits intellectuels et la collection « HathiTrust »H. Christenson, Université de Californie; J. Wilkin, « HathiTrust » , États-Unis

1350 – 1410 ® L’expérience des droits d’auteur du « Durationator » : un outil pour le mondeE. Townsend Gard, Université Tulane, États-Unis

1410 – 1430 ® Au-delà d’un cadre juridique: Quand les attentes des peuples autochtones se heurtent au droit d’auteur J. Franklin, Université de Washington, États-Unis              

1430 – 1450 ® Le patrimoine numérique et le discours des droits de propriété culturelle localeK. Hennessy, Université Simon-Fraser, Canada

1450 – 1510 Discussion

Présidente de la séance : Chinyere Otuonye, Agence de développement de la médecine naturelle au Nigeria

La séance décrira les expériences visant à mettre en place des infrastructures de conservation numérique dans legouvernement, dans les pays développés et émergents ainsi que dans un environnement académique. Ensuite, elleexaminera les possibilités de transposition des mêmes principes et critères sur lesquels ces infrastructures sontbasées dans un environnement Cloud.

LES INITIATIVES CONCERNANT L’INFRASTRUCTURE DE LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE DU PATRIMOINE NUMÉRIQUE Grand BallroomA

INFRASTRUCTURES DE CONSERVATION: LES MODÈLES ACTUELS ET LES ALTERNATIVES POSSIBLES Junior A/BB

Mercredi 26 septembre 2012 suite

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n 20

1330 – 1350 ® Un exemple à suivre: une infrastructure pour l’interopérabilité et la gouvernance dans le système public toscan pour la conservation numériqueI. Pescini, W. Volpi, Regione Toscana, Italie

1350 – 1410 ® La voie pour accéder au patrimoine documentaire du Kenya – Projet de numérisation des Archives nationales du KenyaF. G. Mwangi, Archives nationales et service de documentation du Kenya

1410 – 1430 ® Une infrastructure de conservation mise en place pour durer : conservation, communauté et « HathiTrust »J. York, « HathiTrust » , États-Unis

1430 – 1450 ® « Archiving-as-a-Service » (Archivage comme un service) : influence du Cloud sur la théorie et les pratiques archivistiquesH. Stancic, I. Milosevic, Université de Zagreb, Croatie ; A. Rajh, Agency for Medicinal Products andMedical Devices, Croatie

1450 – 1510 Discussion

1330 – 1400 ® Débat 1 – Les défis liés à l’accès, l’identification et la réutilisation de documents numérisésPrésident de la séance : Stuart Hamilton, Fédération internationale des associations de bibliothécaires etdes bibliothèquesPanélistes : O. Stokkmo, Fédération internationale des organisations de droits de reproduction ; A. Guadamuz, Creative Commons ; F.X. Nuttall, Gestion des droits, Google ; M. A. Wilkinson, Faculté deDroit de l’Ouest, Canada

Le premier thème de cette séance analysera certains de plus importants défis relatifs à l’accès, l’identification, lacirculation et la réutilisation de documents numérisés. Certaines institutions de patrimoine culturel revendiquent desdroits pour des matériels numérisés qui à leur origine étaient dans le domaine public. Cela peut constituer un obstacledans un contexte transfrontalier, puisque dans certains pays, une œuvre reste dans le domaine public une foisnumérisée, alors que dans d’autres, ce n’est pas le cas. Les discussions offriront la possibilité de discuter dedifférentes approches, y compris la normalisation et la gestion des droits, et de l’amélioration davantage de lacompréhension commune sur les droits d’auteur des documents numérisés. Le manque de clarté et d’harmonisationde la législation sur les œuvres orphelines sera examiné pour identifier les possibilités d’établir un cadre transfrontalierinternational reconnaissant les œuvres orphelines et un mécanisme de rémunération des ayants droit éventuels.

La séance conclura en invitant les intervenants à donner leur opinion sur les défis et les solutions possibles. Lesmembres du public pourront participer à la discussion et réfléchir sur les possibilités d’établir un régime de droitd’auteur pour faciliter l’accès et la circulation de toutes les catégories de matériels numérisés.

1400 – 1410 Pause

1410 – 1510 ® Débat 2 – Les défis liés à la conservation de documents numérisés: les exceptions et les limitations et le rôle des bibliothèques et des archivesPrésident de la séance : Victor Vazquez Lopez, Organisation Mondiale de la Propriété IntellectuellePanélistes : S. Ross, Professeur à l’Université de Toronto, Canada ; V. Owen, Université de Toronto,Canada ; M. Ouma, Conseil de droit d’auteur (Copyright Board) du Kenya

Le débat commencera en présentant les exceptions et les limitations de la conservation, en particulier pour lesbibliothèques et les archives dont la mission inclut la conservation du patrimoine culturel, la promotion de lacirculation de l’information et le soutien de l’apprentissage et la recherche. La réflexion sur les exceptions pour larecherche, pour des fins éducationnels et pour les bibliothèques ou les institutions du patrimoine culturel seral’occasion pour l’OMPI de présenter son travail avec le Comité permanent des droits d’auteur et droits connexes(SCCR), y compris le projet de traité de l’OMPI sur les exceptions et les limitations pour les personnes handicapées,les institutions d’enseignement et de recherche, les bibliothèques et les archives.

LES DÉFIS LIÉS À DES DOCUMENTS NUMÉRISÉS Junior CC

Mercredi 26 septembre 2012 suite

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21 n

Les intervenants examineront les exceptions et les limitations dans leurs présentations et le public aura l’occasion decontribuer aux discussions. Les discussions offriront également l’occasion de se concentrer sur la question du dépôtlégal appliqué à un contenu numérique et le manque d’harmonisation des régimes de dépôt légal à travers le monde.

Président de la séance : Chris Muller, Muller Media Conversions, États-Unis

Cette séance décrira les initiatives prises par des membres des « données en danger » (DARTG), un groupe detravail du Comité de données pour la science et la technologie (CODATA, un organe du Conseil international pourla Science), pour conserver les données scientifiques menacées de disparition car elles ne sont pas sous formatélectronique moderne ou elles ont une durée de vie particulièrement courte. Le DARTG recherche des sources dedonnées dans le monde entier, sachant qu’un grand nombre d’entre elles ne peuvent pas être remplacées pour larecherche dans les tendances à long terme du monde ordinaire. A l’aide d’exemples qui témoignent de lanécessité d’avoir des programmes pour la sauvegarde des données, une description de la sauvegarde desdonnées du marégraphe sera proposée, suivie d’un rapport sur le programme américain NCDC afin d’organiserses vastes archives papier et sur microfiches, ainsi que d’autres médias, et de les numériser dans la mesure desressources disponibles. La séance se poursuivra sur une discussion des défis pour conserver et accéder auxcartes, reconstituées sous forme interactive, et sera conclue par une discussion ouverte sur ces défis et les sujetsqui y sont liés. Ces thèmes seront également illustrés sur une affiche numérique.

1330 – 1350 ® Reconquérir la faculté d’oublier du monde E. Griffin, Dominion Astrophysical Observatory, Canada

1350 – 1410 ® Sauvegarde des données du marégrapheP. Caldwell, National Oceanographic Data Center, États-Unis

1410 – 1430 ® Données environnementales au fil du temps – Augmenter le nombre d’archives climatiquesS. Del Greco, NOAA National Climatic Data Center, États-Unis

1430 – 1450 ® La carte, une source fondamentale dans la Mémoire du MondeD. R. F. Taylor, T. Lauriault, Université de Carleton, Canada

1450 – 1510 Discussion

Présidente de la séance : Yvette Hackett, Réseau canadien d’information sur le patrimoine

La séance commencera par un rapport sur les découvertes des schémas cartographiques de l’interactionhumaine parmi les tribus amazoniennes aux schémas concernant l’interaction humaine sur Internet et dévoileracomment les Indiens Waorani peuvent relater et partager leur culture, selon leurs conditions, avec le reste dumonde via Internet. Elle présentera ensuite une étude de cas sur la conservation des archives sonores de RadioBotswana prenant modèle sur la théorie archivistique ; la numérisation réalisée à la Bibliothèque nationale deNorvège du matériel d’origine utilisé dans les éditions musicales traditionnelles et dans la création d’éditionsimportantes de musique traditionnelle ; et les défis technologiques rencontrés dans la création d’un dépôt pour laconservation de vidéos de danse basées sur le processus archivistique.

1330 – 1350 ® La vie en marge de l’Internet : conserver le patrimoine numérique des cultures indigènesK. Madsen, Mincaye, R. Katikala, chercheurs indépendants, Floride et Equateur ; C. Ross, SaveAmerica’s Forests, États-Unis

1350 – 1410 ® La folie du numérique, la théorie archivistique et les archives sonores menacées de disparition de Radio Botswana L. Kenosi, Université du Botswana

1410 – 1430 ® Comment éditer la musique traditionnelle à l’ère de la numérisationJ. Langdalen, Bibliothèque nationale de Norvège

LA MISSION CODATA : CONSERVER LES DONNÉES SCIENTIFIQUES POUR LE FUTUR Junior DD

CONSERVER LA TRADITION ET LES ARTS DU SPECTACLE SOUS FORME NUMÉRIQUE Port McNeillE

Mercredi 26 septembre 2012 suite

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n 22

1430 – 1450 ® Développer et mettre en œuvre un dépôt numérique vidéo pour la documentation sur lepatrimoine chorégraphique (un réseau de médias protégé de l’alliance du patrimoinechorégraphique)L. Sorensen, Bay Area Video Coalition, Etats-Unis ; T. Jones, New York Public Library, Etats-Unis

1450 – 1510 Discussion

1330 – 1510 Mené par : P. Van Garderen, C. Mumma, E. McLellan, Artefactual Systems, Canada ; P. Jordan, T. Hooten, Fonds monétaire international

« Archivematica » est un système de conservation numérique, gratuit et libre, développé en partie par « ArtefactualSystems » via un financement de l’UNESCO. Cette séance interactive présentera l’histoire d’ « Archivematica » et unaperçu de la conception, des caractéristiques et de l’architecture technique du système. Elle fournira également desexemples concernant l’utilisation du logiciel dans des projets internationaux tels que le Fonds monétaireinternational, l’Université de la Colombie-Britannique et les archives de la ville de Vancouver. La présentation seraconclue par une discussion de futures directions du système comme le développement de nouvellescaractéristiques ; le modèle commercial libre ; les services de formation et de soutien; et les défis en cours pourinstaurer « Archivematica » dans les pays émergents.

1330 – 1420 Menée par : J. Springer, Spécialiste principal du programme, UNESCO

Le Programme Mémoire du Monde de l’UNESCO, qui parraine cette conférence, a été établi pour la sauvegarde dupatrimoine documentaire en péril. Dans ses 20 ans d’existence, le Programme a évolué et fait des progrès considérablesqui seront présentés lors de cette session. Elle permettra de décoder les mystères du Programme et présentera desexemples du patrimoine documentaire enregistré sur les différents supports d’information: de la pierre aux octets.

1420 – 1425 Pause

1425 – 1510 Menée par : N. Milic-Frayling, Microsoft Research ; B. van der Werf, Open Planets Foundation

Cette présentation se penchera sur les aspects fondamentaux de médias numériques et les défis de laconservation auxquels ils sont présents. Elle traitera des efforts de recherche Planets et Scape pour concevoirdes instruments et des méthodes de conservation efficaces. Elle informera également sur la fondation OpenPlanètes (OPF) qui favorise une communauté ouverte de praticiens et l’adoption de pratiques de conservationadéquates. En misant sur la recherche et les technologies de pointe, OPF offre des solutions pratiques et del’expertise en matière de conservation numérique. Grâce à la présence active en ligne, Hackathons, etwebinaires, OPF soutient l’apprentissage, l’expérience pratique et la diffusion de meilleures pratiques entre sesmembres et une plus large communauté.

1510 – 1540 Pause et expositions/affiches Pavilion Ballroom

1540 – 1700 Séances parallèles

Présidente de la séance : Ingrid Parent, Université de la Colombie-Britannique, Canada

La séance présentera des projets de numérisation ayant pour but spécifique de préserver la culture d’un pays àl’autre. Spécifiquement, elle proposera des exemples des pays francophones et lusophones et conclura par unedescription de la Bibliothèque numérique mondiale, un projet de collaboration internationale qui encourage l’accès àl’héritage documentaire par le biais de la numérisation, du renforcement des capacités et de l’assistance technique.

DÉCODER LA MÉMOIRE DU MONDE : DE L’ÂGE DE PIERRE À L’ÈRE DU NUMÉRIQUE Pavilion D

EXPO N° 1

CONSERVER LE PATRIMOINE NUMÉRIQUE Pavilion DEXPO

N° 2

LE PROJET « ARCHIVEMATICA » : RÉPONDRE AUX DÉFIS TECHNIQUES DE LA CONTINUITÉ NUMÉRIQUE Parksville

ATELIER N° 1

AU-DELÀ DE L’ACCÈS : LA NUMÉRISATION POUR PRÉSERVER LA CULTURE (IS) Grand BallroomA

Mercredi 26 septembre 2012 suite

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23 n

1540 – 1600 ® Conserver le patrimoine documentaire de la langue portugaise : la bibliothèque numérique lusophoneF. M. Melo Alves, J. A. Moreiro González, Universidade Carlos III de Madrid, Espagne ; J. M. Matias,Association internationale des bibliothèques numériques lusophones, Portugal

1600 – 1620 ® Réseau francophone numériqueB. Ferland, T. Muller, Bibliothèque et Archives nationales du Québec, Canada

1620 – 1640 ® La Bibliothèque numérique mondialeJ. Van Oudenaren, Bibliothèque du Congrès, Etats-Unis

1640 – 1700 Discussion

Président de la séance : Torsten Johansson, Bibliothèque nationale de Suède

Cette séance présentera différents modèles mis en œuvre pour la création des dépôts numériques : la stratégie descollections numériques persistantes de la Bibliothèque de l’Université de la Colombie-Britannique et ses domainesd’application (questions de personnel, de pérennité et de poursuite d’acquisition) ; le travail que le Joint InformationSystems Committee (JISC) finance pour établir des données de base de documents qui apporteront auxorganisations des raisons pratiques et plausibles d’investir dans la conservation ; une analyse de la notion desimplicité numérique comme celle mise en œuvre dans un système autonome fait de composants à bas coûts etd’un logiciel libre.

1540 – 1600 ® Une stratégie de collections numériques persistantes pour la bibliothèque de l’UBCB. Sprout, S. Romkey, Université de la Colombie-Britannique, Canada

1600 – 1620 ® Etablir l’analyse de rentabilité de la conservation numérique N. Grindley, Joint Information Systems Committee, Royaume-Uni

1620 – 1640 ® Critères pour un dépôt à distanceK. Bradley, Bibliothèque nationale d’Australie

1640 – 1700 Discussion

1540 – 1700 ® Débat 3 – La propriété intellectuelle et la protection des savoirs traditionnels et desexpressions culturelles traditionnelles : Les exceptions et limitations pour la conservation et laréutilisation des documents numérisés

Président de séance : Grand Chief Edward John (à confirmer)Panélistes : D. Z. Johnsson, Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle ; G. Nicholas, Questionsde propriété intellectuelle dans le patrimoine culturel (IPinCH) ; K. Christen, Université de Washington,Etats-Unis ; M. Torsen, Bureau de droit d’auteur des Etats-Unis (United States Copyright Office)

Cette séance portera sur les liens entre les initiatives mondiales menées pour la conservation du patrimoineculturel, notamment grâce à la numérisation, et les efforts pour protéger le patrimoine culturel du point de vue de lapropriété intellectuelle. Elle mettra en évidence les synergies et l’harmonie de la protection juridique et lasauvegarde et la conservation en tant que projet phare de l’OMPI et de l’UNESCO, respectivement. Elle décrira lesrisques liés à l’entreprise des activités de conservation, sans que les mesures de propriété intellectuelleappropriées soient établies.

Cette séance vise spécifiquement à sensibiliser les interactions entre les activités de conservation et denumérisation du patrimoine culturel immatériel de l’UNESCO (y compris sous la Convention de 2003) et les travauxde l’OMPI dans le domaine des savoirs traditionnels et des expressions culturelles traditionnelles, et à encouragerles spécialistes du patrimoine culturel et de la propriété intellectuelle pour coopérer entre eux et enrichirmutuellement leurs travaux.

STRATÉGIES DE CRÉATION DE DÉPÔTS NUMÉRIQUES Junior A/BB

LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE ET LA PROTECTION DES SAVOIRS TRADITIONNELS Junior CC

Mercredi 26 septembre 2012 suite

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n 24

Présidente de la séance : Maria Esteva, Université du Texas à Austin, Etats-Unis

La séance débutera par la présentation des principes de responsabilité de l’investigation numérique, à savoirl’identification, l’autorisation, l’attestation et la rétribution, en tant que normes et objectifs fondamentaux pouvant sefonder sur la base d’un consensus pour la conservation numérique. Un grand nombre de tâches associées àl’identification et à la rédaction d’informations confidentielles et sensibles peuvent être réalisées avec une plusgrande précision grâce à l’utilisation d’outils logiciels libres d’investigation numérique. Ainsi, la séance décriraégalement les outils et les procédures pouvant être utilisés pour supprimer les tâches pénibles et les sourcesd’erreurs dans les processus existants et faire gagner des minutes précieuses par des bibliothécaires et desarchivistes. Enfin, la séance présentera l’investigation numérique comme une discipline d’où l’on retire del’expérience et de la perspicacité.

1540 – 1600 ® La responsabilité pour conserver la mémoire du mondeW. Liu, Université de l’Etat de Floride, Etats-Unis

1600 – 1620 ® Rédaction automatisée des données sensibles dans les collections : vers une gestion responsable du patrimoine numérique C. Lee, K. Woods, Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, Etats-Unis

1620 – 1640 ® Perspectives communes : investigation numérique ancestraleC. Rogers, Université de la Colombie-Britannique, Canada ; J. L. John, Bibliothèque britannique, Royaume-Uni

1640 – 1700 Discussion

Présidente de la séance : Lisa Nathan, Université de la Colombie-Britannique, Canada

La séance abordera la documentation d’évènements qui ont secoué certains pays en particulier et le monde aveceux : le mouvement d’occupation en Amérique du Nord, les « Archives vivantes » et les mouvements sociauxradicaux, et le système des pensionnats au Canada.

1540 – 1600 ® Archiver de grandes quantités de contenu numérique créé individuellement :leçons de l’archivage du mouvement d’occupationH. Besser, Université de New York, Etats-Unis

1600 – 1620 ® La nouvelle veste de phénix: La numérisation des archives historiques germano-juivesR. V. Lewin, Israël

1620 – 1640 ® Ils sont venus pour les enfants… Le défi des commissions de vérité dans la construction de collections numérisées pour la recherche et la conservation à long-terme T. Reilly, Commission de vérité du Canada

1640 – 1700 Discussion

1540 – 1700 Mené par : C. Becker, A. Rauber, Université technique de Vienne, Autriche; H. Kulovits, Archives d’Etatautrichiennes

Basée sur un modèle de référence des capacités de conservation numérique, cette séance interactive illustrera lesrôles caractéristiques et leurs responsabilités dans deux domaines : la planification de la conservation et lesopérations de conservation. Le but de cette séance est de montrer l’état des connaissances dans les décisionsconcernant la conservation numérique et de soutenir des adoptants potentiels de la planification systématique de laconservation en analysant les processus de gouvernance transparente.

DONNER UNE VOIX NUMÉRIQUE PERMANENTE AUX SANS-VOIX Port McNeillE

RÔLES ET RESPONSABILITÉS DANS LA PRISE DE DÉCISION CONCERNANT LA CONSERVATION NUMÉRIQUE : VERS UNE GOUVERNANCE EFFICACE Parksville

ATELIER N° 2

INVESTIGATION NUMÉRIQUE POUR LA CONSERVATION DU PATRIMOINE NUMÉRIQUE Junior DDMercredi 26 septembre 2012 suite

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25 n

1540 – 1700 Menée par : L. Frate, Office national du film du Canada

Au cours de dernières années, l’ONF a pleinement adopté les technologies numériques pour créer des œuvresnovatrices qui sont disponibles sur une grande variété de plates-formes et numériquement préservées pour lesgénérations futures. Avec une vision de l’accessibilité inspirante et un plan de numérisation innovant, le producteuret distributeur public canadien s’est transformé pour profiter des possibilités illimitées qu’offre l’univers numérique.Le contenu de l’ONF est maintenant plus accessible et mieux conservé que jamais auparavant pour le bénéfice desCanadiens et du monde entier. Cette présentation fera partager à l’auditoire comment cette transformation a étéeffectuée avec succès.

1700 – 1715 Pause et expositions/affiches Pavilion Ballroom

Musqueam Elder Larry GrantBienvenue MusqueamIrina Bokova, Directrice générale de l’UNESCOJanis Karklin

’š, Sous-directeur général de l’UNESCO

Ali Abbasov, Ministre des Communications et des Technologies de l’Information de la Républicd’Azerbaïdjan

Axel Meisen, Président de la Commission canadienne pour l’UNESCODavid H. Farrar, Provost et vice-recteur académique de l’Université de la Colombie-Britannique, CanadaJeanne Sheldon, MicrosoftVinton Cerf, Google

Jour 2: Jeudi 27 septembre 2012 Interprétation simultanée = (IS)

0900 – 0930 ® La numérisation de masse, le prêt bibliothécaire et la conservationPrésident : Jonas Palm, Archives nationales de SuèdeBrewster Kahle, Fondateur, Bibliothécaire numérique, Archives Internet, Etats-Unis

Alors que nos utilisateurs s’attendent à ce que tout soit en ligne, la plupart des matériaux sont toujours retenus pardes éditeurs, des bibliothèques et des archives. Nous avons l’argent, les droits existants et la responsabilité civiquede numériser, d’acheter du matériel numérique, de fournir l’accès et de préserver les œuvres culturelles par desmoyens à la fois physiques et numériques. Encore mieux, ceci peut être fait sans un point de contrôle central, que cesoit une organisation collective de licence ou un distributeur. Mais nous devons commencer à faire davantage etrapidement si nous voulons rendre disponible la richesse des publications du 20ème siècle à cette génération. Cetexposé décrira le travail des Archives Internet avec des centaines de bibliothèques afin de rendre des livresaccessibles à un large public. Ceci constituera une illustration possible pour les autres.

0930 – 1000 ® Conservant la valeur de l’information numérique et numériséPrésident : Ken Thibodeau, National Institute of Standards and Technology, Etats-UnisVinton Cerf, Google

Ce discours concernera les efforts réalisés pour retarder la détérioration des supports de stockage et des’interroger sur l’adaptation de concepts de propriété intellectuelle dans un chemin qui mène à la conservation sansperte de valeur de la PI pour les intéressés, pour ceux qui bénéficient de l’accès et de l’utilisation de l’informationainsi que pour ceux qui ont des droits divers à l’information. Il fera valoir que le pouvoir de l’information est dans sonpartage, et non pas dans sa rétention.

CEREMONIE D’OUVERTURE Grand Ballroom1715 – 1815

1815 – 1930 RÉCEPTION DE BIENVENUE Pavilion Ballroom

SÉANCE PLÉNIÈRE n°2 (IS) Grand Ballroom0900 – 1030

LA TRANSFORMATION NUMÉRIQUE AU SEIN DE L’OFFICE NATIONAL DU FILM DU CANADA – DES FILMS AUX OCTETS : COMMENT L’ONF A ADOPTÉ LES TECHNOLOGIES NUMÉRIQUES Pavilion D

EXPO N° 3

Mercredi 26 septembre 2012 suite

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n 26

1000 – 1030 ® Des documents papier aux documents numériques authentiques Présidente: Claudia Lacombe Rocha, Archives nationales de Brésil Jeanne Sheldon, Microsoft

Le travail dans le domaine du savoir est de plus en plus en ligne et collaboratif, mais la métaphore du papiernumérique limite les capacités de consommation de documents. Cette présentation montrera comment desdocuments Office sortent du monde du papier et discutera des implications pour leur conservation.

1030 – 1100 Pause et expositions/affiches Pavilion Ballroom

1100 – 1215 Séances parallèles

Président de la séance : Jack Lohman, Archives et Musée royal de la Colombie-Britannique, Canada

La séance analysera l’importance de renforcer les cibles et les stratégies nationales de la numérisation par le biaisd’initiatives telles qu’ « Europeana » et la Bibliothèque numérique mondiale. Elle mettra l’accent sur les stratégies etles éléments moteurs de l’engagement social du Projet Mémoire de Singapour ainsi que les problèmes relatifs àl’interopérabilité au niveau des métadonnées auxquels ce projet a dû faire face. La séance sera conclue par laprésentation de la méthodologie utilisée pour le développement d’une politique de conservation numérique.

1100 – 1120 ® La planification nationale, clef de la mise en œuvre réussie des stratégies de numérisationA. Vilks, Directeur de la Bibliothèque nationale de Lettonie

1120 – 1140 ® Conserver les souvenirs d’une nation: le projet Mémoire de Singapour I. Chew, H. Jailani, Conseil de la Bibliothèque nationale, Singapour

1140 – 1200 ® Politique de conservation numérique de la Chambre des députés:méthodologie de son développementE. Bodê, Chambre des députés, Brésil

1200 – 1215 Discussion

Président de la séance : Jeremy Leighton John, Bibliothèque britannique, Royaume-Uni

La séance débutera par une analyse des questions de politique des institutions et des organisations aux Etats-Unis,et des codes de conduite de gestion des documents produits dans l’environnement du Web 2.0. Elle étudieraensuite comment le contexte est présenté dans un environnement Web 2.0 et son impact sur la compréhension del’utilisateur en comparant l’exhaustivité, l’exactitude et la confiance de la description d’archives en ligne. La séancesera conclue par une recherche sur ce que doivent faire les concepteurs de médias sociaux pour assurer que lesproduits émanant de leur utilisation puissent être conservés en tant que patrimoine numérique.

1100 – 1120 ® Non-protection de la mémoire : contenu produit par les utilisateurs eux-mêmes et les archives numériques involontairesJ. Schleser, Université américaine, Etats-Unis

1120 – 1140 ® Contexte dans un environnement Web 2.0 H. Ryckman, Co-operators Group, Ontario, Canada

1140 – 1200 ® Les medias sociaux, les archives et le patrimoine culturel : mettre en évidence les tensions et guider la conceptionL. Nathan, E. Shaffer, Université de la Colombie-Britannique, Canada

1200 – 1215 Discussion

LES PRODUITS WEB 2.0, PATRIMOINE DOCUMENTAIRE NUMÉRIQUE: POUVONS-NOUS Y ACCÉDER ET LES CONSERVER ? Pavilion DB

LES STRATÉGIES NATIONALES, FONDEMENT DE LA SOLIDARITÉ ParksvilleA

Jeudi 27 septembre 2012 suite

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27 n

Président de la séance : Rusnah Johare, Université de la Technologie MARA, Malaisie

La séance s’ouvrira par une discussion sur « les cultures de l’information », c’est-à-dire les valeurs accordées àl’information et les attitudes envers elle, et illustrera les travaux théoriques et méthodologiques avec des études decas sur les défis politiques, culturels et professionnels de la numérisation et de la conservation de l’informationgouvernementale en Papouasie-Nouvelle-Guinée, et des études de cas réalisées par les Etats-Unis et la Chine.

1100 – 1120 ® Conservation des cultures : Développer un cadre pour un programme de conservation numérique tenant en compte les sensibilités culturellesF. Foscarini, Université de Toronto, Canada

1120 – 1140 ® Les défis politiques, culturels et professionnels de la numérisation et de la conservation de l’information gouvernementale en Papouasie-Nouvelle-Guinée : un aperçuT. Kaiku, Université de Papouasie-Nouvelle-Guinée ; V. Puipui, Archives nationales de Papouasie-Nouvelle-Guinée et services des archives publics

1140 – 1200 ® La situation actuelle, les problèmes et les perspectives de la conservation numérique du patrimoine documentaire en ChineX. Wang, Y. Nie, Université Wuhan, Chine

1200 – 1215 Discussion

Président de la séance : Kevin Bradley, Bibliothèque nationale d’Australie

La séance présentera divers perspectives sur l’utilisation de l’OAIS : les avantages ainsi que les obstacles àson adoption dans les archives audiovisuelles en Suisse et dans les archives nationales en Iran. Elle seraconclue par l’initiative des Archives de l’UNESCO.

1100 – 1120 ® Les systèmes d’archivage numériques confrontés au modèle de référence OAIS S. Cavaglieri, Phonothèque nationale suisse

1120 – 1140 ® Un modèle de gestion des images numériques des archives nationales iraniennes, basé sur le modèle de référence Open Archival Information System S. R. Sharifabadi, M. Tajdaran, Z. R. Jambari, Alzahra University, Iran

1140 – 1200 ® La mémoire numérique de l’UNESCO. Les archives des organisations internationales : un contexte unique, des défis très spécifiquesJ. Boel, A. Cowling, C. Michotte, A. Torrance, Archives de l’UNESCO

1200 – 1215 Discussion

1100 – 1215 Mené par : N. Wallaszkovits, Phonogrammarchiv, Académie autrichienne des Sciences

L’atelier aborde la numérisation du point de vue des problèmes conceptuels, techniques et structurels de laréalisation et de la mise en œuvre pratiques tels que l’évaluation de l’état de conservation des collections,l’évaluation de l’équipement disponible ou nécessaire ; le développement d’un plan de conservation, enproposant une séquence d’actions hiérarchisées, basé sur les urgences des divers éléments de la collection ; laformation du personnel local dans la méthodologie et les techniques d’archivage audio numérique ; etc. Ladiscussion comprend également la mise en œuvre d’un système de serveurs et de données Open sourcepouvant être adaptés et agrandis individuellement.

MODÈLE DE RÉFÉRENCE OPEN ARCHIVAL INFORMATION SYSTEM :RÉPONSE OU INSPIRATION ? Port McNeillD

LA NUMÉRISATION DE COLLECTIONS SONORES DE PETITE TAILLE : PROBLÈMES ET SOLUTIONS Junior A/B

ATELIER N° 3

LE RÔLE DE LA CULTURE DANS LA NUMÉRISATION ET LA CONSERVATION NUMÉRIQUE Junior C/DCJeudi 27 septembre 2012 suite

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n 28

1100 – 1215 Menée par : C. Lacombe Rocha, Archives nationales du Brésil ; A. Picone, University of Campinas, Brésil

Cette séance interactive expliquera de quelle manière les produits et les recommandations du projetInterPARES (International Research on Permanent Authentic Records in Electronic Systems) peuvent êtreadaptés au contexte national en précisant comment les réalités spécifiques ont été influencées par la mise enœuvre de ces produits et recommandations. Les intervenants traiteront de l’utilisation de la base de donnéesterminologique, du développement d’une politique de conservation numérique pour le parlement brésilien etpour d’autres institutions et organisations, ainsi que du développement d’une norme nationale pour lesformats de conservation.

1215 – 1330 Déjeuner Grand Ballroom

1330 – 1505 Séances parallèles

Président de la séance : David Giaretta, Alliance for Permanent Access & APARSEN

La séance analysera les programmes, les plans financiers et les documents généraux approuvés par les agenceseuropéennes ; les livrables de projets européens financés au cours de la dernière décennie et les nouvelles initiativesprometteuses permettant d’indiquer le niveau de participation des institutions d’archives. Ensuite, elle s’attachera àmontrer des exemples de collaborations réussies entre différentes sortes d’institutions en Suède, aux Etats-Unis etentre les secteurs publics et prives en décrivant le partenariat entre la Bibliothèque nationale de la Nouvelle Zélandeet Ex Libris afin de développer Rosetta, le système de conservation numérique.

1330 – 1350 ® La conservation numérique en Europe : les plans stratégiques, les résultats des recherches et les réalisations à venir : le rôle mineur des institutions d’archivesM. Guercio, Université de Roma “La Sapienza”, Rome, Italie

1350 – 1410 ® Modèles pour la collaboration nationale R. Källman, Archives nationales de Suède

1410 – 1430 ® Collaboration et collections numériquesV. Reich, Bibliothèques de l’Université de Stanford, Etats-Unis

1430 – 1450 ® La mise en œuvre des lignes directrices de l’UNESCO pour la conservation du patrimoine numérique S. Knight, Bibliothèque nationale de la Nouvelle Zélande, Ex Libris

1450 – 1505 Discussion

Présidente de la séance : Victoria Lemieux, Université de la Colombie-Britannique, Canada

Cette séance analysera les modèles économiques de conservation numérique sur le long terme en ce quiconcerne les coûts de stockage, les coûts d’exploitation et d’investissement, les coûts directs et indirects, ainsique les ajustements financiers, la dépréciation et l’inflation par rapport aux coûts de la main d’œuvre. Elleexposera ensuite les méthodes peu onéreuses de numérisation des instruments d’écriture des peuplesautochtones au Sri Lanka et décrira comment des professionnels indépendants aident les organisations sud-africaines à surmonter et gérer ces défis par la gestion de projets, la formation, la création de métadonnées,l’adoption de bonnes pratiques, la création de politiques, le développement de directives locales etl’encadrement du personnel.

1330 – 1350 ® L’économie de la conservation numérique sur le long termeD. S. H. Rosenthal, Bibliothèques de l’Université de Stanford, Etats-Unis

L’ÉCONOMIE DE LA CONSERVATION DE L’INFORMATION NUMÉRIQUE (IS) Grand BallroomB

COLLABORATION OU NON-COLLABORATION DANS LA CONSERVATION NUMÉRIQUE: CE QUI FONCTIONNE ParksvilleA

InterPARES :L’EXPÉRIENCE BRÉSILIENNE Grand Ballroom

EXPO N° 4

Jeudi 27 septembre 2012 suite

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29 n

1350 – 1410 ® Cadre de modélisation du coût de la conservation de l’information numériqueU. Boegvad Kejser, Bibliothèque royale, Danemark ; A. B. Nielsen, A. Thirifays, Archives nationales du Danemark

1410 – 1430 ® Méthode peu coûteuse pour numériser les documents de grande taille, et plus particulièrement les manuscrits sur feuille d’Ola au Sri LankaU. P. Cabral, Bibliothèque nationale du Sri Lanka

1430 – 1450 ® Conserver notre patrimoine : un avantage indépendant P. Liebetrau, consultant, Afrique du Sud

1450 – 1505 Discussion

Président de la séance : Stuart Hamilton, Fédération internationale des associations de bibliothécaires etdes bibliothèques

La séance commencera par étudier les différentes possibilités pour l’élaboration de la législation qui soutient laconservation numérique, et proposera des exemples tirés du Canada et des Etats-Unis. Ensuite, elle montrera dequelle manière le Mexique et les Etats-Unis ont abordé les problèmes relatifs à la conservation des archives ou desdocuments numériques par le biais de la loi et de la politique, en plus d’une diversité de techniques de constructionde sens. La séance sera conclue par des réflexions sur la capacité de la législation des archives à aborder lescritères des archives numériques.

1330 – 1350 ® Construire un cadre juridique pour faciliter la conservation à long terme du patrimoine numérique A. Sheppard, Université de la Colombie-Britannique, Canada

1350 – 1410 ® Développement de politiques et de critères pour assimiler et conserver les archivesnumériques dans un système de conservation : par où commencer.A. Barnard, consultant, Mexique

1410 – 1430 ® Où reside la lumière au cœur de l’obscurité : conservation, accès et stratégies de construction de sens pour l’archive numérique moderneJ. R. Baron, National Archives and Records Administration, US ; S. Attfield, Université du Middlesex, Royaume-Uni

1430 – 1450 ® Renforcer le cadre réglementaire dans un environnement numérique: une révision de lalégislation des archivesE. Goh, Université de la Colombie-Britannique, Canada

1450 – 1505 Discussion

Président de la séance : Giovanni Michetti, Université de la Colombie-Britannique, Canada

La séance présentera la conservation numérique : celle-ci a pour vocation d’assurer une continuité numérique quirelève des institutions de mémoire telles que les musées, les bibliothèques et les archives, tout en y introduisant denouveaux acteurs comme les professionnels de l’informatique, les gestionnaires électroniques de dossiers, lesbibliothécaires de données et les administrateurs de contenu Internet. Ensuite, elle abordera la philosophie dudéveloppement de l’esprit d’équipe par les cinq étapes de la conservation numérique: reconnaître, agir, consolider,institutionnaliser et externaliser. Le développement de l’esprit d’équipe sera illustré par des études de cas del’Université du Québec en Outaouais et le Simmons College en Nouvelle-Angleterre.

1330 – 1350 ® Conservation numérique : le défi qui encourage la convergence entre les institutions de la mémoire S. Higgins, Université du Pays de Galles à Aberystwyth, Royaume-Uni

A-T-ON BESOIN D’UN NOUVEAU CADRE LÉGAL POUR LA CONSERVATION NUMÉRIQUE OU EST-CE QUE LA POLITIQUE SUFFIRA ? Junior C/DC

CONSERVATION NUMÉRIQUE : LA CONVERGENCE DES DÉFIS, DES INSTITUTIONS ET DES CONNAISSANCES (IS) Pavilion DD

Jeudi 27 septembre 2012 suite

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n 30

1350 – 1410 ® Conservation numérique: construire un environnement pour le succès J. Esposito, Université de l’Etat de Pennsylvanie, Etats-Unis

1410 – 1430 ® Célébrations institutionnelles: événement catalyseur propice à l’implantation d’un Projet deconservation du patrimoine numérique permettant de réunir les acteurs d’intérêts divergents.P. Forget, Université du Québec en Outaouais, Canada

1430 – 1450 ® La convergence du programme du patrimoine culturel : Expériences pratiques et leçons tirées J. Bastian, R. Harvey, Simmons College, Etats-Unis

1450 – 1505 Discussion

Présidente de la séance : Joie Springer, Programme Mémoire du monde de l’UNESCO

Cette séance abordera les problèmes auxquels sont confrontées plusieurs régions du monde par rapport àl’utilisation de la numérisation comme moyen de préservation et de conservation. Outre les difficultés communes àtous les pays, certaines régions doivent faire face à des problèmes en lien avec les exigences technologiques pourle type de patrimoine documentaire dont elles disposent et également en termes d’infrastructures, de personnel etde ressources financières. Les intervenants discuteront des expériences réalisées aux Caraïbes, en Afrique et dansles îles pacifiques.

1330 – 1350 ® La préservation et la conservation du patrimoine dans les Caraïbes : Quels sont les défis posés par la numérisation ? E. Watson, Université des Indes occidentales, Barbade

1350 – 1410 ® Sauvegarde numériques des patrimoines démographiques du Mali et de la République démocratique du CongoR. Marcoux, L. Richard, M. K. Konaté, Observatoire démographique et statistique de l’espacefrancophone, Université Laval, Canada

1410 – 1430 ® Partenariat au paradis : l’importance de la collaboration pour gérer le matérieldes expressions culturelles traditionnelles dans les îles pacifiquesB. Oswald, Island Culture Archival Support, Etats-Unis

1430 – 1450 ® La conservation numérique et le patrimoine culturel autochtone : la plateforme CMS Mukurtu K. Christen, Université d’Etat de Washington, Etats-Unis ; J. Anderson, Université du Massachusetts,Etats-Unis ; M. Ashley, Université de Californie à Berkeley, Etats-Unis

1450 – 1505 Discussion

1330 – 1505 Mené par : W. Runde, C. Cabulea, Deutsche Welle, Allemagne

Cette séance interactive présentera la perspective particulière d’une société de médias multilingue (ici, nous avons lecas de la Deutsche Welle, le service international de diffusion de l’Allemagne, qui propose un contenu multimédia en30 langues) par rapport aux nouveaux défis et opportunités des archives de médias numériques à une époque oùles médias sociaux sont omniprésents. Elle inclura des exemples très visuels de données du journalisme basé sur lecontenu archivé des medias sociaux, lesquels sont une nouvelle source pour la collecte d’informations, l’analysejournalistique et la publication.

1505 – 1530 Pause et expositions/affiches Pavilion Ballroom

LES EXPÉRIENCES DE LA NUMÉRISATION ET DE LA CONSERVATION NUMÉRIQUE DANS LA PERSPECTIVE DES PAYS ÉMERGENTS Port AlberniE

ARCOMEM – ARCHIVE COMMUNITY MEMories Junior A/B

ATELIER N° 4

Jeudi 27 septembre 2012 suite

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31 n

1530 – 1645 Séances parallèles

Président de la séance : Jason R. Baron, United States National Archives and Records Administration

Cette séance examinera les pertes de la mémoire en se fondant sur trois exemples de dégradation des systèmesfinanciers le long de la chaîne d’approvisionnement pour les titres adossés à des créances hypothécaires de lamarque de distributeur désormais tristement célèbre. La séance examinera également la controverse de 2007 autourde l’envoi et les règles de conservation d’emails de la Maison Blanche à l’époque de George W. Bush Jr. ensurlignant l’insuffisance des mesures de sauvegarde actuelles aux Etats-Unis pour protéger et conserver les artefactsdu patrimoine culturel générés par des organes administratifs puissants. Elle sera conclue par une série derecommandations qui pourraient être utiles lors de l’élaboration de futures prises de décisions concernant lepatrimoine numérique des plus hauts organes gouvernementaux.

1530 – 1550 ® Les archives financières et leurs mécontentements : sauvegarder les archivesde nos systèmes financiersV. Lemieux, Université de la Colombie-Britannique, Canada

1550 – 1610 ® Conserver l’email : une étude de cas américainM. Groover, Université de la Colombie-Britannique, Canada

1610 – 1630 ® La tempête parfaite des archives: Le transfert d'enregistrements électroniques de la MaisonBlanche à l’époque de George W. Bush aux Archives nationales des États-Unis K. Thibodeau, National Institute of Standards and Technology, Etats-Unis

1630 – 1645 Discussion

Président de la séance : Martin Berendse, Conseil international des Archives

Cette séance abordera les questions de propriété et de confidentialité juridiques, éthiques et culturelles entre lesindividus et les groupes en relation avec l’environnement médical ainsi que les questions d’authenticité des archivesnumérisées concernant les documents juridiques ou les documents utilisés en tant que preuve ; et la manière dontl’Alliance pour l’Accès Permanent (Alliance for Permanent Access) (APA), par le biais du réseau d’excellenceAPARSEN, a réuni le cloisonnement des recherches sur l’authenticité, l’audit, la réputation et la qualité, et les aintégrées dans le cadre de la confiance.

1530 – 1550 ® Les questions éthiques et juridiques des archives historiquesde la santé mentale en tant que patrimoine numériqueL. Dong, Université du Texas à Austin, Etats-Unis

1550 – 1610 ® Du papier original à la copie numérique : l’authenticité, undéfi organisationnel et juridiqueM. Demoulin, Université de Namur ; S. Soyez, Archives nationales, Belgique

1610 – 1630 ® Preuve fondée sur la vision commune et l’e-infrastructure pour la conservation numériqueD. Giaretta, Alliance for Permanent Access

1630 – 1645 Discussion

Président de la séance : Jian Wang, Université Remnin de Chine

La séance analysera l’archivage du Web par la présentation de deux grands projets chinois sur l’archivage du Web,fondés sur l’exploitation du web (webcrawling): le Web InfoMall à l’Université de Pékin et le WICP (Web Information

FAIRE CONFIANCE AUX ARCHIVES Pavilion DB

L’ARCHIVAGE DU WEB, UNE PARTIE INTÉGRANTE DE LA CONSTRUCTION DU PATRIMOINE DOCUMENTAIRE DE NOTRE ÉPOQUE Junior C/DC

S’ASSURER QUE CELA NE SE REPRODUIRA PAS ParksvilleA

Jeudi 27 septembre 2012 suite

Page 34: La Mémoire du Monde à l’ère numérique : … · La Mémoire du Monde à l’ère numérique : numérisation et conservation Une conférence internationale sur l’accès permanent

n 32

Collection and Preservation) à la Bibliothèque nationale de Chine. La discussion se penchera ensuite sur laconstruction d’un dépôt numérique à réseaux interopérables en accès libre pour le classement, la conservation et ladistribution du matériel documentaire en Patagonie, destiné à être utilisé dans l’environnement académique (y compris les niveaux secondaires et tertiaires) et par la communauté. Le dernier rapport présentera desexpériences avec émulation et migration technologique concernant l’archivage Web de l’INA, lequel s’étend sur 16ans et contient plus de 15 milliards d’objets.

1530 – 1550 ® Archivage du Web et analyse statistique des archives Web de la ChineH. Liu, Remnin University, Chine

1550 – 1610 ® Conséquence de la sémantisation du Web sur le développement du patrimoine numériqueG. Navarro, Universidad Nacional de la Patagonia Austral, Argentine

1610 – 1630 ® Préserver l’archivage du Web pour les futures générations : expériences pratiques avec émulation et migration technologiqueM. Holden, Institut national de l’audiovisuel, France

1630 – 1645 Discussion

Présidente de la séance : Corinne Rogers, Université de la Colombie-Britannique

La séance commencera par une approche pragmatique sur la conservation, la restauration et la présentationd’artefacts des technologies de l’information développés par le Living Computer Museum à Seattle, dans l’Etat deWashington. Elle abordera ensuite le phénomène du numérique comme une manifestation de la relation intimequ’entretient l’humanité avec le progrès, vecteur de changement culturel et social, et la manière avec laquelle lesinstitutions de la mémoire peuvent aider et permettre la pérennité et la réutilisation des archives personnelles pourtous. Enfin, la perspective « hybride » sera abordée : on y observe l’interaction des individus avec la technologie.

1530 – 1550 ® La tortue en bas : réflexions sur l’accès et la conservation des artefacts d’informationI. King, Université de Washington, Etats-Unis

1550 – 1610 ® L’informatique personnelle: archives numériques pour tous et conséquences possibles pour le patrimoine culturelJ. L. John, Bibliothèque britannique, Royaume-Uni

1610 – 1630 ® Les défis pour s’emparer du patrimoine hybride : quand les activités ont lieu à la fois dans des environnements numériques et analogiques.E. Borglund, Université Mid-Sweden

1630 – 1645 Discussion

Présidente de la séance : Anne Thurston, International Records Management Trust

Cette séance examinera différents scénarios dans lesquels la rareté des ressources et de l’expertise a été tournéeau profit de la conservation. Elle commencera par décrire les stratégies utilisées au Burundi pour les archivesjudiciaires en l’absence de ressources financières, humaines et technologiques et d’un soutien juridique appropriés.Ensuite, elle précisera les difficultés associées à la conservation de manière sûre et authentique des données desfiches techniques du Musée national au Koweït ainsi que la manière dont elles sont traitées. La séance se terminerapar une description des travaux menés par le Hill Museum & Manuscript Library dans le Minnesota avec lescommunautés locales pour conserver le patrimoine manuscrit menacé.

1530 – 1550 ® La problématique de la conservation de la mémoire collective au Burundi à l’ère desnumérique : étude de cas menée à la Cour suprême (IS)J. B. Ntungirimana, Cour des Comptes du Burundi

LA TECHNOLOGIE, MÉDIATEUR DU PATRIMOINE, ET SES RELATIONS AVEC LES INDIVIDUS Port McNeillD

RESSOURCES OU EXPERTISE LIMITÉES: ÉTUDES DE CAS POUR RÉGLER LES DIFFICULTÉS Port AlberniE

Jeudi 27 septembre 2012 suite

Page 35: La Mémoire du Monde à l’ère numérique : … · La Mémoire du Monde à l’ère numérique : numérisation et conservation Une conférence internationale sur l’accès permanent

33 n

1550 – 1610 ® Les données numériques du musée national du KoweïtF. Al-Sabah, Musée national du Koweït

1610 – 1630 ® Les défis de la conservation des manuscrits à l’ère numériqueW. Torborg, T. Vann, Saint John’s University, Etats-Unis

1630 – 1645 Discussion

1530 – 1645 Menée par : C. Pescatore, Organisation de Coopération et de Développement Économiques, Agencepour l’énergie nucléaire

Le projet “RK&M” de l’Agence pour l’énergie nucléaire de l’OCDE représente une catégorie d’utilisateurs desdocuments numériques ayant un intérêt dans la conservation des documents, la connaissance et la mémoire de lagestion des déchets radioactifs de long terme – par exemple, les matières nucléaires qui restent toxiques pendantdes dizaines de milliers d’années. Différents problèmes de la conservation de RK&M se posent sur des échelles detemps différentes. La méthode de référence consiste à assumer à la fois une chaîne continue de partageintergénérationnel des responsabilités et le risque que des archives et même l’organisation sociale peuvent êtreperdues au cours de cette période. Les résultats des études RK&M (la taxonomie des pertes de mémoire, desmécanismes supranationaux de préserver RK&M; l’ensemble minimal de dossiers; les monuments, le patrimoine etles artéfacts, etc.) et nos ateliers multidisciplinaires seront partagés et discutés.

1645 Fin des séances pour la journée

Venez rejoindre vos collègues pour le dîner et la visite du Musée d’Anthropologie, d’une renomméemondiale, qui se trouve au campus de l’UBC. Un dîner sous forme de buffet vous sera servi sous unetente extérieure donnant sur l’océan Pacifique. Après le dîner, vous pourrez visiter le Musée par vous-même ou en participant à une visite guidée.

Une tenue d’affaires decontractée, des chaussures confortables et une veste/pull sont recommandés.

Le transport aller-retour de l’hôtel Sheraton Wall Centre est fourni. Rendez-vous dans le hall de la tourNord (North Tower Lobby). Bus en départ pour le Musée à 1730Retour du bus à l’hôtel commence à partir de 2130

Jour 3: Vendredi 28 septembre 2012 Interprétation simultanée = (IS)

0900 – 0930 ® La mémoire et les mémoires de qui ? Culture, science et politique à l’ère numériquePrésident : Sean Thorpe, Université de technologie de la JamaïqueRüdiger Klein, Royal Netherlands Academy of Arts and Sciences

Comme l’avenir de la connaissance est remodelé par les outils et les pratiques de la révolution numérique, lesquestions d’autorité, d’authenticité et d’accès sont essentielles. Culturellement et politiquement un recalibrage peutêtre nécessaire. Du point de vue privilégié des acteurs impliqués dans les conseils stratégiques des domaines de laculture et de la science, la présentation met en lumière quelques-uns des défis intellectuels et institutionnelsimminents (mais aussi des opportunités), reflétant les impressions de cette conférence et les «prochaines étapes»dans les documents de référence, et plaidant pour un débat global sur les besoins éducatifs et d’investissement quidécoulent des changements historiques auxquels nous assistons.

GESTION DES DÉCHETS RADIOACTIFS AU COURS DES GÉNÉRATIONS –CONSERVATION DES DOCUMENTS NUMÉRIQUES ET PLUS Junior A/B

EXPO N° 5

DÎNER Musée d’Anthropologie, Université de la Colombie-Britannique1730 – 2200

SÉANCE PLÉNIÈRE n°3 (IS) Grand Ballroom0900 – 1000

Jeudi 27 septembre 2012 suite

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n 34

0930 – 1000 ® Défis pour la conservation des documents audiovisuelsPrésident : Yvette Hackett, Réseau canadien d’information sur le patrimoineDietrich Schüller, Phonogrammarchiv, Académie autrichienne des sciences

En général, les données audiovisuelles sont moins stables que les documents textuels traditionnels, ce qui a déjàconduit à des pertes déplorables, notamment des pertes du patrimoine des débuts du cinéma. Les supports modernes,comme les bandes magnétiques, sont également sujettes à la détérioration. L'autre menace est la disparition dumatériel de lecture. Le développement technique de l’audio et de la vidéo a conduit les formats dédiés à des cycles devie plus courts, laissant même les supports bien conservés comme des orphelins inutiles. La présentation détaille lecadre technique de la numérisation et de la conservation numérique à long terme, analyse les spécificités des diverssecteurs créateurs de documents audiovisuels, étudie la situation mondiale en s’intéressant plus particulièrement auxpays en développement et résume les défis stratégiques pour la conservation de ces documents sur le long terme.

1000 – 1030 Pause et expositions/affiches Pavilion Ballroom

1030 – 1225 Séances parallèles

Président de la séance : Pauline Dugré, Commission canadienne pour l’UNESCO

Cette séance décrira l’action des organisations internationales et la manière dont elles contribuent à assurer laconservation numérique à l’échelle mondiale. Les présentations exposeront les travaux des agences internationalescomme l’IEDRO, la FAO, l’UNESCO, l’OIF, l’ICA et l’ISSN PEPRS.

1030 – 1045 ® Services sur le climat : une communauté globale de collaboration C. M. Skarlupka, International Environmental Data Rescue Organization

1045 – 1100 ® Une année de travail de préservation numérique à la FAO C. Nicolai, R. Oriente, Fernando Serván, Organisation des Nations Unies pour l’alimentation etl’agriculture, Nations Unies

1100 – 1115 ® La préservation de l’information numérique dans la société de l’information:problèmes et perspectives. Les résultats de la Déclaration de MoscouE. Kuzmin, Programme Information Pour Tous de l’UNESCO

1110 – 1130 ® Développer la coopération internationale entre institutions documentaires dans l’espacefrancophone : les actions de l’Organisation internationale de la Francophonie.C. Ambaud, Francophonie numérique de l’Organisation internationale de la Francophonie

1130 – 1145 ® Open Heritage : le développement et la protection de l’accessibilité de l’information sur le marché mondial sous pressionM. Berendse, Archives nationales des Pays-Bas et Conseil international des archives

1145 – 1200 ® Archivage des revues électroniques dans le monde : le registre The Keepers (les gardiens), surveillance mondialeP. Burnhill, F. Pelle, P. Godefroy, F. Guy, M. Macgregor, A. Rusbridge, Services de conservation duregistre ISSN : The Keepers

1200 – 1225 Discussion

Président de la séance : Mike Casey, Université de l’Indiana, Etats-Unis

Cette séance commencera par la description de la situation des archives cinématographiques dans le contextede la disparition des films comme le moyen principal de production et distribution du 20ème siècle et sonremplacement par des moyens numériques. Elle continuera avec des études de cas où la théorie et la pratiquesont des facteurs en jeu. Une présentation du soutien de la CCAAA (Conseil de coordination des associations

PERSPECTIVES ET COOPÉRATION INTERNATIONALES ParksvilleA

LA MÉMOIRE AUDIOVISUELLE DU MONDE : DÉFIS PRATIQUES ET SOLUTIONS THÉORIQUES ? Pavilion DB

Vendredi 28 septembre 2012 suite

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35 n

d’archives audiovisuelles) à la numérisation de collections audiovisuelles, notamment dans les nations etcommunautés en développement à travers le monde, par le biais de son programme « Archives@Risk » serasuivie d’une discussion sur la numérisation du patrimoine audiovisuel de l’Institut Luce dans le cadre d’un accordavec Google. Elle traitera ensuite de la conservation des vidéos diffusées par l’école de journalisme del’Université de la Colombie-Britannique. La séance sera conclue par la présentation des mesures prises enAustralie pour éviter qu’une collection numérique ne subisse toute une série de catastrophes et pour la rétablir

1030 – 1050 ® Les trésors endormis : Archives du film à l’ère numériqueJ. Gagnon, Cinémathèque québécoise, Canada

1050 – 1110 ® Voir, entendre et déplacer le patrimoine : problèmes et conséquences pour la mémoire audiovisuelle du monde à l’ère numérique C. Frick, Conseil de coordination des associations d’archives audiovisuelles

1110 – 1130 ® La numérisation des films et photos de l'Istituto LuceE. Ceccuti, Archivio Storico Istituto Luce, Italie

1130 – 1150 ® Défis et triomphes : conserver les vidéos HD à l’école de journalisme del’Université de la Colombie-Britannique A. Jansen, Université de la Colombie-Britannique, Canada

1150 – 1210 ® Reprise après une catastrophe numérique des collections audiovisuelles – la théorie et la pratiqueR. Butler, M. Newnham, National Film and Sound Archives of Australia

1210 – 1225 Discussion

Président de la séance : Peter van Garderen, Artefactual & Archivematica, Canada

La séance commencera par une taxonomie des métadonnées et des documents nécessaires pour laconservation des archives numériques sur le long terme. Ces travaux sont basés sur la modélisation et sur lesmétadonnées issues des projets de recherche de l’InterPARES et de la théorie actuelle concernant ladocumentation des décisions prises par le créateur et le conservateur. Elle présentera ensuite un système quipermet l’extraction automatique des métadonnées situées dans différents systèmes d’organisation etd’applications, l’intégration de ces métadonnées avec une documentation technique issue de fichiersnumériques individuels et l’encodage des métadonnées intégrées en tant que Dublin Core « modifié » dans undocument XML associé à chaque fichier individuel. S’ensuivra une étude de cas de la Bibliothèque du Vaticanainsi que la conversion des images numérisées de sa collection de manuscrits au format Flexible Image TransportSystem (FITS). La séance sera conclue par une analyse du problème de gestion automatique des « copiesd’accès » et d’une approche abstraite permettant la délégation des processus de conservation qui peuvents’appliquer automatiquement aux copies d’accès.

1030 – 1050 ® Métadonnées et formats de la numérisation et de la conservation numériqueJ. Tennis, Université de Washington, Etats-Unis

1050 – 1110 ® Assurer un futur pour le passé : les stratégies de conservation à long terme pour les données archéologiques numériquesA. Rabinowitz, M. Esteva, J. Trelogan, Université du Texas à Austin, Etats-Unis

1110 – 1130 ® En complète harmonie avec le patrimoine culturel ! Formats de conservation: des données spatiales aux ressources culturellesP. Manoni, Bibliothèque apostolique vaticane, Etat du Vatican ; G. Michetti, Université de la Colombie-Britannique, Canada

1130 – 1150 ® Travailler avec des formats de fichiersL. Enns, G. Badesha, la ville de Surrey au Canada

MÉTADONNÉES ET FORMATS POUR LA NUMÉRISATION ET LA CONSERVATION NUMÉRIQUE Junior C/DC

Vendredi 28 septembre 2012 suite

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n 36

1150 – 1210 ® Conservation autonome des « copies d’accès » de contenus numériquesW. Allasia, EURIX srl. Technologie des médias numériques, Italie ; F. Falchi, C. Meghini, Conseil nationalde la recherche, Italie

1210 – 1225 Discussion

Président de la séance : Fiorella Foscarini, Université de Toronto, Canada

La séance présentera la partialité des médias ainsi que les préjugés incorporés dans les langages de balisageet les représentations numériques de matériels d’archives, anticipant ainsi les défis socio-culturels résultant del’accès numérique. Elle se penchera ensuite sur les solutions par le biais de systèmes descriptifs à caractèrecommercial au Centre for Digital Information Management (CEDIF – Centre de gestion de l’informationnumérique) à l’Université Mid Sweden, le développement de politiques et de stratégies dans l’expérience del’Afrique du Sud, et les outils qui facilitent l’agrégation, la gestion et le contrôle des archives dispersées qui ontune provenance commune.

1030 – 1050 ® Préjugé et équilibre dans la conservation du patrimoine numérique A. Prodan, Université de Cottbus, Allemagne

1050 – 1110 ® Les archives ne sont pas des arbres. Représentations hiérarchiques dans l’environnement numérique G. Michetti, Université de la Colombie-Britannique, Canada

1110 – 1130 ® L’archiviste et l’architecte : une meilleure gestion des informations numériques grâce à un travail commun ?G. Samuelsson, Mid-Sweden University

1130 – 1150 ® Applications ECM et conservation numérique – suggestion d’une stratégie communeS. Katuu, Fonds monétaire international

1150 – 1210 ® Faciliter l’agrégation des archives personnels dispersées : proposition d’un modèle fonctionnel commercial et techniqueC. Prom, Université de l’Illinois, Etats-Unis

1210 – 1225 Discussion

Président de la séance : Christopher Lee, Université de Caroline du Nord à Chapel Hill, Etats-Unis

La séance dévoilera le vaste champ d’action des associations, lesquelles peuvent s’exprimer par desdocuments et des données numériques, ainsi que leurs vulnérabilités et leurs menaces, et la difficulté àdémontrer un rapport d’investigation validé et bien documenté se conformant aux normes du systèmejuridique quand ces documents et ces données se trouvent sur Internet. Ensuite, elle exposera un modèled’évaluation des éléments de réussite et d’échec dans un système en proposant des couches (ou strates)continues d’expertise et de qualification des preuves numériques et électroniques ; une méthodologie pouridentifier et isoler les traces des interactions des utilisateurs du Cloud sur les smartphones et les ordinateursportables ; et la méthodologie d’analyse de la mémoire nécessaire pour extraire les gestionnaires de fichiersutilisés par chaque procédé.

1030 – 1050 ® Construire et évaluer les preuves numériques pour les procédés C. Rudolph, N. Kuntze, FraunhoferInstitute for Secure Information Technology, Darmstadt, Allemagne

1050 – 1110 ® Entraves judiciaires : Conséquences juridiques du stockage d’informations sur le CloudA. Alva, B. Endicott-Popovsky, S. David, Université de Washington, Etats-Unis

UN CADRE MÉTHODOLOGIQUE POUR ASSURER LA CONSERVATION Port McNeillD

LES OBJETS NUMÉRIQUES : UNE PREUVE LÉGALE Port AlberniE

Vendredi 28 septembre 2012 suite

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37 n

1110 – 1130 ® Les modèles en investigation numérique distribuée et en collaboration avec l’informatique ubiquitaire et les systèmes de communicationD. Keeling, M. Lemon, M. Losavio, Université de Louisville, Etats-Unis Présentateur: Y. Guan, Président général de SADFE 2012

1130 – 1150 ® Les conséquences du Cloud computing sur l’informatique légale : proposition d’une nouvelle méthodologie F. Marturana, Université de Tor Vergata, Rome, Italie ; S. Tacconi, Ministero dell’Interno, ItaliePrésentateur : M. Y. Huang, Co-président du comité de pilotage de SADFE

1150 – 1210 ® Expertise de la mémoire : extraire les gestionnaires de fichiersA. Hay, G. Peterson, Institut de Technologie de la force aérienne, Etats-Unis

1210 – 1225 Discussion

1030 – 1225 Mené par : E. Shaffer, C. Rogers, D. Force, E. Goh, Université de la Colombie-Britannique, Canada

Cette séance introduira les modules d’éducation sur la conservation numérique développés en partenariat par leprojet InterPARES de l’Université de Colombie-Britannique et le Conseil international des archives (CIA). Elle mettraen évidence la portée et le contenu de chaque module, expliquera plus en détail les réseaux de Modules étantdonné qu’ils sont liés à des problèmes concernant la gestion et la conservation des archives numériques, etprésentera la base de données terminologique du CIA, également développée à l’Université de la Colombie-Britannique, qui soutient les modules d’éducation.

1225 – 1340 Déjeuner Grand Ballroom

1340 – 1515 Séances parallèles

Président de la séance : Allan Bell, Université de la Colombie-Britannique, Canada

Cette séance décrira les défis auxquels sont confrontées de grandes institutions dans la réalisation d’initiatives deconservation numérique. Elle évaluera les normes de numérisation et la difficulté technique de leur mise en œuvre.Elle examinera également comment la participation à des réseaux d’excellence comme LIBER ainsi que lacoopération interinstitutionnelles au sein d’un même pays peuvent aider à répondre à ces défis. Cependant, dans lecas des archives, le problème du maintien de l’authenticité d’un volume important de documents par le biais desmétadonnées d’intégrité et d’identité reste éprouvant.

1340 – 1400 ® La numérisation des collections du patrimoine documentaire en langue indienne :étude comparative de cinq grandes initiatives de bibliothèques numériques en Inde A. Das, Université J. Nehru, Inde

1400 – 1420 ® Conservation du patrimoine numérique – réalités et options économiquesL. Weir, Université d’Ottawa, Canadiana

1420 – 1440 ® Placer les bibliothèques au cœur de la conservation numériqueS. Reilly, LIBER, Ligue des bibliothèques européennes de recherche

1440 – 1500 ® Expériences tirées de Digidaily – La numérisation interinstitutionnelle de masse de journaux en SuèdeH. Rosen, T. Johansson, H. Johansson, Bibliothèque nationale de Suède ; M. Andersson, Archivesnationales de Suède

1500 – 1515 Discussion

EDUQUER LES PROFESSIONNELS DES ARCHIVES AU SUJET DE LA CONSERVATION NUMÉRIQUE Grand Ballroom

ATELIER N° 5

LES INITIATIVES INSTITUTIONNELLES ET INTERORGANISATIONNELLES DANS LA NUMÉRISATION ParksvilleA

Vendredi 28 septembre 2012 suite

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n 38

Président de la séance : Sharon Alexander Gooding, Université des Indes occidentales, Barbade

La séance illustrera les stratégies utilisées pour assurer la conservation des archives audiovisuelles analogues auSénégal ; la méthodologie de numérisation des clichés historiques ; les critères de conservation des imagesnumériques d’origine et les problèmes de connaissance qui pourraient entraver la conservation des documentsnumériques d’origine ou numérisés.

1340 – 1400 ® Chemins de la mémoire : les archives audiovisuelles et l’identité d’une organisationinternationale africaineA. Pam, Banque Centrale des États de l’Afrique de l’Ouest, Sénégal

1400 – 1420 ® La numérisation comme stratégie de conservation : sauver et partager les clichés historiques en nitrate de la bibliothèque de la Société américaine de géographieK. Matusiak, Université de Denver, Etats-Unis ; T. Johnston, Bibliothèques de l’Université du Wisconsin-Milwaukee, Etats-Unis

1420 – 1440 ® Les images numériques d’origine : de la création à la conservationJ. Bushey, Université de la Colombie-Britannique, Canada

1440 – 1500 ® Les compétences essentielles pour la conservation numérique : aborder les besoinsen matière de formation du personnel dans les petites institutions du patrimoineA. Altobellis, Northeast Document Conservation Center, Etats-Unis

1500 – 1515 Discussion

Président de la séance : Saeed Rezaei Sharifabadi, Université Alzahra, Iran

La séance commencera par une série d’études de cas sur les facteurs économiques, professionnels et culturels quitouchent les projets conçus pour faire avancer la numérisation, l’accès en ligne et la conservation numérique descollections à petite échelle. Ensuite, elle présentera des initiatives à grande échelle aux Pays-Bas et aux Etats-Unis.La séance sera conclue par la présentation d’un modèle conceptuel du processus de numérisation, basé sur unpoint de vue multimodal des documents et de leur potentiel en tant que fournisseurs d’informations, et par unediscussion sur son utilité potentielle dans l’analyse de la capacité informative de la représentation numérique et dansla mise en place de processus de numérisation fiables.

1340 – 1400 ® Etablir des collections durables au patrimoine culturel numérique : vers de meilleurespratiques pour les projets numériques sur le plan micro-économiqueP. Botticelli, A. Clark, P. Montiel-Overall, Université d’Arizona, Etats-Unis ; R. Prouty, Arizona Library,Archives and Public Records, Etats-Unis

1400 – 1420 ® Les leçons tirées des projets de conservation numérique à long terme aux Pays-Bas V. Wintermans, M. de Niet, Commission nationale des Pays-Bas pour l’UNESCO

1420 – 1440 ® Valider la qualité dans la numérisation à long terme : les conclusions issues des recherches sur l’erreur d’imageP. Conway, Université du Michigan, Etats-Unis

1440 – 1500 ® Perdu en transit: La capacité informative des reproductions numériquesL. Björk, Bibliothèque nationale de Suède

1500 – 1515 Discussion

LA NUMÉRISATION À PETITE ET GRANDE ÉCHELLE: VERS UN MODÈLE CONCEPTUEL COMMUN Junior C/DC

CONSERVER LES IMAGES: QUE DEVONS-NOUS SAVOIR ? (IS) Grand BallroomBVendredi 28 septembre 2012 suite

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39 n

Président de la séance : Dietrich Schüller, Phonogrammarchiv, Académie autrichienne des sciences

Cette séance commencera par une enquête sur les efforts et les publications d’organisations telles que l’AudioEngineering Society (AES), l’Union européenne de radio-télévision (UER), la Society of Motion Picture & TelevisionEngineers (SMPTE), l’International Association of Sound and Audiovisual Archives (IASA) et leurs conséquencesstratégiques sur la conservation audiovisuelle. Ensuite, elle analysera les outils logiciels disponibles gratuitement,développés par l’Université de l’Indiana et utilisés dans son système de conservation des medias ; elle expliqueracomment fonctionne la compression vidéo et pourquoi par sa nature même, il est toujours inopportun de créerde la vidéo compressée pour sa conservation ; et la séance sera conclue par une étude de cas sur laconservation des collections sonores et audiovisuelles en Amérique latine, et plus précisément au Mexique.

1340 – 1400 ® Répondre au défi de la conservation numérique audiovisuelle B. Gordon, Université Harvard, Etats-Unis

1400 – 1420 ® Planification de la conservation des collections des médias : l’initiative de conservation des medias de l’Université de l’IndianaM. Casey, Université de l’Indiana, Etats-Unis

1420 – 1440 ® La vidéo compression … pour les nuls ?G. Blood, consultant, Etats-Unis

1440 – 1500 ® Plateforme de conservation ibéro-américaine du patrimoine sonore et audiovisuel P. Pellizzari, Fonoteca Nazionale Svizzera, A. Hegewisch, Fonoteca Nacional de Mexico

1500 – 1515 Discussion

Président de la séance : Yong Guan, Systematic Approaches to Digital Forensic Engineering

Examinant l’utilisation répandue de la technologie mobile et du stockage en ligne, cette séance montrera qu’il estfréquent de tomber sur des documents électroniques importants dans un historique de navigation sur untéléphone, que ce soit sous forme d’emails reçus, de sites Web consultés, de recherches Internet effectuées,etc. Elle examinera de nouveaux cadres légaux pour leur évaluation, et décrira les outils de contrôle capablesd’établir la fiabilité et la sécurité de la performance des fournisseurs de services.

1340 – 1400 ® Enquêter et analyser les contenus Web sur les téléphones cellulaires « Shanzhai » en Chine J. Fang, Z. L. Jiang, S. M. Yiu, L. Hui, K. P. Chow, N. He, Université de Hong Kong

1400 – 1420 ® Affiner le cadre de l’informatique légaleJ. Huang, Y. Chen, K. Choo, X. Fu, UMass Lowell; Z. Ling, Université Sud-Est, Nanjing, Chine

1420 – 1440 ® Mettre en œuvre l’efficacité de la recherche judiciaire numérique pour le Cloudcomputing en utilisant des outils de contrôle de la performanceF.R. Van Staden, H. S. Venter, Université de Pretoria, Afrique du Sud

1440 – 1500 ® Contrôle de la sécurité de l’expertise judiciaire du réseau sans fil (SMoWF) Y. Cai, P. Ji, Université de la Ville de New York

1500 – 1515 Discussion

FAIRE CONFIANCE AUX DONNÉES ET AUX DOCUMENTS EN LIGNE Port AlberniE

CONSERVATION DU MATÉRIEL AUDIOVISUEL Port McNeillDVendredi 28 septembre 2012 suite

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1340 – 1515 Menée par : D. Katre, Centre for Development of Advanced Computing, Inde ; L. Duranti, S. Xie,Université de la Colombie-Britannique, Canada

Cette séance présentera et abordera de façon interactive la vision nationale de l’initiative de conservation numériquede l’Inde ; les démarches entreprises dans la formulation du programme national de conservation numérique ; lesdépôts institutionnels pilotes, élaborés dans des sphères comme le gouvernement, la culture et les archives enligne ; les outils, les stratégies de conservation et les normes développés dans le contexte indien ; et comment ceséléments ont été le fruit d’une adaptation des résultats, des recommandations et des directives de l’InterPARES ausystème de e-gouvernement de l’Inde.

1515 – 1630 Pause

Menée par : Janis Karklin’š, Sous-directeur général, UNESCO

Evgeny Kuzmin, Président, Programme Information Pour Tous de l’UNESCOIngrid Parent, Présidente, Fédération internationale des associations de bibliothécaires et des bibliothèquesMartin Berendse, Président, Conseil international des archivesLuciana Duranti, Présidente et professeure, Études archivistiques, Université de la Colombie-Britannique,Canada

La session résumera les résultats, les recommandations et les conclusions de la conférence. Ces élémentsseront utilisés pour positionner la politique de l’UNESCO dans le patrimoine numérique et pour développerdavantage une stratégie numérique de mise en œuvre par ses Etats membres.

CONCLUSION SÉANCE PLÉNIÈRE (IS) Grand Ballroom1545 – 1630

LE CENTRE D’EXCELLENCE INDIEN SUR LA CONSERVATION NUMÉRIQUE ET L’InterPARES Pavilion D

EXPO N° 6

Vendredi 28 septembre 2012 suite

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41 n

Affiches

Affiche Aetur Titre Pays

1Collence Chisita

Amos BishiChallenges and opportunities of digitizing

and preserving cultural heritage: Case study of the National archives of Zimbabwe

Zimbabwe

2 Donna McRostie The long and winding road from aspiration toimplementation – Building an enterprise digitization

capability at the University of Melbourne

Australia

3 Asger Svane-Knudsen,Jiri Vnoucek

Retrieving a part of Danish colonial history –from dust to digital copy

Denmark

4 Mitra Samiee A Paradigm for the preservation of national digital memory of Iran

Iran

5 Na Cai Leye Yao

Liu Liu

Creating social memories of major events in China: A case study of the 5•12 Wenchuan earthquake

digital archive

China

6 Chinyere Otuonye Insights on the digitization of traditional medicine knowledge in Nigeria

Nigeria

7 Nader Naghshineh Crowd-sourced digital preservation: An Iranian model Iran

8 Chris Muller From D.C. to Denver to Dhaka, We’re all in “Alexandria”

United States

9 Natalia Grincheva Digital diplomacy United States

10 Rusnah Johare Preserving digital research data Malaysia

11 Carole Payen Le Réseau francophone numérique : Porte ouverte surles patrimoines documentaires de la Francophonie

Canada

12 Claudia M. Wanderley Multilingualism at the University of Campinas Brazil

13 Anne Thurston Open government and trustworthy records United Kingdom

14 Jan Marontate, David Murphy,Megan Robertson,

Nathan Clarkson, Maggie Chao

Canada – Aural memories: A case study of soundscape archives

Canada

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n 42

Merci à nos commanditaires!

Commanditaires diamant

Commanditaires platine

Ministère des Communications etdes Technologies de l’Information,République d’Azerbaïdjan

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Commanditaires or

Commanditaires argent

Commanditaires supporter

Bibliothèque

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n 44

ContactExposants

® ARMA International

® ARNANO

® Google

® InterPARES

® Microsoft

® School of Library, Archival and

Information Studies, The iSchool

at UBC

® The Media Preserve / Preservation

Technologies

® University of British Columbia Library

® University of Ottawa

UNESCO

7, place de Fontenoy75352 PARIS 07 SP FranceTél national: 01 45 68 44 97Tél international: 33 1 45 68 44 97Telex: 204461 Paris; 270602 Paris

Harry YoungCoordonnateur exécutif, Bureau de la bibliothécaire Université de la Colombie-Britannique, Irving K. Barber Learning Centre1961 East Mall, Vancouver, BC, V6T 1Z1Tél : 604-822-3977Courriel : [email protected]

Secrétariat de la conférence

BUKSA Strategic Conference ServicesVancouver / Edmonton - [email protected]