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Rédaction08, Rue De Savoie Claire Fontaine

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LE JOURNAL DES BONNES AFFAIRES Semaine du 13 au 19 mai 2013 - Prix : 25 DA

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Salon International du Futur TechnologiqueL’Algérie à l’heure de l’école numérique

La classenumérique

En deux décennies, l’accès au patrimoine mondialde la Connaissance s’est formidablement simplifié

et popularisé grâce à la révolution numérique.Pour ce faire, les équipes de recherche et les in-dustriels multiplient les équipements de stockageet de traitement des données, les appareils et lesréseaux de connexion, les interfaces logicielles et

les solutions de communication.

En Algérie, le SIFTech per-

met de faire un état des lieux

des T.I.C dans notre pays et

dans le monde et offre à l’en-

semble des acteurs économi-

ques une vitrine prestigieuse

pour les choix technologiques

qu’ils doivent faire, tout en

ouvrant à chaque fois de nou-

veaux horizons aux profes-

sionnels de tous les métiers y

compris maintenant aux

entreprenautes.Conscient des multiples défisqui se posent à notre nation,et de l’impérieuse nécessitéde préparer les générationsmontantes à prendre en mainsleur destinée dans un environ-nement dominé par les hautestechnologies, le comité d’or-ganisation du 14ème SIFTech aretenu comme thème fort etprincipal de cette édition:L’École numérique.

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et délégués commerciauxHomme ou Femme

pour l’ensemble du pays.Envoyez votre CV détaillé

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AGENCE DE PRESSE

2 Actualité ANNONCES EXPRESS - Semaine du 4 au 10 avril 2013

Plan du salon SIFTech 2013Fichetechnique

Edition:Quatorzième

Date:Du 13 au 15 Mai

Lieu:Centre

des conventions Ahmed-Benahmed

(CCO) d’Oran

Patronage: M. le Ministre de la

Poste et des T.I.CM. le Ministre de

l’Éducation Nationaleet sous l’égide

de M. le Wali d’Oran

Thème Principalde cette édition:

L’École numérique

Pôles d’attraction - Une classe de

démonstration pourl’enseignement

numérique- Un concours pour les

meilleures œuvresnumériques destinées

à l’enseignement- Un cycle deconférences

Participants:Centaine

Organisateur:Krizalid

Communication

Concept:ASTREIN (1995)

immobilier 3Semaine du 4 au 10 avril 2013 - ANNONCES EXPRESS

Salon International du Futur TechnologiqueL’Algérie à l’heure de l’école numérique

Pour ce faire, les équipesde recherche et les industriels multiplient les

équipements de stockage et detraitement des données, les ap-pareils et les réseaux de con-nexion, les interfaceslogicielles et les solutions decommunication.Stocker et diffuser des infor-mations scientifiques, techni-ques, culturelles, politiques, re-ligieuses, financières… est dé-sormais à la portée de tous.Comment tirer profit, à titre in-dividuel ou en communauté, dece patrimoine inestimable ? EnAlgérie, le SIFTech, dans seséditions annuelles, permet defaire un état des lieux des T.I.Cdans notre pays et dans lemonde et offre à l’ensembledes acteurs économiques unevitrine prestigieuse pour leschoix technologiques qu’ilsdoivent faire, tout en ouvrantà chaque fois de nouveaux ho-rizons aux professionnels detous les métiers y comprismaintenant auxentreprenautes.Conscient des multiples défisqui se posent à notre nation, etde l’impérieuse nécessité depréparer les générations mon-tantes à prendre en mains leurdestinée dans un environne-ment dominé par les hautestechnologies, le comité d’orga-nisation du 14ème SIFTech a re-tenu comme thème fort et prin-cipal de cette édition: L’Écolenumérique.

Le 14ème SIFTech aura lieu du13 au 15 mai 2013 sous le dou-ble patronage de Monsieur leMinistre des PTIC et Mon-sieur le Ministre de l’Éduca-tion Nationale et sous l’égidede Monsieur le Wali d’Oran.Plusieurs exposants présente-ront des solutions matérielleset/ou logicielles d’enseigne-ment à tous les niveaux et deformation dans tous les corpsde métiers.Le thème de l’édition s’ex-prime aussi à travers 4 pôlesd’attraction:

1\Une classe de démons-tration pour l’enseignementnumérique fonctionnant au seinde l’exposition avec tableau in-teractif, tablettes tactiles et coursnumérisés.2\Un concours doté d’un pre-mier prix de UN Million de Di-nars et de UN autre Million deDinars partagé entre les 3 prixsuivants, pour les meilleuresœuvres numériques destinées àl’enseignement.3\Un cycle de conférencespermettant d’aborder les diffé-rents aspects de l’enseignement

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numérique ainsi que les expé-riences en cours en Algérie etdans d’autres pays.4\Des modalités de partici-pation à l’exposition facilitéespour les start’up et porteurs deprojets dans le domaine due\learning, des outils de dévelop-pement de cours numérisés, etdes solutions intégrées de suiviet de gestion des établisse-ments d’enseignement et deformation. Et autour de cethème principal, les exposantsdu SIFTech présenteront lesdernières nouveautés en Ma-

Le côté animation scientifique et technique offre 3

principaux volets:1/ Le cycle de conféren-ces:Il s’étalera sur les trois joursdu salon, toutes les matinéesde 10h30 à 13h en plus duMercredi après-midi de 14hà 17h avec des communica-tions de différents acteurs dusecteur TIC notamment desprofesseurs de l’Universitéd’Oran, de Mostaganem etd’Alger ainsi que des repré-sentants d’institutions étati-ques telles que le MPTIC,l’ANPT, l’INTTIC.Parmi les conférences inau-gurales, une communicationportera sur un état des lieuxde l’enseignement numéri-que dans le monde. 15 com-munications sont program-mées et seront clôturées parune table ronde le Mercredi

15 Mai à 16h.2/ Le concours Lawha:Il est à rappeler qu’un con-cours portant sur la meilleureœuvre sur l’enseignementnumérique a été lancé dansle cadre du 14èmeSIFTECH, avec à la clé unmillion de dinars pour le pre-mier prix et un autre million

pour les trois autres lauréats.Le jury du concours s’estréuni et a présélectionné 19projets. Les auteurs de cesderniers ont jusqu’au 09 Maipour préparer l’œuvre com-plète. Après analyse, le Juryen sélectionnera les 10meilleures qui seront présen-tées le 13 et 14 Mai. Enfin,

les résultats seront annoncésle 14 au soir.3/ La classe démo:L’aménagement de cetteclasse numérique est un pasvers l’école Algérienne dedemain. En effet, cette ex-périence moderniste permet-tra de mettre en évidencel’intérêt d’investir dans la

qualité de l’enseignementpour les générations futures.Ainsi, enseignants et appre-nants s’initieront à l’utilisationdes nouvelles techniques péda-gogiques. La classe concer-nera un niveau de l’enseigne-ment moyen et un autre del’enseignement secondaireavec 12 élèves de chaque.

Avertissement:Pour tout texte, photo ou docu-ment envoyé pour éventuelle

publication implique l’acceptationde l’auteur.

Le ou les document(s) ne sera(ont)pas restitué(s), ainsi que les copies

ou reproductions au propriétaire de

Impressions : SIODistribution:SDPO Ouest

En deux décen-nies, l’accès au patrimoine mondial de la Connaissance s’est formidablementsimplifié et popularisé grâce à la révolution numérique.

tières de PC, d’impression,d’affichage, de tablettes, desmartphones, de téléphonie, decommunication, de systèmesd’informations et de solutionslogicielles. Le SIFTech reste uneoccasion importante pour décou-vrir, tester, et comparer les outilset accessoires les plus récents.Une centaine d’exposants,présentant les équipements etles produits de plus de 200 fir-mes nationales et internationa-les sont attendus au Centre desConventions d’Oran pour cetimportant événement.

Animation

4 Immobilier ANNONCES EXPRESS - Semaine du 4 au 10 avril 2013

Ce 14ème SIFtechétant dédié àl’enseignementnumérique, uneclasse dedémonstrationfonctionnera sur placependant les 3 jours dusalon avec desenseignants initiés àl’usage des nouveauxoutils et des élèvesqui viennent découvrirles nouveaux modesd’acquisition desconnaissances.La classe estégalement ouvertepour lesprofessionnels dusecteur et lespersonnes du publicdésireux de suivre ledéroulement d’uncours numérique.@-Une classenumérique en démoavec: - Tableau interactif - Tablettes tactiles - Une nouvelle façond’enseigner, d’interagiren classeA travers cette activité,nous souhaitons fairedécouvrir aux élèves,à leurs parents et auxinstitutionsconcernées quelquesaspects dufonctionnement de laclasse numérique quiconnait un début deconcrétisation dansplusieurs pays.

Le futur del’enseignementet la formationest présentau SIFTech

Un élève de classe primaire pèse en moyenne 40kg et son cartable peut peser jusqu’à 10 kg, le quartde son poids. Si celui-ci oublie un livre ou un cahieril est doublement pénalisé : d’abord parce qu’il nepeut pas prendre de notes, ensuite parce qu’il ris-que d’avoir une punition. Si ce cartable pouvait selimiter à un seul objet, un seul outil de travail, sondos serait en bien meilleur santé et il aura à toutmoment accès à tous ses livres et cahiers. Les

Le stylo du XXI ème sièclepropriétés de la tablette numérique en font un can-didat aux atouts incontestés.Chaque mot inconnu peut être immédiatement re-cherché dans un dictionnaire (le dictionnaire pa-pier pèse bien trop lourd!), tout sujet méconnu peutêtre recherché sur Internet.71% des étudiants américains souhaitaient adop-ter les livres scolaires au format numérique pourdes raisons de praticité.

Nos enfants ne nous ont pas attendus pour s’approprier le clavier et l’écran si bien qu’Ils saventutiliser les smartphones mieux que nous. Ils ont fait la connaissance de l’appareil photo, du camés-cope et du téléphone mobile dès leurs naissances au cours des habituelles séances de photos etvidéos. A la maison, ils ont grandi au milieu d’ordinateurs, d’IPads et d’écrans de télévision.Combien de fois n’ont-ils pas appelé votre client ou votre patron à votre insu entapotant Innocemment sur ces objets lumineux, mélodieux, si sympathi-ques ?Donnez un IPad à un adulte qui n’a jamais manipulé de matérieltechnologique et la première chose qu’il vous dira est: com-ment est-ce que je dois faire? Donnez le à un enfant de2 ans et la première chose qu’il fera sera de toucherl’objet, toucher les icônes, tâtonner… et en lui mon-trant deux ou trois gestes simples, il sera capa-ble d’utiliser la machine dans les 20 minutes.Les designers et les ergonomes n’ont eude cesse d’imaginer des interfaces deplus en plus accessibles, intuitives etfaciles d’utilisation, si bien qu’il fautà un enfant d’aujourd’hui moins de20 minutes avant de savoirutiliser pleinement sa tablette.De plus, elle présente quel-ques avantages par rapportaux ordinateurs de bureauxet aux ordinateurs porta-bles: facilité de transport,une plus longue autono-mie en batterie, uneconnectivité par wiû oupar carte SIM 3G etsurtout un écran tactilequi lui donne la particula-rité de pouvoir manipulerl’écran « aux bouts desdoigts ». Les enfants ontencore des difficultés àutiliser la souris décen-trée de l’écran. Les tout-petits, qui aiment lamanipulation et l’explora-tion, sont très réceptifs auxtablettes. Les adultes quantà eux ont des blocagespsychologiques.

Ordinateur de bureau,ordinateur portable et tablette

Divers 5Semaine du 4 au 10 avril 2013 - ANNONCES EXPRESS

Taux de rétention de l'informationLa classe numérique utilise les outils d’aujourd’hui pouraméliorer l’expérience d’apprentissage des élèves.Comme le montre la pyramide ci-dessous, les méthodesparticipatives ont un impact bien plus important sur lesélèves que les méthodes d’enseignement classiques. Sile tableau blanc interactif a certes cette capacité de cap-ter l’attention de l’élève, il ne reste pas moins une façontoujours passive pour l’apprenant de recevoir de l’infor-mation de la part de son enseignant. La tablette numéri-que par contre incite l’élève à créer, imaginer, participeren classe et lui donne satisfaction et confiance en soilorsqu’il réalise un travail qu’il montre à ses camarades et àson professeur.

La classe numériqueLa classe numérique

Parmi les projets réceptionnés, 19 ont été présélectionnés par le jury du concours.Il s’agit de:

1) e-learn de Karima Djama et Ramzi El Abed,2) Mdrassati de Sarah Khiter,3)Moodle de Amine Dahane/ Mohamed Chalouli/ Aness Belhouari,4) Plateforme de télé-enseignement de M. Belhouari,5) Youreka de Ilyes Benbrahim,6) Le multimédia au service de la technologie de Ouahiba Bentayeb,7) E-learning de Samir Tahraoui,8) Exo Games de Djalal Adnani,9) Plateforme E-learning de Rachid Bencherif,10) Hourouf Arabiya Nazih Dehouche,11) Application Web de Mohamed Djellali ,12) El Qalam de Mohamed Berzig,13) Alania LMS de Ryad Bouziani,14) Admisco/ Logiciel de gestion scolaire de Sofiane Djabouabdellah,15)Plateforme virtuelle de Sofiane Seddik,16)Environnement numérique du travail de Hamza Benhacene,17) Plateforme d’enseignement El Mahdi Boutchacha,18) e-Dorouss Walid Laribi19) Moufidcom de Mohamed Amine Mostefa.

À l’occasion de la Quatorzième édition du SIFTech, Salon International du Futur Techno-logique et dans le cadre du thème retenu pour cette édition qui est «l’école numérique»,un concours de la meilleure œuvre numérique a été lancé pour encourager la concep-tion et la mise en forme des ressources technico-pédagogiques basées sur l’usage desT.I.C dans l’enseignement, avec à la clé, un million de dinars pour la meilleure œuvreprésentée.

19 projets pré-sélectionnés pour le concours «LAWHA»de la Meilleure œuvre numérique

A travers cette activité, noussouhaitons faire connaîtreaux institutions concernées,aux professionnels et augrand public les produits etservices disponibles dansce créneau en Algérie.Cette classe accueillera 12élèves du cycle primaire oumoyen et sera dirigée par unenseignant qualifié et forméà l’utilisation des tableauxblancs interactifs et descontenus pédagogiques in-teractifs.A travers cette activité, nousvoulons faire découvrir auxélèves, à leurs parents etaux institutions concernéesl’expérience de la classenumérique à l’instar des ex-périences déjà menéesdans d’autres pays commel’école de Gaujacq, petit vil-lage au sud des landes, oùles élèves apprennent l’or-thographe et le calcul entoute autonomie à travers

l’utilisation de l’IPad, ou en-core cette expérience toutà fait étonnante de l’équipeOLPC (One Laptop PerChild ; un portable par en-fant) en Ethiopie :Des membres de l'organi-sation se sont rendus dansdeux villages d'Ethiopie oùn'existe aucune éducationscolaire, et ont déposé auxenfants des boîtes en cartonscellées par du scotch, danslesquelles ils avaient mis destablettes Motorola Xoom.Ilsn'ont donné aux enfantsaucune instruction, et ontsimplement observé, avec lacomplicité d'adultes du vil-lage qui avaient appris à seservir du système de re-charge électrique par pan-neaux solaires. Les tablettesétaient préchargées avecdes jeux permettant d'ap-prendre l'alphabet, des e-books, des films, des des-sins animés, des applica-

tions pour dessiner, etc."Je pensais que les enfantsjoueraient avec les boîtes", araconté NicholasNegroponte, le fondateurd'OLPC, lors d'une confé-rence. "Au bout de quatre mi-nutes, un enfant avait nonseulement ouvert la boîte,mais aussi trouvé le boutonon/off (de la tablette) et l'avaitdémarrée. Au bout de cinqjours, ils utilisaient 47 appli-cations par enfant, par jour.Au bout de deux semaines,ils chantaient les chansonsABC dans le village, et aubout de cinq mois, ils avaienthacké Android" (ils ont réussià détourner la protectionmise en place par les tech-niciens pour les empêcherde personnaliser la tablette,et ont réactivé la caméra quiavait été désactivée). L'undes enfants a écrit "lion" surl'application permettant dedessiner.

Une classe numérique dans l’espace d’exposition du CCO

Google Glass : elles ne serontcommercialisées qu’en 2014Les mordus de technologies etde produits high-tech risquentd’être déçus. Début mars, desrumeurs annonçaient la com-mercialisation des GoogleGlass dés 2013.Finalement, le géant del’Internet a déclaré qu’il fau-dra encore attendre un petitpeu, «Vous devez partir duprincipe que ça va nous pren-dre quelque temps», a déclaréEric Schmidt, le directeur exé-cutif de Google. Début février,le co-fondateur de Google,Sergey Brin, avait annoncé queles fameuses lunettes pour-raient être commercialiséescette années pour moins de 1500 dollars (environ 1 150euros). Mi-avril, Google a en-fin révélé les premiers détailsde son dernier joujou.On sait notamment que les lu-nettes pourront être utiliséessans être rechargées via lecâble micro USB «un jour

complet pour un usage normal.Certaines fonctions, commeHangouts et la vidéo, consom-ment davantage de batterie».Google a aussi indiqué que l’af-fichage embarqué projeté serale même que celui d’un écranHD de 25 pouces (63,5 cm) vuà une distance de presque 2,5m, que le capteur photo estéquivalent à 5 millions de pixelstandis que les vidéos seront en720p.Les lunettes auront bien évi-demment un espace de stoc-kage : 16 Go de mémoire flashpour 12 Go vraiment utilisable.

6 Actualité ANNONCES EXPRESS - Semaine du 13 au 19 mai 2013

Mercreci 15 Mai 2013 :10h-11h / Mr. Baghdad Bensaali – Tempus Al-gériePlateformes d’apprentissage en ligne : outilscomplémentaires de développement du sa-voir et des compétences.La recherche de l’amélioration continue des mé-thodes d’enseignement et d’apprentissage est undéfi pour la communauté universitaire et toujoursun sujet d’actualité. Si l’interaction de l’enseignantavec les étudiants est indispensable pour touttransfert de connaissances, l’acquisition descompétences pourrait recourir à d’autres moyensplus performants et compléter ainsi les lacunesdu présentiel.

11h00-11h30 / Mr. Abdelhalim Benachenhou –Université de MostaganemSi vous ne pouvez pas aller à l’université,l’université vient vers vous.Présentation de deux projets de l’université deMostaganem, l’un qui permet aux étudiants et aupersonnel de l’université de se former et d’acquérirle Certificat Informatique et Internet. Le secondqui permet la création d’une formation à distanceen électronique et optique des systèmes embar-qués.

11h30-12h00 / Mr. Ryad Bouziani – Alania Me-diaLearning Management System – LMS AlaniaPrésentation d’un système de gestion de forma-tion permettant aux établissements de formationde gérer efficacement la programmation de leurscessions de formation.

12h30-13h00 / Mr. Djalal Adnani – Universitéd’OranLes réseaux sociaux au service de l’ensei-gnant.Présentation d’un cas pratique sur l’utilisation deFacebook comme plateforme d’interaction entrel’enseignant et ses étudiants.

14h00-14h30 / Mme. Yasmine Aït Si Larbi – Uni-versité d’OranLes systèmes de gestion de l’apprentissagePrésentation de solutions servant à fournir, sui-vre et gérer des formations sur le Web. La com-munication permettra de lancer une réflexion surl’utilisation de ces solutions et de déceler leursdéfis dans le domaine de l’enseignement.

14h30-15h00 / Mr. Mebarek Boukaaba – VoraxLes énergies renouvlablesPrésentation des nouvelles technologies dans ledomaine des énergies renouvelables.

15h-15h30 / Mr. Karim Bousba – SONATRACHLa téléphonie au travers d’un réseau de don-nées.Présentation d’une solution pour les entreprisesafin de remplacer d’une partie ou de la totalité deleur réseau téléphonique traditionnel par un ré-seau informatique de données.

15h30-16h 00/ Algérie Telecom

16h00-16h30 / Abderezzak Bouzidi –CNIIPDTICEPrésentateur de la plateforme du réseauintranet et internet du MENPrésentation du processus d’informatisation dusecteur de l’Education Nationale.

Lundi 13 Mai 2013 :11h30-12h00 / MPTICStratégie pour faire entrer l’école dans l’èredu numérique : Quel rôle pour le MPTIC ?Le monde d’aujourd’hui connaît avec le numéri-que une rupture technologique extrêmement im-portante.Cette communication tentera de présenter unestratégie pour le numérique à l’école qui dépassela simple question de la diffusion des technolo-gies de l’information et de la communication àl’École et de l’installation des ordinateurs dansles salles de classe.

12h00-12h30 / Mr. Tessa – MENLe bouquet numérique de la scolarité

12h30-13h/ Karim Bouamran- Université OranL’école numérique à travers le monde: Unétat des lieux.Cette communication fait un état des lieux desexpériences de différents pays occidentaux etémergents dans le monde de l’école numérique,considérant que l’acquisition d’une culture dunumérique et la maîtrise de ses outils sontaujourd’hui nécessaires à une insertion réussiedans la société et la vie active, qui est l’une desmissions premières de l’Ecole.

Mardi 14 Mai 2013 :10h30-11h00/ Mr. Redouane Tlemsani –INTTICM-learning migration approach using moodleplateform.In this paper the benefits of mobile-learning andits use in the IINTTIC’s Moodle platform arepresented. A new way to send information todifferent learners is developed, relying on themultimedia podcasting technology. This latter isstill relatively new and not widely known.

11h00-11h30 / Mme. Taghzout et Mr. Reguieg– Université OranLes Technologies WEB 2.0, les Forums de dis-cussion et les plateformes de travailcollaboratif au service de l’école numérique.Communication portant sur un site Internet quipermet l’échange de messages entre les étu-diants du département informatique selon unthème spécifique choisi parmi une liste de thè-mes ou sujets incluant une liste de matières en-seignées (cours et exercices).

11h30-12h00 / Mme. Rachaa ChaoucheBedjaoui / ANPTStratégie de développement des réseauxd’incubateurs en Algérie par l’ANPT.

12h00-12h30 / Mr. Abdelkader Abdelillah – Uni-versité OranParadigme d’apprentissage et ingénierie dela e-formation.Communication portant sur l’ingénierie et lesstratégies de support à l’apprentissage qui peu-vent être un processus qui s’inscrit tout au longdes différentes phases d’analyse et de définitiondu projet, de conception, de réalisation et d’éva-luation, et qu’ il faut tenir compte de la polyva-lence des profils des personnes engagés dansce processus et l’implication des médias et ré-seaux sociaux qui sont devenus incontournablesd’un point de vue sociologique.

12h30-13h00 / Mr. Boubram – INPTICUtilisation des tablettes dans le e-learning.

Programme des conférences

Vol de câblestéléphoniques :800 abonnés sanstéléphone fixe niinternet à BécharLe vol de 840 mètres de câblestéléphoniques souterrains auniveau du quartier 622 Loge-ments, a privé 800 abonnésd’Algérie Télécom de téléphoneet d’internet, rapporte ce mer-credi la radio nationale. Cetteopération a également causéune perte pour Algérie Télécomestimée à 1,5 million de dinars.

Algérie Poste et l’opérateur detéléphonie mobile Nedjma ontsigné, mercredi à Alger, uneconvention-cadre qui introduitune innovation majeure en ma-tière de services de proximitégrâce au nouveau concept"FIDAREK" (Chez vous), a in-diqué un communiqué conjoint.Ce nouveau concept permetaux abonnés d’accéder à desrechargements électroniquesSTORM chez eux par l’intermé-diaire des facteurs d’AlgériePoste.La convention paraphée par ledirecteur général d’Algérieposte, Mohand Laïd Mahloul etle directeur général de Nedjma,Joseph Ged, établit ainsi "lesfondements d’un partenariatpublic-privé innovant et sous-entendu par la volonté de ga-rantir l’égal accès des citoyensaux différents services offertssur le territoire national".Cette convention "renforce lessynergies entre Algérie Posteet Nedjma et augmente la dis-ponibilité des services de proxi-mité en faveur des consomma-teurs", a-t-on précisé de mêmesource.

Algérie Poste-Nedjma:convention-cadreintroduisant uneinnovation en matièrede services deproximité

Mobilis lance la sérieSwitchersEn partenariat avec la Télévi-sion algérienne et le géantSamsung, Mobilis lance en ex-clusivité la série évènementSwitchers. Un programme centpour cent algérien, mêlantscience fiction, nouvelles tech-nologies et divertissement.La série, qui promet un grandsuccès, a été présentée lundien avant-première à la salleCosmos, Riadh El Feth, à Al-ger. Etaient présents à l'évène-ment plusieurs personnalitésalgériennes dans le secteurdes télécommunications et destechnologies modernes, no-tamment Saâd Damas, prési-dent-directeur général d'ATMMobilis, Ki-Woong Song, Direc-teur général de Samsung Algé-rie et Lyes Laribi, directeur deprogrammation à l'ENTV.

immobilier 7Semaine du 4 au 10 avril 2013 - ANNONCES EXPRESS

rien qui savait qu’en 2013 latablette allait arriver alors quel’ordinateur existait ?»Le ministre de l’Éducation na-tionale résume le problème deson secteur en le manque d’in-frastructures scolaires. Dumanque d’assiettes foncièrespour lancer des projets à l’ab-sence d’entreprises de cons-truction intéressées. Et le man-que aboutit dans certaines ré-gions, notamment les grandesvilles, à la double vacation quiest un réel problème ; 16%d’établissements y fonction-nent ainsi.

Abordant le volet des coursparticuliers qui font rage etdont certains enseignants enont fait un fonds de commerce,le ministre de l’Éducation netrouve même pas de qualifica-tif à ce phénomène. Après unbon moment de réflexion, il diraaux journalistes qui lui propo-sait le qualificatif de «scanda-leux» : «Je ne trouve pas dequalificatif ! Non, je ne diraipas scandaleux, mais inaccep-

Remplacer le lourd «fardeau»que tirent les élèves chaquejour que Dieu fait par un légercartable numérique contenanttout le programme pédagogi-que et les manuels scolaires estune proposition avancée il y aquelques mois. Il sembleraitque cette idée ait fait son bon-homme de chemin et que latutelle compte bien la réaliser.C’est du moins ce qui a étéconfirmé par le ministre del’Éducation nationale, lundi soir,lors de l’émission «Questiond’actu», présentée par le jour-naliste Ahmed Lahri.Une émission où les premierset principaux concernésn’étaient pas en reste puis-qu’une dizaine d’élèves destrois paliers y ont assisté et onteu le privilège de poser desquestions à Baba Ahmed. Ilsont eu leur mot à dire surl’école et ses lacunes qui lesrendent moins réceptifs à l’en-seignement prodigué. Maisavant de revenir sur leurs pré-occupations et le constat né-gatif établi, commençons parle thème principal de l’émissionde Canal Algérie, à savoir :l’école de demain ! La des-cente aux enfers est telle quepeu sont ceux qui se triturentles méninges pour imaginer lafuture école algérienne. Etc’est le cas du ministre del’Éducation nationale à qui,d’ailleurs, incombe cette déli-cate et lourde mission. Et BabaAhmed n’a pas manqué d’imagination ! Pourvu qu’ilpuisse la transformer en réa-lité, au grand bonheur de plusde huit millions d’élèves. «Uneécole sans cahiers, sans sty-los, sans manuels… juste unetablette qui contient tous les li-vres et qui permet à l’élève defaire ses devoirs.» C’est cetteécole qu’envisage d’offrirBaba Ahmed aux élèves algé-riens. Une école basée essen-tiellement sur les TIC et sesgrands avantages sur tous lesplans. Questions : envisage-t-on de mettre à la dispositiondes huit millions trois cent milleélèves une tablette tactile ?Serait-ce aux frais de l’écoleou des parents ? Le ministreexpliquera encore la vision dela tutelle par rapport à l’écolede demain. «La tablettecomme outil d’apprentissageest l’un des meilleurs moyenset possibilité réaliste à laquellenous réfléchissons.» Mieux,«des sponsors se sont engagésà nous accompagner dans cettedémarche à travers, d’abord,des écoles-pilotes». Et s’ils’avère que ce moyen est ef-ficace, la tutelle fermera les

Des tablettes à la place du cartableLe département de Baba Ahmed envisage de lancer des écoles-pilotes où l’élèvene trimbalerait plus un lourd cartable, mais une légère tablette où il y trouvera

ses manuels, fera ses devoirs et ses recherches.

yeux sur les coûts élevés. Etpuis dans le domaine de l’in-formatique, un produit chasseun autre et «les prix dimi-nuent».

Ouvrir le débat sur l’école dedemain sans s’attarder sur lebilan de la réforme relève de l’impossible. Où en-t-elle ? Etquand s’achèvera-t-elle ?Baba Ahmed rappellera,comme à chaque foisd’ailleurs, que la réforme estcelle d’un gouvernement et cequi se fait actuellement commepremière évaluation ne peutêtre conçu comme une «ré-forme de la réforme.» La rai-son ?«La réforme engagée à la ren-trée scolaire 2003-2004 n’estpas terminée» et nous ne pou-vons donc évaluer ses résul-tats.Le ministre avoue que «depuismon arrivée au secteur, je nerencontre pas un parent qui nedécrie pas la réforme. Mais laréforme n’est pas encore ter-minée car au niveau du cyclesecondaire, elle n’est pas en-core appliquée. Les élèves quiont été touchés par la réformesont actuellement en 1er an-née secondaire. Il faudraitdonc attendre deux annéespour avoir des élèves dont toutle cursus a été réformé et faireune évaluation globale. Et cecine veut aucunement dire quel’élève est un cobaye». «Je necautionne pas cela», lanceBaba Ahmed, qui explique quel’Algérie n’a rien inventé enlançant une première évalua-tion de la réforme puisque celase fait même dans les paysdéveloppés.«Ce n’est pas une refonte to-tale, mais juste des ajuste-ments. En 2003, au lancementde la réforme, quel est l’Algé-

table, surtout lorsque l’ensei-gnant ne fait aucun effort enclasse pour détourner les élè-ves et leur proposer des coursde soutien.» La seule situationoù le recours à cette formuleest utile, selon Baba Ahmed,c’est «quand l’enseignant faitde son mieux et que certainsélèves n’assimilent pas et leursparents sollicitent les ensei-gnants pour des cours particu-liers». Pour le ministre : «Ilfaut essayer d’éveiller la mo-rale et la conscience de cesenseignants, ils ne sont pasmajoritaires, il y a ceux qui fontdu bénévolat.» Le sujet sem-ble tenir à cœur l’invité de latélévision qui reviendra à lacharge à la fin de l’émissionen appelant une fois encore àla conscience de ces ensei-gnants. «Il faut être beaucoupplus regardant envers les élè-ves, surtout en ce qui concerneles cours particuliers. Considé-rez-les comme vos enfants.»

La surcharge des classes est

un phénomène — pourtantsurmédiatisée à l’arrivée deBaba Ahmed au secteur —que le ministre de l’Éduca-tion nationale semble igno-rer complètement ! Il écar-quille les yeux quand uneélève en 4e année moyenne,classe d’examen BEM, luifait part de sa difficulté àsuivre ses cours dans unesalle de… 53 élèves ! «Com-ment faire Monsieur le minis-tre ?» Étonné, voire choquépar ce chiffre, il soutientqu’»effectivement, il peut yavoir des surcharges danscertains CEM, mais au cen-tre d’Alger, il y a des CEMqui n’atteignent pas les 20par classe. Mais 50 élèves !Je vous assure que c’est unnombre que je n’ai pas beau-coup entendu. Mais je vousdis, la seule solution, c’est derajouter des classes car àAlger, c’est très difficile detrouver des assiettes pourconstruire de nouvelles éco-les». Question de l’animateur: n’a-t-on pas tout dit au mi-nistre ? Il compte en tout cas«s’enquérir de la situation». Les autres doléances soule-vées par les élèves sont con-nues de tous : surcharge desprogrammes et du volumehoraire, qualité de l’enseigne-ment, trop de devoirs à faireà la maison, notamment leweek-end… La liste des la-cunes s’allonge d’une annéeà l’autre et risque de s’allon-ger encore tant que les pro-positions concrètes et adap-tées à la société algériennefaites par des gens du mé-tier ne voient pas le jour.Reconnaître les limites d’uneréforme et opter pour unenouvelle approche seraientmieux que de faire dans le ra-fistolage. Les prochaines as-sises nous diront commentsera l’école de demain.

La réformen’est pas terminée

Cours particuliers =problème de conscience

La grande surprisede Baba Ahmed :

53 élèves par classe!

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10 Echos ANNONCES EXPRESS - Semaine du 4 au 10 avril 2013

Les nouveautés high-techde l'année 2013

L'innovationDans la course effrénée à l'innova-tion que se livrent les fabricants detéléviseurs, Samsung et LG sont àégalité pour ce qui est des télévi-seurs à écran incurvé. Ils en ont pré-senté deux prototypes. L'intérêt estd'offrir au spectateur un effet pano-ramique et d'immersion dansl'image. Un pas supplémentaire parrapport aux téléviseurs Ultra HD(quatre fois la définition de la HD)qui sont, eux, déjà commercialisés.Après avoir commencé avec de trèsgrandes tailles (2,10 mètres), Sonyet LG ont présenté des télés de 1,40à 1,90 mètre. Un début de gammepour une technologie encore chère- plusieurs milliers d'euros - mais cen-sée donner envie de renouveler sontéléviseur sans attendre.

Du côté des ordinateursLes fabricants misent sur les nouvel-les catégories pour se relancer, alorsque leurs ventes chutent, frappéesde plein fouet par la concurrence destablettes. Les tables PC, chezLenovo (nouveau numéro un desPC, où elles sont appelées Horizon),Mitsubishi ou encore Sharp, sont àla fois un plateau tactile pour jeuxde société, un PC ou une télé. Cettetendance du tout-en-un touche l'en-semble du marché, avec la montéeen puissance des «convertibles» ou«hybrides», ces PC transformables entablettes grâce à leur écran qui, se-lon les modèles, se détache ou setourne. Asus est allé jusqu'au PC debureau à moniteur amovible. Cerisesur le gâteau, ce Transformer estéquipé à la fois de Windows 8 etd'Android. C'est peut-être une solu-tion pour consommateur indécis, quin'aura désormais plus à choisir sonsystème d'exploitation lors del'achat.

Bénéfice pour la santéLa montée en puissance des tablet-tes est loin d'affecter le seul universdes PC. Elles sont de plus en plusutilisées comme télécommandespour télé connectée ou Smart TV,devenant une interface naturellepour effectuer une recherche en li-gne depuis son téléviseur, choisir unfilm en vidéo à la demande ou regar-der des photos. Mais les tablettes, se-condées par les smartphones, devien-nent aussi la télécommande de toutela maison, pour régler son chauffage,ouvrir ses volets ou même mettre sonfour en route à distance. Car toutl'électroménager devient communi-cant. Le discours des industriels meten avant le bien-être, le gain detemps et même le bénéfice pour lasanté que peuvent apporter ces ob-jets devenus communicants. Un ré-frigérateur peut désormais recom-mander une recette minceur, ou unefourchette, de son côté, vous alerterparce que vous mangez trop vite.

Une page s'est tournée au CES (Consumer Electronics Show) qui s'est tenu en janvier dernier à LasVegas. Les télés ne sont plus plates mais courbes, le PC traditionnel s'efface face aux tablettes,

électroménager intelligent et aux hybrides, les objets communiquent et nous comprennent.

OLEDOrganic Light-Emitting Diodes. Un film organique (composé carboné)est pris en sandwich entre deux autres films jouant le rôle d'électrodes.Lorsqu'un courant est appliqué, le composé organique s'illumine.Les avantages de la technologie sont multiples : les écrans sont plusbrillants, plus contrastés, plus fins et plus légers que les écrans LCD,tout en nécessitant beaucoup moins d'énergie et en coûtantpotentiellement moins cher en production.

Le téléviseur dans sa forme tradi-tionnelle est-il amené à disparaître?Sans doute, à en juger par certainsprototypes présentés à Las Vegas.La courbe a beau être très légère, ilne s'agit pas moins d'une petite ré-volution industrielle. LG et Samsungprésentent sur le salon les premierstéléviseurs Oled courbes, qui permet

d'obtenir un effet similaire à celui d'unécran de cinéma panoramique. Celafait plusieurs années que les expertsdu secteur rêvaient à l'apparition detélés incurvées. Même si aucun desdeux fabricants coréens n'a donnéde date pour la mise sur le marché,on peut imaginer qu'ils seront un jourcommercialisés.

Téléviseurs à écran incurvé

L’IdeaCentre Horizon est un con-cept d’ordinateur tout-en-unsous Windows 8 qui peut s’utiliser demanière classique à la verticale etse transformer en table de jeu vir-tuelle une fois mise à l’horizontale.Lenovo livre l’IdeaCentre Horizonavec une série d’accessoires (un déélectronique, quatre manettes et ba-guettes) qui permettent d’interagiravec la table de jeu virtuelle. Unconcept principalement tourné versun usage ludique et familial qui n’ad’intérêt que s’il est soutenu par uneludothèque compatible et richementdotée.Lenovo a justement prévu un ma-gasin en ligne fort de 5.000 applica-tions multiutilisateurs dédiées à sonproduit dans lequel on retrouve des

titres de grands éditeurs commeElectronic Arts, FableVision, OpenLabs ou encore Ubisoft. Cependant,il faudra casser sa tirelire pour s’of-frir un IdeaCentre Horizon, dont letarif démarre à 1.699 dollars (1.300euros). Sa sortie est prévue au dé-but de l’été.

IdeaCentre Horizon,la table PC signé Lenovo

Le constructeurchinois Lenovoa dévoilé cequ’il présentecomme le pre-

mier «PC interpersonnel», l’IdeaCentreHorizon. Il s’agit d’un ordinateur tout-en-un équipé d’un écran tactile de 27 pou-ces que l’on peut utiliser à l’horizontaleou à la verticale . En position horizon-tale, l’appareil devient une table PCavec un mode tactile dix points qui per-met à plusieurs personnes de jouer en-semble.

Asus Transformer AIOLors du CES 2013 qui s'est tenu à LasVegas en janvier, la marque taïwanaise aannoncé le lancement du premier ordina-teur de bureau tout-en-un : le Transfor-mer AIO. Face à la croissance exponen-tielle des tablettes, Asus a réagi en pro-posant trois modes d'utilisation pour son

nouveau PC. L'écran est détachable dela station PC et devient une tablette tac-tile géante de 18,4 pouces. L'utilisateurpeut alors choisir de continuer surWindows 8 ou de passer sous Android.

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Emploi 11Semaine du 4 au 10 avril 2013 - ANNONCES EXPRESS

La PaperTab est une tablette tactile de10,7 pouces flexible qui, selon ses con-cepteurs, préfigure les terminaux dufutur qui seront aussi fins et souples quedes feuilles de papier. Le prototype pré-senté à Las Vegas a été développé parle Human Media Lab de la Queen’sUniversity (Canada) en collaborationavec Intel, qui a fourni leprocesseur Core i5, et Plastic Logic, quimaîtrise la technologie d’écran tactile EInk haute résolution en plastique flexi-ble. La PaperTab a effectivement desallures de feuille de papier : il suffit parexemple de plier un coin pour tournerla page du document que l’on est trainde lire.Outre la prouesse technique, le conceptPaperTab explore une nouvelle formed’usage. Au lieu d’avoir une seule ta-blette pour tout faire, l’idée est de pos-séder plusieurs PaperTab, chacuneayant une application dédiée. Indépen-dantes, les feuilles pourraient aussicommuniquer entre elles pour échan-ger des données ou activer des fonc-

tions, se comportant alors commeautant de parties d’un système d’ex-ploitation. La démonstration présentéeau CES montrait comment on peut, sim-plement en les mettant en contact,transférer une photo d’une PaperTabà une autre afin qu’elle soit ajoutée enpièce jointe à un courriel. Autre exem-

ple, lorsque plusieurs PaperTab sontcôte à côte, l’affichage s’unifie pour nefaire qu’un seul écran. « D’ici cinq àdix ans, la plupart des ordinateurs, desultraportables en passant par les tablet-tes, auront l’aspect d’une feuille depapier imprimée en couleurs », assurentles chercheurs du Human Media Lab.

Selon ses concepteurs, PaperTab pré-figure de ce que seront les tabletteset les ordinateurs portables d’ici cinqà dix ans.

Console de jeu portable Project Shield de NVidiaMais Project Shield se veut plus qu’unesimple console portable. Outre l’accèsà tout l’écosystème Android, elle per-met également la lecture d’un jeuen streaming depuis un ordinateur viaune connexion Wi-Fi. Et l’on peut mêmela relier au téléviseur en HDMI pourprofiter des jeux sur un grand écran.Console de jeu, passerelle multimédia,manette : Project Shield est tout cela àla fois. Sa sortie est prévue dans unpremier temps au printemps aux États-Unis. Le prix n’a pas encore été com-muniqué.Outre son Project Shield que nous ve-nons d’évoquer, NVidia est venu auCES avec un nouveau SoC pour mobi-les destiné à conforter sa prééminencesur le marché des tablettes et dessmartphones. Voici donc leTegra 4 etsa débauche de puissance :un processeur central ARM CortexA-15 avec quatre cœurs de calcul à 1,9GHz, une puce graphique GeForce 72cœurs et la compatibilité 4G/LTE, le toutgravé en 28 nm.

La console de jeu portableProject Shield de NVidia vavenir chatouiller les géants dusecteur que sont Sony etNintendo en proposant un fonc-tionnement hybride inédit.

Plus connu pour ses processeurs pourtablettes et smartphones et ses cartesgraphiques, NVidia a créé la surpriseen dévoilant une console de jeu vidéoportable. Baptisée Project Shield, ellese présente sous la forme d’une ma-nette de jeu dotée de deuxjoysticks analogiques, d’une croix di-

rectionnelle et de quatre boutons,et surmontée d’un écran

tactile de 5 pouces in-tégré au capot defermeture. Laconsole est ani-mée par le tout

nouveau systemon a chip (SoC) Tegra 4, lui aussi pré-senté lors du CES, et possède uneconnexion Wi-Fi, une sortie HDMI pour se brancher sur un téléviseur, deuxhaut-parleurs et un emplacement pourune carte mémoire microSD. Le sys-tème d’exploitation est Android 4.1 JellyBean dans sa version d’origine. La bat-terie embarquée fournirait cinq à dixheures d’autonomie selon les usages.

Tablette géante de 3MAprès une tablette de 46 pouces dé-voilée en 2012, 3M voit les choses engrand et passe à 84 pouces en 2013.Ce nouveau prototype est capable d’af-ficher 3840 x 2160 pixels (quatre foisplus qu’une définition HD) et de gérerjusqu’à 40 points de contact. Il seraitégalement assez intelligent pour ne pasprendre en compte les contacts tropgrands, tels ceux provoqués pard’autres parties du corps comme uncoude ou un avant-bras.A terme, la tablette de 3M pourraitinteragir avec une centaine de contactssans difficultés particulières, selon leconstructeur.

Ce modèle en 84pouces, tournantsous Windows 7,sera disponible fin2013. Il s’adresse àun public de typeécoles, entreprises,musées ou aéroport.Il est d’ailleurs déjàen test au muséedes Sciences et del’Industrie de Chi-cago, aux Etats-Unis.Niveau argent, les sites spécialisés hé-sitent. Si certains assurent que le prix

n’a pas été dévoilé, d’autres parlentd’une somme entre 10 000 et 25 000dollars.

Le Galaxy S4 Zoom,le premier smartphone /APN de Samsung ?

Samsung pourrait être en trainde préparer son premier « vrai »caméra phone, le Galaxy S4Zoom, sorte demix entre unGalaxy S4 et un Galaxy Camera.Le Galaxy S4 fraîchement lancéet un véritable appareil photo,doté d’un capteur efficace etd’un zoom optique en bonne etdue forme. Il dispose d’un écranqHD SAMOLED de 4.3, de 8 Gode mémoire interne, d’un slotmicroSD (64 Go au maximum),des Bluetooth 4.0 LE, WiFi802.11 a/b/g/n, A-GPS,d’Android Jelly Bean agrémentéde la surcouche Touch WizNature UX, ainsi que d’un pro-cesseur dual-core ou quad-core.

Déjà rebaptisée parles Québécois,Hapifork vise à «aider

à reprendrele contrôlede ses ha-bitudes ali-mentaires»en mesu-rant la vi-

tesse à laquelle on mange et, ac-cessoirement, les quantités man-gées. Compilées sur un mobile,les données sont ensuite analy-sées.

La révolution desmontres intelligentesToshiba ouvre la danse avec unpremier prototype. Le fabricantjaponais mise sur le design etpropose un produit solide,capable de se connecter à unsmartphone tournant sous iOSou Android et équipe d'un écranOLED. Le cadran de la montreest personnalisable via uneboutique en ligne. Pour sa part,l'italien i'm a présenté la dernièreversion de sa montre i'm watch.Entre autres, l'entreprise dévoilequelques nouveautés : le déve-loppement de son propre sys-tème d'exploitation i'm Droid 2, etle lancement de la boutiqued’applications i’m market.C'est ensuite au tour de la sociétéE Ink. Résultat d'un partenariatavec Central Standard Timing, lasmartwatch CST-01 n'est plus unprototype depuis peu, car ellevient d'atteindre son objectif definancement sur le site de finan-cement participatif Kickstarter de200 000 dollars.

PaperTab, la tablette flexible fine comme une feuille de papierLa fourchettejoyeuse de Hapilabs

Par rapport au systèmed’information :·Hausse de la productivité dutravail pour la saisie de l’infor-mation, donc baisse des coûts.·Délocalisation de la produc-tion. (Ex call center) Meilleureconnaissance de l’environne-ment, réactivité plus forte faceà cet environnement, amélio-ration de l’efficacité de la prisede décision permise par uneveille stratégique plus perfor-mante.Par rapport à la structure del’entreprise et la gestion dupersonnel :·Organisation moins hiérarchi-sée, partage d’informations.·Meilleure gestion des ressour-ces humaines (recrutement,gestion des carrières plus fa-cile)Par rapport au commercial :·Nouveau circuit de productiongrâce à l’élargissement dumarché potentiel (commerceélectronique) une baisse descoûts d’approvisionnement·Développement des innova-tions en matière de services etréponses aux besoins des con-sommateurs·Amélioration de l’image demarque de l’entreprise (entre-prise innovante)2.1.2 Limites de l’investis-sement dans les TIC :Coût du matériel du logiciel, dela maintenance. très souventsuréquipement par rapport aubesoin et donc, coût de la sous-utilisation des logiciels coût dela formation du personnel deleur résistances aux change-ments coût généré par la mo-dification des structures, par laréorganisation du travail, par lasurabondance des informa-tions coût dû au rythme sou-tenu des innovations(18 mois)alors que la durée minimaled’amortissement est de 5 à 7

12 auto - moto ANNONCES EXPRESS - Semaine du 4 au 10 avril 2013

Introduction:Le débat actuel sur l’utilisationdes technologies de l’informa-tion et de la communication(TIC) en Algérie est souventmarqué par des perspectivesprophétiques, utopiques ou ca-tastrophiques, fondées sur lefait que l’avenir est exclusive-ment pensé à partir des possi-bilités offertes par la techno-logie. Des configurations réel-les et pratiques sont offertesaujourd’hui par les TIC à l’en-treprise économique tant sur leplan de son organisation quesur celui de son management.Ce fait indéniable et irréfuta-ble se heurte dans le contextealgérien à l’absence de suffi-samment d’éclairages sur laquestion de « l’appropriationdes TIC par nos entrepriseset leurs effets sur les prati-ques organisationnelles etmanagériales de ces derniè-res ».La spécificité des TIC commetechnologies est de porter surles mécanismes d’organisationet de management (planifica-tion, coordination, réalisation etcontrôle) Gilbert P. (2001). El-les automatisent des mécanis-mes existants ou en rendentpossibles de nouveaux. Cettespécificité ne fait que commen-cer : jusqu’à maintenant, l’in-formatisation a principalementporté sur des postes de travailou des fonctions de l’entre-prise. Avec la mise en réseaudes équipements informati-ques, elle porte et va de plusen plus porter sur la coordina-tion des postes de travail ou desfonctions. Cela signifie quel’impact de ces technologiessur les entreprises (et nos en-treprises ne peuvent s’extraireà cette logique) sera impor-tant et qu’il faut être capabled’analyser les trajectoires deces transformations qui sont àla fois technologiques,managériales et organisation-nelles (Brousseau et Rallet,1994).Cette question a un enjeu im-portant, celui de la productivitéet de la compétitivité des en-treprises. En effet, il s’avèreque l’efficacité organisation-nelle est aujourd’hui un facteurde compétitivité important pourles entreprises et les nations.Pour une même productivité dutravail ou du capital, la diffé-

« Appropriation des technologies de l’informatique et de lacommunication (T.I.C) et pratiques organisationnelles et managériales

dans les entreprises Algériennes: Une étude empirique»

rence se fait sur l’efficacité desmécanismes de coordinationqui structurent les organisa-tions.1. Problématiques ethypothese:Les Technologies de l’Infor-mation et de Communication(TIC), offrent des opportuni-tés de développement rapideinestimables aux entreprises.Ce sont des outils qui sont de-venus presque familiers. Pour-tant, au-delà des simples « ef-fets de mode », il est légitimeque l’on se demande s’ils sontaussi présents dans nos entre-prises? Il s’agit donc de ques-tionner fondamentalementl’aspect managérial et orga-nisationnel des TIC, autourd’une question principale :·L’utilisation des TIC par lesentreprises algériennes est-elle l’expression d’une quel-conque appropriation de cestechnologies ?Pour y répondre, nous avonsavancé deux hypothèses glo-bales portant sur sept variablesexplicatives. Nos hypothèsessont : 1) les TIC influencent lesmodes organisationnels etmanagériaux de nos entrepri-ses; et 2) les effets des TICsur ces modes sont explicableset mesurables.2. Revue de la littérature:Nous présentons succincte-ment quelques sous-bassements théoriques afin desaisir l’étendu de notre démar-che de recherche. Toutd’abord, nous présenterons lesconditions ayant présidé àl’émergence des TIC dansl’espace entreprise. Ensuitenous retracerons le statut desTIC dans la recherche ensciences de gestion.2.1 L’émergence des TICdans l’espace entreprise :Les TIC auraient-elles dés-tructuré notre mode de repré-sentation de l’organisation, etnos certitudes concernent lesobjectifs et les moyens de dé-cision et d’action mis à la dis-position des dirigeants des en-treprises ? Le développementdes TIC et l’usage de celles-ci dans l’entreprise se sontd’abord opérés sous l’impul-sion des ingénieurs et techni-ciens des Systèmes d’Informa-tion et de Décision. Ces der-niers, mesurant le potentiel con-sidérable qu’offraient les TIC

on rendu possible le rêve d’im-menses dataware houses quipermettent de tout savoir oupresque sur le marché et lesclients de l’entreprise.Lorsque les stratèges de l’en-treprise ont domestiqué cesTIC, ils ont imaginé commentvendre plus, plus loin, moinscher et à meilleur coût. Ellesont alors formulé des deman-des précises à leurs servicesinformatiques afin de créer dessites Internet et extranet lesplus performants possible.Il aura fallu peu de temps auxfinanciers qui se débattaientdepuis quelques années face àd’impérieux besoins de renta-bilité et de recherche de va-leurs comptables dans l’entre-prise pour jauger les TIC.Restructuration, fusions,reengineering, etc., permet-taient certes de faire des éco-nomies, mais pas encore dedégager de véritables valeurscomptables au niveau des res-sources humaines existantes.Or, les TIC laissaient entrevoirla possibilité de recruter surune base plus large et à moin-dre coût des ressources humai-nes compétentes ; il était pos-sible d’envisager la mise enplace de e-learning moins oné-reux que les formations conti-nues et les stages de reconver-sion habituels; il devenait pos-sible d’opérer à des change-ments culturels en bombardantle personnel d’instructions pré-cises Guilloux V. (2000). Mais,de plus, les Directions de Res-sources Humaines (D.R.H.)découvraient également lespossibilités de créer des basesde données communes enintranet ou extranet, d’écono-miser en papier et formulairesde toute sortes, de gérer desprocessus de communicationinterne en temps réel. Ce fûtla rencontre de deux visions:

Mais l’ennui aussi est que,dans ce mode de communica-tion, on avait souvent oublié unpartenaire de choix : le colla-borateur.Après des années de boulever-sements internes et externes,restructurations, de licencie-ments, de mutation des métierstraditionnels, de perte de vuedes valeurs de bases du tra-vail et parfois de la sociétéenvironnante, les individus ontbesoin de retrouver des valeurs

dans l’entreprise.Si on considèreque la présenta-tion, l’adaptationet le développe-ment du capitalhumain est bien,pour l’organisa-tion, un de ses ob-jectifs fondamen-taux, il faut savoirinstaurer des rela-tions d’échange etde communicationappropriées. Ici,encore il apparaîtnécessaire de met-tre en place la vé-ritable interface de communi-cation et d’action qui doit unirtrois acteurs majeurs :

Figure 2 :Relation tic Finance, DRH etCollaborateur ; source : KalikaM., Bellier S., Isaac H.,Josserand E., Leroy I. (2002),« Le e-management : versl’entreprise virtuelle ? L’im-pact des TIC sur l’organisationet la gestion des compéten-ces», Edition Liaisons.Les TIC ont modifié notremode de représentation del’organisation, et nos certitudesconcernent les objectifs et lesmoyens de décision et d’actionmis à la disposition des diri-geants des entreprises. Ils ontdonné lien à l’entreprise en ré-seau.Elle aura compris que la valo-risation de l’intangible doit don-ner du sens et de la cohérenceaux attentes de tous les ac-teurs.

Figure 3 :TIC et l’émergence dans l’en-treprise ; source : Kalika M.,Bellier S., Isaac H., JosserandE., Leroy I. (2002), « Le e-ma-nagement : vers l’entreprisevirtuelle ? L’impact des TICsur l’organisation et la gestiondes compétences », EditionLiaisons.2.1.1 Avantages des TIC :

Driss REGUIEG - ISSAADDocteur d’Etat en Economie, Pôle universitaire de Belgaïd

Détente 13Semaine du 4 au 10 avril 2013 - ANNONCES EXPRESS

ans d’où, une rentabilité diffi-cilement quantifiable RomelaerP., Kalika M., de MontmorillonB., Blanchot F., Isaac H., etJosserand E. (2000. Ces coûtspeuvent fortement handicaperla rentabilité de l’investisse-ment, voire même provoquerun retour sur investissementnégatif.Le monde économique est ha-bitué aux bouleversementstechnologiques. L’imprimerie,l’électricité, l’automobile ontapporté dans le passé leur lotde révolutions économiquesqui ont balayé des siècles d’ac-quis, remis en cause les posi-tions des acteurs, favorisé l’ar-rivée de nouveaux entrants atout simplement fait disparaî-tre des pans entiers de l’acti-vité humaine.Amorcée depuis quelques an-nées, la révolution des réseauxgagne aujourd’hui les activitéscommerciales et sociales desentreprises.Les relations entre les diffé-rents acteurs, de l’entreprise,entre ses partenaires et sesclients sont désormais interac-tives et numériques, mais lesdécisions stratégiques sontcomplexes, les investissementstechnologiques lourds et leschoix organisationnels sensi-bles. Devant cette complexitédu phénomène, il est néces-saire donc de placer et de pré-ciser le statut des TIC commeaxe de recherche privilégiédans les sciences de gestion,afin de comprendre les tendan-ces en matière de recherchesur ces technologies.2.2 Place des TIC dans larecherche en sciences degestion :Dans la littérature du manage-ment, les chercheurs ont ac-cordé des statuts différentsaux TIC selon l’approched’analyse utilisée, les caracté-ristiques de l’organisation étu-diée, le type de technologie etla nature du changement induitpar sa mise en place. En effet,les recherches en systèmesd’information ont utilisé desapproches s’inscrivant dans lecourant du déterminisme tech-nologique qui considère la ma-chine comme élément structu-rant des comportements et pra-

tiques organisationnelles ce quirevient à faire de l’acteur so-cial un élément qui contribue àl’efficacité organisationnellepar l’intermédiaire de la tech-nologie qu’il subit en quelquessortes. Dans les dernières an-nées, des analyses qui se posi-tionnent dans une vision cons-tructiviste ont commencé àêtre utilisées dans la rechercheen Systèmes d’Information.Elles considèrent les effets in-duits par les TIC comme unconstruit social qui dépend desinteractions que les acteursentretiennent et de leur percep-tion de la réalité.Les recherches qui s’intéres-sent aux TIC ont porté sur desorganisations dans différentssecteurs d’activité et dont lataille varie de la petite entre-prise aux grandes multinatio-nales et ce, dans la mesure oùla technologie a envahi tous lesdomaines d’activité des entre-prises voire tous les aspects denotre vie quotidienne. A ajou-ter la diversité des méthodesd’investigation qui ont été mo-bilisées pour l’analyse des TICdans l’organisation (études decas, enquêtes, études longitu-dinales…) et qui ont donné àce champ de recherche unerichesse qui cohabite parado-xalement avec le manque d’unparadigme dominant.Une des questions centralesdans l’analyse des TIC est liéeà la relation au changement quise pose en d’autres termesdans la question: ‘qui trans-forme qui ou quoi ?’ et à laplace de l’individu dans ce phé-nomène de changement. Unetelle question nous invited’abord à l’analyse de la rela-tion entre l’individu et la ma-chine qui donne lieu selonChambat P. (1994) (5) à troisconfigurations. La premièreconcerne les interactions tech-nologie- technologie dans les-quelles l’homme joue la fonc-tion de programmeur de l’in-teraction. Elle s’applique auxsystèmes automatisés qui sup-plantent l’homme pour l’exé-cution de tâches dont les ca-ractéristiques sont, au préala-ble, connues et programmablespar l’individu. La seconde ex-prime l’interaction homme-

technologie pour toutes les tâ-ches informatisées et pilotéespar l’homme. Dans le cas dessolutions ERP (EnterpriseResource Planning) par exem-ple, les utilisateurs possèdentdes fonctions de paramétragequi leur permettent d’adapterla solution à leurs processusd’activité dans un domaine pré-cis (finances, comptabilité,achats…) ; les fonctions géné-rées par le système sont doncle résultat de l’action perma-nente d’adaptation parl’homme des fonctionnalitésinformatiques. La troisièmeconfiguration est liée aux inte-ractions homme- homme etrenvoie aux interactions hu-maines qui utilisent la machinecomme un médium de commu-nication en faisant appel auxtechnologies des réseaux etcommunication.A partir de cette distinction desinteractions (homme, techno-logie), le même auteur con-firme l’existence de deux vi-sions dans l’analyse des TIC.Une vision techno-centriquequi analyse le rôle de l’acteursocial au travers des proces-sus techniques auxquels il con-tribue et une vision anthropo-centrique qui met l’accent surla ‘codétermination mutuelle’entre l’acteur et la technolo-gie. Une autre réflexion qui sefocalise sur la place des TICcomme facteur dépendant ouindépendant donne lieu à troisperspectives d’analyse de latechnologie dans l’organisa-tion qui ont été décrites par(Guilloux, 2000) par :·Une perspective technologi-que qui étudie les TIC commefacteur indépendant et donnelieu à un déterminisme techno-logique qui fait que la techno-logie modifie les comporte-ments des acteurs·Une perspective organisation-nelle qui considère que les ac-teurs développent des techno-logies afin de répondre à desbesoins spécifiques : la techno-logie est mobilisée en tant quevariable dépendante·Une perspective émergentequi se focalise sur les interac-tions sociales considéréescomme complexes et donnant

lieu à des effets imprévisibleset non observables dans le ca-dre de relations causales sim-ples3. RAPPEL DES OBJEC-TIFS DE L’ENQUETE:3.1 Objectifs de l’enquête :D’une manière assez som-maire, nous pouvons dire quel’enquête objet de ce projet derecherche, vise à atteindredeux objectifs essentiels :1.comprendre la percep-tion des personnels des en-treprises algériennes à l’égarddes TIC, et des effets suppo-sés ou avérés de ces derniè-res sur les pratiques organisa-tionnelles et managériales pré-valant .2.hiérarchiser les facteursstratégiques influençant cesperceptions et ces pratiques. Acet effet une liste de sept va-riables sera explorée, étantdonné que chaque variablestratégique représente un vo-let à part entière dans notreenquête.3.2 Méthodologie préconi-sée : cette enquête a été réa-lisée en suivant une méthodo-logie classique embrassant àla fois une revue de la littéra-ture, et un travail empirique deterrain. La partie empirique anécessité le recours à l’utilisa-tion d’un questionnaire adresséà chaque entreprise. Aucunerestriction n’a été imposée enmatière de réponse.Mieux encore, nous avons en-couragé de répondre d’unemanière collégiale afin de per-mettre à un maximum de per-sonnes de s’exprimer par rap-port aux compartiments q u iles concerne en premier chef,en matière d’utilisation desTIC.Conclusion :Cette enquête a permis d’ap-porter de nouvelles apprécia-tions des TIC dans les entre-prises algériennes. Très sou-vent ces technologies ont étésoumises à des analyses entermes de logique. La logiqued’acquisition était très souventla prévalant aux dépens decelle de capitalisation. Nousavons exploré les effets des

TIC sur les choix organisation-nels et les pratiquesmanagériales, et avons pu vé-rifier la question de l’appropria-tion des TIC à travers septvolets, considérés égalementcomme des facteurs stratégi-ques conditionnant l’usage desTIC par nos entreprises.D’autres analyses suivront, etdes corrélations seront véri-fiées entre ces différents fac-teurs stratégiques.

La mise en place etl’utilisation des TIC au fil dutemps sont associées à l’appli-cation de processus de chan-gement organisationnel quisont très difficiles à cerner. Enconséquence, la diffusion etl’appropriation des TIC dansles entreprises algériennes nesont pas sans poser un certainnombre de questions, notam-ment dans le choix et l’articu-lation des différentes techno-logies pour une meilleure ca-pitalisation.En définitif, et au bout de cettepremière étude, puisée des ré-sultats bruts de notre enquête,nous sommes convaincus que« l’appropriation des TIC »par nos entreprises est condi-tionnée par deux grandes fa-milles de facteurs stratégiques.Tout d’abord, des facteurs liésà l’entreprise en tant que es-pace où cette appropriation seréalise (notamment le profilorganisationnel et managérialdes entreprises et le profil desmanagers). Et ensuite, des fac-teurs propres aux TIC eux-mêmes (en l’occurrence, lesfonctionnalités ou les aspectspratiques des TIC, et égale-ment les compétences induiteset exigées en même temps parces technologies). Ces résul-tats semblent confirmer jusqu’àune certaine mesure, nos hy-pothèses, mais nous poussenten même temps de question-ner d’autres aspects du phé-nomène. Ceci permettra deproduire d’autres résultats àpartir de notre enquête, et ap-portera plus de lumière sur laproblématique des TIC dansl’entreprise algérienne.

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Lancement de coorsa.com, premier siteinternet de covoiturage en AlgérieLe premier site algérien de covoiturage, coorsa.com, vient de voirle jour. Lancé ce dimanche 12 mai par la société TICS, spécialiséedans le développement web et mobile, ce site propose de mettreen relation des conducteurs ayant des places libres dans leurs

véhicules et d’autres personnes faisant le même trajet.

Vaincre le sentimentd’insécurité

« J’habite par exempleà Hydra et je travaille àAlger-Centre. Je faisdonc le trajet quotidien-nement et j’ai trois pla-ces de libre dans ma voi-ture que je propose à despersonnes qui vont versla même destination etqui habitent peut-êtredans mon quartier, voiredans mon immeuble »,explique, à TSA, ZahirSaad Bouzid, fondateuret directeur de TICS.Sur la page d’accueil, lesite explique d’abord auxinternautes la procédureà suivre avant de leurproposer une série depropositions. « Dansl’annonce, ils trouverontle nom et l’âge du con-ducteur, l’heure du dé-part et les places dispo-nibles. Ils peuvent avoirplus d’informations encliquant sur ‘‘détails’’ »,précise M. Saad Bouzid,

avant d’ajouter : « Pourpouvoir faire une de-mande, il faut s’inscriresur le site, c’est gratuit.Une fois la demande dupassager acceptée, lenuméro de téléphonedu conducteur lui seraaffiché. »

Le service que proposecoorsa.com est gratuit,assure M. Saad Bouzid.«L’inscription et le ser-vice à notre niveau sontgratuits, mais les placesdépendent du conduc-teur, qui peut les propo-ser gratuitement, commeil peut fixer un prix», dit-il.Pour trouver un modèleéconomiquement viableà moyen et long terme,TICS compte adapter leservice aux profession-nels et donc aux entre-

prises, en leur proposantun covoiturage interne.Le premier site algériende covoiturage devraitfaire avec le sentimentd’insécurité, omnipré-sent chez les Algériens.Saad Bouzid reste opti-miste et mise sur l’ave-nir : « Même si le con-texte algérien est un peuspécifique, le site pour-rait trouver du succès. »coorsa.com répond à unbesoin réel et tente d’ap-porter une solution auxproblèmes liés à la cir-culation et à la pollutiondans les villes algérien-nes. « C’est une initia-tive citoyenne et écolo-gique. L’idée est venued’un besoin réel et tented’apporter des alternati-ves, en permettant auxgens de partager leurstrajets et diminuer lenombre de voitures surles routes », conclut-il.

SIPSA & FILAHASalon International des Produc-tions et Santé AnimalesSalon International de l'AgricultureDu 15 au 18 MAI 2013Palais des Expositions SAFEX Alger

SIEE-POLLUTEC 2013Salon internationaldes équipements et servicesde l'eau.Du 27 au 30 mai 2013Palais des Expositions d'Oran

SIPA 2013Salon international de la pêcheet de l’aquacultureDu 26 au 29 juin 2013Centre des Conventions OranCAPA

MAGHREB PHARMASalon International de l’IndustriePharmaceutique en Afrique du NordDu 01 au 03 octobre 2013Centre des Conventions d’OranMaghrebpharma

ERA 2013Salon international des énergiesrenouvelables, des énergies pro-pres et du développement durableDu 28 au 30 octobre 2013Centre de Conventions d’OranMyriade Communication

ANNONCESEXPRESS

LE JOURNAL DES BONNES AFFAIRES - Semaine du 13 au 19 mai 2013

AGENDA

gratuit

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- La collecte de fonds pour constructionde mosquées- Associations anti-cancer et autresmaladies chroniques

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