La collégiale Saint-MartinVingt ans de travaux pour vingt siècles d’histoire

Dossier de presse Contact pressePascal HOUDEMONT02 41 81 44 72 – 07 85 00 13 82p.houdemont@maine-et-loire.fr

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Sommaire

Vingt siècles d’histoire au cœur d’Angers

La collégiale en un clin d’œil

La statuaire religieuse, l’autre trésor de la collégiale

Quand la lumière donne du relief à l’histoire

Un patrimoine vivant et un lieu de vie culturelle

Un pari audacieux du Département de Maine-et-Loire

La collégiale Saint-Martin en pratique

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Vingt siècles d’histoire au cœur d’AngersAu cœur du centre historique d’Angers, se dresse la collégiale Saint-Martin, propriété du Département de Maine-et-Loire, l’un des monuments carolingiens les mieux conservés

de France. Édifice majeur dans l’histoire de l’architecture de l’ouest de l’Hexagone, la collégiale Saint-Martin, après vingt années de travaux, s’impose aujourd’hui

comme un site touristique et culturel incontournable de l’Anjou.

Située sur le circuit historique et touristique d’Angers, la collégiale Saint-Martin s’inscrit sur le même cheminement que le château d’Angers, la galerie Toussaint, le musée des Beaux-Arts, la tour Saint-Aubin et la cathédrale Saint-Maurice. Le 24 juin 2006, la collégiale Saint-Martin ouvrait ses portes au public à l’issue de 20 ans de travaux. Plusieurs campagnes de fouilles archéologiques et une restauration ambitieuse ont permis la renaissance de cette église, l’une des plus anciennes d’Angers encore en élévation, endormie depuis la Révolution.

Un site exceptionnel à plus d’un titre

• Une merveilleuse machine à remonter le temps, du Ier au XVIIIe siècle, de l’Antiquité à la Révolution.

• Des fouilles archéologiques qui ont révélé les secrets et les mystères du lieu, mettant en lumière toute la richesse et la complexité de l’histoire de la collégiale.

• Une crypte archéologique, trésor inattendu, pour pénétrer dans le « monde des morts ».

• Une programmation culturelle riche et variée, alternant expositions patrimoniales et contemporaines, saisons artistiques, visites théâtralisées, conférences ...

• Un accès privilégié pour les scolaires, avec des ateliers personnalisés et des salles pédagogiques adaptées.

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Le souhait prémonitoire de Prosper Mérimée, 1835.

« On voit avec peine un monument aussi remarquable abandonné de la sorte, et presque inaccessible aux curieux. Ne pourrait-on pas obtenir du département qu’il fût racheté, et que l’on conservât avec soin ces débris d’une époque dont il ne nous reste que si peu de souvenirs authentiques ? »Remarque faite par Prosper Mérimée, alors inspecteur des Monuments historiques, dans ses notes de voyage dans l’ouest de la France.

Découvrant la collégiale, il s’émut de son état et tenta en vain de convaincre la municipalité de l’époque de rendre l’église à sa destination première. Son vœu fut enfin exaucé quelques 150 ans plus tard, lorsque le Département de Maine-et-Loire se porta acquéreur de la collégiale Saint-Martin, en 1986 !

Un trésor bien gardé

Dans la rue piétonne Saint-Martin, s’élève l’impressionnante façade de la collégiale, percée de hautes fenêtres. Des chanoines en communauté ouverte y vivaient au XIe siècle. Dissimulée depuis la Révolution par deux bâtisses, très peu d’Angevins en soupçonnaient l’existence.

De la façade, il ne restait plus que des ruines. En seulement deux mois et demi, cette partie a été entièrement restituée, mêlant, tout comme au Xe siècle, moellons de schistes, tuffeau et briques. Mais il aura fallu 20 ans de travaux pour restituer ce joyau architectural dans sa totalité. La façade de la collégiale impose désormais aux passants ses 17 mètres de haut et 9 mètres de large.

La collégiale Saint-Martin,témoin de l’histoire et du rayonnement de l’Anjou

Les fondations de la collégiale Saint-Martin remontent au Ve siècle. L’édifice actuel, complété et remanié à plusieurs reprises, conserve d’importantes traces des différentes époques de l’Histoire. Huit grandes périodes de transformation l’ont marqué au travers des siècles, de la petite église du Ve siècle au magnifique monument aujourd’hui réhabilité.

Fermée au culte à la Révolution, l’église sert d’entrepôt pour accueillir les livres confisqués, avant d’être vendue à deux particuliers. Elle sert ensuite de magasin de bois de chauffage, d’entrepôt de tabac, et finit même par être partiellement aménagée en écurie.

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La collégiale en un clin d’œil

La nef romane reconstituéeEn poussant la porte de la collégiale, le visiteur pénètre de plain pied dans la nef. La perspective qui s’en dégage restitue l’édifice tel qu’il était à la Révolution.

Au coeur de la nef, la statuaire religieuse, collection exceptionnelle de sculptures originaires d’Anjou datant du XIVe au XXe siècle, représente le point d’orgue des expositions permanentes.

Un chœur gothique angevinAllongé au cours des agrandissements successifs, il est aujourd’hui plus long que la nef, offrant depuis l’entrée une profondeur aussi élégante que surprenante.

Dès l’entrée du chœur, le regard est immédiatement attiré par les cinq statues-nervures s’élevant au fond du sanctuaire. Il s’agit des répliques exactes des sculptures originales, mutilées à la Révolution puis vendues au musée d’art de l’université américaine de Yale, où elles font partie des collections permanentes depuis 1926.

La chapelle Notre Dame des Anges

Sur la gauche, la chapelle Notre Dame des Anges, datant du début du XIIIe siècle, doit son nom aux têtes d’anges qui ornent chaque clé de voûte. On y aperçoit encore les traces d’un riche décor sculpté et les restes d’anciennes peintures murales.

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La sacristieCette ancienne chapelle gothique, d’abord transformée en cave, fut agrandie juste avant la Révolution pour constituer la sacristie. Y sont présentés les éléments architecturaux et de décors retrouvés lors des différentes campagnes de fouilles archéologiques, ainsi que les maquettes des premières églises à partir du Ve siècle.

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La crypte archéologique

« Ce n’est pas une crypte au sens propre, c’est-à-dire destinée à recevoir des sépultures. Nous avons réalisé, sous le chœur et le transept, un ouvrage qui permet de présenter au public la stratification de l’évolution de l’édifice. En visitant cette crypte, le public pourra comprendre toute l’évolution historique de la construction. »

Comme le suggère Gabor Mester de Parajd, Architecte en Chef des Monuments Historiques qui a piloté le chantier de restauration, la crypte recèle la clé du mystère. Ici, les fondations sont le témoin de l’histoire à livre ouvert ; là, les traces d’une voie romaine, relevées à l’emplacement actuel du transept de la collégiale ; ailleurs, les vestiges des premiers édifices religieux du Ve siècle, dont plus rien n’apparaît au-dessus du niveau du sol…

Dans les profondeurs de la crypte archéologique, on touche au cœur de l’édifice. On perce le mystère du « monde des morts » et celui des pratiques des « vivants ». Grâce aux sarcophages de centaines de sépultures mises au jour, c’est l’évolution des pratiques funéraires et les différentes périodes d’inhumations qui se sont dévoilées.

Le transept et sa charpente armoriée

Le transept actuel a conservé une grande partie de ses murs du Xe siècle. On peut également admirer les transformations apportées successivement par les deux personnages historiques les plus célèbres d’Anjou, le comte Foulques Nerra et le bon roi René. Une mention spéciale pour la charpente et ses décors peints aux armoiries de la maison d’Anjou.

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La statuaire religieuse, l’autre trésor de la collégiale

La collection permanente de statues religieuses est l’autre trésor de la collégiale : une quarantaine de sculptures, toutes originaires d’Anjou, du XIVe jusqu’au XXe siècle.

L’une des pièces maîtresses des expositions permanentes est sans aucun doute cette collection de statues : des sculptures majoritairement en terre cuite, mais aussi en pierre, bois ou plâtre, mesurant de 38 cm à 1,86 m. Jusqu’à la fin du XIXe siècle, ces statues animaient les murs des églises, garnissaient des niches de retables, et, pour les plus petites, ornaient des oratoires privés.

Cet ensemble, classé Monument historique depuis le 15 février 2000, propriété de l’association des Amis de l’école des hautes études Saint-Aubin, a été confié au Département de Maine-et-Loire qui s’est chargé de le mettre en valeur et de le présenter au public en un lieu approprié.

Beaucoup ayant perdu leur polychromie ou s’étant détériorées au fil des ans, une importante restauration a été entreprise. Cinq années auront été nécessaires aux professionnels – ateliers de B. Capredon, de C. Sallé et de C. Grenouillaux – pour redonner tout son éclat à cette collection.

Des surprises inattendues

Deux sculptures originelles de la collégiale Saint-Martin sont présentées parmi les pièces de cette collection. Découvertes sur le site lors des fouilles, elles ont retrouvé la place qu’elles occupaient après plusieurs siècles d’absence :

• Une Vierge à l’Enfant en pierre polychrome, des années 1360-1370, retrouvée lors des fouilles archéologiques du bras sud du transept en 1931. Elle devait orner soit l’autel secondaire de la Vierge élevé en 1361, soit la chapelle des Anges. En 1767, le clergé décide de son abandon.

• La statue de sainte Marguerite et le dragon, œuvre en pierre du XVIe siècle.

S’ajoute enfin à la collection une console aux deux anges, en bois, œuvre de l’artiste angevin Léon Morice. Réalisée vers 1902, elle a été classée au titre de l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques, le 19 janvier 2010.

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« Notre intervention dans la collégiale Saint-Martin est principalement liée à la présentation de la collection des statues, à la mise en place d’une présentation de l’histoire du monument et à la mise en valeur de l’architecture et des vestiges archéologiques par la lumière.

Le scénario du parcours se raconte dans un jeu de regards portés sur la statuaire et l’architecture. La vision de l’architecture devenant de plus en plus affinée au fur et à mesure que les commentaires se développent en regard de la présentation archéologique.

Ici, la lumière artificielle prend le relais de la lumière naturelle, sans jamais la contredire, apportant un éclat particulier sur un visage ou soulignant un dispositif architectural. Grâce à la réflexion des murs, la lumière artificielle se réfléchit pour donner une lumière enveloppante et doucement colorée ».

Marc Iseppi, architecte scénographe, atelier Novembre, Paris.

Quand la lumière donne du relief à l’histoire

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Un patrimoine vivant et un lieu de vie culturelleLa volonté du Département est de faire découvrir la collégiale Saint-Martin au plus grand nombre.

Non initié ou connaisseur, individuel ou en groupe, public jeune, familles ou personnes en situation de handicap, tout est mis en œuvre pour mettre à la portée de tous les publics l’histoire riche et complexe de la collégiale.

Site touristique majeur de l’Anjou, la collégiale Saint-Martin est aussi un lieu de diffusion culturelle et d’activités pédagogiques. La programmation annuelle est conçue pour fidéliser les visiteurs, présentant à chaque fois une nouvelle facette du site qui permet de mieux comprendre toute l’histoire du monument.

Véritable vitrine de l’Anjou, l’objectif est de faire de la collégiale Saint-Martin un lieu incontournable de l’actualité culturelle du Grand Ouest, à travers une programmation saisonnière riche, variée et de grande qualité.

Tout l’agenda du site sur www.collegiale-saint-martin.fr

Depuis 2010, la collégiale a confirmé son identité musicale avec la création d’une saison musicale, aujourd’hui devenue saison artistique, désormais reconnue : « Les Résonances Saint-Martin », qui propose chaque année, de mars à juillet, surprises, nouveautés, créations et innovations à la croisée des arts dans ce lieu d’exception.

Choeur de l’ONPL - © JP Campion

Les Solistes du Cercle de l’Harmonie - © JP Campion

P. Jaroussky - © S. Fowler

Les Résonances Saint-Martin, saison artistique de la collégiale

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Des expositions temporaires

Depuis son ouverture, la collégiale propose chaque année des expositions temporaires exceptionnelles, alternant sujets patrimoniaux et thèmes plus contemporains.Retrouvez les 16 expositions déjà présentées à la collégiale sur notre site internet, rubrique Evénements / Expositions temporaires.

Témoin de l’histoire et du rayonnement de l’Anjou

collégiale Saint-Martin23 rue Saint-Martin - Angers

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Objets d’Art Objets Rares

Crédit photos : B.rousseau et E.Jabol

16 septembre 2006 - 7 janvier 2007

77 œuvres de tout l’Anjou réunies pour la première fois

Collégiale Saint-Martin, 23 rue Saint-Martin ANGERSwww.collegiale-saint-martin.fr

Sculptures et tentures15 sept. 2012 / 6 janv. 2013

CurieRencontre entre une artiste et un monument

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Du 1er octobre au 31 décembre 2016

Collégiale Saint-Martin - 23 rue Saint-Martin - Angers02 41 81 16 00 - info_collegiale@maine-et-loire.fr - Tous les jours sauf le lundi de 13 h à 18 h

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Des médiations adaptées à tous les publics

Outre les audioguides proposés gratuitement tout au long de l’année, les visiteurs peuvent profiter des temps forts de la programmation culturelle organisés sur le site pour découvrir la collégiale autrement :

• Les visites « exceptionnelles » du site (découverte sensorielle, visites thématiques…)• Les visites théâtralisées de l’été, « Les Nuits de la Collégiale », où les personnages emblématiques du lieu

deviennent, le temps d’une soirée, les guides de la collégiale.• La Nuit européenne des Musées.• Les Journées Européennes du Patrimoine.

Pour les familles

• L’archéologue, chasseur de trésor ou scientifique ?• La Bâtiroule : sur le chantier d’une église, quel bâtisseur aimerais-tu être ?• GUIDEEZ à la collégiale : exploration numérique sur tablettes ou smartphones.

Marquant le début de l’été, le rendez-vous annuel du « Week-End Famille » est l’occasion de se retrouver à la collégiale autour d’ateliers et d’animations thématiques, ponctués de moments festifs pour petits et grands.

Pour les publics en situation de handicap

Site accessible à tous, des outils de médiation adaptés, des activités sur-mesure et des visites sensorielles du site sont disponibles pour tous les types de handicaps.

Pour les scolaires

Un accès privilégié est réservé aux scolaires, avec des visites et des ateliers aménagés par niveaux, de la grande section au lycée, dans la collégiale et dans les salles pédagogiques équipées attenantes au site.Thèmes : les bâtisseurs, l’architecture médiévale, la sculpture, la couleur et les techniques de peinture murale, l’image au Moyen Âge, l’archéologie…

Pour le jeune public et les centres de loisirs

Des ateliers thématiques sont proposés les mercredis ou pendant les vacances scolaires.

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Un pari audacieux du Département de Maine-et-Loire

Tableau de financement

Le Département de Maine-et-Loire et l’État, représenté par la Direction Régionale des Affaires Culturelles des Pays de la Loire, ont été les deux maîtres d’ouvrage du projet. Le Département, devenu en 1986 propriétaire de la partie orientale de la collégiale puis des propriétés situées sur l’emprise de l’église, est intervenu pour l’aménagement, l’équipement de la collégiale et la réalisation des bâtiments annexes, tandis que la DRAC a été maître d’ouvrage de l’opération de restauration du chœur, du transept et de la sacristie, ainsi que de la restitution de la nef.

La réhabilitation de la collégiale Saint-Martin est en corrélation avec la politique de soutien à l’économie culturelle et touristique engagée en Maine-et-Loire. Le Département s’attache en effet à valoriser l’extraordinaire patrimoine naturel et historique dont il dispose.

Restauration du monumentet reconstruction de la nef

Aménagement et équipement

Coût de l’opération : 5 millions d’euros.

Financement :Département : 2,865 millions d’euros.Etat : 1,75 million d’euros.Région : 0,45 million d’euros.

Coût de l’opération : 3,5 millions d’euros + 0,475 millions d’euros d’acquisitions immobilières.

Financement : Département : 4 millions d’euros.Région : subvention de 10%.

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La collégiale Saint-Martin en pratique

Coordonnées

Adresse géographique : Coordonnées GPS :

Adresse postale :

Téléphone :Fax :Courriel : Site Internet :

23 rue Saint-Martin à Angers (derrière la poste du Ralliement)N 47° 46’ 91’’W 00° 05’ 52’’

Département de Maine-et-LoireCollégiale Saint-MartinCS 94104 - 49941 Angers cedex 9

02 41 81 16 0002 41 81 16 01info_collegiale@maine-et-loire.frwww.collegiale-saint-martin.fr

Horaires d’ouverture au public jusqu’au 30 avril 2018

• Haute saison : du 1er juin au 30 septembre, tous les jours de 10h à 19h.• Basse saison : du 1er octobre au 31 mai, du mardi au dimanche de 13h à 18h.

Horaires d’ouverture au public à partir du 2 mai 2018

• De mai à janvier : de 13 h à 19 h, tous les jours sauf le lundi.• De février à avril : de 14 h à 18 h, tous les jours sauf le lundi.

Fermetures annuelles : 1er janvier, 1er et 8 mai, 1er et 11 novembre, 25 décembre.

Tarifs

• Plein tarif : 4 € / En période d’exposition 6 €.• Tarif réduit : 3 € / En période d’exposition 5 €.• Gratuit jusqu’à 18 ans.• Carte Privilège : 9 € (accès illimité au site pendant 1 an et tarif réduit sur certaines animations).• Carte Ateliers : 12 € pour 5 ateliers.• Ouverture gratuite le dernier dimanche de chaque mois.

Audioguides gratuits Visites guidées pour les groupes sur réservation. Tarif réduit à partir de 20 personnes.

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© Département 49 sauf mention contraireLic. 1-1101235 / 2-1101236 / 3-1101237

Mars 2012 - Mise à jour : février 2018

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© JP Campion