Kever Rahel

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La principale caisse de Tsédaka d׳Israël

description

Les envoyés de Koupat Ha’ir prierons chaque jour,pour vous,pendant une année entière sur la tombe de Rahel notre mère.

Transcript of Kever Rahel

pour vous, pendant uneannée entière

La principale caisse de Tsédaka d׳IsraëlKoupat Ha׳ir

Les envoyés de Koupat Ha’ir prierons chaque jour,

sur la tombe de

Rahel notre mère

notre mère Rahel

Le 11 Hechvanauprès de

Des milliers de prières

Depuis plus de deux mille ans, d’innombrables Juifs se sont penchés sur la tombe silencieuse. Des larmes sans fin ont été versées sur le rideau de velours. Des cœurs émus par la douleur, l’espoir, la prière, et l’aspiration ont battu plus vite. Auprès de notre mère Rahel…

Le lieu de sépulture de Rahel a été fixé comme un lieu de prière par notre patriarche Yaacov.

Yossef a inauguré par ses larmes ce lieu de recueil-lement, au moment où il fut emmené en exil. Seul, vendu en esclave par ses frères, écarté de sa mai-son paternelle, il s’est rendu sur la tombe de sa mère en versant des larmes amères. Après lui, sur leur route vers l’exil en Babylonie, les enfants d’Is-raël ont versé leur cœur au même endroit. Leurs voix s’unirent pour sangloter et supplier notre mère Rahel d’intervenir pour eux au Ciel.

Notre mère Rahel ne reste pas silencieuse. Elle va pleurer, supplier et argumenter devant le Maître du monde. Et Il accepte sa prière ! « Cesse de pleu-rer et de verser des larmes » lui répond-Il. Il n’est écrit nulle part dans la Torah ou le Midrache que D. a Lui-même essuyé, pour ainsi dire, les larmes de quiconque si ce n’est de Rahel.

Et quelle promesse elle reçoit : « Ton acte aura une récompense ! Tes fils reviendront à leur frontière »

Il ne reste pas indifférent devant les pleurs de Ra-hel, devant ses paroles, devant sa pitié. La miséri-corde divine s’éveille en faveur de Rahel et de ses enfants.

S’associer aux pleurs de RahelEn sanglotant un jour devant la tombe de Rahel, Rav Haïm Schmulevits s’est écrié : « D. te demande de ne plus pleurer mais nous, tes enfants, nous te supplions de continuer ! Ne retiens pas tes larmes ! »

Et Rahel ne cesse de pleurer. Quiconque visite sa tombe ressent ce tremblement, ces pleurs, et ne peut s’empêcher de s’y associer. On ne peut s’empê-cher de pleurer sur la tombe de notre mère Rahel.

Chaque année, chaque jour, et en particulier le 11 Hechvan, jour anniversaire de sa mort, des tor-rents de larmes sont versés sur sa tombe. Rahel intervient au Ciel pour chaque Juif qui y prie.

Rav Haïm Kaniewsky a dit à de nombreuses re-prises que le meilleur endroit pour la prière est la tombe de Rahel. La Présence divine à notre époque se trouve sur la tombe de Rahel.

Rav Yaacov Edelstein a ajouté : la prière sur

la tombe de Rahel est la plus importante et

la meilleure de celles organisées par Koupat

Ha’ir.

Et quelle prière c’était !

Ces dernières années, Koupat Ha’ir a organisé

des prières sur le Kéver Rahel le 11 Hechvan et

pendant les 40 jours qui ont suivi, afin d’ajouter

la ségoula des quarante jours sur ce lieu saint.

Combien de larmes ont été versées ! Combien de

noms ont été murmurés entre ciel et terre, entre

la pierre tombale et le rideau de velours ! Com-

bien de gens ont tremblé en sachant qu’à ces mo-

ments-là, notre mère Rahel fendait les Cieux en

leur faveur !

Rav Haïm Kaniewsky a dit à de nombreuses reprises que le meilleur endroit pour la prière est la tombe de Rahel. La Pré-sence divine à notre époque se trouve sur la tombe de Rahel.

Rav Yaacov Edelstein a ajouté: la prière sur la tombe de Ra-hel est la plus importante et la meilleure de celles organisées par Koupat Ha’ir.

De Grands Rabbanim se sont joints à ces prières

en ce lieu saint et y ont ajouté leur puissance.

Le sérieux, la concentration, le souci d’autrui, la

crainte du Ciel et le désir d’apporter le soulage-

ment à leurs frères, tout cela a donné une puis-

sance immense au minyane de Koupat Ha’ir.

Koupat Ha’ir a introduit 40 jours de prières au Ké-

ver Rahel puis a ajouté la ségoula des 516 prières,

comme la valeur numérique du mot Vaet’hanane.

Le moment est venu de fixer une prière quoti-

dienne, du 11 Hechvan au 11 Hechvan, pendant une

année entière, tout près de notre mère Rahel.

Le Rabbi de Nadvorna prie pour les donateurs de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel

Rav Yaacov Edelstein prie pour les donateurs de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel

L’aspiration

Chaque jour a son lot, ses épreuves particulières.

Chaque jour, au fond de lui, chaque Juif désire poser la tête sur la pierre tombale de notre mère Rahel et y déverser son cœur. Parfois, nous ne sommes pas même conscients de cette aspi-ration. Mais tout au fond du cœur, il n’est pas d’homme qui ait cessé d’être un enfant, et il n’est pas d’enfant qui ne se languit pas de sa mère. Il n’est aucun Juif qui ne se languit pas de sa mère Rahel. Quiconque a prié sur sa tombe, quiconque y a versé des larmes, quiconque a eu le mérite de sentir les Portes célestes s’ouvrir pour lui, a du mal à quitter cet endroit. Une partie de lui-même reste sur place.

Peu importe le moment où il reviendra, il sera toujours considéré comme un homme qui « re-vient », qui rentre chez lui, qui retourne chez sa mère Rahel qui, depuis son décès, pleure pour ses enfants devant D.

Cette possibilité de se rendre chaque jour sur sa tombe n’a jamais existé. Il n’y a pas de village à proximité. Elle est ensevelie seule, au bord de

Pendant une année en-tière, jour après jour, les envoyés de Koupat Ha’ir se rendront sur la tombe sainte et mentionneront votre nom et votre re-quête. Une année entière de chapitres de Téhillim, de jeûne de la parole, de sup-plications, puis votre nom s’élève, avec sa requête particulière et la yéchoua dont vous avez besoin.

Une année entière auprèsde notre mère

la route. Aujourd’hui aussi, malgré les routes

confortables, venir chaque jour est pratique-

ment impossible.

C’est impossible pour un particulier mais beau-

coup plus envisageable pour les envoyés de Kou-

pat Ha’ir. Les membres du minyane ne peuvent

pas réaliser de prodiges : parfois, la sécurité à cet

endroit est incertaine, parfois des limitations à

l’entrée peuvent empêcher la prière. On ne peut pas

promettre…

Mais on peut vouloir, essayer, et faire tout les efforts pos-

sibles. Et il est possible que les envoyés de Koupat Ha’ir bé-

néficient de l’aide divine, comme l’expérience l’a montré.

Ce n’est pas seulement la ségoula de 40 jours d’affilée, pas seu-

lement les 516 prières (ségoula retrouvée récemment par Rav

A.L. Steinman), mais aussi une prière quotidienne pendant

une année entière, sur la tombe de notre mère Rahel !

Une année entière

Pendant une année entière, jour après jour, les envoyés de

Koupat Ha’ir se rendront sur la tombe sainte et mentionne-

ront votre nom et votre requête. Une année entière de cha-

pitres de Téhillim, de jeûne de la parole, de supplications, puis

votre nom s’élève, avec sa requête particulière et la yéchoua

dont vous avez besoin.

Combien de jours y a-t-il en une année ? Combien d’événe-

ments ? Combien d’épreuves, de dangers ? Impossible de

les compter.

Mais notre mère Rahel pleure pour ses enfants et ne

cesse de supplier le Créateur en leur faveur.

Cette année, il sera possible, bli néder (sans engage-

ment), de bénéficier des prières des envoyés de Kou-

pat Ha’ir chaque jour du 11 Hechvan au 11 Hechvan

suivant. Tout ce qui se passera cette année sera à

l’ombre des prières de notre mère Rahel. Tout ce

qu’il arrivera arrivera le jour où l’envoyé penchera la

tête sur la pierre tombale et dira votre nom et votre

requête.

Est-ce superflu pour qui que ce soit ? Quelqu’un peut-il

y renoncer ? Y a-t-il un homme parmi nous qui puisse se

débrouiller parfaitement sans la prière de Rahel pour lui et

sa famille ?

Le Rabbi de Rahmastrivka prie pour les donateurs de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel

Rav Sender Erlanger prie pour les donateurs de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel

La note envoyée par Rav P. Scheinberg à

Koupat Ha’ir

La note envoyée par le Rabbi de Rahmastrivka

à Koupat Ha’ir

La note envoyée par le Rabbi de Tsanz à

Koupat Ha’ir

La note envoyée par Rav Sender Erlanger à

Koupat Ha’ir

Les notes des

Grands Maîtres

aux envoyés

de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel

Quand Rav Steinman a écrit une note (kvit-tel) à remettre aux envoyés de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel, la concentration et l’effort qu’il y a investis étaient remar-quables. Cette note a été recopiée et ins-crite sur la liste des donateurs de Koupat Hai’r. C’est l’une des requêtes qui figurent parmi les notes envoyées par nos Grands Maîtres, qui désirent être inclus dans cette prière très particulière.

Rav C. H. Wozner, Rav A. L. Steinman, Rav P. Scheinberg, le Rabbi de Tsanz, Rav Haïm Ka-niewsky, Rabbi David Abouhatsira, Rav Yaacov Edelstein, le Rabbi de Rahmastrivka et Rav Sender Erlanger – toutes ces notes font partie des prières, des requêtes, des supplications qui monteront au Ciel en même temps que votre nom à vous !

Parfois, nos Grands Maîtres ont demandé de ne pas faire connaître leur requête personnelle. D’autres fois, ils ne s’y sont pas opposés et l’on peut lire les mots, même sur les photos : « Une bonne vie de Torah et de crainte du Ciel, et de

La note envoyée par Rav C. H. Wozner à

Koupat Ha’ir

La note envoyée par Rav H. Kaniewsky à

Koupat Ha’ir

La note envoyée par Rav A. Y. L. Steinman à

Koupat Ha’ir

La note envoyée par Rabbi D. Abouhatsira à

Koupat Ha’ir

La note envoyée par Rav M. Y. Lefkovitch

zt"l à Koupat Ha’ir

La note envoyée par Rav Y. Edelstein à

Koupat Ha’ir

La note envoyée par Rav P. Scheinberg à

Koupat Ha’ir

La note envoyée par le Rabbi de Rahmastrivka

à Koupat Ha’ir

zikouy harabim » ou « L’aide divine pour accom-plir la volonté de D. » ou simplement « L’aide divine ». Nos Grands Maîtres envoient leurs requêtes personnelles et demandent que les envoyés de Koupat Ha’ir prient pour eux sur la tombe de Rahel !

Et les envoyés prient… avec concentra-tion, avec ferveur, avec un sentiment de mission à accomplir, avec pureté, avec sanctification. Ils récitent les prières se-lon l’ordre fixé par Rav Yaacov Edelstein puis, lentement et sérieusement, prient pour chaque personne.

Certes, les gens ne pensent pas à téléphoner pour mettre les envoyés du minyane au cou-rant des yéchouot. Mais ils le remarquent eux-mêmes. L’année dernière, le couple Yissakhar ben Léa et Dina bat Sarah a demandé une bé-nédiction pour avoir des enfants. A présent, ils demandent que leur fils devienne un talmid ‘hakham… D. soit loué ! Voici deux ans, ils ont prié que Yossef ben Rahel trouve rapidement

sa conjointe et à présent, Yossef ben Rahel demande d’avoir un enfant. Les parents Mo-ché ben Yokhéved et Tsippora bat Esther ont demandé que leurs enfants trouvent un bon parti. A présent, le premier nom sur leur liste a disparu et il figure à part, pour demander un accouchement facile.

Lorsqu’on prie avec ferveur en s’identifiant aux auteurs des notes, on se rend compte de ces changements.

Les envoyés du minyane prient pour nos Grands Maîtres selon leur requête personnelle, ainsi que pour vous.

Vous ne manquerez certainement pas cette occasion d’envoyer une note sur la tombe de Rahel.

Toutes ces notes, avec vos prières, avec votre don à la tsédaka, arriveront de-vant la tombe sainte. Les prières s’élè-veront ensemble et traverseront les Portes du Ciel. Espérons la yéchoua pour ceux qui en ont besoin !

Un nom bien connu ‘Koupat Ha’ir’, voilà un nom aujourd’hui bien connu de la communauté juive internationale.

A la naissance de cette caisse, voici 15 ans exacte-ment, ce n’était pourtant qu’une petite association créée à Bnei Brak dans le but de « procurer du pain à ceux qui ont faim ». Parmi les membres qui y œuvrent bénévolement, aucun ne s’attendait à trouver une telle demande. Chaque jour, des dizaines de familles s’adressèrent timidement à la caisse pour recevoir un colis de nourriture. Très vite, les demandes dé-passèrent les frontières de Bnei Brak et de toutes les villes d’Israël, des nécessiteux se faisaient connaître. La misère était palpable, les besoins immenses.

Face au dénuement dans lequel vivent tant de foyers juifs, Koupat Ha’ir n’eut d’autre choix que de s’agran-dir. Elle entreprit de fournir une aide qui dépassait le cadre que la Caisse s’était fixée initialement.

C’est vrai, bien des caisses de solidarité existent mais Koupat Ha’ir possède une particularité qui fait d’elle une caisse privilégiée pour la plupart des donateurs: nos Grands Maîtres sont eux-mêmes les membres de l’Association Koupat Ha’ir: Le Gaon Rav C.Wozner, Le Gaon Rav A.I.L. Steinman, Le Gaon Rav N. Karelits, Le Gaon Rav H. Kanievski.

Bien qu’il soit difficile de le croire, les Grands Maîtres de notre génération sont inscrits comme les membres de l’Association Koupat Ha’ir.

Responsables de toutes ses activités, ce sont eux qui donnent les directives à suivre et qui prennent les décisions né-cessaires. Ils sont les seuls signataires des chèques.

Koupat Ha’ir est leur caisse de charité !

Soutenue et dirigée par les plus grands Rabbanim

d’Israël qui garantissent sa probité, cette caisse a su

s’attacher la confiance et l’estime des donateurs.

Quelques grandes lignesMalgré la crise qui sévit actuellement dans le

monde, la nourriture reste abondante et les pays

occidentaux continuent à prospérer. Pas partout ce-

pendant ! Dans bien des villes d’Israël, on rencontre

des familles qui vivent de façon misérable et qui

manquent de nourriture. La plupart de ces foyers

ont un revenu inférieur à 20% du revenu minimum.

Pour d’autres, la situation est plus lamentable en-

core. C’est pour ces familles démunies et privées de

tout que Koupat Ha’ir existe. La première année,

l’association s’était limitée à procurer des denrées de

première nécessité aux personnes qui se faisaient

connaitre : du lait, du pain, des médicaments… Au fil

du temps, elle a compris qu’il lui fallait accompagner

ces familles si elle voulait les faire sortir du cercle

infernal de la pauvreté. Les activités de Koupat Ha’ir

se sont progressivement élargies et diversifiées. Au

moment des fêtes, des équipes se sont formées pour

livrer des colis plus importants que ceux habituelle-

ment distribués. Des collectes de vêtements ont été

organisées, une aide psychologique pour enfants et

adultes, et un suivi dans les démarches de recherche

d’emploi ou dans la gestion du budget. Des milliers

de familles bénéficient du soutien de Koupat Ha’ir

grâce à l’appui de généreux donateurs certes, mais

aussi grâce à la détermination de ses membres qui

ont récolté sou après sou des sommes considérables.

Aujourd’hui, après 15 ans d’activité intensive.

Sa réussite est celle de tout le peuple juif.

Koupat Ha’irProjecteur sur la principale caisse de tsédaka en Israël.

2 Koupat Ha’ir présente sur tous les fronts !Sur le terrain, Koupat Ha’ir a constaté que les familles nécessiteuses n’avaient pas toutes les mêmes besoins. Et c’est pourquoi, l’association dispense son aide sous différentes formes :

L’aide financièreA ce jour, 7000 familles pauvres bénéficient de cette aide. Chaque mois, un chèque leur est versé pour leur permettre d’acheter des produits et denrées de première nécessité. Les montants de ces chèques sont fixés après une étude approfondie des dossiers par les Rabbanim et après vérification des déclara-tions des demandeurs, en fonction du revenu des familles, du nombre d’enfants à charge et de la situa-tion propre à chacun. Dans de nombreux cas, il s’agit de chargés de familles victimes d’accidents ou de maladies, venant de connaître le décès d’un des deux parents ou une hospitalisation de longue durée. La somme d’argent remise mensuellement pendant une période déterminée constitue une véritable bouffée d’oxygène pour ces personnes éprouvées et sans laquelle elles ne pourraient vivre, ce qui en-trainerait toute leur famille dans leur chute. Cette aide ne s’apparente en rien à un luxe : elle autorise simplement des familles à sortir la tête de l’eau et à des parents de nourrir leurs enfants tenaillés par la faim. Lentement mais sûrement, ces familles né-cessiteuses remontent la pente et retrouvent leur indépendance. Chaque fois que cela arrive, c’est un grand soulagement pour Koupat Ha’ir, reconnue au-jourd’hui par tous comme la plus grande caisse de tsédaka en Israël.

Les bons d’achats alimentaires

Au lieu de l’aide financière mensuelle, Koupat Ha’ir décide parfois de distribuer des bons d’achat à certaines familles. Ce choix advient lorsqu’on s’aperçoit que les parents ne sont plus en mesure de discerner leurs priorités. Régler d’abord les factures ou rembourser des dettes? Koupat Ha’ir sait qu’il faut en premier lieu nourrir les enfants. C’est la raison pour laquelle, dans ce cas, des bons d’achat de nour-riture utilisables dans les commerces proches du domicile sont remis à certaines familles, auxquelles on enseigne parallèlement à gérer leur budget. Préférables à des colis de nour-riture, ces bons accordent aux bénéficiaires une certaine indépendance et surtout leur conservent leur dignité puisqu’ils sont libres d’acheter ce que bon leur semble.

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Les colis des fêtes

Cinq fois par an, à la veille des fêtes, Koupat Ha’ir livre

plus de 25,000 colis (!) à travers tout Israël. Des ingré-

dients indispensables jusqu’aux produits nécessaires

pour la fête composent ces cartons : huile, sucre, vin,

jus de raisin, amandes, noix, bonbons et gâteaux, vais-

selle jetable pour Pessah … Chaque famille reçoit à

cette occasion 5 colis d’une valeur de 120 Euros cha-

cun. Cette opération d’envergure requiert le recours

de dizaines de bénévoles, tous motivés par leur bon

cœur et pleins d’énergie qui emballent et livrent les

cartons dans toutes les villes du pays. Chaque veille

de fête, de nombreux camions de livraison station-

nés devant l’entrepôt de Koupat Ha’ir à Ashkelon

prennent la route, chargés de la précieuse marchan-

dise. Pour préserver la dignité des familles auxquelles

les colis sont destinés, on prend soin à ce qu’aucun

nom ne soit inscrit sur les cartons. Ceux-ci sont dépo-

sés devant les domiciles. Un coup de sonnette avertit

de la présence des livreurs et ceux-ci s’éclipsent avant

que la porte ne s’ouvre. Nous pouvons imaginer la joie

de ces familles et leur soulagement en découvrant

ces colis. C’est là une bien grande récompense !

Le soutien aux familles

Chaque semaine, plusieurs dizaines de jeune filles

sont déléguées par Koupat Ha’ir pour assister des

foyers désorientés en proie à la détresse. L’accable-

ment dans lequel les parents sont plongés les prive

de leurs forces vitales, ces forces qui sont néces-

saires pour chercher un emploi mais aussi abattre

le travail journalier relatif à l’entretien de la mai-

son et à l’éducation des enfants. Quand tout va

mal, quand on a perdu son emploi, quand la mort a

fauché un membre de la famille ou que la maladie

est devenue une compagne, quand les soucis finan-

ciers deviennent quotidiens et que le tunnel parait

sans bout, la résistance des plus endurcis vient à

s’élimer. La maison est alors laissée à l’abandon et

les enfants, négligés, sont livrés à eux-mêmes. La

situation empire, les vaisselles s’entassent, le linge

sale s’accumule, les petits ont faim et le réfrigé-

rateur est désespérément vide. A ce stade, il faut

faire vite et apporter non seulement une aide

financière mais également l’assistance d’une per-

sonne capable de remettre de l’ordre et de prendre

en charge la famille. Petit à petit, la maitresse de

maison retrouve le sens des valeurs pour ne plus

le perdre

L’aide aux devoirsEncadrer les enfants des familles indigentes et les aider dans leurs devoirs scolaires fait également partie du programme d’aide aux familles établi par Koupat Ha’ir. Cette aide a été instituée après qu’on ait relevé que des enfants issus de milieux défavorisés se trouvaient au bord de l’échec scolaire. L’angoisse de leurs parents et la faim qui les tourmente en sont souvent la cause. Car comment se concentrer sur un devoir quand le ventre crie famine ? Comment écouter la leçon quand l’esprit se trouve sans cesse préoccupé par les soucis des adultes ? C’est aussi là que Koupat Ha’ir intervient : stopper la chute et redonner confiance à de malheu-reux enfants est une de ses priorités.

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L’assistance médicaleUne grande part de l’action de Koupat Ha’ir concerne l’aide médicale. Celle-ci peut-être continue ou rare : il peut s’agir de la prise en charge du coût d’une opération, des frais de transport vers l’hôpital, de l’achat des médicaments ou des soins à domicile. Dégagés des soucis d’argent, les malades se rétablissent plus rapidement.

Par ailleurs, Koupat Ha’ir loue du matériel médical onéreux pour les familles nécessiteuses qui en ont besoin : chaises roulantes, instruments orthopédiques, lunettes et appareils audi-

tifs sans lesquels les malen-tendants seraient coupés du monde extérieur.

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Peu de familles démunies pensent à dire qu’il leur manque un réfrigérateur ou une machine à laver. Pour elles, ces appareils sont superflus dans la mesure où leur seul souci est de mettre du pain sur la table. Le linge est donc lavé à la main et les courses sont faites au jour le jour. « La réparation de la machine coûte trop cher » reconnait en baissant la tête cette jeune maman de sept enfants aux mains gercées. Ailleurs, la

vieille cuisinière ne remplit plus son office et les enfants mangent froid même en hiver. Lors des visites au domicile, les envoyés de Koupat Ha’ir sont désormais chargés de vérifier l’état des appareils électroménagers et l’association pallie aux manques.

L’aide aux soins dentairesDans les familles pauvres, les soins den-taires ne constituent pas une priorité, pas même une nécessité absolue. Com-ment peut-il en être autrement quand les rentrées mensuelles de ces foyers ne permettent pas une nourriture convenable ? Dans ces familles, un mal de dents ‘se soigne’ en avalant quelques calmants. Puis le mal se transforme en rage de dents ; la situation s’aggrave, les dents s’abîment ; quelquefois, il y a infection puis opération urgente de la gencive. Le programme d’aide aux familles intègre les soins dentaires : hors de question de laisser des personnes souf-frir ou des enfants perdre leurs dents. A ce jour, des centaines d’hommes, de femmes et d’ado-lescents ont béné-ficié de ce service.

Achats d’appareils électroménagers

La collecte et la distribution de vêtements

Deux fois par mois, un container de vête-ments neufs ou quasiment neufs arrive de France. Cette action est réalisée grâce à une chaîne d’entraide franco-israélienne. Les vête-ments pour hommes, femmes et enfants sont offerts par des donateurs français. En Israël, Koupat Ha’ir ouvre des points de distribution dans plusieurs villes, notamment à Jérusa-lem, Bnei-Brak, Ashdod, Modiin Illit, Natanya et Beth-Shemesh… Des bénévoles sont char-gés de trier puis de disposer les habits de façon à ce que les « clients » prennent plaisir à faire leurs emplettes. Plusieurs tailles et colo-ris sont disponibles comme dans une vraie boutique.

Comment une « vente » se déroule-t-elle ? Dans la pratique, une secrétaire de Koupat Ha’ir re-met aux familles bénéficiant de cette aide une carte d’invitation sur laquelle figure le lieu de rendez-vous mais aussi une date et une heure personnelle, ceci afin d’éviter la cohue et l’embarras qu’une telle opération pourrait occasionner. Des « points », équivalents à une somme d’argent, sont attribués en fonction

du nombre de membres de la famille.

Essayez un peu d’imaginez le plaisir de ces personnes qui n’ont jamais l’occasion en

temps normal de faire du shopping !

Ces hommes et ces femmes privés de tout ont soudain la possibilité de

choisir, d’essayer puis de rentrer chez eux avec une tenue complète, chaussures comprises, pour cha-cun des membres de leur famille!

Plus de 15,000 familles, par an, bénéficient de cette aide qui leur met tant de baume au cœur…

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L’aide pour l’amélioration au logement.

Lors des visites au domicile des familles nécessiteuses, les délégués de Koupat Ha’ir constatent fréquemment que les appartements sont insalubres et trop petits. Les conditions sanitaires, d’hy-giène et de vie y sont déplorables. Mal-gré leur longue habitude, ses envoyés reviennent souvent bouleversés de ces visites : « Comment peut-on vivre ainsi? » demandent-ils. « Les murs s’effritent, l’humidité a tout envahi, tout est moisi, l’eau suinte des plafonds, les canalisa-tions sont bouchées, l’air est vicié et quasiment irrespirable, toute la mai-son est branlante… » L’émotion avec la-quelle ils racontent ce qu’ils ont vu peut faire comprendre à quel point la misère est grande chez certains. Pas de plans de travail dans la cuisine, pas d’armoire, aucun rangement, des salles de bains délabrées rendues inutilisables… Là encore, Koupat Ha’ir se fait un devoir de venir en aide aux familles démunies en prenant en charge les travaux de réfec-tion nécessaires qui leur permettront de vivre dans des conditions décentes.

Aide psychologique, conseils financiers et

matrimoniauxUn des problèmes fréquents est la rupture dans le foyer qu’engendre la pauvreté. Quand les parents sont affaiblis et privés de tout, la détresse et le ressentiment s’installent au sein du couple et provoquent des situations de crise qui n’au-raient jamais eu lieu dans d’autres conditions. Bien souvent, la dépression succède aux crises. Ensuite, les enfants livrés à eux-mêmes, ‘abandonnés’ par leurs parents, perdent leurs repères. Les voici alors qui errent dans les rues, deviennent agressifs ou au contraire adoptent un tempérament craintif qui les met en marge des jeunes de leur âge. La pauvreté est un fléau qui brise des familles et les exclut de la société. Après ce terrible constat, Koupat Ha’ir a compris que ces familles étaient en danger. Parallèlement aux aides financières, elle a fait appel à des professionnels (psychologues, conseillers financiers et assistantes sociales) qui sont seuls capables de résoudre des problèmes d’une telle ampleur et de faire retrouver à ces familles leur sérénité perdue.

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Les fonds aux orphelins

Quelquefois malheureusement, la maladie ou un accident enlève un père ou une mère à leurs jeunes enfants. A la douleur et au malaise psy-chologique s’ajoute bien souvent la détresse fi-nancière. La famille s’appauvrit, les dettes s’accu-mulent et le conjoint ne parvient pas à remonter la pente.

Il faut aider ces malheureux. C’est pourquoi Koupat Ha’ir a décidé de créer un fonds qui permettra en outre aux veuves de marier leurs enfants orphelins.

Grace à ce fond, des familles quasiment détruites ont pu sortir du tunnel, revoir la lumière et se rétablir.

Les fonds exceptionnels pour les familles

Il s’agit d’un fond destiné aux familles dont les problèmes arrivent subitement et qui ne sauraient être résolus par l’aide financière mensuelle. Les archives de Koupat Ha’ir font état de nombreux exemples. Ainsi le cas de cette famille dont la mère a été prise de pulsions suicidaires suite à une grave dépression et qui a dû faire de longs séjours en hôpital psychiatrique. Le père incapable d’assumer à la fois les charges du ménage, l’éducation de ses enfants, son emploi et les allers et venues à l’hôpital, s’est retrouvé au chômage. Les enfants avaient besoin d’une famille d’accueil mais personne ne s’est proposé pour aider ces malheureux. La somme d’argent mensuelle indispensable pour satisfaire aux besoins vitaux de la famille dépassait largement

le montant-plafond que Koupat Ha’ir s’autorise à verser. Dans un cas comme celui-ci, la seule solution possible est de collecter un fond d’assistance excep-

tionnelle pour réunir la somme nécessaire qui permettra à long terme de remettre la famille sur les rails.

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Les bénéficiaires

Si l’adresse de Koupat Ha’ir est connue de tous, nul n’est autorisé à connaitre l’identité des familles que l’association prend en charge. Cette mesure a pour but de préserver la dignité des personnes pauvres et que, du côté du bienfaiteur, la mitsva de tsédaka soit accomplie de façon désintéressée (« Lishmah »).

Le secret est donc bien gardé. Toutefois, si nous ne pouvons dévoiler les noms des personnes se-courues, nous pouvons au moins expliquer dans ces colonnes comment elles sont choisies.

Tout d’abord, il faut savoir qu’aucune catégorie de popu-lation n’est privilégiée : quel que soit leur bord politique, leur origine, leur lieu d’habitation, tous nos frères juifs is-raéliens dans le besoin bénéficient de la même attention et des mêmes aides. Dans tous les cas, une enquête est minutieu-sement menée au préalable pour éviter toute dépense inconsi-dérée. La procédure d’acceptation des dossiers se déroule en plu-sieurs étapes:

1. L’enregistrement de la demande

2. Vérification des déclarations

3. La visite au domicile

Une fois ces trois étapes réalisées, les dossiers sont déposés dans la pièce où siègent les administrateurs de Koupat Ha’ir, lesquels prennent possession de toutes les données. Ce sont eux qui jugent de la situation et établissent, après une étude minutieuse des dossiers, quelle est l’aide qui doit être ap-portée, si elle doit être exceptionnelle ou fixe.

Deux fois par mois, les Rabbanim se réunissent et étu-dient cas par cas les dossiers qui leur sont soumis. Rien ne peut être décidé sans leur autorisation ; aucun sou provenant des dons versés ne peut ne peut être dis-tribué sans leur aval. Ces Rabbanim sont respectés de tous pour leur sagesse, leur niveau d’érudition et leur immense piété.

Une fois l’autorisation accordée par le Rabba-nim, le nom et les coordonnées de la famille bénéficiaire sont enregistrés. Ensuite, le secrétariat de Koupat Ha’ir est chargé d’en-voyer chaque mois les enveloppes conte-nant les chèques, les bons alimentaires et les colis.

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קוויטל

בס״ד

A l’int

ention

du minyane des envoyés de Koupat Ha’ir sur la tombe de Rahel

Veuillez transmettre les noms, pour lesquels vous désirez que les Tsadikim prient, avant le Lundi 7 Novembre à 21h au:

Les Amis de Koupat Ha’ir, Autorisation 61268, 95209 SARCELLES CEDEX

Pour tout don, un reçu cerfa sera délivré.

Il permet de diminuer des impôts sur le revenu jusqu’à 66% du don.www.koupathair.com

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éléments de basebloc-marque séparé

Le bloc-marque séparé est composé d’une partie texte fixe (N° Vert) fournie au format AI et EPS

Illustrator et d’un numéro de 10 chiffres composé dans n’importe quelle autre typographie. Il est alors

possible d’utiliser le caractère du texte dans lequel le bloc-marque est inséré.

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éléments de basetypographie

La typographie utilisée est l’Arial disponible sur une grande majorité d’ordinateurs.

C’est une police libre de droit.

Le Numéro Vert peut se présenter de quatre façons différentes pour créer des numéros facilement

mémorisables

Attention ! Ces numéros sont donnés à titre d’exemple.

composition des numéros dans le cartouche :

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éléments de basefax (bloc séparé)

CHARTE N°ACCEUIL 19/12/08 11:03 Page 6

0-800-525-523

Nom:_______________________________Prénom:____________________________

Adresse:_________________________________________________________________

Tel:____________________________________Email:____________________________

Je donne _______ euros à distribuer aux familles démunies, aux malades et aux défavorisés.

Veuillez mentionner mon nom devant la tombe de notre mère Rahel et demander qu’elle supplie le Créateur pour moi:

Prénom et prénom de la mère:___________________________________________

Requête:__________________________________________________________________

Prénom et prénom de la mère:___________________________________________

Requête:__________________________________________________________________

Le jour du Yahrtseit 11 Hechvan par un minyane d’érudits

Pendant 40 jours consécutifs par un minyane d’érudits(pour tous dons de plus de 104 ¤)

Chaque jour pendant toute l’année, du 11 Hechvan au 11 Hechvan(pour les donateurs ayant un virement mensuel)