La Gazette de LaSemo 2013 - Samedi 13 juillet 2013

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À partager Samedi 2013 13/07 Edito Cindy : « Je fais vivre la musique avec mon corps » À ne pas manquer Les chiffres du jour Entrez entrez dans le chapiteau « Expresso Circus » du Théâtre du N-ombr’île et préparez-vous à plonger dans un autre univers fait d’ombres chinoises et de musique live où rien n’est impossible. Vous rencontrerez une troupe de cirque burlesque où les personnages hauts en couleurs se mêlent en une fresque surréaliste pleine de poésie. Un spectacle aux allures de «cabinet de magie», où tout se réinvente et rien ne se cache. Ou presque… Chapiteau - 15 : 00, 17 : 45 et 20 : 30 Une première journée pleine de soleil et de bonne humeur a ouvert la sixième édition de LaSemo à Enghien. Toute l’équipe est très enthousiaste et remercie déjà les premiers vi- siteurs venus vendredi. Ce samedi, la journée s’annonce très chargée, en émotions posi- tives bien sûr. Les artistes présents feront tout pour vous séduire et vous étonner tandis que l’équipe veille à vous recevoir dans les meil- leures conditions. Des concerts, du cirque, des tas d’animations pour les enfants, des ateliers proposés par les associations, du rêve… nous vous proposons un éventail de divertissements dans lequel chacun trouve ce qui lui plait. Et une fois la nuit venue, les fanfares envahissent le camping et le DJ prend de la hauteur pour diffuser ses sons aux irréductibles danseurs en sandales. Cette année s’annonce brillante, d’autant plus que le soleil inonde de ses rayons l’écrin que nous avons eu envie de vous faire découvrir. Alors profitez ! L’équipe d’organisation Les habitués de LaSemo la connaissent déjà. Cindy, l’in- terprète en langue des signes, participe au festival depuis quelques années. Entretien avec celle qui partage la scène avec de nombreux artistes. Comment peut-on trans- crire l’émotion musicale en signes? J’essaye de faire vivre la mu- sique avec mon corps et les émotions de mon visage. Je ne fais pas le JT, je ne suis pas du tout dans la neutralité. Au total, il faut un mois de préparation par concert. Avant le show, je pose des questions aux artistes et je me laisse envahir par les chan- sons, dans tout mon corps, pour essayer de la faire ressortir par mes mouvements, la danse et la langue des signes. Certains concerts doivent représenter un véritable challenge ! Cette année, je traduis quatre concerts à LaSemo. Ils ont tous leur difficulté propre. « Mes sou- liers sont rouges » a des chan- sons très musicales et instru- mentales que je dois parvenir à traduire avec mon corps. Avec les « Cowboys Fringants », il faut tenir le rythme et travailler avec du vocabulaire québécois. Pour le « Grand Jojo », la diffi- culté est toute autre puisqu’il faut traduire des chansons pail- lardes ou d’ambiance. Les jeux de mots sont inévitablement très différents entre le français et la langue des signes. J’ai, par exemple, dû trouver une astuce pour faire passer le jeu de mot « Vive les saints ». Pour terminer, les « Fatals Picards » sont le summum de la difficul- té, cette année. Ils vont très vite et leurs textes sont bourrés de références d’actualité. J’ai dû travailler avec une personne sourde pour trouver les signes les plus adéquats. 578 bénévoles 4 km de barrières autour du site 100.000 gobelets réutilisables Quelle belle journée ! Les festivaliers sont venus en nombre pour applaudir la belle affiche proposée. Très attendus, les Cowboys Fringants ont été à la hauteur de leur réputation et ont mis le feu au public venu en nombre pour les applaudir. Ils n’ont pas été les seuls à faire l’unanimité auprès des festivaliers puisque, dès le début de la soirée, Mes Souliers Sont Rouges ont fait danser le public de la Clairière en une folle farandole. Plus tôt dans la journée, les visiteurs venus aux premières heures ont pu profiter d’un agréable moment, étendus dans l’herbe en découvrant les notes de la charmante Li-Lo*. Cette 6e édition commence sur des chapeaux de roues ! 1 Ne pas jeter ! Merci de déposer cette gazette après lecture au stand info ou dans l’un des bars.

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Transcript of La Gazette de LaSemo 2013 - Samedi 13 juillet 2013

À partager

Samedi

201313/07

Edito

Cindy : « Je fais vivrela musique avec mon corps »

À ne pas manquer

Les chiffres du jour

Entrez entrez dans le chapiteau « Expresso Circus » du Théâtre du N-ombr’île et préparez-vous à plonger dans un autre univers fait d’ombres chinoises et de musique live où rien n’est impossible. Vous rencontrerez une troupe de cirque burlesque où les personnages hauts en couleurs se mêlent en une fresque surréaliste pleine de poésie. Un spectacle aux allures de «cabinet de magie», où tout se réinvente et rien ne se cache. Ou presque…

Chapiteau - 15 : 00, 17 : 45 et 20 : 30

Une première journée pleine de soleil et de bonne humeur a ouvert la sixième édition de LaSemo à Enghien. Toute l’équipe est très enthousiaste et remercie déjà les premiers vi-siteurs venus vendredi. Ce samedi, la journée s’annonce très chargée, en émotions posi-tives bien sûr. Les artistes présents feront tout pour vous séduire et vous étonner tandis que l’équipe veille à vous recevoir dans les meil-leures conditions. Des concerts, du cirque, des tas d’animations pour les enfants, des ateliers proposés par les associations, du rêve… nous vous proposons un éventail de divertissements dans lequel chacun trouve ce qui lui plait. Et une fois la nuit venue, les fanfares envahissent le camping et le DJ prend de la hauteur pour diffuser ses sons aux irréductibles danseurs en sandales.Cette année s’annonce brillante, d’autant plus que le soleil inonde de ses rayons l’écrin que nous avons eu envie de vous faire découvrir. Alors profitez !

L’équipe d’organisation

Les habitués de LaSemo la connaissent déjà. Cindy, l’in-terprète en langue des signes, participe au festival depuis quelques années. Entretien avec celle qui partage la scène avec de nombreux artistes.Comment peut-on trans-crire l’émotion musicale en signes?J’essaye de faire vivre la mu-sique avec mon corps et les émotions de mon visage. Je ne fais pas le JT, je ne suis pas du tout dans la neutralité. Au total, il faut un mois de préparation par concert. Avant le show, je pose des questions aux artistes et je me laisse envahir par les chan-sons, dans tout mon corps, pour essayer de la faire ressortir par mes mouvements, la danse et la langue des signes. Certains concerts doivent représenter un véritable challenge !Cette année, je traduis quatre concerts à LaSemo. Ils ont tous leur difficulté propre. « Mes sou-

liers sont rouges » a des chan-sons très musicales et instru-mentales que je dois parvenir à traduire avec mon corps. Avec les « Cowboys Fringants », il faut tenir le rythme et travailler avec du vocabulaire québécois. Pour le « Grand Jojo », la diffi-culté est toute autre puisqu’il faut traduire des chansons pail-lardes ou d’ambiance. Les jeux de mots sont inévitablement très différents entre le français et la langue des signes. J’ai, par exemple, dû trouver une astuce pour faire passer le jeu de mot « Vive les saints ». Pour terminer, les « Fatals Picards » sont le summum de la difficul-té, cette année. Ils vont très vite et leurs textes sont bourrés de références d’actualité. J’ai dû travailler avec une personne sourde pour trouver les signes les plus adéquats.

578 bénévoles

4 km de barrières autour du site

100.000 gobelets réutilisables

Quelle belle journée ! Les festivaliers sont venus en nombre pour applaudir la belle affiche proposée. Très attendus, les Cowboys Fringants ont été à la hauteur de leur réputation et ont mis le feu au public venu en nombre pour les applaudir. Ils n’ont pas été les seuls à faire l’unanimité auprès des festivaliers puisque, dès le début de la soirée, Mes Souliers Sont Rouges ont fait danser le public de la Clairière en une folle farandole. Plus tôt dans la journée, les visiteurs venus aux premières heures ont pu profiter d’un agréable moment, étendus dans l’herbe en découvrant les notes de la charmante Li-Lo*. Cette 6e édition commence sur des chapeaux de roues !

1Ne pas jeter ! Merci de déposer cette gazette après lecture au stand info ou dans l’un des bars.

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#lasemoLévêque Sébastien @legenyes La derniere fois que j ai ecouté Mes Souliers sont rouges, j en ai perdu mes clefs sur la grand place de Bruxelles. #LaSemo #farandole

Hugues Kempeneers @Hugueskemp Une traductrice pour les personnes sourdes et muettes aux cowboys fringants !!! Impressionnant !!! #LaSemo

François Colinet @viemusicaleFC craque pour #emiliegassin a #Lasemo ce samedi 19h http://www.emiliegassin.com/ be there!!!

Cynthia Zavelion ➰ @Cyn5555 @LaSemo quel calme à Hotton.. :-( #enmanquedevous

Backstage

Animations familles

« Chaque année, j’espère revenir »

Partenaire

De passage en Belgique, les artistes ne réa-lisent pas vraiment à côté de quoi ils peuvent passer. Quand les artistes de Camping de Luxe font une commande de boissons à notre équipe des loges, en précisant qu’ils sou-haitent des « bières de qualité », ils citent leurs marques de prédilection à titre d’exemples : «1664» et «Heineken» ! Pour la qualité, on re-passera (pour le bon goût aussi)…

Certains ont le sens pratique, parmi nos ar-tistes. Outre les bouteilles de vin, l’équipe du Grand Jojo demande avec insistance qu’on lui fournisse les verres et le tire-bouchon. Cette demande sentirait-elle le vécu ? Au pire, il leur restera toujours la possibilité de tenter un «Chef, un petit verre !»

L’esprit est à la création au Pays des Mer-veilles, ce samedi. Pas question de s’y ennuyer. Les enfants ont l’occasion de se consacrer à diverses activités pour déve-lopper leur imagination. Outre les histoires

du KapContes, qui vont entraîner petits (et grands, d’ailleurs) dans divers univers in-croyables, les plus jeunes ont la possibilité de participer à la création de marionnettes en matériel de récupération. D’autres en-vies ? La peinture collective de LaSemo n’attend plus que les petits doigts habiles pour se construire tout au long du week-end. Le résultat ? Une fresque étonnante. Amateur de découvertes plus que de brico-lages, rendez-vous à 15h ou 16h30 à l’es-pace enfants pour une balade nature dans le magnifique parc d’Enghien.

Cédric Gervy est un habitué de LaSemo. Il participe au festival avec toujours autant d’enthousiasme. Il sera sur scène à 16h30, au Pavillon.Tu as déjà participé à de nombreuses éditions de LaSemo. Toujours impa-tient de t’y produire ?Chaque année, j’attends ce rendez-vous avec impatience parce que l’expérience est à chaque fois différente. Il y a toujours un petit quelque chose en plus, à LaSemo. Sur les cinq dernières éditions, je suis venu quatre fois. Chaque année, j’espère pou-voir revenir.Selon toi, quelle est la particularité de ce festival ?J’ai l’impression que LaSemo est le seul festival que je connaisse où les gens

viennent parce que c’est LaSemo, sans se poser de question. Des gens viennent et s’en foutent de ce qu’il y a à l’affiche car ils savent que ça va correspondre à leurs centres d’intérêts et que, même s’ils ne connaissent pas tous les groupes, ils ont la certitude de faire de belles découvertes. C’est un peu comme un label sur du jam-bon.Tu prépares des surprises pour le concert de cette année ?Je finalise actuellement mon prochain al-bum qui devrait sortir dans le courant de l’été. Je vais donc présenter quelques nou-velles chansons. Bien entendu, je vais jouer les anciens titres que les gens aiment. Et que j’aime aussi, parce qu’on est générale-ment assez d’accord sur la question.

La bière se déguste avec sagesse et donc, for-cément, dans un récipient réutilisable. Depuis 2010, Kopo s’occupe de la fourniture des go-belets lors de LaSemo. Christophe Lampertz nous dévoile les secrets du meilleur ami des festivaliers.Peux-tu nous expliquer le parcours d’un gobelet Kopo ?Il part du sud de l’Espagne, où il est produit. Arrivé à Seraing, il est envoyé au festival. Sur l’événement, il est utilisé par le festivalier puis rendu sale en échange d’un gobelet propre. Il revient ensuite à Seraing pour être lavé et repart sur le festival pour être réutilisé. S’il se casse, il est recyclé en cendrier portable. Contrairement au gobelet jetable traditionnel ou au PLA, il ne devient pas un déchet.Quelle est la durée de vie d’un gobelet ?En moyenne, il est utilisé deux cent fois. En outre, il faut se rappeler que de nombreux go-belets rentrent avec le festivalier à son domicile et sert, par exemple, aux enfants pour jouer dans le jardin. Ou comme verre à pique-nique. Il a alors une véritable seconde vie quand il

disparaît. Il arrive même qu’un gobe-let réapparaisse, des mois plus tard, dans un autre festival.

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Les Cowboys Fringants : « On est à notre place ici »

Agir rime avec plaisirLa photo du jour

Plus qu’attendu, les Cowboys Fringants ont été à la hauteur de leur réputation hier soir face à leurs fans venus en nombre. Nous avons rencontré Jérôme Dupras, le bassiste du groupe, quelques minutes avant leur mon-tée sur scène.Vous aviez marqué LaSemo lors de votre passage il y a cinq ans. Gardez-vous un bon souvenir de votre visite ?C’est difficile d’avoir un souvenir très précis de tous nos concerts mais on sait qu’on s’était bien amusé. En général, on a tou-jours une bonne impression de nos passages dans les festivals belges. On sait qu’on retrouve toujours une base de fans ici qui réagit lors des concerts et qui chantent avec nous.Est-ce différent de proposer un concert en festival ou en salle ?Ce n’est pas vraiment la même chose mais les deux ont leurs bons côtés. En général, après un an de création, cela nous brûle les doigts de remonter sur scène. On commence alors la tournée dans des salles avec des concerts un peu plus longs et plus intimes. Les spectacles en extérieur et en festivals arrivent après avec des

concerts plus courts mais aus-si plus dynamiques. On ne perd pas de temps à raconter trop d’histoires entre les chansons. Ce sont deux approches différentes qui nous plaisent.Le cadre du concert fait-il une différence pour vous ?C’est un très bel endroit et je dois vous avouer qu’on tombe parfois dans des lieux bizarres ou même

plein de bitume et de poussières. C’est toujours mieux quand le public est à son aise. On se sent particulièrement à notre place ici d’autant plus qu’on partage une certaine saveur durable. Ce sont des idées qu’on essaye égale-ment de transmettre dans nos chansons.Quand une tournée dure deux ans, on ne se lasse jamais

de proposer tous les soirs la même chose?En réalité, on part sur une base d’une douzaine de chansons in-contournables puis, autour de cela, on improvise. On a fait un tour sur le site pour découvrir l’ambiance et le public du festival et, en fonction, on adapte nos choix.

Si la fête en festival peut s’inté-grer dans un comportement du-rable, agir auprès d’associations peut également être un plaisir. C’est ce que veulent vous dé-montrer les associations pré-sentes cette année dans notre village « Agi Kun ». Aujourd’hui, focus sur l’Asso-ciation pour l’Esperanto, les In-croyables Comestibles et ACRF. Le nom « LaSemo » vous a tou-jours fasciné ? Et pas seulement pour tous les moments de bon-heur auquel il est associé ? Vous voudriez, vous aussi, pouvoir parler une seule langue partout

en Europe ? N’attendez plus, courez au stand de l’Association pour l’Espéranto et suivez un cours pour maîtriser les bases de cette langue internationale.Avec Les incroyables Comes-tibles, apprenez à construire des tours potagères à l’aide de bouteilles récupérées.Les petites mains habiles vont pouvoir s’en donner à cœur joie au stand d’ACRF. Grâce à l’ani-mation « fourre-tout chic »,vous vous attellerez à la fabrication de quatre sortes de sacs différents à partir d’un morceau de tissu.

Kiss & Party ConcoursPassez vos messages aux autres festivaliers en envoyant vos petits mots doux sur la page Facebook de LaSemo.

« Mon amour, je pense qu’il est temps pour nous de dévoiler notre histoire au grand jour. Tu es ma Juliette, je suis ton Roméo. Tu es ma Danette, je suis ta cuillère. Savourons en-semble la symbiose de nos coeurs. » Sacha O.R.

Tentez de gagner deux entrées au show case privé de Bar-cella (ainsi qu’à la réception VIP) qui se déroule ce samedi à 19h30 ou des cd’s de vos artistes préférés en trouvant le mot mystère (absurde et hors contexte) utilisé par Jean Jean dans ses présentations d’artistes. Envoyez votre ré-ponse au 0479.69.72.60. Les premières bonnes réponses décrochent un prix.

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Programme du jourRas d’eau

Plaine

Pavillon

Chapiteau

Clairière

Places aux foires

15 : 00

17 : 45

20: 30

23 : 30

01 : 00

Mademoiselle Nineteen

Barcella

Le Grand Jojo

Camping de Luxe

FonoGraFF

14 : 00

16 : 05

18 : 50

Circokot

BB Crew

Compagnie Scratch

14 : 00

16 : 30

19 : 15

22 : 15

Thea & The Mugs

Cédric Gervy

Emilie Gassin

Gaëtan Streel

15 : 00

17 : 45

20 : 30

Expresso Circus

Expresso Circus

Expresso Circus

14 : 30

16 : 45

19 : 15

22 : 50

BB Crew

diamonDuo

Réverbère

Les Allumés

Human Sound System

Théâtre Carbonique

Habille-toi en LaSemoToi aussi, porte haut les couleurs de LaSemo durant toute l’année ! Découvre les T-shirts (homme, femme et enfants) et les casquettes du festival à vendre au stand infos.

Nous prenons soin de vous

La parole aux festivaliers

Afin d’assurer la sécurité de tous les festiva-liers, une équipe d’intervention médicale est présente durant toute la durée de LaSemo. Antoine Delhalle, directeur des opérations, fait les points sur le travail de son équipe durant le festival.Quels sont les accidents et les problèmes les plus courants que vous traitez durant LaSemo?L’essentiel des soucis proviennent des chutes et des problèmes d’hygiène de pieds. Les in-terventions diffèrent aussi beaucoup en fonc-tion de la météo. Sous le soleil, il y a davantage d’insolation tandis qu’on a plus de problème d’ivresse en cas de météo moins clémentes.En moyenne, vous dénombrez combien d’interventions durant le week-end ?

Près de 500, généralement pour des petites missions de « bobologie », comme distribuer des sparadraps ou des questions d’hygiène. On réalise également des petites interventions puisque les hommes sont également formés pour cela. Un conseil pour les festivaliers ?Faites attention à vos pieds ! L’hygiène et des chaussures adaptées au temps sont des élé-ments essentiels ! Forcément, les pieds nus ne sont pas la solution idéale. Pour le reste, il ne faut jamais hésiter à passer nous voir que ce soit pour une simple question ou une demande plus précise. Du mal de tête au tampon, on est là aussi pour les petits détails.

Ce vendredi, les festivaliers ont pris possession très tôt de la plaine de LaSemo pour profiter d’un maximum des réjouissances proposées par le festival. « Je passe un moment excellent. Vendredi, on est arrivé après une grosse jour-née de taf et depuis on s’est bien rattrapé » souligne Thomas.Il faut dire que les possibilités sont nombreuses pour les amateurs de découvertes et la fête est effectivement au rendez-vous dans chaque coin du parc pour les nombreux curieux. Mais tout le monde ne vient pas uniquement pour les concerts. « Je suis bien sûr venu pour

découvrir les divers concerts proposés mais également pour boire de la bière bio et locale et profiter de l’ambiance. J’adore croiser des multitudes de sourires dans les allées du festi-val » nous souligne le jeune homme convaincu avant de préciser : « à chaque instant, on peut s’émerveiller ! »