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Rue Geoffroy Saint-Hilaire

PlaceValhubert

Quai Saint-Bernard

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MAusterlitz

Ce parcours offre à l’enseignant la possibilité de construire une visite thématique seul avec sa classe ou bien de garder une trace de sa visite après l’atelier.Ateliers proposés sur le thème de la locomotion.Réservation : 01 40 79 36 00

• Marcher, courir, sauter, voler (cycle 2)

Les animaux exploitent tous les milieux, les airs, la terre ferme et le milieu aquatique.L’atelier permet d’aborder quelques modes de locomotion chez les vertébrés et de mettre en relation la forme des membres locomoteurs et le déplacement.Ce parcours illustre ces notions à partir d’exemples choisis dans les milieux terrestres et marins.

• Des pieds et des mains (cycle 3)

Les vertébrés exploitent tous les milieux, les airs, la terre ferme et le milieu aquatique.L’atelier permet de comprendre la construction des membres et les adaptations liées aux différents milieux de vie. Ce parcours illustre ces notions à partir d’exemples choisis dans les milieux terrestres et marins.

La locomotion chez quelques vertébrés

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Parcours thématique à la Grande Galerie de l’Évolution

M u s é u M n a t i o n a l d ’ H i s t o i r e n a t u r e l l e

aCtion PédaGoGiQue et Culturelle déParteMent des Galeries

www.mnhn.fr

Vous pouvez compléter votre visite autour du thème de la locomotion en vous rendant à la galerie d’Anatomie Comparée où vous pourrez observer de nombreux squelettes comme celui de l’ours, du guépard, de l’éléphant, du dromadaire... ou encore de la girafe.

GRANDE GALERIE DE L’ÉVOLUTION

GALERIES D’ANATOMIE COMPARÉE ET DE PALÉONTOLOGIE

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Qu’est ce qu’un animal plantigrade ?

Il se déplace sur la plante du pied, ce qui lui assure une bonne stabilité

l’ours polaire

La présence de poils sous la plante de ses pieds permet d’essorer rapidement l’eau de ses pattes lorsqu’il marche sur une surface lisse et humide, ce qui lui évite de glisser sur le sol gelé. Il chasse les phoques à l’affût et les tue d’un violent coup de patte au moment où ils émergent des trous dans la banquise.

Qu’est ce qu’un animal digitigrade ?

C’est un animal qui se déplace sur les doigts.

le guépard

Le guépard vit essentiellement en milieu ouvert, des déserts à la savane sèche plus ou moins arborée en passant par les savanes arbustives à épineux.Il peut atteindre 110 km/h sur de courtes distances, ce qui fait de lui le plus rapide de tous les animaux terrestres. Ses pattes sont longues et sveltes et sa colonne vertébrale flexible, agissant comme un ressort, lui permet de galoper et de sauter. Autres exemples d’animaux digitigrades : hyène, lycaon, caracal... Observables dans la savane.

l’éléphant d’Afrique

Il vit dans la savane découverte et peut parcourir de longues distances (80 km/jour). Ses doigts s’appuient sur un large bourrelet, ce qui lui permet de soutenir son énorme masse et d’avancer sans bruit.

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le manchot empereur

Incapable de voler, il est par contre très à l’aise dans l’eau.En plongée, son corps hydro-dynamique fuselé lui permet des déplacements aisés à la poursuite des proies ; la propulsion sous-marine est assurée par de puissants battements des ailes agissant comme des rames, les pieds et la queue servent de gouvernail.À terre il peut parcourir plus de 100 kilomètres. Sur des pentes glacées, il se couche et glisse sur le ventre avec aisance.

le phoque gris

Le phoque se déplace dans l’eau par des mouvements latéraux de son arrière-train.Parfaitement adapté à la vie aquatique, il est plus lent et maladroit sur la glace et la terre ferme.• Autres exemples : phoque de Weddell, éléphant de mer, observables en Antarctique.

la tortue luth

Ses palettes natatoires lui permettent de nager et de se hisser sur les plages où elle creuse des trous pour y déposer ses œufs.

le requin taupe

Il se déplace par des mouvements ondulatoires latéraux de son corps qui se propagent de la tête à la queue en s’amplifiant progressivement.

le cachalot

et la baleine franche

Le corps lisse de ces grands mammifères, en forme de fuseau, offre peu de résistance à l’avancement. À l’extrémité du corps, une queue aplatie horizontalement constitue l’or-gane propulseur qui ondule de haut en bas (contrairement aux poissons dont les mouvements du corps sont latéraux). On reconnaît aisément les os des bras et des mains dans les membres antérieurs transformés en palettes natatoires.

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Comment se déplacer en milieu aquatique ?

Chez les Mammifères marins et les tortues marines, la forme du corps est hydrodynamique. Les membres sont transformés en palettes natatoires aplaties et dotées d’une palmure reliant les doigts.Chez les Oiseaux comme les manchots et apparentés, les ailes sont transformées en ailerons ce qui leur permet de nager.Chez les Poissons : les nageoires paires sont des membranes soutenues par des rayons osseux ou cartilagineux.

PLAN NIVEAU 0milieux marins

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MILIEUX PÉLAGIQUES

la tortue luth

le requin taupe

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LITTORAL

le phoque gris13le cachalot16

la baleine franche17

ANTARCTIQUE

l’albatros

le manchot empereur

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ARCTIQUE

l’ours polaire1

SAVANE AFRICAINE

le guépard

l’éléphant d’Afrique

la girafe

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FÔRET TROPICALES D’AMÉRIQUE

le singe hurleur

le paresseux

le toucan

la chauve-souris

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DESERT SAHARIEN

le dromadaire

la Gazelle

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PLAN NIVEAU 1 milieux terrestres

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le dromadaire

Il vit dans le désert saharien où il accompagne souvent le déplacement des hommes sous forme de longues caravanes. Sa patte repose sur le sol par une base large et aplatie, ce qui lui évite de s’enfoncer dans le sable.

la Gazelle dama

Elle vit en zone désertique. Elle a des pattes très fines et peut atteindre une grande vitesse. Elle est capable de grands sauts avec les pattes raides et la tête baissée, décollant et retombant sur quatre pattes, comme sur des ressorts. À l’inverse du guépard, sa colonne vertébrale reste assez rigide et intervient peu dans la locomotion. Elle court moins vite que le guépard, mais sur de plus longues distances.• Autres exemples de bovidés : buffle, cobe, gnou, bubale... observables dans la savane africaine.

la girafe

La girafe est le plus haut des mammifères terrestres. Ses pattes antérieures sont plus grandes que ses pattes arrière.Le troupeau surveille sans cesse l’horizon, prêt à s’enfuir ; chaque girafe regarde dans un endroit différent. Elle peut courir jusqu’à 50 km/h. Elle marche en avançant en même temps les deux pattes droites puis les deux pattes gauches, ce qui évite que ses sabots ne se cognent. Cette allure est appelée amble. Elle utilise son long cou comme un balancier lorsqu’elle se déplace. Au galop, elle peut atteindre 50 km/h.

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Qu’est ce qu’un animal onguligrade ? Comment se déplacer dans les arbres ?

Chez les animaux arboricoles les membres sont souvent allongés. Chez les singes, le gros orteil est opposable aux autres orteils. Ils se servent de leur pied comme de leur main. De plus, pour certains, la queue préhensile augmente l’aisance de leur déplacement dans les arbres, de branche en branche.

le singe hurleur

Il a des membres démesurés et une longue queue préhensile dont il se sert comme d’une cinquième main pour agripper les branches.

le paresseux

C’est un animal hautement spécialisé pour la vie arboricole par la longueur de ses membres et la présence de longues griffes. Il est incapable de se déplacer aisément sur le sol qu’il ne rejoint que très rarement. Il est la plupart du temps suspendu sous les branches par ses griffes recourbées. Il grimpe avec lenteur en déplaçant un seul membre à la fois.

Comment se déplacer dans l’air ?

Chez les animaux volants, le membre antérieur est transformé en aile.

le toucan

Chez le toucan, comme chez tous les oiseaux, le bras, qui porte de longues plumes rigides, forme une aile articulée. Le toucan, qui vit en forêt et doit manoeuvrer, utilise un vol battu.

la chauve-souris

Chez les chauves-souris, le vol s’effectue grâce à une membrane tendue entre le bras et l’avant-bras très allongés, 4 long doigts, le flanc, le membre postérieur et la queue. Elles utilisent uniquement un vol battu. Leurs petites pattes ne leur permettent pas de marcher.

l’albatros

Il vit au dessus de l’océan antarctique, exploite les courants aériens pour son vol plané. Il ne se fatigue pas du tout en vol car il ne bat pratiquement jamais des ailes. Il effectue ainsi des déplacements de 20 000 km en 45 jours.

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C’est un animal qui se déplace sur le bout des doigts.