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KITMEDIA 2017 - affinity-primemedia.ch · voc ,o fe d pr m né-mique xo gèn e s ont ita rissa bles...
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Agefi SA | Route de la Chocolatière 21 | Case Postale 61 | 1026 Echandens-Denges | + 41 21 331 41 41 | www.agefi.com KITMEDIA | 2017
Unique en Suisse romande, ce magazine féminin se singularise par bien des aspects.
bliss ne suit pas, il donne à voir; il n’impose pas, il suggère ce qui dans le vacarme du monde mérite d’être savouré, avec pour seul paradigme, l’exigence de la qualité. De la haute couture à la joaillerie en passant par la mode, la beauté, l’holistique, la culture, les phénomènes sociétaux…, le spectre est large.
bliss le resserre en portant un regard aussi sélectif qu’affûté sur les tendances et phénomènes dominants ou plus alternatifs, avant-gardistes ou bien classiques.
Pause au milieu des contraintes, des diktats et de la profusion d’informations, ce bimestriel se donne le luxe du temps, de la durée, pour accorder à l’intelligence, au goût et à la modernité la place qui leur revient.
S’adressant à une femme moderne donc multiple, hyper-connectée, changeante et inclassable, bliss offre la joie, le luxe d’une respiration.
CAROLINE SCHMIDT
Rédactrice en chef
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SÉLECTION Infos / news
CULTURE Sorties-expos, critiques littérature-cinéma & musique
SOCIÉTÉ Phénomènes, philo, kids, holistique
MODE Entretiens, shooting, décryptage
HORLOGERIE-JOAILLERIE Portraits, shopping, joaillerie/horlogerie
BEAUTÉ Portraits, actu beauté, trends, maquillage, soins, news beauté
DESIGN Portraits, architecture, photos, sélection design
BLISSFULLY Epicure, quelque chose à se faire pardonner ?, astrologie
RUBRIQUES RÉGULIÈRES
DIFFUSION 6 PARUTIONS PAR AN
Tirage 10’000 Exemplaires
Canaux de diffusion Abonnés L’AGEFI et abonnés AGEFI blissKiosques NavilleCliniques privées et événements du groupe Swiss Medical NetworkEvénements organisés par L’AGEFI ou dont L’AGEFI est partenaire média (www.agefi.com/events)Disponible également en version e-Paper sur l’application iPad (www.agefi.com/app) et sur LeKiosk.fr
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1’670’371 pages vues et 916’062 visiteurs uniques par an
NUMÉROS PARUTIONS THÈMES DÉLAIS MATÉRIEL
7 16.03.2017
Les thèmes sont communiqués sur demande.
24.02.2017
8 28.04.2017 07.04.2017
9 23.06.2017 02.06.2017
10 01.09.2017 11.08.2017
11 23.10.2017 28.09.2017
12 08.12.2017 15.11.2017
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OFFRES PUBLICITAIRES ET TARIFS FORMATS
Largeur x hauteur, en mmFranc bord + 3mm de
coupe
(N/B - Quadri)*Prix brut en CHF
(+TVA 8%)
Pleine Page 2ème de couverture 3ème de couverture 4ème de couverture 1ère face sommaire2ème face sommaire
215 x 275 215 x 275 215 x 275 215 x 275 215 x 275 215 x 275
8’490.-9’550.-8’890.-
10’185.-9’290.-9’290.-
Double pagepanoramique avant sommaire Double pagepanoramique après sommaire
430 x 275
430 x 275
16’810.-
15’280.-
Gatefolder de Une445 x 297 ouvert225 x 297 fermé
24’395.-
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EncartsEmplacements prescrits Commission
Devis sur demande+ 10%Commission d’agence de 15% non cumulable avec RACHA II
Rabais sur le chiffre d’affaires Dès CHF 14’000.- CHF 24’000.- CHF 34’000.-
3% 5% 8%
CHF 44’000.- CHF 60’000.- CHF 75’000.- et plus
10%15%20%
CONDITIONS
TARIFS
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MATÉRIEL, DONNÉES TECHNIQUES ET TRANSMISSION
MatérielLangue de parutionDélai d’envoi - clôture des annonces - remise du matériel - annulation
PDF haute définition 300 dpi + épreuves (pdf/x-1a :2001)Français3 semaines avant parutionSelon calendrier de parutionDoit intervenir au moins 3 semaines avant parution pour acceptation sans frais
Transmission du matériel via email [email protected]
La Suisse s’efforce de préserver ses condi-tions cadres jusqu’ici avantageuses, surle plan fiscal en particulier, et sa puissanced’attraction pour les sociétés à la re-cherche de localisations optimales. Ledanger ne vient cependant pas toujoursde là où on l’attend. Une entreprise quiimplante des activités ou une domicilia-tion en Suisse veut en principe établir desrelations bancaires sur place. Les procé-dures ont pris une tournure souvent pé-nible et pénalisante sur ce plan.Déstabilisées et affaiblies par les chocsréputationnels de ces dernières années,les risques liés aux affaires de blanchi-ment en particulier, les banques sont de-venues très regardantes s’agissant detoute nouvelle ouverture de compte. Lesspécialistes en localisations - fiduciaires,avocats, offices de promotion écono-
mique exogène – sont intarissables surle sujet. Dans sa quête du propre en or-dre, la Suisse serait en voie d’obtenir unepalme de la complexité des transactionsbancaires, en commençant par les ou-vertures de comptes. Surtout lorsqu’il nes’agit pas de méga-multinationales trai-tant surtout avec des groupes bancairesglobalisés. Et de clients aux provenancesmal choisies.De petites entités naissantes ou en de-venir font régulièrement l’expérience dela réticence ordinaire. Une entreprise ac-tive dans la distribution de produits phar-maceutiques vers les pays d’Europe l’Est,dont les propriétaires sont des Russesétablis à Hong Kong, a mis deux mois etdemi pour ouvrir un compte à Genève.Tout semble avoir été fait pour qu’elle sesente repoussée. Ce genre de client coûte
trop cher pour le compliance, on le lui faitcomprendre mais il ne pourra jamais par-ler directement avec les responsables dece qui apparaît très vite comme une boîtenoire imprévisible qui fait la pluie et lebeau temps.S’il ne comprend toujours pas, la mau-vaise foi peut prendre le dessus. Où sontles résidents suisses au-dessus de toutsoupçon dans le conseil d’administra-tion? Pourquoi la société n’a-t-elle pasencore de locaux, d’employés? Pourquoin’a-t-elle pas d’activités dans des Etatsproches et familiers de la Suisse? A courtd’argument, l’interlocuteur bancaire semet à mégoter sur le business plan, qu’ils’agira refaire jusqu’à épuisement. Les professionnels de la banque sontd’ailleurs les premiers à se plaindre deces postures imposées. Leur motivation
faiblit sous le poids de la conformité, dela suspicion méthodique, de la quête ob-sessionnelle de l’ultimate beneficial ow-ner, des règlements et formulaires sansfin. Ils sentent douloureusement qu’ilsn’exercent pas leur métier à vocationcommerciale. Qu’ils deviennent desagents du fisc et des petits soldats sansgloire de la guerre mondiale perdued’avance contre la criminalité, petite ouorganisée. Ils ironisent sur la nouvellevague fintech, dont ils espèrent qu’ellefera table rase des processus trop bu-reaucratiques, recréera de la confianceet favorisera les petites structures créa-trices de flux financiers et d’emploi. Enréalité, personne ne sait à ce stade oùcette psychose mènera. Ni ce que don-neront les technologies, d’ailleurs.n
La quête sans fin du propre en ordre
JA-PP/JOURNAL — CASE POSTALE 61 — CH-1026 ECHANDENS-DENGES
Jeudi 15 septembre 2016 | Numéro 164 | Créé en 1950 | Vendu en kiosques et par abonnement | Prix 4,50 CHF (TVA 2,5% incl.) - 4,50 EUR | [email protected] | Rédacteur en chef: François Schaller
Monsanto repris par BayerSignature d’unaccord ferme surl’offre publique PAGE 19
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STÉPHANE GACHET
Au moment où des questions im-portantes se posent sur l’avenirdu luxe et de l’horlogerie tellequ’elle est pratiquée en Suisse, Jo-hann Rupert, président dugroupe Richemont à Genève,pose déjà des jalons pour la pro-chaine décennie. Peut-être mêmeau-delà. Lors de l’assemblée généraled’hier, il a proclamé que l’activitépouvait compter sur des fonda-mentaux solides à long terme. Ilest pourtant indispensable d’in-tégrer ce qu’il a qualifié de «nou-velle normalité». Sémantique à prendre au sérieux.Il s’agit de la fin de plus de trois
décennies de (re)construction,l’achèvement aussi de près dedeux décennies de croissance toutà fait débridée.Johann Rupert n’a pas détaillé lesmesures concrètes à venir, mais ilest clair que l’ajustement de l’offre
ne se fera pas sans recalibrer l’ap-pareil de production. En Suisseen particulier, où les coûts seronttoujours un peu plus pesantsqu’ailleurs. L’exemple très classique de l’in-dustrie sidérurgique a été utiliséà plusieurs reprises. Il faut doncs’attendre à d’autres annoncesdans la lignée des restructurationsdéjà menées chez Cartier, Piagetet Vacheron Constantin. Richemont a aussi été le premierà revendiquer une stratégieconséquente de préservation dela distribution, avec la reprise ci-blée de stocks chez les détaillants.Le groupe, qui a aussi été pionnierdu retail intégré, accélère main-tenant la réduction de son réseau,
pas seulement chez Cartier. Jo-hann Rupert a enfin évoqué unajustement du conseil d’adminis-tration, qui comptait vingt mem-bres hier, peut-être pour la der-nière fois en AG. Le pionnier du luxe Alain-Domi-nique Perrin ne s’est pas présentéà la réélection. Des annonces sontprévues en novembre, lors de laprésentation des résultats inter-médiaires, dans le sens d’un allè-gement et d’un rajeunissement.Sur le court terme, Rupert s’estsurtout félicité de ne pas avoircédé aux appels du marché à re-distribuer la réserve de cash (plusde 4,8 milliards d’euros fin mars)dans un share buyback massif.PAGE 4
La nouvelle normalité horlogèrepassera aussi par les ateliersRICHEMONT. Le président Johann Rupert a été optimiste mais très clair hier lors de l’assemblée générale à Genève.
SMI 8162.65
-0.15% -0.18%
DOW JONES 18034.77
8140816081808200
18000180501810018150
RICHARD WATTS. Gencom se présente comme uneentité complémentaire à ce qui existe déjà. De par sonpositionnement métiers. Objectif: partager les expé-riences et méthodes en matière de négoce des produits,de finance, de règlementation et de technologies. PAGE 3
Nouvelle associationdes maisons de négoce
ÉDITORIAL ELSA FLORET
fi.com continu sur
MIQUE EN DIRECT ”
com.
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“ ’INTELLIGENCE ÉCONOM Q L
LA BANQUE REYL AU PROCÈS CAHUZAC
Du réquisitoire à la plaidoirie
PAGE 8
LE GROUPE ABB ET SA DIVISION POWER GRIDLe spin-off n’est pas une certitude
PAGE 6
INVESTIS APRÈS SA COTATION DE JUINLes premiers chiffres semestriels
PAGE 4
LA REPRISE CONJONCTURELLE EN SUISSEAussi bien réelle que bien fragile
PAGE 5
LASTMINUTE.COM AU PREMIER SEMESTREBonne relance à confirmer
PAGE 3
JURA ET GRANDE SURFACE PHOTOVOLTAÏQUE 1500 ménages approvisionnés
PAGE 6
PERSPECTIVES ALLIANZ GLOBAL INVESTORSGrand retour de la gestion active
PAGE 7
ENTRETIEN AVEC LE CEO DE PIMCO SUISSEGestion obligataire mais active
PAGE 11
Même si les fondamentaux nesont pas remis en cause.
PIOTR KACZOR
La croissance ne se dément pasdans le monde, mais les activitésde microfinance perdent un peude dynamisme. Le rendement desfonds a fléchi l’an dernier en des-sous de 3%. En euros, dollars oufrancs, tous types de véhiculesconfondus (fonds en obligations,actions ou mixtes). C’est ce quiressort du dernier rapport secto-riel établi par l’entreprise Sym-biotics à Genève. Le marché a été estimé l’an der-nier à 11,6 milliards de dollars, enprogression de plus de 11% parrapport l’exercice précédent. Sides analyses académiques tendent
à illustrer l’impact positif sur lelong terme des critères environ-nementaux, sociaux et relatifs àla gouvernance (ESG) sur la per-formance des entreprises, la crois-sance du secteur est heureuse-ment loin d’être portée par ce seulfacteur de rendement financier àcourt terme. D’autant que la classe d’actifs secaractérise aussi par une faible vo-latilité et une corrélation ténueaux marchés. Cette dixième édition de l’en-quête sur les véhicules d’investis-sements dans la microfinance(VIM) reflète aussi un déplace-ment des centres de gravité géo-graphiques - en termes de crois-
sance du moins - vers l’Asie duSud. La part de cette grande ré-gion est passée l’an dernier de 9%à 15% à la faveur d’une progres-sion vertigineuse des investisse-ments. Dans le même temps, la part del’Europe centrale et orientale adécliné de 38% à 30%, avec desvolumes en recul de 17%. Il s’agitdans ce cas d’une conséquencedes répercussions de la récessionéconomique russe dans les ré-gions limitrophes. Créant un en-vironnement de marché difficilepour des Etats qui ont été, sur leplan historique, des objets privi-légiés des investissements dans lamicrofinance.
Le rôle particulier de la Suissedans ce segment est sans surpriseconfirmé. C’est ici que la plusgrande part d’actifs sont gérésdans ce domaine. Elle est toujoursévaluée à un niveau stable de 30%du total.Cette singularité peut aussi êtrevue comme illustrant on ne peutplus clairement l’objectif pro-clamé par la place financière dejouer un rôle majeur au plan in-ternational, y compris dans l’assetmanagement. Il ne s’agit pas ce-pendant d’un résultat en quelquesorte institutionnel, mais bien depersonnalités ambitieuses et d’unesprit d’entreprise déployé auplan global. SUITE PAGE 12
Rendements faibles mais réguliersMICROFINANCE. Les performances sont descendues à moins de 3% l’an dernier sous l’effet du fléchissement obligataire.