Journal Intime d’un Père Heureux

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1 Journal Intime d’un Père Heureux. Chapitre 1 Les parents de mon épouse l’ont prénommée Karine et les miens, Gilles. À 41 ans et mariés depuis 12 ans, nous sommes les heureux parents de Albane et Léa, de gracieuses jumelles de 13 ans, qui font notre fierté. Nos filles sont de jolies adolescentes, fines et blondes comme leur maman ! Elles ont de beaux visages ronds, des corps minces et élancés, avec de jolis petits seins acérés, des hanches bien dessinées, des petites fesses hautes et mobiles, des cuisses fuselées et de longues jambes fines. Grande et, elle aussi, élancée, leur maman, avec de beaux seins fermes, ronds et hauts sur poitrine, un ventre à peine marqué, un tour de taille de jeune-fille, des hanches et des cuisses voluptueuses, des fesses rondes bien séparées et des jambes au galbe accentué par des hauts-talons qu’elle porte toujours. Pour ma part, je suis assez mince, j’ai les cheveux châtain clair, un caractère jovial et j’entretiens mon corps en faisant du sport ! Bref, nous sommes une famille normale ! Le temps qui s’écoule ne change rien entre Karine et moi. L’entente de notre couple est parfaite, y compris sur le plan sexuel. Il faut dire que nous nous maintenons en éveil, boostons nos libidos et érotisons nos jeux amoureux, en regardant des films X ! Mais pas n’importe lesquels ! Amélie a accepté ma préférence. En effet, j’affectionne les scénarios détaillant les complexes et subtils jeux de couples coquins et complices, s’efforçant de séduire de belles jeunes filles solitaires ! Lorsque la jolie minette draguée pour l’occasion succombe à leurs coquines manigances et s’offre de plein gré à leurs désirs érotiques, la femme et son mari déroulent avec elle – en duo et en trio – la gamme érotique et variée des jeux amoureux – aussi bien lesbiens qu’hétéros ! Qu’elles se passent entre 2 femmes, entre une femme et 1 homme, ou entre 1 homme et 2 femmes, nous adorons les scènes de séduction, les séquences de jeux amoureux et de longs préliminaires, ainsi que les virils et coquins accouplements ! Toutes ces scènes – qui nous font délirer et follement fantasmer – nous plongent dans des transes amoureuses, qui nous excitent terriblement, nous procurent d’intenses jouissances et d’inoubliables moments d’extase ! L’étonnant de notre histoire – alors que nous sommes très libérés en paroles et en actes et que nous fantasmons aisément sur d’hypothétiques autres partenaires – est que nous n’avons pas encore souhaité sauter le pas et entrer dans les jeux échangistes, ni mélangistes ! Nous nous disons que ça viendra – mais à son heure ! Au moment où commence mon récit sur le clavier de mon ordinateur portable, je suis tranquillement allongé sur notre lit, nu et le dos bien calé par un oreiller ! Tout en caressant ma bite bandée, je regarde sur l’écran, les érotiques images d’un de ces trios dont nous raffolons. Mon érection grimpe encore, en pensant au sourire de mon épouse, lorsqu’elle tombera sur mon sexe bien érigé ! Quand le coucher de nos filles se prolongent – comme c’est le cas depuis quelques jours et, semble-t- il, encore ce soir – ma femme revient hyper-bouillante, avec le regard allumé, la chatte trempée et une féroce envie de baiser ! Alors qu’en temps normal, Karine préfère les longs et excitants préliminaires manuels et buccaux – lorsqu’elle est dans cet état de surexcitation – elle me supplie : De violer son intimité ! De la fourrer

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Un père incestueux raconte ses relations intimes avec ses filles, son enfance décomplexée avec sa mère, et l'histoire de sa rencontre avec celle qui allait devenir sa femme.

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Journal Intime d’un Père Heureux.

Chapitre 1

Les parents de mon épouse l’ont prénommée Karine et les miens, Gilles. À 41 ans et mariés depuis 12 ans, nous sommes les heureux parents de Albane et Léa, de gracieuses jumelles de 13 ans, qui font notre fierté.

Nos filles sont de jolies adolescentes, fines et blondes comme leur maman ! Elles ont de beaux visages ronds, des corps minces et élancés, avec de jolis petits seins acérés, des hanches bien dessinées, des petites fesses hautes et mobiles, des cuisses fuselées et de longues jambes fines.

Grande et, elle aussi, élancée, leur maman, avec de beaux seins fermes, ronds et hauts sur poitrine, un ventre à peine marqué, un tour de taille de jeune-fille, des hanches et des cuisses voluptueuses, des fesses rondes bien séparées et des jambes au galbe accentué par des hauts-talons qu’elle porte toujours. Pour ma part, je suis assez mince, j’ai les cheveux châtain clair, un caractère jovial et j’entretiens mon corps en faisant du sport ! Bref, nous sommes une famille normale !

Le temps qui s’écoule ne change rien entre Karine et moi. L’entente de notre couple est parfaite, y compris sur le plan sexuel. Il faut dire que nous nous maintenons en éveil, boostons nos libidos et érotisons nos jeux amoureux, en regardant des films X !

Mais pas n’importe lesquels ! Amélie a accepté ma préférence. En effet, j’affectionne les scénarios détaillant les complexes et subtils jeux de couples coquins et complices, s’efforçant de séduire de belles jeunes filles solitaires !

Lorsque la jolie minette draguée pour l’occasion succombe à leurs coquines manigances et s’offre de plein gré à leurs désirs érotiques, la femme et son mari déroulent avec elle – en duo et en trio – la gamme érotique et variée des jeux amoureux – aussi bien lesbiens qu’hétéros ! Qu’elles se passent entre 2 femmes, entre une femme et 1 homme, ou entre 1 homme et 2 femmes, nous adorons les scènes de séduction, les séquences de jeux amoureux et de longs préliminaires, ainsi que les virils et coquins accouplements !

Toutes ces scènes – qui nous font délirer et follement fantasmer – nous plongent dans des transes amoureuses, qui nous excitent terriblement, nous procurent d’intenses jouissances et d’inoubliables moments d’extase !

L’étonnant de notre histoire – alors que nous sommes très libérés en paroles et en actes et que nous fantasmons aisément sur d’hypothétiques autres partenaires – est que nous n’avons pas encore souhaité sauter le pas et entrer dans les jeux échangistes, ni mélangistes ! Nous nous disons que ça viendra – mais à son heure !

Au moment où commence mon récit sur le clavier de mon ordinateur portable, je suis tranquillement allongé sur notre lit, nu et le dos bien calé par un oreiller ! Tout en caressant ma bite bandée, je regarde sur l’écran, les érotiques images d’un de ces trios dont nous raffolons. Mon érection grimpe encore, en pensant au sourire de mon épouse, lorsqu’elle tombera sur mon sexe bien érigé !

Quand le coucher de nos filles se prolongent – comme c’est le cas depuis quelques jours et, semble-t-il, encore ce soir – ma femme revient hyper-bouillante, avec le regard allumé, la chatte trempée et une féroce envie de baiser !

Alors qu’en temps normal, Karine préfère les longs et excitants préliminaires manuels et buccaux – lorsqu’elle est dans cet état de surexcitation – elle me supplie : De violer son intimité ! De la fourrer

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fort et longtemps ! De la faire mourir de plaisir ! Et de lui cracher ma semence tout au fond du vagin ! Je suis habitué depuis bien longtemps, au rituel du bonne nuit maternel, servant de prétexte à des câlins, des bisous et des confidences entre mère et filles... !

D’ailleurs loin de me rendre jaloux, la confiance complice que nos filles témoignent à leur maman me rassure beaucoup ! Il n’est en effet pas facile, ni évident, d’élever des jumelles monozygotes aussi proches, complices et en osmose, que le sont Albane et Léa ! L’excellente entente mère-filles me rassure donc.

La première fois où ma femme me rejoignit dans notre lit – après s’être attardé plus que de coutume dans la chambre de nos filles – je fus surpris de la trouver beaucoup plus chaude et érotisés que de coutume !

Ce soir là, je l’attendais et me tenais en forme, en regardant les images d’un des films érotiques, dont nous raffolons ! Mon excitation ne m’empêcha pas de remarquer ses joues rouges, ses lèvres humides et ses yeux brillants ! Karine ne me rapportant que ce qu’elle voulait bien des confidences que lui faisaient les filles, je me gardai de la questionner.

C’est donc d’elle-même – et avec des minauderies et des pudeurs de rosière – que ma femme m’avoua que les jeux très coquins de nos filles étaient la cause de ses émois et de ses ardeurs amoureuses. Sans me laisser le temps de lui demander d’autres précisions, elle me fit part de son plaisir de me trouver aussi vaillant, en caressant mes burnes, en donnant quelques coups de langue taquins sur mon gland, puis en s’allongeant sur le dos.

Troussant gaillardement sa nuisette jusqu’en haut du ventre et ouvrant les cuisses, elle me lança d’une voix assourdie par l’émotion :

– Fourre-moi ta grosse pine, tout de suite, Gilles et pine-moi très fort et très longtemps !

Gagné par sa contagieuse excitation, je plantai mon chibre directement dans la chatte qu’elle m’offrait ! À mon grand étonnement, je la trouvai non seulement grande ouverte, mais aussi ruisselante de ses jus intimes. Mes genoux bien plantés dans le matelas et mon sexe abuté en elle, je m’appliquai alors à faire l’amour à mon épouse, avec tout l’érotisme, la vigueur et l’endurance qu’elle me demandait.

Alors que je devais, d’ordinaire, longuement barater ses chairs intimes pour la faire partir ; Karine se mit très vite à jouir. Elle n’arrêtait pas de secouer la tête, de tortiller des fesses, d’onduler du ventre, de gémir et de pisser ses plaisirs, en me criant de la piner encore plus fort. Emportée par je ne savais quels torrents d’érotisme pervers, ma très chaude et très coquine épouse profita d’une courte pause pour se mettre prestement en levrette et me supplier de la prendre par le cul. Avec, dans la voix, de rauques inflexions de salope en chaleur, que je ne lui connaissais pas.

Sa posture érotico-pornographique, sa disponibilité, son étonnante furie sexuelle et ses mots directs et crus m’excitèrent tant, que je posai aussitôt mon gland sur l’entrée de son sphincter et poussai doucement !

Alors que je m’attendais à l’habituelle résistance, à la crispation de sa rondelle, à ses grognements de douleur et à ses « Doucement mon amour »; j’eus l’agréable surprise d’enfoncer d’un coup mon dard dans son conduit anal, que je trouvais aussi largement ouvert et ruisselant que l’était son vagin !

Karine poussa bien de longs soupirs et de petits cris de souris, mais me laissa violer son anus sans protester. Tandis que je la pilonnais sans aucune retenue, ma femme se faisait jouir en se foutant les doigts dans la figue et en masturbant son clitoris. Lorsqu’elle sentit les crispations annonçant mes éjaculations, Karine me fit déculer d’un preste coup de rein et me cria, sur un ton hystérique :

– Fourre-moi ta pine dans la bouche, chéri, baise-moi la gueule et crache tout ton foutre au fond de ma gorge de salope !

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J’étais si incroyablement excité d’entendre mon épouse s’exprimer aussi trivialement, que je plongeai mon dard encore tout gluant de ses gras jus culiers dans sa bouche béante. Sans l’ombre d’une hésitation, Karine engoula ma bite crade, la lécha amoureusement et la pipa si goulûment, que je ne tardai pas à cracher mon foutre dans son gosier. La force et le volume de mes giclées ne troublèrent pas ma belle goule avide qui, tout en continuant à se masturber et à se faire jouir à pleins doigts, avala jusqu’à ma dernière goutte de sperme.

Plus tard ma femme m’expliqua ce qui avait tourneboulé et exacerbé sa libido. Pour commencer, elle m’avoua que nos filles jouaient sexuellement ensemble depuis déjà pas mal de temps. Comme je m’étonnais qu’elle n’ait pas jugé bon de m’en parler plus tôt, Karine me répondit qu’elle n’avait pas voulu m’embêter, avec ce qui n’était qu’une étape normale – et donc anodine – dans la vie sexuelle des jumelles. Elle ajouta : Que la plupart des filles – encore plus lorsqu’elles sont jumelles – vivaient des expériences lesbiennes ! Elle conclut en me jetant : Qu’elle n’avait rien à m’apprendre sur les amours féminines entre frangines.

En me rappelant ma connaissance des amours féminines, ma femme faisait allusion à mes sœurs, Camille et Laurence. Mes sœurs, qui ont un an de moins que moi sont, elles aussi, jumelles. Elles avaient vécu ensemble, durant un temps une relation lesbienne. Comme pour nos filles, mes sœurs s’étaient d’abord amusées ensemble en cachette et n’avaient avoué leur relation à nos parents que vers 17 ans ! Si leurs petits jeux de gouines, parfois bruyants amusaient beaucoup nos géniteurs, ils ne faisaient pas mon affaire.

***

Chapitre 2

En effet, vers l’âge de 12 ans, les nouvelles préférences de mes sœurs pour les jeux et plaisirs entre filles, retardaient mon projet de m’étrenner le chibre en les dépucelant l’une après l’autre.

Ça semblait pourtant bien parti. Elles avaient, en effet, joué plusieurs fois avec ma bite de garçon de 11 ans et m’avaient laissé toucher leurs petits nichons et passer les doigts sur leurs fentes imberbes.

Allongé entre elles, je m’étais, aussi, plusieurs fois masturbé et fait juter, pendant que chacune se faisait du bien, en caressant son clitoris.

Quand je leur fis part de ma frustration – dû à leurs relations lesbiennes, dont j’étais exclus – mes sœurs me répondirent gentiment qu’elles pensaient toujours à faire craquer leurs deux hymens en s’emmanchant sur ma bite. Mais mon sexe était trop petit à l’époque. Pour l’instant – leurs jeux de gouines accaparant toute leur attention, leur énergie et leur érotisme – leurs dépucelages n’étaient plus vraiment d’actualité. Elles ajoutèrent – à condition que je leur foute la paix – qu’elles m’autorisaient à me masturber et à me faire jouir, en les regardant se gouiner ! Le pire, c’est que j’acceptais sans insister, ni chercher à les sauter.

Je dus donc patienter quelques années ; en me paluchant un nombre incommensurable de fois et en éjaculant sur des essuie-tout, pour ne pas tout saloper.

J’avais juste le droit de bander, de m’astiquer et de juter, en regardant ces deux chaudes salopes se rouler des patins enflammés, se peloter à pleines mains, se fourrer les doigts, la bouche et la langue dans la chatte et le fion et se bouffer le clito, en jouissant jusqu’à plus soif.

Au final, mes sœurs changèrent si totalement d’avis, que j’attendis en vain. Alertées par les confidences de copines à elles – qui avaient trouvé très excitant d’offrir leurs virginités à leurs pères respectifs – mes frangines voulurent faire de même.

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Ne voulant pas créer de problèmes au sein du couple parental, les jumelles demandèrent l’avis de notre mère. Celle-ci s’avoua très émue à l’idée de voir son mari déflorer, piner et donner du plaisir à leurs filles. Trouvant l’offre de notre mère de participer activement à leur dépucelage, super-coquine et même adorablement perverse, mes sœurs l’acceptèrent de grand cœur.

Je leur dis vertement ce que je pensais de leur revirement, lorsqu’elles me mirent au courant de leur choix. Elles me dirent que j’avais tort de m’énerver, puisque je ne perdais pas grand-chose. Elles voulaient, en effet, que je sois présent – pour moi aussi leur faire l’amour – dès que notre père les auraient déflorées. J’eus beau insister pour qu’elles changent d’avis, mes sœurs trouvaient l’idée de ce dépucelage paternel bien trop vicieux et surtout bien trop immoral, pour ne pas y goûter !

C’est ainsi que quelques jours plus tard, mes chaudes frangines à peine âgée de 18 ans – bien préparées par les doigts et la langue maternelle – offrirent leurs virginités à notre papa. Camille, la plus chaude et impatiente des deux, voulut se faire craquer l’abricot la première. Du moment que ses filles lui demandaient elles-mêmes de les déflorer, notre père se moquait bien de leur ordre de passage. Lorsqu’il craqua, successivement, leurs deux hymens, son visage était rouge et il bandait comme un étalon. Il passa ensuite de l’une à l’autre – fourrant et barattant vivement leurs craquettes jusqu’à les faire jouir et crier de plaisir.

Pour être certaine que je suivais de tout près, notre mère me poussait de son corps nu. C’est donc avec les seins maternels écrasés contre mon dos et ses doigts pelotant mes couilles de 17 ans et masturbant ma bite, que je suivis, en direct, la défloraison incestueuse de mes frangines !

Non contente de frotter ses mamelles sur mon dos, de me tripoter et de me branler, Maman me complimentait sur les belles proportions de mes attributs virils et sur les plaisirs que j’allais donner à mes salopes de sœurs en les pinant.

– Tu ne t’occuperas pas que de tes sœurs, mon poussin ! Tu me donneras aussi ta belle bite à sucer, tu fourreras ta queue dans mon vagin, tu me pineras longtemps et tu me feras jouir en crachant ta semence au fond de mon vagin ! me lançait-elle, tout haut.

J’aurais, sans doute, pu fermer les yeux, afin de m’éviter les frustrations que je ressentis devant la perverse jubilation de notre père, lorsqu’il enfonça son gros dard dans le vagin vierge de mes sœurs !

En plus, papa s’amusa à ressortir son sexe à plusieurs reprises et à nous le montrer, couvert du sang des hymens qu’il venait d’exploser comme un salopard.

Mais je restai là, planté comme un con, laissant ma mère m’embrasser dans le cou, astiquer mon chibre et me faire cracher mon sperme, en regardant Camille et Laurence crier et pleurer de douleur, en se faisant brutalement déflorer.

Un peu plus tard, les jumelles crièrent à nouveau sous les assauts de notre père – mais cette fois de plaisir ! Elles prirent leur pied et pissèrent leurs jouissances, pour la première fois, sous les assauts d’une pine d’homme.

Dès que notre père en eut fini avec Camille, Maman me fit prendre sa place. Elle guida mon chibre jusqu’à l’orifice vaginal de ma sœur et poussa sur mes fesses, en me criant de piner ma frangine et de bien défoncer cette petite salope. Ce que je fis avec plaisir. Je dus m’y prendre correctement, puisque Camille regrimpa très vite au ciel. Ma sœur passa ses cuisses autour de ma taille, croisa ses pieds dans mon dos, s’accrocha à mon cou et prit très vite son panard, en me criant de la fourrer encore plus vite et plus profond.

– Attention Gilles ! Tu sais que tu dois sauter en marche, me rappela notre mère.

– Oui Maman.

– Tu n’as qu’à te finir à la main et cracher sur la gueule de ta frangine. Je suis certaine qu’une minette salope comme elle, va adorer bouffer le sperme de son frère, précisa-t-elle, d’une voix enrouée par l’émotion.

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Camille en prit, en effet, plein la gueule pour sa plus grande joie. Non contente d’avaler le sperme que je lui crachais dans la bouche et de se tartiner ce que j’éjaculais sur son visage, ma sœur léchait aussi ses doigts, avec des mines de chatte gourmande. Quelques instants plus tard – toujours aidé par notre mère, qui me fit très adroitement et très vite rebander, je sautai, à son tour, Laurence. Ma frangine s’écarta en grand pour que je la tringle, m’enlaça, elle aussi, des jambes et des bras, prit, elle aussi, des pieds à répétition et ouvrit toute grande la bouche pour que j’y éjacule.

Hormis le double dépucelage incestueux de mes sœurs et la première fois où je leur fis l’amour, l’autre moment mémorable de la soirée fut lorsque nos parents firent l’amour sous nos yeux.

Alors que je me câlinais avec les jumelles, après les avoir toutes deux pinées, nos parents se mirent en 69. Ils se caressèrent, se branlèrent, se léchèrent et se jetèrent leurs jus intimes au visage, comme si nous n’avions pas été là.

Plus tard, ils s’accouplèrent et firent l’amour avec une impudeur et une fougue qui nous laissa sans voix. Ils excitèrent si fort mes frangines, qu’elles se jetèrent sur ma bite et la pipèrent comme deux érotiques et insatiables goules. Je les rebaisais alors, à tour de rôle et me terminai en jutant sur leurs seins pointus. Tandis que notre père enculait Maman et la traitait de poufiasse et de maman salope, il lui déchargeant son sperme dans le fion.

Une douche et nous sommes tombés et endormis pêle-mêle dans le grand lit parental. Ce qui, au matin, permit à mon père de se faire sucer par les jumelles, pour ensuite, piner Camille, tout en léchant la chatte de Laurence. Puis d’inverser.

Je n’en revenais pas de voir la bite de mon père, encore bandée à mort, après la folle soirée d’hier. Je bandais moi aussi ce qui rappela à ma génitrice ses idées d’accouplements incestueux d’hier. Maman caressa ma verge, puis la suça, avant de se mettre à quatre-pattes, puis de m’ordonner de la baiser tout de suite et bien à fond.

Je fourrai donc ma bite comme Maman me le demandait. Inutile de préciser que j’étais sur un petit nuage, en ramonant avec ardeur, le conduit par lequel j’avais vu le jour. Mon ardeur fut vite récompensée par les coups de hanches chaloupés, les gémissements.

J’atteignis le ciel, lorsque Maman me cria :

– Encule-moi de suite, chéri et vas-y de bon cœur ! comme si sa vie en dépendait.

Écartant ses belles fesses à deux mains, elle me présenta sa rondelle plissée, en m’exhortant à la fourrer : Bien à fond ! Ce que je fis. Elle partit presque aussitôt et ne cessa plus de jouir jusqu’à ce que j’aie fini de grogner comme un verrat, en vidant ma semence dans les méandres des intestins maternels.

J’étais encore à demi comateux, lorsque j’entendis Camille crier ! Non content d’avoir déflorée sa chatoune, notre salopard de père voulait aussi étrenner le cul de sa fille.

– Doucement Papa, ça fait vachement mal !

– Il faut savoir ce que tu veux ma puce ! Tu t’es bien excitée en voyant ton frère enculer ta salope de mère et c’est toi qui m’as demandé de te prendre par là, non ?

– Euh, Oui...

– Mais rassure-toi ! Le plus dur est passé, puisque je t’ai déjà fourré la moitié de mon chibre dans le fion.

– Aïe !

– Je vais encore te faire un peu mal et un peu gueuler en rentrant le reste, mais je limerai, ensuite, doucement ton conduit anal et j’y ferais tourner ma bite pour agrandir le passage et élargir ton sphincter.

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– T’inquiète pas ma chérie, ajouta ma mère en lui caressant son joli visage. Tu vas un peu souffrir, brailler et pleurer ma chérie, puis tu vas ensuite vite trouver ça très bon de te faire sodomiser.

– Ce sera alors toi qui me supplieras de t’enculer, renchérit mon père, vite, fort et profond et de te juter dans le fion pour te faire prendre ton premier panard anal.

Papa fit comme il avait dit ! Il encula ma sœur Camille à grands coups de reins, dilata odieusement son conduit anal, la fit gueuler comme une chatte couverte, en lui barattant le sphincter et en crachant son sperme dans ses intestins.

Comme je vous l’ai dit, notre salopard de père tenait vraiment la forme. En effet, alors que Maman peinait à faire durcir ma queue – qui avait déjà juté dans son vagin et son anus – papa faisait brailler Laurence, en lui ramonant – à elle aussi – le trou de balle à belle allure !

Elle aussi, prit son fade et piaula comme une sirène détraquée, en se faisant arroser les boyaux par le sperme paternel ! Mais ce qui me surpris, c’est de voir ma sœur nettoyer et piper la bite que papa sortait tout juste de ses intestins !

Leurs sphincters étant déjà bien graissés et élargis par le gourdin de notre père – et ma bite n’étant pas aussi grosse, ni raide que celle de notre géniteur – mes frangines souffrirent moins lorsque je les sodomisai à mon tout ! Elles semblèrent même apprécier ma façon plus calme de fourrer leurs derrières ! J’avais beau être très excité de prendre Camille au petit, je n’avais pas encore juté, lorsque mes longs coups de bite cadencés dans son anus, firent prendre son pied à ma sœur !

Notre mère me laissa fourrer ma frangine – et bien lui faire pisser ses jouissances – puis me conseilla de me finir dans le cul de Laurence !

Je carrai donc mon dard dans le fion de la seconde jumelle, qui n’attendait que ça ! Je l’enculai sur le même rythme et l’amenai très vite à la jouissance. Laurence piaillait d’ailleurs depuis 10 bonnes minutes en prenant son pied, lorsque je lui crachai mon foutre dans ses intestins !

– Ça suffit pour ce soir, Gilles ! Ton père a magnifiquement dépucelé les vagins et les anus de ses salopes de filles et tu les as, toi aussi, fort bien baisées et enculées. À vous deux, vous les avez tant fait jouir, que les petites sont demi-mortes et vous avez, vous aussi, tant juté, que vous ne valez guère mieux ! DONC DODO, décréta notre mère !

Dès le repas de midi suivant, nos parents mirent les choses au point. Ils n’avaient aucun remord et ne regrettaient rien de ce qui s’était passé entre nous. Cependant, ils ne tenaient pas à renouveler ce qu’ils appelaient : un érotique moment d’abandon familial.

Papa reconnut que Maman et lui avaient satisfait avec nous leurs fantasmes érotiques les plus secrets et les plus pervers. Il conclut pourtant, en expliquant que nous devions garder tout ça enfoui en nous, reprendre une vie familiale normale et contrôler nos désirs par trop libidineux, afin que la maison ne devienne pas un lupanar.

Si nous voulions continuer à faire l’amour entre frère et sœurs, ils n’y voyaient rien à dire, mais tenaient à ce que nous le fassions aussi discrètement que possible.

Sur le coup, ça jeta un froid et nous prenions des précautions de sioux, pour baiser. J’avais mon avis sur le sujet mais lorsqu’en les sautant, je demandais à mes sœurs si elles baisaient parfois avec nos parents – elles se contentaient d’éluder.

Le temps a passé. Nous avons, ensuite, tous trois fréquentés. Moi des filles et mes sœurs des garçons ! Nous nous sommes mariés, nous avons donnés des enfants à nos parents et nous avons tous gardé, enfoui au fond de nos cœurs, nos coquines, ardentes et passagères relations familiales interdites.

***

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Chapitre 3

Mais revenons aux confidences de mon épouse, à propos des amours lesbiennes et incestueuses de nos jumelles de 13 ans, Albane et Léa.

En les écoutant, ma femme remarqua que les petites s’échauffaient, en lui avouant leurs jeux et en sollicitant des conseils, à propos des caresses qu’elles échangeaient.

Les jumelles s’inquiétaient, notamment, des côtés immoraux et interdits de leurs relations. Ainsi que des risques que leurs jeux lesbiens, faisaient courir à leurs virginités.

Soucieuse de ne pas montrer à nos filles que leurs érotiques aveux la troublaient énormément, Karine répondit de son mieux à leurs interrogations. C’est ainsi que pour les rassurer, elle avoua aux petites avoir eu, elle aussi, des relations lesbiennes avec ma sœur ainée, durant ma jeunesse, puis avec plusieurs copines colocataires, durant mes années de fac.

Afin de leur faire comprendre que les jeux lesbiens contrôlés ne sont pas dangereux pour la virginité, Karine insista sur le fait que lorsque nous avons fait connaissance, elle avait encore des relations lesbiennes mais qu’elle était, cependant, toujours vierge.

Elle précisa aux petites que l’expérience qu’elle avait acquise dans ses liaisons entre filles lui avait permis d’être plus calme et mieux préparée lorsqu’étant certaine de la force et de la pérennité de notre amour, elle m’offrit sa virginité.

Encouragées par l’allusion de leur maman à sa virginité, nos filles lui posèrent des questions sur la perte de celle-ci.

Avait-elle sucé ma verge avant et avais-je léché sa minette ?

Avais-je été doux, ou brutal, en la prenant ?

Est-ce que ça avait duré longtemps ?

Avait-elle souffert ? Avait-elle beaucoup saigné ?

Avait-elle éprouvée du plaisir ? Avais-je éjaculé en elle ?

Lui avais-je fait l’amour plusieurs fois ?

Voyant que nos filles étaient vraiment concernées, Karine essaya de leur répondre le plus simplement, le plus clairement et le plus sincèrement possible !

Albane et Léa l’écoutèrent, puis voulurent savoir comment se passait la vie sexuelle, dans un couple comme le notre, marié depuis près de 20 ans ?

Étions-nous toujours amoureux ?

Avions-nous toujours envie l’un de l’autre ?

Faisions-nous souvent l’amour ?

Y prenions-nous toujours plaisir ?

Papa était-il toujours aussi fort ?

Étions-nous parfois jaloux ?

Avions-nous des aventures extraconjugales ?

Là encore, leur mère essaya d’être précise et sincère. Les fillettes de 13 ans écoutèrent et manifestèrent leur étonnement, lorsque Karine leur dit que nous faisions l’amour presque chaque

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jour, que nous en retirions toujours énormément de plaisir et que j’étais toujours extrêmement vigoureux. Elles furent aussi surprises, en apprenant que nous préférions nous servir de nos fantasmes, pour booster nos jeux érotiques, plutôt que d’aller chercher ailleurs.

Lorsqu’elle m’eut avoué les relations secrètes qu’entretenaient nos filles, Karine me précisa pourquoi elle ne m’en parlait que maintenant. Elle ne l’aurait sans doute pas fait, si les jumelles ne s’étaient pas embrassées, caressées, mises nues et, au final, carrément gouinées sous ses yeux ébahis et excités.

Scotchée par la beauté des corps de nos jeunes filles, autant que par leur culot et le pervers érotisme de leurs jeux saphiques, Karine resta à les mater. Elle m’avoua même avoir mouillé comme dans son jeune temps, en se remémorant ses propres jeux amoureux entres filles.

En lançant des regards vicieux à leur maman, les jumelles se positionnèrent alors en 69. Leur dextérité à doigter leurs anus et leur fougue à branler et lécher mutuellement leurs figues et leurs clitoris déjà bien développés, dénotaient une belle expérience des jeux lesbiens.

Ces coquinettes interrompaient parfois leurs lubriques jeux incestueux. Elles regardaient Karine en souriant et demandaient :

– Alors Maman ? On te plaît en gouines ? Ça ne te donne pas envie d’y re-goûter avec nous ?

Les petites sodomisèrent si coquinement leurs petits anus et branlèrent et léchèrent si ardemment leur chatte et leur clitoris, qu’elles se firent très vite crier et jouir. Leurs visages brillaient de leurs sirupeuses humeurs intimes, lorsqu’elles se mirent face à face. Elles s’embrassèrent à pleine bouche, pelotèrent leurs petits seins fermes et torturèrent leurs fragiles tétons, en jetant des regards excités à leur mère.

Prenant son silence et son immobilité pour un accord complice, ses filles se rapprochèrent de Karine, qu’elles embrassèrent et caressèrent à son tour. Elles lui ôtèrent aussi sa nuisette, en lui précisant qu’elle serait mieux nue, pour faire l’amour.

Bien que chauffée à blanc par les érotiques gougnottages de nos jumelles, Karine tentait mollement de contenir leurs ardeurs. Elle dit ne pas se rappeler comment elle s’était laissé gagner par la contagieuse furie sexuelle des petites. Toujours est-il qu’elle finit par répondre à leurs baisers et à leurs caresses incestueuses.

Sans plus se modérer, ni se poser de questions, elle se retrouva bouche à bouche avec Albane, tandis que les doigts mutins de Léa fouillaient son intimité. Bien lancées dans leur trip incestueux, ma femme et nos filles se caressèrent, s’embrassèrent, se pelotèrent et se masturbèrent sans aucune honte, ni pudeur.

Il ne leur a pas fallu longtemps pour arriver à la jouissance et pour se pisser leurs fluides et tièdes jus intimes sur les doigts, les unes des autres.

Karine se revit partir sous le branle incestueux des doigts d’Albane, associé au grignotage effréné de ses seins par Léa. Elle se souvint aussi avoir mangé la bouche de Léa et lui avoir si bien travaillé le clitoris et la figue avec ses doigts, que notre fille cria comme une accouchée, en prenant son énième panard.

Ma femme ne perdit pourtant pas totalement la tête. En effet, les jumelles eurent beau continuer à l’embrasser, à enrouler leurs langues à la sienne, à peloter, lécher, et mordiller ses seins lourds, ainsi qu’à fourrer leurs doigts dans son vagin et son anus, leur mère refusa les minettes mutuelles que ces petites garces lui proposaient. En prétextant que j’allais m’inquiéter et que je risquais de venir la chercher – si elle tardait encore à me rejoindre – Karine pu réussir à quitter les filles !

***

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Quand elle se tut et me regarda, je compris à son regard allumé, que ma femme avait envie de remettre le couvert. Elle recommença d’ailleurs à caresser ma verge, en se demandant tout haut si elle devait continuer à aller embrasser les filles chaque soir. L’érotisme de ses confidences ayant considérablement fait bondir ma libido et mon excitation, je répondis en riant :

– Tu ne devrais pas tant te poser de questions, ma chérie !

– Nos filles font l’amour entre elles et tu as déjà bien commencé à le faire avec elles, il me semble ? Alors, je ne vois pas pourquoi vous ne vous feriez pas aussi jouir en vous bouffant la chatte – et le reste – puisque vous en avez envie, toutes les trois ? Pourquoi hésiter, puisque les petites sont consentantes et chaudes-bouillantes et que tu ne risques pas d’attenter à leur virginité ! Lançai-je fermement.

– C’est vrai que les pucelages de nos filles courraient certainement plus de risques, si c’était toi qui allais leur dire bonne nuit ! Constata ma femme, en riant.

– Mais ce n’est pas le cas, ma chérie et ça ne le sera, sans doute, jamais !

– À la façon dont tu dis sans doute, je sens une pointe de regret dans ta voix, Gilles !

– Pas du tout Karine, tu te fais un film ! D’ailleurs que pourrais-je regretter ?

– Maintenant que je tu connais mes jeux sexuels avec les filles, tu pourrais regretter d’être contraint de te branler, pendant qu’on se gougnottera, que nos filles me jouiront dans la bouche et que je leur pisserai ma cyprine dans le bec ?

– Si tu ne tournes pas en lesbienne pure et dure et si tu me reviens toujours en chaude salope, je veux bien que tu baises tous les jours avec les petites !

– Tu dis ça chéri, mais je pense que tu préférerais te joindre à nous et jouer, toi aussi, avec les petites !

– Là, tu pousses, Karine ! Si je reconnais que vos jeux lesbiens m’excitent, il n’est pas question que je touche aux jumelles !

– Calmos chéri ! Loin de moi l’idée de te voir étrenner nos filles comme tu l’as fait avec tes sœurs ! Tu pourrais juste t’amuser avec elles et avec moi, pour leur faire découvrir de nouveaux plaisirs ? Les petites m’ont faites comprendre qu’elles n’ont jamais vu de verge d’homme et je pense qu’elles adoreraient s’amuser avec le gros sexe de leur papa !

– Tu t’entends Karine, quand tu dis que nos filles t’ont faites comprendre et que tu penses ? En fait, la perversité des jumelles t’excite, tu te fais ton propre cinéma et tu voudrais que j’entre dans vos relations coquines, sans être certaine que les petites en ont vraiment envie.

Je me callai sur les oreillers. Ma pine déjà soulagée, bandait doucement.

– Parce que tu accepterais de jouer avec nous, si les petites te le demandaient, Gilles

Je ne me suis pas posé la question et de toute façon, nous n’en sommes pas là ! Que je sache, tu en étais à te demander si tu continuais ou pas tes visites du soir dans la chambre de nos filles ? En d’autres termes, vas-tu, ou non. continuer à te gouiner avec nos filles et à me revenir prête à toutes les folies sexuelles ?

– En somme, tu me laisses baiser avec les petites, pourvu que je sois, ensuite, bien salope avec toi ? Dis-toi bien que si nos filles sont assez coquines pour se gouiner entre elles et se foutent assez de l’inceste pour se gougnotter avec moi, elles envisagent, sans doute, de se faire craquer l’hymen par leur papa !

– Tu prends tes désirs vicieux pour la réalité, ma chérie et je doute fort que les filles pensent à moi pour les initier !

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– Je constate que tu es déjà moins virulent et que l’idée de dépuceler les jumelles te semble moins hors de propos. Ta bite bien dure et longue, semble montrer que ça ne te déplairait pas.

– Tu fantasmes, chérie, mais tu as pourtant raison ! En effet, quel papa ne serait pas excité par la perspective de craquer l’hymen de ses filles ?

– J’étais certaine que tu me répondrais ça, mon amour ! Dommage que ce ne soit qu’un fantasme, car j’aurais aimé voir si tu tenais le choc en face de deux pareilles furies et si tu étais capable de craquer leurs deux pucelages dans la foulée, sans cracher ton foutre dans leurs vagins ! Lança ma femme, en guise de conclusion.

Le lendemain soir, Karine me laissa dans la chambre pour coucher les filles. Je pianotais sur ma tablette afin de me distraire d’une érection monumentale. Comment faire pour ne pas penser à ma femme léchant les petits abricots de nos filles de 13 ans. J’imaginais les corps des gamines enlacés avec celui de leur mère. Une boule d’excitation m’étranglait.

On frappa à la porte qui s’entrebâilla doucement.

– Papa !

– Oui Albane.

Ma fille entra dans la chambre à petits pas. Elle était nue. Elle était belle. Elle était ma fille. J’observais un instant son corps menu de gamine un instant – ses hanches étroites, ses jambes maigres, son sexe finement fendu, son ventre légèrement bombé et percé d’un nombril amusant et les deux petites bosses surmontées d’un téton noirâtre cerné d’une aréole rosée.

– Qu’est-ce que tu veux ma puce ?

– Léa et moi voulons que tu viennes nous dire au revoir, tremblait-elle avec un léger sourire sur son visage d’ange.

Je m’étranglais. Les yeux de braise d’Albane me transperçaient.

– Viens Papa, lança-t-elle en sortant de la chambre.

J’examinais son cul tout rond et très serré quitter la pièce.

Qu’allais-je faire ?

***

Chapitre 4 - Fin

Il y a des moments dans la vie où ce que vous vivez est parfait. Des instants complets, pleins. Ces minutes de plénitudes se dilatent et vous font vivre une éternité qui s’inscrit en vous et demeure indélébile. Rare moment de bonheur absolu.

Je l’ai vécu ce soir là. Le soir où Albane est venue me chercher dans ma chambre. Dans la chambre de mes jumelles où ma femme m’attendait nue, lascive, étendue sur le lit de Léa qui caressait le ventre de sa maman. La mère et les jumelles alanguies sur les draps froissés m’attendaient toutes excitées. Excitation totale de regarder mes deux enfants, blotties l’une contre l’autre, toutes nues, fraîches de leur jeunesse, ingénues de leur 13 ans, lascives de leurs expériences, attendant le mâle. Le mal qui s’insinua en moi comme un filée d’alcool fort coulant doucement dans l’œsophage et s’insinuant dans le sang, me poussa à avancer vers le lit.

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– Déshabille-toi mon amour, murmura Karine qui passait ses mains sur les cuisses des jumelles tandis que Albane et Léa me regardaient avec impatience et interrogation.

Je dénouais ma robe de chambre et me retrouvait en pyjama. Léa continuait à caresser le ventre plat de sa mère pendant que sa sœur se caressait l’abricot avec ses petits doigts d’enfant. J’ôtai ma veste de pyjama. Ma poitrine se soulevait à rythme rapide sous l’excitation de la situation incestueuse. Mon cœur battait fort et résonnait dans mes tempes. L’index d’Albane se frayait un chemin entre la fente fine de son sexe. Les cuisses largement écartées pour l’opération, ma fille me fixait avec appréhension. Je baissais le pantalon de pyjama. Ma bite presque déjà horizontale, gonflait sous le regard envieux de Léa et de sa sœur.

– Viens avec nous mon amour, m’invita Karine dont les yeux brillaient.

Je m’agenouillais sur le bord du lit et tendit les mains vers les jumelles qui se redressèrent. Les deux gamines, dans leur corps de 13 ans, vinrent se blottir tout contre moi. Je passais mes mains timidement sur leur dos. Elles posèrent leurs petites mains sur ma peau et je tressaillis.

Allongée sur le lit défait, son sexe glabre exhibé, Karine nous observait avec tendresse. Le tableau devait être effectivement très joli. Un homme de 41 ans dans toute sa puissance physique, entouré par deux enfants gracieuses, aux visages ronds, des corps minces et élancés, avec de jolis petits seins acérés, des hanches bien dessinées, des petites fesses hautes et mobiles, des cuisses fuselées et de longues jambes fines.

– Les filles ! lança Karine en caressant lentement son clitoris. Vous vouliez toucher le sexe d’un homme, je crois ?

Les jumelles se regardèrent un instant et pouffèrent de rire. Léa toucha ma tige bien raide du bout de son index tandis que sa sœur caressa du creux de sa main, mes testicules. Je laissais les jumelles découvrir mon appareil génital tout en caressant leur peau si douce. Sentir leurs doigts sur mon sexe, examiner leurs regards furtifs de gêne et d’excitation, entendre leurs petits rires nerveux me transportaient de joie.

Les yeux d’Albane brillaient de désir et, sporadiquement, elle me lançait des regards mêlés d’excitation et de supplique. Ses prunelles de braise fouillaient ma retenue ; je l’aurais plaquée sur le lit et baisée comme une pute tellement mon ardeur se maintenait à son paroxysme.

– Mes chéries, vous pouvez l’embrassez, le sucer et tout ! invita Karine qui malaxait ses beaux seins fermes, ronds et hauts sur poitrine.

Une bouche embrassa mon gland et une langue se posa sur la base de la verge. Je crus défaillir. Je ne voyais plus les visages angéliques des jumelles. Toutes affairées à découvrir mon sexe en érection, elles se le partageaient. Puis Albane le mit dans sa bouche et l’avala jusqu’au fond de sa gorge. Sa petite bouche de gamine n’en prit pas beaucoup mais elle le suçait bien pour une première fois. Léa la bouscula pour la remplacer. Sa bouche se fit plus voluptueuse. Je croyais foutre directement là, dans la bouche de ma fille.

Je passais mes doigts dans leurs cheveux tout fins et regardait leur corps magnifique d’enfant. Leur cul surtout.

– Ne pompez pas trop votre père les filles ! Vous finiriez par le vider et il ne pourrait plus vous rendre femme.

Tout s’accéléra. Nous nous installâmes tous les quatre dans le lit et nos corps s’emmêlèrent dans une danse parfaite et harmonieuse. Je faillis encore jouir lorsque ma bouche trouva celle de Léa et que nous osâmes un baiser amoureux, que nos langues s’entrelacèrent. Ma pine était constamment sollicitée soit par des doigts, des mains, une bouche, une langue... Karine m’offrait sans arrêt son sexe. Elle jouissait à répétition et semblait ivre de bonheur. Je croquais le cul d’Albane qui riait de bon cœur. Elle cessait lorsque ma langue s’immisça entre la raie et toucha son orifice. Je pressais

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l’anneau pour en tester la souplesse. Heureux je fus lorsque le bout de ma langue pénétra quelques centimètres.

Karine passait de l’une à l’autre, me donnait son sexe et ses seins. Elle embrassait à pleine bouche ses filles tandis que j’avais encore quelques réticences. Ses jambes enlaçaient les petits corps de nos filles qu’elle invitait à la gougnotter. Léa était particulièrement attirée par la poitrine ronde de sa mère qu’elle suçait comme un nouveau-né.

Alors que j’étais allongée en travers du lit, des corps me barrant les jambes, mes doigts perdus dans le sexe humide de ma femme, Albane s’approcha de mon visage. Elle me sourit. Mon cœur frémit. Ses yeux de braise me transperçaient. Elle approcha et nous nous embrassâmes très longuement, très amoureusement. Elle m’offrit l’un des plus beaux baisers de mon existence. J’en fus tourneboulé. Habilement, Karine plaça Léa dans la longueur du lit et m’invita à m’allonger sur elle. Les jambes bien repliées, ma petite fille me regarda avec appréhension.

– Papa va te rendre femme ma puce. Tu vas avoir un peu mal mais tu vas donner le plus beau cadeau à ton père : ta virginité.

– Je fais quoi, demanda naïvement Léa qui tenait la main de sa sœur qui c’était placée assise au bord du lit pour observer la scène.

– Tu te détends, et sent la queue de ton père entrer en toi.

Je m’exécutais. Le gland posé sur l’abricot, je poussais doucement. Les deux galbes s’enfoncèrent un peu mais la fente demeura serrée malgré la préparation de la bouche de Karine. Léa me fixait. Je lui souris gentiment pour ôter la peur que je lisais dans ses yeux. La fine fente ébaucha une légère ouverture. Albane caressait les seins de sa sœur tandis que Karine passait sa main sur son ventre.

Mon gland commença sa lente pénétration entre les deux petites coquilles de chair qui s’écartaient. Le visage de Léa se crispa un peu mais je continuais mon avancé sentant les chairs de ma fille accueillir la verge raide de son père. Je perçu l’hymen mais il ne résista pas et n’occasionna pas de douleur à Léa. Son vagin de gamine hébergeait maintenant un sexe d’homme, la queue de son papa, l’érection de son géniteur. Elle se détendit et m’enlaça avec tendresse.

Karine et Albane l’embrassèrent et caressèrent tout son corps. Je m’activais un peu et allait et venait en elle. Son conduit était si étroit ! Cela me démangeait de la défoncer pour extirper un orgasme. Mais je me contins et sillonnai ma fille de 13 ans avec lenteur et douceur.

Albane prit la place de sa jumelle et, impatiente, me demanda de la prendre. Nous rigolâmes tous les quatre de son impétuosité. Ma queue toujours dans une belle érection se fraya un chemin entre ses lèvres et percuta sa virginité qui se déchira. Albane poussa un petit cri mais sa mère et Léa la baisèrent tant qu’elle se radoucit. Je labourais ma fille pendant quelques minutes et, à la surprise de tous, elle jouit.

Je me redressais et demandait qu’on me suce car je n’y tenais plus. Les trois visages s’approchèrent donc de la verge paternelle. Elles me sucèrent à tour de rôle et je comparais les sensations, les techniques. Les langues me léchèrent, me butinèrent. Dressé sur le lit, j’admirais mes jumelles et ma femme s’occuper de ma queue.

– Je viens !

Karine prit ma tige et me masturba avec rigueur tandis que les fillettes soupesèrent mes bourses. Elles approchèrent encore leur visage et se collèrent les unes aux autres. Le premier jet atterrit sur le front d’Albane qui sursauta puis ce fut au tour de Léa de recevoir une giclée de sperme sur son petit nez aquilin. Karine vint chercher son dû. Je gueulai de plaisir. Rarement ma jouissance avait envahi tout mon corps. Des mollets jusqu’au cou, mon corps frémit.

Je laissai ensuite les filles me lécher, se lécher. Toilette avec leur bouche, s’aspirant le sperme coulant sur leur visage. Bref : un miracle !

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***

Nous avons fait l’amour encore une bonne partie de la nuit. Karine et moi avons fait jouir plusieurs fois nos filles. J’enculai les jumelles qui souffrirent beaucoup mais je les remerciai tellement qu’elles me laissèrent recommencer.

La nuit fut magique. Et notre vie après ! Les années ont passés, les jumelles grandirent et eurent leurs premiers petits copains. Mais une fois par semaine nous nous retrouvions pour notre communion familiale.

Une fois partie de la maison pour leurs études nous nous retrouvions aux vacances pour des orgies incestueuses. Quelques années après, lorsqu’Albane tomba enceinte d’un mec qu’elle ne revit point, nous convînmes que nous nous occuperions de l’enfant comme il se devait. Ce fut un garçon : Nathanel. Comme les jumelles vivaient ensembles, ce fut simple de nous revoir régulièrement. Nous baissions fréquemment. Même si des hommes croisèrent la vie des filles, elles restèrent fidèles à notre relation.

Nathanel grandit et vers l’âge de 12 ans, sa tante Léa l’initia au plaisir sexuel et très rapidement, guidé par sa grand-mère il perdit sa virginité en pénétrant sa mère lors d’une soirée fameuse. Et moi j’étais content, car seul avec les trois femmes, c’était difficile !

Karine ma femme

Chapitre 1 : Comment j’ai rencontré Karine.

Le souffle court, le corps moite, le cœur battant à tout rompre et les idées obscurcies par de fastueuses jouissances, je tente, péniblement, de reprendre mes esprits !

Devant moi, Karine est accroupie dans le compas de mes jambes écartées. Son délicat visage aux tâches de rousseur brille, indécemment souillé par les traînées blanchâtres et glaireuses crachées par ma verge. Cela n’empêche pas les grands yeux verts de ma femme d’afficher des éclairs rigolards et moqueurs.

Sans cesser de me fixer, Karine finit tranquillement d’aspirer et d’avaler les dernières gouttes de sperme, que sa rapacité sexuelle parvient encore à tirer de ma verge vidée..., et un brin ramollie !

Ma femme, qui porte allégrement ses 38 ans, a toujours adoré se faire prendre et fourrer longuement..., aussi bien par devant..., que par la petite porte...

Pourtant, ce n’est qu’en broutant une bite et en taillant les pipes gloutonnes, dont raffole cette grande salope devant l’éternel – ce n’est pas moi, mais elle-même qui se qualifie ainsi – que mon épouse révèle et exprime toute sa virtuosité, sa lubrique rapacité et son érotisme à fleur de peau !

Sans entrer dans des détails, sachez que je n’ai pas eu à forcer Karine, ni rien eu besoin de lui apprendre..., sur le plan sexuel !

Lorsque nous nous sommes rencontrés, elle n’avait pas encore 16 ans, alors que j’en affichais déjà 29 ! Cette rencontre eut lieu à l’occasion du mariage de sa cousine Thalia, qui épousait mon cousin Paul. Notre important écart d’âge ne compta pas, en regard du coup de foudre, qui frappa Karine.

Pour moi, ce fut, disons, un coup de foudre, mais à effet retard. Seules ces tâches de rousseur qui parsemaient ces pommettes me fascinaient.

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Comme elle me l’avait demandé avec insistance, au cours des danses auxquelles Karine m’avait, elle-même invitée, je l’attendais dès le lendemain, à la sortie du lycée. Alors que je pensais bavarder un moment, avant de la ramener à son domicile, elle me demanda de la déposer quelques rues plus loin, devant son école de musique. En arrivant, elle me sourit, lança :

– Bonjour toi... !

Elle m’avait tutoyé dés notre première danse, m’embrassa sur la bouche – notre premier baiser – et me dit :

– J’aimerais rester avec toi, Gilles, mais le solfège et le piano sont pour moi trop importants, pour que je manque un seul cours de musique !

Je la déposai donc – son papa devait venir la chercher après son cours – avec la promesse de la revoir dés le lendemain.

Après une nuit passée à me demander si je n’étais pas un peu fou, de me lancer dans une improbable aventure avec une lycéenne, j’optai pour une cour discrète qui me permettrait de voir où j’allais et aussi d’étudier les motivations de Karine et les réactions de ses parents.

Mais la jeune fille en décida autrement. Le lendemain, après m’avoir dit bonjour, en m’embrassant, cette fois, à pleine bouche, Karine me lança d’un ton assuré :

– Je veux voir ton appart’... !

J’hésitai et lui parlai de ses parents qui risquaient de s’inquiéter. Karine répliqua :

– Ils ne rentrent pas avant 19 heures et je leur ai dit que je comptais aller chez-toi.

Devant son aplomb et son insistance, je ne pus faire autrement que de l’emmener à mon domicile, situé à 15 minutes en voiture du sien. Dès qu’elle eut fait le tour de mon quatre-pièces-terrasse et regardé attentivement les meubles, tableaux, photos et bibelots, la petite se planta en face de moi, attendant visiblement que je prenne l’initiative.

Je l’enlaçai et l’embrassai – sans trop oser la caresser – puis l’entraînai sur le divan. Nos bouches collées, nous emmêlions nos langues et échangions nos salives et nos souffles. Je sentis la main de Karine se poser sur ma verge. Sans me laisser le temps de penser, de protester, ni de l’arrêter, la petite se laissa tomber à genoux, défit mon pantalon, me débraguetta et sortit ma bite bandée.

Pendant que, dans un état second, je l’aidais à descendre mon pantalon et mon slip, en soulevant mes fesses, puis en levant les pieds, Karine parlait du plaisir qu’elle allait prendre en suçant un pareil engin. La vivacité de son attaque m’ayant totalement désarçonné, je laissai la jeune fille jouer avec mon sexe. Elle pelota mes couilles, décalotta ma verge, caressa mon gland et en gratta le méat, du bout d’un doigt taquin. Je regardais son visage juvénile tâché de tâches de rousseur. Je crus défaillir, lorsque les lèvres charnues de cette adorable coquine se refermèrent sur ma verge, glissant lentement tout du long, pour l’avaler entièrement.

Malgré les sursauts déclenchés par le choc de mon gland butant contre le fond de son gosier, Karine se lança dans une pipe lente, profonde et gloutonne, ponctuée de gémissements et de haut-le-cœur, qui ne freinaient pas sa jeune furie sexuelle. La lycéenne s’interrompait parfois et abandonnait un instant mon dard luisant de salive et de glaires. Elle essuyait alors ses lèvres, me regardait en souriant et me complimentait pour la grosseur, le bon goût et la raideur de ma très grosse pine.

Elle précisa aussi, comme si cela était tout à fait normal et naturel :

– Quand tu jouiras, Gilles..., tu cracheras bien tout ton sperme ! J’adore me faire juter dans la gueule, et tout avaler !!!

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Inutile de dire, que sous l’action de ses lèvres et de sa langue chaude et taquine, je ne tardai pas à voir la lune et les étoiles, en éjaculant comme un furieux. Éjaculations d’autant plus violentes, que la gosse taquinait mon sphincter de deux doigts coquins.

Bien qu’emporté par le pervers érotisme de cet instant, je me demandai qui avait pu apprendre à cette gamine à sucer, comme la meilleure des salopes.

Emporté par la jouissance et la vicieuse docilité de Karine, j’appuyai et maintenais sa tête, pour être certain d’éjaculer ma semence au fond de son gosier. Malgré son jeune âge et les âcres remontées, dont les spasmes la secouaient, la petite lycéenne aux yeux de braise fit preuve d’une étonnante facilité à ingérer mon sperme, pourtant abondant, épais et très iodé. Elle se permit même de petits claquements de langue coquins.

Elle m’avait, d’ailleurs, démontré son aisance, en avalant et en pipant sans difficultés particulière ma verge, pourtant d’un bon gabarit. Si je dis ça, c’est que des femmes plus âgées et plus expérimentées que Karine, ne parvenaient à l’avaler et à la piper que partiellement.

J’avais fini de juter depuis un bon moment, mais l’élève de première pelotait toujours mes burnes et léchait encore amoureusement mon gland irrité. Se parlant à elle-même, Karine murmura :

– Je reprendrais volontiers quelques bonnes giclées de foutre dans la gueule.

Ce langage vulgaire, surtout de la part d’une aussi jeune-fille, eut le don de m’agacer, mais aussi de fouetter ma libido. Je la laissai donc faire. La gosse mignota mon sexe un moment, couvrant mon gland de baisers et de petits coups de langue saliveux. Elle pelotait et léchait aussi mes couilles, tout en grattant coquinement ma rondelle.

Lorsque sa bouche reprit le vicieux épluchage de ma bite, celle-ci avait retrouvé vigueur et rigidité. Sa position ne me permettant pas de caresser Karine comme je l’aurais voulu, je me contentai de tenir sa tête et même de la pousser vers l’avant, pour que cette chaude salope avale et bouffe ma tige toute entière.

Malgré mon excitation, ses doigts fureteurs et son indéniable talent de pipeuse, Karine mit plus de temps que la première fois, pour me faire cracher mon sperme. Lorsque celui-ci fusa et gicla, avec une furieuse violence, cette petite coquine s’en tartina le visage, avant de replonger sur ma bite, pour avaler le reste de semence.

– J’adore en prendre plein la gueule et je suis servie avec toi Gilles ! me lança-t-elle, en riant, après avoir dégluti mes ultimes éjaculations.

Lorsque je lui fis remarquer qu’elle devrait dire plein la bouche, plutôt que plein la gueule, mon espiègle pompeuse de bite répliqua :

– C’est ma mère, ma belle-sœur et ma tante qui m’ont appris ces expressions style : brouter une bite, se faire juter dans la gueule et s’en faire foutre plein le cul

– Quoi ?

– Ces trois belles cochonnes ont l’habitude de dire que les gestes et les mots osés échauffent nos sens, font bander nos hommes, renforcent le vicieux érotisme de nos partouzes familiales, et boostent nos plaisirs interdits.

Scotché par l’aveu spontané, des relations incestueuses de Karine, j’en oubliai presque les délicieux moments qu’elle venait de me faire vivre. Sous l’effet de la surprise et alors que la petite continuait à promener ses doigts sur mon pubis, ma verge se recroquevillait lamentablement !

La jeune-fille s’en émut et me demanda ce qui m’arrivait.

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Chapitre 2 : Comment Karine a commencé.

Scotché par l’aveu spontané, des relations incestueuses de Karine, j’en oubliai presque les délicieux moments qu’elle venait de me faire vivre. Sa fellation divine, son visage d’ange sur ma bite veineuse d’homme. La lycéenne aux tâches de rousseur et aux yeux de braise venait de m’avouait que ses connaissances sexuelles venaient de sa mère et de ses tantes ! Sous l’effet de la surprise et alors que la petite continuait à promener ses doigts sur mon pubis, ma verge se recroquevillait lamentablement ! La jeune-fille s’en émut et me demanda ce qui m’arrivait.

Je répondis être surpris qu’une jeune fille, que je ne connais que depuis quelques jours, éprouve le besoin de m’avouer ses relations sexuelles incestueuses !

– Puisque nous nous aimions et que allons faire un long bout de route ensemble, il est normal que tu connaisses mon parcours, Gilles, répondit Karine.

Alors que j’étais loin d’être aussi affirmatif que Karine sur la véracité et la durée de notre grand amour, j’écoutais pourtant ses confidences. Elles dépassèrent tout ce à quoi je m’attendais. Visiblement en pleine confiance et comme si nous nous connaissions depuis toujours, Karine me narra par le menu, ses débuts sexuels. Je tentai bien, à plusieurs reprises, d’endiguer le flot de ses aveux, aussi intimes qu’érotiques, mais Karine insista, pour que je sache tout.

Si les souvenirs de la petite élève de première étaient aussi précis et détaillés, c’est que les faits qu’elle décrivait, ne remontaient pas à bien longtemps. En effet, lorsque les jeux sexuels familiaux de Karine avaient commencé, la jeune-fille allait avoir 14 ans.

Ce soir-là, son frère et sa belle-sœur dinaient chez eux, comme ils le faisaient une ou deux fois par semaine. Karine – qui a toujours été une élève douée et assidue – s’était retirée dans sa chambre, dès la fin du repas, pour réviser ses cours de troisième. Fatiguée et se levant tôt le lendemain, la collégienne s’était ensuite couchée et aussitôt endormie.

Alors que cela lui arrivait rarement, elle avait été réveillée par une forte envie d’uriner. Sa miction achevée, Karine avait été alertée par des bruits bizarres, un peu comme des vagissements de bébé. Elle avait ouverte sa porte de chambre et écouté plus attentivement. Pas de doute, on parlait, riait et gémissait dans la suite parentale. Mais ce n’était pas comme lorsque ses parents faisaient l’amour, elle percevait d’autres voix.

La porte de la chambre de ses parents n’étant qu’à demi fermée, la jeune-fille n’eut qu’à finir de la pousser. Là, elle tomba sur ses parents, son frère de 20 ans et l’épouse de celui-ci, tous quatre nus, en pleine partie carrée incestueuse.

Accroupie en position de levrette, Lydie, la mère de Karine, poussait de petits soupirs excités en malaxant les couilles de son fils Brice, dont elle pompait à pleine bouche le long dard fin, bandé et dressé à l’extrême.

Bien abuté aux fesses de son épouse et les mains agrippées à ses hanches, Stéphane, le père de Karine, enfonçait rythmiquement sa grosse pine dans le vagin de sa femme, qu’il fouillait et barattait à grands coups de reins. Agenouillée au-dessus du visage de Brice, son épouse Amélie, pelotait ses petits seins en forme de poire bien tendue. Elle poussait des gémissements d’aise, en frottant sa chatte sur la bouche de son mari, qui lui faisait minette, d’une langue experte.

Loin de freiner l’ardeur du quatuor, l’irruption de Karine sembla au contraire la booster. Laissant les autres poursuivre leurs lubriques jeux familiaux, Lydie, la mère, lança :

– Puisque tu t’es enfin rendu compte que c’est pour toi, que nous laissons notre porte ouverte, c’est à toi de décider, ma chérie.

– Hein ?

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– Tu peux, soit rester, soit retourner te coucher, continuait sa mère en tenant toujours la verge de son fils.

– Mais euh...

– Si tu restes, tu peux juste nous regarder, ou bien, jouer avec nous !

En regardant le quatuor incestueux, Karine s’approcha du lit. Elle hésita un moment, puis murmura :

– Je reste..., et je vous regarde.

Sans plus s’occuper de sa fille, Lydie empoigna les couilles de son garçon d’une main, décalotta sa verge de l’autre et emboucha sa pine, qu’elle se remit à plumer avec d’excitants bruits de bouche et de gorge.

En regardant Karine avec des yeux coquins et amusés, son père, Stéphane, lui faisait admirer le beau gabarit de son sexe, qu’il faisait sortir entièrement du vagin de son épouse, avant de l’y replonger.

Visiblement heureuse et excitée par la présence voyeuse de sa jeune belle-sœur de 19 ans, Amélie pelotait et roulait follement les longs tétons de ses seins fermes, en frottant sa figue baveuse sur le visage de son époux :

– Karine ! Tu devrais quitter ta chemise de nuit, lança Amélie. Touche tes nichons, branler ta minette, et laisse nous voir comme tu es belle quand tu jouis !

– Viens plutôt m’aider à plumer ton frangin ! s’interposa sa mère. À ton âge, tu dois aimer ça, poussin, tailler une pipe.

Gênée et en même temps excitée, Karine avoua qu’elle avait bien touchée une ou deux bites de copains, mais qu’elle n’en avait jamais sucé aucune. A 14 ans, quand même !

– C’est donc le moment et le garçon idéal pour commencer ! lui fit remarquer sa mère, en lui tendant le dard de son frère, tout luisant de salive.

Stéphane, qui avait sorti sa bite du vagin de sa femme, s’interposa à son tour :

– Je suis certain que Karine préfèrera faire ses premières armes avec son papounet.

S’allongeant alors sur le dos, à côté de son fils, le père tendit son sexe luisant de mouille à sa fille. Sa mère lança alors ce conseil à Karine :

– Caresse la bite et les couilles de ton père et branle-le pour commencer, ma chérie ! Tu suceras son gland et sa queue quand tu en auras envie, et je suis certaine que tu vas adorer.

Comme dans un rêve et presque malgré elle, la très jeune Karine se retrouva entre les jambes de son père, les yeux et la bouche juste devant ce gourdin veiné palpitant et cette grosse paire de couilles velues. Elle commença par des caresses hésitantes. S’enhardissant, elle tira le prépuce vers le bas, dégagea le gland et y promena un doigt, puis une langue curieuse.

Amélie regardait le corps juvénile de sa belle-sœur avec envie et presque jalousie. A 14 ans, on a presqu’un corps de femme avec la poitrine, les hanches, le sexe gonflée, les fesses rondes et fermes mais en plus on a encore ce petit quelque chose de l’enfance, ces détails subtils de l’immaturité sexuelle.

– N’hésite pas à lécher, sucer et téter le gland de ton père, pour t’habituer à son odeur et à son goût, ma chérie, précisa Lydie.

– Moui Maman, formula la collégienne en sortant la verge de sa bouche.

– Tu fais ensuite coulisser la pine dans ta bouche et tu essayes d’en avaler le plus possible. Tu devrais très vite adorer, même si ça te fait beaucoup saliver et si ça te donne des haut-le-cœur.

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Effectivement, Karine prit très vite goût à la texture et à la saveur âcre du sexe de son papa. Elle se lança alors dans un pompier enflammé, tandis que sa maman lui passait des pognes. Comme une vraie gouine, Lydie pelota les nichons déjà bien formés, chatouilla la minette et branla le mignon clitoris de sa fille. Quand le père de Karine se raidit, gémit et lança :

– Ça vient, bordel..., je vais jouir... !

– Crache ton foutre dans la jolie gueule de ta fille, salopard de papa incestueux, gueula la mère. Je suis certaine que Karine va aimer laper ton sperme, autant qu’à son âge, j’adorais avaler celui de mon père.

Tandis que Lydie tripotait sa fille et débitait ses ordures, Karine était secouée par des frissons de voluptés et pissait ses jouissances comme jamais auparavant.

De son côté, Stéphane prenait vicieusement son fade. En bramant et en lançant son ventre en avant, il arrosait le gosier et le visage de sa fille, de ses grasses giclées de sperme. Sa bouche, pour la première fois, était virilement baisée et ensemencée. La collégienne prenait pied sur pied, et s’accrochait aux couilles de son papa et pompait son dard jusqu’au sang.

À tel point que Stéphane supplia sa fille d’arrêter. Celle-ci le fit, mais à contre-cœur et en promettant d’y revenir bientôt :

– Je crois que vous avez touché le gros lot et que Karine promet d’être la plus salope de nous tous, dit Amélie aux autres participants, avant de plaquer un baiser mouillé sur les lèvres de sa belle sœur qui sursauta de ce baiser lesbien.

Après ça et durant quelques temps, les parents pervers se contentèrent de s’amuser avec la petite. À voile et à vapeur, la gosse suçait indifféremment et avec le même plaisir, les verges des hommes, ainsi que les nichons et les cramouilles des femmes. Elle lapait aussi leurs sucs et leurs jus avec gourmandise.

En moins d’un mois, elle devint la plus acharnée pour téter les bites de son père et de son frère et se repaître de leurs semences. Elle aimait tant avaler et se tartiner le visage et les seins de sperme, qu’elle demandait aux deux hommes de lui éjaculer dessus, lorsqu’ils faisaient l’amour à sa maman et à sa belle-sœur. Elle plumait aussi la verge de son père et se faisait juter dessus, pratiquement chaque matin.

Mais cela ne dura pas ! En effet, à force de s’exciter et de se branler, en regardant sa mère et sa belle-sœur se faire piner et sodomiser, Karine finit par demander à ses parents de craquer son encombrant pucelage vaginal et aussi anal.

Ce qui lui semblait normal, puisqu’elle voyait ses parentes jouir comme des folles, en se faisant fourrer la chatte, mais aussi ramoner l’anus. Bien entendu, son père et son frère acceptèrent sans se faire prier.

Pour se faire étrenner, Karine eut même droit à trois belles bites. Pour cette soirée spéciale, ses parents convièrent, non seulement, leur fils et leur bru..., mais aussi Antony, le frère de sa maman et Valérie, son épouse.

Des jours et des jours, Karine suça son père et son frère. Mais, à force de s’exciter et de se branler, en regardant sa mère et sa belle-sœur se faire piner et sodomiser, Karine finit par demander à ses parents de craquer son encombrant pucelage vaginal et aussi anal.

Ce qui lui semblait normal, puisqu’elle voyait ses parentes jouir comme des folles, en se faisant fourrer la chatte, mais aussi ramoner l’anus. Bien entendu, son père et son frère acceptèrent sans se faire prier.

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Pour se faire étrenner, Karine eut même droit à trois belles bites. Pour cette soirée spéciale, ses parents convièrent, non seulement, leur fils et leur bru..., mais aussi Antony, le frère de sa maman et Valérie, son épouse !

Karine se souvenait avec émotion, de son papa, s’octroyant le privilège de briser son hymen et de longuement étrenner et dilater son orifice vaginal. Son père avait alors carré son chibre jusqu’au fond du vagin de la gosse. Il avait grogné comme un goret, furieusement fourré la craquette tout juste dépucelée et avait vidé ses couilles dans le vestibule de l’utérus de sa fille.

Son papa avait aussitôt été remplacé par son oncle Antony. Lui aussi avait pris plaisir à faire monter son plaisir et celui de sa nièce, en pinant et élargissant copieusement le vagin de Karine. Puis, excité par l’exemple pervers de son beau-frère, il avait lui aussi ensemencé le jeune vagin, de longues giclées de sperme.

Le frère de Karine avait alors pris le relais. Brice commença par embrasser et caresser sa sœur. Sa longue et fine verge avait ensuite visité et fouillé l’intimité de la petite, encore plus loin que les précédentes queues. Se souciant aussi peu que ses prédécesseurs, des risques qu’il faisait courir à sa sœur, lui aussi avait plantée sa queue bien à fond, pour éjaculer son sperme, quasiment au bord de sa matrice.

Sa maman, sa belle-sœur et sa tante Valérie l’avaient ensuite câlinée, caressée, gougnottée et remise en train, pour que les hommes étrennent et élargissent son anus.

Pour éviter de trop violentes douleurs à Karine – qui ne le leur dit pas, mais qui avait tant envie de se faire enculer, qu’elle se foutait bien de souffrir – ils la sodomisèrent selon l’ordre de grosseur de leurs sexes.

Brice s’attaqua donc le premier au décapsulage du sphincter de sa sœur. Il lécha et lubrifia tant la rondelle de Karine, que sa chaude frangine n’eut presque pas mal, lorsqu’il étrenna son anus vierge. Elle prit d’ailleurs très vite son pied et ne cessa pas de jouir, jusqu’à ce que son frère ensemence son conduit anal.

Son oncle prit la suite. Antony enfonça si aisément sa verge dans l’anus lubrifié de sperme, qu’il ne prit aucune précaution et laboura les reins de sa nièce, comme s’il s’agissait du fion d’une quelconque putain. La collégienne en levrette geignait comme une chatte. Ses petits seins se balançaient sous son corps. C’est donc planté jusqu’au ras des couilles, que Antony cracha sa glaireuse semence dans les intestins de sa nièce.

Bien que le gabarit de son sexe, fasse pousser quelques gémissements de douleur à sa fille, son papa l’encula, lui aussi, d’un coup, sans précaution et bien à fond. Très excité par ce semi-viol consenti et répété, son incestueux papa jouit trop vite et ne put donc pilonner l’anus de sa fille, aussi longtemps qu’il l’aurait souhaité. Il y éjacula pourtant en telle quantité, que sa femme, sa bru et sa belle-sœur purent, toutes trois, lécher Karine et se régaler du trop-plein de sperme qui suintait de son orifice anal.

Chapitre 3 : Comment c’est du sérieux avec Karine !

Tandis que Karine me faisait l’érotique récit de ses jeux incestueux, je me demandai où j’avais mis les pieds. Ma petite amie, qui semblait très loin de mes interrogations, m’embrassa, me murmura qu’elle m’aimait, puis lança, en me regardant bien en face :

– J’ai très envie que tu me fasses l’amour, Gilles !

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– Très envie... ??? Tu n’es pourtant pas privée de sexe, avec ta famille, répliquai-je sans pouvoir me retenir.

Mon constat sembla étonner Karine, qui s’exclama :

– Ma famille ? Mais enfin, Gilles, ça n’a rien à voir. Si je m’amuse et si je baise avec eux, c’est purement sexuel. C’est pour le plaisir d’avoir des relations libertines, non-conformistes et interdites, en enfreignant des tabous qui arrêtent nombre d’autres personnes. TOI, tu es l’homme dont j’ai toujours rêvé ! Je t’aime d’un amour absolu ! Nos vies sont à jamais indissociables, et je ne veux être qu’à toi.

La tête en vrac, devant le tranquille aplomb et le langage de Karine, je restai silencieux un long moment. Quand je répondis, ce fut pour constater que nous nous connaissions depuis trop peu de temps et que notre relation était trop balbutiante, pour qu’elle se montre aussi affirmative, sur notre prétendu grand amour. De plus, elle se contredisait, en affirmant ne vouloir être qu’à moi.

– Notre relation était peut-être balbutiante, comme tu dis, Gilles, répliqua Karine, reconnais cependant que comme moi, tu as senti ton cœur s’emballer et que tu as su que nous étions faits l’un pour l’autre, dès le premier regard que nous avons échangé. Sinon pourquoi serais-tu venu me chercher à la sortie du lycée, pourquoi m’aurais-tu amenée chez-toi, pourquoi m’aurais-tu laissée te sucer, pourquoi aurais-tu éjaculé si fort dans ma bouche, et pourquoi recommencerais-tu déjà à bander ?

Je reconnus que ma belle lycéenne avait en partie raison. En effet, son allure de gamine, son joli visage aux tâches de rousseur et ses regards effrontés, m’avaient immédiatement accroché. Quant à me laisser sucer et à lui cracher mon sperme au visage, sa vivacité et sa rapacité avaient tout simplement court-circuitées mes défenses.

Ses grands yeux de braise fixés aux miens, Karine précisa :

– Tu sais, Gilles, aussi forts que soient les plaisirs interdits que me procurent mes relations familiales, je suis prête à y mettre fin, si tu me le demandes.

Ce point précis étant clair pour moi, je répondis que je ne me sentais pas le droit de lui interdire des relations, qui semblaient la combler. Certes, ces rapports étaient d’ordinaire interdits, en raison des liens unissant Karine et ses partenaires, pourtant, le fait que ses amants et amantes aient joué avec elle et l’aient étrennée, avant que je la rencontre, leur conférait un indéniable droit d’antériorité.

– Tu veux dire que tu veux de moi, même si je continue de baiser avec mes parents, mon frère, mon oncle et leurs femmes ? demanda Karine.

Je confirmai, en précisant que si je me montrais aussi complaisant, c’est que ses relations familiales semblaient nécessaires à son équilibre.

Regardant soudain sa montre, Karine s’écria :

– Houlala, je n’ai pas vu passer le temps avec toi et maintenant, c’est trop tard pour faire l’amour.

Elle sauta du lit et me lança, en se rhabillant en vitesse, sans même se laver :

– Dépêche-toi, Gilles, mes parents me foutent la paix, mais exigent que je sois à l’heure pour dîner.

Durant le court trajet, je lui demandai ce qu’elle comptait dire à ses parents. La lycéenne réfléchit, sourit et répondit :

– Ça dépendra de ce qu’ils feront après dîner. S’ils s’installent devant la TV et la regardent, sans rien me demander, j’irai réviser dans ma chambre. Par contre, s’ils ont envie de baiser et m’emmènent dans leur chambre, ils me poseront forcément des questions.

– Et alors ? demandai-je impatient en conduisant dans les rues

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– Dans ce cas, je leur dirai que je t’ai taillé deux pipes et que tu m’as copieusement juté dans la gueule.

Alors qu’elle devrait m’irriter, l’idée que cette coquine se serve de notre relation pour exciter ses vicieux parents, avant de baiser avec eux, m’excita et me fit bander. Érection que je fis remarquer à Karine ! Celle-ci caressa gentiment mon sexe, par dessus mon pantalon et me dit :

– Je termine mes cours à 15h, vendredi et tu pourras venir me chercher et m’emmener chez-toi..., si tu es rentré.

J’avais, en effet, prévenu Karine que je devais me rendre dans des agences provinciales de ma société. Mon train arrivant à 14h20, à la gare où m’attendait ma voiture, je pourrais donc aller chercher Karine à la sortie du lycée.

– Je vais à nouveau me régaler à te sucer, et tu pourras aussi me piner et me faire tout ce que tu voudras, pourvu que tu me ramènes pour 19 heures ! promit-elle en m’embrassant, quand je la déposai au pied de son immeuble, de style Haussmannien.,

Je lui fis remarquer que je devrais l’attendre jusqu’au vendredi, alors qu’entretemps, elle aurait sucé les bites de son père, de son frère et de son oncle et que ces trois salopards l’auraient niquée par tous ses orifices. Karine me fit un dernier baiser, me regarda avec un sourire coquin et lança :

– Ne sois pas bêtement jaloux, Gilles ! Ce que je fais avec mes parents et parentes n’est que du sexe et n’a aucune importance. Je t’ai déjà expliqué que c’est toi que j’aime et que je veux vivre avec toi.

Elle ajouta encore, avec un petit sourire coquin :

– Si nous aimons tant nous amuser et baiser en famille, c’est bien sûr parce que nous aimons beaucoup faire l’amour, mais surtout, parce que nous prenons tous énormément de plaisir à enfreindre les interdits et les tabous familiaux, qui retiennent les autres.

En la regardant composer le code d’entrée, je crus visualiser les images de ses gougnottages incestueux, ainsi que des nombreuses et ardentes giclées de sperme interdites, que son père, son frère et son oncle éjaculaient sur et dans la jolie petite Karine. Le pire, c’est que ça me fit bander !

Même si je ne cherchais pas vraiment à savoir si j’étais amoureux de Karine, l’obsédant souvenir de sa bouche sur ma bite et de sa gourmandise à me sucer et à avaler mon sperme m’obsédait.

Je pensais toujours à cette petite coquine, en faisant l’amour à Delphine, une jeune et très belle secrétaire - un peu pute -, qui m’accordait ses faveurs lors de mes visites à notre succursale de Saint-Nazaire. Une petite femme très fine avec une paire de nibards énormes et une bouche aux lèvres charnues.

Bien qu’habituée aux fantaisies des clients triés sur le volet, que lui procurait son maquereau de mari, un comptable de la boîte, la jeune femme ne sembla pas apprécier que je l’appelle Karine, en la sodomisant furieusement et en extirpant ma verge d’entre ses fesses., pour éjaculer dans sa bouche.

Je n’essayai même pas de me justifier et, le chibre encore glorieux, je l’enculai une seconde fois !

Après avoir longuement ramoné et élargi son conduit anal, je fourrai de nouveau ma pine souillée entre ses lèvres, que je baisai, jusqu’à cracher mon foutre sur son visage et dans sa bouche !

Pour calmer le semblant de colère de cette très belle mi-pute, qui fit mine d’être fâchée, que je l’aie sodomisée deux fois de suite, j’ajoutai quelques billets, à la somme que je lui donnais d’habitude.

Elle m’en remercia d’un baiser, puis fila rejoindre son époux, qui l’attendait devant l’hôtel, au volant de sa voiture.

Je savais, par des indiscrétions de Delphine, que son époux lui recommandait de ne pas se laver, après avoir fait l’amour avec ses clients. Ce marlou pervers, aimait lécher sa femme et fourrer ses doigts et sa langue dans ses orifices encore gluants de cyprine et de sperme. Une fois repu, il baisait

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et sodomisait sa femme comme un malade, tandis qu’elle lui narrait en détail, les multiples avanies que ses clients lui faisaient subir. Selon son humeur, il lui arrivait parfois de se finir en éjaculant dans le vagin, ou le sphincter de sa femme. Mais, toujours selon les confidences de Delphine, son mari prenait le plus souvent son panard, en aspergeant de foutre, les seins, le visage et le gosier de son épouse. Ce qui ne changeait pas cette belle salope..., des préférences éjaculatoires de ses amants-clients !

Chapitre 4 : Comment j’ai failli tout gâcher

Delphine ne m’en voulut pas de l’avoir sodomisée avec une certaine brutalité et d’avoir éjaculé par deux fois dans sa jolie bouche. Elle trouva même le moyen de me coincer, juste avant que je ne parte, pour me tailler une bouffarde d’enfer, et gratuite.

Le train ayant un peu de retard, j’eus tout juste le temps de récupérer ma voiture à la gare, de prendre une douche, de changer mon costume d’homme d’affaires contre une tenue plus décontractée, puis, de filer récupérer ma petite lycéenne à la sortie de ses cours.

La gosse m’embrassa rapidement, en me lançant de vite l’emmener chez-moi. Elle crevait d’envie de sucer ma bite et de se faire cracher mon foutre dans la gueule.

– J’ai aussi très envie que tu me fasses l’amour, mais je veux d’abord te faire juter un coup ou deux... ! Me dit-elle, avec une excitante petite moue.

Je lui fis remarquer qu’elle ne devait pourtant pas être en manque de bites, ni de sperme, puisque son père, son frère et son oncle avaient dû beaucoup s’occuper d’elle.

– Je t’ai déjà dit que ce que je fais avec eux ne compte pas. Nous avons beau prendre des pieds déments en partouzant et en pinant ensemble, avec ma famille, il n’est question que de parties de cul interdites, de jeux familiaux défendus, et de bonnes grosses baises incestueuses. Mais jamais de faire l’amour, comme je veux le faire avec toi.

Je n’insistai pas, de crainte de fâcher la petite qui avait revêtu une jolie petite robe d’un tissu si léger, que à la lumière du soleil, dans la rue, je distinguais sa silhouette nue.

– Et toi, tu dois certainement baiser des gonzesses, quand tu vas à Saint Nazaire ?

Piqué au vif, je répliquai que je baisais, en effet, non pas des gonzesses, mais une superbe jeune femme de 24 ans, qui faisait l’amour et me plumait royalement.

– À partir d’aujourd’hui, je t’interdis de faire l’amour à cette salope ! Je veux bien que tu continues à la baiser, la piner, la fourrer, la défoncer, l’endaufer, l’enculer, la tringler, la ramoner, la bouillaver et la niquer..., mais c’est tout !

– Tu y va fort ma petite, répondis-je en souriant tout en passant ma main sur ses frêles épaules.

– Pour que je sois certaine qu’il n’y a pas de sentiments entre vous, tu n’auras qu’à lui donner un peu de fric, comme les hommes donnent aux putains, m’ordonna la gosse, d’un ton sérieux.

Quand je lui eus dit que Delphine était maquée par son mari et que je la payais déjà pour ses prestations sexuelles, Karine dit simplement qu’elle préférait cela.

Dans l’ascenseur et lorsque j’ouvris la porte, Karine se tint l’écart. Elle posa ensuite son sac sur la console de l’entrée, me prit par la main et m’entraina vers le divan. Elle m’y fit asseoir et se laissa tomber devant moi, comme lors de sa première visite chez moi :

– Tu m’aides Gilles ! ordonna-t-elle, en descendant mon zip, puis en dénudant le bas de mon corps.

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– Oui, ma petite lycéenne.

– Laisse-moi te lécher, te piper et bouffer ton sperme. Tiens juste ma tête et appuie dessus, pour que j’enfonce ta queue, profond dans ma gorge, me dit-elle, avant de plonger sur mon chibre bien raide.

Quelle pipe ! Quelle goulue ! Quelle affamée de bite ! Quelle pompeuse de dard ! Quelle putain de jeune et jolie suceuse, me dis-je, en forçant la gamine de 16 ans à avaler mon dard jusqu’au ras des couilles.

Quand mon foutre monta à l’assaut de ma verge, je fus pris d’une furie sexuelle, comme je n’en avais jamais connue. Les deux doigts enfoncés dans mon anus, avec lesquels la petite m’enculait vivement, y étaient sans doute pour beaucoup. Oubliant nos âges respectifs, toute retenue, politesse et décence, je lançai à la gosse d’ouvrir en grand sa jolie petite gueule de salope et de bouffer toute ma semence.

Sans abandonner le vicieux taraudage de mon anus et le broutage effréné de ma tige en rut, la gosse me lança ses regards empreints de tout le vice du monde. Elle esquissa pourtant un mouvement de recul et eut un haut-le-cœur, vite réprimé, lorsque mon foutre bouillonnant cingla le fond de sa gorge.

En vrai pipeuse, Karine téta, suça et pompa ma verge, jusqu’à ce qu’elle l’eut vidée de toute sa substance vitale :

– Bon sang que c’est bon... ! Lança-t-elle, en s’essuyant la bouche.

Pour aussitôt se lever et quitter la pièce, en criant : PIPI !!! . Lorsque Karine revint, j’étais encore avachi sur le divan, avec la bite beaucoup moins flamboyante. Elle s’assit sur mes genoux et prit ma bouche. Au goût de menthol de sa salive, je compris que Karine s’était rincée la bouche. Tandis que nous nous embrassions passionnément, sa main jouait avec mes burnes :

– Tu vois Gilles, ce que j’aime, quand je partouse en famille, c’est que sur leurs trois pines, il y en toujours une bien raide et prête à cracher son sperme dans ma bouche, lança la petite, en caressant mon sexe encore flagadouille.

Je lui fis remarquer que, les mâles ne sont pas des machines, qu’il est plus aisé de rester la bouche ouverte que le bras tendu, mais aussi que les bites de son père, de son frère et de son oncle ne doivent pas toujours être opérationnelles, puisqu’ils tringlent aussi sa maman, sa tante et sa belle-sœur. Karine acquiesça. Elle me fit alors me lever, m’entraina dans ma chambre, s’arrêta au pied du lit et me fit face.

Elle se dénuda lentement et me dévoila son extrême minceur. Ses seins menus étaient accrochés très haut, sa taille extra-fine, ses hanches presque absentes, son ventre très plat, ses cuisses fuselées, ses fesses petites et fermes et ses longues jambes très fines et presque sans mollets. S’allongeant, elle me tendit la main. Je la rejoignis et embrassai ses lèvres, en laissant courir mes doigts sur son corps.

Écartant ses jambes sans ménagement, je me glissai entre-elles, ouvris les lèvres de sa chatte de mes doigts curieux et y glissai ma langue. La douce odeur, légèrement musquée, du rose et du corail des chairs de son minou m’entêtèrent et me firent délirer. Ma langue et mes lèvres plongèrent alors dans les sucs ruisselants de sa fente et les dégustèrent avec délectation.

Lorsque j’atteignis le clitoris de la gosse, j’eus la surprise de découvrir une vraie petite pine miniature, mais érigée, dont je léchai, mordillai, suçotai et pipai avec délectation les 4 à 5 centimètres raides et durs.

Cette caresse plut beaucoup à Karine, dont les jus fusaient avec tant de violence, que je me demandai, un instant, si cette petite salope ne me pissait pas dessus. Alors que sa mouille coulait à flot de son conin, je me surpris à me demander ce que ça allait être, lorsque cette chaude gamine allait vraiment prendre son fade.

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Mais nous n’en étions pas là. M’enfourchant d’un souple mouvement, l’élève de première S inséra l’extrémité de ma verge entre les lèvres de sa vulve et se laissa lentement glisser et envahir par la tige rigide :

– Tu vas me faire l’amour Gilles, très longtemps et très fort. Je t’ai dit que mes baises en famille ne comptaient pas, alors pour moi, ça va être mon vrai dépucelage, murmura Karine avec une étonnante pudeur et naïveté.

Ses fesses frappant contre mon pubis, la petite exhala un long soupir, marqua un temps d’arrêt :

– Waouh ! Ta bite est toute chaude, très grosse et hyper longue, mon amour ! Je la sens envahir mon intimité et j’ai l’impression que tu m’ouvres en deux, me lança Karine, en employant ce mon amour pour la première fois.

La petite me fit l’amour un moment, avant que je réagisse à sa position, que je jugeais trop dominante. Faisant basculer Karine sur le dos, je me glissai dans le compas de ses jambes écartées et plongeai ma queue dans son orifice vaginal, d’un long coup de reins.

Ma verge en rut rentra comme dans du beurre, délicieusement serrée et massée, par l’étroit vagin de la petite. Tout en limant, à long coup de reins, le ventre que les coups de reins saccadés de la lycéenne jetait à ma rencontre, je me sentis envahi par un flot d’émotions et de sentiments jusqu’alors ignorées. Le désir, la tendresse, l’excitation, ainsi que des sentiments plus inattendus et de beaucoup plus tendres, me poussaient vers cette gosse, cette lycéenne de première, cette enfant qui aurait pu être la mienne et qui s’offrait toute entière, sans pudeur, sans crainte et sans retenue.

– Je t’aime, je t’aime, je t’aime Gilles ! Je veux être ta chose, ta femme, être à toi, toute à toi, rien qu’à toi. OUI, c’est bon, mon amour ?

– Oui ma puce, c’est très bon.

– Tu me baises merveilleusement ! Continue à me fourrer comme ça, mais ne tarde pas trop, car tu vas bientôt me faire jouir, ronronnait ma jeune amante, ses lèvres mouillée de salive et ses hanches agitées d’un excitant roulis.

Tout en profitant sans retenue de la furie sexuelle et de la perversité naturelle de Karine, en étreignant son corps et pénétrant son jeune ventre, je me sentais protecteur et paternel, mais aussi presque violeur. Ce mélange de sentiments contradictoires, propulsa le sang dans mon sexe, qui atteignit des sommets de raideur.

Alors que les picotements annonciateurs du plaisir débutaient à peine, le plaisir m’envahit soudain, montant de très loin, du fond de mon ventre, de mes couilles, et aussi de ma tête. Était-ce un reste de civilisation, de prudence, ou bien de peur, toujours est-il que j’amorçai un mouvement de recul, pour ne pas ensemencer le vagin de la petite.

– OH NON ! Reste en moi Gilles ! Crache tout dans ma chatte, que je sente ton sperme cingler mes chairs et couler jusque dans mon utérus, me cria Karine, en me retenant contre elle.

Au point d’excitation ou j’étais arrivé, les mots de la gosse me boostèrent et c’est en continuant à forer l’étroit vagin de la petite, que j’éjaculai mon foutre à long traits.

– OUI Gilles, je sens bien ton sperme gicler contre mes muqueuses et cingler ma matrice. brama Karine, montrant, ainsi, l’étendue du langage érotique et pervers que lui avait enseigné sa famille.

Loin de calmer mon rut, les images de mes spermatozoïdes, perçant les membranes des ovules de la gosse, m’excitèrent au contraire si terriblement, que je ne débandai pratiquement pas. Mes couilles vidées, mais ma verge toujours bien raide, je continuai donc à piner Karine, qui ondulait du popotin, en prenant son panard sans interruption.

Agissant comme un puissant aphrodisiaque, sa langue enroulée à la mienne, ses hanches menues et son ventre agité d’un érotique roulis, la moelleuse tiédeur de son vagin lubrifié et la furie de ses bras

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me serrant contre-elle, ne tardèrent pas à me faire cracher de nouvelles giclées de sperme, au fond du vagin de la gosse.

Son corps d’enfant, pas encore vraiment femme, se fondit en moi. Nous fusionnions littéralement. Ce fut si fort et les regards de Karine furent tellement emplis de tant d’admiration et d’amour, que je lançai : Je t’aime.., oh oui je t’aime ma puce !, tout en arrosant de foutre ses muqueuses secrètes.

Ma jeune amante ne releva pas, trop emportée par le énième orgasme, qui la faisait se cambrer, délirer des mots fous, baver et tourner ses yeux.

En se rhabillant, pour rentrer chez elle – l’heure fatidique approchant – Karine ne dit toujours rien des mots que j’avais lancés, presque malgré moi. Je regardais son corps de jeune fille, son corps si frêles, si parfait, si beau se couvrir doucement par touche. Après un rapide bisou et sa promesse de m’appeler, je la déposai devant son immeuble.

Chapitre 5 : Comment je ressemble à Karine

Après avoir déposé Karine chez ces parents, je me demandai ce qui m’avait poussé à lui dire que je l’aimais. Merde ! Je connaissais cette gamine depuis rien de temps, c’était la première fois que je la sautais, et j’étais assez bête pour lui faire des serments. J’avais surtout été très con, de ne pas mettre de capote et de me laisser embarquer à cracher mon sperme directement dans son vagin.

C’était vrai que Karine suçait mieux que personne et que son corps juvénile et ses manières de salope rodées m’excitaient terriblement. Mais de là à brailler que je l’aimais, il y avait un monde.

Je décidai donc de mettre de la distance entre nous.

J’eus l’occasion de le faire dès le lendemain, lorsque Karine me téléphona. Après m’avoir raconté, comment et avec quoi elle s’était masturbée et faite jouir ce matin, en revivant nos moments d’hier, la petite me dit qu’elle était libre pour passer l’après-midi chez-moi. Elle mouillait déjà en pensant à ma bite, violant sa petite chatoune. Je répondis que j’avais prévu de passer le week-end chez mes parents et que je ne pouvais pas me décommander.

Karine dit simplement qu’elle regrettait et me souhaita un bon week-end. Elle conclut par ces mots :

– À dans la semaine, mon amour !

Son manque d’insistance et son apparente distance m’étonnèrent et, pour tout dire, me vexèrent un peu. Le fait d’avoir évoqué mes parents avec Karine, me fit me dire que je ne les avais pas vus depuis un moment. Je leur passai donc un coup de fil, pour leur annoncer mon arrivée :

– Ta visite tombe bien mon grand ! Ta tante Hélène passe justement quelques jours chez nous et je sais qu’elle sera ravie de te voir, me dit ma mère, ponctuant ses paroles, d’un rire que je jugeai malicieux.

Je m’étonnai de cette malice, car Maman ignorait mes relations extra-familiales avec sa sœur cadette. Après avoir jeté quelques affaires dans un sac de voyage et roulé deux petites heures, j’arrivai au pavillon de mes parents. Le portail ouvert avec le bip qu’ils m’avaient confié, je me garais en marche arrière, face au perron.

Ils devaient me guetter, car ils sortirent aussitôt et vinrent vers moi. Ma mère, Liliane, précédait ma tante Hélène, elle-même suivie de mon père, Lionel, 61 ans. Allez savoir pourquoi, en les regardant s’approcher, je me sentis aussi fier de la belle allure de mes parents.

Il faut dire qu’avec ses cheveux châtain mi-longs, son visage lisse, sa poitrine haute et pleine, ses hanches et ses fesses bien dessinées et ses jambes galbées, ma mère porte crânement ses 58 ans.

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Sa sœur jumelle, Hélène, qui est aussi pulpeuse qu’elle, ressemble trait pour trait à ma mère.

Quant à mon père, grand, blond et jovial, sa vie saine et sportive, fait qu’a 61 ans, il n’en parait tout juste 50.

Pour la petite histoire, ce fut ma tante Hélène, qui se chargea gentiment et expertement de me déniaiser et de m’apprendre les rudiments de l’amour.

J’avais alors un peu plus de 15 ans et l’extrême timidité, qui m’empêchait de m’approcher des filles, désespérait mes parents, surtout ma mère. Moi, le fait d’être puceau, ne me posait pas de problème. Mes études au lycée étaient importantes pour moi, ainsi que mes 3 ou 4 branlettes quotidiennes, suffisaient amplement à mon bonheur !

Je sautai pourtant allégrement le pas, quand après avoir aidée ma tante à déplacer des meubles, elle m’offrit à boire.

Il faut dire qu’Hélène était très court vêtue et largement décolletée. Je m’étais donc copieusement excité, en admirant les seins, aux trois quart découverts, ainsi que les belles jambes et jusqu’à la culotte blanche, apparente dans la fourche de ses cuisses, du quasi-sosie de ma mère !

Tout en me faisant parler de moi, de mes désirs et de mes fantasmes de jeune homme, ma tante Hélène mit la main sur ma cuisse, puis remonta jusqu’à ma verge :

– Mais tu bandes Gilles et tu es même, sacrément bien monté, s’écria-t-elle, en serrant ma verge raide, à travers mon pantalon de jogging.

– Euh...

– J’ai entendu dire que tu étais puceau. C’est bien dommage que tes copines ne profitent pas d’un aussi bel instrument. Veux-tu que je te montre comment faire ? ajouta ma tante.

Avant que je n’aie pu répondre, mon pantalon et mon slip gisaient à terre et Hélène embrassait mon sexe. Encore un instant et nous fûmes tous deux nus.

Ma tante m’excita, en me laissant caresser ses seins, puis la courte et duveteuse fourrure de sa minette. Elle joua ensuite à décalotter ma verge et à la frotter contre ses tétons, avant de l’avaler entièrement, puis de goulûment sucer et pomper mon gland.

Lorsqu’elle me jugea à point, Hélène s’allongea et m’enfourcha. Plaçant mon gland sur l’entrée de son vagin, elle me demanda de la laisser faire et se laissa lentement descendre sur ma bite raide comme jamais. Je sentis une brève douleur, vite oubliée et effacée par le rire coquin de ma tante, qui faisait coulisser son conduit sur ma bite, en lançant :

– J’ai craqué ton filet mon neveu ! Je te baise et tu vas me faire prendre mon pied, en éjaculant tout ton sperme au fond de mon vagin.

Je suivis d’autant mieux ses conseils, que j’étais terriblement excité par les similitudes physiques de la femme qui me baisait, avec ma mère. Tandis que le conduit vaginal de ma tante – que j’appelais Maman dans ma tête – épluchait et baisait ma pine, elle prenait un superbement son pied, en me criant de cracher tout mon sperme dans son intimité.

Cette entrée en matière n’ayant pas rassasié Hélène, elle fit redurcir ma verge, par quelques coups de langue adroits. Me jugeant à nouveau opérationnel, tatie s’installa en levrette et me lança :

– Je veux que tu ramones et que tu défonces le con de ta tatie salope, mon neveu et que... !

Inutile de vous dire que je m’exécutai à nouveau avec l’enthousiasme et la trique que vous devinez. Ce fut, d’ailleurs, du goût de ma tante, qui poussa des gémissements, puis des cris, et des mots orduriers, en godillant du cul et en prenant somptueusement son pied. Ce fut tout autre chose que mes pignoles solitaires, et mes vigoureuses giclées de sperme aspergèrent les muqueuses vaginales et utérines de ma tantine, comme elle le criait !

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Dans les semaines qui suivirent, Hélène me fit explorer toute la gamme des plaisirs amoureux à deux, aussi bien buccaux, que vaginaux et anaux. Ma tante était complètement folle de ma jeune bite et de mon jeune corps. J’étais très mince, filiforme à l’époque. Les quelques boutons d’acnés sur mon visage l’a ravissaient étonnement.

Il faut dire que je baisais très souvent ma tante, que je lui crachais mon sperme avec ardeur, que je rebandais très vite, que j’en redemandais sans cesse et que je la faisais rugir de plaisir, en lui faisant pisser jouissance sur jouissance.

Bien que nos jeux sexuels et nos fornications soient tabous et interdits, puisque familiaux, je n’en éprouvais aucun remord. Mes sentiments étaient, par contre, mitigés, lorsqu’il m’arrivait de penser à ma mère, alors que c’était sa jumelle qui me pipait, ou que je baisais. Dans ces moments-là, la sensation de commettre l’inceste suprême, en faisant l’amour au clone de ma mère, me procurait des orgasmes démentiels.

Ma tante ne s’offusquait jamais, lorsque me laissant emporter par ma jeune furie amoureuse, je l’appelais MAMAN. Elle accentuait la houle de ses fesses, ou de son ventre, selon que je sois en train de la prendre par devant, ou par derrière, et m’encourageait à bien la prendre, en m’imaginant que je baisais ma mère.

– Ta maman est encore plus chaude que moi et a certainement flashé sur ta grosse bite, mon poussin, me disait Hélène, pendant que je la fourrais. Ton papa, aussi, est un sacré queutard. Je suis certaine qu’en faisant l’amour, tes parents pensent à toi. Ils doivent fantasmer comme des malades et prendre leur fade en te mêlant à leurs parties de cul.

Je pensais aux paroles de ma tante, chaque fois que ma mère me posait des questions et me chambrait, en s’étonnant de me voir si souvent bricoler chez ma tante. Mon changement de Fac, puis mes stages, mon embauche et ses deux mariages, conclus chacun par un divorce, m’éloignèrent d’Hélène. Nous ne fîmes plus l’amour que par intermittence.

Loin d’effacer l’ardeur de nos pulsions sexuelles, l’espacement de nos rencontres, exacerbait au contraire nos envies l’un de l’autre. Nous profitions donc de la moindre retrouvaille, pour baiser comme des bêtes et n’importe où.

Lors de chacune de nos retrouvailles, ma tante ne manquait jamais de me demander, tout en me caressant, et soi-disant pour nous chauffer, si je m’étais enfin décidé à piner ma mère. Ma réponse, parlant d’interdit, de tabou et d’inceste, l’amusait toujours autant.

En effet, selon elle, mes parents n’attendaient qu’un geste de moi, pour plonger gaiement, dans ce qu’Hélène appelait : de délicieuses parties incestueuses. Pour faire taire ma tante, j’étais contraint de lui carrer mon chibre dans la bouche. Elle me pipait alors, jusqu’à me faire jouir, pour se repaître de ma semence. Aussi excitantes que soient les allusions de ma tante, à mes parents, pour moi, elles n’étaient que des fantasmes. Certes jouissifs, mais uniquement des fantasmes.

Bien sûr, en embrassant ma tante, pour lui dire bonjour, je repensais à nos derniers délicieux moments, remontant à près de deux mois. Je revoyais, comme si c’était hier, sa promptitude à écarter les jambes, pour se faire lécher la chatte, tandis qu’elle pompait ma verge. Mais aussi ses coups de reins chaloupés et ses mots d’amour, pendant que je forais son vagin !

Puis ses coups de cul démentiels, ses mots orduriers et ses braiements de plaisir, lorsqu’elle me demandait de lui éclater le cul et de lubrifier son sphincter, en la sodomisant comme un sauvage et en éjaculant au plus profond de son conduit anal.

J’embrassai aussi mes parents, avant de les suivre dans la maison. Ma mère et Hélène proposèrent de m’accompagner à ma chambre, pour m’aider à ranger mes affaires, mais me laissèrent monter seul, quand je leur dit que je pouvais très bien ranger seul, le contenu de mon petit sac.

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Après le déjeuner, nous nous installâmes sous l’auvent du pool-house pour une petite sieste. J’étais si agité, en pensant à ma petite Karine, que je ne parvins pas à m’assoupir. Par contre, mes parents et ma tante ronflèrent carrément. Lorsqu’ils émergèrent, ma mère me demanda si j’avais pensé à me munir d’un maillot. Bien sûr, j’en avais pris un. Je montai donc le passer dans ma chambre.

Lorsque je les rejoignis, ils s’étaient tous trois allongés en maillot, sur des lits de plage, à quelques pas de la piscine. Quand je dis en maillot, je devrais préciser juste les bas des maillots, puisque ma mère et ma tante me faisaient face, seins nus. J’essayai de dissimuler ma surprise, car je n’avais encore jamais vue ma mère topless.

En m’approchant du lit de plage, entre celui des deux femmes, que ma mère me montrait de la main, je ne pus faire autrement que de regarder avec insistance leurs excitantes et très semblables poitrines.

Elles présentaient, en effet, les mêmes gros seins, un peu tombants et en poire, couronnés de larges aréoles rose-foncé et bien dessinées, piquées de tétons bruns rigides, longs de trois bons centimètres et gros comme des crayons.

Ma position debout, face à mes parents et ma tante ne me permit pas de dissimuler le gonflement de mon slip de bain. Montrant du menton, mon sexe bandé, mon père lança avec un sourire coquin :

– Ta tante nous parlait justement de sa dernière visite chez toi, mon grand !

Oui, c’est vrai ma tante me faisait de l’effet, mais là, à ce moment précis, je compris que je ne pourrais plus le faire. Je ne pourrai plus ! Une obsession : Karine !

Chapitre 6 : Comment Karine fut mienne.

La semaine qui suivit, je recontactais finalement Karine. Nous nous retrouvâmes dans un café.

– Je suis contente que tu m’appelles. J’avais l’impression d’avoir fait quelque chose de mal !

– Non, je me suis rendu compte que je tenais beaucoup à toi en fait.

– Je le sais, lança la gamine de 16 ans plein d’aplomb, J’aimerai te présenter mes parents.

– Euh... tu crois !

Deux heures plus tard, j’étais assis dans le salon devant Stéphane et Lydie visiblement ravis de me rencontrer. La mère me regardait avec de grands yeux. Assise les jambes croisées, sa jupe courte dévoilait des jambes fines et bien fuselées. Un petit débardeur moulant soulignait une poitrine modeste mais ronde.

Stéphane, de la même taille que sa femme, semblait être sportif. Mince, dynamique, il servait les alcools en souriant et en plaisantant.

Leur fille de 16 ans se collait à moi et me prenait le bras. Gêné par la situation, je voulais assumer mais des relents de normalités m’interdisaient encore d’endosser mon statue de petit ami.

– Notre fille nous a parlé de vous et nous sommes très heureux.

– Karine m’a beaucoup parlé de vous également.

Je souriais légèrement et Lydie compris le sous entendu et me désarma tout de suite :

– Oui, nous ne sommes pas conventionnels, certes, dit-elle en se levant. Nous donnons du plaisir à ceux que nous apprécions.

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Elle se pencha sur sa fille et l’embrassa à pleine bouche juste devant mes yeux. Je vis sa belle poitrine par l’échancrure de son débardeur et d’un coup d’œil, je me rendis compte qu’elle le remarqua.

– Cela vous gêne-t-il Gilles ? demanda Lydie

– Non, je ne crois pas.

– Vous n’êtes pas jaloux ? continua Stéphane qui versait un bordeaux blanc.

– Non.

Karine se tourna vers moi et m’embrassa à pleine bouche en enfonçant sa langue profondément. Sa main me chercha et, devant ses parents, elle passa sa main dans mon pantalon.

J’étais un peu saisi.

– Je reviens, lança Karine qui sortit en trombe de la pièce me laissant avec ses parents.

Nous prîmes chacun notre verre et nous bûmes à la santé de Karine qui revint quelques secondes plus tard. Dans l’embrasure de la porte, la gamine de 16 ans se dénuda lentement et nous dévoila son extrême minceur. Ses seins menus étaient accrochés très haut, sa taille extra-fine, ses hanches presque absentes, son ventre très plat, ses cuisses fuselées, ses fesses petites et fermes et ses longues jambes très fines et presque sans mollets. S’allongeant sur le canapé, elle me tendit la main. J’embrassai ses lèvres, en laissant courir mes doigts sur son corps nu.

Stéphane et Lydie nous regardaient tranquillement. C’était très excitant comme situation. Leur petite s’attaquait déjà à mon pantalon. Ma verge apparut et sa bouche l’avala. Ses lèvres de gamine, gonflées et pulpeuses, enserraient ma tige.

Stéphane se leva et passa derrière sa fille qui était penchée sur ma queue. Il s’agenouilla et commença à lécher l’abricot de la gamine et son anus. Sa langue puis ses doigts d’homme pénétrèrent l’intimité de l’adolescente. Elle s’activa d’autant plus sur ma verge luisante de sa salive.

Je n’avais pas remarqué que Lydie avait ôté ses vêtements. Debout et nue, elle était magnifique. Une beauté parfaite. Elle se pencha aux côtés de sa fille et l’assista sur sa tâche. Attaquée par deux bouches, ma queue se raidit encore plus. Etait-ce possible ?

Stéphane se redressa et pénétra sa fille. Elle se raidit et m’embrassa longuement :

– Je t’aime mon amour. Je suis si heureuse que tu acceptes mes pratiques incestueuses.

Calé sur les petites hanches de Karine, son père la pilonnait en rythme. Accaparée par la verge paternelle, ma petite amie de 16 ans laissa ma queue. Sa mère en prit bien soin et finit par s’asseoir dessus. La moiteur de son vagin me ravit. Lydie planta ses deux jolis seins sur mon visage. Je les léchais avec délice pendant que ma queue s’engouffrait dans son sexe.

L’après-midi fut parfaite, sensuelle, interdite. Nous prîmes, Stéphane et moi, Karine ensemble dans une position tout à fait acrobatique. Puis ce fut le tour de Lydie qui gueula très fort à chaque orgasme.

J’enculais ensuite ma petite Karine qui m’offrit son petit cul. Elle léchait sa mère couchée devant. Voir une gamine de 16 ans prendre autant de plaisir à sucer le sexe de sa mère, me transporta et j’éjaculais abondamment dans les intestins de ma petite amie.

Stéphane me remplaça rapidement et pénétra le vagin de sa fille. Il le pilonna sans vergogne. Cela m’agaça un peu d’ailleurs, mais comme je voyais mon amoureuse d’adolescente vibrer au plus haut point de ce traitement, je m’en réjouis finalement.

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Ma vie avec Karine fut des années de bonheur, de douceur, de plaisir. Nous baisâmes comme des dieux. Bien évidemment, je fus convié à prendre toutes les femmes de sa famille et je me délectais d’admirer ma Karine être l’objet des convoitises masculines.

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