Juillet - Août 2007

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* Où aller à Toronto * Qu'est devenu le dialogue en face à face ? * Un bon centre d'affaires dans un hôtel représente un atout pour un planificateur * La touche créole de Saint-Martin rehaussera vos réunions et congrès * Retenez vos objecifs avant de vous lancer * La villégiature, idéale pour les réunions

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Trois heures pour dîner… au MexiqueHabitués au déjeuner d’affaires d’une heure, il nous semble

impossible qu’il faille trois heures pour partager un repas etimpressionner des associés en affaires ou en politique. AuMexique, spécialement dans les centres d’affaires importants deMexico et de Monterrey, c’est une coutume ancienne importéed’Espagne où le déjeuner, repas principal de la journée, estsuivi en général d’une sieste paisible. Il n’est pas rare de voirdes gens d’affaires se livrer à un dîner marathon de tequila suivie de trois plats arrosés d’au moins une bonne bouteille de vin.

La transition est difficile, surtout pour les Américains et lesCanadiens. Rosalind Wilson, directrice générale de CanadianPacific Railway Ltd. au Mexique, notait dernièrement à quelpoint la journée d’affaires là-bas peut « traîner en longueur.Pas facile de s’habituer. »

Passez au vert : louez une hybrideVous voulez donner un coup de pouce à la planète, comme

planificateur ? Vous pourrez bientôt faire des choix plus vertsquand vous louerez une voiture puisque Hertz Global HoldingsInc. annonçait récemment qu’elle va dépenser 68 millions de dol-lars US pour ajouter 3 400 hybrides Toyota Prius à son parc auto-mobile d’ici 2008. Et Avis veut offrir 1 000 Prius à partir de juillet.

Enterprise Rent-A-Car exploite un parc de plus de 3 000véhicules hybrides, en plus de 41 000 voitures et

camionnettes polycarburant qui fonctionnent avec un carbu-rant à base d’éthanol.

Selon Hertz, on pourra bientôt louer ses hybrides dans 50aéroports américains, dont 100 véhicules réservés à son parc deNew York. Cette ville est un endroit idéal pour les hybrides,avec une circulation qui leur permet de rouler surtout avec lemoteur électrique. Selon le maire de New York, la disponibilitédes voitures hybrides colle bien avec la volonté de la ville deréduire ses émissions de 30 % d’ici 2030.

iPhone : coup divin ou pub d’enfer ?Les pubs de Macintosh pour ses ordinateurs et son iPhone

sont partout ces jours-ci – difficile de vivre en Amérique duNord sans voir ces produits novateurs envahir la télé, les jour-naux et les panneaux.

Les critiques, et il y en quelques-unes (une chroniquerécente dans le Globe and Mail était intitulée I’m iFedup),soulignent plusieurs choses qui font des iPhones et autresproduits Apple des produits bien moins parfaits que ne lelaisse croire une publicité habile. Tout d’abord, beaucoup signalent la durée de vie très limitée des batteries des iPodset beaucoup craignent que les nouveaux iPhones aient lemême problème. Deuxièmement, certains pointent du doigt leprix élevé des produits Mac, le iPhone en particulier, et deconnexion au réseau AT&T pour utiliser le iPhone. Malgré tout,les fanas de Mac semblent prêts à oublier toute transgression dela part d’Apple et à acheter ses produits quand même.

> Pour votre info

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Des réunions, toujoursdes réunions

Devinez quel est le thème du Planificateur cemois-ci ?

La Harvard Business School Press publie un petitlivre génial sur la conduite des réunions. Il s’ouvre sur la question : « Pourquoi une réunion ? ». Il se poursuit en disant qu’avant toute autrechose, il faut savoir ce que l’on en attend. On décide ensuite qui peutaider à son animation (compagnie AV, DMC, etc.). Une fois que l’on saitquoi et qui, on passe à quand et où. Ces cinq questions – quoi, où,quand, qui et pourquoi – sont à la base de la planification de toute réu-nion. Puis, on ajoute ses connaissances et son savoir-faire et c’est parti !Ce mois-ci, Le Planificateur se penche sur les réunions en se concentrantsur les connaissances que vous apportent les cours, les conférences(comme les prochaines conférences MPI et ISES à Montréal) et les livres etqui peuvent vous aider à vous améliorer. Les articles que nous avonspréparés vous aideront à comprendre comment on peut planifier plusefficacement.

Notre objectif déclaré est de vous fournir de l’information que vouspouvez utiliser pour vous rendre la vie plus facile et plus productive.Dans ce but, nous aimerions que tous les planificateurs chevronnés nousdonnent des astuces pour tenir des réunions réussies. Ce doit être desastuces que vous avez essayées et peaufinées et qui peuvent servir àd’autres. Tous les participants auront des chances de gagner des livressuperbes (parfois de nos propres contributeurs !). Envoyez-nous, partélécopieur ou courriel, une astuce (ou plus) sur la facon des planif-icateurs d’améliorer la qualité de leurs réunions et événements. Bien sûr,continuez d’envoyer vos autres commentaires et suggestions.

Bien que vos planifications d’automne pointent déjà le bout du nez,prenez le temps de profiter des jours ensoleillés qu’il reste.

Leo Gervais

> Mot du rédacteur Dans ce numéro8>

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Face à face Il est incontournable : nous utilisons leclavier autant que le stylo. La chroniqueuseStacey Hanke donne des conseils sur lafaçon de maîtriser « l’outil clé » du mondedes affaires moderne.

Centres d’affairesSeuls 25 % des gens d’affaires apportentleur ordinateur portable en voyage. Un boncentre d’affaires peut sauver la vie du plani-ficateur obligé de travailler loin du bureau.Sergio Laurant nous éclaire.

Ici et làNotre collaboratrice Nathalie Caron voustient chaque mois au courant des nouvelleslocales de notre industrie. Voyez ce qu’ellevous annonce d’ici la fin de l’été.

Saint-Martin mettra dupiment à vos réunionsLes voyages en avion se compliquent etbeaucoup de destinations suscitent lamoue « déjà vu, déjà fait ». Pourquoi nepas inspecter une île près de chez nousdont les secrets vous surprendront ?

Apprendre en continuUne bonne éducation est essentielle ausuccès aujourd’hui. Mais fait-elle partie desobjectifs de carrière ? Sharon Worsley a debons arguments pour la poursuite desétudes à tout âge.

Centres de villégiatureBeaucoup de réunions d’affaires ont lieuhors saison dans des centres de villégia-ture. Notre rédactrice adjointe Jyl AshtonCunningham explique comment vous pou-vez maximiser les capacités de ces centres.

Nouvelles hôtelièresTenez-vous au courant des tendances del’industrie hôtelière avec le condensé denouvelles que Le Planificateur réunit pourvous chaque mois.

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LEPLANIFICATEURRÉDACTEUR Leo Gervais [email protected]ÉDACTRICE ADJOINTE Camille Lay [email protected]ÉDACTRICE ADJOINTE Jyl Ashton Cunningham [email protected] Matt RiopelADMINISTRATION Tania Joanis, Patricia LemusCONTRIBUTEURS Mike Auctor, Vanessa Baudry, Anne Biarritz,

Nathalie Caron, Savika Fowsar, Stacey Hanke, Sergio Laurant, Sharon Worsley

2105, de la Montagne, bureau 100Montréal, Québec H3G 1Z8

Téléphone: (514) 849-6841 poste 331 Télécopieur: (514) 284-2282Vos commentaires sont appréciés : [email protected]

Le Planificateur est diffusé mensuellement aux professionelscanadiens de l’industrie du tourisme et des affaires.

Le Planificateur utilise du papier recyclé.Poste-publication No. 40934013

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Toronto offre de nombreuses options aux planificateurs

HôtelsAvec des centaines d’hôtels à disposition, le plus difficile

est peut-être de décider où on veut descendre. Pour la com-modité et un accès rapide et facile au lac Ontario, à VIA Railet aux routes principales, choisissez le sud de la ville.L’InterContinental, rue Front, a 586 chambres, y compris letrès chic Club InterContinental, parfait pour le séjour de stimulation dans un environnement de style boutique. L’hôtelest relié au Palais des congrès du Toronto métropolitain (leplus grand espace de conférences et de salons professionnelsen Ontario), alors réservez longtemps d’avance pour lesgrands groupes. Le Fairmont Royal York est toujours aussiélégant, comme Le Royal Meridien King Edward, deux despropriétés hôtelières originales de la ville avec leur architec-ture magnifique et leur ambiance « retour dans le temps ».

Un peu plus au nord, pour un séjour plus famille au cœurdu quartier des magasins et des musées, le Delta Chelsea estidéal, avec un des meilleurs centres d’activités aquatiquesintérieurs de la ville. Le Delta Meadowvale, bien qu’un peu àl’ouest de la ville à Mississauga, mérite une mention : c’est lemélange parfait d’installations de villégiature et de conférences.

En plus, toutes les grandes chaînes hôtelières sont présentesau centre-ville de Toronto : Hilton, Marriott, Accor (Novotel) etSheraton, chacune avec son sens de la perfection, du service etson propre charme. Allez vers des hôtels du périmètre nordpour un accès plus rapide aux clubs de golf et à la campagne.Le Hilton Suites à Markham est populaire pour les conférences,avec son atmosphère tropicale en espace ouvert et un très bonservice. Le Sheraton Parkway, bien situé près de la principaleartère d’arrivée à Toronto, a d’excellentes espaces de réunionset des chambres élégamment rénovées.

Les planificateurs, on les comprend, aiment bien resterfidèles au nom de l’hôtel qui leur a donné un excellent servicedans d’autres villes, mais à Toronto ça vaut toujours le coup dene pas s’engager, surtout parce la concurrence est si grande quechaque chaîne peut offrir des avantages préférentiels à quichoisit sa propriété. Les chambres d’hôtels ont beau être sou-vent plus chères qu’ailleurs au Canada, n’hésitez pas à négoci-er, surtout en basse saison. Vérifiez auprès de Tourism Torontola liste des congrès à venir (habituellement disponible environtrois ans d’avance), pour vous assurer que le manque de cham-bres libres ne viendra pas bousculer vos plans.

Quand le choix vous dépasse ou que vous manquez detemps, le plus logique est de vous adresser à une compagniecomme Conference Direct, qui négociera des contrats d’hôtels, et c’est gratuit pour le planificateur. Pour savoir com-ment utiliser ce service précieux, envoyez un courriel à JulieEpplett à : [email protected].

Lieux à visiterLa Tour CN reste la grande attraction touristique de

Toronto et un dîner ou un souper dans le restaurant tournant,un point saillant de tout séjour de stimulation. Assurez-vousde réserver des tables près des fenêtres. Pour un serviceexceptionnel, un usage exclusif les fins de semaines (surarrangement préalable) et une cuisine remarquable, Canoecompte à juste titre parmi les meilleurs restaurants de la ville.Consultez dans nos archives d’articles déjà parus d’autres sitesavec vue : www.leplanificateur.ca.

Toronto est célèbre pour sa cuisine cosmopolite et GoûtezToronto (Taste Toronto) a été le thème de base de milliersd’événements où des mets indiens, chinois, grecs, français,italiens et portugais se sont côtoyés dans des buffets ou desstations gourmandes. La myriade de cuisines internationales adonné naissance à la cuisine fusion qui a rendu Torontocélèbre, utilisant des mariages inusités de mets et de vins pourcréer des expériences gustatives délectables et la sensationgastronomique suprême. Essayez Susur ou le restaurant parte-naire, Lee, rue King, pour une stimulation de groupe très hautde gamme. Offrez aux invités le livre éponyme du chef SusurLee, complément parfait d’une soirée fabuleuse. Événementavec traiteur ? Pensez aux experts de la cuisine fusion10Tations (www.10tations.com), les traiteurs préférés debeaucoup d’endroits à Toronto, ou, à l’ouest de la ville,Trident Catering (www.tridentcatering.ca), une étoile montante à Mississauga/Oakville.

La vie nocturneAvec de nouveaux clubs qui naissent presque tous les

jours, la vie nocturne de Toronto est peut-être la meilleure auCanada. Pour un événement privé, plusieurs clubs serontheureux d’accueillir des groupes un soir de semaine tran-quille. Le This Is London, qui allie la vie nocturne contempo-raine et le charme suranné d’un club britannique réservé auxhommes, est possiblement le club de nuit le plus éclectiquede la ville. Meubles anciens, miroirs dorés et une salle de toi-lette pour dames à en mourir font de ce club à deux étagesl’endroit idéal pour les soupers dansants.

Contactez Nicole Murphy, femme charmante et débordantede vie, pour le This Is London ([email protected]), et pourle Koolhaus, une toile blanche extraordinaire, facilement ren-due stupéfiante par les meubles et les accessoires deContemporary Furniture Rentals ([email protected]). PeterSomers, le propriétaire, est d’un commerce agréable et sesconcepts et installations de design réussissent et excellentdans à peu près tous les hauts lieux de la ville, y compris leLiberty Grand et le Distillery District.

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Retour au B.A.-ba desrelations personnelles

Depuis plusieurs semaines, denombreux cadres supérieurs me

posent des questions sur les pratiques d’excellence dansl’envoi de courriels. Le courriel s’est substitué à la créa-tion et à l’entretien de relations interpersonnelles. Noussommes devenus paresseux. Combien d’entre nous ontenvoyé un courriel à quelqu’un dans le bureau d’à côtéou à deux pas de là au cours de la dernière heure ?

CEO Magazine faisait récemment état d’une enquêteselon laquelle 60 % des employeurs considèrent commepassables ou mauvaises les compétences en anglais debase des diplômés du secondaire. Ce mauvais usage del’anglais parsème les courriels – un mode de communica-tion courant au bureau.

« Le courrier électronique continue d’être l’applicationd’enfer d’Internet », dit le Pew Internet & American LifeProject, à Washington, D.C. « Plus de gens utilisent lecourriel que toute autre activité en ligne ».

Quand vous optez pour le courriel comme mode decommunication, le succès du message dépend des élé-ments suivants :• Le facteur temps ne joue pas, le message n’est pasurgent• Le message est simple et les enjeux limités• Vous avez une relation forte avec le destinataire et del’influence sur lui • Le message n’a pas pour but de négocier • Il n’y a pas de conflit entre vous et le destinataire.

Avant de cliquer sur « envoyer », prenezconscience : • De l’objet et l’objectif de votre message • De ce que vous voulez que le destinataire fasse et leniveau d’influence de votre message • Des interprétations que le destinataire pourra faire devotre style d’écriture• Des résultats de votre message selon la personne qui le recevra.

Pour décider si le courriel est le MEILLEUR moyen decommuniquer votre message et d’influencer le desti-nataire, comparez-en les avantages et les inconvénients.

Avantages• C’est un moyen rapide de communiquer un message etparfois de recevoir une réponse. • Le courriel est universel.• Il est bon marché et facile.

Inconvénients • Parce qu’il est impersonnel et n’exprime aucune émo-tion, le courriel peut être mal interprété. Vous ne pouvezpas mettre l’accent sur les mots ou souligner leur impor-tance, ni adoucir le message par votre voix ou l’expres-sion de votre visage. • Avec les bonnes connaissances techniques, n’importequi peut accéder à votre compte. • Parce que le courriel est rapide et facile, nous sommestrop décontractés quand nous envoyons un message. • Nous sommes devenus impersonnels et nous nouscachons derrière le courriel, qui commence à prendre lecontrôle de notre vie. Soudain, la majorité de nos inter-actions quotidiennes se fait par courriel et nous compro-mettons les relations que nous pourrions améliorer dansun échange en face à face ou par téléphone.

Qu’est devenu le dialogue en face à face ?DE STACEY HANKE

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Écrire un courriel avec retenue10 pratiques d’excellence 1. Saisissez l’adresse du destinataire en dernier.

Vous ne voulez pas cliquer acci-dentellement sur « envoyer » à lamoitié du message ou avant del’avoir relu.

2. Dans le doute ? N’envoyez pas lecourriel.

Prenez le temps d’avoir unéchange en face à face ou par télé-phone pour créer ou entretenir unerelation. Souvenez-vous, le courrielparti est parti à jamais.

3. Une pièce à joindre ? Faites-le enpremier.

Combien de fois avez-vous reçu unmessage sans la pièce jointe quiaurait dû l’accompagner ? Messagesuivi d’un autre deux minutes plustard disant : « Oups ! La voici. ».Évitez de nuire à votre crédibilité.

4. Attirez l’attention du destinataire.La ligne « Objet » peut faire passer votre

message avant bien d’autres. Brièveté,précision et pertinence s’imposent.

5. À qui écrivez-vous ? Évitez de mettre tout le bureau en

Cc. Structurez le message selon lesbesoins du destinataire.

6. Ne négociez et n’abordez jamaisd’information confidentielle dansun courriel.

Si un courriel suscite une questionqui change le ton du message etexige une réponse plus critique ouplus urgente, n’envoyez pas un deuxième courriel. Le dialogue exigeune attention que seule une conver-sation face à face permet.

7. Soyez précis et pertinent. Le courriel est un médium de com-

munication rapide. Si votre messagerappelle une dissertation, il a debonnes chances de ne pas être lu.Abordez un seul sujet et limitez-vousà trois points clés tout au plus.

8. Utilisez toujours le vérificateurd’orthographe.

Un courriel avec des fautesd’orthographes et sans virgules estdifficile à lire. Cela peut mêmechanger le sens du texte.

9. Soyez proactif.Pour augmenter les chances

d’avoir une réponse, posez des ques-tions ouvertes et fixez une échéances’il y a des mesures à prendre. C’estune des meilleures façons de réduirele nombre de courriels reçus.

10. Répondez à toutes les questions.

Si vous ne répondez pas à toutesles questions du premier courriel,vous en recevrez un autre sur lesquestions laissées sans réponse, cequi a de bonnes chances d’engendrerfrustration et perte de temps.

Internet est un moyen de commu-nication rapide. Ce n’est pas une rai-son pour envoyer un message sansen vérifier l’orthographe, la gram-maire et la clarté.

Pour en savoir plus sur l’étiquetteen matière de courriel, veuillez mecontacter et je vous enverrai plus derenseignements.

• • •

Stacey Hanke est consultante de direction,auteure, formatrice et conférencière à 1stImpression Consulting, Inc. à Chicago(Illinois). On peut la joindre à[email protected] au 773-209-5970.

Saviez vous...?Presque la moitié de la popu-

lation du monde, 2,8 milliardsde personnes, vit avec moins de$2 par jour.

Sur ces personnes, 1,2 milliards vit avec moins de $1 par jour.

Sur le Web: www.leplanificateur.ca

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Un bon centre d’affaires dans un hôtelreprésente un atout pour un planificateurDE SERGIO LAURANT

Les planificateurs de réunions et ceux qui y participentfont partie d’un segment de voyageurs de plus en plus

grand qui exigent des services Internet fiables de la partdes hôtels. Selon une enquête du comité E-Business del’American Hotel & Lodging Association (AH&LA) de 2005,les voyageurs considèrent le service Internet haute vitesse(SIHV) comme la commodité technologique la plus impor-tante. L’enquête a porté sur 5 000 voyageurs américains,dont 84 % avaient séjourné à l’hôtel au cours des 12 moisprécédents.

Une autre tendance tech-nologique est populaire – même si les médias en ontmoins parlé : la demandecroissante des voyageurs,surtout ceux qui assistent àune conférence, des servicesd’un centre d’affaires et desordinateurs connectés àInternet. L’une des raisonsrévelées par une enquête dela Travel IndustryAssociation & Synovate l’andernier est que moins de 25% des voyageurs d’agré-ments américains apportentun ordinateur portable en voyage.

Même les voyageurs d’affaires y pensent à deux foisaujourd’hui avant d’apporter le leur lor de déplacements.Un des facteurs qui dissuadent certains nomades d’ap-porter leur ordinateur est le contrôle antiterroriste de plusen plus rigoureux et souvent dur des aéroports. À cela s’a-joute la hausse importante des vols d’ordinateurs porta-bles depuis quelques années. Selon Safeware Insurance,le plus grand assureur de portables aux É.-U., plus de 600000 vols de portables ont eu lieu en 2004, pour un totalestimé à 720 millions de dollars US de pertes matérielleset à 5,4 milliards de dollars de vol d’informations confidentielles.

C’est sans compter le fait que de nombreuses entreprises offrent aux employés en déplacement l’optiond’utiliser n’importe quel ordinateur sécurisé connecté àInternet pour vérifier leur messagerie électronique partoutdans le monde. Ainsi, la plupart des voyageurs d’affairesont seulement besoin d’accéder à un ordinateur connecté

à Internet, trois ou quatre fois par jour, pour vérifier leurscourriels et répondre aux demandes urgentes. Comme ilne leur faut en général pas plus de 15 minutes chaque fois,la majorité des voyageurs a bien meilleur temps, au lieu detransporter un ordinateur portable qui vaut cher et con-tient des données inestimables, d’utiliser un ordinateurfiable dans un centre d’affaires avec SIHV.

Il y a des années que plusieurs hôteliers ont compris lanécessité d’offrir aux participants d’une conférence cettenécessité. Dernièrement, plusieurs hôtels ont fait d’un cen-tre d’affaires une commodité courante. Un exemple : lachaîne Hilton, qui se targue d’être « l’adresse d’affaires en

Amérique ». En 2005, Hiltona envoyé à toutes ses pro-priétés une note de serviceavisant tous ses hôtels inter-nationaux d’inclure un cen-tre d’affaires sur place dansleurs services courants.Beaucoup d’autres chaîneset hôtels indépendants enont fait ou en font autant.Beaucoup ont compris qu’unnombre considérable deréservations de voyageursd’affaires ou d’agrément – estimé à quelque 20 % –dépendent du fait que l’hôtel

ait un centre d’affaires avec ordinateurs ou pas. Cependant, un autre facteur mérite que l’on s’y attarde :

de nombreux clients d’hôtels ont l’impression que leursservices sont souvent offerts et promus comme un simpleappât pour attirer la clientèle. Certains font remarquer qu’ilest facile de savoir si l’hôtel a un centre d’affaires en con-sultant son site Web mais que les détails sur les services ducentre se limitent souvent à un énoncé très bref du style « Services d’un centre d’affaires disponibles ».

Bien souvent, on ne donne aucune précision sur lesservices offerts. Cette pratique répandue de donner peude détails sur les centres d’affaires des hôtels éveille laméfiance des voyageurs qui soupçonnent de les passervolontairement sous silence dans une tentative d’aiguiserl’appétit des clients pour les laisser ensuite sur leur faim.

Beaucoup de voyageurs axés sur la technologie parta-gent donc l’opinion de James A. Martin, collaborateur à larédaction de la chronique Mobile Computing du magazinePC World selon lequel « Le problème est que le site Web

Dernièrement,plusieurs hôtels ont faitd’un centre d’affaires

une commoditécourante.

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Des centres d’affaires dignes de ce nomde l’hôtel vous dira souvent si vous avez un accès Internetdans la chambre mais restera flou sur le centre d’affairesmême de l’hôtel ».

Comme planificateur de réunions, vous savez que si vous devez attirer le plus grand nombre possible de participants à votre réunion, vous ne pouvez pas les laisserconfus. Cela comprend certainement vos clients qui appor-tent leur ordinateur portable et qui ont besoin d’un accèsInternet à larges bandes de fréquence. Mais, pensez aussiaux besoins de ceux qui laissent volontairement leur ordi-nateur au bureau, ce qui plus souvent constitue la majoritéde vos clients (tout dépend bien sûr du type de groupeavec qui vous faites affaire).

C’est aussi pour cette raison qu’il est important, chaquefois que vous pouvez influencer le choix de l’hôtel ou ducentre de conférences, de vous renseigner sur les servicesqu’offre le centre d’affaires.

Si bon nombre d’hôtels se vantent d’en offrir les services,ce qui vous intéresse, c’est la liste des services spécifiquesqu’il offre. Selon James Martin, ça se gâte quand on parledétails.

« Les hôtels n’ont pas tous le même équipement. J’en aivus avec un seul PC antédiluvien et une imprimante àl’avenant. D’autres ressemblent à un petit centre de repro-graphie ».

Parce qu’il existe de tels écarts entre les hôtels enmatière d’équipement du centre d’affaires, il y a des ques-tions spécifiques à poser et des réponses à obtenir quandvous faites l’inspection du site.

À quel point le centre d’affaires est-il privé ? Beaucoupd’hôtels n’ont pas de salle réservée au centre d’affaires. Ilsbaptisent « centre d’affaires » un PC et une imprimantedans le hall ou une autre zone publique. Ce genre d’endroit peut être plus bruyant et il peut être plus difficilede s’y concentrer que dans un centre d’affaires plus confiné.De plus, s’il y a plusieurs ordinateurs, comment l’intimité

de chaque utilisateur est-elle assurée ? Le centre d’affairesest-il accessible à tous les clients ou réservé aux clientsimportants inscrits au niveau club ou concierge ?

Quelles sont les heures d’ouverture ? Le centre est-il accessible seulement pendant les heures de bureauou 24 heures sur 24, sept jours par semaine ? À défaut d’être ouvert 24 heures sur 24, est-il accessibleaprès les heures d’affaires ?

Quels en sont les frais ? Beaucoup de motels ne fac-turent rien mais certains d’hôtels axés sur la clientèle d’af-faires facturent l’accès au centre d’affaires. Quels sont lesfrais liés à l’utilisation du centre ? Peut-on obtenir une listede prix par courriel ou télécopieur ? Quelles sont lesmodalités de paiement ?

L’hôtel met-il un personnel de soutien à la dispositiondes clients ? Le centre d’affaires est-il surveillé ou laissésans surveillance ? Offre-t-il une assistance technique ?

Outre l’expérience de la conférence elle-même, l’autregrand facteur qui peut contribuer considérablement ausuccès ou à l’échec d’un événement est la qualité del’hébergement. En vous occupant des divers besoins de lamajorité de vos clients, y compris leurs besoins tech-nologiques élémentaires, vous aurez plus de chances que vosévénements futurs soient bien cotés par la majorité de vosclients, y compris, par les mordus de technologie le plus exigents.

• • •

Sergio Laurant est un consultant en rentabilité des centres d’affaires

d’hôtel. Il fournit des services au secteur de l’hébergement depuis plus

de 14 ans. Depuis sept ans, Sergio conseille avec succès des propriétés

indépendantes et des propriétés de marque, y compris des chefs de file

comme Hilton, Marriott et Sandals Resorts, qu’il aide à améliorer les

services de leurs centres d’affaires qu’ils offrent à plus de 250 000

clients. On peut le joindre à : [email protected] ou à

www.suitekiosks.com.

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Ces deux endroits offrent un espace vierge incroyable(même si le Liberty Grand peut aussi être loué tout équipé demobilier de banquet et de réunion) pour à peu près n’importequelle réception ou réunion.

Pour un lieu divertissant très populaire parmi les planifica-teurs torontois mais un bijou méconnu des gens de l’extérieur,l’Academy of Spherical Arts allie un service amical qui friseparfois le nonchalant, une bonne cuisine et trois espacesd’événements remarquables avec tables de billard à l’ancienne,fabriquées sur place dans l’ancienne compagnie manufac-turière Brunswick.

L’endroit dément complètement l’extérieur austère de l’en-trepôt dans un quartier torontois miteux, qui sera bientôtrénové, appelé Liberty Village. Des célébrités du snookercomme Cliff Thorburn y viennent régulièrement et on peut lesembaucher pour faire des démonstrations et enseigner auxinvités quelques astuces du métier.

Site de réunion hors-hôtelsSi les voyages de stimulation et les événements spéciaux

jouent un rôle important dans le marché touristique deToronto, réunions et congrès de toutes sortes et de toutestailles sont aussi un élément fondamental de l’utilisation deslieux. Puisque beaucoup d’hôtels préfèrent à juste titre vendredes chambres en même temps que leur espace d’événement,le marché torontois a vu une hausse des espaces construitssur mesure ou aisément adaptables sans chambres à cacher,destinés à la clientèle locale ou aux réunions d’une journée.Certains sont tout équipés et au dernier cri, comme la magnifique nouvelle installation Ivey UWO au cœur duquartier des affaires du centre-ville.

Pour en savoir sur la location d’un des deux amphithéâtres(max. 65 personnes chacun), contactez Janice Matthews à[email protected]. Pour un endroit superbe avec vue, leSt Andrews Club and Conference Centre offre le nec plus ultradu service, des salles de réunion de taille moyenne et une cui-sine intéressante : www.StAndrewsClub.ca. Près du lac, leRostie Group au 20, rue Bay, offre de l’espace, un personneltechnique et des installations de formation : www.ros-tiegroup.com. Le CBC Centre, le Humminghird Centre, le RoyThomson Hall et la Canadian Opera Company offrent tous deslieux de réunion avec une option musique ou divertissement.Le Graydon Hall Manor, les Estates of Sunnybrook se prêtentaussi bien aux réunions qu’aux mariages.

Si le Centre des congrès du Toronto métropolitain est leplus près du cœur du centre-ville, la ville compte beaucoupd’autres espaces de congrès et de salons professionnels. Justeà l’ouest du centre-ville, à Exhibition Place, le Direct EnergyCentre dispose de plusieurs espaces d’événements immenses

et adaptables pour des expositions de tous types. Au nord de la ville, le Toronto Congress Centre est stupéfiant. Près del’aéroport et de la 401, il offre du stationnement gratuit, unemerveilleuse cuisine et un bel atrium idéal pour les cocktailsou les réceptions avec stations gourmandes en plus d’êtreprès de plusieurs hôtels aéroportuaires y compris le HiltonDoubletree juste en face. À l’ouest, l’International Centre offre aussi le stationnement gratuit et un immense espace d’événements dans plusieurs salles adjacentes.

Toronto compte de très beaux clubs privés dont plusieursouvrent leurs portes à des réunions et à des événements pourassurer leur autonomie financière. (Nous y reviendrons dansun autre article, mais si vous voulez en savoir plus entre-temps, écrivez à l’auteure.)

Il serait impossible de mentionner tous les lieux deToronto, malgré notre grande envie de faire l’éloge de tout ceque la ville peut offrir. Toutefois, en donnant un aperçu desendroits fabuleux et des grands fournisseurs qui viennentcompléter leurs espaces, nous ne pouvons que vous suggérerde visiter la ville par vous-même pour voir pourquoi on en faittout un plat. Pas de doute, Toronto rivalise avec n’importequelle grande ville dans le monde : elle est très animée, gastronomique et divertissante. Il faut la découvrir pour l’apprécier vraiment.

• • •

Jyl Ashton Cunningham, CMP est la présidente de JAAC Meetings,

Incentives and Special Events installée à Toronto. Pour plus d’informa-

tion sur Toronto, la joindre à [email protected]. Précisez que vous

avez lu Le Planificateur si vous contactez un des endroits ou des

fournisseurs mentionnés dans l’article qui précède.

Des sites imposants offrent aux planificateurs de plus grands espaces

Le Direct Energy Centre sur le site de la Exhibition Placeoffre d’immenses espaces adaptables à toutes sortesd’événements et d’expositions.

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DE VANESSA BAUDRY

Lorsqu’on parle de l’Allemagne, la plupart des genspensent plus à la bière qu’au vin, et pourtant… En effet,

bien que la bière très appréciée dans ce pays soit devenue laboisson nationale, le vin acquiert petit à petit une cote depopularité grandissante auprès de la globalité des allemands.Chacun sait que la base d’un bon vin se constitue de bonsraisins, or l’Allemagne est riche en différentes sortes de raisinset les vignes sont entretenues avec une délicatesse et uneattention particulière.

Un territoire précieuxLa situation géographique de l’Allemagne et les microcli-

mats favorables notamment tout au long des vallées ensoleil-lées (Rhin, Moselle, Ahr…) permettent aux raisins de mûrirlentement et de profiter d’un climat doux. La récolte du vin,plus tardive que dans les autres régions (octobre, novembre)est un atout important puisqu’elle permet au raisin d’avoir unarôme d’une grande finesse et d’une grande originalité.

Il ne faut pas d’autre part, sous-estimer le savoir-faire alle-mand qui est pour beaucoup dans la qualité du vin. Ainsi, lesmeilleures parcelles sont sélectionnées afin de produire unnectar d’une qualité pure et rare.

Petite typologie des vins Il existe plusieurs sortes de vins allemands qui, pour la plu-

part, conviennent à tous types d’événements, du plus modesteau plus distingué. Les Allemands font la distinction entre vinsde table et vins de qualité. Les vins de qualité basiques sontutilisés au quotidien alors que les vins de première qualité sedégustent pour des occasions plus particulières et sont pro-duits à partir de raisins arrivés à maturité, ce qui est signe dequalité. Ces vins sont classés suivant six niveaux de maturitéet de qualité : Kabinett : vins peu alcoolisés et élégants. Spatlese : vins équilibrés fait à partir de raisins mûrs. Auslese : vins nobles.

Beerenauslese : vins rares et d’une grande finesse. Eiswein : vins uniques. Trockenbeerenauslese : « couronnement de la viticultureallemande ».

Vins et accompagnementsAssortir ses vins avec ses plats est d’une grande importance

si l’on veut que le repas servi soit réussi et raffiné. Le vin plusqu’un accompagnateur aide à digérer lors de repas longs etcopieux et favorise aussi une ambiance conviviale. Les vinsallemands, très disparates, s’accompagnent parfaitement avecdes plats aussi variés soient-ils. On pourra notamment faireréférence à un vin blanc jeune, un spatlese mûr, un rosé sim-ple, un vin rouge fruité ou un auslese noble. Il faut d’autrepart savoir qu’il est important de tenir compte de la teneur enalcool du vin ainsi que de la teneur en graisse ou en aciditédes aliments associés. À ce propos, le site du bureau de l’in-formation des vins allemands, en Belgique, met à votre dispo-sition plusieurs bons conseils et astuces pour réussir à mettreen harmonie cuisine et vins.

Sur la route des vins allemandsAfin de vous permettre de vous rendre compte de la beauté

et de la richesse des vignobles allemands ainsi que de la qual-ité de leurs produits, le bureau de l’information des vins alle-mands organise des voyages viticoles et se tient à votre dispo-sition pour vous aider à organiser votre propre voyage et vousconseiller sur les « bonnes adresses ». Pour l’année 2007, deuxtypes de voyages sont proposés :

• Du 8 au 15 septembre, la « steep-site viticulture » vousfera découvrir le Riesling, le Silvaner, le Pinot, le Rheingau, leMittelrhein, le Mosel, le Nahe et le Rheinhessen.

• Du 23 au 29 septembre, la « steep-site viticulture » vousfera découvrir le Riesling et le Pinot Noir, le Franken, leBaden, et Wurtemberg.

Ces deux programmes prévoient visites et dégustationspour un groupe d’une vingtaine de personnes et pour un tarifde 1 400 euros.

Sont aussi proposés des voyages « tout compris » ce sontdes circuits touristiques dans les domaines viticoles de laMosel-Saar-Ruwer. Cette offre permet aux curieux ou aux pas-sionnés de vins de profiter de dégustations et de visites chezles différents producteurs de la région durant six jours. Pourde plus amples informations sur ces voyages, il vous suffit decontacter l’Office National Allemand du Tourisme au (416)968-1685 ou visiter le site Internet www.cometogermany.com.

Le vin allemand a une qualité exceptionnelle que peu d’en-tre nous soupçonnent, alors n’est-il pas temps d’aller voir deplus près de quoi il en retourne ?

Les richesses méconnues du vin Allemand

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Évadez-vous dans le jardin Il GiardinoPour un repas d’affaires ou un dîner de groupe jusqu’à 225 personnes, la terrasse du chic restaurant Bice, sur Sherbrooke,enchantera ses invités jusqu’en septembre. Dans un décor origi-nal de style jardin européen (voir photo ci-haut), vous pourrez ysavourer le menu d’été qui y est présentement offert. Pour plusd’information, contactez Patricia Strucka au (514) 962-0017.

Le Méchant Bœuf a accueilli ses premiers clients

Le nouveau-venu sur la scène de la restauration dans leVieux-Montréal a ouvert ses portes à la fin juin : Le MéchantBœuf, bar-brasserie aménagé à l’hôtel Nelligan. Le menu estinspiré de la cuisine française, le bœuf y est à l’honneur et ilvous promet le meilleur burger en ville. Vous y retrouverezaussi des spécialités telles le poulet à la cannette de bière, lachaudrée de palourde, l’onglet frites et autres plats ainsiqu’un choix imposant de bières en fût. Le décor est de stylebohémien et allie les bois exotiques et les parois originales debriques, une chute d’eau ajoute du cachet au salon adjacentau restaurant. Pour un cocktail, le restaurant peut accom-moder un maximum de 200 personnes et 120 personnes pourun repas assis : Pour plus d’information, consultez lewww.mechantboeuf.com.

Le Guide Ulysse maintenant accessible en ligne

Vous pouvez maintenant accéder au Guide Ulysse grâce àl’Internet. Vous devrez débourser 9,95$ pour vous abonneravant de débuter vos recherches afin de dénicher des perlesparmi plus de 250 suggestions de restaurants, 70 bars etboîtes de nuit, une centaine de boutiques et d’épiceries fines.Pour ce faire vous devrez accéder au portail Montréal enligne, ce nouvel outil pratique est facilement accessible pourquiconque veut faire des trouvailles. Pour plus d’informa-tion, consultez le www.guideulysse.com.

L’ultime étape du plan quinquennaldu Château Bromont

Le plan quinquennal du Château Bromont avait été lancéen 2003 suite à l’acquisition de l’Auberge Bromont. Depuislors, le club de golf de l’Auberge a aussi rejoint les rangs duChâteau Bromont, Domaine Hôtelier. Le Spa Bromont et leChapiteau Bromont ont aussi contribué à l’essor du ChâteauBromont, Domaine Hôtelier tout en demeurant des entitésdistinctes. Le dernier investissement de 2,5M$ a permis deréaménager l’aire d’accueil, le restaurant, le cellier et la sallede bal. C’est un montant total de 10M$ qui a été investi depuisle lancement de ce plan quinquennal. Pour information, consultez le www.chateaubromont.com.

Programme corporatif Park’N FlyPark’N Fly Montréal offre un nouveau programme corpo-

ratif vous permettant de réaliser des économies substantiellesgrâce à des rabais corporatifs de l’ordre de 15, 20 et 25 %. Ces tarifs sont basés sur le volume généré par tranche de sixmois et vous permettra de recevoir des journées de station-nement gratuites au service voiturier de Park’N Fly Montréal.Ce programme est aussi disponible dans tous les station-nements Park’N Fly au Canada. Vous pouvez communiqueravec le gérant de comptes à ventesmontré[email protected].

Sunwing vise les groupesLe tour opérateur Sunwing offre des rabais ainsi que des poli-

tiques de groupe très compétitives. Un groupe de 10 personnes peut se qualifier et n’a pas besoin d’avoir le même pointd’origine pour tous les passagers. La présélection des sièges estpossible pour un montant de 50 $ par groupe. Pour les groupesde 40 passagers et plus, des agents de bord seront attribués augroupe. Sunwing offre aux agents de voyage d’effectuer un dépôtde 150 $ par personne. Le service pour les groupes de Sunwingallonge aussi ses heures d’opération, maintenant de 9 h à 20 h(heure normale de l’Est). Visitez le www.sunwing.ca.

Nouveau programme de renouvellement de passeport simplifié

Passeport Canada annonce qu’un nouveau programme derenouvellement de passeport simplifié sera implanté àcompter du 15 août 2007. Cela devrait permettre auxCanadiens rencontrant les critères d’éligibilité de soumettreun formulaire abrégé avec deux photos, les frais d’applicationet leur dernier passeport. Il ne sera plus nécessaire, pour ceuxqui se qualifient, de remettre les originaux des certificats de nais-sance ou les cartes de citoyenneté. Puisqu’il y aura moins d’étaps, pour chacun des dossiers, le processus en sera accéléré.Toutefois les vérifications de sécurités seront toujours effectuées.

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> Ici et là de Nathalie Caron

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Nouvelle vocation pour l’ancienneGare Viger

En mai 2006, la société néo-écossaise Homburg a fait l’ac-quisition de l’ancienne Gare Windsor et projette de la trans-former en hôtel de luxe. Le groupe compte investir 350M$pour transformer l’édifice en hôtel, auquel seront jumelés descommerces, des condos et un stationnement souterrain. Le projet devra tout d’abord être approuvé par les citoyens, la Ville et le conseil d’arrondissement. L’architecture de l’ancienne Gare Viger vous rappelle un autre endroit ? Elle aété construite par le même architecte que le ChâteauFrontenac.

Découvrez le YUL SPAVous planifiez un voyage à l’étranger et vous manquez de

temps pour vous, alors voici une solution pratique. Puisquevous devez arriver à l’aéroport avec un bon délai avant votredépart, mettez-le à profit au YUL SPA de la jetée interna-tionale de l’aéroport International Trudeau. Vous pourrezchoisir parmi une large gamme de soins beauté ou santé avecou sans rendez-vous. Le YUL SPA est ouvert 7 jours parsemaine de 9 h à 22 h. Les massages et soins esthétiques sontofferts à la porte 51, il y aussi des massages sur chaise offertsaux portes 8, 53, 74 et 84. Pour plus d’information, visitezle www.yulspa.com.

L’Hôtel Godin n’est plusTrilogy Properties Corporation de Vancouver a fait l’acquisi-

tion de l’Hôtel Godin qui deviendra l’Opus Montréal. À surveiller l’ouverture à la mi-août d’un bar-salon dans l’hôtelqui proposera des cocktails inventifs, des tapas inspirés dediverses gastronomies et la musique de la crème des DJ. Ce groupe est aussi propriétaire de l’Opus de Vancouver qui a étévoté « Best of the Best », l’un des 100 meilleurs hôtels au mondepar le Condé Nast Traveler Magazine de 2005. Le Travel andLeisure 2006 le classe parmi les 500 meilleurs hôtels au monde etle Wallpaper Magazine le désigne comme l’un des endroits lesplus tendance de Vancouver. Visitez le www.opushotel.com.

Pandox fait l’acquisition del’InterContinental de Montréal

Un important groupe hôtelier suédois, Pandox vient deconclure l’achat de l’Hôtel InterContinental de Montréal. C’estune incursion en sol américain pour ce groupe qui opère 44hôtels situés principalement en Suède, au Danemark, enAllemagne, en Belgique, en Suisse et en Angleterre et opérantsous les bannières Hilton, Crowne Plaza, Radisson, HolidayInn et Clarion. Le Groupe InterContinental continuera degérer les activités de l’hôtel. Il sera modernisé grâce à une,une enveloppe de 11M $ permettra de rénover les chambres,les salles de conférence qui ainsi que l’entrée principale.

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Le Planificateur anticipe pour les professionnels des réu-nions et événements quelques destinations où vous pourrezamener vos groupes et dans lesquelles il fera bon vous déten-dre cet hiver. Notre voyage ne commence pas si loin que ça...à Saint-Martin dans les Antilles, où nous avons découvert quel’on pouvait travailler et se divertir dans un lieu des plusdépaysans.

D’ANNE BIARRITZ

Une culture riche et… très colorée !Ne vous détrompez pas, que vous entendiez parler de Sint

Maarten ou Saint Martin, il s’agit bien de la même île, pluscommunément surnommée « The Friendly Island », soit l’îlesympathique. Et pour cause, dès qu’on y atterrit, on se laisseimprégner de l’ambiance détendue qui y règne, culture oblige !Ce pays d’un peu moins de 100 km2 est l’île la plus petite aumonde à être gouvernée par deux nations : les Pays Bas et laFrance. En effet, si les deux peuples cohabitent depuis 1648,environ 80 000 habitants y résident à présent et constituentune véritable mosaïque de 80 nationalités. Héritière de deux

cultures et forte aujourd’hui d’un caractère créoleomniprésent, Saint-Martin est un coin de terre situé au Nordde l’archipel des Petites Antilles, baigné à l’est par l’OcéanAtlantique et à l’ouest par la Mer des Antilles ou Caraïbes.Territoire colonisé, les richesses de Saint-Martin ont succes-sivement été exploitées, à commencer par le sel, (ses premiershabitants, les Amérindiens, la surnommaient Soualouiga ou «Terre de Sel »), puis le tabac, le coton et enfin le sucre. C’est vers la fin du XVIIIème siècle que Saint-Martin devintune île à prédominance noire, en conséquence des vaguessuccessives d’immigration d’esclaves pour y travailler. Cesintérêts économiques ont fait place à l’industrie du tourismesur laquelle repose aujourd’hui les revenus principaux de l’île,qui demeure aussi un point central de commerce dans les Antilles.

Saint-Martin ressort de ce passé colonial d’autant plus forteet affirme aujourd’hui son identité antillaise avant tout.Hollandais, Français et Britanniques y ont apporté leurs cul-ture européenne tandis que les esclaves ont su imposer leurs langage et traditions d’Afrique de l’Ouest. Aujourd’hui, onretrouve ces influences diverses dans le nombre de languesqui y sont pratiquées : si le français et le hollandais y sont leslangues officielles, on y parle communément l’anglais ainsique différents patois tels que le créole ou papiamiento(dialectes respectifs des Antilles Françaises et Néerlandaises)ou bien encore l’espagnol. Le dépaysement ne se vit passeulement à travers le langage : la diversité de ce peupleinspire biens des secteurs comme l’art, très présent, la religion, caractérisée par le fameux gospel et une multitudede pratiques issues du christianisme, la musique, commune àtoutes les îles de la Caraïbe et définie par des rythmes endia-blés, des chants et des danses sans oublier à premières vues,l’architecture haute en couleurs, de tradition européenne àinfluence tropicale.

Si ces quelques mots vous mettent l’eau à la bouche, il nevous en faudra guère plus pour comprendre que Saint-Martinà de quoi combler tout visiteur en quête de dépaysement etd’ensoleillement. Mais dans notre industrie, la beauté d’unedestination ne suffit pas à répondre aux besoins d’une clien-tèle exigeante.

Saint-Martin accueille les groupes àbras ouverts

L’hospitalité de Saint-Martin a permis jusqu’alors à l’île derépondre parfaitement aux attentes d’une clientèle touristique deloisir. Ses premiers visiteurs en nombre sont les américains avec

La touche créole de Saint-Martinrehaussera vos réunions et congrès

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Les progrès urbains de Saint-Martin en font une île plaisanteplus de 246 000 entrées en 2006, puis lesfrançais avec 63 475 entrées la mêmeannée. Les canadiens constituent letroisième marché plus important pour l’îleselon les statistiques de l’Office detourisme de Sint Maarten. Depuis quelquesannées, de remarquables investissementsont débouché sur l’amélioration de sescapacités à plusieurs niveaux :

Des infrastructuresrécentes

90 millions de dollars américains ontpermis la construction d’un nouveau ter-minal aéroportuaire. 2006 célébrait l’inauguration du nouvel établissementdu Princess Juliana International Airport(PJIA) offrant plus 27 000 m_ d’espace,portant ainsi sa capacité d’accueil à 2,5millions de passagers par an (le doublede sa capacité et de sa superficieantérieure) et l’implantation de servicesdignes de voyageurs internationaux(facilité d’enregistrement et de récupéra-tion des bagages, air climatisé, restau-rants, magasinage en détaxe, etc.). LePJIA dessert tout voyageur allant ouvenant du côté hollandais ou français.Ce premier symbole de croissance estimmédiatement suivi par les développe-ments urbains offrant aux visiteurs descentres-villes propres, faciles d’accès etriches en points d’attraction.

Des sites appropriés auxréunions et congrès

Aussi charmants qu’ils soient, seulscertains hôtels et centres de villégiaturessont les mieux équipés pour y tenir réu-nions et événements :

Le Sonesta Maho Beach Resort &Casino (côté hollandais) est l’un desplus grands centres des congrès sur l’îleavec plus de 16 038 pi. ca. de salles deréunion et événement, un théâtre de 11000 pi. ca et plus de sept endroits addi-tionnels uniques pour réceptions et dîn-ers. L’hôtel a récemment investi 2,5 $USmillions afin de rénover 110 de ses 537

chambres et raffiner ses infrastructuresau flair tropical et sophistiqué. Prochedes casinos, magasins, du village Maho.Non négligeable sur l’île : les groupespeuvent avoir leur comptoir d’enregistrement privé et Internet sansfil est disponible gratuitement dans toutela propriété ! Bon à savoir : n’hésitezpas à contacter leur service événementielexpérimenté puisque l’hôtel offrerégulièrement des promotions degroupes mais aussi des récompenses auxplanificateurs ! Sur le Web : www.sones-ta.com/stmaarten ou 1 800-223-0757

Le Westin St. Maarten Dawn BeachResort & Spa (côté hollandais) aouvert ses portes en décembre 2006.Avec 310 chambres et plus de 20 000 pi.ca. de salles de réunion et réception, cetétablissement (aux normes Westin pourles adeptes de la chaîne hôtelière)répond aux besoins des planificateursen termes d’espace et de services, pou-vant accommoder des événements allantjusqu’à 1 000 personnes. Plus en retraitsur la côté Atlantique de l’île, ce siteoffre quasiment tout sur place : club,restaurant, spa, casino, etc. Le personnely est continuellement formé et certains

préposés peuvent s’exprimer en anglaisou en français. Bon à savoir : En cas decyclone, on vous proposera de relocalis-er votre événement au Westin Caymanou de réutiliser votre crédit dans les 12mois suivants dans l’une des deux pro-priétés. Sur le Web : www.westin.comou 1 800-475-6341 (bureau des ventesAmérique du Nord)

Des facilités logistiquesNombre de planificateurs redoutent

de coordonner le voyage longue dis-tance d’un groupe surtout lorsqueplusieurs escales sont au programme. Leconfort de vos clients passe avant tout etles vols directs vers Saint-Martin serontappréciés.

Accès facile avec des vols réguliersde Toronto, Montréal, Vancouver,Calgary et Halifax assurés par AirTransat, d’autres par Air Canada. Lesvols directs minimiseront l’égarement debagages, la perte de temps et la satisfac-tion des participants à avoir les piedsdans le sable en quelques heures seulement.

Le front de mer de Marigot est un endroit très populaire à visiter à Saint-Martin.

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Un port détaxé au bonheur des planifi-cateurs. Les habitués des événements à l’é-tranger reconnaîtront que parfois les procé-dures douanières n’encouragent pas lesplanificateurs à multiplier leurs réunions etcongrès hors frontières. La question devien-dra secondaire lorsque vous déciderez devous rendre à Saint-Martin puisque l’île faitpartie des quelques territoires au monde àêtre exemptés de taxes, que ce soit à l’en-trée ou la sortie de marchandises. Ainsi,aucun frais ne vous sera réclamé sur l’inven-taire et l’équipement nécessaires à votreévénement.

Se déplacer sur l’île peut être uneexpérience particulière. Une île resteune île et les chauffeurs locaux saurontemprunter les chemins les plus directsvers votre destination. Retenez qu’il vautmieux prendre un mini van pouvantaccommoder jusqu’à 20 personnes à lafois, que ce soit pour vous rendre aurestaurant, sur un site à visiter ou à votrehôtel. La plupart des hôtels ont leur pro-pre service de navette ou font affaireavec des entreprises spécialisées qu’ilsvous recommanderont d’utiliser. Cette

option est moins coûteuse qu’un taxihabituel et plus efficace pour rassemblervos convives à l’endroit désiré.

Impossible de s’ennuyerSaint-Martin regorge d’activités. On y

retrouve les sports d’eau traditionnelsnotamment sur la fameuse plage d’OrientBay, un coin de l’île où sauter sur un jet-ski ou s’envoler sur un parasail peut sefaire sans réservation au préalable. Maiscertaines attractions resteront encoreplus mémorables pour votre groupe :

• Esprit d’équipe : Une vraie régate« America’s Cup » comblera les plussportifs, les plus compétitifs ou encoreles marins en herbe, qui se retrouverontle temps d’une course aux commandesdes légendaires bateaux de 12 mètres dela coupe. De quoi regonfler l’esprit d’uneéquipe, lier les liens entre vos partici-pants et vivre une expérience à couper lesouffle ! (Pour info : 011-599-542-6419).

Pour divertir vos participants ouleurs conjoints : Personne ne résisteraà la tentation de magasiner devant lesprix réduits hors taxe qu’offre l’île surcertains articles. La rue marchande dePhillipsburg (côté hollandais) et le cen-tre de Marigot (côté français) exposentles vitrines luxueuses de griffeseuropéennes, de fins spiritueux, d’artraffiné, de bijoux haut de gamme, etc.Les marchés locaux quotidiens en disentlong aussi sur les traditions créoles. D’unautre registre, l’île compte plus de 13casinos établis en partie hollandaise.Petit rappel : les citoyens canadiens sor-tant du pays pour un minimum de 7jours peuvent être exemptés de taxepour des achats à hauteur de 750$. Ils lesont aussi lorsqu’ils sortent du pays pourun minimum de 48h, à hauteur de 200$.

• La culture pour tous : Hormis lesartistes teintant leurs toiles des couleursde Saint-Martin (www.rolandrichard-son.com), les visiteurs peuvent s’im-prégner du riche passé de l’île au Muséede Sint Maarten ou bien sur les hauteursdu Fort St. Louis construit en 1765 pourprotéger Marigot. La Ferme aux

papillons, l’une des rares dans lesCaraïbes, demeure un enchantement pourles amoureux de la nature (www.thebut-terflyfarm.com). Les plantations sont aussiun « must » pour y découvrir les secrets dela production et du commerce du rhum,du café et du célèbre indigo

Sur le Web :www.plantationmontvernon.com.

Pour le palais des gourmands

Grand Case (côté français) est LEquartier culinaire de l’île où restaurantsfrançais et créoles se partagent le suc-cès. De nombreux bars, restaurants etbistrots à travers l’île, traditionnels oumodernes, accommoderont les groupesde différentes ampleurs, à l’accueilchaleureux et professionnel, mêlant lesdélices influencés des cultures de l’île.

Saint-Martin est depuis longtempsune destination ensoleillée où de nom-breux voyageurs internationaux sonttombés amoureux de l’atmosphère qui yrègne et le tempérament chaleureux deses habitants. Cet endroit recèle dessecrets bien gardés et a bien plus à offriraux planificateurs avec ses infrastruc-tures et les récents investissements réal-isés sur l’île. D’ailleurs, si les offices detourisme français et hollandais se sontréunis pour « raviver votre appétit », c’estqu’ils vous y attendent à bras ouverts !

Saint-Martin en brefParticularité : Seul un panneau de

bienvenue sépare les deux territoiresHollandais et Français de l’île !

Devises : Florin en partie hollandaiseet Euro en partie française mais les dol-lars américains sont acceptés dans tousles commerces.

Système électrique : 110 volts-AC enparties hollandaise, 220 volts-AC en par-tie française.

Sur le Web : www.st-maarten.com www.st-martin.org

Les activités de l’île conviennent à tous les types de groupesSUITE DE LA PAGE 19

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La Caisse de dépôt investit dans lesecteur hôtelier

Un groupe d’investisseurs mené par la Caisse de dépôt etplacement du Québec a permis l’acquisition de Legacy HotelsReal Estate Investment Trust, composé d’un portfolio de 25 hôtelscanadiens et deux hôtels américains opérant sous les bannièresFairmont et Delta. La transaction s’est élevée à 2,5 milliards dedollars. Les partenaires de la Caisse sont Westmont HospitalityGroup, propriétaire de nombreux hôtels et InnVest REIT, unecompagnie publique listée sur TSX qui possède 135 hôtels.

Le Circuit du PaysanLe Circuit du Paysan est une route touristique de 194 km

balisée dans le sud-ouest de la Montérégie. Il est composéd’églises, de gîtes, de restaurants, d’attraits touristiques et d’en-treprises agrotouristiques. Cette région est riche en histoire etpermet aux visiteurs de visiter les villages et les rangs de cam-pagne. Pendant la saison estivale, plusieurs événements sontprévus. Consultez le www.circuitdupaysan.com

Hausse de tarif des cabines téléphoniques

Il en coûte maintenant 50 cents pour faire un appel local àpartir d’une cabine téléphonique. Les téléphones cellulairesayant largement diminué l’utilisation des téléphones publics,le CRTC a autorisé la première hausse en 25 ans. Cette déci-sion affecte aussi les cabines desservies par SaskTel, MTS,Allstream et Bell Aliant sans oublier les cabines Espace Bell.Les détenteurs de carte d’appel pourraient payer jusqu’à 1 $pour un appel local selon les régions.

Nouvelles compagnies aériennes àMontréal

Le transporteur Royal Jordanian assure deux liaisons heb-domadaires, les lundi et veendredi, entre Montréal et Ammandepuis le mois de mai. Ceci marque un retour après 10 ansd’absence. Les bureaux sont situés au 1801, rue McGill. Lacompagnie islandaise JetX, quant à elle offre une liaison heb-domadaire vers Reijkjavik aussi depuis la mi-mai et AirAlgérie propose deux vols par semaine (mardi et vendredi)vers Alger depuis la mi-juin.

Westjet ajoute des destinations hivernales à partir de Toronto

Trois nouvelles destinations sans escales seront offertesdès l’hiver prochain, soit Montego Bay (Jamaïque) trois fois

par semaine, Puerto Plata et Punta Cana (RépubliqueDominicaine) deux fois par semaine. Des vols supplémen-taires seront aussi ajoutés en direction d’Hawaii. Vous pouvezréserver dès maintenant en communiquant avec Westjet ouvotre agent de voyage.

Un gîte dans un arbreVous voulez réaliser votre rêve d’enfance et passer la nuit dans

une cabane dans un arbre. Au gîte Orion B&B de Saint-Paul deVence (Côte d’Azur), il est possible de réaliser votre rêve et en toutconfort. Vous y retrouverez quatre maisons en cèdre offrant unechambre à coucher, une salle de bain et du chauffage pour lesnuits fraîches. Les cabanes font de 20 à 40 m2 et la plus grandepeut accueillir jusqu’à six dormeurs. La saison se prolonge jusqu’àla fin décembre en raison du climat favorable, les forfaits incluantle petit déjeuner copieux servi à la maison de la ferme s’échelonneentre 140 et 180 euros par jour en occupation double.

Programme NEXUS disponible àl’aéroport d’Ottawa

Les stands NEXUS sont maintenant opérationnels à l’aéroportd’Ottawa. Cette carte est une alternative au passeport pour lesvoyages entre le Canada et les États-Unis et permet aux déten-teurs de passer les douanes plus rapidement tout en respectantles normes de sécurité. De plus, à l’automne 2007, les servicesde douanes seront disponibles 24 heures par jour et 7 jours passemaine à l’aéroport International Macdonald-Cartier d’Ottawa.

À propos du passeport et de nosvoisins américains

L’administration américaine étudie aussi la possibilitéd’émettre une carte passeport format portefeuille pour lesaméricains voyageant souvent entre le Canada et les États-Unis. Cette mesure ferait taire les plaintes sur les coûts requispour l’obtention d’un passeport. Ottawa pour sa part tente defaire accepter par l’administration américaine que lesCanadiens puissent recourir à une version sécurisée de leurpermis de conduire.

Un hôtel dans l’espaceIl y a quelques semaines, la Russie a lancé le satellite

américain Genesis-2 qui devrait servir de prototype à un hôtelgonflable dans l’espace. Ce projet dont le coût est estimé à500M$ devrait voir le jour en 2015 et serait composé deplusieurs modules gonflables. Le satellite Genesis-2 ainsi queson prédécesseur devraient tester la résistance des structuresgonflables. Si tous les essais se déroulent bien, la sociétéBigelow Aerospace devrait débuter la construction de l’hôtelen 2011.

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SUITE DE LA PAGE 17

> Plutôt là-bas qu’ici

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L’auteur à succès Stephen R. Covey con-seille de « focalisez-vous sur vos objec-

tifs avant de vous lancer », l’une des septpriorités que se fixent les gens très effi-caces. Je voudrais appliquer ce conseil à laformation en continue.

Dans le numéro du mois dernier, j’ai parlé de l’intérêt detravailler afin d’obtenir un certificat de l’industrie ou de suivre des cours pour améliorer vos connaissances actuelles.Aujourd’hui, je voudrais poursuivre et réfléchir avec vous surce sujet.

Tout d’abord, décider de poursuivre son formation doit sefaire après mûre réflexion, en considérant les exigence requi-ses pour parvenir aux objectifs que l’on veut attteindre. Enrésumé, quel est le rendement du capital investi ou RCI –temps, argent, ressources, et,peut-être le plus important, lesattentes ?

Acceptez-vous de vous rep-longer dans un style de vied’études, même temporaire-ment ? Faute de prendre letemps d’évaluer pourquoivous le voulez et ce que cetteligne de conduite vousapportera au bout du compte,vous risquerez d’être déçu.

Demandez-vous pourquoivous désirez accomplir cela ; décidez avant tout du but quevous voulez atteindre.

Avant tout engagement, y compris le paiement des fraisd’études, il est vital d’examiner pourquoi vous vous lancerdans cette entreprise. De mauvaises raisons, vous ferontregretter.

Avez-vous pensé que vous cherchez peut-être seulement àsatisfaire les attentes des autres à votre égard et que vousn’avez peut-être aucun intérêt à prendre d’autres engage-ments en ce moment ?

Mieux vaut prendre le temps d’éclaircir vos motivationsavant d’agir.

Réfléchissez un peu :Envisagez-vous de suivre un cours parce que vous vous

ennuyez fermement et que cela vous donnera au moinsquelque chose à faire ? Si c’est le cas, je ne vous conseille pasd’aller plus loin parce qu’il est probable que vous ne con-tinuiez pas, que vous n’en tiriez aucune satisfaction et quevous y laissiez quelques dollars.

Votre employeur vous demande-t-il de parfaire vos connais-sances pour jouer un rôle plus important dans la compagnie ?Cela va-t-il vous ouvrir des portes plus tard ou vous permet-tre de remplir des fonctions supplémentaires intéressantes surles plans personnels et financiers ?

Pensez-vous que le fait de suivre d’autres cours vous aideraà progresser dans votre carrière même si ce n’est pas un coursmandaté par la compagnie ? Est-ce que cela va vous propulservers un rôle plus élevé dans la compagnie ou améliorer la productivité même entreprise ou vous ouvrir plus de possibilités plus tard ?

Vos études débouchent-elles sur un titre très recherchédans l’industrie ?

Combien de temps devriez-vous y consacrer ?

Vous travaillez probable-ment à plein temps pour unemployeur ou pour votre pro-pre entreprise (et on espèreque vous avez une vie endehors du travail), alors oùtrouverez-vous le temps d’as-sister aux cours et d’exécuterles travaux requis ?

Quels changements d’ho-raire devriez-vous apporter àvotre emploi du temps pouraccommoder ce nouveau style

de vie ? À qui, dans votre vie, demanderiez-vous de l’aide afinde réussir ?

Quelle voie emprunterez-vous ? Choisirez-vous un cours donné dans un collège commu-

nautaire ou un Cégep, une université ou un établissementprivé ou par l’intermédiaire une association ? Évaluez doncles avantages de chacune des options qui s’offrent à vous.

Que vous permet votre horaire : assister au cours un oudeux soirs par semaine ou le samedi ou en suivre un en ligne? Je connais de plus en plus de possibilités de formation à dis-tance qui s’accordent bien à une vie très occupée.

Qu’en est-il du budget ? Combien coûte ce cours et tous les frais accessoires tels

que les manuels, le transport, la garde des enfants (au besoin)? Votre employeur partagera-t-il les frais ? L’établissementoffre-t-il des bourses d’études ou des facilités de paiement ?Les frais de scolarité sont-ils déductibles d’impôt ?

DE SHARON WORSLEY

Retenez vos objecifs avant de vous lancer

Mieux vaut prendrele temps d’éclaircir

vos motivations avant d’agir.

22 Juillet 07 LePLANIFICATEUR

Page 23: Juillet - Août 2007

Quel établissement / école / colloquechoisirez-vous ?

Cela mérite réflexion • Depuis quand l’école ou l’établissement est-il en affaires ?• Quel est le taux de réussite des élèves pour obtenir unemploi ou une promotion dans leur domaine et combien detemps leur a-t-il fallu ?• Quelle est la durée du cours ? • Combien d’heures de présence au cours sont exigées etcombien d’heures d’étude et de préparation recommandées,par semaine ?• Quelle aide vous donne-t-on pour trouver un emploi ou del’expérience travail-études ?• Peut-on vous donner des noms d’élèves, actuels ou passés,pour une entrevue ?• Le personnel enseignant est-il disponible au cas où vousauriez des questions ?

Il n’y a pas d’âge qui tiennePeut-être hésitez-vous à retourner sur les bancs d’école

parce que vous avez passé l’âge ou laissé passer votre chance.Au lieu, vous vous êtes résigné à rester à votre niveau actuel.

Peut-être vous sentez-vous pris au piège dans votre situationactuelle au travail faute de formation à jour ou de formationavancée.

L’âge n’a rien à voir dans l’éducationpuisqu’il est sans importance

Les classes comptent de plus en plus d’adultes qui veulents’améliorer pour leur satisfaction personnelle ou des possibil-ités professionnelles. J’ai récemment travaillé avec une femmede 64 ans qui avait l’impression qu’il était trop tard pour elleet qu’elle ne pouvait désormais aspirer à rien de nouveau.

Après quelques mois de travail ensemble, elle a produitune liste de 106 objectifs de vie qu’elle veut encore atteindre.Plusieurs étaient liés à l’éducation. Donc, si vous avez moinsde 64 ans, ne soyez pas en reste! Si vous avez 64 ans ou plus,il suffit de croire que vous avez encore des options.

Rappelez-vous : quand vous prenez une décision concer-nant votre formation continue, considérez le résultat final, ceque vous voulez accomplir et ce votre cœur désire.

Sharon Worsley, PDG de Live With Intent, est une formatrice enleadership personnel et une conférencière spécialiste de la motivation.Son slogan La vie est affaire de choix, pas de hasard (Live By Choice,Not By Chance) aide les personnes et les organisations à saisir claire-ment comment elles peuvent assurer la qualité de leur vie ou de leurorganisation. Pour joindre Sharon : [email protected]

Peu importe l’âge, il faut se fixer des objectifs

Juillet 07 23LePLANIFICATEUR

Page 24: Juillet - Août 2007

La villégiature, idéale pour les réunions

Aller dans un centre de villégiaturehors saison ou en basse saison a l’a-

vantage – évident – de coûter moins cher.Mais ce n’est pas pour rien que l’on dit « hors » saison ! Au début du printemps,

le temps épouvantable, les mouches suceuses de sang et l’im-possibilité qui s’ensuit de faire des activités de plein air suffi-raient à décourager les plusbraves de visiter une propriéténormalement idyllique à la cam-pagne ou au bord de l’eau. Demême, une fois que la saison degolf est finie, que les couleursautomnales se sont fanées etque la saison des Fêtes n’a pasencore passé la vitessesupérieure, que pourrait-onbien y faire ?

Avant que les centres de vil-légiature du pays ne soientréduits au désespoir par unedescription aussi préjudiciablede tout ce qui est campagne parun auteur installé en ville, lisez la suite pour voir ce qui lesrend intéressants en basse saison, mis à part le prix.

Choisir un centre de villégiature n’est pas forcément difficile, même en basse saison. Si les centres éloignés ontleur charme, un centre plus près des commodités et des visites guidées peut être une option viable. Le TalismanResort, à l’ouest de Barrie est bien situé par rapport à ungrand nombre de promenades à pied et de sites intéressants :parfait en basse saison. Le Blue Mountain, populaire auprèsdes fanas du ski et du golf, est aussi un lieu de réunions rêvé.

Les bureaux de congrès et de tourisme sont toujours detrès bon conseil. Vous pouvez leur poser des questions perti-nentes qu’ils soumettront aux centres de villégiature locauxavant de vous envoyer un résumé des réponses. ResortsOntario est aussi une excellente ressource pour la province.Le bouche à oreille et les recommandations des publicationsdevraient bien aider les planificateurs à prendre les bonnesdécisions mais la décision finale devrait toujours suivre uneinspection approfondie du site à la même période de l’annéeque celle de l’événement.

Après avoir retenu un ou deux centres comme possibilités,vient le temps de vendre l’idée au client, au comité, au patron,etc. Remuez ciel et terre, faites venir les responsables ventesdes centres envisagés, ajoutez une présentation de toutes lescommodités intérieures intéressantes de chacun. Vendez les

points forts : santé et bien-être, plaisir de se dorloter, metsexquis entre séances éducatives, conférenciers en vue, formation d’équipe et divertissement original, tout cela à l’in-térieur, derrière des murs isolés et des fenêtres avec mousti-quaires et double vitrage. Une fois que vous avez vendul’idée, tenez toutes vos promesses et le grand air ne sera bien-tôt plus qu’un souvenir lointain à redécouvrir quand le tempssera plus clément. Pour les groupes décidés à s’aventurerdehors, fournissez des trousses de survie intéressantes avec

anti-moustiques, chapeaud’apiculteur et blousonimperméable (attention aubudget).

Santé et bien-êtreAujourd’hui on parle

beaucoup de garder sesemployés. Santé et bien-êtrey sont pour beaucoup.Massages et traitements aucentre de santé peuventréduire le stress et la plupartdes centres de villégiature enont. Sinon, voyez si certaineschambres ou suites ne pour-

raient pas être transformées en espaces santé et bien-être tem-poraires. Puis, faites venir des compagnies comme MassageOn Wheels (www.massageonwheels.ca) ou Spa Party(www.spapartyevents.com) pour dorloter vos invités pendantune journée ou une demi-journée. Assurez-vous que les participants s’inscrivent à l’avance pour éviter les déceptions.Des bars Element Oxygen (www.elementoxygen.ca) ravigoteront vos invités en un rien de temps.

Formation d’équipeC’est un peu plus difficile, mais les exercices physiques

formateurs d’équipe marchent aussi bien à l’intérieur qu’augrand air. La plupart des centres ont des installationssportives intérieures – le Deerhurst Resort a deux courts detennis, deux piscines et plusieurs courts de squash/racquet-ball, tous intérieurs. Organisez toutes les activités intérieuresen compétitions sportives, avec juges et remise de prix ledernier soir pour fêter les gagnants et les exploits de tous lesparticipants.

Cuisine gastronomiqueLes chefs voudront peut-être profiter de la basse saison pour

expérimenter de nouveaux mets et de nouvelles associationsplats-vins, alors profitez de leur créativité et offrez-leur de

DE JYL ASHTON CUNNINGHAM

Organisez toutes les activitésintérieures en compétitions

sportives, avec juges et remisede prix le dernier soir

pour fêter les gagnants et les exploits de tous les

participants.

24 Juillet 07 LePLANIFICATEUR

Page 25: Juillet - Août 2007

La basse saison peut être avantageuse pour les groupes corporatifsservir de cobaye. Demandez-leur de créer des stations gour-mandes ou des banquets de dégustation pour l’expériencegastronomique suprême. Une cuisine sur le thème des saisonsplutôt que sur les nationalités, voilà une approche intéres-sante de la variété.

Les cours de cuisine sont devenus immensément popu-laires comme exercices de formation d’équipe et de stimula-tion, surtout quand on peut manger ses créations à la fin. LeTaboo Resort (www.tabooresort.com) va encore plus loinavec son Théâtre culinaire innovant où le chef Jay Scaiferévèle à de petits groupes certains secrets de plats succulents.

Divertissement et thèmesSi l’été se fait encore tirer l’oreille, trichez un peu. Souvent,

les thèmes les plus éculés ont les résultats les plus fous, pourune mise de fonds minime : une fête de plage ou une garden-party avec des lumières estivales dorées sont l’occasion rêvéede réseauter, siroter un daiquiri, arborer une chemise com-plètement folle et chanter des chansons de Jimmy Buffet.Avec un budget milieu ou haut de gamme, faites venir undivertissement interactif comme une soirée casino ou amenezles invités dans un casino du coin si les vrais paris sont per-mis. Des compagnies comme Hart Entertainment (www.har-tentertainment.com) à Toronto ou Nuit Magiques (www.casi-nonuitsmagiques.com) à Montréal ont tout ce qu’il faut pourdes soirées de Texas Hold ‘Em ou de Black Jack, personnel,tables de jeu et « argent » compris. Le golf intérieur virtuelgagne en popularité et plusieurs compagnies sont à même defaire venir de grands parcours de golf internationaux sur leslieux de réunion.

Le divertissement interactif dans une ambiance détendueest toujours aussi populaire avec des illusionnistes commeAnthony Lindan (www.anthonylindan.com) qui intègre l’image de marque de l’entreprise dans des trucs géniaux.Anthony est aussi un conférencier professionnel qui combineson talent avec un contenu motivationnel et éducationnel,qu’il peut rédiger d’avance avec le client ou écrire lui-même.

Fichu travail !Si les centres de villégiature ont un petit air de récréation,

la basse saison est souvent le moment où les réunions d’en-treprise foisonnent. Il faut s’assurer que le centre choisi a desespaces de réunion suffisants et bien conçus pour lesplénières et les sous-groupes. S’il est impossible de sortir,intégrez quand même le plus possible l’atmosphère du centredans les réunions, sinon, autant réserver en ville ou en ban-lieue. Invitez des conférenciers intéressants qui connaissent àfond l’environnement autour du centre pour expliquer com-ment et pourquoi l’écosystème local est protégé. Des con-férenciers spécialisés en écologie conviennent très bien à des

réunions dans des centres de villégiature.Tel que mentionné dans un article précédent, il importe de

comprendre les limites de certains centres, quelle que soit lasaison. Ainsi, assurez-vous d’informer les délégués de toutproblème potentiel, bien à l’avance. Souvent, les régionséloignées n’ont pas d’accès Internet sans fil ou à haute vitesseet la plupart des cellulaires ne fonctionnent pas très bien enzone montagneuse. De plus, beaucoup de centres de villégia-ture éloignés ou à la campagne emploient une main-d’œuvrelocale, qui peut adopter avec les délégués des manières moinsstylées que celles auxquelles ils sont habitués. Mieux vaut ren-contrer la direction de l’hôtel avant la conférence pour définirclairement les attentes des deux parties et réduire les risquesde situations embarrassantes.

Avec une planification soignée et beaucoup d’imagination,une réunion dans un centre de villégiature en basse saisonpeut être aussi sinon plus productive et intéressante qu’àtoute période de pointe des activités de plein air. Pensez auxproblèmes potentiels, surmontez-les avec l’aide d’experts etvotre prochain événement dans un centre de villégiature serale plus réussi de tous!

Jyl Ashton Cunningham CMP est planificatrice de réunions et unejournaliste pigiste. Elle est installée à Oakville (Ontario). Elle recevraavec plaisir vos commentaires sur ses articles. Pour la joindre :[email protected].

Juillet 07 25LePLANIFICATEUR

Page 26: Juillet - Août 2007

Oui, plus d’argent rend heureux, ditle rapport

« L’argent ne fait pas le bonheur » dit le proverbe. Pas sivite, dit un nouveau rapport.

Des chercheurs en économie en Angleterre ont étudié leshabitudes de dépenses et les finances personnelles de 600personnes bien nanties dans le monde, chacune disposantd’actifs investissables de plus de 213 000 $CAD 213, 000 (100000 livres sterling). Le rapport est l’œuvre du Service d’intel-ligence économique.

L’enquête révèle que plus le solde bancaire est élevé, plusle sourire est large. On a interrogé ces personnes sur leursattitudes envers l’argent, l’impact de la richesse sur leur vie etce qui les poussait à épargner et à dépenser. Quatre-vingtpour cent des femmes avec des actifs de plus d’un million dedollars admettent que l’argent leur a apporté plus de bonheurpersonnel, par rapport à 78 % des hommes.

Petite remarque intéressante : seuls 12 % des hommes disent qu’ils aiment aller magasiner régulièrement, par rap-port à 37 % des femmes.

Le BlackBerry bientôt branché en ChineLe pays le plus peuplé du monde verra bientôt débarquer

le BlackBerry, l’omniprésent petit appareil de poche de la

compagnie canadienne Research in Motion (RIM).Après huit ans de lobbying, RIM a reçu l’autorisation du

ministère de l’Industrie de l’information chinois de lancer sesgadgets pour courriels. La nouvelle a fait monter les actionsde RIM de quatre pour cent sur le NASDAQ à 216,02 $, le jourde l’annonce.

Selon le Globe and Mail, RIM a déjà 5 000 commandesanticipées et prévoit que les BlackBerrys seront dans les magasins chinois d’ici la fin d’août.

Le Congrès des É.-U. reporte le passe-port obligatoire

Ouf ! Les Canadiens sans passeport qui entrent en voitureaux É.-U. et les Américains qui rentrent à la maison resterontles bienvenus à la frontière jusqu’à la mi-2009, si le Congrèsdes É.-U. ratifie une entente provisoire votée dernièrementqui repousse de 16 mois les nouveaux contrôles frontaliersplus stricts pour décourager les terroristes.

Le délai, voté à une écrasante majorité par le Congrès, doitencore obtenir l’assentiment du Sénat et la signature de George W.Bush avant de devenir loi, ce qui n’arrivera pas avant l’automne.

Cela réjouit l’industrie canadienne des voyages et dutourisme qui a subi une forte baisse des visites d’Américains quine savent plus trop quels documents on exige à la frontière.

Les voyages transfrontaliers à l’amiable entre les É.-U. et leCanada ont pris fin avec l’Initiative relative aux voyages dansl'hémisphère occidental adoptée après le 11 septembre.

> Pour votre info

26 Juillet 07 LePLANIFICATEUR

Page 27: Juillet - Août 2007

La consommationd’essence pour les nuls

Vous avez déjà essayé de trouver lemoyen le plus simple de calculer combien d’essence vous brûlerez pen-dant un voyage ? Le plus facile est peut-être de calculer les litres aux 100 km.

Exemple : votre voiture fait huit litresaux 100 kilomètres et vous en ferez 1 000. Prévoyez 80 litres d’essence. Ah !si l’essence pouvait revenir à 1 $ le litre,ce serait vraiment facile de calculer lecoût du voyage…

Le cellulaire éclipse leterrestre

Superman n’aura plus de cabinestéléphoniques pour se changer, ellesappartiendront peut-être bientôt à l’histoire.

Il y avait 18 millions d’abonnés ausans fil fin 2006 – à peu près autant quepour les lignes à accès fixe. Depuis qua-tre ou cinq ans, la croissance des abon-nements annuels a dépassé 12 %.L’industrie du sans fil a vu ses bénéficesd’exploitation grimper de 41 % l’an

dernier pour atteindre 4 milliards dedollars alors que les recettes desréseaux filaires ont chuté de 14 %, à 3,5milliards de dollars.

Bouger pour éviter lesrisques de thromboem-bolie veineuse (TEV)

Les personnes voyageant en avion ouen par tout autre mode de transport etne bougeant pas pendant plus de 4 heures d’affilée risque d’être victimesd’une TEV selon l’Organisation mondiale de la santé.

Un caillot se forme dans une veineprofonde, plus souvent qu’autrementdans la partie inférieure de la jambe etremonte vers les poumons causant uneembolie pouvant entraîner la mort. Le risque est de 1 sur 6000. La fin d’unvoyage ne signifie pas que le risque estramené à zéro pour le prochain vol.

Le risque peut persister pour unepériode quatre semaines. Donc activezvotre circulation tout en restant assis eneffectuant des mouvements circulairesau niveau de vos chevilles, éviter lesvêtements trop serrés, les sédatifs et laconsommation d’alcool en grande quantité.

> Pour votre info

Juillet 07 27LePLANIFICATEUR

Saviez vous...?

Si vous tentez de retenir un

éternuement, vous pourriez

causer la rupture d'une

veine au cerveau ou dans

votre nuque et mourir.

Page 28: Juillet - Août 2007

Concours les Merveilles du CanadaSelon vous, quelles sont les 10 attractions les

plus impressionnantes à voir ou à faire au Canada ?

28 Juillet 07 LePLANIFICATEUR

Voici les dix premiers choix du Palmarès :

1. Visiter les chutes Niagara

2. Visiter la ville de Québec

3. Visiter Lac Louise

4. Visiter/skier dans les Rocheuses

5. Magasiner/marcher à Montréal et dans le

Vieux-Montréal

6. Vivre l’expérience du haut de la tour du CN

7. Visiter le site de villégiature de Whistler

8. Marcher/conduire sur la Piste Cabot

9. Voir le Rocher Percé en Gaspésie

10. Visiter la Baie de Fundy

Ce concours le plus récent, commanditépar Deerhurst Resort à Huntsville enOntario a été très populaire auprès de

nos lecteurs.

La gagnante du concours est :Ginette Martel

De Novartis Pharma CanadaÀ Dorval (Québec)

Le mois prochain, nous vous ferons partdes 10 choix suivants.

Merci à tous nos participants !

Page 29: Juillet - Août 2007

Avez-vous besoin d’idées?

COMMUNICATIONS ET ÉVÉNEMENTSESPRITS CRÉATIFS ET ÉVÉNEMENTS D’ENTREPRISE STYLISÉS.

LG DONNE CORPS ET STYLE À DIVERS ÉVÉNEMENTS

D’ENTREPRISE AVEC IMAGINATION DEPUIS 18 ANS.

NOUS PROPOSONS DES CONCEPTS THÉMATIQUES ET DES

STRATÉGIES EN FONCTION DES BESOINS SPÉCIFIQUES

DE NOS CLIENTS. QU’IL S’AGISSE D’UNE PETITE RÉUNION

OU D’UN CONGRÈS D’ENVERGURE, CHAQUE ÉVÉNEMENT

REFLÈTE LEUR PERSONNALITÉ PROPRE. NOUS SAVONS

ÉCOUTER POUR ENSUITE MIEUX CRÉER. ET QUE

L’ÉVÉNEMENT COMMENCE, POUR LE PLAISIR DE TOUS!

ET ÉVÉNEMENTS

COMMUNICATIONS A N DE V E N T S

COMMUNICA

TIONS

Juillet 07 29LePLANIFICATEUR

Dure, la vie de critique en AustralieUn critique, c’est, paraît-il, quelqu’un qui inflige son inca-

pacité aux autres. Les critiques gastronomiques en Australiene pourront peut-être plus le faire depuis que la High Courta qualifié de diffamatoire une critique défavorable d’unrestaurant de Sydney.

Selon les critiques, cela pourrait étouffer les vraies critiques derestaurants mais aussi de pièces de théâtre, de concerts et d’art.

C’est l’histoire de la longue affaire d’une mauvaise critiquedu restaurant Coco Roco publiée dans le Sydney MorningHerald en 2003. Le critique matthew Evans déclarait, entreautres, que le poulet était « remarquablement insipide » et lesprix trop élevés.

Le Coco Roco a fermé dans les mois qui ont suivi et sespropriétaires, qui avaient dépensé 2,7 millions de dollars àrénover leur restaurant au bord de l’eau, ont affirmé avoirperdu 2 700 clients tout de suite après la publication.

Le 14 juin, la High Court a rendu sa décision 6 juges con-tre 1 et déclaré que la critique était une attaque contre lerestaurant en tant qu’entreprise.

La décision laisse froid Leo Schofield, un critique chevronné.« Si une mauvaise critique entraîne une baisse des ventes

de billets au théâtre, comment savoir si c’est la faute de la cri-tique ou de la qualité du travail », dit-il.

Cordon Bleu entre à Carleton Le Cordon Bleu International a récemment signé un proto-

cole d’entente (PE) avec l’université Carleton à Ottawa.Le Cordon Bleu, célèbre pour ses techniques françaises

classique et ses programmes culinaires dynamiques, tra-vaillera avec l’université Carleton à élaborer des programmesuniversitaires et de recherche dans les domaines connexes dela santé et du bien-être gastronomiques et de la gestion del’hébergement.

Le partenariat mènera au lancement du Cordon BleuInstitute au sein de l’université Carleton en 2009, à un bac-calauréat en sciences de l’alimentation et de la nutrition et àune maîtrise des arts en gastronomie.

Le Cordon Bleu a des écoles dans le monde entier, y com-pris aux É.-U., au Japon et au Mexique. Elles emploient 450chefs de cuisine, dont 80 maîtres queux.

Petit-déjeuner à l’œil…Environ 50 % des voyageurs – d’agrément ou d’affaire –

s’attendent que le prix de la chambre d’hôtel comprenne ledéjeuner révèle une enquête récente.

Les données de Ypartenership, une agence publicitaired’Orlando spécialisée dans la clientèle voyage et loisirs, ontété publiées récemment dans le cadre de son rapport NationalLeisure Travel Monitor.

Sur le Web : www.ypartnership.com

> Pour votre info

Page 30: Juillet - Août 2007

Le Carnet ATA : un outil international

En 1961, afin de faciliter le commerce international,l’Organisation mondiale des douanes (OMD) a adopté la «Convention douanière sur le carnet ATA. pour l’admissiontemporaire des marchandises ». ATA est l’acronyme des ter-mes français et anglais « Admission temporaire/TemporaryAdmission ». La Convention vise trois grandes catégories demarchandises échangées à l’échelle internationale :

• échantillons commerciaux;•marchandises présentées ou utilisées à une foire com-

merciale, un salon professionnel, une exposition ou unévénement semblable;

• matériel professionnel.

Les conventions douanières se rapportant à ces troisgrandes catégories de marchandises sont les suivantes :

• la Convention internationale pour faciliter l’importationdes échantillons commerciaux et du matériel publicitaire duGATT (Genève, 1952);

• la Convention douanière relative aux facilités accordéespour l’importation des marchandises destinées à être présen-tées ou utilisées à une exposition, une foire, un congrès ouune manifestation similaire de la CCC (Bruxelles, 1961);

• la convention douanière relative à l’importation tempo-raire de matériel professionnel de la CCC (Bruxelles, 1961).

Les carnets sont émis et garantis par des organismesnationaux. Les autorités douanières de plus de 58 pays et ter-ritoires acceptent le carnet à titre de garantie de paiement desdroits et des taxes si le carnet n’est pas utilisé comme il se doit.

Originellement utilisé dans quelques pays d’Europe del’Ouest, au cours des 35 dernières années le système de carnets’est répandu à la majorité des pays industrialisés et à un nom-bre de pays en développement. En 1998, quelque 194 986 car-nets ont été émis dans le monde entier, et la valeur des marchan-dises couvertes s’élevait à près de 12 milliards de dollars US.

La Chambre de Commerce du Canada est autorisée à émet-tre des carnets au Canada depuis 1972. Les carnets sont émisdans cinq villes canadiennes : Ottawa, Toronto, Kitchener,Montréal et Vancouver.

Au Canada, les ventes de carnets ont bondi, passant de 693en 1980 à plus de 2 800 en 1999. On s’attend à ce que lesventes de carnets doublent au cours des prochaines années,à mesure que la communauté des affaires se familiarisera avecles avantages associés au carnet et que le système sera élargià un plus grand nombre de pays.

Sur le Web: www.chamber.ca.

SOURCE : CHAMBRE DE COMMERCE CANADIENNE

> Nouvelles de l’industrie

30 Juillet 07 LePLANIFICATEUR

SudokuD’origine japonaise, chaque case doit contenir un

chiffre de 1 à 9 de façon à n’utiliser chaque chiffrequ’une fois par ligne, colonne et grille.

SUDOKU SUR LE WEB :www.websudoku.com

www.sudoweb.comwww.dailysudoku.comwww.sudokupuzz.com

Niveau facile Réponse à la page 33.

Niveau moyen Réponse à la page 33.

Page 31: Juillet - Août 2007

Organisez vos réunions

www.timetomeet.info

Il n’est pas toujours facile d’organiser une réunion entre

deux personnes et ça se complique à mesure que des noms

s’ajoutent à la liste. Le site Time to Meet permet d’apparier

facilement les disponibilités de tout le monde et de convenir

d’un moment propice à la réunion. Et cela, sans avoir besoin

d’ouvrir une session pour utiliser le site. Génial ! Il suffit de

cliquer sur « try-it-now » et de saisir l’adresse courriel de

toutes les personnes que vous voulez inviter à la réunion.

Indiquez dans le calendrier les heures et les dates auxquelles

vous êtres libre et envoyez un message à toutes les person-

nes dans la liste. Elles auront un URL commun (lien avec le

site Web) qui les amènera à la page où elles peuvent ajouter

leurs propres disponibilités au calendrier. Le site calcule

ensuite les moments les plus opportuns pour tout le monde.

Fuseaux horaires différents ? Indiquez-les pour éviter toute

confusion possible chez les personnes invitées.

Ouvrez un compte gratuit et vous pourrez garder un carnet

d’adresses et gérer vos réunions dans un calendrier

centralisé. Le site offre aussi un service supérieur au prix de

5 $US pour six mois, qui vous permet de synchroniser avec le

site vos programmes calendriers Outlook ou iCal déconnectés.

Le site vous donne aussi un URL personnel que vous pouvez

donner et qui agit un peu comme une secrétaire privée. Les

personnes peuvent interagir avec l’URL pour demander de

vous rencontrer et il leur dira si vous êtes libre ou pas.

Approuvez

www.approver.com

Essayer d’écrire et de corriger un document à plusieurs, c’est

un peu comme rassembler des chats en troupeau ! Approver

veut vous rendre la tâche beaucoup plus agréable.Avec

Approver, vous pouvez soit créer le document dans votre

fureteur ou en télécharger un que vous avez créé avec une

application non connectée. Le site accepte plusieurs formats,

dont Microsoft Office, Adobe PDF, Autocad et d’autres

encore. Après avoir créé le document, vous pouvez le

partager en privé avec toutes les personnes inscrites à

Approver. Si vous le désirez, vous pouvez rendre un docu-

ment public en le publiant sur le Web ou sur le site

Approver. Quand quelqu’un visionne, approuve, commente

ou amende le document, vous pouvez recevoir un courriel

qui vous en avise. Vous pouvez aussi vous abonner à un fil

RSS pour surveiller les documents de votre collection.

Le site se dit un excellent outil pour les spécialistes en droit, en rela-

tions publiques et en rédaction qui ont besoin de faire réviser des

documents communs par de nombreuses personnes.

Événements à venir

Du 29 au 31 juillet Meeting Professionals International, World EducationCongress, Palais des congrès de Montréal, QC. Contact :(972) 702-3000, www.mpiweb.org.

Le 6 août – Jour férié (En Ontario seulement)

Du 11 au 14 aoûtASAE & the Center for Association Leadership, Réunionannuellet et exposition, McCormick Place, Chicago. Contact :(888) 950-2723, www.asaeannualmeeting.org.

Du 16 au 18 aoûtISES Eventworld 2007, Hôtel Fairmont Le Reine Elizabeth,Montréal, QC. Contact : (312) 321-6853, www.ises.com.

Du 23 au 25 aoûtFinancial & Insurance Conference Planners, Réunion duchapitre canadien, Hôtel Four Seasons, Toronto, Ont. Contact : (312) 245-1023, www.ficpnet.com.

Le 3 septembre – Journée du travail

Du 5 au 6 septembreHospitality Sales & Marketing, Affordable MeetingsNational, Washington (D.C.) Convention Center.Contact : (914) 421-3270, www.affordablemeetings.com.

Du 25 au 27 septembreIncentive Travel & Meeting Executives, The MotivationShow, McCormick Place, Chicago. Contact : Hall-Erickson,(800) 752-6312, www.motivationshow.com.

Les pourboires dans les hôtelsSelon Pete Post, directeur du Emily Post Institute, les

visiteurs d’un hôtel tendent à laisser un pourboire de 2$au valet pour le premier bagage et 1$ pour toute valiseadditionnelle prise en charge. Si un invité désire laisserun pourboire aux personnel de chambre, mieux vautdéposer un petit quelque chose chaque jour plutôt qu’unlarge montant avant de quitter sa chambre car plusieurspersonnes peuvent s’occuper de la même chambre surune semaine. Sur le Web : www.emilypost.com.

Juillet 07 31LePLANIFICATEUR

AAGGEENNDDAA Sites Web d’intérêt

Page 32: Juillet - Août 2007

YO ! VOICI LE YOTEL…Enfin, un jour nouveau se lève sur les hôtels – un lieu où

dormir et se laver sans se ruiner.Le concept du Yotel, ouvert officiellement depuis quelques

semaines à l’aéroport de Gatwick en Angleterre, offre des cabines personnalisées qui rappellent la première classe enavion. Il y des cabines de prestige, standards et accessibles eton prévoit une classe économie avec salles de bain partagées.

Un deuxième Yotel ouvrira à l’automne à l’aérogare quatrede Heathrow et l’aéroport Schiphol d’Amsterdam, lui aussiintéressé.

On peut y passer la nuit ou seulement quatre heures et onpaie en conséquence. On peut réserver en ligne, par télé-phone ou se présenter à la « réception », une simple cabine enverre avec trois bornes comme celles des billets électroniques.On tape le code de réservation reçu sur son cellulaire et on

obtient la carte-clé de sa cabine.De l’autre côté de la réception, se trouve The Galley (l’of-

fice), où le personnel du Yotel en veste chinoise grise dis-tribue des repas (facturés sur votre carte de crédit puisqueYotel est sans espèces).

La cabine de prestige ressemble à une très jolie boîte. L’éclairagepeut être réglé sur « lumière du jour », « lecture » ou « mauve mélan-colie ». Il y a du rangement sous le lit qui se rétracte par télécommandeet devient un canapé géant. Un « mur techno » cache une penderie,un miroir, une table rétractable, une chaise et un écran télé sur lequelon peut écrire des courriels (le WiFi est gratuit), choisir une station deradio ou une des 10 000 pistes musicales – des Beatles à Zamfir. Onpeut même créer sa propre liste pour de futurs séjours.

La petite douche distribue même du gel douche aux algues.Les cabines standards sont tout aussi privées mais convien-

nent peut-être mal à ceux qui ont des problèmes d’espace.On peut acheter des produits Muji comme du dentifrice et

des contenants en plastique de 50 ml pour les bagages de cabine et un menu à l’écran permet de commander un repasà la chambre.

Le créateur du concept Yotel est Simon Woodroffe,l’homme qui a offert au monde le Yo! Sushi – la chaîne de cui-sine japonaise sur « train » en 1997.

Sur le Web : www.yotel.com.

HILTON FUSIONNE AVEC BLACKSTONEHilton Hotels Corporation a annoncé qu’elle avait conclu

une entente de fusion avec les fonds de placements immo-biliers et de capital d’investissement d’entreprise du groupeBlackstone dans une transaction en espèces évaluée àquelque 26 milliards de dollars.

En vertu de l’entente, Blackstone acquerra toutes lesactions ordinaires en circulation de Hilton à 47,50 $ l’action.On prévoit que la transaction se fera au cours du derniertrimestre de 2007, sous réserve de l’accord des actionnaires deHilton et autres modalités de clôture habituelles. Une réunionspéciale des actionnaires sera fixée plus tard.

L’achat réunit une grande compagnie mondiale dansl’hébergement et le portefeuille important de Blackstone enhôtels et centres de villégiature. Blackstone détient actuelle-ment plus de 100 000 chambres d’hôtel aux É.-U. et enEurope, qui vont de propriétés à services restreints comme LaQuinta Inns and Suites aux LXR Luxury Resorts and Hotels.

Depuis 15 ans, Blackstone est le premier investisseur privémondial dans l’hébergement et est bien connu pour réinvestirdans ses propriétés hôtelières.

Blackstone voit en Hilton un investissement stratégiqueimportant; aucun désinvestissement significatif n’est prévu àla suite de la transaction.

Sur le Web : www.hilton.com

Le Yotel se vante d’êtreune solution aux hôtelsennuyeux et chers grâceà ses bonnes infrastruc-tures et ses bas tarifs.

Photo courtoisie de Yotel.com

32 Juillet 07 LePLANIFICATEUR

Nouvelles hôtelières

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LE SAVOY REMIS À NEUFLe Savoy, un des hôtels anglais les plus réputés dans le

monde, fera l’objet d’une restauration qui comprendral’amélioration des suites magnifiques avec vue sur la Tamise,la rénovation des chambres, des couloirs et de toutes leszones publiques et la réouverture du célèbre River Restaurant.

Le coût estimé de la rénovation, plus de 200 millions de dollarsUS en fait, fait de ce programme de rénovation l’un des plusambitieux de l’histoire de Londres. L’hôtel devrait cesser d’accepterdes réservations en décembre 2007, date de début des travaux.Après une remise à neuf sans précédent, le Savoy rouvrira en 2009.

Sur le Web : www.fairmont.com/savoy.

STARWOOD ET ACCOR S’ACTIVENT À DUBAÏ

Starwood Hotels & Resorts et Accor Hotels sont en pour-parlers avec les autorités de Dubaï pour ouvrir un ensembled’hôtels et de bureaux de 4,2 milliards de dollars dans le dis-trict du nouveau World Trade Centre de Dubaï (DWTC).

Le DWTC, un organisme public d’affaires et de commerce,a commencé la construction d’un site de 1,1 million de m2 aucœur de la ville de Dubaï qui accueillera trois hôtels, desappartements dans des résidences hôtelières et cinq ou sixgratte-ciels d’espaces de bureau de 230 000 m2.

Selon une source, les discussions avec les hôteliers sur lapartie loisirs du projet – plus grand que l’ensemble Broadgatedans la City à Londres – « se situent entre le protocole d’en-tente et les signatures des hôtels ».

On croit que le DWTC discute à la fois avec Starwood etAccor. « Nous discutons avec des hôteliers cinq étoiles trèshaut de gamme », dit une source.

Les appartements seront probablement vendus comme un« concept club » où les investisseurs s’engageront dans un plan

de partage. Les plans du DWTC ne forment que 30 % de l’espace réservé au développement ces prochaines années,dans et autour de Dubaï.

L’INDUSTRIE HÔTELIÈRE MONDIALE BRISEDES RECORDS

• Avec l’ouverture de 150 000 nouvelles chambres en 2006, l’offremondiale de postes des chaînes constituées en société a connu unecroissance record. Le 1er janvier 2007, les 200 premiers groupes dis-posaient de 43 000 hôtels et 5,5 millions de chambres.

• Ce mouvement est soutenu par une année d’activités record: le rétablissement de la demande engendre une améliorationsolide du revenu par chambre disponible (+9,4 %). Le chiffred’affaires du secteur hôtelier mondial affiche une croissance de+12,4 %, un record absolu (332 milliards de dollars canadiens).

UNE CHAÎNE AMÉRICAINE SE LANCE AU R.-U. Le groupe hôtelier américain Wyndham Hotel a lancé sa mar-

que au R.-U. en changeant la bannière de l’hôtel Conrad dans leport de Chelsea à Londres. Wyndham a repris la gestion des 160suites de l’hôtel cinq étoiles, géré auparavant par Hilton, envertu d’une entente de 20 ans avec le propriétaire Blue Harbour2. L’hôtel devient le Wyndham London-Chelsea Harbour.

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Nouvelles hôtelières

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WiTricity devient réalitéDes chercheurs américains du MIT ont testé avec succès un

système expérimental qui alimente des appareils en électricité sans fil. Selon le journal Science, le système aallumé une ampoule de 60W sept pieds plus loin. WiTricity,c’est son nom, relève de la physique de base et peut s’adapterà d’autres appareils, comme les ordinateurs portables et lestéléphones cellulaires.

« Rien n’empêchait cette invention de survenir il y a 10 oumême 20 ans », selon le professeur Sir John Pendry del’Imperial College London qui a vu les expériences. « Mais, jepense que c’est une question de temps. Ces dernières annéesont vu une hausse exponentielle d’appareils mobiles qui ontbesoin de courant. Le cordon d’alimentation était le dernier filà couper dans une connexion sans fil. »

Le système exploite la « résonance », un phénomène qui faitvibrer un objet qui reçoit l’énergie d’une certaine fréquence.Deux objets qui ont la même résonance échangent uneénergie forte sans affecter les objets autour. Au lieu de la réso-nance acoustique, WiTricity exploite la résonance d’ondesélectromagnétiques de très basse fréquence.

« Il reste à réduire la taille de ces choses, à franchir des dis-tances plus grandes et à améliorer l’efficacité », dit un mem-bre de l’équipe, le professeur adjoint Marin Soljacic.

Vivre abstinent pour vivre longtemps ?Un Japonais de 111 ans, reconnu le doyen de l’humanité,

affirme devoir sa longévité à son abstinence. « Je ne bois pas d’alcool – c’est avant tout pour ça que je

suis en bonne santé », a dit Tomoji Tanabe à des reportersrécemment. Il a aussi dit qu’il ne fumait pas et qu’il buvait unverre de lait par jour. Quand on lui a demandé jusqu’à quelâge il voulait vivre, l’ancien fonctionnaire local, fort bienhabillé, a lancé : « Je ne veux pas mourir. »

Les Japonais sont parmi les gens qui vivent le plus vieux.Fin septembre 2006, le pays comptait 28 395 centenaires,selon le ministère de la Santé. Des chercheurs attribuent cephénomène à divers facteurs, dont un régime alimentaire sainet des communautés très unies.

Sommes-nous des pipelettes ?Selon une nouvelle étude, hommes et femmes disent envi-

ron 16 000 mots par jour, en moyenne – ce qui conteste lanotion traditionnelle qui veut que les filles soient beaucoupplus bavardes que les garçons.

« Le stéréotype de la femme bavarde est profondémentancré engrained, devrait lire ingrained dans le folklore occi-dental et souvent considéré comme un fait scientifique », ditMatthias Mehl, un psychologue de l’université de l’Arizonadans un article publié récemment dans le journal Science.

> Pour votre info

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