JDR MAG n°18 - Mai 2013
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JDR MAG - Mai 2013 [email protected]
M
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Ma
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013
JDR
-Page Cinéma
- Page High Tech : Mi-
crosoft office 2013
-Page BD/Livres
Et bien d’autres …
JDR MAG - Mai 2013 2 [email protected]
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4
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Page High-Tech : Microsoft office 2013
Page BD, livres et DVD
Page Idées Ciné
Page Actualités
Page Sondages
Dossier : Apogeios : une ville dans l’espace
Blagues
Reportage : Les mangas
Abonnez-vous vite au JDR MAG !
Désormais, lisez votre JDR MAG sur Ipad,
Iphone et Android !
JDR MAG - Mai 2013 3 [email protected]
La suite office vient d'accueillir un nouveau membre : la version 2013 en raison de l'arrivée des nouveaux
terminaux tactiles de Microsoft équipés du nouveau système d'exploitation Windows 8.
Deux déclinaisons sont proposés aux utilisateurs :
-Office 2013, à l'achat
-Office 365, sous la forme de location à l'année
Quelles sont les nouveautés par
rapport à office 2010 ?
"La première chose que vous ver-
rez en ouvrant Microsoft Office
est une nouvelle interface élé-
gante. Mais, les fonctionnalités
que vous connaissez et utilisez s’y
trouvent toujours, de pair avec de
nouvelles fonctionnalités qui per-
mettent de gagner un temps consi-
dérable. Le nouvel Office peut
également être utilisé avec des
smartphones, des tablettes et
même sur des ordinateurs ne dis-
posant pas d’Office. Par consé-
quent, vous pouvez désormais
accéder en permanence à vos fi-
chiers importants, où que vous
soyez et quoi que vous utili-
siez." Telle est la présentation
faite par Microsoft sur son site
officiel. On peut également rele-
ver ces nouveautés :
- Office 2013 a été optimisé pour
les toutes nouvelles fonctions tac-
tiles de Windows 8.
- Un onglet "What's new" a été
créé afin de faire remonter des
flux d'activités des réseaux so-
ciaux.
- Enregistrer et partager des fi-
chiers dans le nuage : Le nuage
fournit un stockage de fichier en
quelque sorte immatériel. Vous
pouvez y accéder à tout moment
Les logiciels de la suite restent les
mêmes.
Cette suite, comme indiqué sur le
site officiel de Microsoft Office
s'adapte selon les besoins :
- Pour les familles : "Idéal pour les
familles qui souhaitent un accès
total aux programmes Office 365
sur 5 PC ou Mac, ainsi qu'aux ser-
vices dans le cloud, le tout inclus
dans un abonnement annuel ou
mensuel très pratique."
- Pour les petites entreprises :
" Accédez à Office, notamment
Word, PowerPoint, Outlook et Ex-
cel, où que vous soyez. Bénéficiez
aussi d'une messagerie d'entreprise,
d'un site web public, de la vidéo-
conférence HD et d'autres services.
Le tout avec une grande facilité de
gestion et sans nécessiter une ex-
pertise informatique."
- Pour les moyennes entreprises :
"Bénéficiez de fonctionnalités pro-
fessionnelles en matière de messa-
gerie, de réunion et de collabora-
tion ainsi que des meilleurs outils et
services Office, qui restent tous
accessibles et faciles à gérer, où
que vous soyez."
- Pour l'éducation : "Bénéficiez de
la puissance et de la souplesse né-
cessaires à votre établissement au
travers de services de communica-
tion et de productivité profession-
nels et de fonctions de gestion opti-
males pour votre service informati-
que."
Désormais, il est facile d’enregis-
trer vos fichiers Office sur votre
propre SkyDrive ou le site de vo-
tre organisation. À partir de là,
vous pouvez accéder à vos docu-
ments Word, vos feuilles Excel et
d’autres fichiers Office, et les par-
tager. Vous pouvez même travail-
ler avec vos collègues sur le
même fichier au même moment.
- Et enfin, il sera désormais possi-
ble d'ajouter des extensions à par-
tir de la boutique "Apps for Of-
fice"
- On a également beaucoup parlé
des nouveautés sur Power-
Point : "Microsoft Power-
Point 2013 bénéficie d’une toute
nouvelle interface utilisateur, à la
fois plus simple et parfaitement
adaptée à une utilisation sur ta-
blette et téléphone. Vous pouvez
ainsi effectuer vos présentations
entièrement en mode tactile. Par
ailleurs, le mode Présentateur s’a-
dapte automatiquement à votre
configuration de projection, et
vous pouvez même l’utiliser sur
un moniteur unique. Les thèmes
sont désormais fournis avec des
variations qui vous permettent
d’obtenir plus facilement l’appa-
rence désirée. Et lorsque vous
avez terminé de travailler avec
d’autres personnes, vous pouvez
ajouter des commentaires pour
poser des questions et obtenir des
informations."
JDR MAG - Mai 2013 4 [email protected]
Nox de Yves Grevet: Dans un futur sombre, la population est divisée en deux parties bien distinctes. Les pauvres vivent sous un brouillard de pollution cons-tant de Nox et doivent eux-même créer leur énergie en pédalant. Les riches quant à eux vivent dans les hauteurs loin du nuage toxique. Pour-tant ces deux mondes vont finir par se rencontrer mené par la détresse des uns et des autres... C'est un livre extraordi-naire. On est pris immédia-tement dans l'histoire qui reste haletante jusqu'à la fin. Pourtant il est réservé aux plus âgés car certains passages sont choquants. En effet, tout n'est pas rose dans cette société inégale...
Le Puits des Mémoires Tome 1, La Traque - Gabriel Katz Trois hommes se réveillent dans les débris d’un chariot pénitentiaire accidenté en pleine montagne. Aucun d’eux n’a le moindre souvenir de son nom, de son passé, de la rai-son pour laquelle il se trouve là, en haillons, dans un pays inconnu. Sur leurs traces, une horde de guerriers, venue de l’autre bout du monde, mettra le royaume à feu et à sang pour les retrouver. Fugitifs, mis à prix, impitoya-blement traqués pour une rai-son mystérieuse, Olen, Karib et Nils se découvrent au fil des pages, au fur et à mesure que leur passé les rattrape, et vont devoir survivre dans un monde où règnent la vio-lence, les complots et la ma-gie noire
Seuls dans la ville entre 9h et
10h30 de Yves Grevet
Tout commence par une expé-
rience littéraire proposée par
un professeur de français à sa
classe: postez-vous seul(e) à un
endroit du centre ville entre 9h
et 10h30 , et écrivez ce que
vous voyez ou ce que cela vous
inspire. Or, ce matin du 23
mars , Maître Marideau ,le no-
taire de la ville, est assassiné
et son corps retrouvé à l'ar-
rière d'une Mercedes bleue .
Sur l'île aux chiens. Alors l'en-
quête de la police piétine, Er-
wan décide de récupérer les
copies de ses camarades afin de
traquer le moindre indice sus-
ceptible de conduire le coupa-
JDR MAG - Mai 2013 5 [email protected]
L'Ange de la Nuit Tome1, La Voie des Ombres - Brent Weeks Le tueur parfait n’a pas d’amis, il n’a que des cibles. Pour Durzo Blint, l’assassinat est un art et il est l’artiste le plus accompli de la cité, grâce à des talents secrets hérités de la nuit des temps. Pour Azoth, survivre est une lutte de tous les instants. Le petit rat de la guilde a appris à juger les gens d’un seul coup d’œil et à prendre des risques – comme proposer à Durzo Blint de devenir son apprenti. Mais pour être accepté, il doit commencer par abandonner son ancienne vie, changer d’i-dentité, aborder un monde d’intrigues politiques, d’ef-froyables dangers et de ma-gies étranges, et sacrifier ce qui lui est le plus précieux…
Trackers: Glyphmaster de Patrick
Carman
Sur Internet, tout le monde laisse des traces. Méfiez-vous de ceux qui les suivent. Adam Henderson est un petit génie de l'informatique. Depuis l'âge de neuf ans, il passe sa vie enfermé dans le Caveau, une pièce que son père a aménagée pour lui au fond de sa bou-tique. Le garçon y répare les ordina-teurs et disques durs les plus récalci-trants, il y invente des logiciels et des pare-feux d'une incroyable efficacité, mais aussi des gadgets de haute tech-nologie. Son rêve : devenir le nou-veau Bill Gates. Un jour, il rencontre ses premiers amis : Finn, un mordu de skateboard, Lewis et Emily, des geeks, comme lui. Ensemble, ils fon-dent le groupe des Trackers. Leur ob-jectif : tester les inventions d'Adam en détectant les failles de sécurité sur Internet et dans des lieux protégés. Mais les prouesses du garçon ne pas-sent pas inaperçues sur la Toile, et bientôt le piège se referme, obligeant Adam à raconter son hitoire... dans
JDR MAG - Mai 2013 6 [email protected]
Iron Man 3 :
«Tony Stark, l’industriel flamboyant qui est aussi Iron Man, est confronté cette fois à un ennemi qui va attaquer sur tous les fronts. Lorsque son univers personnel est détruit, Stark se lance dans une quête acharnée pour retrouver les coupables. Plus que jamais, son courage va être mis à l’épreuve, à chaque instant. Dos au mur, il ne peut plus compter que sur ses inven-tions, son ingéniosité, et son instinct pour protéger ses proches. Alors qu’il se jette dans la bataille, Stark va enfin découvrir la ré-ponse à la question qui le hante secrètement depuis si longtemps : est-ce l’homme qui fait le costume ou bien
Oblivion :
Après des décennies de guerre contre la terrible menace dénommée les Scavs, les humains ont quitté la Terre. Jack Har-per, qui vit sur une station située dans les nuages, a pour mission d’extraire des ressources vitales nécessai-res aux humains expatriés. Son existence est boulever-sée lorsqu’il sauve une belle inconnue d’un vaisseau en déperdition. Son arrivée va déclencher une série d’évè-nements qui vont le forcer à remettre en question tout ce qu’il connaissait.
Stoker
A la mort de son père dans un étrange accident de voiture, India une ado, assiste au retour de son oncle , donc elle ignorait l' existence...
Denis :
Par deux fois, Vincent a cru rencontrer la femme de sa vie. Par deux fois, elles l'ont quitté pour le même homme... Denis. Maintenant que Vincent file le parfait amour avec Anna, sa seule crainte est que l'histoire se répète. Alors il va tenter de com-prendre : Mais que peu-vent-elles trouver à ce type grande gueule, ama-teur de chemises bario-lées, qui enseigne le catch comme une philosophie ?
JDR MAG - Mai 2013 7 [email protected]
Upside Down
Dans un univers extraordinaire
vit un jeune homme ordinaire,
Adam, qui tente de joindre les
deux bouts dans un monde dé-
truit par la guerre. Tout en lut-
tant pour avancer dans la vie, il
est hanté par le souvenir d’une
belle jeune fille venant d’un
monde d’abondance : Eden.
Dans cet univers, son monde se
trouve juste au-dessus de celui
d’Adam - si près que lorsqu’il
regarde vers le ciel, il peut voir
ses villes étincelantes et ses
champs fleuris. Mais cette
proximité est trompeuse : l’en-
trée dans son monde est stricte-
ment interdite et la gravité de la
planète d’Eden rend toute tenta-
tive extrêmement périlleuse
La cage dorée
Dans les beaux quartiers de Pa-
ris, Maria et José Ribeiro vivent
depuis bientôt trente ans au rez-
de-chaussée d’un bel immeuble
haussmannien, dans leur chère
petite loge. Ce couple d’immigrés
portugais fait l’unanimité dans le
quartier : Maria, excellente
concierge, et José, chef de chan-
tier hors pair, sont devenus au fil
du temps indispensables à la vie
quotidienne de tous ceux qui les
entourent. Tant appréciés et si
bien intégrés que, le jour où on
leur offre leur rêve, rentrer au
Portugal dans les meilleures
conditions, personne ne veut
laisser partir les Ribeiro, si dé-
voués et si discrets. Jusqu’où se-
ront capables d’aller leur famille,
les voisins, et leurs patrons pour
les retenir ? Et après tout, Maria
et José ont-ils vraiment envie de
quitter la France et d’abandonner
leur si précieuse cage dorée ?
JDR MAG - Mai 2013 8 [email protected]
Au Royaume Uni
Margaret Thatcher surnommée la « Dame de Fer » est décédée le lundi 8 Avril. Elle est la seule femme à avoir dirigé le Parti conservateur (de 1975 à1990) ; et c'est également la seule femme à avoir occupé les fonctions de Premier ministre du Royaume-Uni (du 4 mai 1979 au 28 novem-bre 1990). Arrivée au pouvoir dans un pays en situation d'insta-bilité, Margaret Thatcher redresse l'économie en mettant en place une série de réformes radicales. Effectuant le plus long mandat ininterrompu de Premier ministre au Royaume-Uni depuis le début du xixe siècle, elle est deve-nue par sa personnalité autant que par ses réalisations, la plus re-nommée des leaders politiques britanniques depuis Winston Churchill.
L’arrestation Le 18 avril au soir , une fusillade a lieu sur le campus du MIT , coûtant la vie à un policier de l’université . Les deux frères aillant braqué une voiture, une course poursuite s’en-gage, suivie d’une fusillade au cours de laquelle 15 policiers sont blessés et un des suspects interpellé. . Ce dernier , Tamerlan Tsarnaïev , un des suspects recherchés , succombe peu après de ses blessures à l’hôpi-tal. Son frère arrive à s’enfuir en étant armé et considéré comme dan-gereux. 9000 hommes en armes pa-trouillent dans Boston qui devient une ville fantôme, les gens étant in-vités à rester chez eux et à se barri-cader. C’est alors vers 20h45 heure locale que Djokhar est arrêté, après un dernier mitraillage durant lequel il est blessé à nouveau . Les enquê-teurs invoquent « l’exception de sé-curité publique » pour interroger le suspect, ce qui implique que le cap-tif peut être soumis à un interroga-toire « musclé » durant lequel il ne peut pas bénéficier de l’assistance d’un avocat. Le 22 avril 2013, Djok-har Tsarnaev est inculpé pour « usage et complot d'utilisation d'une arme de destruction massive contre des personnes et des biens aux Etats-Unis ayant provoqué la mort » et « destruction volontaire de biens au moyen d'un engin explo-sif ». Il encourt la peine de mort.
Mais qui a pu faire ça ? L’enquête suit plusieurs pistes très différentes : terrorisme international, extrémisme américain et acte isolé. Grâce à des vidéos de surveillance, la police indique posséder des images claires de deux sus-pects déposant les bombes . Le FBI publie ensuite les photos ce qui permet d’identifier les deux jeunes gens : les frères Djokhar et Tamerlan Tsar-naïev . D’origine tchétchène, ils ont émigré aux Etats-Unis en 2000-2001. Ils vivent à Cambridge dans le Massachu-setts. L’aîné, âgé de 26 ans , a étudié au Bunker Hill Com-munity College mais n’a pas terminé ses études . Il avait déjà été interrogé par le FBI en 2011, à la suite de rensei-gnements du gouvernement russe, selon lesquels il pourrait être lié à des groupes terroris-tes. Son frère Djokhar est di-plômé de la Cambridge Rindge and Latin School . Il suivait des études à l'Universi-ty of Massachusetts Dart-m o u t h , s p é c i a l i s a t i o n en biologie marine, au mo-ment des faits.
Aux Etats-Unis
Deux violentes explosions, quasi simultanées. Trois morts, 183 blessés.
L'attentat qui a endeuillé le marathon de Boston, lundi 15 avril, visait
à faire un maximum de victimes. Au moment de la première explosion, à 70
mètres de la ligne d'arrivée, la plupart des participants de l'épreuve conti-
nuaient d'arriver. Près de 250 000 personnes étaient massées le long du par-
cours.
JDR MAG - Mai 2013 9 [email protected]
Les réponses sélectionnés sont celle qui revenaient le plus sou-vent parmi toutes les réponses d’élèves
Quel est votre célebrité préféré ? * Kev Adams * Zinédine Zidane Quel est votre film préfé-ré ? * Le pianniste * Un plan parfait Quel est votre sport pré-féré ? * Escalade * Surf * G.R.S Quel est votre sportif préféré ? * Zinédine Zidane * Faith Dickey
Quel est votre groupe de mu-sique péféré ? * Section d' Assaut * Daft Punk * BB Brune Quel est votre style de musi-que préféré ? * Pop Rock * Hard Rock Quel est votre équipe de foot préféré ? * PSG * OL * OM Quel est votre livre préféré ? * La ballade des planches * Coeur d'encre
Quel est votre voiture préfé-ré ? * Porsche * Twingo
JDR MAG - Mai 2013 10 [email protected]
En orbite :
Placée au point de La-grange du système Ter-re/Lune, la cité ne com-portera aucun hasard, le chantier scrupuleuse-ment réfléchit et l’ape-santeur brillamment contrôlée.
Qu’est ce que le point de Lagrange ?
Apogeios sera construite à égale distance de la Terre et de la Lune, de façon à former un trian-gle équilatéral. Cette configuration est idéale pour les échanges aussi bien avec la Terre (personnes, nourriture…) q u ’ a v e c l a Lu n e
Située à égale distance entre la Terre et la Lune, en orbite comme un deuxième satellite, Apogeios abritera dix mille habitants et offrira le confort de la Terre. Prêts pour la visite ?
Mais où sera puisée l’éner-gie nécessaire à tout ceci ?
Grâce à la vue imprenable sur le Soleil (elle s’oriente-ra en fonction de l’Astre), la cité utilisera évidem-ment l’énergie solaire.
Cependant, un autre pro-blème lié à la gravité se pose : au centre de la cité il n’y en aura pas ou pres-que ! Comment faire alors…
La gravité Zéro :
A cet endroit là, aucune habitation ne sera prévue. En revanche, beaucoup d’autres options sont offer-tes :
Habitat 2
Radiateur Habitat (environ 1,4 ha par habitat )
Cable latéraux
3 serres toriques : culture extensive de
céréales (surface utile : environ 20 ha)
228 serres sphériques : cultures maraïchère
(surface utile : environ 10 ha )
Cables radiaux
Habitat 3
Radiateur noyau central (eviron 1,4 ha )
Stockage externe de containers
Noyau central
Habitat 1
Tunnel radial
Miroirs - inclinaisons 22,5° (éclairage serres agricoles )
Panneaux solaires (environ 10 ha)
Port spatial
(matériaux de construc-tion…). En effet, si elle n’était pas construite a un endroit précis et fixe, il faudrait at-tendre qu’elle soit au plus proche de la destination visée pour qu’un vaisseau cargo puisse la rejoindre ou la quit-ter.
Et comment sera établie la gravité ?
Quant à la gravité… ne vous inquiétez pas ! Les cher-cheurs ont pensé à tout. L’homme ne peut pas vivre si il n’a pas « les pieds sur Terre » (ou du moins la gra-vité terrestre), c’est pourquoi une pesanteur artificielle a été imaginée : la structure tournera sur elle-même, ce qui créera une force centri-fuge qui simulera notre gravi-
JDR MAG - Mai 2013 11 [email protected]
Les loisirs : Imaginons un instant un stade… Sans gravité ! Les joueurs spé-cialement entraînés s’af-frontent avec un ballon volant sous l’un des deux dômes de 100 mètres de diamètres. Cela signifie aussi l’invention de com-binaisons à mini-réacteurs pour se dépla-cer et de cages flottantes pour marquer (la gravité est si faible qu’une très légère poussée permet-trait de propulser le bal-lon dans celles-ci). ). Les spectateurs eux, reste-ront solidement attachés à leurs sièges. En-dehors du stade, un parc de loi-sirs permettrait au habi-tants de pratiquer des sports impossibles sur Terre mais rendus possi-
ibles grâce à l’apesanteur et … qu’il reste à inventer ! Alors séduits ?
Le travail : Le cœur de la cité est l’endroit idéal pour les fabriques. Etant donné que tout flotte, vous pou-vez transporter ce que vous voulez sans le moin-dre effort (même un poids lourd se déplacerait à l’aide de votre petit doigt ). La zone sera donc dévolue à l’industrie. C’est ici que seront assemblées le machines utilisées dans toute la citée. Relié aux 3 quartiers d’habitation par un long tunnel, elle pourra servir à l’évacuation d’ur-gence de la cité en cas d’impacts dus aux météori-tes ou d’incendie. Mais le plus à redouter serait une épidémie qui décimerait la
décimerait la ville très vite (c’est un endroit clos et isolé). Dans ce cas, les passagers se rendraient au noyau central et pren-draient les chaloupes ro-botisées et programmées à destination de la Terre.
Mais nous ne pourrons pas éternellement nourrir les habitants sur les ré-serves en provenance de la Terre alors il faudra des cultures, un défis difficile à relever dans l’espace !
Les cultures de l’Espace :
Dans les serres en forme de ballons entourant la zone industrielle et si-tuées à la périphérie, se-ront cultivés des fruits, des légumes et des céréales, indispensables à la survie de la ville. Il y poussera aussi du lin et du coton pour les vêtements et des plantes médicinales pour soigner. De ce fait, la ville sera plus autonome et les trajets en direction de la Terre les moins fréquents possibles. Les serres au-ront aussi le rôle fonda-mental de ravitailler la ci-té en air (les plantes ab-sorbent le dioxyde de car-bone et rejettent du dioxygène que nous res-pirons). ). Pour que son air reste respirable, Apo-geios traitera ainsi chaque jour l’équivalent de 10 tonnes de dioxyde de car-bone, cela nécessitera 30 hectares de surface culti-vable. La mise au point
JDR MAG - Mai 2013 12 [email protected]
l’agriculture constitue l’une des plus grandes difficultés du projet. Pour-quoi ? Les plantes abri-tent beaucoup de bacté-ries dont certaines essen-tielles pour leur dévelop-pement. Comme expliqué précédemment, dans ce milieu confiné, on peut craindre la prolifération d’une espèce qui dérégle-rait l’atmosphère soigneu-sement dosé de la cité (produisant par exemple, une grosse quantité de dioxyde de carbone). Sur Terre cela ne pourrait ar-river, les éléments étant en contact les uns avec les autres ils se régule-raient naturellement. Pour faire plus simple et éviter l’eau stagnante et la terre (susceptibles de provo-quer l’apparition de micro-organismes), les
cent vingt-huit sphères d’un diamètre de 25 mè-tres accueilleront des cultures maraîchères (de fruits et de légumes) tan-dis que les céréales, le lin et le colza seront cultivés dans les champs (anneaux en forme de bouées) de 455m de rayon en péri-phérie de la station. Les serres en propylène seront gonflables, légères et donc plus faciles à fabriquer. Le personnel travaillant dans les serres portera des te-nues isolantes, il y en aura d’ailleurs très peu car l’en-tretien, les récoltes et les moissons seront confiés à des robots.
Mais qu’en est-il de la viande ?
Vous l’aurez compris, pas question d’introduire du bétail sur l’installation, et
seront réparties sur des grilles, de sorte que leurs racines soient à l’air libre et des brumisateurs vapo-riseront ce dont elles au-ront besoin pour prospé-rer (eau, éléments nutri-tifs…). Mais malgré toutes ces précautions, les scien-tifiques savent que les bactéries trouveront tou-jours un moyen de pullu-ler. Ainsi, tous les trois ans, un « grand net-toyage » sera organisé. Les serres seront vidées et exposées au vide de l’espace et aux rayons ul-traviolets du Soleil avant d’être remplies de nouvel-les semances. Mais pas toutes en même temps… La cité aura toujours be-soin de nourriture ! C’est là tout l’intérêt de dispo-ser des serres indépen-dantes. Au total, deux
JDR MAG - Mai 2013 13 [email protected]
d’habitations seront au nombre de trois et se constitueront de deux grandes sphères reliées entre elles par deux plus petites. Chaque module ne mesurera pas plus de 400m de long (longueur d’une piste d’athlétisme), aucune chance de se per-dre… La hauteur par contre est plus impres-sionnante : 100m sous plafond (hauteur du deuxième étage de la tour Eiffel). Le toit sera percé de baies vitrées offrants une vue sur la Terre et chaque module pourra ac-cueillir un peu plus de 3000 personnes (soit une densité de population équivalente à celle d’une grande ville).
Quant à la décoration, elle sera très semblable à celle d’une grande ville actuelle, avec malgré tous des contraintes assez res-trictives comme l’interdic-tion d’avoir un animal de compagnie, susceptible d’amener avec lui des mi-
et avec lui, virus et bacté-ries dangereuses et nuisi-bles ! C’est un problème qui attend toujours d’être résolu, mais, en atten-dant, la viande synthéti-que sera utilisée en rem-placement. Aux amateurs de viande saignante et de côtelettes donc, de rester chez eux !
En parlant d’habita-tions… J’allais justement faire un tour en ville !
Apogeios au quotidien :
Au centre, une grande place, encadrée d’immeu-bles colorés et où trône une fontaine. Les enfants jouent, la joie règne… et il vaut mieux ! Car pour qu’Apogeios soit une ré-ussite, les habitants de-vront bien s’y sentir : Ou-blier qu’ils vivent dans une boîte de conserve flottant dans l’espace… un sacré défis ! Les modules
crobes pouvant contaminer la population. Pour la même raison, les plantes et les massifs de fleurs ne seront pas les bienvenus, mais là, il a bien fallu trou-ver une solution pour met-tre un peu de couleur, car vivre entouré de béton al-lait finir par devenir inviva-ble ! C’est pour cela que les architectes ont redou-blé de créativité, imagi-nant des immeubles aux formes et couleurs at-trayantes, des centres commerciaux, des bâti-ments publics et des zones dédiées aux loisirs égayants le regard, et des-tinées à occuper au mieux le peu d’espace disponible.
JDR MAG - Mai 2013 14 [email protected]
Un couple se présente dans une école de langues. Nous voudrions apprendre le cambodgien avec la méthode
accélérée... - Ecoutez, dit le directeur, pour l'anglais, l'espagnol, pas de problème. Mais le cambodgien c'est une langue très difficile, surtout pour des Européens. Pourquoi
voulez-vous l'apprendre en accéléré ? - Parce qu'on vient d'adopter un petit Cambodgien d'un
an, dit le mari. Alors dans quelques mois, quand il va commencer à parler, on voudrait comprendre ce qu'il
dira...
Un homme entre dans une papeterie : - J'aimerais offrir un beau stylo à ma
femme : c'est son anniversaire ! - Oh, c'est bien, dit la vendeuse, vous vou-
lez lui faire une petite surprise... - Oh que oui, ce sera même une très grosse surprise : elle s'attend à recevoir une Pors-
che...
Qu'est ce qui fait 999 fois "TIC" et 1 fois "TOC" ?
- Un mille pattes avec une jambe
de bois.
Tu prends un fruit exotique, genre kiwi, et une vache. Tu prends les
deux, ça fait la vache kiwi...
Comment amuser une blonde toute une journée?
Il faut lui donner une feuille avec la phrase "retournez la feuille"
des deux cotés.
Donne-moi une couleur entre 0 et 10 :
- Mercredi ! - T'es bête c'est pas en Amérique !
Comment une blonde utilise-t-elle un éventail? Elle bouge la tête !
Comment on appelle-t-on un boomerang qui ne revient pas? Un bout de bois...
C'est l'histoire d'un type qui rentre dans un café....Plouf....
Comment appelle-t-on une chauve-souris qui a des cheveux ? Une souris.
JDR MAG - Mai 2013 15 [email protected]
JDR MAG - Mai 2013 16 [email protected]
JDR MAG - Mai 2013 17 [email protected]
« La scoop est pleine »
« Voila, encore un sujet à la Expresso, dur et
long à décrypter pour mon petit (voir inexis-
tant) cerveau.
Déjà ras-le-bol, à peine le festival commencé
qu’on a déjà du retard, la déco n’est pas faite
(et pas très réussie).
Et puis, euh, l’orga, la musique, c’est bon, aus-
si faut baisser. Non mais allô, quoi, vous m’en-
tendez même pas.
Baissez la musique ! Pensez à nos oreilles !
Non, en fait on est bien, limite on s’ennuie . Et
Mise en page : L.GARRIDO
JDR MAG - Mai 2013 18 [email protected]
La Bande-dessinée Japonaise (ou Manga) est de plus en plus répandue en France. D’abord re-mise dans le sens de lecture occidental, puis conservée à l’état « authentique » elle se déve-loppe petit à petit et apparaît dans nos librairies… Mais qu’est ce vraiment qu’un manga ?
Un principe de lecture diffé-rent Au Japon, la lecture se fait de droite à gauche. Autre-fois, les éditions Françaises remettaient les cases dans le « bon sens » (occidental) afin que le lecteur ne se sente pas perdu. Aujourd-’hui, ils ne le font plus, le manga reste à l’état « authentique ».
Comme dans nos ban-des-dessinées, les bulles des mangas sont très créa-tives, pour compenser l’ab-sence de son. Ainsi la forme de la bulle renseigne sur le ton, le volume, et l’identité du personnage. Elle ren-
yeux du lecteur.
On trouve fréquem-ment dans les man-gas « des découpa-ges d’action ». Ces actions nous amènent à avoir la sensation de réalisme que l’on peut éprouver devant un film ou un dessin animé. On retrouve également les « points de vue », les « cadrages » les « effets de perspecti-ves » ainsi que des « gros plans » utilisés dans les films. Ceci contribue à rendre l’histoire réaliste et interactive aux yeux du lecteur. Dans leur pays d’origine, les mangas parais-
sent dans des revues hebdoma-daires ou mensuelles, c’est pour cela que l’auteur doit tout le temps créer du suspense. Ici, les épisodes sont rassemblés en livres, c’est plus pratique.
Les origines du Manga
Parmis les sortes d’estampes Japonaises, l’une plus particu-lière (crée pour amuser le public Japonais) ressort petit-à-petit. Accompagné d’un peu de texte, le dessin de ce type d’estampes a néanmoins une grande impor-tance.
quinze rouleaux connus sous le nom d’ « Hokusaï Manga ». Le terme « manga » fut formé par ce peintre en assemblant deux caractères chinois et signifiant « image dérisoire ». Ses rou-leaux sont composés de 600 pages de croquis, rassemblés thématiquement, en 10 volu-mes. Ceux-ci étaient destinés à ses élèves, mais ils ont eu un grand succès et ils sont deve-nus un important objet de consommation au Japon. Hoku-sai était un très grand observa-teur : Il ne caricaturait pas comme dans les man-gas « d’aujourd’hui » mais utili-sait les moments comiques de la vie quotidienne.
Les types de manga
Suivant le public qu’ils visent, les mangas portent différents noms, il existe beaucoup de ty-pes de mangas, en voici les plus répandus :
Kodomo : manga pour les en-fants. Coups de cœur de la ré-daction : Inazuma Eleven et Yu-Gi-Oh.
Shojo : Plutôt destiné aux ado-lescentes. Coups de cœur de la rédaction : Kilari et Fruit Basket (au CDI)
Shonen : Destiné aux adoles-cents en général, ou aux gar-çons en particulier. Coups de cœur de la rédaction : Détective Conan et Fairy Tail.
Seinen : Manga visant surtout les jeunes adultes. Coups de cœur de la rédaction : Mad World et King’s Game.
JDR MAG - Mai 2013 19 [email protected]
dans les shonen)
Les onomatopées : comme dans les bandes-dessinées Européennes, les onomato-pées sont très présentes dans les mangas, et contribuent à accentuer le réalisme de la scène en créant des effets « sonores ».
Le « Super-déformé » : Le dessinateur dessine parfois le personnage de manière cari-caturale pour donner une tou-che d’humour dans l’histoire. Le « super déformé » ramène le personnage à l’état d’en-
Le dessin manga
Une des particularités du manga, est sa diversité dans le style de dessin. Lorsque nous ne lisons pas de mangas, nous avons souvent l’impression que les personnages sont identiques. Mais en réalité, nous retrouvons dans chaque auteur son propre style graphi-que. Malgré cela, tous obéis-sent à certaines « règles » par-ticulières à ce style :
De grands yeux : dans certains types de mangas, (et plus par-ticulièrement dans les Shojo) les personnages sont dessinés avec de très grands yeux. Ceux-ci transmettent les émo-tions des différents acteurs d’une scène.
Les traits de vitesse : ce code est utilisé pour la rapidité d’une action. Ce sont des traits qui guident notre œil dans la bonne direction. Nous retrou-vons ce type de traits principa-lement dans les scènes d’ac-tion, de batailles (et donc sou-
Les traits de honte
La goutte de gène : elle sert à exprimer l’embarras du personnage dans une situa-tion délicate, elle peut inter-venir lors d’excuses, d’expli-cations ou de discussions gênantes.
La veine de colère : ce code graphique est utilisé pour montrer l’énervement d’un personnage.
Voilà, vous savez tout –ou presque- sur les
mangas… Bonne lecture !
JDR MAG - Mai 2013 20 [email protected]
DOSSIER : ExPRESSo, le récit d'une expérience.
REPORTAGE:« Les pirates, à l'époque et aujour-
d'hui »
Mai 2013- N°18
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