![Tarif 2018 Smidef - cfecgc-ibm.fr · 0e7$//85*,( ,/( '( )5$1&( ^D/ & r ^ Ç v ] D o o µ P ] / o r r& v ï ï U À v µ o Z µ o ] µ r ...](https://static.fdocuments.fr/doc/165x107/5ba3e26a09d3f280548c3e4a/tarif-2018-smidef-cfecgc-ibmfr-0e785-51-d-r-c-v-.jpg)
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4 g Les agents ouvrent le champ des possibles En juillet dernier, les agents de la DGAAR ont reçu une invitation pour le « Jardin des possibles » : drôle de nom pour un séminaire ! Le graphisme fleuri du carton donne le ton de ce rendez-vous d’un genre nouveau. Quand le jardin tenu secret se dévoile enfin ! Le rendez-vous est donné le 25 septembre au Génocentre. Jusque là, le plus grand secret entoure son déroulé. Le concept est inhabituel : l’ensemble des agents de la Direction générale adjointe administration et ressources (DGAAR) (c’est une première !) participent aux travaux le matin ou l’après-midi, avec un déjeuner en commun. La scénographie est agrémentée avec des plantes décoratives et de la pelouse sur la scène centrale ! Dès l’accueil, l’équipe des « papillons », qui a préparé le séminaire, remet à chacun un badge marqué d’une fleur et le dossier support. Les agents composent ainsi des « bouquets » de fleurs assorties. La vie dans le jardin s’organise Très vite, les présentations s’engagent dans chaque bouquet. Certains agents se connaissent, d’autres mettent enfin des visages sur des noms (ou vice et versa) ou découvrent des missions de la DGAAR (les agents de la crèche la Coccinelle peuvent en témoigner). Micro en main, l’animatrice distribue la parole aux organisateurs avec énergie et pose le cadre de travail. La production des bouquets (les agents) commence sur deux thèmes au choix, en résonance avec les conclusions de l’audit social, tels que la reconnaissance des compétences, la motivation, l’urgence ou encore l’allégement des procédures. Les agents se rejoignent sur ces terrains fertiles en propositions. Les papillons volent alentour pour les accompagner à formuler leurs idées. Il y a aussi des abeilles (les agents de la MIQI et l’expert consultant en dynamique collective), qui ne piquent pas mais observent la démarche. Les jardiniers (les directeurs, le DGAAR et le DGS) laissent les fleurs s’épanouir, pour ensuite en recueillir les graines. Chaque bouquet produit des fiches synthétiques, exposées dans la salle et exprime son ressenti lors de la réalisation de ce travail. Poursuivons la culture de ces boutures Les jardiniers, accompagnés l’après-midi de Carlos Da Silva, Vice-président chargé des finances et du service public départemental, s’expriment sur les propositions des agents et se livrent à leur tour. Thierry Weibel, directeur des systèmes d'information (DSI), souhaite reprendre la même démarche en interne à ses services ; Jérôme Gestin, directeur des affaires juridiques et de la documentation (DAJD) propose d’installer la fresque dans ses locaux et invite les agents à poursuivre cette idée de co- construction créative. Au nom du comité de direction, Fabien Tastet s’engage à ce que « l’exercice d’aujourd’hui ne cesse pas ce soir » et propose qu’une « émanation de l’ensemble de la DGAAR se réunisse tous les trois mois, sous forme d’un comité de suivi ». Les agents volontaires attendent avec impatience de bourdonner dans cette ruche. Le décor du jardin des possibles Le jardin des possibles Qui fait quoi ? Une autre façon d’être et de travailler ensemble Véronique Dubois-Ferchaud, directrice des moyens généraux « Certains de mes agents étaient réticents pour venir. Ils n’ont pas l’habitude de participer à des séminaires. Mais ici, le format leur permet de s’exprimer facilement et librement. Je suis contente de les voir participer et contribuer aux échanges dans une démarche constructive. »
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Les agents ouvrent le champ des possiblesEn juillet dernier, les agents dela DGAAR ont reçu uneinvitation pour le «Jardin despossibles» : drôle de nom pourun séminaire ! Le graphismefleuri du carton donne le ton dece rendez-vous d’un genrenouveau.
Quand le jardin tenu secret se dévoile enfin !Le rendez-vous est donné le 25septembre au Génocentre. Jusquelà, le plus grand secret entoureson déroulé. Le concept estinhabituel : l’ensemble desagents de la Direction généraleadjointe administration etressources (DGAAR) (c’est unepremière !) participent auxtravaux le matin ou l’après-midi,avec un déjeuner en commun.
La scénographie est agrémentéeavec des plantes décoratives etde la pelouse sur la scènecentrale ! Dès l’accueil, l’équipedes «papillons», qui a préparé leséminaire, remet à chacun unbadge marqué d’une fleur et ledossier support. Les agentscomposent ainsi des «bouquets»de fleurs assorties.
La vie dans le jardins’organiseTrès vite, les présentationss’engagent dans chaque bouquet.Certains agents se connaissent,d’autres mettent enfin desvisages sur des noms (ou vice etversa) ou découvrent desmissions de la DGAAR (les agentsde la crèche la Coccinellepeuvent en témoigner). Micro enmain, l’animatrice distribue laparole aux organisateurs avecénergie et pose le cadre detravail.
La production des bouquets (lesagents) commence sur deuxthèmes au choix, en résonanceavec les conclusions de l’auditsocial, tels que la reconnaissancedes compétences, la motivation,l’urgence ou encore l’allégementdes procédures. Les agents serejoignent sur ces terrains fertilesen propositions. Les papillonsvolent alentour pour lesaccompagner à formuler leursidées. Il y a aussi des abeilles (lesagents de la MIQI et l’expertconsultant en dynamique
collective), qui ne piquent pasmais observent la démarche. Lesjardiniers (les directeurs, leDGAAR et le DGS) laissent lesfleurs s’épanouir, pour ensuite enrecueillir les graines. Chaquebouquet produit des fichessynthétiques, exposées dans lasalle et exprime son ressenti lorsde la réalisation de ce travail.
Poursuivons la culture de ces boutures Les jardiniers, accompagnésl’après-midi de Carlos Da Silva,Vice-président chargé desfinances et du service publicdépartemental, s’expriment surles propositions des agents et selivrent à leur tour. ThierryWeibel, directeur des systèmesd'information (DSI), souhaitereprendre la même démarche eninterne à ses services ; JérômeGestin, directeur des affairesjuridiques et de ladocumentation (DAJD) proposed’installer la fresque dans seslocaux et invite les agents àpoursuivre cette idée de co-construction créative. Au nom ducomité de direction, Fabien Tastets’engage à ce que « l’exerciced’aujourd’hui ne cesse pas cesoir» et propose qu’une«émanation de l’ensemble de laDGAAR se réunisse tous les troismois, sous forme d’un comité desuivi ». Les agents volontairesattendent avec impatience debourdonner dans cette ruche.
Le décor du jardin des possibles
Le jardindes possibles
Qui fait quoi ?
Une autre façon d’être et de travailler ensemble
Véronique Dubois-Ferchaud, directrice des moyensgénéraux
« Certains de mes agents étaientréticents pour venir. Ils n’ont pas l’habitude departiciper à des séminaires. Mais ici, le formatleur permet de s’exprimer facilement etlibrement. Je suis contente de les voir participeret contribuer aux échanges dans une démarcheconstructive. »
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Fabien Tastet, Directeur général adjoint chargéde l’administration et des ressources (DGAAR)a souhaité lancer un format de séminairenovateur et dynamique permettant àl’ensemble des agents de sa DGA de faire despropositions concrètes suite à l’Audit social.Ainsi, les concepts de « libre expression,création, initiative, forces de propositions » ontété les maîtres mots des 16 paysagistes,concepteurs de ce jardin des possibles.
La constitution du groupe de travailUn groupe de travail hétérogène, composé dedeux agents volontaires de chaque direction dela DGAAR a collaboré à merveille. Chacun atrouvé sa place selon ses envies, ses talents,son temps...
Un travail d’équipe savamment orchestré«Au début, un conseiller spécialisé endémarche participative a transmis son savoir-faire au groupe puis il nous a laissé travaillerpar nous-mêmes. Le comité des agents estdevenu autonome dans le portage del’animation du séminaire le jour J. Il s’estcomplètement approprié le projet » indiqueCécile Joly, conseillère en innovation publiqueau POLEN (DGS), coordinatrice du groupe detravail.
Qui fait quoi ?
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Novembre 2012
Les étapes de la construction du Jardin des possiblesDeux séances ont eu lieu en mai et juin pourdéfinir le concept du séminaire : un forumsemi-ouvert. Puis des sous groupes se sontoccupés de la signalétique, la communication,la logistique, la sélection des thèmes deréflexion pour les ateliers. Ils se sont appuyéssur d’autres services de la DGAAR toujourstrès coopératifs : l’imprimerie, la direction desressources humaines, le service de lacommunication interne, le service logistique etévènementiel (DMG) mais aussi dans d’autresDGA (service des espaces verts, direction de laconstruction et des bâtiments…).
Un séminaire novateurCe séminaire était novateur, d’une part, dansson format parce qu’il prévoyait à la fois untravail en atelier sur une dizaine dethématiques issues de l’audit social et aussides espaces d’expressions libres, dont unefresque réalisée avec le concours DidierFruchart. D’autre part, son organisation étaitinnovante parce qu’il s’agissait d’un séminaireconçu par des agents, pour des agents.
Au final, ce séminaire a été très productif avecplus de 100 propositions émises par les agentssur les thématiques traitées et développées àla page précédente. Maintenant, la démarchese poursuit avec les engagements pris par lecollectif de direction. n
Les agents de la DGAAR dans le hall du Génocentre, ce 25 septembre 2012
Les agents travaillent sur les thématiques proposées au sein« des bouquets »
Un séminaire fait par les agentsDe mai à septembre 2012, un groupe de travail de 16 agents a conçuun format de séminaire très innovant.
Les agents s’expriment aussi à travers une fresque
Sabine Touny, documentaliste à la Direction des affaires juridiques et de la documentation et membre du groupe de travail« Cette expérience m'a permis d'expérimenterdes nouvelles méthodes de travail, d'apprendre à faire confiance au groupe et à l'intelligence collective,d'oser bouger les lignes. Par ailleurs, je me suisretrouvée dans les propositions de mescollègues à l'issue des ateliers ».
Guy Belleterre, conseiller formation, Direction des ressources humaines et membre du groupe de travail« Bien qu’il s’agisse d’un investissementsupplémentaire, j'ai été ému de voir tous les agents du groupe s'investir complètement dans la préparation de ce séminaire, en donnant des idées originales pour l’enrichir ».
Émilie Chicart,maquettiste PAO à l’imprimeriedépartementale
« Les sujets abordés étaient pertinents, je regrette justede ne pas les avoir connus en amont, pour arriver auséminaire déjà riche de critique et pour pouvoir allerplus loin dans la réflexion. Il faut sans doute se donnerplus de temps pour aborder les problématiquesconcrètes. »
Elise Da Col, cheffe de service adjointe au Servicemanagement etconditions de travail de la Direction desressources humaines« Le jardin des possibles apermis de se poser, de
réfléchir ensemble, de s’apercevoir que nous avions lesmêmes problématiques. »
Philippe Costes,responsable adjoint,pôle achats, serviceachats à la Directiondes moyens généraux,porte parole dubouquet des orchidéesphalaénopsis« Chaque membre du
bouquet a échangé dans une ambiance détendue. On aapprécié de rencontrer des collègues que l'on neconnaissait que de noms ou pas du tout. Nous espéronsque ce jardin sera entretenu dans le temps et que lesplantations d'aujourd'hui prendront racines. »
Carlos Da Silva Vice-président chargé des finances et du service public départemental est venu assister
à ce séminaire au format nouveau
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