La double bataille touche à sa fin - Bn-R · »V MAX DU VEUZIT. Dix-huit avions britanniques...

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QUOTIDIEN: UNFRÀNC L E R JEUDI 16 D U N O R D m HM de Pmrt». — Téléi*M>M «TlJt et «71JT UA PIAIS PORTE vEr>rrE oe la r é g io n u. Boni HMiMmann. PAXM <Mb La double bataille de Briansk et de Viasm a touche à sa fin L’anéaniissemeiil des débris des armées soviétiques battues et encerclées se poursuit sans répit dans les deux secteurs çui reste de* armée* battue* de BOVDIESNY. (Ph. Belgapress) LA FUTURE CONSTITUTION 5 6 0 .0 0 0 prisonniers, 888 chars blindés et 4 .113 canons détruits ou capturés Quartiw général Péroé* arméM oém du Fuatirer, 1t. — Lé Haut __________ bataim dé BiiaiMh et dé Vlatma taoalM k sa fin. Au ééurt dé la Jéuméé du il éétébré, I m fércM enesrsIéM dana I m PééhM «H Nard dé Brianak ant été ésaManant battuM at dM partM parttautMraniént sangtantM ant été infligéM k l’énnéml. L'anéantla- étment dana !a régian faraatléra au sud da Brianak d M débrla d M arméM snnawHM battuM qui y aant ancsreléM sat anoara an Mura. La m aaM d M taraM ailsmandM qui participant k oatta farmi* dabla bataille da peroéa at d'anaerolaniént a déjk été libérée an «ue de la paufMilta d M apératlana. Juaqu’k préeent M ».m priéenniers ent été amen és dane n M lignM ; d'autrs part ( M char* blindée et 4.1U oawawa ant été seM détruits. Mit capturés. TOUTES LES ASSEMBLÉES REPRÉSENTERONT LA NATION elle-même avec ses cadres traditionnels! UN IMPORTANT MESSAGE DU MARÉCHAL PÉTAIN A LA COMMISSION DU CONSEIL NATIONAL CHARGÉE DE L’ÉTUDE DE LA CONSTITUTION BerUn, 18. — L ’agence D .N . B.; aeriennes soTiétiquea. D a o ^ e teul apprend que toute la région de ! secteur S ud du Iront oriental, les Briansk et de Viasma pullule dei soldats d ’un corps bhndé oot atwttu soldats aoviétiques dispersés qui oot|7 avions soviétiquM arec des armes Jeté leurs armes et errent á l’aban-i d ’infanterie, don à travers la cEimpagne. ter*! rain des opérations esi. s}’stémati-{ quement nettoyé. D e ce lait, le I nombre de 500.000 pnsonniers d o n t ¡ ^ a il a été tait mention dans le com-i moniqué spécial du 14 octobre, aug-i mentera encore d ’ici quelques Jours. ' L'anéantissement des troupes aoñrié-' tiques encerclées dans les poches^ prés de Brianslc n'est pas eacore terminé, dc sorte qu’ll y a lieui d’eaoeaptar une augmeiHetien wrn ) sible du nombre de prisonniers également dans ee secteur. \ ! Au cours de ces deux batailles, i lies Soviets ont subi «n «vire, deal ' pertes extrêmement xanglaatesi dans leurs tentatives de brUer! l'étau allemand. NOMBREUX AVIONS SOVIÉTIQUES ABATTUS (Lir* ta «uit* «n d M n lM M peas) L’INCIDENT DU « CREER » a été provoqué par la marine américaine Comm« t’a communiqué le haut eommandtment aUemand du 14 oc tobre I M I . le nœud important de voie* de chemin de fer OREL e*t M X •MUM'd«« AUemmmO» depiN* to » aptaàrt. Portomi ron tro««e de* arme* et de Tautre matériat de guarrf, «atre Je» ntme» da la villa gui fut Aprement défendue. (Ptioto Sado) Vlfh.v. 15 — Le secrétariat ?ené- rn. du Conseil National commu-' n;f)',ie : I.» -roisiemf ci'tnmission du Con- i<.. National, rharttée de l'etude de .a C.i.-istitution r'Mt reunie en ' -f'-ondp i>es.«:(>ii Jr mardi U octo bre 1941 A l'ouverture üt la seauce. prfsidrm M Joseph Bürtliclcmy, tc.i:de des Sceaux, ministre de la Washington. 15. — Le sénateur Walsh. président dé la Commission des Affaires navales, vient dc faire publier le rapport du Département Berlin. 15. — O n apprend dPide la Marine sur l’incident du source militaire : 't Oreer ». Ce rapport déclare ex- Dans ia zone d’opérations d’un ¡pressèment que le c Oreer » navi guait k la recherche d ’un submer sible dont la présence lui avait été les hieiarchies. les responsabilités.! cor p «l'armee allemancL dans le les compétences. D ne suffu» donci*“ “ »“ ' Sud du front oriental, de* plus de compter les voix ; ü faudra cl»“ »«“ ™ Messerschmitt oot abat- peaer leurs valeurs. Ce» problèmes'tu, le 14 octobre. 16 avions sovié- si délicats. Je vous demande de lesit'ques en com bau aeriens ; les examiner en faisant abstraction : ciiasscurs aUemands n ’ont subi au- de vos préférences doctrinales, pouri cune perte. ne penser qu'aux realités vivantes i Les troupes allemandes, elles en face desquelles nous devons nous: remporté de nouveaux placer. U ne s'agit pas de faire reri-; succès en repoussant des attaques Itralité véritable, vre plus ou moins telle ou telle con-i _ ception périmée, ni de sacrifier à! = telle ou telle erreur qui. parce | qu'elles sont partagées par unj grand nombre d'individus n ’en de-l viennent pa» pour cela des vérités, i Ce que Je désire c'est assurer une' représentation réelle des forces i vives du pays. Les assemblées, nationales, régionales, départemen-; talée ou municipales, ne represente-i ront plus une poussière inorganique | d'individus, mais la nation elle-i même avec ses cadres traditionnels. | Elles seront la représentation aussi! exacte que possible aes forces spiri tuelles morales et économiques du pays. Je voudrais qu'on y trouvkt l'écho et le reflet du cabinet du penseur, du bureau de l’écrlvam. de l’établli de l'artisan, de l’atelier de l’artiste signalée par un avion britannique Ainsi les documents officiels de Washington admettent maintenant que l'incident a été entièrement dont les consignes étaient en con tradiction formelle avec une neu M . V O N PA PEN c é b re l’a m itié g e r m a n o - t u r q u e <Ltr* la suite an dcuxttm« paga) von Papen.Iquie on pratique tme politique de de progrès. ivi M . Joseph B A R T H t L t M Y Garde de* Sceaux IPh Sipho) Justice; a souhaité ta bienvenue aux membres de la Commission et a donne lecture d'un message duj Maréchal, chcf dc lEtat. Après' avoir rapiwle les principes quunel longue mf^itation et l'exercice duj pouvoir l'ont conduit a consideren comme la base l'idispensable de la, structure nouveUe de I'Etat. le' Maréchal precise dans son message 1rs ijoinls sur lesquels il demande i a la Commission une éttKle plus, poussée ct plus : mplète. « Vous etudierez surtout, dit^il.j 1 organisation du circuit continu! entre l'autonté de I'Etat et la con»-j cience du peuple. C'est là, k mes vrux. le problème capital. Il met; rn Jeu l'organisation la represen-| tauon et la vie des divers groupe-] ment» au sein ùcsquels devront se lormer les élites. U n peuple n ’eat pas simplement compose d ’indivi dus. n est essentiellement une hié rarchie dc familles, de professions, de communes. Selon la réalité fami- lia>, professionnelle, comme aussi dans Ul réalité communale, provin ciale ou nationale. U convient de rétablir les citoyens au regard de la constitution. msi se dégageront V«ailkz Brt «i 2* PsfB | Mtre momfmmFamlUtaa : Mon Mari »V MAX DU VEUZIT. Dix-huit avions britanniques abattus sur les côtes de la Manche et de la Mer du Nord Berlin, 15. — Ce midi, une forma tion mixte d’avion» britanniques a tenté d'attaquer la région côtière française. Les Britannique« ont perdu au jourd’hui en peu de tempe, au-dea sus d M côtes françaises, prte <ht Havre, de la HoUande et de la mer du Nord. IS avions. ISumi les avion» abattus ae trou vent 11 bombardkrs du type cBns- tol-Blenbeim > et »ept appareil» de chasM. du type c Spitfire». Qu»- torse des appareils britanniques lurent abattiu par des avions de chasse allemands tandis que quatre autres étaient descendus par l’ar- Ullerie de D . C A. allemande. COUTEUSE TENTATIVE BerUa. 15. — Au cour» de la ten tative de survol du littoral de la Manche, effectuée le 14 oléatny ld» oal Smyme. 15. — M amtMssadeur du Reich. a pris laipaix et Iparole à l'occasion d'tm dîner offerti M von Papen a en l'honneur des autorités turques i c Avant-hier, a été signé, k An- et de la colonie aUemande. itara, le traité de commerce ger- n a souligné que l'eeprit pecifi- mano-turc. Loin de mot l’idée d*aiM- que et travailleur qui animait ser de l’hospitalité ou de faire une Sm y m e faisait le mieux compren- propagande inutUe. Mais k la (Ura la en aeujiltMa paas) dre' les bienfaits de la sage poli tique qui a permik k la 'Turquie d’éviter tous les dangers. M. von Papen a ajouté ; c L ’œuvre grandiose d'Ataturk tatation que les relations économi ques entre les deux pays sont ba sées sur les beaoins réels des deux peuples et sur la structure d M deux économies. Je tiens k ajouter le désir du gonremement du Reich de voir se resserrer toujours davan tage. dans l’intérét des deux parties. CM relation» naturelles et r^U es > Contmuant aon discours, l’ambas sadeur a rappelé que, depuis qu’il représente le Reich k Ankara, son unique désir a toujours été de dis siper les malentendus et lea préju gés qui. héritage des traités de paix, étaient nés de la situation mondiale de l’époque. M. VON PAPKN (Pb. ArcUraa) repose aujourd’hui entre I m main» d ’un homme qui. aoldat célèbre et homme d'Btat de rare envergure, conduira le pays, en dépit de toua les otwtacles. vers un avenir heu reux et vers le bien-étre ». Puis, l’ambasMdeur d’Allemagite appelé que, tandis qu'en Uiuc» Soviétique, le» plus grand» ba- a ra tailles de l'histoire mondiale déci dent du aort de ISurope. en Tur- L E S E T A T S - U N IS veulent faire payer fort cher leur aide à l'Angleterre Une de* principale* asine» d'un centre métmBu de* environ* de Kiev. (Ph. Sipiial LE PROBLEME des prisonniers est lié infimemenf à la politique générale Une importante^ déclaration de M . ScapÎM Paris. 15. — M . Oeorges Scapini.Id'obtenir la Ubération d M traupaa ambassadeur de Prance. a réuni, ce coloniale» auxquelles 1« maréchal matin, k l'hôtel Matignon, les mem-,est très atuché. Maia le problènta bres de la presse pour leur falre tme!n’est pas cloa. Celui d M pupiUM da déclaration d'ordre général sur le la nation non plusi ni celui d i« isonniers de guerre. problème dm < Les problèmes qui se posent, t-il dit, M>nt mtimement liés k la politique générale dont ils ne peu vent être dissociés. > Le problème des libération» M t le plus délicat de tous. » Nous avons essaye d'obtenir la libération de certaine» catégones de pnsonniers. Le cbotx était difficile. 11 a éte fait d'aprés des considéra- ti(m» d ’ordre humanitaire ou écono mique. Mais il n ’en a pas moins été pénible pour nous d ’instituer un ordre de priorité. la nation non plusi classes les plus anciennés. » O n doit bien comprendre ( . daiu qu'une guerre perthie ne aa solde pas en passant réponga anr l’ardoise. » Je pense qu’en noua situant dans l'ambianoe de llurope BOU- velle, nou» pouvon» eepérer un exa> men attentif des mesuTM ' dées ». » Il y a. en effet, une Justification 'k la libération de chaque ca ', I comme tou» les prisonniers de LEURS EXIGENCES NE VISENT RIEN MOINS QU’A TRANSFORMER LE ROYAUME-UNI EN UN VÉRITABLE « DOMINION » AMÉRICAIN iguerre ne peuvent être libéréa. il inous faut fatalement choisir. De New-'Voric. 15. — L ’agence cinter-cment le plu» favmricé. abaolu et. »i,nombreux caa individuel» oti coUeo- nationalNevf» Service» apprend, de'possible, ilUmité. «,urce bien infonnée. que. sur les, Le gouvernement ,bntann^|AuM^ ient l’étrc et nous avons obtenu ___ libération de certaines catégorie» iocord concemant une conventioni flü "qüë dV tel» poudriers ¡‘‘“f fixant de. façon préci«. les paie-l^^ft âméi nei le w ^ e ^ l * ai ™ènt des EUts-ünis Mt confirmé "'-- k l’Angleterre sur la base de la loi échange de lettres pubUées par le « Congpeasional Record ». qui instances de Roosevelt. le départe-,n’aurait pas répoadu juaqu’à . |,i ment d ’Btat s’efforce d ’obtenir du t sent à ces proposition qui ont gouvernement anglais son prompt i faites au début de septembre. i , J iSΫ iit>A /v\nvMitw>ni _ .... ... . ___ « IQUC 1Ull < avons également essayé des pouvoira. D ’aprés 1’ t International News | reproduit les''discours proDoncée au isitaat f(................... La peine de mort Service», le gouvemement desjséiat fédéral et k la Chambre des ^ , Etats-Unis demande, comme com-1 représentanu et officieUement t:n-|nnHf>r2| afr« nrAnnnrP^ pensation. le droit d’ « utiliser » reglitoés. ipOUITa ClTe prODODCee Le numéro du 9 octobre 1941 dul , i < Congreasional Record » communi- COntre leS merCantlS toutes les bases de tout l’Empire britannique n ’importe où et n ’im- britannique n ’importe porte quand, y compris celles que l'Angleterre pourrait acquérir que ce soit k l'avenir. La deuxième condition est la coordination de la politique com merciale britannique avec le sys tème insUuré par HuU du traite- 39.302.511 habitants en France Paris. 15. — A la date du ler avril 1941. iM services de la sUtistique ont évalué la population française à 39.302.511 habitants, prisonniers non compris, contre 39M1.439 au S mars 1910. <ue qu’au oours de la séance du Sénat du 9 octobre, le sénateur | Paris. 15. — L ’amiral Darlan Vandert>erg a déclaré que. le IS sep-i poursuivi aujourd'hui ses visites tembre, il avait demandé par lettre!dan» diverses mairiM de Paris et de k Roosevelt quellM compensations ¡¡^ banlieue. Le vice-président a eu les pays bénéficiant de l’aide amé-li-occasion de souligner tout parti- ricaine en matériel toumiasaient auiculièrement les difficultés créées gouvemement des Btet^ünis. [dans le ravlUiUement de la popu- Roosevelt fit savoir d a M le pre-hation par l’égoisme et le mercan- nüer »pp or t relatif k l’e ^ t t o o l tniame de cerUins trafiquants, de la loi des pouvoirs que lon con-iQ^tj.^ ceux-ci, qui faussent le Jeu normal de 1» répartition, le Oou- Le commumqué allemand Berlin, 18. — Le Haut Commandement communique : Comma naua avona ëé|à annoncé par eommuHi«|ué apééUil, lé« fore«« «nn«Nii«« «n««r«lé«« dan« 1« ««et«ur d« V lu m a aont maintanant eomplktément anéanttaa. Oa mkma dana laa poahaa •Mtoar da arianak, la daatri»«t>«w d« l*««iM«ni «« pourairtt «aiM ré^ La nombr« tf« priaamilora aapturéa an «our« tf« ««tt« tfauMa bataill« «'élèv« tfé|à à HBM hemm««. nombre aucmanté «n«or« tf'haur« «n h««r«. L« nMNbr« total tf« priMMnior« «ov IMH m«« «Mturia tfa»ul« 1« début tf« la « a n i M i n é tf« l’iat, tfén a n i tfo M « ta «hlffré tf« 3 mllllana. Au aoHra tf« la nuit tfn IS «atabr« tf«« avion« tfa attawié tfaa inatalUitlom tf*lmportan«« mllttalr« tf« M«o««m. II y •ut pluaiaura violar tf*artff« mHitai Davant Gibraltar un tf*«troir«r britannmu« fut eouté par un •oua-marin. L ’aviation anglaiae a aurvolé la nuit tférniér«, av«« tf« faibi«« force«, i’Ou««t «t I« Sutf tf« l'AII«m«gné. L«« bomba« «xplooiv*« ot inc»ntfialr«« loté«« n’«nt ta uaé ^u« p«u tf« tfégftu tfan« tftffé* r«nt«« looaHté«. tix apiMM^elta britanni^hMa furant abattu«. (Lins EN DSUXltUE PAGE LE COMMUNlQUt ITALIEN). pouvoirs que durait une convention k oe sujet Dans une lettre datée du 4 octo bre, textuellement reproduite par le « CongreMional Record », Rooa»- (Llre la tuli* en ëetMltiM M as) vemement. a dit l’amiral DarUo, est bien décidé k aggraver les me sures répressivM qu'il a déjà prises, n ira éventueUement Juequ’k la pei ne de mort. M. SCAPINI (Ph. Archtrea) M . Scapini a souligné enanit* 1« danger que représentent IM Infor» mations erronéM au sujet d M libé» rations. Il met le public en gaitfo contre ellM et déclare qu«, seulaa, (Lire la suita ea «««xléiM aaaO MtfeU dt ttr* da dettrhetfoH sar rartíSaria «tiamaatfa.

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Q U O T ID IE N : U N F R À N C

L E R

J E U D I 1 6

D U N O R Dm HM de Pmrt». — Téléi*M>M «TlJt et «71 JT UA P IA IS PORTE vEr>rrE oe l a r é g io n u . Boni HMiMmann. P A X M <Mb

L a d o u b l e b a t a i l l ed e B r i a n s k e t d e V i a s m a

t o u c h e à s a f i nL ’a n é a n iis s e m e iil d e s d é b ris d e s a rm é e s

s o v ié tiq u e s b a ttu e s et e n ce rclé e s se p o u r s u it s a n s ré p it d a n s le s d e u x se cte u rs

C« çui reste de* armée* battue* de B O V D IESN Y . (Ph. Belgapress)

LA FUTURE C O N S T IT U T IO N

5 6 0 . 0 0 0 p r i s o n n i e r s ,

8 8 8 c h a r s b l i n d é s et4 .113 canons détruits ou capturés

Quartiw général Péroé* arméM oém

du Fuatirer, 1t. — Lé Haut

__________ bataim dé BiiaiMh et dé Vlatma taoalM k sa fin. Auééurt dé la Jéuméé du il éétébré, Im fércM enesrsIéM dana Im PééhM «H Nard dé Brianak ant été ésaManant battuM at dM partM parttautMraniént sangtantM ant été infligéM k l’énnéml. L'anéantla- étment dana !a régian faraatléra au sud da Brianak dM débrla dM arméM snnawHM battuM qui y aant ancsreléM sat anoara an Mura.

La maaM dM taraM ailsmandM qui participant k oatta farmi* dabla bataille da peroéa at d'anaerolaniént a déjk été libérée an «ue de la paufMilta dM apératlana. Juaqu’k préeent M ».m priéenniers ent été amenés dane nM lignM ; d'autrs part (M char* blindée et 4.1U oawawa ant été seM détruits. Mit capturés.

TOUTES LES ASSEMBLÉES REPRÉSENTERONT LA NATION

e lle -m ê m eavec ses cadres traditionnels!UN IMPORTANT MESSAGE DU MARÉCHAL

PÉTAIN A LA COMMISSION DU CONSEIL

NATIONAL CHARGÉE DE L’ÉTUDE DE LA

CONSTITUTION

BerUn, 18. — L ’agence D .N . B.; aeriennes soTiétiquea. D a o ^ e teul apprend que toute la région de ! secteur Sud du Iront oriental, les Briansk et de Viasma pullule dei soldats d’un corps bhndé oot atwttu soldats aoviétiques dispersés qui oot|7 avions soviétiquM arec des armes Jeté leurs armes et errent á l’aban-i d’infanterie, don à travers la cEimpagne. ter*! rain des opérations esi. s}’stémati-{ quement nettoyé. De ce lait, le I nombre de 500.000 pnsonniers d o n t ¡^ a il a été tait mention dans le com-i moniqué spécial du 14 octobre, aug-i mentera encore d’ici quelques Jours. 'L'anéantissement des troupes aoñrié-' tiques encerclées dans les poches prés de Brianslc n'est pas eacore terminé, dc sorte qu’ll y a lieui d’eaoeaptar une augmeiHetien wrn ) sible du nombre de prisonniers également dans ee secteur. \

! Au cours de ces deux batailles, i lies Soviets ont subi «n «vire, deal ' pertes extrêmement xanglaatesi dans leurs tentatives de brUer! l'étau allemand.

NOMBREUX AVIONS SOVIÉTIQUES ABATTUS

(Lir* ta «uit* «n dMnlMM peas)

L ’IN C ID E N T

D U « C R E E R »

a été provoqué

par la marine

américaine

Comm« t’a communiqué le haut eommandtment aUemand du 14 oc­tobre IMI. le nœud important de voie* de chemin de fer O R E L e*t M X •MUM'd«« AUemmmO» depiN* to » aptaàrt. Portomi ron tro««e de* arme* et de Tautre matériat de guarrf, «atre Je» ntme» da la villa gui fut Aprement défendue. (Ptioto Sado)

Vlfh.v. 15 — Le secrétariat ?ené- rn. du Conseil National commu-'n;f)',ie :

I.» -roisiemf ci'tnmission du Con- i<.. National, rharttée de l'etude de .a C.i.-istitution r'Mt reunie en

' -f'-ondp i>es.«:(>ii Jr mardi U octo­bre 1941 A l'ouverture üt la seauce.

prfsidrm M Joseph Bürtliclcmy, tc.i:de des Sceaux, ministre de la

Washington. 15. — Le sénateur Walsh. président dé la Commission des Affaires navales, vient dc faire publier le rapport du Département

Berlin. 15. — O n apprend dPide la Marine sur l’incident du source militaire : 't Oreer ». Ce rapport déclare ex-

Dans ia zone d’opérations d’un ¡pressèment que le c Oreer » navi guait k la recherche d ’un submer­sible dont la présence lui avait été

les hieiarchies. les responsabilités.! corp «l'armee allemancL dans le les compétences. D ne suffu» donci*“ “ »“ ' Sud du front oriental, de* plus de compter les voix ; ü faudra cl»“ »«“™ Messerschmitt oot abat- peaer leurs valeurs. Ce» problèmes'tu, le 14 octobre. 16 avions sovié- si délicats. Je vous demande de lesit'ques en combau aeriens ; les examiner en faisant abstraction : ciiasscurs aUemands n’ont subi au- de vos préférences doctrinales, pouri cune perte.ne penser qu'aux realités vivantes i Les troupes allemandes, elles en face desquelles nous devons nous: remporté de nouveauxplacer. U ne s'agit pas de faire reri-; succès en repoussant des attaques Itralité véritable, vre plus ou moins telle ou telle con-i _ ception périmée, ni de sacrifier à! = telle ou telle erreur qui. parce | qu'elles sont partagées par unj grand nombre d'individus n ’en de-l viennent pa» pour cela des vérités, i Ce que Je désire c'est assurer une' représentation réelle des forces i vives du pays. Les assemblées, nationales, régionales, départemen-; talée ou municipales, ne represente-i ront plus une poussière inorganique | d'individus, mais la nation elle-i même avec ses cadres traditionnels. |Elles seront la représentation aussi! exacte que possible aes forces spiri­tuelles morales et économiques du pays.

Je voudrais qu'on y trouvkt l'écho et le reflet du cabinet du penseur, du bureau de l’écrlvam. de l’établli de l'artisan, de l’atelier de l’artiste

signalée par un avion britannique Ainsi les documents officiels de Washington admettent maintenant que l'incident a été entièrement

dont les consignes étaient en con tradiction formelle avec une neu

M . V O N P A P E N

c é l è b r e l ’a m i t i é

g e r m a n o - t u r q u e

<Ltr* la suite an dcuxttm« paga)

von Papen.Iquie on pratique tme politique de de progrès.

ivi

M. Joseph BARTHtLtM Y Garde de* Sceaux

IPh Sipho)

Justice; a souhaité ta bienvenue aux membres de la Commission et a donne lecture d'un message duj Maréchal, chcf dc lEtat. Après' avoir rapiwle les principes quunel longue mf^itation et l'exercice duj pouvoir l'ont conduit a consideren comme la base l'idispensable de la, structure nouveUe de I'Etat. le' Maréchal precise dans son message 1rs ijoinls sur lesquels il demande i a la Commission une éttKle plus, poussée ct plus : mplète.

« Vous etudierez surtout, dit il.j 1 organisation du circuit continu! entre l'autonté de I'Etat et la con»-j cience du peuple. C'est là, k mes vrux. le problème capital. Il met; rn Jeu l'organisation la represen-| tauon et la vie des divers groupe-] ment» au sein ùcsquels devront se lormer les élites. Un peuple n’eat pas simplement compose d’indivi­dus. n est essentiellement une hié­rarchie dc familles, de professions, de communes. Selon la réalité fami- lia>, professionnelle, comme aussi dans Ul réalité communale, provin­ciale ou nationale. U convient de rétablir les citoyens au regard de la constitution. msi se dégageront

V«ailkz Brt «i 2* PsfB |

Mtre momfmm FamlUtaa :

M o n M ari»V MAX DU VEUZIT.

Dix-huit avions

britanniques

abattus

sur les côtes

de la Manche

et de la Mer

du NordBerlin, 15. — Ce midi, une forma­

tion mixte d’avion» britanniques a tenté d'attaquer la région côtière française.

Les Britannique« ont perdu au­jourd’hui en peu de tempe, au-dea­sus dM côtes françaises, prte <ht Havre, de la HoUande et de la mer du Nord. IS avions.

ISumi les avion» abattus ae trou­vent 11 bombardkrs du type cBns- tol-Blenbeim > et »ept appareil» de chasM. du type c Spitfire». Qu»- torse des appareils britanniques lurent abattiu par des avions de chasse allemands tandis que quatre autres étaient descendus par l’ar- Ullerie de D .C A. allemande.

COUTEUSE TENTATIVEBerUa. 15. — Au cour» de la ten­

tative de survol du littoral de la Manche, effectuée le 14 oléatny

ld» oal

Smyme. 15. — M amtMssadeur du Reich. a pris laipaix et Iparole à l'occasion d'tm dîner offerti M von Papen a en l'honneur des autorités turques i c Avant-hier, a été signé, k An- et de la colonie aUemande. itara, le traité de commerce ger-

n a souligné que l'eeprit pecifi- mano-turc. Loin de mot l’idée d*aiM- que et travailleur qui animait ser de l’hospitalité ou de faire une Smyme faisait le mieux compren- propagande inutUe. Mais k la

(Ura la en aeujiltMa paas)

dre' les bienfaits de la sage poli­tique qui a permik k la 'Turquie d’éviter tous les dangers.

M. von Papen a ajouté ; c L ’œuvre grandiose d'Ataturk

tatation que les relations économi­ques entre les deux pays sont ba­sées sur les beaoins réels des deux peuples et sur la structure dM deux économies. Je tiens k ajouter le désir du gonremement du Reich de voir se resserrer toujours davan­tage. dans l’intérét des deux parties. CM relation» naturelles et r^Ues >

Contmuant aon discours, l’ambas­sadeur a rappelé que, depuis qu’il représente le Reich k Ankara, son unique désir a toujours été de dis­siper les malentendus et lea préju­gés qui. héritage des traités de paix, étaient nés de la situation mondiale de l’époque.

M. VON PAPKN

(Pb. ArcUraa)

repose aujourd’hui entre Im main» d’un homme qui. aoldat célèbre et homme d'Btat de rare envergure, conduira le pays, en dépit de toua les otwtacles. vers un avenir heu­reux et vers le bien-étre ».

Puis, l’ambasMdeur d’Allemagite appelé que, tandis qu'en Uiuc»

Soviétique, le» plus grand» ba-a ra

tailles de l'histoire mondiale déci­dent du aort de ISurope. en Tur-

L E S E T A T S - U N I S

veulent faire payer fort cher leur aide à l'Angleterre

Une de* principale* asine» d'un centre métmBu de* environ* de Kiev. (Ph. Sipiial

L E P R O B L E M Ed e s p r i s o n n i e r s est lié infimemenf

à la politique généraleUne importante déclaration de M. ScapÎM

Paris. 15. — M. Oeorges Scapini.Id'obtenir la Ubération dM traupaa ambassadeur de Prance. a réuni, ce coloniale» auxquelles 1« maréchal matin, k l'hôtel Matignon, les mem-,est très atuché. Maia le problènta bres de la presse pour leur falre tme!n’est pas cloa. Celui dM pupiUM da déclaration d'ordre général sur le la nation non plusi ni celui di«

isonniers de guerre.problème dm < Les problèmes qui se posent, t-il dit, M>nt mtimement liés k la

politique générale dont ils ne peu­vent être dissociés.

> Le problème des libération» Mt le plus délicat de tous.

» Nous avons essaye d'obtenir la libération de certaine» catégones de pnsonniers. Le cbotx était difficile. 11 a éte fait d'aprés des considéra- ti(m» d’ordre humanitaire ou écono­mique. Mais il n ’en a pas moins été pénible pour nous d’instituer un ordre de priorité.

la nation non plusi classes les plus anciennés.

» O n doit bien comprendre ( . daiu qu'une guerre perthie ne aa solde pas en passant réponga anr l’ardoise.

» Je pense qu’en noua situant dans l'ambianoe de llurope BOU- velle, nou» pouvon» eepérer un exa> men attentif des mesuTM ' dées ».

» Il y a. en effet, une Justification ' k la libération de chaque ca ',I comme tou» les prisonniers de

LEURS EXIGENCES NE VISENT RIEN MOINS

QU’A TRANSFORMER LE ROYAUME-UNI

EN UN VÉRITABLE « DOMINION » AMÉRICAIN iguerre ne peuvent être libéréa. ilinous faut fatalement choisir. De

New-'Voric. 15. — L ’agence cinter-cment le plu» favmricé. abaolu et. »i,nombreux caa individuel» oti coUeo- nationalNevf» Service» apprend, de'possible, ilUmité.«,urce bien infonnée. que. sur les, Le gouvernement ,bntann^|A uM ^

ient l’étrc et nous avons obtenu ___ libération de certaines catégorie»

iocord concemant une conventioni f lü "qüë dV tel» poudriers ¡‘‘“ f fixant de. façon préci«. les paie-l^^ft â m é i nei le w ^ e ^ l *

ai ™ènt des EUts-ünis Mt confirmé "'--k l’Angleterre sur la base de la loi échange de lettres pubUées

par le « Congpeasional Record ». qui

instances de Roosevelt. le départe-,n’aurait pas répoadu juaqu’à . |,iment d’Btat s’efforce d’obtenir du t sent à ces proposition qui ontgouvernement anglais son prompt i faites au début de septembre. i ,J iSΫ

iit>A /v\nvMitw>ni _ .... ... . ___ « IQUC 1 Ull <avons également essayé

des pouvoira.D ’aprés 1’ t International News | reproduit les''discours proDoncée au

isitaat f(...................

La peine de mortService», le gouvemement desjséiat fédéral et k la Chambre des ^ ,Etats-Unis demande, comme com-1représentanu et officieUement t:n-|nnHf>r2| a f r « n r A n n n r P ^ pensation. le droit d’ « utiliser » reglitoés. i p O U I T a C l T e p r O D O D C e e

Le numéro du 9 octobre 1941 dul , i< Congreasional Record » communi- C O n t r e le S m e r C a n t l S

toutes les bases de tout l’Empire britannique n ’importe où et n’im-britannique n ’importe porte quand, y compris celles que l'Angleterre pourrait acquérir où que ce soit k l'avenir.

La deuxième condition est la coordination de la politique com­merciale britannique avec le sys­tème insUuré par HuU du traite-

39.302.511 habitants

en FranceParis. 15. — A la date du ler avril

1941. iM services de la sUtistique

ont évalué la population française

à 39.302.511 habitants, prisonniers

non compris, contre 39M1.439 au S

mars 1910.

<ue qu’au oours de la séance du Sénat du 9 octobre, le sénateur | Paris. 15. — L ’amiral Darlan Vandert>erg a déclaré que. le IS sep-i poursuivi aujourd'hui ses visites tembre, il avait demandé par lettre!dan» diverses mairiM de Paris et de k Roosevelt quellM compensations ¡¡^ banlieue. Le vice-président a eu les pays bénéficiant de l’aide amé-li-occasion de souligner tout parti- ricaine en matériel toumiasaient auiculièrement les difficultés créées gouvemement des Btet^ünis. [dans le ravlUiUement de la popu-

Roosevelt fit savoir daM le pre-hation par l’égoisme et le mercan- nüer »pport relatif k l’e ^t to o l tniame de cerUins trafiquants, de la loi des pouvoirs que lon con-iQ^tj.^ ceux-ci, qui faussent le Jeu

normal de 1» répartition, le Oou-

Le commumqué allemandBerlin, 18. — Le Haut Commandement communique :

Comma naua avona ëé|à annoncé par eommuHi«|ué apééUil, lé« fore«« «nn«Nii«« «n««r«lé«« dan« 1« ««et«ur d« V lu m a aont

maintanant eomplktément anéanttaa. Oa mkma dana laa poahaa

•Mtoar da arianak, la daatri»«t>«w d« l*««iM«ni «« pourairtt «aiM r é ^ La nombr« tf« priaamilora aapturéa an «our« tf« ««tt«

tfauMa bataill« «'élèv« tfé|à à H B M hemm««. 0 « nombre aucmanté «n«or« tf'haur« «n h««r«.

L« nMNbr« total tf« priMMnior« «o v IM H m«« «M turia tfa»ul« 1«

début tf« la «an iM iné tf« l’iat, tfénan i tfo M « ta «hlffré tf« 3 mllllana.

Au aoHra tf« la nuit tfn IS «atabr« tf«« avion« tfa

attawié tfaa inatalUitlom tf*lmportan«« mllttalr« tf« M«o««m. II y •ut pluaiaura violar tf*artff« mHitai

Davant Gibraltar un tf*«troir«r britannmu« fut eouté par un •oua-marin.

L ’aviation anglaiae a aurvolé la nuit tférniér«, av«« tf« faibi«« force«, i’Ou««t «t I« Sutf tf« l'AII«m«gné. L«« bomba« «xplooiv*« ot

inc»ntfialr«« loté«« n’«nt tauaé ^u« p«u tf« tfégftu tfan« tftffé*r«nt«« looaHté«. tix apiMM^elta britanni^hMa furant abattu«.

(Lins EN D S U X ltU E PA G E LE C O M M U N lQ U t ITALIEN).

pouvoirs que durait une convention k oe sujet

Dans une lettre datée du 4 octo­bre, textuellement reproduite par le « CongreMional Record », Rooa»-

(Llre la tuli* en ëetMltiM M a s )

vemement. a dit l’amiral DarUo, est bien décidé k aggraver les me­sures répressivM qu'il a déjà prises, n ira éventueUement Juequ’k la pei­ne de mort.

M. SCAPINI(Ph. Archtrea)

M. Scapini a souligné enanit* 1« danger que représentent IM Infor» mations erronéM au sujet dM libé» rations. Il met le public en gaitfo contre ellM et déclare qu«, seulaa,

(Lire la suita ea «««xléiM aaaO

MtfeU dt ttr* da dettrhetfoH sar rartíSaria «tiamaatfa.