Jean Beaufret de Lexistentialisme a Heidegger Introduction Aux Philosophies de Lexistence Et Autres...

7/30/2019 Jean Beaufret de Lexistentialisme a Heidegger Introduction Aux Philosophies de Lexistence Et Autres Textes Proble

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MME UTEU

hh Xx M B Bg Pis Vn

L hh 2 volumes, Pis d. du Seui 1


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PROBLMES ET CONTROVERSESDirctur anFranois COUTNE

DE L'EXISTENTIALISME

HEIDEGGER

Introduction auxhilosohies de l'existence

et atres textes

BEAUFRET

Suivi

dune Bgh

tablie uy Bae

PARS

IBAIIE HILSHIQUE J VI6 ac a orbonn ve

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La loi du Il mars 1957 n'autorisant, aux termes des alinas 2 et de laricle 4dune part que les copies ou reproductions strictement rserves lusage priv ducopiste et non destines une utilisation collectve et dautre par que les analyseset les coues citations dans un but dexemple et dilustration, toute reprsentationou reproduction intgrale ou pariele, faite sans le consentement de lauteur ou de sesayants droit ou ayants cause est ilicite (Alina 1er de laricle 40)

Cette reprsentation ou reproduction par queque procd que ce soit, constitueraitdonc une contrefaon sanctionne par les Aricle 425 et suivants du Code pnal.

Lba Phshq J VR 000 Fc

ISS 04-ISB --0-


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Nte pur liti 986

Intoduction aux hlosohies de l'existence a t publi paJean Beauet en aux dition Denol Bibliotue Mdiationn )

La pente dition a leu ou un nouveau tite, conommentau vu de lauteu Le nouveau tite et celui ue Jean Beaueta inct, ap avoi ba lancien, u on emplaie de tavail il convient bien mieux pou indiue le en ui anime ce ecueilde tte

L exempie de avai de Jean Beauet compote un cetainnombe de coection ui ont toue t epote dan la pentedition aiant d civain attenti aux nuance, ce coection ont toujou iiicative

Jean Beauet avait intecal aux pae - de lditionoiinale une lonue note, de u uate euillet ectovesoCe tte iue lendoit coepondant du pent volume p )

cette dition ajoutent domai cin texte pau ente

et et ui jalonnent aui, leu aon, l'itinaie uimne de litentlime Matin Heeeou pende meue de ce ue epente cet itinaie,

il ea bon de ade en mmoie date de daction de cauetexte

Le lecteu ouvea n du volume pemie tentativede biblioapie complte de texe cit pa Jean Beauet dueau tavail de u Baet


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EN COUTNT EN BEUF RET

. Longtem jai ten Heidegge o laielan de ceqi me emblait maje Sate Et loqe je ai le voage de Fibogcet encoe avec la cioit de ce qi avait ende oible L tret e Nant.

Javai element entend ale de Heidee a Sate bien et tot dabod a Cobin le tadcte de Quetce que mtaphyique Je ne lavai a u je nentendai ien ce qildiait A lce anai dAlexandie en 1937, jeneigne la hiloohie de la aon la l acadmiqe comme tot agg de loqea la moinde ovete d ct de la hnomnoloe etodEte me voici a la mobiliation de 939 (cet la dle degee) lcole dEtatmajo de Comigne avec Meleaontl me monte n texte de Hel qil vient de dactlogahie

Umur der kopeikanichen Lehre die rde a Urrch ewegtich nicht ( Mai l ne t a davance qe la tee ne toea ato d oleil o ente en hnomnologie

S ce je i ait ionnie je mvade on me nomme alce de Genoble et cet je men ovien a la Toaint de940 qe jemnte Hel la bibliothqe de lniveit Mailvnement dcii avait t la lecte de leai de Sate Uneide ondamentae de phnomnoogie e Huer /'Intentionait

Cet bien ce qi mintee moi ai chez Hel Je me longedan le een je me contente de acoi le Loche Unteruchungen. Et je ni a comende a oti dn bain dan la Ceeendant le vacance dt de 1942 qe le aage et oide < Totet deho cit Sate deho dan le monde ai le ate )

1 Renveremen e a ocrne copecenne a erre en an que prooarch ne e meu pa


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Aparavant e passais fatalement par escartes, par le ie de escartes Hsserl me rvle e la phlosophie n'a pas por obet initil oprimordial de mettre en dote l'existence des choses extrieres essemaines drant, e savore la oie de ma dcoverte

A l'Universit de riborg, Heideer avait, en 1928 sccd Hsserl Js'ors, e le rpte e ne connais Heidegger e paro-dire, mas e me me, car e sais 'l parle de l'goisse, d nantCette terminoloe m'est sspecte. Qe recovret-ee ? Un romantisme ?Il fat e 'en ae le cr net C'est poroi aprs les vacances de1942 e sis professer a lyce Ampre Lyon e commandeein und

Zeit dont mon ami Joseph Rov, virtose des fax-papiers, avat dtradit eles pages por 'rate Trs vite e dcovre en Heideerne tot atre phosophe e celle enseie et i m'avat condit acomble de l' incrdlit. Pendant prese dex ans, e travale avec Rovet eles atres s' ce ' ils ittent Lyon por acha, et lein1944 (irrpon d'n srvellant gnral : a y est, s ont dbr ) mesrrend en tran de srveller le bac et de dchffrerein u Zeit

Ces annes de lectre abotissent ax artices pars entre 1944 et194 dans la reve Conuence o e cherche m'explier Hsserl etHeideer.

ite est forcment necdotie. Qi me donnerait des novees de Heideer ? Etait-l vivnt ? n mat das erre de hoe e tombe sr sa photographe, accompae de la lgende Q'est-cee la mtaphysie ? Heidegger s' entretient avec eles soldats lis s tard aCoq dor, e devais rencontrer vent d'ne table voisine l'nd'entre ex Towaicki, nmater cltrel chez de Lattre de Tssigny. Le

copin i a pris la photo s'appelle Alan Resnas

Palmer, n ene germiste e Beafret avat rencont Grenoble, se rend rborg Il charge d'ne lettre 'en ai le brollon sos les yex) i sera por Heideer d'n grd rconfort Avecvos en effet c'est la posophie ele-mme i s' affranchit dcidmentde tote platitde et recovre l'essentiel de sa digit

Avec la premire visite de Jen Beafret, en 194 se noe le

dioge e Marn Heidegger sohaitait das sa rponse d 23 novembre 1945 : La pene fconde reier en pls de l'crire et de lalecre la unou de l'entretien et de ce traval i est enseiementre tot atnt e don .

Les pages i sivent tmoignent sperbement d'ne pensei s' accomplt par la pense d'n atre.

ROGER KEMP.


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PROPOS DE L'EISTENTILISME

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Kierkegaard

L'existentialisme se prsente d'abord et avant tout commeune manire de phiosopher philosophie a pour but essentield'exposer 'homme ui-mme, de tele sote qu' s'y reconnaisseauthentiquement Mais i existe deux races de phlosophes. Les unsparaissent avant tout s'efforcer de tirer au clair a structure gnraledu tout de l'existence S'ils paviennent ement 'homme, ce

n'est qu'au tee de eus recherches attentives Ils ne e rejoignentqu' travers des vues abstraites sur Dieu, 'tre, e monde, a sit,es lois de a nature ou celes de la vie L'homme est, pour eux, unpoint d'aboutissement, ou, si l'on veut, le point de fermeture d'unsystme D'autres, au contraire, ne cessent de se hrisser contre une

mthode terriblement indirecte, puisqu'ele se boe recueilir, titre de conquences pus ou moins lointaines de prncipes nrauxet abstraits, es vrits que chacun be e savoir Ces philosophes,

comme e Maraux de La utte avec ane s'attaquent directement 'hommeC'est en visant au vif mme e son exister qu'ils essaient

d'aacher l'obscurit de sa conditon une vrit qui soit d'emble a mesure de notre noste fondamentale Naturelement, on pourratoujous discuter pour savoir si tel phosophe appatient putt la premire ou a seconde de ces deux catgoies Mais, pour prendreun exemple, on admettra qu'Aristote, prcup du problme de


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re en an qu're et Pascal dans son eort pour trer au clairl'nie de la condition humaine reprsentent assez bien ces deuxmodes de phlosopher Or c'est au deuxime mode ue se rattachece u'on appelle trs gnralement l'existentialisme Il sut pours en convaincre d' ouvrir le premier des trois volumes de la hioophieue Jaspers publia il y a environ uinze ans La philosophie nous ditJaspers est trs diffrente de la science Il est dplac de lui demanderde nous apporer le mme genre de satisfaction ue dispense la recherche scientiue. Etre philosophe ce nest pas faire la lumire surlobectivit des choses. Cest par un coup d'audace (Wagni) entrer force (dringen) dans le fondement (G) encore inexplor de

la certitude u l homme peut avoir de lui-mme. Voil l ide laplus nrale ue lon peut foer de l'existentialisme. Trs gnralement nous appellerons donc existentialisme toute philosophie uisattaue directement lexistence humae en vue de tirer au clairmais sur le vif lnie ue l'homme est luimme

Ces principes nraux tant poss faisons maintenant un peud'histoire. Pai les philosophes ue nous pouvons situer commenous avons situ Pascal il en est un ui par la profondeur des vues

par la ustesse de l'attaue par la russite de certains dvoilementspar le gnie de lexpression occupe une place privlgie cestKierkegaard Certains vont mme usu' faire de lui le hros delexistentialisme nest certes pas uestion d'exposer en uelueslies la pense de Kierkegaard Essayons cependt de prciser sonattitude et le genre dintrt de ses enutes e tous les philosophesKierkegaard est un de ceux ui ont le mieux senti uel cart infranchissable existe touours entre les certitudes dispenses par un systmeet la ralit de l'homme Un systme nest amais uun moyen

commode de se tirer d'affaire contient davance toutes les rponses toutes les uestions possibles ous connaissons trop par exempleles explications rsiblement inadates u'un diste de systme aussibien uun athe de systme peu donner avec arrogance sur nmporte uoi pour peu u on l'y provoue. Un systme cela siie ueplus rien nest incertain Mais soulie Kierkegaard lhomme mmesil est philosophe ne sen tire pas si bon compte Mme uandson systme s est fe sur un point l reste dans l embarras. Mieux

uand il a rsoudre une uestion concrte c'est gnralement horsdu systme dont l se rclame uil puise linspiration Il semble ueles esprits stmatiues aient deux sortes de principes : les uns sontceux dont ls prconisent l emploi autrui ; les autres ceux auxuelsils ont recours und ils sont euxmmes dans lembarras. En gnraldit Kierkegaard dans son Jou tout se passe chez les philosophes (chez Hegel et les autres) comme chez tout le monde dans leur existence uotidienne les philosophes se servent de catgories


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compltement dffentes de celles 's tablssent dans lesconstctons spclatves et ce n'est nllement dans les pncpes's poclament solennellement ' s psent les consolatons

O tove alos les consolatons et les nspatons ncessaes ?ans la elon ? on mons e la phlosophe la elon est vanedns la mese o elle n'est ele-mme 'n ytme. Acn ecosne pet dspense d'n cop de sonde dect dans l'exstence mmede l'homme cel e Kekegaad tente dans cetans de ses essasCrainte et remement pa exemple o le Concept dangoise Ce fat la vle exceptonnele de tels essas c'est e le lectene pet te anodne. Kekegaad excee etoe l'homme enlmme po le place soda face la snglat fomdable desa condton Ans nl tat de phlosophe mex e l'des le Concept dangoie ne met l'homme ax pses avec le pathte volent de la lbet. Totes les doctnes ont exct s ce hmedes vaatons pls o mons sses mas sans pese amas ss l'extae dans sa ndt d ptexte spclatf ' fossat la atocnaton Kekegaad a contae va dot l'essentelEte homme c'est a pls pofond de momme me sent sodanet taement en poe ne angossante possblt de povo

et de telle sote e nl ne psse se sbstte mo das la esponsablt absole e e vas pende. Alos mes actes m'engagent sansecos n y a de o donne le vege. C'est ben n vetge sempae en effet de l'homme and l fat nafage dans la possbt o dcove d'n cop otel e tot est gaementpossble . Mas ce vege de l' agosse est totefos l' nstmentmme et ne d salt. Ca cette sele peve pemet l'hommede se mese lmme dectement avec la vt totae de sa cond

ton. ans sa bet ahentement essase comme possbt sombe absolment mas l emonte d fond de l'abme pls lge etot le pods eoyable de la ve Relsez le dee chapte dConcept dangoie et voyez s vos povez en soten l'attaesans blement de fond en comble. Je ne sste pas cte cepassage est l'ne des pls hates leons de Kekegaad Qandn vnement extaodnae svent dans la ve and n hosft po le monde ente assemble ato de l des hos poaccompl des explots ad ne cse clate et e tot pend

de l'mpotce aos les hommes velen patcpe. Ca ces vnements fogent la nate hmae C'est ben possble. Mas estne ate mane beacop pls decte de lde beacoppls fond. Penez le dscple de la possblt mettezle a medes plaes de Jtland o l ne se passe en ca le pls and vnement y est l'envol d'n co de bye : l vva totes choses avecpls de pefecton dexattde et de pofonde e l'homme


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alaud su a cn du mond sl nst as om lcol dla ossbl

Lnunc d Kkgaad su la ns allmand st nmnt

cbl avan la du XIXm scl Quant la ns anas n consna g connat l hlosoh danos qu dansla od d ntduxgus Souons au assag c tangdcalag n sa dabod un os d lus dun hnomn bnanas qu lon u nomm tad la aducton Il satauss du lus couabl mang d pass t vant Ls Fanas comlasnt voons dans un tat d susanc nllctulqu ls o dcumnt sadm uxmms avc assz d au

ou nouv qu ddan a o gad ds oductons angs La consqunc s a xm qu s ds ondntasd la Critique de raion pure ubl a Kan n 1 7 8 1 , nntnd ont comm hm d xon dans la hlosoh anasqun 1 87 1 , avc la hs d Lachl su Fondement de inductn D mm cs d nos ous csd avc un scl au monsd ad qu s Fanas commncnt dcouv Hgl A cx Kkgaad bnc dun tamn d avu Quo quln sot la mdtaon ds hlosohs almands dus d lus

d cnquan ans s nou d ltud dun Kkgaad comltmnnconnu ds Fanas Et auoudhu dux hlosohs clbs connassn lu dt : Jas t Hdgg Noons c sut qubn qu cs dux hlosohs son gamnt clbs l sn auquls son gamnt consdabls Jass na absolumn asla cau la ussanc lonalt d Hdgg Rn d usconom aux convnons ls lus coun us qu son ataqu du obm hlosohqu L mot ituation qul mlo ou

caacs a qu homm s ouv dans mond nnodu gu quun banat un pu usag Qu dou qu lhomm so n dans l mond avc d lu ds oondus hsoqus dvant lu lvav ossblt d lavn Ls mms noons ss a Hd ont un autvguu un aut tanchant Hd non as Jass bnqu tous ls dux ulsn u s mm vocabula noussauv dvmnt d la aud Cst donc a hlosohd Hdgg qul convn d sv l mllu d not attnon

Mas c asant n nous catonsnous as d no sut ?Pa son nnton dca n Hd s d ds sd athqu bon mach Mm dans Kkgaad l n candaas d dnonc ququ chos com un nctud ds ondmnsCst ouquo dtl l a us d substanc hlosohqu td ss cs ddcaon qu d ss uds hoqus xcon


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de lessa s le Concept dangoie (1). poblme l convent la dt d phlosophe de pose nest pas cel de lhomme Ilne pet te e la epse ( Wiederhoung) d poblme po d

pa Platon et pa Astote, a moment de la pls hate fanchse(Oenheit) de la pene phlosophe : le poblme de lEte Qepet ben volo de ce mot tre est mplcte dans totes nostentatves dexplcatons ? Ren de pls smple e de dse telo tel tant, cette table, pa exemple, cet abe, o tot ass bencet homme e nos attendons Mas ate chose est de dsea passage n tant, mme le poo de alcatons empeso loes, ate chose le dtemne dans le vf mme de son te.

Il fat donc epende(wiederhoen)

et de fond en comble, le poblme de tre Et Hedee sole fotement e le texte d ophitede Platon, pa leel ove son le s tre et e Tep eps longtemps sans dote avez-vos ne noton famle de ce evos pensez a ste ad vos palez de ce est ; s c noscoyons le savo, mas nos vo mantenant dans lembaa n a en dn motf dcoatf, mas de en effet, dans la mtaphyse des Ancens, n combat de gants sest dchan a setde l te de ltant (2). A cette gantomache d nomme pa

Platon, Hedegge se popose solment de pende pat. Il se psentedonc nos de popos dlb non pas comme n tenant de cee Jaspes appele xitenzphioophie, mas comme eposant poson compte le poblme le pls classement cental de la phlosopheclasse Totefos, dans sa tentatve de sode le poblme detre de /tant pos ans dans sa pls hate gnat, Hedeeva te amen sntesse s patclement cette sote dtantest lhomme, e tote la pate d pble de ein und Zeit

se psene en appaence comme ne analyte de la condton hmane Imanons n Astote , pa la foce de la loe smpose dans ses echeches, en vendat ne tate e les poblmes pathtement dbatts pa Paca o Keegaad.

Comment fatl donc e, pam tos les tants, lhommecpe ne poston s pvlge ? Cest l est le sel tant po ele chose comme exiter psse avo n sens Lexste destants, el sot nest amas accessble e dans n cetan tatdntegence son gad, hos de o cest la nt obsce. Ocette inteigence de tre da einrtndni , dt Hedee,est le pope de lhomme. Hedegge, explotant fond les essocesde la lange allemande, nomme Dasein cet tant lntegencede l te est essentele. Ce mot de Daein est assez gnalement

1 Sin und it p 235 noe2 . Kant t l obl d tayiqu 44


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radui par raihumaine Rien nes pus on du sens prese onre du mo Daein, ui herhe au onraire saisir sur e iaemen dun ae de psene : Me oi Mais si emand

a ses ressoures, e ranais a ses imies L homme se ai don prsene humaine en aisan aer dans e monde ueue hose ommeineiene d exiser Noon ue a saisie ainsi a naissandune rupure ae es nbres na rien enore de a derminaionrioureuse du onep Rese a mere au poin, aborer, ourir ses pus ases horizns, daer ous es oinains uedu ond deemme ee ompore Ee nous appara ainsi moinsomme une donne ue omme a promesse dune poiiit es ue Heideer reueie oue une parie de hriae kierkeaardienLhomme, dans a mesure o ineiene de re ui es radiae,na pas e mode dexisene os sur soi, eei e ahe de e eon appee ommunmen une hose I es un re de bondissemen e de proe, un tre de ointain (1) un pouoirre Pepueemen, l herhera irer au air a uesion de saoir o ien es au juse ae sa possibi ondamenae ( Woran e mit ihmet d.h. einem einknnen it) 2. Nous rerouons e disipede a possibii ui, mme au miieu des paines du Juand proue

ependan ae a pus indpassabe exaiude e ue Bossue appeaun our e rieux nomprhensibe de a ie humaine Enn,un deier rai a omper ee saisie de homme dans immdiae du Daein es enaies de aire a umire sur re ui posenoorinairemen dans homme a poiiit omme sa derminaiona pus radiae ne son pas de smpes apies de sa par, mais des

modes dre de uimme dans esues senae ou enier e ond Nous rejoinons ii e un ho t puch de Paon Dans

son eo pour aire oujous pus de umire, e Daein se remeuimme en uesion haue insan Nous e dirons donomme un an e ui a sans esse en ui de son re propre,esdire un an don oues es dmarhes impiuen un risuede perdiion e une hane de su

Tous es arares, Heideer es rassembe sous a dsinaionnrae itence (Exisenz) Lexisene, au sens heideerien,es ou simpemen homme mme en an umere ae uide a nui ueue hose omme un a dineliene ard de

re en nra Mais aos, exisene es aussi homme mmeen an ue a possibii ui es radiae Lexisene, es donenn homme mme en an ui a sans esse en ui de son repropre Toues es proposiions reiennen en ee au mme Ees

1 Ein Wn d Vo Wn d Gnd deier prphe2. Sin und it p. 144.


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n sont qu tos man dffnts d d la mm hos. S paonsqunt on vut bn donn au mot xstn l sns ts psqu u donn Hd n nappaat plus a qu la lb

poposton d en und Zet L eence du Daen de danon tence (1 . S au onta on ass au mot xstn lsns vula t ts ndtmn quon lu donn ommunmnttt poposton na plus auun sns Cst pouquo nous n sauonsappouv Sat losqul non un pu butalmnt dans un Ms au pont qu s la oya vla admt nalmntqu lssn ds hoss pd t ondtonn lu xstn lxstntalsm tnt au onta qu hz lhomm t hz lhommsul l xstn pd l ssn Pou qu tt fomul sotntlbl l sat nssa d pvn qu l mot xstn napas du tout l mm sns dans ls dux as Sat ot sans doutpouvo l d unvsllmnt omm psn fftv dansl mond Mas psmnt a psn d lhomm dans l mondst un tout aut sp psn qu ll dun tabl pa xmpl ou dun p. Cst su ambut fondamntal du mot psn qul faut ddmnt mtt lant n s adant avanttout d lass lmpsson qu touts ls psns puvnt s am

n un ommun msu psn d lhomm dans l Dadu Daen n a n vo av l dun hos ou pou pndun tm h Jasps a tuaton nst pas un ad paablmnt ms n pla .

Cs maqus n tndnt nullmnt nsnu qu Sat napas xatmnt omps la pns d Hd dont l dla snsp Nul au onta n la omps mux qu lu t j lu suspsonnlmnt on n put plus onnassant d avo ontbu

m donn l ot d mux la onnat out smplmnt lsst xpm putt av un pu d nln L sultat sttoutfos qu sa me au pont n put qu ontbu aavla onfuson Vol pouquo l ma pa ut d vn su l sujtAv lamnt d ms ltus vntuls j ontnua lxamnd qu lon put appl lxstntalsm hdn an dvo ommnt l s dvlopp usqu qulls onsquns thqust poltqus on put l pouss.

1 Sein und eit p 42.2 Ibid. p 299.


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d l homm st-d a ondton sans laqul n y auat plusn quon puss no s psnt omm un xstn dhomm aos nous poussons d fat tout ma dun aut v

dans un aut mond dont mond- n sat qu lxpssonn peculo e nigmae Nul plus qu Hd n tnt fm su pont. Cst sulmnt su la bas d lt au mond qu lhommput t dt xst (1. Ltud nttul Vom Ween de Grundeonm ein und Zei C nst pas pa qul xst n fat pou tt ason sul qu l Daein st un t-dans-l-mondmas tout au onta l n lu st possbl dt omm xstnst--d omm Daein qu pa qu sa onsttuton ssntllonsst tdanslmond (. En un mot l ny a d satonhuman d psn (Da ein) qu sous la fom d lt-au-mond(InderWelein) Ent lun t laut pa onsqunt pas la mondssu pa o pouat s ss lspan dun aut ondtonNon mons voablmnt qu l matalsm bn qu dans unad ssntllmnt dffnt pusqul sat dun dtmnatonphnomnoloqu t non dun hypoths mtaphysqu l analytquhdnn lqud tout qu put bn fa d lhomm un hallun d l a-mond Ctt upton du Daein n fom

dt-aumond qu st l fondmnt mm d lhomm n sonhumant Hd pou la dsn pnd un ts vux motqul anm n lu nsant un sns nouvau l mot tansndanNavons-nous pas n fft dans ltaumond mergence t dpaemen qu tanhnt av llat du fu su lobsut fondamntal d ltant but ? Cst don d la tansndan au snsspal du mot qu lhomm tnt omm un nvsttu (4sa possblt la plus nt st mantnant soumtt tt

noton ssvmnt onqus lpuv d lanalytqu (5.La fonton d la tansndan t qu nous vnons dnntodu la noton st d fa lat au and jou qulqu hosqu sans tt ondton dmuat fondamntalmnt n tat(gundverorgen) Pou aats tt loson (uruch) la

1 . Sein und eit p 532 Trduco Corbi p 683 Qu'etce que tayique Corbi p 24

4 De l'tre eentiel du fondeent Corbi p 65.5 Heidegge uprv soume yse eidique ce phome

du mode quil vie de dgger prir du Daein I more qui covede e dermier comme u iri d usge ou comme di pr e crcrede uandeneit Mis oe--il uimme ds Vo Ween de Gnde rduction Corbi p_ 86 oe) ue elle yse occupe quu rg subordo peu y voir si lo veu ue brille digressio Ces pourquoi ous ousbsiedros vooireme de ire ds cee vue vol doiseu de phiosophie de Heideer


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philosophi taditionnll intoduiait volontis ici l mot d oniene Hid au contai d pu d t victim d doutuss afnits favoisant dans la pns ctains mpotations mal contls

lcat soinusmnt Il n vut ad n fft d la conscincqu c n quoi ll st lumi d pat n pat abstaction faitd tout psupposition tan Il lui paat alos qu l mot quiconvnt l miu c quil vut im st l mot hoenheit.Ltamnt cla vut d tat de ouvet, pa opposition cqui sait dabod clos su soi claqumu n soi fm commun bot (vekapet). Il faut s lib un fois pou touts d lamtapho laqul ont top souvnt u cous ls philosophs dcivant la conscinc comm un sujt d abod vou au solipsismt dans la sph intiu duql l mond n tombait quaccidntlmnt En alit comm Hussl l avait d ts bin vula onscinc n fait quun avc sa pop ouvtu au mond tau auts homms Cst n cla qul st lumi Mais alos untll lumi un tl tat diluminaton (Geihtetein) lui st adicalSil faut s dbaass tout p d la mtapho d lmbotmntin d plus valabl au contai qu la vill ima d lhommcomm umie natuee. Cst d lui-mm non pa lintvntion

daut chos qu lhomm fait lumi d son t au mond Laconscinc n vint pas du dhos s pos su l Daein, mais toutau contai l Daein st conscinc d fond n cmbl t adicalmnt Da Daein it eine hoenheit (1)

Faisons maintnant lanalys d ctt hoenheit dontnous vnons d voi qull pnt d fond n combl lhommdni pa ltau-mond Sous qulls foms sclai llmmctt istnc d bas sans quoi i ny a plus in qui puiss nco

t dit ist ? Pou pond ctt qustion il convint d sappl dabod qu ltau-mond loin davoi listnc d la hoe, st ssntilmnt un pouvoite. A c tit il std son ssnc d s vl lui-mm dans eo ( upung)ou l ondiement (png) du poet D c point d v lhomm s laiss dtmn comm lant qui constmnt chch savoi o il n st au just avc la possibilit qui lui st adical Ctffo pou fai l point d soi-mm dans l a d sa possibilitHid l nomm Vetehen. Vetehen - compnd cst

ssntillmnt s ti soi-mm au clai n tant qu possibilit Maislhomm comm tau-mond nst pas quun t d possibilitcst-di un t d bondissmnt pu Caactis au contai paun ctain impuissanc nt qu possibiit il st pouait-odi dans un tat d bondissmnt nlu Dans ltud su te

1 Sin und it p 133


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eentie du ondement ls mtaphos s pssnt pou snt aspt d not ondton. Inveti pa aut hos qu lu t qu'ln put jamas mats ompltmnt accod au ton dun tant

tan tave pa on thme vol l'homm (1) Ans l'tau-mond st la msu dun tan etait de poiiit t nonsulmnt dun eo en poiiit Ctt ondton lmtatv d'unpouvo poutant fondamntal ll nous st attst dans lxpn pa un sntmnt on n put plus faml : l sntmnt abupd e ouve sans y avo t pou n. Nommons-la don Beindichkeit homm st l omm sl y avat t jt st lthm d la Gewoenheit Autmnt dt no lhomm st l

comme a ll st dt Hd l'xstn d fat ou la fatt d natu. Cs tos aats qu snnt pu ps lamm hos ntvnnnt omm autant d otfs ou muxd sttfs la lbt. Ils salnt l'aut aspt almnt dutbl d la ondton human sans toutfos dtu l pm. Somm tout la fatt n pot pas pjud l'xstntalt. Daein itiet aktich ( Mas not dspton nspas no omplt. L't-au-mond du point d vu d choenheit std d l'llumnaton qu lu st adal nst pas

sulmnt bondssmnt d'un pojt pa allus nlu dans la fatt Il psnt no un tosm aat Cst un lu ommund la lon t d la phlosoph qu d not qu lhomm nspas natvmnt d nvau av sa vit Il st dabod l pisonnd la av platonnn l jout du dvtssmnt pasanl sujt d qu Spnoza nomm onnassan du pm nLon don d nat dmbl la onsn auhntqu d saondton l homm ommn pa s' a dans l ddal d son

pop dstn Hd fat snn tt maqu n dtmnantntalmnt l't-aumond omm chute ( Veaen) dans lnauthntqu. Pdu dans ss bsons dvt d lu-mm pa ls hans auxqulls dot fa fa l'homm ot mahnalmnt sal d v dun dspln fat d onfosm anonym : la dtatu du On Ctt fos l tablau st omplt : t d pojtmas jt comme t tomb l'nauthntqu pa la pt d somm dans l On tl st ltant qu son t-au-mond st adalmnt lum tl st l'homm omm exitant

S toutfos il st ltm d onnat ds l'tau-mndtos aspts fondamntaux Vetehen (s mtt au la avsa possblt) Gewoenheit (t jt) t Veaen (hut) dtll so qu'on puss l dn omm un pojt dont smpant un

1 Trductio Corbi pp. 1002 Sin und it p 1.


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d t un hut ein eraend geworener ntwur (1 l fuussi not qu s tois ts n s nontnt ps su l mmpln Ls du pmis sont ssntils l ntu mm d l'ist

humin L toisim u onti n' ps l mm invn Iln'st ps inubl L'homm oiinmnt dhu put s tid s dhn p un reouenir luid d s ondition L'inuthntiit ompnd n son fond un uthntiit possibl Qu l'homm soit dhu 'st qui liu l plupt du tmpst mm touous ms non ps d out nssit t tit dnitifQunt l' instumnt du slut il st nt nos mns vins toi viltoi ! Hid pnd pou son ompt ls sommtions

d MAul Mis ii qui sonn l vil n'st ps d'bodl' intllin 'st d'bod un sntimnt l sntimnt d angoieIl st d ft qu l'homm st sut l'noiss Pfois sutn nous omm mont un vu d fond Alos ls points d' ppuisu lsquls nous oyons pouvoi ompt nous font soudain dfutL'homm st banl d fond n ombl p l sntimnt d ttn inplibl qui pou fft d l dpys dialmntMis dpysmnt l pot d'un vltion fondmntlC qui nous st vl dns l'noiss 'st l pit d notondition oiinll l'tt d ftiit o nous somms ntivmntDns l tstoph d'un nuf totl sul st su n sisqull stupu d s touv l tt but inplibl duDaein ont lui-mm los qu'ps tout pouquoi ps l nantbsolu ? Mas sntimnt qui nous pouv fond st ussi luiqui nous ah l pltitud t l bnlit d l v quotidinnL'noiss disat Kikd puif l'm n n tipnt toutsls ptitsss Dans l nuit li d l' noiss di Hid

not vi subuu p l dittu du On lin dns l tin dsfs ounts dilmnt divti d son sns fondmntlouv son uthntiit pdu Il fut qu l'homm s fss pbld d n f t solumnt l vit d s ondiion pou potn onsqun tt solution t tt vit dns touts ss ntpiss A pi sulmnt il s uthntiqumnt un homm Sinonnous n'uons qu'un pntin bllo u ds ionstns einpiea der Umtnde und reignie) . C'st don p l'noiss

qu l slut d l'homm st possibl N sns dout qu lui soitvl p l qulls ths il onvint d' ompli L noiss nnous nsi n n su ls ls d l volont bonn. Ell nfond uun thiqu u sns kntin du mot S fontion st sns

1 Sin und it p 462 . Ibid. p 253 . Sin und it p 382


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plus amn niqumnt lhomm la nont luimm.A lui nsuit ni un motivation qui lui pmtt s oint bon sint ans l al u patiqumnt possibl. Mm la

vtu la plus supulus n'st pas authntiqu si lui qui la patiqu a pas pass pa lpuv l'anoiss Mm la onuit la moinsu happ linauthntiit si ll st pnt pa lanoiss A la osin solu appaint nssaimnt lintminaion (.

Atons-nous un pu su tt maqu. Si la onsin solust un onsin intmin lxistntialism hiin nfon auun impatif La vlation fonamntal qui fait 'homm

un homm lai moins l hoix 'un onuit ni tniqu l aat sinli not onition. A sujt ompltonsno analys la faiit pa l'assination u tm al toutxistn hu : la mot. Qu l ltu s pot tout simplmnaux Morceaux choii Cobin qui psntnt justmnt tauitsn fanais ls paaaphs Sein und Zeit latifs la mot Illui appaata failmnt qu tout au ontai qu nsinSpinoza qui isai Alain nous appn onnat n nous-mms un sant pafat t un pouvoi u sans n qu lvnmnt sul

put toubl (2 la mot slon Hi n' a in 'un aintqui suvinait u hos. oujous missant n l'homm lll pnt 'un sns fonamnt On n la onnat pas qu 'untitu mpiiqu Il faut all jusqu' onnat n ll un a priori not onition qui sil st bin ompis onf sa pot nitiv l'lmnt fatiit qu nous avons j assi n nousL Daein n poi la fatiit st on non sulmnt tre coe mais trecoeapourrien. Lhomm omm t

au mon st la mot qui n ss mi n lui omm l tiomph pin iff u nant vni. Et solu sa pa onsqunt non sulmnt s bin tni fa la situation mais fa ll-i jusqu la mot sa ans l'anoiss salutai vivans haqu instant l nant sa pop mot Evimmnt il nya l in qui puss lv lintmination la onsin authntiqu outois 'st tainmnt pa l biais un tll mitationt non omm l am assz lmnt Sat (3 pa manqu aat qu Hi a pu ah un tain momnt au nationalsoialism Put-t tavs j n sais qull ai 'oinilknn ll qu nous popos pa xmpl la Sixim Eli

1 Sein und eit p 2982 Le Ide et le Age om I p 1223 Action 27 c 1944 Hi a pa caac voi a

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Duino o mme le mot de Daein est prononc par Rilke avaitilcr navement trouver dans e fascisme une authentique posophiede a rsoution face la mort Cette navet nous n'en ferons

dailleurs nulement le trait dun intellectuel expos a distraction,mais bien putt un trait dinconscience foncirement petitbourgeoisHeidegger choisissant e nazisme ne manque pas ncessairement decaractre Tout au plus ometil dtre attentif linfrastrcture Maispeuttre lexistentialisme heideerien estil tout aussi bien capablede marxisme Je n'y verrais pour ma part aucune contradiction, pourpeu que le marxisme consente se dfaire enn d'une mtaphysiquesommaire, et dont on se demande vraiment en quoi ele peut bien

consoider la positivit que par aileurs il revendique juste titre

xitentiait ou projet de soimme dans e sens de sa possibiitacticit ou conscience de trouver jet l comme a, chute ensoimme jusqu' a perte de soi dans 'anonymat du On, mais rversibe en vie authentique par lascse de 'angoisse, te est donc lhommecomme treaumonde Cette mise en pace des ments fondentaux

de notre condition ayant t mene bien, reste en oprer analytiquement 'interprtation A cette f, il est indispensabe dtabirune notion qui es rassemble tous dans 'unit d'une seue formueOr, seon Heidegger, une tele formule, nous la isons ivre ouvertdans une exprence on ne peut plus famiire : exprience du souci(oe). L'homme, en effet, n'est pas un tre dentendement pur,mais un tre besogneux et aair (eoend) Loin que son attitudedevant e monde soit celle dune contemplation bouche be (1),

ee est fondmentalement souci Mais questce qutre en souci,sinon recrer en soimme chaque instant lunit fondamentalede 'existentialit, de a facticit et de a chute () ? Lhomme enproie au souci cherche bien, en effe, faire le point de ses possibilits, ms dans un certain tat d'impuissance ntre que possibilit,et entre les deux pes de linautenticit et de la rsoution Ence sens, le souci nest pas une quit empirique du Daein maisexpression dune ncessit a priori de sa condition Nous e rencontrons non pas au hasard dune descrption circonstanciee, maisdans axe de anaytique itente,cestdire de la dmarchergressive seon aquele nous essayons de tirer au cair 'existermme du Daen humain Cette conviction de a porte ontooquedu souci sest historquement dpose dans certains rcits mythiques,

1 Ein ta" Bgan. Sin und it p 61 2 . Sin und it p. 284


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comme cette fae atine du e sce qu'avec une oe vise, cte,tradut et commente Hedegger (1) et o, non sans une certane grceun peu uche, nous est conte a craton de homme a Terre

a donn e corps, Jupter 'esprit, mas cest e Souci qui a ptr are S donc e corps dot gtmement retouer a terre t esprtau souverain des deux e souc sera matre du compos auss ongtemps qu'i! vivra

Cura enim qu prima inxit teneat quamdiu erit Ains en a dcid Satue, c'estdire e Temps, qu, par une concdence prophtique apparat ici comme a suprme autorit D'aeursa phiosophie conrme es ntutions de a pose, s 'on en crot

Snque, ms ui auss contruton Cest donc comme souc qu'convent de dtermner homme en son humanit Cest e souciqu! faut se reprnter oscant entre es deux pes fondamentauxde inauthentict et de a rsoution

Posons donc que homme comme treaumonde est fondamentaement souc, soit qui! se aisse aIer a pattude de 'existenceinauthentique, soit qu' se sauve par 'angosse ucide devant a factcit et a mort ouvonsnous remonter encore pus haut ? Le soucine receti! pas en uimme une condition qui, dgage par 'anaytque, sera iumnante du souci, comme e souci tat uminant detreaumonde ? Hardiment Heidegger rpond par armatveus hardiment encore, va dgager du souci, comme condition apriori qui rend e souci possie, 'essence mme au suet de aqueeont eu ieu dans histoire des des es dats es pus passionns etemp, ou putt, comme dt, a temporalit cestdre tatdtre temporel C'est e moment e pus pathique de a rgressionhedeggrienne Ecrivons donc a formue compte de existant dont

tre est souc Nous savons que e souci rasseme en ui es troiscaractres de exsteniait, de a factcit et de a chute Cea donne peu prs, pour peu quon dveoppe : te - en - aant - de - oi -d - et dan n monde - o - on - et i - accaparer -r de - obet - de - rencone Or, sut de se faire attentf aformue ansi dveoppe pour voir avec vdence aeurer en ee estrois moments fondamentaux du temps : avenir, pass, prsent Aquee condition, en effet, esti! possie quun tant comme 'existant

du souc se porte extrme pointe de soimme en faisant proet deson pouvoir tre snon a condton que cet existant, dans sonexister e pus ntme, sot fondamentaement enir ? Commentdautre part est possie a factcit de a nature humane, sinon acondition que, partout o se trouve, 'homme se heurte soimmecomme d- ? Etre embarqu et se reiller en plein oyae i est

1 Sin und Zeit pp 197-198


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possbl l'homm d vn deire s svtuds dj assspa l'anoss d Pasal pass 'st l'homm no s vllant so non plus dns l'sso t l bondssmnt du pojt mas dans

la nsst d toujous s touv mplaablmnt somm djd so omm un d sa ptnton d fond l tout dson t su sa lbt Enn ommnt st possbl la psantu qunous ntan t nous dsps dans la hut snon pa la prenced mond- laqull suppos omm ondton l'apttud dl'homm fa rencontant de oi don prent so qu'nassant l mpo ? ( l

Avn pass t psnt s tos momnts fondamntau

d la tmpoalt nous ls supnons ans l'tat nassant au plusvf d l'st human. tmps 'st don l'homm mm pot la pln ludaton d son t l plus nm S'l n st ansl'as d l'homm au tmps n suppos nullmnt l'nt d l'homm dans un mlu tu lu t o l auat s'ns pouy fa a mas smplmnt qu l'on ssay fond n la soumttant l'pu d l'analytqu l'pn lmnta quhaun a natullmnt d sa ondton On n sauat top soull'onalt t la pofondu d tt psntaton Jusqu' Hd

la noton d tmps tat nspaabl d la mtapho d'un sotd'mbotmnt d l'homm dans un mlu homon qu l'on onvat plus ou mons su l modl d l'spa out au plus l tmpsdut un sul dmnson s dstnuatl d l'spa pa sa pauvt n dtmnatons Quant sa stutu pop la lo d'homontqu'on lu applqut nstntvmnt t qu'll t dn paun ntassmnt (nuun d momnts dntqus nt u bsonsm s'tat bn dbaass d la svtud du nvllmnt

du tmps dans l'homont d ss momnts mas l avat onsvmpltmnt la mtapho fondamntal d l'mbotmnt s bonnt lqu pou ns d l'un dans l'aut l mlu mbotantt l'objt mbot n tat sult un du n qulqu sotlatnus o l'homm a pn s onnat mm s ll sfat annon omm aton ontnu d'mpvsbl nouvaut (. Pou Hd au onta s ls momnts du tmps n sontpas ds nstants homons n'st pas n tant qu'ls s lassntnoy dans la hss quvoqu d'un u mpvsbl mas dansla msu o dsjontvmnt ls e ot cart ls uns pa appot

. Noons c que la langue allemande souen meux llan de la pensehedeerenne que la langue ranase Avenr, ukunf drve de zukonvenr De mme le prsen en an que Ggnwa velle lde dune actionde renconre, exprme p la pcule ggn don le mo ranas ntne pore nulemen la race Sin und i p 325

. Bergson L Poibl t l Rl p. 32.


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aux auts au sin toutfois dun indivisibl unit Hid mpunt au l mot exae pou dsin possus dxtioisationipoqu pa lqul ls momnts du tmps s dant ativmnt ( 1)

ls uns ds auts n ds sns fondamntalmnt divnts. Cttlosion dans lunit un divn ativ dont ls fatus vontsxtioisant sans omp amais l qui ls assmbl tl stl tmps lat naissant dimnsion d la libt psuppositiond la fatiit dhu ondition nfin d la psn du mond dansla nont onstitutiv du psnt (Gegenwar Lnvotmntdont tait vitim l tmps n Aroee er Bergon hnau d Aistot usqu Bson t audl st n lv. La voist lib pou un onption authntiqu d la tmpoit.

Bin qu ls tois xtass du tmps soint almnt ooinais (gehurngch lun ou pndant aux yux dHid un l pivili Si l tmps va s tmpoalisant stssntillmnt ditil pati d lavni Cst sulmnt n tdans la msu o pa l pot l tant nomm homm s pot lxtm point d son t qu l tmps pnd vi. Nli ltu st dapit l tmps. L pass t l psnt n ont d snsqu pou un t tout onl d possibl st-di pou un t

qui nn a amais ni d vni luimm pa l bondissmnt dupot. Ctt id qu Sat at un pu apidmnt dans L ree e Nan pou onf au psnt l pivil sv pa Hid lavni () nous n ompndons tout la pot si nous suivonslautu d en und Ze dans ss dvloppmnts su la siiationnssaimnt histoiqu d la tmpoalit humain Si lhommt lhistoi sont lis lun laut au point quil ny a dhistoiqu l o lhomm st psnt st pa qu lhomm st fonda

mntalmnt tmpol Sans dout onvintil d dni lhistoiomm un vlation (rcheung du pass. Mais tt vlationdu pass atll du sns autmnt qu pou un Daen n tain dfai son avni ? A la lumi d lavni l pass st dabodllmnt d fatiit qui adial la ondition humain st tlquil st impossibl lhomm d vni i lui (3). Cst donla svitud quil st nssai dassum si nous voulons sans fauxfuyant al not xistn la plnitud d son authntiit.Mais l pass st aussi la somm ds onquts qui s poposntomm hita tout homm vnant n mond. Il faut pou

Sein und Zeit p 3292 L Etre et e Nant, p 88 n aan pl pi q l'a,

an ail Faln pa n 939 an la N R. avai, a onaivlopp on n p mix q l'homm nillmn avni.

3 Sein und Zeit, pp 284 383


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accde a ve authetique savoi fae see cette coditio quimesue exactemet a distace de homme hitie aima hditaie. O y egade de s hitage e ed u ses que

foctio due thoie due hiosohie due oitique cestdiedue attitude vitae toue ves avei Comme cit ts bieRaymod Ao das so nrodon a hoohe de hore Chaque oque se chosit u ass chaque existece ouvee tasgue hitage quele e eut e ui doat u aute avei eui edat ue aute siicatio. Cest doc das a mesue seuemet o i cheche se doe u avei que homme aime duesiicatio so ass et deviet caabe de y hor de hr (1) Bie que a matie histoique coside e ee-mme este qui

voque et iuisabe a soutio avec aquele te enr, eveat su so ass e assume hitage egede aos e homesuectioe de a titio (Wederhong Toutefois cette titio qui suose toujous queque choix das e ass du hosexemaie a as ou effet de ous efeme das e cade duetaditio mote. titio authetique das sa soidait avecavei est a mesue due rqe (rderng, doc dueroaon (Wderf de tout ce qui das e set ted se sco

se e ass vou. gee de f quee eveoe eveoeaussi e futu Cocuos avec Heidegge Mme a vato horqe se temoaise arr de aenr

Aisi doc ous avos tabi a ue suite dquatios eatsuccessivemet e comte ati du Daen dabod Eteaumode uis e Souci que teaumode de existat cosiste essetieemet das a temoait. Remoteos-ous us haut ? Commedas teau-mode tait suos e souci et das e souci atemoait faut-i soumette a temoait euve de aayseou e faie soti ue essece qui a coditioeait ? Ne fomeosous as utt ide que e tems est e cocet a eque estditivemet tie au cai a coditio de home comme teau mode Navosous as e ga homme cet te desoitais ses us extmes oitais ? ci es questios setmas e hiosohe coit ouvoi ede cog su cette comhesio de te a e tems (3. Peutte d aieus s assait-i dasso tetio autat que de tie au ca te de homme de

faie a umie su te du tems. Qi qui e soit cette cocidece si biammet coquise cette ciocit maiteat tabieete es deux cocets es us fodametaux eut-te de a

1 Sein und Zeit, p 385.2 Sein und Zeit, p 395.3 Kant et e probme de a mtaphyique, 44.


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hlosohe ous egage faie hate Plato luimme e ecvaitas des Ohiques l'ide qu'i est u momet o il coviet de cesseos chats ? Que le tems soit l'te essetiel de l'homme

cotetosous de cette videce si claiate aussi bie ou l' teque ou le tems. A la lumie de l'aalytique heideiee letems cesse d'e quelque chose d'extieu qui fodait su ousdu dehos ou ous mose sa loi ous mutile au besoi. temsc'est e it l'homme mme comme te-aumode etedosa l l'homme eu das la factict et dj ossd a la motmais tout aussi bie l'homme das le bodissemet gloeux du ojetet l'exaltatio de l'esso. E u mot c'est la fnde mme del'homme c'est-die la fois so existece comme ouvoi-teet so imuissace 'te que ouvoi-te avei comme dimesio itee de la libet costitue ouaito die la at diviede ote atue celle qui si ele veait emli toute la lacedisoible feait de ous des dieux. ass etedu comme coditioa ror de l'tat d'egluemet o ous ous veillos ous-mmesest e ous la at oemet oae c'est-de icuablemetaffecte d'imuissace et de gativit set e aggavecette culabilit focie qui est le vai ch oiel d'u lmet

de chute das 'aoymat du On chute qui 'est ceedat asimdiable ca l'agoisse eut toujous ous disese le salut.Tel est le statut de l'homme sous l'hoizo du tems statut de itude adicae Pus oiaie que l' homme est la itude du Daene lui (1.

Quat cette itude qui clate das la atue oiaiemettemoelle de l'homme ee e ous est as lus extieue que letems luimme e ous est extieu Sas doute la hilosohie

taditioelle l'-t-elle voloties coside comme u statut imosdu dehos. C'est ue ide que la hilosoe hite visiblemet dela elio. doatisme elieux oose e effet ue exlicatio de l'homme das le cade d'ue catio divie qui e le isequ' la coditio de mutile e ui le ouvoi te Que je e sosas disait Descates l' auteu de mo te la euve e est dasce fait qu'ayat l'ide de efectio je e suis as moi-me afa.Ca si je m'tais do l'te lus foe aiso me seais-je coftoutes les efectios que je uisse cocevoi Il faut doc me faie

l'ide que mo te elve d'ue causalit iimet lus uissateque la miee et qu'il est lus sage de emecie cause de ce qu'ellem'a do que de ble cause de ce dot elle m'a iv. Il 'eeste as mois que je e suis qu'u Dieu maqu et ceci du faitde la volot de Dieu a itude de l'homme 'est doc as itisque

1 Kant et e pbme de a mtaphyique, 4


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so ssc E xim ot ddac gad du ssc aqu tout itud st focimt aboi t vaicu. Mais,aux yux d Hidgg, schma oos 'homm a doa

tism iux aat costitu tiomh d a s iauhtiqu ca id d Diu, dot o sautois aisi 'aui, st as ait istumt du it dvat agoiss ? agoissous avos at dictmt d a itud d homm commtaumod gu t ojtat O, i st us itoab homm qu cimat d agoiss Pou cha au maaisqu diss, tous s statagms sot tts ds us cassiqumt atiqus st d a fai avot er I sut ou cad ui t so aoymat a divat su u objt di. Do

ivtio ds diux Sitt qu humait d coscic d agoiss, fomt istictivmt ds diux ou s fai u.s sot u mi machi xocis agoiss. Puis, cs ahomm ou s distai dj d sa dtss atu, is s ttatumt au scod tms d a diactiqu assuat qui saiqu aos s d soit favoabs, soit du mois ioffsifsC sot, ou ucc a xm, d baux idiffts htsoitais ds itmods, hos d os iss autat qu ous somms

hos ds us Aisi agoiss oigiai, u fois tavsti uds diux disaata a a gatio ds diux a s chtist o mois cofotat das ss ductios. Sous imacabuissac ds mats d a atu quivtt s Acistoiss, dcouv a atit divi, atit si aimat qua chut d homm duis ogtms dj st coms a usautai dmtio Pou hiosoh , id d Diu ibhomm d agoiss absou ximat qu ququ at aumois, a itud st sumot Mais a coscic sou doc statagm. tat omm homm st fodamtamtaux iss avc u itud qui s aiss iquid u at. Ecostitu adicamt so t tat qui fait iutio commt au od homm st sa o itud, t aud i ya i. Rtos admiab fomu d Kan e e rme de mahyqe Pus oiai qu homm st a itud du Daen ui.

comhsio d t a em dot aut om

st fnde, uisqui sagit du tms tilmt i coditiooiai d icotouab t sac it du matuatiod a ibt jusqu a mot, t st aot fodamta d a hiosohi hidggi A-t- ussi das sa ttativ dxoshomm uimm d t sot qui sy coaiss auhtiqumt ? Cst au ctu d jug So attait vit ctaimtd c qu sattach touv, su a d a homoo


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das a 'u ayiqu igouus, cais cocs odmaux do a vaio ius s'ai u u o comaisamm aog mooo coc d chu, a xm cui

aussi d fau ou co d sau. Quoi qu'i soi s cous ffo us auhiqu d a s comoai a a vioc avc aqu s'moi aach a coscicd 'homm aux domis sas oubs sas dags d abai quoidi, c a souc ai d onnemenaoici Ri a aius, d us adacex qu'u oHidgg, comm si Aoiai a m coscicd s'gag das u avu d s d'xssio ou aqui 'xis co d vocabuai, i mm d rammare (1) u d mm ou Pao. C's ouquoi i m'a au idissabd ac, oos d xisiism , s ais d c hiosohi qui aa bi aoism d o ms

1. Sein und Zeit, p. 39


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eaa arre

Etdier fond lexistentialisme de Jean-Pal Sartre exigeraitqe l on t sriesement l analyse de son livre s re e e Nace qi ma connaissance na pas encore t fait. Telle nest cependant pas aordhi notre intention Si en effet Sartre est n philosophe envers qi acn philosophe contemporain ne pet refserde reconnatre ne certaine dette son originalit la pls singlireconsiste en ce qe lexistentialisme est chez li non pas selementne forme de mditation philosophiqe mais tot assi bien nobet dexpression littraire Il en slte qentre la littratre deSartre et sa philosophie il y a circlation contne Un roman commeLa Nae ne pice comme Le Moche existent dans n climatphilosophiqe dont il est important de prciser la natre Cest la fois n mrite et n dfat Un mrite car de telles vres sontpleines de sens et tot fait ax antipodes dne certaine formede frivolit. Un dfat car lidal serait qe le lecter pt se rendre

prsente la totalit de ler sens d dedans dellesmmes sans acnsecors exrier Or tel n est pas tot fait le cas. J ai conn deslecters trs a-desss d mdiocre qe La Nae laissait n pedconcerts et qi ne se grent pleinement clairs q aprs avoirpris connaissance des deires pages de L magare, qi traitentd type existentiel de l vre d art. Mais aprs tot porqoi voirl n dfat A fond petre La Nae nestelle pas tot fait n roman De mme Le Moche ce nest pettre pas tot

fait ne pice de thtre Et tant miex car atrement ne fadrait-ilpas classer cette pice comme le fait Georges Nevex dans le genresi contestable des pices hse En prsence de tels ovrages j aipltt limpression dn genre de rssite trs particlier qi meplat et qi est lirruption de la philosophie dans la littratre npe comme selon Malrax acare de Falkner est lirruptionde la tragdie grecqe dans le roman policier


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Mas dans ce doae dchanges et d'osmoses q est s bencel de Sate pet-te n'estl pas ntle de fae n pe la lene ft-ce qe po pven cetanes consons. Tel sea note popos

Ce seat ne ee qe de attache exclsvement l'exstentalsmela somme des patonages phlosophqes dont poat se clameSate ca s nos pecevons dstnctement chez l la psence d'nedtaton de Hedee q est ben s lon vet n exstentalsmemalg l nos y tovons tot ass ben la tace dne nencede Hegel o de Hssel q ne sont pas exstentalstes d tot. amme l mpesson qe Hssel est la peme mpoante dcovetede Sate. C'est d mons ce q essot de son peme lve sL 'magination, o sae la pblcaton des een come le gandvnement de la phlosophe d avant 191 et ass d'ne emaqable note pae dans la N .R.F. d 1e anve 1939 s /intentiona/itS Sate pae de Hssel avec tant d'enhosasme cest qen effetHssel est n hos. Avec la pls meelese dsnvolte l nettoedntveent a conscence phlosophqe dne masse nome etpesement tansmse de conventons q fomaent n can compactente les choses et nos. Pa l la table est nette la voe est lbelhoe etove son mage et le monde son vsage. Ce qe Sae

dot la phnonoloe de Hsse c'est essenteement dex chosesD'abod la pse de conscence de la mthode e et de sonncontestable fcondt. Enste lde fondamentale de 'intentionait Ces dex acqstons sont captales. Nos paleons dabodde la pee.

On a pafos dn la phnomnoloe hsseenne comme neestaaton d platonsme. C'est va et fax la fos. Va en ceqe les Logiche Unterchngen o les een contennent en effetne estaaton conte l'empsme nveselement la mode la n d scle dee de la noton platoncenne eence Faxen ce qe Hssel eposse fomellement le ase mtaphysqepa qo tote ne tadton dnt pette d' aes tot le platonse Lessence (da Ween) selon Hsse n'mplqe eneffet acne exgence taphysqe qele aat po fonctonde satsfae en dpt de lexpence S ee ntevent c'est tota contae dans le cade dn pa ps d descpton exacte. Pol'epse q a longtemps pa le dee mot de l'espt postf

l'obseaton scentqe ne sast amas qe des donnes ndvdees.Tote at est fondamentalement astente ax dmensons pementepqes d hic et nnc. Elle n'est amas ate chose qe einDie da. Qant l'de fat la de ne constcton apscop. Pet-te la mte n'estelle q'ne faon de pae Oemaqe Hsse en n'est ons confome ax fats eementobsevables q'ne telle hoe. Un tane pa exemple cest ben


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d'n ceran c la be de la conscence conre ne percepionempiriqe Mais el n'es pas le riangle don parle le mahmaicien. riane mahmaiqe n'es pas riangle d fai d'n crasemen

de la pense par n obje exee. S'il es riangle c'es o enierd dedans de limme par l'gali dex drois de la somme deses anes o par la renconre en n sel pon de ses rois haersSans doe n riangle assi rdi ce q'il pe y avoir en lide ncessi inee n'es pas de ce monde. Dirons-nos alors q'exise dans n are monde q'on se grera par exemple avec cerains plaoniciens comme n ciel neligible Qelle chimre ! Enferonsnos pl n simple mode de la pense enende commepre sbjecivi Comme nos reconnaissons pe dans ne elesbjecivi cee ide qi nos rsise de o son Gedachen !Renonan oe opologie nos avoerons o smplemen q'ils'a d'n riane de ne ar Il es le dedans d'ne eence qin'a pas de dehors en ce monde.

Osons donc repredre conscience a sein mme de oe derminaion empirqe de qelqe chose comme ne ffance neede condon qi fonde a ror la possibli mme de l'obje sensibledans la mesre o loin d'avoir beson d're claire d dehors elle

es a conraire clairane de ce obje par la qali de lmire q'eledploie d dedans d'elemme Ainsi disai dj Spinoza la sphrede ne ar obene en ide par la roaion sppose d'n demicerce aor de son diamre es fondamenale oe sphre percepible empiriqemen bien qe cee sphreci cee bole de boisravaille e vernie ce n'es absolmen pas ainsi q'elle a obene.Il a fal a conraire por q'elle soi l enn le ravail de l' arbreqi pe pe se fai bois pis celi d bcheron par la hache ela scie d menisier par la scie e le or ec. De proche en prochenos comprenons ainsi en cee bole de bois non comme o l'here ne eence mais disai Alain n rassemblemen des qarecoins de l'horizon. Disons si l'on ve qe l'essence es pl vraieqe ree a sens de la chose empriqe. Mais cee vri n'es-ellepas posiivi hnomne si l'on enend par l la posiiv deschoses le non chmrqe celi qi e monre vraimen dpassedonc la somme des apparences empiriqes e enveloppe les essencesEn fai di rs bien Hsserl les nombres les gres les proposiions

son des choses relemen exsanes e les sep solides rgliersson sep objes assi rels qe les sep sages de la Grce ( ) . Larecherche de l'essence ne nos fai pas sorir d monde phnomna.D'o le bienfond d'ne phnomnoloe qi a lie de resreindreexrence ce aspec d phnomne q'es emrqe, s'efforce

1 Logihe Unteuhungen p 11


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de essaisi l' aute asect celui sous lequel il est o mois fodametalemet eence

Mais alos la mthode de ce essaisissemet e eut as te

l' iductio du hysicie qui se boe costitue e objet des aticulats ecueilies au hasad des eieces Ce qui est ici chechc'est au cotaie u oit de vue d' o ue cetaie qualit de lumiese fasse su l' objet emiique lui-mme l' aimat aisi d'ue siicatio Cetais esits s'obstiet igoe cette qualit d'illumiati C'est elle ceedat qui se fait jou das les dialoges latoicies losque l'itelocuteu coit soudai ouvoi comme Adimateode Socate qui lui ale de Dieu omme il faut C'est

aisi que la chose m' aaat moimme aussi e t'etedat a-e ' adhsio emaque Rudolf Otto das so live su le acra ici la valeu d'ue costatatio Admate e coit as Socatesu aole il voit lui-mme . C' est que Socate a su lui fae touvedas le lus itime de sa ese eactemet comme l'esclave deMo le oi juste o aillit lvidece Jusquel il e disosaitecoe que d'u amas de faits muets et cofus es voil maiteat deveus gce u vel itieu loquets et clais (Cete fome de veil Heidegge eeat sa mae u teme

latoicie l'aeea rnnerng l cosiste di-il faie evela chose la ecote d' ellemme das sa ossibiit la lus itime .C'est l ece das l'esit u cetai tat d'itelgece dot l'ee de siicatio a e voi avec la coaissace que eut ousocue le collatioemet des faits dos s'at lutt ici del'lucidatio d'u savoi mlicite que de la costitutio d'ue coaissace emiique Pa oositio ndcon scietique Husselomme aon cette oatio qui tasgue la lumie mme

das laquelle ous comeos les choses et la ecoduit jusqu'ce oit d'videce absolue qu'est l'ituitio de l'essece (de Weencha)

l y a doc su le la de l'eiece la lus ositive uevsio ituitive de l'esssece c'est-die ue alit de lumie quiloi d'te disese a les leos de l'eece a ou effet aucotaie de ede arne ces leos e les amat d'ue siicatio qu'elles 'ot as a eles-mmes oi u'ue tee oatiosoit touvable comme le tedet les eistes ie de lusfamilie ie de lus offet la descitio e qui facssemois les lmites de la homait. Aeos doc mthodiquemet ous essouvei c'est-die comme ous l'avos idiqu lus hau ous istie su les choses lutt a l'elicitatiod'u savoi a ror que la costitutio d'ue sciece a oeror

1 Jan Hng Phnomnologie et philoophie relieue


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Aos ous isquos fot a suit d Huss t d Hidgg dfai su 'homm t su mod bi ds dcouvts maquabsdot sait o ut us sot d s iv a dciatio a ror

d a coaissac a ror Putt stc au cotai d 'a rorqu ous avos us ad. Au iu doc d ous aissfasc a s mssios ssibs ou chch vaimt udob u sct qu's ous ivot amais ouquoi astt u xoatio du so a dmsio d 'ssc ? Tst 'ambitio d etqe qu autou d Huss avat Husss Amads atiquait dj chchat ssaisi commTtsch a xm 'ssc du chistiaism ou comm Otto

'ssc du sac S'aach hadimt 'oubi d 'ssti a t d soi das 'miiqu c'st tout ogamm d a homoogi hussi t qu'i s'xim das a cb maxim Z en achen et.

Ayt u couag d s fai ctu d Huss u momt o a uat ds osohs faais ds us taditiosidigs ' igoait avc u smb assz touchat Satcomd soudai 'xtaodiai ot d a mthod ouvSouigos bi u fois d us qu'i s'at mois d'u ouvaut

absou qu d a tasfomatio u ocd coscit t systmatiqu d'u dmach couammt atiqu souvt u isua maits autus S guat fai d a scic is faisait ait d a homoo ( J'iai mm jusqu' coi qudas ata d Max bi ds dicuts d 'ius thoid a VauTavai sot ds dicuts aticis qui disaataitsi 'o vouait bi comd qui s'agit o oit tat d'uthoi scitiqu qu d'u etqe e aer, comm smbt

'avoi souo duis ogtms Gogs So ou BdttoCoc qui cdat 'avait ctaimt as u Huss c qui simi i 'st as jusqu' u coomist comm M FaoisPoux qui maqu visibmt, a sctiv so aqutout dt baucou us a as a cb quato maxistD'o sa cocusio qu Max aiso das u zo dtmit a ds moys idtmis () 'idtmiatio ici, ' ai d ditif. E 'xist qu du oit d u d'u ctaimthod. Autat di qu a tmatu d'u ic st idtmiac qu'o disos ou a msu qu d'u baac ou d'uhoog. Mais assz su c sujt su qu j m sv d vi

1 I Y a qqs as, ami m'assai avo v 'alag irair rois ivr iil d Bordeween. Cai somm o, ssai 'iiq .

2 La Vaeur, p 52


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pls tard Ce n'est pas en effet dans le domaine de l'conomie c'etdans celi de la psycholoe qe Sartre va demander la mthodeeidtiqe de faire ses preves Et l il s'attaqe a problme de

l' image D' o en 1936 n petit livre librater L magnaon eten 190 ne ts remarqable contination de la mme tde L magnare Entre-temps en 1939 Sartre avait esay de tirer a clairtoors la mire de l'idtiqe le problme psycholoqe del'motion.

De qoi ' atil exactement ? La psycholoe classiqe rsolvaita ror les prolmes q'ele se posait dans le cadre d'ne mtaphysiqe Les psycholoes modees s'efforcent a cotraire de sbstiter

ax thories mtaphysiqes des dterminations positives q'ils demandent l' observation et l' exprimentation Totefois dans ler soifde positivt is omettent l'essentiel qi est de se demander d'abodce qe l'on vet dire a ste qand on pre par exemple d'nemage o d'ne motion. Le recors ax exprences nos le savonstant q'il n'est pas gid anim contrl par n certain ressaisissement intee d set q'il doit enrichir livre tot a pls n amasde faits disparates. En ralit tce ler ins les tenants les plsrsols de la psycholoe exprmentale importent pls o moinsdans lers recherches certaines ides a ror Si en effet ils n' avaientpas implicitement recors qelqe essence de l'image o de l'motion comment saraient-ils qe c'est bien cela q'ils ont affaire ?Or porqoi cette dmarche fondamentalement inclse dans toterecherche ne serait-ele pas d'abord rende explicite ? Porqoine pas tenter en psycholoe le mme genre de rdctions qe pratiqaent d r le modle des mathmaticiens Trltsch propos chrstianisme o Otto propos d sacr ? On y gaerait a mini

mm de ne pls tre dpe d' importations non contrles c'estdirede tote ne marchandise mtaphysiqe qi contine circler l'ins de chacn Sans dote nos ne nos priverons pas des enseiements exprmentax mais nos n'attendrons pas d'ex q'ils noslivrent le mot de lnie Avant de se laisser nstruire par lexprience il fat donc d'abord ressaisir d dedans la natre propre de l' obet tdier ? Et certes note Sartre il fat bien encore parler ici d'exprience Mais c'est ne exprience qi prcde tote exprimentation ( 1) . Nos nos efforcerons donc premirement de constiterne eidtiqe de limage o de l'motion c'estdire de dterminerl'ensemble des conditions q'n tat psychqe doit d'abord aliserpor tre reconn avec vidence comme mage o motion Ensteselement et la lmire de l'eidtiqe nos examinerons comment lesphnomnes se prsentent concrtement dans ne conscience donne

1. L mnaon, p 143


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l est indubitable que l'applcation de la mthode eidtiquea permis Sarre de renouveler de fond en comble l'intrt de certainsprobmes psychologiques qui du fat de la psycholoe exprimentale,

avaient cou pic au fond de la plus moe insigniance Que leecteur se reporte L 'magnare Au lieu du maa des faits disparates les faits muets et confus , dont parlait Jean Hering voil qu'en effet tout devient loquent et clair L' image natdevant nous telle que nous sentions consment qu'ele avait toujourst, malgr les psychologues, et selon un savoir dont nous n'avionsjamais manqu, avec au plus intime d'ellemme, cette tonnantevertu de nier radicaement l' objet qu'elle prsente Si vive, si tou

chante, si forte que soit une image, elle donne son objet commen'tant pas. Cela n'empche pas que nous puissions rar ensuite cette image comme si son objet tait prsent, tait en face de nous .Mais 'tat mbigu et faux auquel nous arrivons ainsi ne fait quemieux mttre en relief ce qui vient d'tre dit : en vain cherchonsnous par notre condte envers l'objet faire natre en nous lacroyance qu' i existe rellement ; nous pouvons masquer une seconde,mais non dtruire la conscience mmdiate de son nant (1). Cettefois l'essentiel est dit, la phrase est parfaite, e courant passe, rienne fait plus cran entre la chose et nous.

I n'est peuttre pas de pus dtestable pdantisme que de vouloir tout prix trouver, dans une mhode phlosophique, e secretd'une russite ittraire Toutefois, en lisant telle pag de Sarre romancier ou auteur de nouvelles, je ne puis m'empcher d' admirercombien l'exigence eidtique est parfois satisfaite par 'art avec lequel sait voquer, travers un individu, un type compet et parfaitSans doute estce une des fonctions de l'crivain que d'incaer

dans une cration particuire une vrit universee, et Molire n' apas attendu de connatre Husser pour crire Le Tarffe ou L A arePourtant, la venue au monde de personnages tels que l'Autoddactede La Nae ou Lucien Fleurier, dans L nfance dn che jusqu'que point n'est-ele pas ie la mditation de certaines pages oHusserl arme des essences qu'ees peuvent s'expliciter non seulementdans des perceptions, mais dans des ctions Mieux a ction luiparat tre un si excelent procd dexpliitation intuitive de l'essencequ'l va jusqu' voir en ele l'lmen vif de la phnomnoogiecomme de toute science eidtique. la source d'o la connaissncedes vrits teeles ire sa nourriture (2) L'ide est dj dansKieregaard l ne faut pas hsiter, dit Kieregaard, inventer hardiment des exempes, car les ctions quoique manquant de 'autorit

1 L minaire, p 262 deen, p 132


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q apparen ax fas seron dne vger dmonsrave beacoppls ande qe ces fas mme marellemen dmons Il semble ce propos qe Sarre a e assez parclremen cr dexplcer

par la fcon ne essence q ne manqe pas en effe dnr cellede e oeoe Lvocaon ql en fa plsers occasonsne nos apprend rien propremen parler mas pl nos rendprsen savor don nos navions jamas prvs ben ql ojors res en nos la implce. Il ne sagi pas dnercole d observaons emprqes C es la chose mme ressase ddedans.

Dans la vse a mse de Bovile par exemple q es lne

des melleres rsses de La Nae, ne elle essence ressor drecemen avec lvdence spriere de lrone des porrais dfansdevan lesqels nos sommes convis ns recellr jsqa Salads ! fnal q dn cop crve oes les oles. Dans L nfancedn che o a conrare les sanes apparences d respec sonfrodemen mainenes jsqa bo nos enrons dns la chose selon la dmenson d devenr. Mas la mamorphose don il sanes pas mons eenee qe celle q cond de la larve la nymphe e de la nymphe lnsece parfa. Elle es ressaise selon salo de gnraon nerne. par lnervenon d poe srralsedon lhomosexal me para re n conresens edqe) nosne povons pas ne pas reconnare ravers les nqdes dela phlo lnvable reor la san morale le refs des amors ancillares le novica chez les camelos ( comme cessain ) le maraqage plsers d Jf le premer cochagela dcson de lasser omber Mad por poser ne vrae jenelle jsq a Ja de d q cl omphalemen la sre

ne mone vers lessence dans ce qele a de df. A ermede la novelle o le chemin es fai Lcen Flerier exse elqen lmme enn . . Dans n caf ne here pls nadolescen acex e incerain a enr cai n homme qen sora n chef parm les Franas Ans la proccpaon hrede Hsserl q avai nspr Sarre oe ne remse en chaner de la psycholoe nes nllemen absene de son vre lrare

A c de la mhode eqe don l a remarqablemenexplo les ressorces propos des problmes psycholoqes demage e de moon, Sarre do la mdaon de la phnomnoloe hsserlenne ne are de fondamenale celle de nenona


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Elle a prsee aux leceurs fraais e peure rvle la plupar das ue brve e crie pur le umr du 1 er javier 939 de La Noee Ree ranase. Il es, m avis esseiel

que l' se rappre ces ris pages l' ielligece du suje ra' a d'gal que le beur de l'expressi Si l' me demadaide chisir das l' uvre de Sarre le exe le plus reprseaif de sale je prpserais certaieme ces pages deses e prfdesIl m'es arriv parfis de les lire des jeues phlsphes e prieaux diculs de l'iiiai Ce e fu jamais iuleme e j'esais plus d'u qu'ue lumire suaie claira sudai au cursde cee lecure Mais pur cmpredre ue la pre de ce exepeure u miimum de prparai hisrique 'esil pas iuileCmmes par l.

L'ue des dcuveres capiales de la phlspie es le ogtode escares Jusqu' escares e effe ul pspe 'avai surs crreceme assiger l'lme de csciece qui es radical u d cerai Maie luimme magr ue sa praipsychlque 'y avai qu'ue mble ccasi de dsesprerde ue ceriude : Si de frue, vus chez vre pese vulirpredre s re ce sera e plus e mis que qui vudra empier

de eau () escares le premier s'aveure das la prfdeurde cee eau rasparee sas craie i risque de s'y yer e c'ese ue scuri qu'il prce l'axime fdamea de la pesecemprae Je ense Nul bje e peu dc re d quedas l'claireme de cee lumire qui e bre que pur ellemmee que l' mme onscence. Par l seuleme le mde sr dela ui Acquisii fdameae : partir de escares e effeli de raacher aveme l'exisece l'idice d'exriri d

es purvue la percepi le phisphe la mesure fracheme ed'u bu l'aure sel la dmesi d'iriri u de prsece si qui caracrise la csciece. Mais aussi puissae e dagereuseeai que l' peu mmer la tentaton de ntrort : resreidre u d la mesure d'u ace de csciece 'esce pasre sur le cemi de e faire plus de ce d qu'u ux de mdicais subjecives viedr se dissudre e aleme s' edrer e ue sre de buiie psychique le rbuses ares e la puissace carrure du mde us vvs ? j Bereley us gueeavec mde d'ides qu' us affece cmme rsidece immarelle dj le paysage 'es plus qu' u a d'me e vici l'hrz le bergsisme qui e peu gure plus garair des chsesqu'u arceciel de uaces u ux de vaeurs rges uemldie e deveir. C'es le rmphe de la e ntrere avec sa

1 Eai II chap 12


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cmplaisance inaie ans linfme, lvanuissan, le efuge secel exase nnie . . Bef, u ce que Hussel epusse avec neeen le qualian assez cueusemen e ychoome rancendanaa, seln Hussel, la escpin e la cnscience pa la vie ineue es aicalemen fausse . Ne nus sennsnus ps, en effe,ps e malase evan une elle liqufacin Qui e nus cnsen ecnnae sn vsage e le visage u mne ans le mii maqueque nus ppse Begsn Fluence sans aes, ne j peueans une aue ne, a me plus qu emi ny, nn, cups, ce nes ps, i Sae, labe que e vis au b e la ueau mlieu e la pussie, seul e u sus la chaleu, ving lieues

e la ce mieanenne ( ) Aps la issluin es chsese ce mneci ans laceniel e limpessinnisme qui ne vulucnnae es buses meules cales que e vagues mes ansu e la cahale e Ruen quune pie nge e emi uie,pu abui enn la fasueuse nyae e lang e Givey, lfallu un zanne pu ene au mne sa fme, sn elief, saplasique, sa caue. flai un zanne la phlsphie Alspau Hussel

Bien s, l ne sassai nullemen e euve, cmme E. Glsn,ans le n accuellan u hmisme, la essuce un alismeangemen m Les hmises n ceanemen s bien que lexisence elle u mne ne se laissea jamais qulbe paes pis mmaels ans les balances e Beeley, f-ce avec lace e ieu. Mas les hmises nn su fae e leu lme pesain cne les mis e lialisme quun agumen cnele oo L es la fablesse aicale e la hse alise escaesne peu e a pa pin. Il ne se laisse pas nn plus suppi

me un a e plume. Ren e plus puil que e sachae uie les ifculs e la phlsphie en se bnan ecnsiueen si la esp un hmme u XIIIe sicle Il fau passe paescaes e pse hamen avec lui sn axime fnamenal Ilnes e li nne que pu une cnscience. Mas cee ppsiin amise, lie gniale e Hussel es e la cmple en uiajignan sa cipque Il nes cnscence pssible que uncean bje u, cmme l le i ence avec une amiable sb

Tue cnscience es cnscience e quelque chse Il nes que e bien cmpene ue la pe e cee fmuleLa cuvee casienne e la cnscience cmme cniin fnamenale e u nn ava, cmme nus lavns inci les philsphes gue la cnnssance cmme une se abspines chses pa lesp, u, si ln veu, une ansfmain es chses

1 N. R. F. er jaer 193


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de ce monde en e ne sais qelle matire psychiqe en voie dtredigre. Cest l qe Hsserl redresse hardiment la marche de la recherche Larbre qe je vois por tre obet de conscience nest pas

por atant absorb et digr par la conscience qi fonctionnerait la manire dn estomac fantastiqe Arre-orconcence ln en reste pas moins arbre per en li-mme l o il est dansl espace hors de moi. Car le rapport athentiqe de la conscience ses obets nest pas d tot n rapport de contenant contenIl fat se le reprsenter comme n movement en qelqe sortecentrifge ne ite vers ne atre chose qe soi n cemen Connatre cest cer ver, sarracher la moite intimit gastriqe

por ler lbas pardel soi vers ce i nest pas soi l-bas prsde larbre et cependant hors de li car e ne pex pas pls me perdreen li qil ne pet se dler en moi hors de li hors de moi 1 Nos lsons encore ds lIntrodction de L 're e e Nan : Lapremire dmarche dne phlosophe doit donc tre por explserles choses de la conscience () . Hsserl emprntant son matreBrentano n terme dj emprnt par Brentano a vocablare scolastiqe nomme nenona ce rapport essentiel de la conscience ses obets. Il dit encore trs volontiers qn tel rapport nest pas

n rapport mmanence mais de ancendance ce qi mpliqeen effet n movement de sarracher soi et de se dpasser soimme vers... Tenons donc ferme cete ide qe prendre consciencenest pas ne opration en Heren mais en Hna o si lon vetqe rentrer en soi revent trs exactement sortir de soi. Nos aronsalors exorcis tot amais le loche fantme de la vie intrere .Nos arons comprs qe la vie athentiqe nest pas le repliementde soi sr des refges privs car il est prcisment de lessence de

ce qi est le pls ntrer en nos de refser lintriort en nosjetant sr la grandrote a milie des menaces sos ne aveglantelmire . . . chose parmi les choses homme parmi les hommes 3)

Dlices de la vrit en dite telle qelle est ! Je me soviensencore de lenivement joyex qe e ressentis lire il y a des annesd les pages de Hsserl q travers Sartre je vens de rsmerPages simples naves honntes bienfaisantes Jsqe-l ce qe javaisp tdier de philosophie n avait engend en moi qe le malaisede lotter entre les extnements de lidalisme et les grossires machineries d ralisme traditionnel Bergson ngageant le lecter oblier cette opposition por retrover tot simplement les passescertitdes d sens commn ( navait gre fait q araver

. bid2 p 8 3 4 Matire et Mmoire avat-propos


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linquitude. ais voici quun homme enn nonce les choses commeelles sont rellement comme au fond nous avions toujours pensquelles taient sans avoir u nous le dire Tel est le propre de la

phnnologie. Avec une autorit inniment plus sre que le bergsosme qui nest souvent quun discours captieux aux fondementsidtermis la phnomnoloe nous libre dun envotement sculaire. Comme dans arsa ou dans Renad e Arme cest le soleilenn lev qui fait svanouir le jardin des malces En lisant Husserlet Heideer dit trs bien aurice erleau-Ponty dans l avant-propos sa hnomnooge de percepon, plusieurs de nos contemporains ont eu le sentiment bien mois de rencontrer une philosophie

nouvelle que de reconnatre ce quils attendaient En lisant surtoutdirionsnous volontiers Husserl lhonnte tout droit tout smpepur de toute rse Husserl qui sans rompre le m des vrits cartsiennes rend aux choses de ce monde leur carrre et leur densit Pripar ma lecture le paysage frapp jusque-l de suspicion par lidalismeou pos en portefaux par le ralisme redevenait solide En lemonde tait nouveau respirable mme aprs un voyage hors deshavres du sens commun. Un monde li lhomme dans une synthseindissoluble face lui cependant avec sa dignit d objet inpuisable

ment rel prodige en rvlations mouvantes. Car lmotion ayantele aui rcur lintentionalit qui lui est radicale vise son objetse transcende vers lui lui confre des qualits nouvelles le modiede fond en comble Do les paysages de La Nase qui bien quilsse rduisent souvent quelques brves notations nous mettent aumonde avec la mme puissance que cette belle mage de eeReor o aprs le dpart dIseult seule la lgne inexorable dunhorion de montaes pose sns phrases le dsert des curs dchirs

s attention : par cette ide de nenona ou de laranscendance la voie est ouverte vers lune des acquisitions fondamentales de lexistentilisme savoir 're-dans-e-monde Ici lapense de Heidegger se greffe sur cele de Husserl et la prolonge entoute richesse Au fond re-monde de Heidegger nest que lareprise dun thme que Husser avait lumme reu de Brentano.Reprise dalleurs singlirement approfondissante Pour Brentanolintentionit nest encore quune rvlation de la psycholoeentendue du point de vue empirique . Husserl transpose cettedonne empirique en dtermination eidtique Lintentionit cestlessence mme de la conscience ce sans quoi plus rien ne pourraitsapparatre encore comme conscience donc un a pror ais cettedcouverte fondmentale Husserl se boe encore la dployersur lventail de lessence dont lhomme aux prises avec son destin dhomme est remarquablement absent Or le propre de lexistentialisme est de pousser et de dvelopper les conqutes de la


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phme, usqu es acrer das a prfdeur mme ue e drame de existece re-a-monde de ein nd Zei,c est ie sas dute ineniona de Husser, mais cest aussi

et avat tut a dcuverte ueversate, sus e rapprt aisi ps,de tre irrmdiae faii est hmme egu sas scsetemet et impuissat devat cette part oae de uimmequi imite iexraemet ce qu i y a e ui de dissemet etdessr Smme tute, Heidegger traspse es dcuvertes husseriees das ue umire traque E ce ses, dit ecre trs ie MereauPty , a phme est pus seuemet, cmme pur Hussercrivat ses een, ue tude des esseces, ee est aussi et surtut

ue phisphie qui repace es esseces das existece et e peseps qu puisse cmpredre hmme et e mde autremet qu partir de eur facticit Si, pur Husser, inenionai est de dtermiati a riori de a oniene, pur Heidegr, ea-monde est u a riori de a ondiion hmaine, et ici Sartre seaisse guider par Heidegger

D, par exempe, La Nae qui est du ut autreet de part e part expressi de cet eemet de hmme dass e-amonde, dt ide ditetiait est gure quue

ticati ecre astraite La Nae, cest hmme pataugeatdas dtresse riaire, i est ad pas tat, seSartre, agisse ieregaardiee qu ue srte dcuremetfdameta Tus mques reets, reets aussi a siicatides chses, eurs mdes dempi, es faies repres que es hmmest tracs er srface , reste affaemet gatiex , ue ie maeade qui est , pse sr e jardi, dgrgedas es arres, tute me, pissat tut, tut paisse, ue c

tre ) Tut cea, qui est si hrriemet, si drsiremet de ro,revie sudai asurde iterrgati cassique de a phisphe Purqui y ati queque chse putt que rie Que remde cette dciece trascedatae ? Les deires pages pset ehme de art Ar, crer, crire ue histire qui sit ee et durecmme de acier et qui fasse hte aux ges de eur existece (2) e rappe de hmme au meieur de s mergece, certaist cru devir etedre cmme u esthtisme et y vir qea pitre suti des dsauss Sachs au ctraire y recatrea serie matiae qi us rveie dtre es mrs, et faisscace JeaPa Sarre Lheure dOreste apprhe gradspas

1 p 16 1 sqq2. p. 222.


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xitentime et Maime

Qud ue fs be exps ds ue me dhmmees eux e peuve pus e ce ce hmme- ) Impusscede ue-pussce dev be ! M bebe vdj d Epce Jupe umme e peu me e. Le Mocheces e effe dfe de Jupe dev hmme qu pu stechs ds u ce be se v chg dsms due espsbii

bsue e vec u ce Oese e u ps chsme cmme e jueu de e de Mze des s qu fese ve ue des muches bmb su Ags. Que suffcee e mheu sempe de hmme qu ses s chg e umme p ue dcs ude de u d qumpe ? P c du ce be i chppe dmes de cuemeI scede s bd exsece d e chsseme mue du ge es ves humes e y ed mpssbe

igueu ee due uss u ce qu u ce usesee La Nae mphe pe ds cee eque sdu e ques p exempe uve d Tu ce es dit ds LeMoche et f be d Peu-e e- pf que eess dvge du dme u-mme e que e m ert em fmu de e u e v ce qu cmmeds e pme dEud Qu qu e s ee es pu mm hmme uque ve du su. Eeds p ussee due upue vec ce qu y ds ve de che dbee dff cesde ce quv s be ss La Nae ceseme fdme de e-u-mde ms cmme gsse de Hedee ce de fcc que pphese ee due bjece veuee edde e ducee. ader, dsdj Hege.

Les Mouhes, 5


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Ainsi exiseniaisme se prsene coe une tenaive rsouede rintrer a ibert dans e fondemen mme de a condiion humaine De nouveau faire du tems a dimension de a iber queprore

!E e mo ne sonne pas ici come dans e beronisme

qui rduit a ibert n tre que aeuremen das home d unecontience cosmique, mais ce chez Paon Descaes Pascaou Kierkeaard ne s a pas d une irrpressibe ibe reue ouefaire du couran de conscience mais de a posiivi dun choix pareque homme se fai auteur resonsabe de son ropre desinAssier au us rofond de home une isace souverne quine doi en ien d exieur ee est das a ie dune traditioniusre a prtention acuee de Sartre Or une ee prention

i ne ui sut as de s armer come tee ui faut encore parsurcrot se mesurer avec arumenation derministe don a formea us osiivemen acuee est sans nu doue chercher dans asociooe marxste Exiseniisme e maxisme voi es deux comostes fondenaes de nore tems Si e fot de exiseniisees d ordonner homme uimme seon xe dune ibe radicee for du marxisme dissiaeur de nues es au contraire de e ramener nerquemen ras de ee e au us rs de a siuation concr

e o i se rouve ena Car si es omes font hisoire ce n ess ar des dcisions arbitraires mis das e cadre dun ensembede ncessits conre quoi on ne eu ren Aux profondeurs aaleque eideer ressent das a ibert umane e qui fon de hoeun ovorre en ol mlle, ane devan on cho e maxise substitue une succession de phases ds un rocessusncessaire Pour Ma avenir n a us ien dvasif L humimche vers a socit sas casses ave a ene scuri des hnomnes obiss des ois ou au ps convieni de resiuer ces

ois eur diit diaecique au eu d en faire ce a de atsauteurs a rnsosiion sur e n de a si humae des oisqui rssent es aspecs paries de a nare auxques se imte udedes hysiciens

La crique a us radicae que es marxises croiron devoirfre ax exseniaises en qui is voien voontiers des adversairesvs est donc r mme dnie s von eur rerocher de dcoerdu re our chercher ds e vide e arbiraire des concets un espa

ce a mesure de eur idisme inavu C es qu i fau sefire attentif e serrer au us rs e sens des mots car a confusionnous ette Que existenisme dans sa faon de ressisir hommemique un ceran dcoemen ou dsenuemen c esdire doe un ceran cha ar raor ment obecif du donn

Ween de Gnde i e


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noons ce len miie ou monde cela ressor chaque pagede L re e e Nan Touefois, l'hoe ainsi reprsen, s'il dcoledu onde, ce n'es pas au sens d'une vasion dans ' ianaire, ais

en ce sens que son re-amonde s'claire ou aureen que l'reencage d'un oiseau ou l' re-enboueille du vin dans la cave Nousavons abli dans les pages prcdenes que, dans l'inerpraion heideggrienne du rappor de l'hoe au onde, la aphore de emoemen cde une aphore d'closions (Afrh), ou, di Sarre,emen Nous dirions voloniers que, pour l'exisenialise,l'hoe n'es pas dan le onde, i es re-dan-e-monde En d' aureseres, c'es de fond en coble on Hae a e au plus vif de onexier e non par son inserion dans un cadre prexisan, que l'hoeeoniene-dan-emonde el poin que, hors de ce claeen au onde, il n'es plus rien en soi que l'on puisse dsigner encoredu no d'hoe. L reamonde ou la iaion es ainsi une qualicaion a priori de la condiion huaine, e non le rsula d'un eboeen. Mais ce n'es pas ngliger la posiivi de la iaion que del'approfondir en re-eniaion Ce n'es pas iniiser le onde relque le rngrer dans la ranendane Ce n'es pas douer l' hoedes ches qui lui incoben dans ce onde-ci que se reser copren

dre son reamonde au sens banal e prphilosophique de faireparie de ou le rese de l'an Tou au plus renonceronsnouspar l ne voir dans l'hoe ce reauonde que le produid'un dernise arel qui serai pos avan oue rexion par unace de foi exaceen syrique de celui qui pose l' orne deschoses une craion divine. Cerains arxises , qui s' iaginennaveen re par l orhodoxes , n'hsien pas excuer decabriolans passages de la aire la conscience qui, les enendre,

serai un produi de la aire Qu' en saven-ils Nous n'en deandons pas an ! Aborder le rel par une descripion qui serre au plus prsle phnone dans le conac naf que nous avons avec lui, cee darche odese su nore preier dessein. Si nous savons le ener bien, peu-re copendrons-nous ensuie que rien n'es plus aricielque de vouloir faire ou prx de la phlosophe une aleaive enrel'idalise e le arialise, coe s'il y avai l les eres exresde oue rexion possible aors que, prcisen, ou le raval de laphiosophie es de reere en quesion ces cagories de la pense don

aujourd'hui l'insusance cae. propre de la phnonoloe,coe de l'exisenialise auquel elle donne une hode, es useen de reser l'aleaive au no d'une elleure descrpion dudonn que celle qui l' avai jusque-l auorise.

Si donc l'hoe n'es pas dans le onde au sens vulgaire del'eboeen, ais si au conraire il apparien son essence de s' claerconscience-dans-leonde , alors nous voil dsengus


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du matiaisme vulgaie sas cepedat que ie soit aailie lapositivit de la cojoctue cocte avec laquelle ous aisos copsais il y a plus. ette ectcatio du pot de dpat qui ait dautat

mieux essoti le lie de lhomme la situatio elle o i est egagva peut-te pouvoi oui sa ase ue estauatio das l'hommede la liet dot lexclusio a toujous t pou le maxisme uesote de dimiutio u appauvissemet essetiel Que podee eet qui dia Je e vois pas le lie ete la doctie et lapatique ca e si je e veux pas ! Je seai is Et aps Lhoeu de lhomme est-il doc que de se tie d aaie e aisatle jeu des causes uiveselles Dodiaie o cle ue solutioe ayat ecous u vague utiitaisme Il est coome littie etedu da das le ses des choses. A o etedeu salut ! Quelle platitude ! Suatil doc doce comme u ait empiique Nous sommes das u comat Quel es dhoizo !a e quad la exio eviet su cette lutte o le tavaileuse jette d istict ioloquemet e quelque sote ecoe aut-ilquelle puisse la epede so compte ce qui exige quelle touve sy epsete aute chose quue aessivit aimale. La Rvolutioest pas seulemet ue oe aaie ou ue aaie de oce Elle

est avat tout ue aaie de cosciece et de digit. Et le maxismeestil pas lui-mme das so od du out laute et de pate pat l amatio de la diit de l homme De quelle oeilleaudaitil doc etede ce texte du Caa o ax oce queles vitales lois de la valeu e pouot joue que das ue socito lide de lgalit des hommes peda acie avec la vigueu dupjug populaie (1) Et cet appel dEgels la destuctio detous les appots sociaux o lhomme se touve exploit humili

ai aaiss (2) ais ue telle amatio de diit estelle iecompatile avec le dtemiisme pa aieus pos Peutil y avoidigit sas liet a e si la ougeoisie ayat so isu og les ames qui la mettot mot . poduit pa sucot les hommes qui mieot ces ames (3) avec la mme cessitque le pommie poduit des pommes alos j auai eau ommedeqe cette cessit et l oppose la cessit simplemetmcaique e seatelle mois cessit Et les poltaies auotils

. Le apita, Livre 1 2 Ce pred exe d'Egels qe e me sis laiss aler cier de mmoi

re es e rali de Marx ontribution a ritique de a Phioophie du Droitde Hege) La criiqe de la regio ao cee docre que hommeet,

Jean Beaufret de Lexistentialisme a Heidegger Introduction Aux Philosophies de Lexistence Et Autres...

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