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1 © Le Grand Réveil 5 janvier 2018. https://legrandreveil.wordpress.com Auteur : Louis d’Alencourt 5 janvier 2018 Prophète ou devin ? Puisque la nouvelle année est synonyme de bonnes résolutions, je vais en prendre une en faisant partager aux lecteurs du Grand Réveil une réflexion qui, bien que personnelle, n'en concerne pas moins tout le monde. Est en jeu, ou du moins en réflexion, la démarche de Louis d'Alencourt sur le Grand Réveil. Tout part d'un vers de Victor Hugo dans son livre La fin de Satan. J'ai relevé une phrase prononcée par Satan qui m'a interpellé : "Il est dans le prophète, et moi dans les devins" Expliquée dans son contexte, cette phrase veut dire que Dieu est derrière les prophètes et Satan derrière les devins. Ceci est conforme à la théologie et à l'enseignement de l'Eglise. Mais je me suis senti concerné par cette formulation car dans ma démarche, au long des 200 articles (le présent est le 201è) qui en 5 ans ont concrétisé en enrichi ma pensée, vulgarisé mes recherches et affiné l'immense et complexe puzzle que constitue l'étude de la fin des temps, n'y a t-il pas une part de divination ? En d'autres termes, et pour être concret, quand j'analyse la situation du monde et son évolution et que je les rapproche avec les Ecritures Saintes et les prophéties et que j'en conclue que nous sommes dans la fin des temps et même à proximité du retour du Christ - je suis dans la prophétie. Mais quand j'annonce des dates à l'avance et que je veux donner également à l'avance une signification aux ladites dates - je suis dans la divination. Souvent, des lecteurs me reprochent cette démarche, et me suggèrent d'abandonner la recherche d'une date, le risque étant de décrédibiliser le travail de base puisque ces dates se sont à chaque fois avérées fausses. Sans compter que d'autres confondent le rapprochement des dates ou l'étude de la signification des nombres avec la numérologie ou la gématrie. Autant le premier reproche est fondé, autant le second trahit une méconnaissance des choses. Les nombres sont volontairement présents dans la bible. Tout comme les mots, les nombres ont un sens dont se sert le divin pour parler aux hommes. Les Pères et docteurs de l'Eglise ont expliqué le symbolisme et la signification des nombres inscrits dans la bible, Ancien comme Nouveau Testament. De même, les alphabets hébreu et grec forment des mots qui ont tous une équivalence numérique. Elle n'est pas là par hasard. Par conséquent, un eschatologue ne peut ignorer la présence et la signification des nombres au même titre que celle des mots inscrits dans les textes saints et les prophéties. S'il constate la présence d'un nombre à un événement-clé et fait le rapprochement de celui-ci avec un texte biblique, ou s'il effectue un simple calcul (par exemple la distance entre deux dates) et y trouve des nombres bibliques, il est évident qu'il peut et doit en tirer des enseignements et des conclusions. Il ne pratique là aucune numérologie ou gématrie qui sont effectivement des méthodes de calcul de l'ennemi, induisent en erreur et génèrent de la confusion.

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© Le Grand Réveil 5 janvier 2018. https://legrandreveil.wordpress.com Auteur : Louis d’Alencourt

5 janvier 2018

Prophète ou devin ? Puisque la nouvelle année est synonyme de bonnes résolutions, je vais en prendre une en faisant partager aux lecteurs du Grand Réveil une réflexion qui, bien que personnelle, n'en concerne pas moins tout le monde. Est en jeu, ou du moins en réflexion, la démarche de Louis d'Alencourt sur le Grand Réveil. Tout part d'un vers de Victor Hugo dans son livre La fin de Satan. J'ai relevé une phrase prononcée par Satan qui m'a interpellé : "Il est dans le prophète, et moi dans les devins" Expliquée dans son contexte, cette phrase veut dire que Dieu est derrière les prophètes et Satan derrière les devins. Ceci est conforme à la théologie et à l'enseignement de l'Eglise. Mais je me suis senti concerné par cette formulation car dans ma démarche, au long des 200 articles (le présent est le 201è) qui en 5 ans ont concrétisé en enrichi ma pensée, vulgarisé mes recherches et affiné l'immense et complexe puzzle que constitue l'étude de la fin des temps, n'y a t-il pas une part de divination ? En d'autres termes, et pour être concret, quand j'analyse la situation du monde et son évolution et que je les rapproche avec les Ecritures Saintes et les prophéties et que j'en conclue que nous sommes dans la fin des temps et même à proximité du retour du Christ - je suis dans la prophétie. Mais quand j'annonce des dates à l'avance et que je veux donner également à l'avance une signification aux ladites dates - je suis dans la divination. Souvent, des lecteurs me reprochent cette démarche, et me suggèrent d'abandonner la recherche d'une date, le risque étant de décrédibiliser le travail de base puisque ces dates se sont à chaque fois avérées fausses. Sans compter que d'autres confondent le rapprochement des dates ou l'étude de la signification des nombres avec la numérologie ou la gématrie. Autant le premier reproche est fondé, autant le second trahit une méconnaissance des choses. Les nombres sont volontairement présents dans la bible. Tout comme les mots, les nombres ont un sens dont se sert le divin pour parler aux hommes. Les Pères et docteurs de l'Eglise ont expliqué le symbolisme et la signification des nombres inscrits dans la bible, Ancien comme Nouveau Testament. De même, les alphabets hébreu et grec forment des mots qui ont tous une équivalence numérique. Elle n'est pas là par hasard. Par conséquent, un eschatologue ne peut ignorer la présence et la signification des nombres au même titre que celle des mots inscrits dans les textes saints et les prophéties. S'il constate la présence d'un nombre à un événement-clé et fait le rapprochement de celui-ci avec un texte biblique, ou s'il effectue un simple calcul (par exemple la distance entre deux dates) et y trouve des nombres bibliques, il est évident qu'il peut et doit en tirer des enseignements et des conclusions. Il ne pratique là aucune numérologie ou gématrie qui sont effectivement des méthodes de calcul de l'ennemi, induisent en erreur et génèrent de la confusion.

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Par contre, donner une date à l'avance et dire ce qui va s'y passer mène à transgresser l'ordre divin : "Quand au jour et à l'heure, nul ne les connaît, pas même les anges du ciel, mais le Père seul." (Matthieu 24:36) Même si je ne cherche pas à déterminer et annoncer le jour et l'heure du retour du Christ, il est certain que rechercher les dates des événements qui précèderont de peu ce retour en gloire est probablement le signe d'un orgueil intellectuel qui se rapproche de la divination et donc d'un piège du démon ("Moi je suis dans les devins"). Cependant, nous allons devoir répondre à une question cruciale : le travail d'eschatologue tel qu'il est pratiqué par Louis d'Alencourt sur le Grand Réveil s'apparente-t-il à de la prophétie ? Là aussi, je livre mes réflexions aux lecteurs en essayant de ne pas tomber dans l'orgueil intellectuel dont je viens de parler, mais d'essayer de comprendre la mission que m'a confiée le Saint-Esprit, et que j'accomplis bien maladroitement et bien imparfaitement. Les prophètes de la fin des temps Les deux événements les plus importants depuis la création du monde sont la venue de Dieu dans le monde, c'est à dire l'incarnation de Jésus-Christ, et son retour en gloire à la fin des temps. La venue du Messie, Dieu fait homme se révélant aux hommes de façon visible, fut très largement annoncée par les prophètes. Je suis persuadé que la seconde venue du Christ doit être, elle aussi, annoncée par des prophètes. Sauf que avant Jésus-Christ, l'inspiration divine des prophètes ne faisait pas de doutes ;leurs paroles, leurs actes et leurs écrits furent consignés dans la bible. Alors que manifestement, à la fin des temps, les prophètes sont auto-proclamés. Pourquoi ? Quelle est la différence entre les deux époques ? Eh bien justement, la différence c'est Jésus-Christ lui-même. Car le Christ n'est pas seulement venu sauver le monde, il est venu aussi lui apporter le salut et y fonder son royaume. Ce royaume, nous le savons, est spirituel et ceci est fondamental : Jésus a redonné aux hommes la dimension spirituelle qu'ils avaient perdu au péché originel, c'est pourquoi on dit qu'il a rouvert le ciel, et surtout donné aux hommes le Saint-Esprit. Ce qui jusque-là avait été un privilège réservé à un tout petit nombre, est dorénavant accordé à tout homme croyant en la divinité de Jésus-Christ. Depuis Jésus-Christ, chaque homme peut devenir le Temple du Saint Esprit et accéder à la sainteté. Donc dans le monde d'avant, les prophètes devaient être dûment mandatés par Dieu aux yeux de tous parce qu'ils en tiraient leur légitimité. Mais depuis Jésus-Christ ce n'est plus nécessaire, car la légitimité se trouve dans la foi, dans la vie par la grâce, dans la sainteté des serviteurs de Dieu. Entre les deux types de prophètes il y a l'Eglise, il y a les canonisations, il y a la reconnaissance de la parole de Dieu par la foi.

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Et puis il y a un élément de taille à prendre en compte également : la période de l'Antéchrist. Le ciel, à mon sens, est à nouveau fermé à partir du moment où l'Eglise fondée par Jésus-Christ (l'Eglise catholique) devient renégate, apostate, hérétique et renonce à sa mission de procurer le salut au monde. L'Eglise visible a perdu le Saint-Esprit, elle est devenue veuve ; tandis que l'Eglise invisible (c'est à dire non reconnue officiellement), celle de la Tradition, a conservé le statut de Sainte Mère l'Eglise. Alors les prophètes se retrouvent dans la situation décrite par Notre-Dame à la Salette : seule la foi les guide, ils se retrouvent dans la position inconfortable de prophètes auto-proclamés aux yeux du monde, alors qu'ils savent bien au fond d'eux qu'ils font partie du petit reste qui y voit. Ils ressentent donc comme un devoir d'aller expliquer tout cela aux autres. D'aller les réveiller, sauver leurs âmes. Voilà le texte de la Salette très explicite sur ce sujet : (je mets en gras les passages qui correspondent à ce que je viens de dire) "J’appelle les Apôtres des derniers temps, les fidèles disciples de Jésus-Christ qui ont vécu dans un mépris du monde et d’eux-mêmes, dans la pauvreté et dans l’humilité, dans le mépris et dans le silence, dans l’oraison et dans la mortification, dans la chasteté et dans l’union avec Dieu, dans la souffrance et inconnus du monde. Il est temps qu’ils sortent et viennent éclairer la terre. Allez, et montrez-vous comme mes enfants chéris ; je suis avec vous et en vous, pourvu que votre foi soit la lumière qui vous éclaire dans ces jours de malheur. Que votre zèle vous rende comme des affamés pour la gloire et l’honneur de Jésus-Christ. Combattez, enfants de lumière, vous, petit nombre qui y voyez, car voici le temps des temps, la fin des fins." On ne se trompe pas : nous vivons bien la fin des fins, cela fut confirmé à Fatima. C'est pourquoi Dieu suscite des prophètes un peu partout afin que la terre entière soit au courant. Pas seulement chez ses enfants, mais afin que ce soit universel, les eschatologies musulmanes, juives, mais aussi des athées et un certain nombre d'observateurs (on les appelle des lanceurs d'alerte), tout le monde converge vers la même idée : nous vivons une période apocalyptique, celle de la fin du monde. Même si ce n'est pas la fin de la terre, il s'agit bien de la fin de ce monde et donc du monde tel que nous le connaissons, car la nouvelle terre et les nouveaux cieux qui prendront le relais, même s'ils ont lieu sur cette terre, n'auront plus rien à voir avec ce que nous connaissons. C'est une situation équivalente au déluge, qui fut un renouvellement complet de la terre. Et justement nous attendons et annonçons l'équivalent-déluge, c'est à dire une purification totale et radicale de la terre, où tous les hommes disparaîtront à l'exception des élus. Donc tous ces gens qui depuis vingt et même quarante ans, depuis qu'on a compris que le concile Vatican II a enclenché la destruction inexorable de l'Eglise, ouvrant une porte que l'on ne peut pas fermer (6ème période et trompette) annoncent le châtiment de la terre, et agissent en prophètes, souvent de façon inconsciente. Mais ils participent au réveil du monde : même s'ils le font mal et même s'ils se trompent sur les détails, ils ne se trompent pas sur la signification globale de cette période si spéciale. Nous sommes nombreux à êtres des prophètes de la fin des temps.

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Alors évidemment, on aurait préféré correspondre aux critères de saint Paul : "Ce n'est pas celui qui s'appuie sur sa propre recommandation qui mérite confiance, mais celui que Dieu recommande." (IICorinthiens 10:18). Le mystère d'iniquité est passé par là. A période exceptionnelle, réponse divine exceptionnelle. Car la Sainte Vierge a été très claire à la Salette : "le soleil s’obscurcit ; la foi seule vivra." Le soleil c'est l'Eglise. Une fois celle-ci obscurcie, passée chez l'ennemi ("Rome perdra la foi et deviendra le siège de l'Antéchrist", toujours la Salette), seuls ceux qui ont la foi peuvent guider les autres. Il ne faut pas oublier une chose : en quoi consiste l'action d'un prophète ? Annoncer de grands événements d'une part, mais aussi expliquer les raisons de cet événement, et œuvrer de leur vivant aux solutions qui s'imposent. Les prophète de la fin des temps font ce que nous faisons ici : 1) Dénoncer et expliquer les travers du monde moderne 2) Démontrer en quoi ceux-ci mènent au châtiment ou constituent le châtiment (nécessaire pour la purification des justes) 3) Démontrer les liens avec les textes prophétiques pour nous situer dans le temps et appréhender la période 4) Sauver dès maintenant des âmes car la démarche de sortie de Babylone et de lutte contre le péché doit être volontaire et libre, et non imposée par les événements (même si ceux-ci contribuent à la nécessaire et salutaire prise de conscience) 5) Annoncer la fin inéluctable d'une telle période, telle qu'elle a été dûment prophétisée dans les livres saints, à commencer par l'Apocalypse : chute de Babylone, fin des bêtes, châtiment des méchants, éradication du mal, jugement dernier ; autrement dit la fin du monde (et non de la terre). La divination : nécessairement erronée ? Seulement voilà : la tentation est grande, dans ce contexte, d'essayer d'appréhender le futur proche, de vouloir donner des repères trop précis. On l'a vu, cette démarche est inspirée par Satan car elle procède de la divination. Définir et expliquer la période n'est pas interdit, même le Christ nous y invite en Matthieu 24 au verset 33 : "De même, quand vous verrez toutes ces choses, sachez que le Fils de l'homme est proche, qu'il est à la porte." Mais nous devons nous en tenir là. C'est pourquoi, même si mes déterminations de dates partaient d'un bon sentiment (prévenir de l'imminence d'un danger), elles outrepassaient mes droits de prophète parce que relevant de la divination. Cependant, en y réfléchissant bien, on peut y voir plusieurs avantages : 1) d'abord cela permet d'entretenir l'humilité de l'eschatologue, de lui éviter de se prendre trop au sérieux et de s'obliger à se laisser guider par le Saint-Esprit, sans l'assurance de celui qui est toujours sûr d'avoir raison.

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2) Ensuite, cela l'oblige à continuer son travail, à se remettre en cause en cherchant les raisons de ses erreurs, à approfondir les données trouvées, à réétudier le sens des textes, à revoir et modifier les interprétations, qui sont la source la plus fréquente des faux sens et des mauvaises directions prises. Ces erreurs furent, en ce qui me concerne, de formidables outils de progression. 3) C'est aussi un excellent moyen d'alerte, car les démonstrations pour expliquer la date trouvée prouvent que nous flirtons dangereusement avec le précipice. Si ce n'est pas cette date-là, ce sera la suivante a-t-on envie de dire, tellement les raisons de penser à une intervention divine proche se justifient. Annoncer des dates, même si elles ne se réalisent pas, aide du moins à prendre conscience de la gravité de la période et de la proximité des châtiments. Car c'est inéluctable. Même si l'eschatologue fait une faute en voulant donner une date et une interprétation sur cette date, il est forcé aussi de délivrer le raisonnement qui pousse à une telle conclusion ; or même si la date ne réalise pas l'objet annoncé, le raisonnement reste valable. La conclusion n'est qu'ajournée. 4) Enfin, cela participe indirectement de la prophétie, c'est un complément nécessaire. Jésus a comparé la fin du monde avec la chute de Jérusalem. Or la destruction de Jérusalem en l'an 70 par Titus a été précédée de nombreux signes. Notamment un certain Amos (à ne pas confondre avec le prophète) qui sillonna les rues durant 7 ans annonçant la chute de la ville, jusqu'à ce que les troupes de Titus l'assiège. Moi j'en suis à 5 ans. Mais il ne donnait pas de date. Conclusion On peut en conclure qu'au stade où nous en sommes, il faut arrêter de donner des dates. Je parle pour moi. Ne serait-ce parce qu'elles ont déjà été données et que certaines ont un aspect prophétique, j'en reste persuadé. Notamment les : - 11 janvier 2018 : fin des 3 ans de règne de Satan, c'est à dire des trois jours (ans) de ténèbres ; - 26 janvier 2018 : 80 ans de l'aurore boréale de 1938, signe indiscutable de la purification donné par la Sainte Vierge à Fatima ; or le chiffre de la purification est le 40 (40 jours au désert, 40 ans avant d'entrer dans la terre promise) et dans l'Apocalypse ce chiffre est doublé pour Babylone (le monde chrétien est devenu la grande Babylone), donc 80 ans ; - 19 mars 2018 : fin de l'échéance des 5 ans du pape François, annoncé par le "155" de Benoît XVI le jour de l'annonce de sa renonciation (voir mon article du 8 décembre 2017) ; rappelons à toutes fins utiles que le délai de gestation d'un agneau est de 5 mois. Ces 5 mois ont été donnés à Fatima : 153 jours du 13 mai au 13 octobre. Et le Christ est l'Agneau de Dieu... une durée en 5 (mois ou années) n'est pas déraisonnable dans le contexte qui nous préoccupe. - 25 mars 2018 ou 2019 : le jour le plus important au monde, celui de la création d'Adam, de l'Incarnation de Dieu sur terre et de la Rédemption du monde ; pourquoi pas celui de la seconde Rédemption du monde et du retour en gloire ?

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Deux dates en janvier, deux dates en mars ; ces deux mois-clés sont reliés tous deux par deux pleines lunes dans le même mois et aux mêmes dates. Hasard ou confirmation ? Voilà ; j'arrêterai là. Je ne donnerai plus de dates et surtout je ne chercherai pas à les interpréter à l'avance. D'ailleurs, le lecteur remarquera que pour les 4 dates que je viens de citer je ne donne aucune conclusion : je me contente de noter une date sans savoir ni dire ce qui va s'y passer. J'ai donné ces dates en 2017 en expliquant pour chacune le raisonnement qui me conduisait à les révéler. Je prends la résolution de ne pas en donner en 2018, même si j'en pressens quelques unes, mais d'attendre que la date soit passée afin de l'expliquer à posteriori. Car de toute façon, qu'on annonce une date à l'avance ou pas, on ne peut en donner la signification réelle qu'une fois celle-ci passée, après avoir pris connaissance de l'événement qui s'y est déroulé. Voilà le véritable travail de l'eschatologue et du prophète.