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JDA Métropole Rokia Traoré Festival du jazz 2009 d’Amiens n° 515 - 11 mars 2009 Tickets sport Les 6-17 ans bougent gratuitement Zénith Décollage réussi pour la salle de 5800 places Rumigny La commune réduit l’ impôt des handicapés

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Rumigny Tickets sport Les 6-17 ans bougent gratuitement Zénith La commune réduit l’ impôt des handicapés Décollage réussi pour la salle de 5800 places n° 515 - 11 mars 2009

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JDA Métropole

Rokia TraoréFestival du jazz 2009 d’Amiens

n° 515 - 11 mars 2009

Tickets sportLes 6-17 ans bougentgratuitement

ZénithDécollage réussi pourla salle de 5800 places

RumignyLa commune réduit l’ impôt des handicapés

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La vie en Métropole• ENVIRONNEMENTLe tri à tout prix ……...........................p. 4-5

• AMÉNAGEMENTZAC Intercampus : bilan des concertations..........................p. 6

• ÉTOUVIEPlace au nouveau quartier..............p. 7

• DURYL’Aubergade étoilée…………………….....p. 9

• TOURISMES’évader malgré le handicap..............p. 9

Actifs ensemble• INITIATIVEUne ligne de vêtements pour la forme ……………………..........p. 10

Sports• TENNISJulie Coin : belle de match…………p. 11

Culture et loisirs• FESTIVAL D’AMIENS, MUSIQUESDE JAZZ ET D’AILLEURSInterview de Rokia Traoré…………....p. 12Omara Portuondo, une perle…….....p. 12

• CHANSON Alister vs Bénabar…………………………..p. 13

• ET AUSSIAgenda des sortiesProgramme des cinémas

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JOURNAL D’AMIENS MÉTROPOLE

BP 2720 - 80027 Amiens CEDEX Fax : 03 22 97 12 12 - http://www.amiens.fr • Direction de la publication : Annick Carbonnier • Rédaction en chef : Claire Moreau-Shirbon • Secrétariat de rédaction : Laurence Dubarle • Rédaction : Antoine Caux, Jean-Christophe Fouquet, Ingrid Lemaire et Lysiane Voisin• Maquette : Audrey Jamme• Photos : Sébastien Coquille et Laurent Rousselin • Ont collaboré à ce numéro : Coline Bergeon, Candice Cazé, Kaltoume Dourouri, Léandre Leber (photo) et David Monet • Conception graphique : Créa-Com Communication Créative• Impression : CirclePrinters, Mary-sur-Marne• Pour communiquer des informations au JDAInfos Métropole et Sports : 03 22 97 12 17Infos Amiens : 03 22 97 12 10Infos associations et culture : 03 22 97 12 14Infos Métropole : 03 22 97 12 19• Le JDA Métropole est une publication hebdomadaire de la Communauté d’agglomérations Amiens Métropole• Par mail et pour réagir à un article :initialedupré[email protected] • Si vous ne recevez pas le JDA, appelez le 03 22 97 40 40.

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La vie en MétropoleArrêts sur images

Ça sent le printemps

Il a fait beau dimanche. On s’est baladé dans les parcs ou sur lechemin de halage. Les plus courageux se sont démenés pournettoyer les jardins. Ici Les Jardins des vertueux, à Amiens, oùles bonnes volontés se sont succédé tout le week-end.

À vendre sur lebitume

Le premier marché amié-nois de voitures d’occasions’est tenu dimanche 15mars sur le parking de l’en-seigne Carrefour. Sur uneidée de futurs créateursd’entreprise, l’associationEnsemble a organisé cettegrande bourse à l’échangeoù plus de 150 voitures, du 4x 4 au cabriolet, ont été ex-posées. Rendez-vous de 8hà 13h tous les dimanches !

Une somme de rameurs

C’est sous un soleil radieux que sont déroulées les régatesd’aviron d’Amiens. Le 15 mars, de 9h à 17h, 28 courses onteu lieu entre Camon et le Sport Nautique Amiénois, quar-tier Saint-Leu. Cadets, minimes, seniors… En présence deGilles Demailly, le public a assisté à un véritable balletd’embarcations et d’avironistes venus essentiellement dePicardie. Sur la Somme : pas d’embouteillage ni d’accidentmalgré les 150 bateaux en course !

Patrimoine à ciel ouvert

Vision exceptionnelle : la charpente de l’hôtel de Berny mise à nu. Expertise,levée des voliges et nettoyage sont programmés. Fermé pour restaurationjusqu’en 2012, l’hôtel de Berny, construit au XVIIe siècle et légué avec ses collec-tions d’objets d’art à la ville en 1957 par Gérard de Berny, s’offre une cure de jou-vence. « C’est une étape exceptionnelle dans la rénovation de notre patrimoine »,insiste Alain David, vice-président d’Amiens Métropole, en charge de la culture.

Vertige de la mort

Le créateur de Gaby oud’Osez Joséphine est mortsamedi, à 61 ans. Depuis l’au-tomne 2007, Alain Bashungétait atteint d’un cancer dupoumon. Sa venue à Amiens,le 20 octobre dernier, avaitcomblé le public unanime dela Maison de la culture. Onrend un vibrant hommage augéant aux lunettes noires. Etbonne route pour ce Voyageen solitaire.

Gresset s’inviteau conseil

Jean Baptiste Louis Gresset,poète, a demandé de saverve qu’Amiens soit débap-tisée. Pour la nommer…Louisville ! Le motif ? Lahonte tombée sur cette villesuite à l’attentat manqué àla vie de Louis XV en 1757par Robert Damiens. Cettedemande fut bien sûr sanssuite. Ce morceau d’his-toire, ainsi que quelques au-tres, a été réinterprétédevant l’assemblée munici-pale le 12 mars par lesmembres de Lézard Déca-dent. Les participants auxateliers de création desconseils d’habitants avaient

2 • JDA Métropole • n° 516 • 18 mars 2009 photos : Sébastien Coquille, Jean-Marie Faucillon et Laurent Rousselin

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Le tri à tout prixParce que l’état de la planète en dépend, il y a urgence à ne plus faire n’importe quoi avec ses déchets. Mode d’emploi des bons gestes citoyens pas toujours évidents.

ENVIRONNEMENT

Mauvais élève. La boîte de conserve vabien dans le sac jaune ? La barquette deviande en polystyrène, je la mets dans lapoubelle classique ? Trier ses déchets relèvepour beaucoup de l’évidence. Mais la bonnevolonté se heurte parfois à la méconnais-sance des règles en la matière. Les Amié-nois font d’ailleurs figure de mauvais élèves.« Un foyer sur deux ne trie pas ses dé-chets », révèle Patrice Richard, chef du ser-vice collecte, tri et traitement des déchetsd’Amiens Métropole. Il faut dire que la pra-tique est récente. Lancée en 2001 et géné-ralisée à l’ensemble de l’agglomération en2005, la collecte sélective des déchets nes’est pas propagée telle une fièvre conta-

gieuse. Le réflexe n’est pas acquis. Et les fameux sacs jaunes distribués par la Métro-pole sont sortis dans les rues, par les Amié-nois, «n’importe quand et avec souvent pleind’erreurs », regrette Patrice Richard.

61 730 tonnes d’ordures résiduel -les par an. Aujourd’hui, la notion de déve-loppement durable est à la mode. Il faudraitconsommer vert et manger bio. Mais derrière tout discours moralisateur, il esturgent de diminuer l’impact des hommessur la planète qui déborde de déchets.

Le tri sélectif depuis 2004

Ne serait-ce que pour les 33 communesd’Amiens Métropole, 61 730 tonnes d’or-dures résiduelles ont été collectées en2008. Cela représente le poids de 3 000 ca-mions semi-remorques remplis. Soit unefile indienne de poids lourds longue de50 km ! C’est déjà mieux qu’en 2004, avant la généralisation du tri sélectif,époque où plus de 70 000 tonnes arrivaientà l’usine de méthanisation de la zone indus-trielle. Là-bas, un processus biologiquetransforme les déchets en biogaz qui sert

lui-même à alimenter l’usine en énergie. Ce gaz correspond à 13% de la valorisationtotale des déchets. Quelque 7 % sont, parailleurs, transformés en compost pourl’agriculture. « Nos ordures produisent6millions de m3 de méthane par an, énoncePatrice Richard. À partir d’avril, nous allonsl’utiliser pour fabriquer de l’électricitéverte. Pendant l’hiver, nous pourronschauffer la station d’épuration d’Am-bonne. » Mais ce processus de méthanisa-tion n’est pas magique. Entre 35 et 40 %des déchets partent encore s’enfouir en décharge. D’où l’importance, pour chacun,de diminuer le volume de ses poubelles.

Tout se transforme. «Rien ne se perd,rien ne se crée, tout se transforme», écrivaitle chimiste Antoine Lavoisier au XVIIIe siècle.Une maxime qui s’applique aussi aux dé-chets. Grâce au tri sélectif, les déchets sonten effet valorisés, c’est-à-dire qu’ils s’offrentune seconde vie. Et les cartons, les plas-

69 543 tonnes

C’est le poids total des déchets produitspar la Métropole amiénoise en 2008.

LE JOURNALDANS LA POUBELLESi les papiers journaux et magazinespeuvent toujours être apportés auxconteneurs appropriés dans les déchet-teries, ils peuvent tout aussi bien finirdans la poubelle ordinaire. Ils seront eneffet mis en valeur à l’usine de métha-nisation en produisant un biogaz richeen méthane.

La vie en Métropole

Dans la Métropole amiénoise, un foyer sur deux ne trie pas encore ses déchets. Le verre, les bouteilles… mais sans les bouchons, SVP.

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La vie en Métropole

tiques, redeviennent des cartons, des plas-tiques… En 2008, 2 064 tonnes d’emballagesont été collectées ainsi dans l’aggloméra-tion. Des chiffres encore timides puisquecela représente 8 kg de carton collectés paran et par habitant. « On pourrait en récupé-rer 18 kg », estime Patrice Richard. Idempour les plastiques : 3,4 kg sont captés paran et par habitant. « L’objectif de 6 kg esttout à fait réalisable ».

L’ennemi verre. Bouteilles, flacons etbocaux en verre finissent malheureuse-ment trop souvent par faire “gling-gling”dans la poubelle. Or, une bouteille de verrequi échoue dans les ordures résiduellesvient souiller l’usine de méthanisation. Etc’est d’autant plus dommage que le verreest recyclable à l’infini. Nos grands-parents l’avaient compris et pratiquaient le système de la bouteille consignée. Cetteépoque est révolue.

La pédagogie avant tout

En 2008, 4 255 tonnes de verres ont été ap-portées dans les conteneurs de la Métro-pole. Ce qui correspond à 24 kg par an et parhabitant. «À Amiens, cela ne représente que16 kg par an et par habitant, confie PatriceRichard. Mais dans certaines communes dela Métropole, on en récupère plus de 50 kg.C’est ce poids qui devrait être la norme. » Le directeur du service de collecte ne veut« stigmatiser personne ». L’heure est à la pédagogie. Les mentalités doivent chan-ger. Sinon, nos enfants nous accuseront de leur laisser une planète dans un sale état.

Antoine Caux

ET LE POT DE YAOURT ?

Doit-il finir dans la poubelle classiqueou le conteneur jaune, celui oùéchouent les emballages ? Qu’on se ledise, la bonne réponse est dans la pou-belle classique, tout comme les pots de crème fraîche et les barquettes en polystyrène. à condition bien sûr que le pot ne soit pas en verre…

PILE, JE TRIELes jeter négligemment dans la poubelleest tentant. Mais les piles électriquescontiennent des composés chimiquesqui polluent l’air, le sol et l’eau. Il fautgarder ses piles usagées et les déposerchez les commerçants dans des boîtesconçues à cet effet.

LES DÉCHETTERIESPRÈS DE CHEZ VOUSDéchetterie nord (chemin de Vauvoix),Déchetterie sud (route de Saint-Fuscien),Déchetterie est (ZAC Blanche Tâche).

* Encombrants

* Néons, lampes spéciales

* Petit électroménager

* Solvants, acides

* Déchets verts comme les thuyas

LES EMBALLAGES VONT DANS LES SACS JAUNESOU LES CONTENEURS JAUNES

* Boîtes de conserves, canettes de bois-son en aluminium, aérosols non dange-reux et barquettes en aluminium.

• Barquettes de polystyrène, pots deyaourt, de crème fraîche.

• Films et sachets plastiques.

• Papiers journaux, magazines.

* Bouteilles transparentes, de lait,d’adoucissant, de liquide vaisselle, dejavel, de lessive, de shampooing…

* Briques alimentaires, cartons (gâteaux,céréales, lessives…), emballages de sucreet de farine.

LES ORDURES RÉSIDUELLESVONT, COMME LES DÉCHETS MÉNAGERS, ORDURES, ETC.DANS LA POUBELLE CLASSIQUE

Où mettre quoi ?

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La vie en Métropole

Le centre de loisirs change d’adresseDepuis février, les enfants ont découvert un autre lieu pour se dépenser. Place aux jeux.

SAINT-MAURICE

ZAC Intercampus :bilan des concertationsIntercampus, nom provisoire de la ZAC programmée au sud-ouest d’Amiens, se profile : le premiertemps de concertation avec les habitants vient de s’achever. Voici ce qu’il en est ressorti.

AMÉNAGEMENT

C’est dans un logement de fonction réhabilité que les enfants de Saint-Mau-rice ont retrouvé, fin février, les jeux deleur centre de loisirs. Situé à proximitédes établissements scolaires, il plaît aux petits qui ont déjà oublié les anciens locaux. « Après l’école, ils sont moins fatigués par le trajet et heureux d’avoirdavantage d’espace pour se dépenser

dehors, indique la directrice, Marie-Françoise Laclautre ». Maryse Petit, chefde pôle animation, confirme : « Il fallaitquitter l’ancien lieu dégradé par le tempset les incivilités du secteur ». 304 000 €de travaux ont permis d’accueillir les en-fants de 4 à 12 ans dans de bonnesconditions. Ils sont une quinzaine à veniraprès l’école et 35 le mercredi. Une

cinquantaine d’entre eux y passe ses vacances. Des animations sur le dévelop-pement durable, la sécurité routière et lapeinture de Claude Monet sont prévuesdans ce centre, seule structure municipale du quartier. L. V.

Centre de loisirs Saint-Maurice58, rue Turgot, 03 22 48 37 85

Près de 80 hectares. Entre 5 000 et 7 000habitants. Un projet d’envergure. Les fidèles des ateliers de réflexion autour dela future ZAC Intercampus prévue ausud-ouest d’Amiens se sont retrouvésmercredi 11 mars pour la synthèse de débats entamés le 21 janvier dernier.« L’idée d’un écoquartier fait consensus,a constaté Valérie Wadlow, adjointe aumaire d’Amiens déléguée à l’urbanisme.Constamment à votre écoute, nous avonsredéfini nos objectifs tout en conservant

notre orientation politique : nous souhai-tons plus de verdure, davantage de den-sité, et de la mixité sociale dans chaqueîlot. » La circulation sera limitée à 30 km/h, on jouira de 14 ha de jardins, ily aura la moitié de logements aidés surles 2 380 qui sont prévus, la densité serade 30 logements à l’hectare*, les immeu-bles ne dépasseront pas quatre étages,on trouvera des jardins privatifs d’environ200 m2, et les logements auront unemoyenne de 1,5 place de parking en

sous-sol. Enfin, 15 000 m2 d’équipementspublics sont prévus. Voilà les nouveauxrepères de cette ZAC que desservira lefutur TCSP (transport en commun en sitepropre). Le dossier de création devraitêtre déposé en préfecture en juillet prochain, avant une nouvelle vague de débats publics.

Jean-Christophe Fouquet(*) Dans le centre-ville d’Amiens, la densité est de 68 logements à l’hectare.

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Place au nouveau quartierLa rénovation urbaine prend forme à Étouvie, ce quartier d’un peu plus de 8 000 habitants à l’ouest d’Amiens. Après des années consacrées aux études, les travaux commencent. On démarre par les écoles avec le réaménagement des Saules.

ÉTOUVIE

Les élèves de la maternelleLes Saules ont de nouveauconnu une rentrée desclasses lundi 9 mars. Accom-pagnés de leurs parents, 125 petits de 2 ans 1/2 à 6 ans ont quitté leur ancienneécole pour rejoindre des locaux provisoires derrière legymnase, à deux minutes àpied. L’événement marque le début des travaux de ré-aménagement des groupesscolaires. Étouvie se trouve en pleine rénovation urbaine.L’école Georges-Brassenssera aussi réhabilitée, lechantier débute en avril. D’autres préfabriqués pren-dront place dans la cour pourdeux ans. Les locaux des deuxétablissements seront agran-dis et le restaurant scolairereconstruit dans le nouveaubâtiment A de Georges-Bras-sens. L’ensemble des travauxde ces deux établissementsprendra fin en avril 2011.

26 millions d’eurosd’investissementsAu programme également dece vaste projet : la création dedeux groupes scolaires. L’éta-blissement Lorraine-Morvanse situera entre la rue de Lorraine et celle du Morvan, le long de l’avenue de Bour-gogne. Elle réunira lesclasses primaires d’Étouvie Bet les maternelles Les Arches

La vie en Métropole

à la rentrée 2011. Une autreécole près des bords de laSomme sera implantée ave-nue du Languedoc. Elle com-prendra l’école maternelle LesMosaïques et les classes élé-mentaires de Jacques-Brel. La rentrée aura lieu en 2013.Trois bâtiments sont promis à la démolition : l’école ronde– où sont actuellement instal-lées Étouvie B et Jacques-Brel –, ainsi que celles desArches et des Mosaïques. Au second semestre 2013, 400 élèves auront donc quittéles lieux. Près de 26 millionsd’euros sont consacrés à ceprojet. Grâce à ces travaux,sans équivalent à Amiens, les écoles seront mieux répar-ties dans le quartier.

Lysiane Voisin

Place du Béarn, les habitantsdes immeubles de la SIP peu-vent désormais dormir tran-quilles. Un grillage souple de2,50 mètres de haut remplaceraprochainement la clôture mé-tallique du terrain multisportcar les riverains sont souvent

gênés par le bruit des ballons.Un muret en rondins de boisde 1 mètre de haut installé derrière les buts compléteral’ensemble. L’aménagementprotégera aussi les passantsdes tirs manqués. Coût des travaux : 4 500 €.

Le 17 décembre, Étienne Des-jonquères et Serge Raïs, ad-joints chargés de la démocratielocale et de la voirie faisaientle point sur la circulation et le stationnement. Plusieurs dé-cisions ont été prises. RueJules-Vallès, un créneau decroisement sera créé au niveaudes arrêts de bus pour faciliterleur passage. En effet, de plusen plus de voitures se garentdans cette rue étroite. En supprimant trois places de par-king près des arrêts, les techni-ciens vont pouvoir élargir larue de 60 centimètres sur 55mètres, en avril. Un passagepiéton est également prévu àcet endroit. Il faut aussi noterqu’un “arrêt en ligne” sera réa-

lisé et que les deux quais seront accessibles aux per-sonnes à mobilité réduite.C’est-à-dire que les usagers des-cendront du bus sur le trottoiret non plus sur la route. Lestravaux s’élèvent à 34 000 €.En outre, rue Georges-Qua-rante, plusieurs dispositionsdevraient permettre de mettrefin au stationnement anar-chique constaté au pied desimmeubles et devant la crèche.Dès avril, un marquage autori-sera le stationnement desdeux côtés de la voie. Seizenouvelles places sont ainsicréées. Le passage piéton severra sécurisé par l’élargisse-ment du trottoir côté crècheainsi que par une signalisation lumineuse. Coût des travaux :70 000,00 €.

DES RUES SÉCURISÉES

TROIS CHIFFRES

26 millions d’euros. C’est lebudget consacré à la nou-velle implantation des écolesà Étouvie. Ce projet com-prend des travaux d’exten-sion, de rénovation, deconstruction et de démoli-

tion. L’éducation représenteun poste important du bud-get de la municipalité. Envi-ron 60 millions d’euros sontnécessaires pour les travauxd’entretien des écoles àAmiens. 35 millions seront investis durant le mandat.

Lundi 9 mars, jour du début des travaux, les 125 élèves de l’école maternelle Les Saules, accompagnés de leurs parents, ont rejoint des locaux provisoires.

DES BALLONS SANS LE SON

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La vie en Métropole

• La concertationse poursuit. Gilles Demailly et ses adjointsinvitent les habitants à s’expri-mer sur l’avenir de la ville. Surles transports en commun, le cadre de vie et les équipe-ments publics, la constructionde logements, etc.• “Balade urbaine” route d’Ab-beville sur le projet de créationd’une voie réservée aux bus.Le 21 mars, 9h, rendez-vous à l’angle de la rue de la Com-mune de Paris et de la routed’Abbeville.• “Rendez-vous sur la ligne 6”d’autobus, pour améliorer ladesserte des quartiers.Le 24 mars, 17h03, gare duNord (quai F). Réunion publiqueà 17h30, à l’école Châteaudun(131, bd de Châteaudun).• Réunion d’urbanisme. Projetde construction d’une dizainede logements par un promo-teur privé rue Cordier.Le 24 mars, 18h, salle Cordier,rue Cordier.• Rencontre-débat. Quel amé-nagement des espaces publicsà Marivaux ?Le 31 mars, 18h, salle Mari-vaux, rue Marivaux.

• Le rôle du maireDéveloppement des com -munautés de communes, décentralisation… Autantd’éléments qui modifient lerôle du maire. Vendredi20 mars, à 14h, une confé-rence permettra de faire lepoint au pôle cathédrale del’université. Sont invités GillesDemailly, maire d’Amiens etprésident d’Amiens Métro-pole, Nicolas Dumont, maired’Abbeville, Alain Babaut,maire de Corbie, Benoît Mercuzot, maire de Dury et Mathieu Doyer, maire de Bus-sus-Bussuel.

•À bord, moussaillonsLa marine nationale se dévoilele 28 mars à partir de 13h (23-25, rue Jules-Barni). Ren-contres avec des marins, chatavec le porte-avions Charlesde Gaulle et projection d’unfilm sur la dernière mission du

bâtiment Somme sont au pro-gramme de cette journée.Chaque année, 3 500 jeunesrejoignent la marine. Enga-gez-vous, qu’ils disaient !03 22 22 30 [email protected]

•Des emplois malgré la criseLe 16 mars, Gilles Demailly a rencontré Thibault Gautier,directeur de l’entreprise Lo-gica installée dans la zone industrielle nord. Spécialiséedans la maintenance des sys-tèmes d’information, Logicaemploie 240 personnes àAmiens. GDF-Suez, EDF, Totalet plusieurs sociétés cotées au CAC 40 figurent parmi ses clients. Lesquels économi-sent sur leurs coûts de fonc-tionnement en lui confiantleurs services informatiques.Constatant que le phénomènes’étend à de nombreux sec-teurs d’activités, Thibault Gau-tier prévoit l’embauche de 150 salariés dans quatre ans.Cet été, Logica devrait s’im-planter dans des locaux plusvastes de la Zac Gare-la Vallée.

• Visites industriellesC’est sur le thème de l’innova-tion que les entreprises ou-vrent leurs portes au publiclors du Printemps de l’indus-trie jusqu’au 22 mars. À cetteoccasion, on s’immisce dansles laboratoires de recherche,les PME et les grands groupesindustriels à la découverte des savoir-faire. Expositions et conférences sont aussi auprogramme. 0 800 02 60 80www.printemps-industrie.picardie.fr

• Qu’en pensez-vous ?Pour mieux stationner àAmiens, l’Union des comitésde quartier a réalisé un ques-tionnaire destiné à tous les habitants. Téléchargeable surwww.ucq-amiens.org, il per-met de recueillir l’avis de toussur les modes de déplace-ments en ville. 06 14 29 08 98

• LotoÇa peut rapporter gros le22 mars, dès 14h. Loto quineavec l’association Avenir deBertangles à la salle polyva-lente. Ordinateur et DVD porta-bles sont à gagner.

• Découvertede la forêtAh la forêt de Creuse ! Son his-toire, sa faune, sa flore n’aurontplus de secret après la visite du28 mars. Jeux sensoriels surles arbres, prélèvements de sol,enregistrement des chantsd’oiseaux. Ça promet de bellesdécouvertes. Rendez-vous surle parking à 14h.

• Concertcontre le cancerC’est à l’église de Dreuil, samedi 21 mars, à 20h avec la Fanfare locale et la Choraled’Étouvie Coup de chœur. Entrée Gratuite.

• Marché des 4 saisonsApiculteur, boulanger, maraî-cher et fromager vous attendentdimanche 22mars, de 9h à 13h,pour le marché des quatre saisons à la salle communale.03 22 42 75 96

• Sur les tracesdes ThracesIl reste encore quelques placespour voyager au pays desThraces en Bulgarie du 22 au 31août avec le comité de jumelageeuropéen. D’autres voyagessont d’ores et déjà prévus : Jura(du 9 au 12 octobre) ou Venise(du 9 au 12 février 2010).03 22 46 67 36

AMIENS

BERTANGLES

CREUSE

DREUIL-LÈS-AMIENS

HÉBÉCOURT

LONGUEAU

NAISSANCES Avocefohoun Maël • Bah Maryame • BaillonMatis, Pont-De-Metz • Boily Dylan • Bouchart Maxence • Bru-net Anaïs • Brusselle Emelyne, Longueau • Carpentier-MinotHinolya • Chemlali Imane • Conseil Mathis • DelamareEmma • Delmarcelle Stella • Désanglois Louise • Despres Lili• Dobel Léa, Camon • Edouard Léa • Escat Laura • FelicesThomas • Gambier Tom, Dury • Gambier-Grenon Emma •Gazel Azelya • Gillion Pierre • Gosselin Louise • Greuet Chloé• Guerraud-Coquerel Aurélia • Haution Emilien • IdrissiTamma • Lemaire César • Leroux Esteban • Levieux-CoisneLily • Locht Macha • Loire Mathias • Mahraz Amine • Mar-chant Thibault • Marguerie Gabriel • Metay Bastien • MétroLilian • Namotte Clarisse, Vers-Sur-Selle • Rassemusse Lou •Siloret Lilou • Tartare Noah • Tellier Juliette • Terlon-MilleLiam • Wallet Blandine • Yayilkan Elif.

MARIAGES Goudezeune Thierry et Dabonneville Caroline •Odiot Thomas et Poret Tiffany • Zerari Abdelhak et El IdrissiMimoute.

DÉCÈS Abadie Alain, 63 ans • Adamy Denise, veuve Collier, 86 ans • Blangy Odette, épouse Duquenne • Bource Jean, 80 ans • Breton Georges, 87 ans • Bulthé Thérèse, veuve Laruelle • Chiraux Claude, 62 ans • Doutriaux Gisèle, épouseCoquet, 84 ans • Fournet Pierre, 48 ans • Grégoire Gisèle, veuveTual • Lecomte Thérèse, veuve Seret, 80 ans • Lenglet Michel,85 ans, Glisy • MorvillerS Suzanne, veuve Bizet, 84 ans • Mouton Guy, 66 ans • Villers Violette, 62 ans.

> ÉTAT CIVIL

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La vie en Métropole

L’Aubergade étoiléeLa centième édition du Guide Michelin récompense L’Aubergade.Éric Boutté, propriétaire et chef cuisinier conserve son étoile.

DURY

S’évadermalgré le handicapLes 21 et 22 mars, coup de projecteur sur les sites labellisés Tourisme et Handicap qui mettent le territoire, la culture et le sport à la portée de tous.

TOURISME

Il collectionne le fameux livre rouge depuistoujours. Bien avant même d’oser rêver yfigurer. Éric Boutté, chef cuisinier et pro-priétaire de L’Aubergade à Dury conservepour la cinquième année consécutive sonétoile au Guide Michelin. L’édition des 100 ans a déjà rejoint l’étagère consacréeau « bel objet ». « L’étoile, ce n’est pas unaboutissement mais la récompense d’untravail quotidien. Mon objectif n’est pasd’atteindre absolument la deuxième étoile.J’avance progressivement », commente lechef. À la tête d’une équipe de neuf sala-riés, il préfère éviter « les coups d’éclats »,forcément difficiles à répéter tous les jours.Pour autant, le restaurant affiche un chiffred’affaires de 500 000 € et soigne sesclients. Formé au lycée hôtelier Saint-Mar-tin à Amiens et auprès de maîtres tels JoëlRobuchon, Éric Boutté propose à ses 30 hôtes une carte fondée sur la qualité desproduits. « À mon arrivée à Dury, en 2002, j’ai mis à l’honneur le chou farci. C’est unsuccès, j’en ai vendu 7 600 depuis l’ouver-ture », précise-il. Un plat qui côtoie néan-moins les escargots, le fois gras de canardpoêlé ou le chocolat grand cru dans lesmenus à 39, 55 ou 75 €. Quel que soit leprix, ils sont assortis de mignardises :pâtes de fruits, sablés à la pistache, maca-rons ou guimauves. Le chef tient à satis-

faire tous les clients, les habitués et ceuxqui viennent pour les grandes occasions.

Lysiane Voisin

L’Aubergade, 03 22 89 51 41

LA RECETTE D’ ÉRIC BOUTTÉ

FILETS DE MAQUEREAUXSUR RADIS BLANCS

Pour 4 personnes4 filets de maquereaux ½ bulbe de fenouilPour la marinade : 1 radis blanc (daïkon)1 c. à soupe de gingembre haché2 gousses d’ail émincé 2 c. à soupe de sauce soja 2 jus de citron vert6 cl d’huile de sésame

Mélanger dans un saladier les ingrédientsde la marinade. Couper en tranches leradis et mélanger à la marinade. Laisserreposer au moins 2 h. Préchauffer le fourà 180 °C. Enlever les arêtes des maque-reaux, badigeonner d’huile d’olive et cuire2 min au four. Disposer dans les assiettesles rondelles de radis, poser dessus les filets de maquereaux. Terminer par de laroquette. Disposer des copeaux de fenouilcru. Arroser d’un trait de vinaigrette àl’huile d’olive et saupoudrer de coriandre.

Il collectionne chaque édition du livrerouge. Une fierté pour Éric Boutté .

La loi est formelle : « Toute installation re-cevant du public doit être accessible auxpersonnes handicapées * ». Et s’il reste en-core beaucoup de chemin à faire, certainséquipements respectent cet engagement.C’est le cas du sentier de promenade del’étang Saint-Ladre à Boves. Adapté au pas-sage d’un fauteuil roulant, le lieu a reçu lelabel Tourisme et Handicap. Ce label natio-nal mis en place par la région avec l’appuide l’office de tourisme d’Amiens Métropole

certifie l’accessibilité et l’adaptation au han-dicap. Qu’il soit moteur, visuel, auditif oumental. Ainsi, le 21 mars à 15h, un inter-prète en langage des signes accompagne le guide qui mène la visite du vieil Amiens.Programme sur picardietourisme.com

Antoine Caux

(*) Article R111-18-1 du code de l’habitation et de la construction.

DANS LES PARAGES* Amiens : • visite du vieil Amiens samedi 21 mars, à 15h, accessible auxmalentendants.

• Visite de l’hôtel de ville le 22 mars, à 11h, accessible à tous les publics.

• Visite de la cathédrale dimanche22 mars, à 15h, accessible à tous les pu-blics.

03 22 71 60 50

* Boves : sentier de promenade à l’étangSaint-Ladre

Le samedi après-midi, démonstration et initiation au tir à la sarbacane.

03 22 89 63 96

* Conty : balade en calèche au centreéquestre

03 22 41 23 31

* Glisy : baptêmes de l’air à l’aéroclubde Picardie

03 22 38 10 70

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10 • JDA Métropole • n° 516 • 18 mars 2009

INITIATIVE

Une ligne pour la formeEntre deux cours de sa formation en BEP vente, Ouissam, Amiénois de 21 ans, crée Hattab 1949,une ligne de vêtements très tendance pour jeunes et sportifs.

Il met toutes les chances deson côté. Après avoir obtenu unCAP et un BEP en carrosserie,ainsi qu’un BEP en peinture,Ouissam Hattab, jeune Amié-nois du quartier nord d’Amiens,suit actuellement une forma-tion pour un BEP en vente.Pourquoi ce changement decap ? « Pour pouvoir lancer maligne tout en ayant une roue desecours », explique-t-il. Car leprojet d’Ouissam est de déve-lopper sa marque de vête-ments, Hattab 1949. Au départ,elle s’appelait Doudou 1949.Mais cela évoquait la marqued’une autre société. Ouissam adonc planché sur un nouveaunom, tout en gardant à l’espritson objectif premier : rendrehommage à son père. Un an-cien boxeur décédé alorsqu’Ouissam, qui, lui aussi, aconnu une brève carrière dansle noble art, remportait un

combat. Ce choc a éloigné lejeune homme du milieu sportif :« Je ne me voyais pas continuersans lui ». Doudou était le sur-nom du papa. 1949 sa date denaissance. Le Hattab 1949 cou-lait donc de source. « J’ai re-vendu ma Playstation et monportable pour démarrer monactivité. Je n’avais pas un sou. »Avec des amis, Ouissam a crééson logo et les dessins de sesprototypes, T-shirts, polos, etc.Si ceux-ci s’avèrent pour l’ins-tant très sobres, le jeune créa-teur a déjà mille idées pour lasuite, une fois son statut d’indé-pendant en poche. « Je me ré-veille le matin avec un dessin entête », détaille-t-il. Les pre-miers exemplaires de la lignede vêtements d’Ouissam sontvisibles dans le magasin Exclu-sif, ouvert il y a un an et demipar son ami Djamel Abid enplein centre-ville, rue de Metz-

Patrice. On lui souhaite un suc-cès similaire à celui de Moha-med Dia, son modèle, dont lesvêtements, Dia collection, se re-trouvent aujourd’hui en contratavec… la NBA, la prestigieuse

National basketball associationaméricaine.

Jean-Christophe Fouquet

hattab1949.skyrock.com

Actifs ensemble

Ouissam, ancien boxeur, lance sa ligne de vêtements. T-shirts et polos sont visibles au magasin Exclusif, rue de Metz-Patrice.

�Vie citoyenne• Vous êtes étudiant, retraité,actif ou demandeur d’emploi et vous avez du temps libre ?L’antenne locale de France bénévolat organise une boursedu bénévolat, mardi 24mars, de10h à 17h, à l’espace Dewailly(12, rue Frédéric-Petit). Le but ?Faire découvrir les missionsproposées par une soixantained’associations dans tous les domaines : médical, culturel,sportif, solidaire, etc.03 22 80 13 31

�Santé• À partir du 20 mars ,la Nou-velle association française dessclérosés en plaque proposedes séances gratuites d’aqua-gym, les vendredis, de 15h45 à 17h, au Coliseum. L’associa-tion tient également des per-manences d’information, lepremier jeudi de chaque mois,à la Maison départementale

des personnes handicapées (1, bd du Port).03 22 46 49 22 / 03 22 72 12 29

�Danse• Un stage de danse countrytous niveaux, organisé par laMaison pour tous de Boves, sedéroule dimanche 22 mars, de10h à 12h, à la salle polyva-lente de l’école primaire deBoves. Tarif : 10 €.06 81 83 44 79

�Sorties• Pour financer des par -rainages scolaires à Ayos auCameroun, un atelier d’ap-prentissage pour les jeunesdes favelas à São Paulo auBrésil et un centre commu-nautaire à Formosa en Argen-tine, l’association Enfantespoir et vie propose une exposition-vente de tableauxjusqu’au dimanche 22 mars. 03 22 38 10 84 / 03 22 09 30 67

• Femmes solidaires présentel’exposition Femmes créa-trices, les 28 et 29 mars, de10h à 19h, dans la salle duCreps (square Friant, avenueFoy). 40 artistes sont invitées.Un concours sur le thème LesFemmes et Le Travail et desexpositions telles que Por-traits d’elles de Femmes soli-daires, Des visages, desmétiers du photographe YazidMedmoun et Les Mains de

femmes de Mourad Laffittesont au rendez-vous.03 60 10 55 49

�Arts visuels • On découvre la techniquedu pastel grâce à l’Atelierpeinture de Pont-de-Metz.Rendez-vous les vendredis 27mars, 10 et 17 avril, de 18h à20h, au 7, rue de l’Eau.03 22 45 11 93 / 03 22 95 56 36

JDA Métropole • n° 516 • 18 mars 2009 • 11

Sports

Piscine du Coliseum03 22 71 12 12Jeudi 19 8h-20hVendredi 20 8h-21h Samedi 21 8h-18hDimanche 22 9h-13h,14h-17hLundi 23 12h-20hMardi 24 8h-21hMercredi 25 8h-20h

Piscine Le Nautilus 03 22 44 44 66Jeudi 19 7h30-8h45, 12h-13h30Vendredi 20 7h30-8h45, 17h-19h15 Samedi 21 10h-12h15, 14h30-17h15Dimanche 22 9h-12h15, 14h-17h15Lundi 23 FerméeMardi 24 7h30-8h45, 12h-13h30, 17h-19h15Mercredi 25 8h30-11h45, 14h30-19h15

Piscine Vallerey 03 22 22 24 60 Jeudi 19 7h45-9h10Vendredi 20 7h45- 9h10, 17h-19h45Samedi 21 9h45-11h45, 13h45, 17h45Dimanche 22 8h45-12h45Lundi 23 17h-19h45Mardi 24 7h45- 9h10, 17h-19h45Mercredi 25 7h45, 19h45

Patinoires du Coliseum03 22 71 12 12Jeudi 19 14h-16h, 20h30-23hVendredi 20 14h-16h, 20h30-23hSamedi 21 14h-17hDimanche 22 10h-12h, 14h-17h Lundi 23 14h-16h Mardi 24 14h-16hMercredi 25 14h-17h

TENNIS

Le tournoi international de tennis féminin bat son plein sur la terre battue de l’AAC. Julie Coin, 69e joueuse mondiale et 14e française, y est toujours licenciée. Cette star de 25 ans garde un œil attentif sur son club.

Belle de match

JDA : Que représente le tour-noi organisé par l’AAC dans lacarrière d’une joueuse inter-nationale ?J. C. : C’est avant tout le moyende prendre les premiers pointsWTA (Women’s Tennis Associa-tion) pour gagner des placesdans le classement. Non seule-ment c’est bien de remporterun tournoi de cette ampleurmais en plus c’est de bon au-gure pour la suite des compé -titions. J’ai déjà participé àplusieurs tournois organiséspar l’AAC. En autres, en 2002,avant de partir étudier auxÉtats-Unis à l'université deClemson en Caroline du Sud età mon retour en 2005 où j’aitenté ma chance chez les pro-fessionnelles.

JDA : Quelle est l’ambiance àl’AAC durant ce tournoi inter-national féminin ?

Au deuxième tour de l’US Open2008, Julie Coin a sorti laAu deuxième tour de l’US Open2008, Julie Coin a sorti la numéro 1 mondiale, Ana Ivanovic.

HOCKEY SUR GLACE

Les hockeyeurs amiénois n’ont pas été plus loin que les quarts de finale enplayoffs. La saison s’arrête sur un nouvel échec contre Angers, leur bête noire.

Game overpour les Gothiques

Les Gothiques peuvent désor-mais penser aux vacances. Unechose est sûre, ils n’iront pasles passer en Anjou. Une terre,ou plutôt une glace, qui ne leura décidément pas réussi cetteannée. Et pour cause : c’est àAngers que le parcours desAmiénois en Coupe de Frances’est achevé en novembre. Lamême semaine, c’est à An-gers, encore, que l’ambitiond’une victoire en Coupe de laLigue s’est évanouie. Et c’est àAngers, toujours, que le chapi-

tre de la saison 2008/2009 s’estdéfinitivement refermé aprèsune ultime défaite (7 à 3) le 10 mars en quarts de finale dela dernière phase de LigueMagnus. Les roses gothiquesn’étaient donc pas immuniséscontre les orties angevines. Qui privent de glace les supporters amiénois jusqu’à la reprise du championnat enseptembre prochain. Le tempsva sembler long.

Antoine Caux. La saison des Gothiques s’est achevée le 10 mars.

J. C. : Je suis issue de ce club,alors jouer devant son publicest très agréable. Je connaisparfaitement les terrains etcette terre battue. D’ailleurs, jesuis toujours licenciée de l’AAC.J’ai commencé à 13 ans. Je m’ysens bien et je m’entraîne là-bas quand je veux.

JDA : Où en est votre carrière ?J. C. : Je me suis blessée aumollet au tournoi d’Indian Wellsaux États-Unis où je me trouveactuellement. Une fois bien remise, je participerai à celui deMiami, dans une semaine, avantceux de Marbella et de Barce-lone. Le tennis est ma passion,mon métier, ma vie depuis l’âgede 6 ans. Mon objectif est d’êtredans le top 50 d’ici cinq ans, simon corps tient encore.

Propos recueillispar Kaltoume Dourouri

11e Tournoi international féminin de tennisJusqu’au 22 mars AAC : 03 22 95 38 36Entrée libre

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12 • JDA Métropole • n° 516 • 18 mars 2009

Loisirs & culture

Moment de grâce

Fanfare festive Omara Portuondo,une perle

Rokia Traoré vient de remporter une Victoire de la musique avec Tchamantché,disque au son radicalement nouveau : plus blues, plus folk, plus moderne. Troisquestions à la grande artiste amiénoise d’origine malienne, à la voix de velours.

JDA : Votre dernier album,Tchamantché constitue untournant dans votre carrière.Qu’est-ce qui vous fait pren-dre cette nouvelle directionartistique ? Rokia Traoré : Durant ces dixdernières années, j’ai adorécomposer mes albums avecles instruments traditionnelsd’Afrique de l’Ouest, comme lebalafon, le n’goni ou le kari-gnan. Je me suis vraiment faitplaisir. J’ai vécu des expé-riences incroyables, mais çane m’attirait plus.

JDA : Vous parlez la languebambara dans la majorité devos textes. Quels sont les sen-timents que vous y exprimez ?

Le Jungle Street Band est lebrass band festif et déjanté, dirigé par Cédric Coupez, avecdes musiciens de tout âge issus des écoles de musiqued’Amiens Métropole. On se régalera de l’entendre, dèsjeudi 19 au Gaumont à 21h, àl’occasion de deux projections,Mamma mia en version ka-raoké et On connaît la chanson.Samedi 21, la troupe de cuivresdéambulera à partir de 16h30,au départ de la tour Perretjusqu’à l’hôtel de ville. Di-manche 22, ils seront au Coliseum à 10h30. Et enfin, ilsseront le 25 mars à 19h sur leparvis de la Maison de la

culture pour inaugurer en fan-fare ce premier jour de festival.Envie de bouger garantie. D. M.

R. K. : Je parle de l’Afrique, et,entre autres, de l’immigration.“Tounka Mani” signifie quel’exode n’est pas une solution. Jeveux montrer que les Africainsne partent pas pour le plaisir dequitter leur continent. L’Afriquea une histoire difficile. Depuis lecontact avec l’Occident, elle n’aplus été maître de son destin.

JDA : Vous avez participé en2005 au spectacle Billie andMe, hommage à la grande Bil-lie Holiday. Aujourd’hui, vousreprenez l’une de ses chan-sons, The Man I Love. Quel estvotre attachement à cettegrande dame du jazz ?R. K. : J’y suis attachée pour lamême raison que la majorité

des gens qui aiment et écou-tent du jazz, ou du blues.J’aime son histoire, sa person-nalité. Je ressens encore enl’écoutant cette mélancolie,cette grande émotion qu’ellepartageait. Pour moi, elle re-présente la sincérité, l’ins-tinct. Reprendre cettechanson, c’était une manièrede me sentir dans sa peau…

Propos recueillis parDavid Monet

Festival d’Amiens musiquesde jazz et d’ailleursDu 12 au 29 mars Soirée d’inaugurationMercredi 25 marsNew Dreams, 23h30

Un parcours uniquepour l’enfant chérie du festivalqui écrit, compose et chante.

Irrésistible. Swinguante etcharmeuse en diable, Omara àAmiens, c’est un événement !Souvenez-vous, elle est la seulefemme du fameux Buena VistaSocial Club, cette aventure mu-sicale des meilleurs musicienscubains qui a, en 1996, relancéles rythmes de La Havane surtoute la planète. Vous avez for-cément en tête la voix d’or et lesourire d’Omara Portuondo.Cette perle de chanteuse, néeen 1930 accompagne la vie desCubains depuis 1959, date dusuccès de son premier albumsolo. Omara susurre le boléro à

vous fendre l’âme, transformele moindre son ou standard dejazz en morceau de bravoure.Son tout dernier album Flor deamor s’écoute en boucle tant il

Festival d’Amiens, musiques de jazz Du groove d’Amadou & Mariam, au jazz contemporain de Brad Mehldau, en passant par les accentsfolk acidulés de Peter Von Poehl, jusqu’aux folies électroniques de South Central, le Festival seveut toujours plus « d’ailleurs ». Le thème de cette année ? La reprise de standards. Las OndasMarteles passent à la moulinette le répertoire rockabilly ou Misja Fitzgerald-Michel fait la partbelle à Nick Drake. Une 28e édition, pour toutes les couleurs, plein les oreilles, plein les yeux…

JDA Métropole • n° 516 • 18 mars 2009 • 13

Culture & loisirs

Bénabar vs Alister :le mauvais garçoncontre le gendre idéalL’un est rasé de près et remplit des Zéniths. Cheveux longs et barbe pour le compère qui fréquente plutôt les salles underground.Bénabar et Alister sont à Amiens, respectivement les 24 et 21 mars.Décryptage croisé de deux phénomènes de la chanson française.

Duel

BÉNABARSon tube : Le DînerTout le monde a entendu On commanderades pizzas, toi, la télé et moi… extrait du titre Le Dîner. En 2007, cette chansonest sacrée aux Victoires de la musique et Bénabar remporte celle de l’artiste del’année.

Ses détracteurs disent qu’il chante uneFrance de trentenaires nostalgiques etbien pensants. Ses fans applaudissentses prestations scéniques. Ils ont été750 000 pour sa dernière tournée.

Bénabar, 40 ans, se plaît à être monsieurtout le monde. Et c’est cela qui le rend si po-pulaire. À l’instar de son dernier opus, In-fréquentable, ses chansons fluctuent entreenjeux planétaires et tracas du quotidien.

Le 24 mars au Zénith d’Amiens, 20h.De 30 à 40 €

Antoine Caux

ALISTERSon tube : Qu’est-ce qu’on va faire de toi ?Le premier single de son premier albumAucun mal ne vous sera fait a le don detrotter dans la tête. Une base rythmiquesimplissime pour un effet maximum. Onva penser à toi avec des SMS / On va pen-ser à toi avec des airbags : son ton gogue-nard fait mouche.

Rock, pop, folk, le premier album d’Alisterbrasse large. Et hume les cendriers rem-plis des fins de soirée de ce Paris by nightvers 7 heures du matin, deux titres de sondisque, où les gens qu’on rencontre nesont pas vraiment ceux qui comptent.

À 34 ans, pas de sourire Ultra-Bright, lacigarette est passée par là. Ludovic Perrin,journaliste à Libération trouve en lui le mixde Jacques Dutronc et de Nino Ferrer. SiBénabar a été scénariste de la série H,Alister a été auteur pour Un gars, une fille.

Le 21 mars à La Lune des Pirates (17, quai Bélu), 20h30. 11 €

Dédicace à partir de 17h30 à la Fnac(sous réserve).

Les raisons du succès

Le personnage

Où, quand, combien ?

TOUT LE PROGRAMME

Mercredi 25 mars

• Melissa Laveaux, Peter Von Poehl et PiersFaccini au Grand Théâtre, 19h30

• Rokia Troaré au New Dreams, 23h30

Jeudi 26 mars

• Mad Sheer Khan au Grand Wazoo, 19h

• Misja Fitzgerald Michel au Old Dream,19h

• Brad Mehldau au Grand Théâtre, 20h30

• Kasaï All Stars au Magic Mirror, 22h

• Socalled à La Lune des pirates, 22h30 –

• Las Ondas Marteles au Petit Théâtre,22h30

• General Elektriks et Dj All White NewDreams, 23h45

Vendredi 27 mars

• Krystle Warren et White & Sticky auGrand Wazoo, 19h

• Ray Lema au Old Dream, 19h

• Omara Portuondo au Grand Théâtre,20h30 –

• Kasaï all stars au Magic Mirror, 22h

• Orchestre national de jazz au Petit Théâtre, 22h30

• Socalled à La Lune des Pirates, 22h30

• Radioclit et South Central au NewDreams, 23h45

Samedi 28 mars

• Ghostown au Grand Wazoo, 19h

• Kamilya Jubran au Old Dream, 19h

• Amadou & Mariam au Grand Théâtre,20h30

• Kasaï All Stars au Magic Mirror, 22h00

• Arythmitique au Bar d’entracte, 22h

• Socalled à La Lune des Pirates, 22h30

• Klang la Belle au Petit Théâtre, 22h30

• Smod et Mo-dj au New Dreams, 23h45

Dimanche 29 Mars

• Done Tone et Ji Mob au Magic Mirror, 17h

crée la dépendance. Le malicieux chanteurà la casquette Ibrahim Ferrer, complicedisparu du Buena Vista l’appelait « la chicamas sexy de Cuba… » Pour le festival, elleest entourée d’un formidable quintet. Ne laratez sous aucun prétexte.

Claire Moreau

Vendredi 27 marsGrand Théâtre de la MCA, 20h30

et d’ailleurs

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La vie en MétropoleDU 18 AU 24 MARS Cinéma

JDA Métropole n° 516 18 mars 2009 15

Jean-Pierre Bergeon aime : : un peu - : beaucoup - : passionnément - : à la folie - : pas du tout

Ciné Gaumont Amiens 5, bd de Belfort / 08 92 69 66 96 # 181 (0,34 € la min)www.cinemasgaumont.com

Ciné Orson Welles place Léon-Gontier / 03 22 97 79 77www.maisondelaculture-amiens.com

COCO (2009) De et avec Gad Elmaleh avec Pascale Arbillot, Manu Payet

Coco, parti de rien, est arrivé à quelque chose. Son secret ? L’eau frétillante.

14h - 15h - 16h - 17h - 18h - 19h 20h - 21h15 - 22h10 - di 11h15

LA FILLE DU RER (2009) D’André Téchiné avec Émilie Dequenne, Catherine Deneuve

Mère et fille, Louise et Jeanne vivent toutes les deux.Louise monte un stratagème pour trouver un emploi à Jeanne.

13h15 - 15h45 - 17h45 - 19h45 21h45 - di 11h

LOIN DE LA TERRE BRÛLÉE (2008) vo

De Guillermo Arriaga avec Charlize Theron, Kim Basinger

Quinze ans après la mort d’un couple dans une caravane, une femme est poursuivie par un homme curieux. 22h10

L’ENQUÊTE (2009) vf De Tom Tykwer avec Clive Owen, Naomi Watts

Trois personnes s’attaquent à une multinationale soupçonnée de blanchir de l’argent.

14h05 et 16h35 (sauf me, sa et di) 19h10 - 22h05 Pas de séance le jeudi

WELCOME (2009) De Philippe Lioret avec Vincent Lindon, Firat Ayverdi

Un réfugié kurde veut traverser la Manche à la nage. Un maître-nageur décide de l’aider.

10h50 (di, lu et ma) - 14h30 - 16h45 - 19h15 - 21h30

WATCHMEN (2009) vf De Zack Snyder avec Jackie Earle Haley, Patrick Wilson

Dans un monde où les superhéros sont légion et la guerre froide toujours brûlante, un complot se trame.

10h50 (di, lu et ma) - 14h25 17h30 - 21h05

MARLEY ET MOI (2008) vf

De David Frankel avec Owen Wilson, Jennifer Aniston

Un homme offre à sa femme un chien pour apaiser ses désirs de reproduction. Le chien, Marley, impose son style.

11h (di, lu et ma) - 14h15 - 16h35 - 19h30 - 22h

HARVEY MILK (2008) vo De Gus Van Sant avec Sean Penn, Josh Brolin

États-Unis, années 70. L’histoire du premier homosexuel élu à des fonctions officielles malgré son “coming out”. 15h45 - 22h

GRAN TORINO (2009) vf De et avec Clint Eastwood avec Bee Vang, Ahney Her

Ancien du Vietnam emplit de préjugés, Walt vit seul. Un jeune tente de lui voler sa ford…

11h (di, lu et ma) - 13h55 - 16h15 - 19h25 - 21h45

CYPRIEN (2009) De David Charbon avec Elie Semoun, Lea Drucker

À 35 ans, Cyprien est un jeune “geek” introverti et timide. Il passe sa vie au cybercafé.

14h05 - 16h05 - 18h05 - 20h05 22h05 - di 10h50

LE CODE A CHANGÉ (2009)

De Danièle Thompson avec Karin Viard, Dany Boon

Une soirée entre amis réussie repose sur de nombreux codes. Attention à ne pas les bousculer.

11h05 (di, lu et ma) - 13h50 - 16h05 - 18h10 - 20h15 - 22h20

VOLT (2008) vf Film d’animation de Chris Williams et Byron Howard

Volt est la star canine à superpouvoirs d’une série télé. Il se retrouve dans le monde réel. 10h55 (di, lu et ma) - 14h20 - 16h30 -

LOL (2009) De Lisa Azuelos avec Sophie Marceau, Christa Theret

Les turpitudes Lola ne la font pas mourir de rire. Pourtant on l’appelle LOL (Laughing out Loud).

14h10 - 16h10 - 18h10 - 20h10 - 22h10 di 11h05

SLUMDOG MILLIONAIRE (2009) vo et vf

De Danny Boyleavec Dev Patel, Mia Drak

Issu des taudis, un homme remporte la cagnotte de la version indienne du Millionaire. Adaptation d’un roman de Vikas Swarup.

14h15 (vo) - 17h25 et 19h45 (vf) di, lu et ma : 11h (vf)

MAMMA MIA ! (2008) De Phyllida Lloyd avec Meryl Streep, Pierce Brosnan

Une jeune femme convie à ses noces trois hommes. Son objectif : découvrir lequel d’entre eux est son père. je 16h30 et 21h30 (version karaoké)

ON CONNAÎT LA CHANSON (1997)

D’Alain Resnais avec Sabine Azéma, Pierre Arditi

Une histoire d’appartement où moult personnages entonnent des refrains populaires. je 14h et 19h30

TULPAN (2008) vo De Sergey Dvortsevoy avec Askhat Kunchinchirekov

Dans les steppes kazhakes, Asa compte avoir son propre élevage et épouser Tulpan. Mais il a les oreilles décollées…

me 14h30 - 21h30 / je 12h15 ve 17h / sa 21h45 / di 14h30 lu 19h30 / ma 17h15

HARVEY MILK (2008) vo De Gus Van Sant avec Sean Penn, Josh Brolin

États-Unis, années 70. L’histoire du premier homosexuel élu à des fonctions officielles malgré son “coming out”.

je 21h / ve 14h30 - 19h / sa 14h - 16h30 di 16h30 / lu 14h - 21h30 ma 12h15 - 19h15

THE TIMES OF HARVEY MILK (1984) vo

Documentaire de Rob EpsteinProposé parallèlement au film de Gus Van Sant, ce documentaire oscarisé retrace le parcours politique d’Harvey Milk.

me 19h30

L’ÉTRANGE HISTOIRE DE BENJAMIN BUTTON (2008) vo

De David Fincher avec Brad Pitt, Cate Blanchett

Benjamin Button, né à l’âge de 80 ans, vit sa vie à rebours. Adaptation de Francis Scott Fitzgerald.

me 16h30 / ve 21h30 / sa 19h / di 19h lu 16h30 / ma 14h30 - 21h30

SONIC MIRROR (2007) vo Documentaire de Mika Kaurismaki Billy Cobham, batteur d’exception, filmé par le frère

d’Aki Kaurismaki au fil de ses prestations.

je 19h30 - Film précédé, à 17h30, d’une master class de batterie. Rés. : 03 22 914 04 86 (mail : [email protected])

Ciné St-Leu 33, rue Vanmarcke / 03 22 91 61 23 www.cine-st-leu.com

SLUMDOG MILLIONAIRE (2009) vo

De Danny Boyle avec Dev Patel, Mia Drake

Issu des taudis, un homme remporte la cagnotte de la version indienne du Millionaire. Adaptation d’un roman de Vikas Swarup.

me 18h15 - 20h30 / je 18h15 ve 15h - 20h / sa 15h - 20h di 19h30 / ma 18h15 - 20h30

35 RHUMS (2009) De Claire Denis avec Alex Descas, Mati Diop

Un veuf a élevé seul sa fille. Quand celle-ci devient jeune femme, il sent que la séparation est proche.

je 20h30 / ve 18h / sa 22h di 17h / lu 20h30

LES ENSORCELÉS (1952) vo

De Vincente Minnelli avec Kirk Douglas, Lana Turner

Le mauvais et le beau de l’âge d’or hollywoodien. Un classique au casting grandiose par l’auteur de Tous en scène et Un Américain à Paris.

ve 22h / sa 17h30 / di 14h30 lu 18h15

Du 22 au 24 mars à l’occasion du Printemps du cinéma, la place est à 3,50 ¤ dans toutes les salles.

Loisirs & culture

14 • JDA Métropole • n° 516 • 18 mars 2009

Musique

�C’est le moment,de postuler !Depuis 1998, le Festival rockR4, place de l’Église de Re-velles, attire les foules autourde concerts, mais aussi d’ani-mations culturelles, ludiqueset éducatives. Pour l’édition2009 (le 27 juin ou le 4 juillet),même défi. Comme Ribo (enphoto), The Beyonders ou Mel-ting Pote en 2008, artistes etgroupes d’Amiens Métropole,qui souhaitent se lancer, ontjusqu’au 10 avril pour envoyerleur candidature, à l’associa-tion R4, Nicolas Croutte, 15, rue Bellet, 80540 Revelles.03 22 47 87 69

Dédicaces• Pascal Regnauld, dessina-teur de la série Canardo, estattendu à la librairie Bulle enstock (4, rue du Marché-Lan-selles), samedi 21 mars, à14h30, pour une séance de dédicace à l’occasion de la sortie du tome XVIII.03 22 91 50 10 www.bulleenstock.com

• Nuage d’avril est le nouvel ou-vrage de Jean-Paul Mortagne,illustré par Caroline Flament, etparu aux éditions du Laby-rinthe. Dédicace à la librairie du Labyrinthe (rue du Hocquet),samedi 21 mars, de 15h à 19h.03 22 93 02 57www.mortagnejeanpaul.fr

Et encore…

�Festival de danseL’an dernier, 3 000 specta-teurs, 400 artistes amateurs et 20 stagiaires s’étaient bouscu-lés à Ça danse. Du 21 mars au12 avril, rencontres, battles,stages… sont au programmede la deuxième édition. Ren-dez-vous donc le 21 mars, à

19h, au Cirque Jules Vernepour la soirée d’ouverture.03 22 69 66 00

�Journée d’étudeRéalisme et gender (genresexuel) dans la peinture du XXe siècle est le thème de lajournée d’étude du 20 mars. À la Faculté des arts (40, ruedes Teinturiers) le matin puis

à la Maison de la culture (placeLéon-Gontier). Ces rencontressont menées par des spécia-listes, doctorants et ensei-gnants.03 22 97 14 05

Théâtre

�Chefs-d’œuvreen scènePhilippe Faure, directeur duthéâtre de la Croix-Rousse àLyon depuis 1994, est à la foisauteur, metteur en scène etcomédien. Il propose à la Comédie de Picardie (62, ruedes Jacobins) deux de sesadaptations, Thérèse Raquin(en photo) roman d’Émile Zola(les 24, 27, 28 et 29 mars) et LaPetite Fille aux allumettes,conte d’Andersen (du 25 au 27mars). Les deux parcourentdes thèmes semblables : l’ir-ruption de l’illusion, la solitudeet la fatalité. Deux spectaclesentre métaphore et réalisme.

CLASSIQUE CHANSON JAZZ ROCK THÉÂTRE ARTS VISUELS (EXPOSITIONS)

HUMOUR

* Pensez à réserver

Orchestre de Picardie Martinu, Lutoslawski, Honegger et Schubert au programme de Campus en musique

jeudi 26 mars18h30 CAMPUS

Serge Lama l’artiste revient avec un nouvel album L’Âge d’horizons mercredi 1er avril20h30 MÉGACITÉ *

Hot Swing orchestra cinq musiciens distillent un répertoire allant du New-Orleans aux standards jazzy vendredi 20 mars MAISON DU BRIDGE *

The Rabeats le groupe fête ses 10 ans d’hommage aux Beatles et aux autres artistes des années 60 samedi 28 mars ZÉNITH *

M. Sophie Germainl’histoire de Sophie Germain, figure scientifique des années 1800, écrite et mise en scène par Norbert Aboudarham

lundi 23 mars CAMPUS

Croque-MonsieurIsabelle Mergault reprend le rôle de Jacqueline Maillan qui, dans les années 60, avait connu son premier succès

vendredi 24 mars ZÉNITH *

De passage… Perrine Gaspard dévoile ses dessins et peintures sur le thème du passage jusqu’au 28 mars HARMONIA MUNDI

Le Tour du monde en 80 jours

les planches originales du second tome de la BD adaptée du Tour du monde en 80 jourspar Loïc Dauvillers et Aude Soleilhac

jusqu’au 12 avril MAISON DE JULES VERNE

Esmar Civnir les peintures de l’artiste turque Esmar Civnir jusqu’au 18 avril PÔLE UNIVERSITAIRE CATHÉDRALE

En coup de vamp Si vous avez aimé Les Vamps, vous allez adorerGisèle Rouleau, seule sur scène vendredi 27 mars MÉGACITÉ *

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Ce sont des sportifs de pixels. Leur maître ? Un “gamer” (joueuren anglais) usant de sa manette comme un chef d’orchestre desa baguette. Leur univers ? Pro Evolution Soccer (football évo-lution pro, en anglais), un phénomène en provenance du Japonqui séduit des millions d’amateurs de football et de jeux vidéo àtravers le monde. Devant cet engouement, Jérôme Lefebvre,président de l’AS Messipontin, a instauré un tournoi sur le mo-dèle des championnats du monde de foot. « La force de PES estl’animation : on retrouve les gestes des footballeurs, explique-t-il. Et beaucoup y impriment leur style. » Anthony Vilar, l’und’eux, a remporté les deux premiers tournois. Avis aux fréné-tiques du “paddle”, le terme employé pour désigner la manette :y a-t-il cette année quelqu’un pour battre ce boss ? J.-C. F.

Tournoi Pro Evolution Soccer 2008/2009 sur PlayStation II,samedi 21 mars, salle des fêtes de Pont-de-Metz, 13h06 35 53 52 03

Virtual boysSeule la paume des mains transpire et une simple pression du doigt suffit à rattraper un ballon : le football virtuel s’invite à Pont-de-Metz.

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