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l’ E ssentiel COMMUNIQUÉ DU MARDI 28 OCTOBRE 2014 SPÉCIAL AUDITION Pour plus de renseignements sur nos prochains dossiers, n’hésitez pas à nous contacter : [email protected] L’Essentiel, Vendredi 26 Septembre 2014, est édité par la SARL Execopress, RCS Paris 512 042 706 45, rue Aristide Briand 92300 Levallois-Perret – Tél. +33.1.80.87.54.70 Directeur général : David Journo – Rédacteur en chef : Vanessa Bernard Création/réalisation : Marc Perazzi Chef de projet : Julia Chekroun La Rédaction de Libération n’a pas participé à la réalisation de ce dossier. Éditorial S elon le Synéa 1 , six mil- lions de personnes, en France, souffrent de troubles de l’audition, la moitié faisant l’objet d’une prescription d’appareillage. En la matière le taux d’équipement des Français est ainsi de 32 %, en croissance constante depuis 15 ans grâce au dynamisme des 4 000 centres d’audition du territoire. La qualité de service qu’ils pro- posent associée à l’accessibilité de l’appareillage qui désormais n’affiche plus des prix prohibitifs, est sans doute pour beaucoup dans la démocratisation de la prothèse auditive. Cela est aussi la preuve que les entreprises d’audition travaillent efficace- ment à la bonne santé de leurs clients. Seul bémol, peut-être, une cer- taine carence en audioprothé- sistes, inégalement installés dans l’Hexagone. Aujourd’hui, les près de 3 000 profession- nels diplômés ne suffisent déjà pas à répondre à la demande croissante ; alors qu’en sera-t-il demain ? Car, on le sait, le marché de l’audition est voué à croître plus encore afin de répondre toujours mieux aux besoins de la popu- lation. Aujourd’hui, grâce à la prévention mais aussi aux der- nières technologies industrielles, l’appareillage fait beaucoup moins peur. Un changement de regard que l’on doit au confort des aides auditives développées aujourd’hui, à leur efficacité et à leur esthétisme. Face à ces progrès, les utili- sateurs sont devenus très exi- geants ! Aussi, les entreprises d’audition doivent-elles conti- nuer à se montrer compétitives et à proposer des produits de qualité tout en discrétion… Avec le coût, le design reste, claire- ment, un des critères majeurs de sélection ! n 1 Le Syndicat National des Entreprises de l’Audition œuvre pour la sensibilisation aux risques liés à la perte d’audition. Avec les pouvoirs publics et les médecins, le Synéa se mobilise pour améliorer la prévention et les soins. Prothèses auditives Optical Center L’accessibilité des prix pour tous, la qualité en plus Avec ses 394 magasins français et européens, Optical Center est devenu une véritable référence pour tous les porteurs de lunettes. Dès son arrivée sur le marché, son parti pris est très clair : proposer la qualité au meilleur prix. Fort de ses premiers succès, Optical Center décide d’offrir les mêmes services sur le segment de l’audition. L’ enseigne affiche ainsi un objectif très ambi- tieux. “ Nous avons la volonté de nous imposer comme numéro 1 de l’optique et de l’audio à horizon 2020”, explique Olivier Baroukh, res- ponsable succursales Optical Center. Pour cela, la marque compte bien se calquer sur le modèle qui a fait ses premiers succès, à savoir proposer des produits de qualité à des prix accessibles. “ Notre gamme audio est équipée des dernières technologies développées par les plus grands industriels de la place, comme Siemens, par exemple.” La question est alors de savoir comment l’enseigne peut réussir une telle prouesse. C’est très simple , poursuit Olivier Baroukh. Nous utili- sons les infrastructures déjà en place, c’est-à-dire, nos maga- sins optiques en les équipant d’une zone dédiée à l’audio. Cela évite les charges supplé- mentaires et nous permet de rester très compétitifs.Le dépistage facile et sans contraintes L’aventure commence ainsi en 2007 avec deux Optical Center parisiens qui s’équipent d’une salle dédiée à l’audition et inté- grée au magasin. Un an plus tard, toutes les boutiques proposent le service. “Le modèle a immé- diatement pris ! Notre bonne réputation en tant qu’opticien responsable a, sans doute, joué en notre faveur. Les clients qui viennent chez nous savent qu’ils vont trouver la qualité et le prix.Autre facteur qui explique un tel engouement, la facilité d’entrer chez Optical Center : “Tout le monde peut venir chez nous ! Il n’est pas besoin d’avoir un pro- blème particulier. Vous pouvez visiter une de nos boutiques comme n’importe quel autre magasin car nous ne vendons pas que des dispositifs médi- caux mais aussi des solaires, des produits d’entretien…” Le principe est ainsi très rassurant pour le client et contribue aussi clairement au dépistage facile d’éventuels problèmes auditifs. Une vraie plus value. “En créant la curiosité, nous attirons l’at- tention ! Les gens nous posent donc facilement des questions, et nombreux sont ceux qui déci- dent, ne serait-ce que par jeu, de tester leur audition.Travailler sur le design et l’utilisation des prothèses Tous les magasins Optical Center du territoire accueillent ainsi les visiteurs pour un dépistage gra- tuit et sans rendez-vous. “Selon les régions, nos audioprothé- sistes doivent se partager sur plusieurs centres car les pro- fessionnels diplômés font un peu défaut. Mais pour servir le plus grand nombre, nous avons trouvé des solutions alterna- tives”. Par exemple, certains magasins mettent à la disposi- tion des clients des bornes de dépistage autonomes qui leur permettent de savoir si la visite chez un ORL est nécessaire ou pas. Pour devenir numéro 1 de son segment, Optical Center met donc toutes les chances de son côté. Prochaine étape, accélé- rer le recrutement d’audiopro- thésistes afin d’ouvrir une salle d’audition dans chacun des magasins et répondre ainsi à la demande croissante du marché. Si la marque se concentre sur son développement, elle n’en demeure pas moins à l’écoute des besoins de la population et reste donc en veille perma- nente afin de toujours proposer les meilleures technologies aux meilleurs prix : le design et l’utili- sation des prothèses représentent ainsi le chantier de l’avenir. n Devenir le leader français de l’optique et de l’audition : 100 succursales et 600 fran- chises ; Atteindre un chiffre d’affaires d’1 milliard d’euros HT dont 150 Me pour l’audio ; Intégrer le top 20 des enseignes mondiales d’optique et d’audition. 2020 : des objectifs ambitieux

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l ’ E s s e n t i e lCOMMUNIQUÉ DU

MARDI 28 OCTOBRE 2014

SPÉCIAL AUDITION

Pour plus de renseignements sur nos prochains dossiers,n’hésitez pas à nous contacter : [email protected]

L’Essentiel, Vendredi 26 Septembre 2014,est édité par la SARL Execopress, RCS Paris 512 042 706

45, rue Aristide Briand 92300 Levallois-Perret – Tél. +33.1.80.87.54.70

Directeur général : David Journo – Rédacteur en chef : Vanessa BernardCréation/réalisation : Marc Perazzi

Chef de projet : Julia ChekrounLa Rédaction de Libération n’a pas participé à la réalisation de ce dossier.

éditorial

S elon le Synéa1, six mil-lions de personnes, en France, souffrent de

troubles de l’audition, la moitié faisant l’objet d’une prescription d’appareillage. En la matière le taux d’équipement des Français est ainsi de 32 %, en croissance constante depuis 15 ans grâce au dynamisme des 4 000 centres d’audition du territoire.

La qualité de service qu’ils pro-posent associée à l’accessibilité de l’appareillage qui désormais n’affiche plus des prix prohibitifs, est sans doute pour beaucoup dans la démocratisation de la prothèse auditive. Cela est aussi la preuve que les entreprises d’audition travaillent efficace-ment à la bonne santé de leurs clients.

Seul bémol, peut-être, une cer-taine carence en audioprothé-sistes, inégalement installés dans l’Hexagone. Aujourd’hui, les près de 3 000 profession-nels diplômés ne suffisent déjà pas à répondre à la demande croissante ; alors qu’en sera-t-il demain ?

Car, on le sait, le marché de l’audi tion est voué à croître plus encore afin de répondre toujours mieux aux besoins de la popu-lation. Aujourd’hui, grâce à la prévention mais aussi aux der-nières technologies industrielles, l’appareillage fait beaucoup moins peur. Un changement de regard que l’on doit au confort des aides auditives développées aujourd’hui, à leur efficacité et à leur esthétisme.

Face à ces progrès, les utili-sateurs sont devenus très exi-geants ! Aussi, les entreprises d’audition doivent-elles conti-nuer à se montrer compétitives et à proposer des produits de qualité tout en discrétion… Avec le coût, le design reste, claire-ment, un des critères majeurs de sélection ! n

1 Le Syndicat National des Entreprises de l’Audition œuvre pour la sensibilisation aux risques liés à la perte d’audition. Avec les pouvoirs publics et les médecins, le Synéa se mobilise pour améliorer la prévention et les soins.

Prothèses auditives Optical CenterL’accessibilité des prix pour tous, la qualité en plusAvec ses 394 magasins français et européens, Optical Center est devenu une véritable référence pour tous les porteurs de lunettes. Dès son arrivée sur le marché, son parti pris est très clair : proposer la qualité au meilleur prix. Fort de ses premiers succès, Optical Center décide d’offrir les mêmes services sur le segment de l’audition.

L’ enseigne affiche ainsi un objectif très ambi-tieux. “Nous avons

la volonté de nous imposer comme numéro 1 de l’optique et de l’audio à horizon 2020”, explique Olivier Baroukh, res-ponsable succursales Optical Center. Pour cela, la marque compte bien se calquer sur le modèle qui a fait ses premiers succès, à savoir proposer des produits de qualité à des prix accessibles. “Notre gamme audio est équipée des dernières technologies développées par les plus grands industriels de la place, comme Siemens, par exemple.” La question est alors de savoir comment l’enseigne peut réussir une telle prouesse. “C’est très simple, poursuit Olivier Baroukh. Nous utili-sons les infrastructures déjà en place, c’est-à-dire, nos maga-sins optiques en les équipant d’une zone dédiée à l’audio. Cela évite les charges supplé-mentaires et nous permet de rester très compétitifs.”

Le dépistage facile et sans contraintesL’aventure commence ainsi en 2007 avec deux Optical Center parisiens qui s’équipent d’une salle dédiée à l’audition et inté-grée au magasin. Un an plus tard, toutes les boutiques proposent le service. “Le modèle a immé-diatement pris ! Notre bonne réputation en tant qu’opticien responsable a, sans doute, joué en notre faveur. Les clients qui viennent chez nous savent qu’ils vont trouver la qualité et le prix.” Autre facteur qui explique un tel engouement, la facilité d’entrer chez Optical Center : “Tout le monde peut venir chez nous ! Il n’est pas besoin d’avoir un pro-blème particulier. Vous pouvez visiter une de nos boutiques comme n’importe quel autre magasin car nous ne vendons pas que des dispositifs médi-caux mais aussi des solaires, des produits d’entretien…” Le principe est ainsi très rassurant pour le client et contribue aussi clairement au dépistage facile

d’éventuels problèmes auditifs. Une vraie plus value. “En créant la curiosité, nous attirons l’at-tention ! Les gens nous posent donc facilement des questions, et nombreux sont ceux qui déci-dent, ne serait-ce que par jeu, de tester leur audition.”

Travailler sur le design et l’utilisation des prothèsesTous les magasins Optical Center du territoire accueillent ainsi les visiteurs pour un dépistage gra-tuit et sans rendez-vous. “Selon les régions, nos audioprothé-sistes doivent se partager sur plusieurs centres car les pro-fessionnels diplômés font un peu défaut. Mais pour servir le plus grand nombre, nous avons trouvé des solutions alterna-tives”. Par exemple, certains magasins mettent à la disposi-tion des clients des bornes de dépistage autonomes qui leur permettent de savoir si la visite chez un ORL est nécessaire ou pas. Pour devenir numéro 1 de son segment, Optical Center met

donc toutes les chances de son côté. Prochaine étape, accélé-rer le recrutement d’audiopro-thésistes afin d’ouvrir une salle d’audition dans chacun des magasins et répondre ainsi à la demande croissante du marché. Si la marque se concentre sur son développement, elle n’en demeure pas moins à l’écoute des besoins de la population et reste donc en veille perma-nente afin de toujours proposer les meilleures technologies aux meilleurs prix : le design et l’utili-sation des prothèses représentent ainsi le chantier de l’avenir. n

➔ Devenir le leader françaisde l’optique et de l’audition : 100 succursales et 600 fran-chises ;

➔ Atteindre un chiffre d’affairesd’1 milliard d’euros HT dont 150 Me pour l’audio ;

➔ Intégrer le top 20 desenseignes mondiales d’optique et d’audition.

2020 : des objectifs ambitieux

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IICommuniqué

SPéCIAL AUdItIonmardi 28 oCtobre 2014

l ’ E s s e n t i e l

Contre le bruit, protégeons-nous !

Chez Optical Center, il est possible de faire contrôler gratuitement son audition. Un

bon moyen pour chaque personne le souhaitant de dresser un premier

bilan de sa situation auditive. En cas de carences constatées,

l’audioprothésiste l’oriente directement vers un ORL pour un test médical cette

fois. Les explications de Joël Assayag, responsable audiologie référent chez Optical Center.

Quelles sont les expositions au bruit qui peuvent être délétères pour nos oreilles et comment faire pour s’en prémunir ?Le traumatisme sonore peut intervenir à n’importe quel moment du fait d’un bruit qui a “choqué” nos oreilles (une alarme, une explo-sion, une pétarade…) et qui va créer chez le sujet une douleur auditive qui doit l’alerter.

A côté de cela, il y a les expositions que l’on dit chroniques auxquelles sont confron-tées les personnes évoluant dans un milieu bruyant. Pour ces dernières des solutions de prévention existent, comme les bouchons d’oreilles ou les casques réducteurs de bruit ; je leur conseillerais aussi de faire des pauses, régulièrement. La durée d’exposition et l’intensité du son restent, en effet, les deux critères dont il faut tenir compte pour pré-server nos oreilles. Se doter d’un sonomètre pour évaluer soi-même le risque peut aussi représenter une solution. Si la sensibilité au

bruit varie en fonction des personnes, on peut considérer qu’au-delà de 90 décibels, il faut être vigilant.

Vous évoquiez le traumatisme sonore. Quelle attitude doit adopter une personne qui en est victime ?Il faut agir très vite, dans les 6 à 8 heures qui suivent le traumatisme sonore aigu (TSA) dont vous pouvez garder des séquelles auditives permanentes. Il faut savoir aussi que ce cas précis, le parcours de soin permet au patient d’aller directement consulter un ORL pour réaliser un audiogramme, sans avoir besoin de passer par son généraliste. En prescrivant des corticoïdes, le spécialiste va pouvoir limiter les symptômes (hypoacousie, hyperacousie, acouphènes…).

Un nouvel audiogramme sera à prévoir, 15 jours plus tard, pour un bilan précis et l’adaptation du traitement.

Les conseils du Docteur Pierre RubinsteinORL et chirurgie de la face et du cou, Paris (75)

La prévention semble porter ses fruits puisque de plus en plus nombreux sont ceux qui viennent faire contrôler gratuitement leur audition dans vos centres…Nous constatons, en effet, une nette évolution du nombre de personnes qui se font dépister grâce à nos bilans auditifs (à visée non médicale). Cette évolution est la preuve que la sensi-bilisation est efficace. Les avancées technologiques sont aussi pour beaucoup dans ce changement. Les puces électroniques, uti-lisées dans les prothèses auditives améliorent sans cesse leurs performances, rendant les appareils plus confortables et plus effi-caces, année après année. D’ailleurs, nos chiffres en sont une belle illustration puisque nous affichons un taux de satisfaction client de l’ordre de 95 % !

Pour autant, le passage à l’acte d’appareillage est-il plus simple ?72 % des personnes appa-reillées sont orientées par

environ 70 % dans les milieux bruyants notam-ment. Nous faisons beau-coup d’efforts pour rendre les prix accessibles et les offres attractives (par exemple, un équipement auditif = une paire de lunettes gratuite) et ainsi inciter nos clients à fran-chir le pas.

Essayer, c’est l’adopter ?Oui ! Les clients qui testent sont généralement, des clients satisfaits. Certains commencent avec l’offre Ouïezen First (entrée de gamme) et s’orientent, après quelques années d’utilisation vers un appa-reillage plus sophistiqué, étant devenus plus exi-geants vis-à-vis du confort et de l’esthétique. D’autres vont rester sur le premier prix car ils profiteront, de toute façon au renou-vellement de la prothèse, des évolutions technolo-giques les plus récentes pour le même coût ! Je vous le disais, les avancées sont rapides et même les réglages vont aujourd’hui de plus en plus vite ! n

un proche qui les alerte… ce qui montre bien que le pas se franchit encore un peu difficilement quand même. Outre le frein psy-chologique, il y a aussi l’aspect financier que beaucoup craignent. Or, aujourd’hui, tous les prix existent. Chez Optical Center, par exemple, on peut s’équiper dès 590 euros. Un coût, par ailleurs, partiellement pris en charge par la Sécurité Sociale (à hauteur de 119,71 euros). En sachant, aussi, que selon le contrat souscrit, la mutuelle va venir compléter le rem-boursement.

Comment orienter un client vers un appareil plutôt qu’un autre ?Tout va dépendre des besoins du client et de l’environnement dans lequel il évolue. Un appa-reil auditif ne pourra jamais, quoi qu’il en soit, nous permettre de récu-pérer toutes nos facultés auditives. Il est là pour compenser au maximum les pertes, c’est-à-dire,

Après trois ans de recherche et deux ans de développement, Optical Center a mis au point les lunettes auditives : Lukkas Audio. Légères, flexibles et confortables, elles intègrent la prothèse auditive dans la branche pour une discrétion à nulle autre pareille.

Phénomène naturel et progressif, la presbyacousie est dû au vieillissement des oreilles et touche donc plus particulièrement les seniors. Dès lors qu’une personne commence à avoir des difficultés à suivre de façon fluide une conversation dans le bruit, attention : un bilan ORL s’impose. Si l’âge entraîne inéluctablement des pertes auditives, il faut savoir que l’exposition au bruit et à ses dangers concerne tout le monde ! Il est évidemment des populations plus exposées que d’autres de part leur métier ou encore leur passion. Ainsi, les chasseurs, les musiciens, les DJ, les personnels de chantier, les équipages aériens… doivent se montrer particulièrement à l’écoute des signaux d’alerte, d’une gêne qu’ils n’auraient pas ressenti jusqu’alors. Reste que pour se prémunir des intensités sonores délétères, des moyens de prévention existent. Rencontre…