À ne pas manquer

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Nous voici donc de retour de Noël... et dans le jus de nouveau. Surprise, surprise... mais ne vous laissez pas abattre ! Cette édition de votre mensuel étudiant vous révèle une véritable primeur, que vous ne pouvez tout simplement pas ignorer (voir la colonne «  À ne pas manquer » si ce n’est pas déjà fait . . .). Ce dossier sera à suivre au c o u r s d e s p r o c h a i n s mois.

Sinon, l’édition de ce mois-ci regorge d’articles à ne pas manquer, entre a u t r e s d e n o m b r e u x a r t i c l e s s u r l e d é r o u l e m e n t d e s principales activités d’avant Noël. Aussi, nous v o u s o f f r o n s d e s

recommandations de films et de livre pour le retour des fêtes, sans c o m p t e r u n p e t i t éditorial très intéressant sur la controverse des d é c o r a t i o n s à connotation religieuse.

Alors, bonne lecture!

François Paré, rédacteur en chef

ÉCOLE SECONDAIRE DE ROCHEBELLE/ANNÉE III, VOL. IV/ÉDITION DE JANVIER 2011

Aussi présents :- Y ’a te l lement mieux à fa ire que de consommer...

- Ce que vous ne savez pas de la comédie musicale

- Les examens de Noël, est-ce vraiment l’enfer ?

- Éditorial  : La petite histoire des décorations de Noël à connotation religieuse au Québec

- Critique de livre : Immortels- Recommandations de film- Mot du Conseil étudiant

Je rencontre notre directrice dans son bureau, un matin de décembre, alors que nous nous préparons tous pour nos examens. Elle me reçoit avec le cahier de soumission du projet sur la table.

par François Paré5e secondaire

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Je rencontre notre directrice dans son bureau, un matin de décembre, alors que nous nous préparons tous pour nos examens. Elle me reçoit avec le cahier de soumission du projet sur la table.

F. P.  : Mme St-Onge, depuis quand avez-vous commencé les démarches pour construire ce complexe sportif ?

France St-Onge: Je suis à l’école secondaire de Rochebelle depuis cinq ans et dès la première année, avec le comité des infrastructures de l’école, on m’a informée qu’on travaillait déjà sur la problématique de manque de plateaux de gymnase et du manque d’un auditorium depuis plusieurs années. D’ailleurs, on pourrait aussi dire que la cafétéria et la bibliothèque sont trop petites... Mais les énergies ont été mises au niveau des gymna ses à cause des programmes ministériels disponibles. Avant même que je n’entre en poste , Guy Dumais , mon prédécesseur, était en pourparlers avec la Ville de Québec et le gouvernement au sujet d’un stade couvert.

F. P. : À quand le début des travaux ?

F. S.-O. : Premièrement, il faut savoir que nous n’avons pas le contrôle sur tous les éléments du projet, principalement au niveau des coûts: comme c’est un projet qui coûte très cher, comme tu peux t’en douter, un des critères était d’avoir un partenariat avec la Ville de Québec.. Si notre projet est accepté, le MELS contribuera pour 50% des coûts, la v i l l e de Québec env i ron 25% e t l a commission scolaire pour l’autre 25%. Une des choses qui nous manque pour commencer e s t l ’ a va l du MELS (Minis tère de l’Éducation), que nous n’avons pas encore, quoique nous sommes assez confiants de l’avoir pour le printemps. Avec cet appui, on peut prétendre que les travaux débuteront en 2013 ou en 2014.

F. P. : Et ces travaux dureront combien de temps ?

F. S.-O. : Quand on regarde l’échéancier de réalisation, on y voit que la totalité du projet, de la réalisation des plans et devis à la fin de la construction en chantier, pourrait nécessiter environ 74 semaines. Des projets d’infrastructure d’une telle envergure, amènent souvent des imprévus qui ont des impacts sur les délais.

Interview avec France St-Onge sur la construction d’un complexe sportif

F. P. : Où ce complexe se situera-t-il ?

F. S.-O. : Il sera directement rattaché au PFL. Derr ière ce pa v i l lon , i l y a un préfabriqué, qui devait être une solution temporaire, même s’il est là depuis quelques années. Alors, le préfabriqué sera détruit et servira de passerelle pour rejoindre le complexe, qui sera situé sur les actuels terrains de tennis.

F. P. : Et donc, ce complexe sera assez volumineux...

F. S-O. : Effectivement. Dans ce complexe, il y aura entres autres trois salles de classe, une sa l l e de muscu la t ion , des locaux de rangement, des bureaux, des vestiaires de football, bien sûr des douches, un gymnase double contenant six terrains de badminton, trois terrains de basket-ball et de handball, deux terrains de volley-ball et de tennis ainsi qu ’une immense pa le s t re pour l a gymnastique.

F. P. : Est-ce que le projet de complexe sportif inclut une modernisation des différents gymnases ?

F. S. -O.  : Nous sommes tout à f a i t conscients que ces gymnases ont besoin d ’ ê t re re v i ta l i sé s , s au f que nous ne procéderons pas à une telle modernisation par le biais de ce projet. Actuellement, le

MELS envoie des enveloppes aux écoles publiques pour faire des rénovations, et c’est par le biais de ces sommes que nous allons éventuellement toucher les gymnases.

F. P.  : Merci beaucoup pour cette rencontre.

F. S.-O. : Ce fut un plaisir pour moi de faire cette entrevue et maintenant on se croise les doigts afin d’avoir une réponse positive du MELS le plus tôt possible.

par Chloé Savary4e secondaire

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LE 21 NOVEMBRE, LA MINISTRE DÉLÉGUÉE AUX SERVICES SOCIAUX, MME DOMINIQUE VIENS, ÉTAIT À DE ROCHEBELLE POUR Y LANCER UNE NOUVELLE CAMPAGNE GOUVERNEMENTALE DE PRÉVENTION DES DÉPENDANCES CHEZ LES JEUNES.

C’est sur une plateforme jaune, bariolée du slogan Y a tellement mieux à faire que de consommer, et au milieu d’affiches du type « Et toi, c’est quoi ton option ? » que la ministre a livré le plan d’action. Un plan qui se déroulerait jusqu’en avril 2012, un plan qui s’élève à 1,5 million de dollars, un plan qui valorise énormément l’engagement.

Et ils ont visé juste. S’impliquer dans son milieu, c’est la clé. C’est un facteur déterminant et propice à éloigner les jeunes de la dépendance. Et c’est si plaisant ; trouver sa motivation, son intérêt, essayer et se découvrir… Que ce soit le sport, l’art, l ’engagement communautaire, l ’engagement étudiant, le théâtre ou bien d’autres, ça occupe, ça pousse à se dépasser et ça développe des capacités et des habiletés.

« Ces activités donnent l'occasion aux jeunes de côtoyer des adultes attentifs, ce qui stimule leur engagement et les aide à poursuivre un but. Ce sont là des éléments qui limitent les occasions de consommer tout en les aidant à mieux se connaître, à s 'aff irmer et à développer un sentiment d'appartenance à leur milieu », a mentionné Dominique Viens.

Au menu : des cahiers d’activités, des publicités, des pages sur les médias sociaux, des activités et des concours. Bref, beaucoup de matériel disponible.

Le public ciblé a été divisé en 3 catégories, soit les 10 à 12 ans, les 13 à 16 ans et les 17 à 24 ans. C’est

sous une approche beaucoup plus de prévention et sous le thème « Tes passions te rendent plus fort », que le groupe benjamin touchera au programme. Ils seront invités d’ailleurs à s’engager et se découvrir de nouveaux intérêts afin de les protéger d’éventuels risques de dépendance.

C’est la thématique « Y a tellement mieux à faire que consommer » et « Et toi, c’est quoi ton option ? » qui mènera la campagne auprès des deux derniers groupes. Le but étant beaucoup plus d’envisager des manières concrètes d’agir pour éviter de sombrer dans la drogue et l’alcool. Du même coup, la sensibilisation et les renseignements à ce sujet sont renforcés, les jeunes y étant exposés.

Bien entendu, le dévoilement du plan d’action amorçait en force cette semaine de la prévention de la toxicomanie. À De Rochebelle, c’était Geneviève Lampron, l’intervenante en toxicomanie, qui coordonnait le tout. Ainsi, vous avez probablement remarqué les affiches placardées un peu partout sur les babillards de l’école.

Et toi, c’est quoi ton option ?

Y’a tellement mieux à faire que de consommer...

par Alex Miller-Pelletier5e secondaire

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Pendant l’année, tout un travail est accompli par environ soixante-dix personnes pour pouvoir présenter, en avril, la comédie musicale annuelle de l’école.

Pourtant, ceux qui ne sont pas concernés par la comédie musicale n’entendent guère parler de tous les efforts fournis.

Connus sous l’appellation « Le comité », ils sont six élèves de cinquième secondaire à s’occuper de divers champs de la comédie mus ica le  ; mi se en scène , décors , chorégraphies ainsi que publicité, technique et vente des billets. Ils sont supervisés par l’enseignante Mélissa Tardif, qui est la coordonnatrice et responsable du projet. Sans oublier Kevin Lemay qui vient aider les chanteurs à maîtriser leur voix.

Dès l’été, le comité organise de petites réunions pour préparer ce grand spectacle.

Création de chorégraphies, traduction de la pièce au complet... il est certain qu’ils ne manquent pas de travail.

Quand l’école commence, tous ceux qui veulent être acteurs, chanteurs ou danseurs doivent passer une audition. Et là, pas question d’avoir un passe-droit parce que

vous avez participé l ’année dernière. L’obtention d’un rôle est uniquement basée sur l’audition. Ensuite, commencent les réunions qui sont là pour pratiquer le jeu des acteurs, améliorer la voix des chanteurs et apprendre les chorégraphies aux danseurs. Ces rencontres ont lieu jusqu’au mois d’avril, durant lequel trois représentations de Grease seront présentées à l’auditorium du cégep Lévis-Lauzon. Pour la première fois de l’histoire des comédies musicales à l’école, des musiciens sur scène accompagneront les artistes et remplaceront l’habituelle bande sonore.

Pour terminer, la comédie musicale demande beaucoup de travail à tous ceux qui y participent. Cependant, elle apporte bien plus à ces élèves que des applaudissements à la fin des spectacles. Elle crée des amitiés, leur montre qu’ils sont capables de beaucoup et développe leurs talents artistiques.

Ce que vous ne savez pas de la comédie musicale

par Camille Rivard1ère secondaire

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Tout le monde sait que les examens, c'est stressant. Alors pourquoi cela changerait-il pour les examens de Noël ? Toutefois, ils ne sont pas aussi désagréables que ce que la majorité d'entre nous pense.

Avant les examens, comme nos professeurs et nos parents nous l'ont répété des dizaines de fois, il faut bien étudier, puisque les tests ne sont pas faciles. En classe, les professeurs nous ont donné des petites fiches de révision ou nous ont fait indiquer dans notre agenda, les choses importantes à étudier. Nous avons aussi fait des bingos (façon originale de réviser) et des cours de révisions. Le midi, il était très important d'aller aux séances de récupération s'il y avait quelque chose que nous comprenions moins bien. Nous pouvions aussi aller à la bibliothèque… en nous dépêchant, car les places s’y faisaient rares. Avec tous ces petits trucs, nos chances de réussite étaient assurées.

Pendant les examens, même si tout le monde paraissait débordé, avec un minimum d’organisation, nous avions suffisamment de temps pour étudier et même pour relaxer un peu. La plupart de nos midis et après-midi étaient libres. Nous pouvions alors retourner

à la maison pour réviser seuls ou rester à l ’école pour réviser en groupe. Cette technique est évidemment très amusante et ut i l e , car on peut se fa i re des j eux -questionnaires entre amis. Toutefois, si on veut réviser dans le calme, retourner à la maison est la meilleure solution. Finalement, lorsque les examens prenaient fin, nous n’étions pas pressés et nous passions un petit moment à partager nos réponses avec nos amis.

Après les examens, c’était la cohue. Tout le monde se réjouissait et se concentrait sur l’organisation de grosses fêtes avec ses amis afin de célébrer la fin de cette période stressante. On entendait les nombreux groupes échanger de bons vœux de Noël, entremêlés de rires et de cris de joie. Lorsque les parents arrivaient, les accolades et les Joyeux Noël fusaient de toute part.

En conclusion, les examens de Noël n’ont pas que de mauvais côtés. C’est évident que ça demande beaucoup de travail et d’heures d’étude, mais pour ma part, je pense qu’il y a tout de même quelque chose de plaisant dans tout ça. Alors, réfléchissez à la question et l’année prochaine ne soyez pas aussi déprimés par l’arrivée de cette période ardue, mais somme toute amusante !

Les examens de Noël, est-ce vraiment l’enfer ?

par Océanne Guyon3e secondaire

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Cette année, la journée porte ouverte de l'école secondaire De Rochebelle a eu lieu le 23 octobre dernier. Nous avons choisi pour une deuxième année consécutive une visite libre de l'école, afin de permettre aux parents et futurs élèves de visiter uniquement les kiosques intéressés. En fait, les bénévoles et enseignants étaient dispersés un peu partout dans l'école pour répondre aux questions et renseigner sur les divers programmes. Grâce au compteur à l'entrée du PJR, nous avons pu savoir qu'il y a eu environ 1200 visiteurs !

À la salle Simone-Monet-Chartrand, plusieurs kiosques étaient installés pour permettre aux parents et futurs élèves d'en apprendre davantage sur les activités sportives et socioculturelles de l'école ainsi que quelques bénévoles.

Au PGV, au programme: dégustation de bonbons, les visiteurs ont pu visiter les créations faites en arts plastiques par les élèves et essayer la salle de jeux.

Au PFL beaucoup de kiosques étaient là pour renseigner sur divers ponctuels et services communautaires. Aussi, les parents ont pu inscrire leurs enfants au test d'admission du PEI.

Des laboratoires de sciences et technologies étaient installés dans plusieurs pavillons pour permettre aux parents et futurs élèves qu'est que la science au secondaire.

Jacques Boudreau et Jean-François Fortin avec leurs musiciens étaient installés au sous-sol du PJR pour démontrer les talents des élèves de notre école en musique. De plus l'ensemble à corde était placé au rez-de-chaussée

Les bénévoles ont eu le droit d'avoir un biscuit ainsi qu'un jus en guise de récompense d'avoir aidé au rayonnement de l'école. Aussi, à la fin, un tirage de cinq iPod Shuffle a été offert aux bénévoles. Félicitation aux gagnants !

C'est Marilie Dubé, étudiante à l'école des Pionniers au pavillon de La Salle qui a gagné le iPad tiré parmi les élèves de sixième année.

En conclusion, le personnel de l'école est fier de tous ceux qui ont contribué au rayonnement de l'école De Rochebelle, une école dynamique et performante.

Journée portes ouvertes

par Chloé Savary4e secondaire

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OUH LÀ. MON TITRE FAIT PEUR UN PEU. RASSUREZ-VOUS  : C’EST UN DÉBAT ÉTHIQUE ET RELIGIEUX QUI FAIT RAGE ICI DEPUIS QUELQUES ANNÉES. ON PATAUGE ENTRE LAÏCISATION DE L’ÉTAT, PATRIMOINE, CULTURE, ACCOMMODEMENTS… ET LE GROS BON

SENS, LUI ? VOLATILISÉ. C’est l’histoire d’un hall d’entrée d’appartement. Le genre de hall qu’on retrouve un peu partout, assez commun, quoique luxueux. Mais ça ne change rien. Tout naturellement, dans chaque bâtiment du genre, logent des personnes qui possèdent des goûts différents, une ethnie différente, des valeurs différentes et une foi différente. Voilà. On met le doigt dessus, la société québécoise d’aujourd’hui est multiculturelle. Oh, mais n’allez pas vous imaginer que cela soit un problème, loin de là, c’est une richesse. En fait, il n’y a aucun problème ; il y a plutôt une délicatesse qui s’impose par rapport au défi de la diversité religieuse.

Nous voici donc de retour dans notre immeuble, où vivent plusieurs locataires, pour la plupart, juifs et catholiques. Est arrivé un temps de réjouissance pour tous ; le temps des fêtes. Bien entendu, un grand sapin de Noël avec une étoile en haut trônait joyeusement dans notre hall d’entrée.

Or, pendant la même période, c’est, pour le peuple juif, la Hanouka. Pour ce, une menora, un chandelier à plusieurs branches qui comporte autant de bougies, est allumé. Selon la tradition, la première bougie serait allumée le premier jour, la deuxième pendant le second et ainsi de suite. C’est l’un des plus vieux symboles de cette religion, peu imposant, environ un pied de haut. Et une vieille dame juive avait demandé au gardien la permission d’en disposer une dans notre hall d’entrée. La réponse était favorable. Et là, on est d’accord pour dire qu’il ne s’agit en aucun cas d’une conspiration ignoble pour convertir ou indigner.

Vous me voyez venir ?

Les jours passaient, comme les habitants de la bâtisse. La plupart n’avaient même pas levé les yeux sur la menora. D’autres s’exclamaient “ Kossé ça ?” à l’intention de notre cher gardien, qui relevait les noms de ces gens. Mais rien de bien chaotique.

Vint un temps où une discussion au sujet de ces décorations à connotations religieuses au conseil de l’immeuble était inévitable. Allez lecteurs, c’est à vous d’extrapoler.

Le conseil, vous affirmez, a décidé de retirer la menora, qui selon certains résidents n’était pas trop catholique, et de conserver le sapin ?

Voyons. Ce n’est pas comme cela que ça se passe ici. On ne veut ni déplaire, ni plaire, syndrome de l’« être et paraître ». On a donc tout retiré. Fin de la controverse.

N’aurait-il pas été possible de tout conserver, le sapin et la menora, et de faire cohabiter ces symboles, murmurez-vous ?

Excellent.

Maintenant, voyez-vous, généralisons notre petite histoire. La chose était-elle purement religieuse ou bien simplement culturelle ? Catholique si, mais considérablement culturelle. Ainsi dit, nous vivons dans une société laïque, mais certaines mesures sont parfois démesurées. La commission Bouchard-Taylor mentionnait d’ailleurs le modèle interculturel québécois en respectant à la fois ses valeurs démocratiques et laïques, mais aussi son histoire et sa population. Ils reconnaissaient aussi la nécessité de préciser les contours d'une identité québécoise dans laquelle chacun pourrait se retrouver.

Donc, laïque, mais jusqu’à quel point ?

Gardons notre patrimoine et notre culture. Amen.

Éditorial : La petite histoire des décorations de Noël à connotation religieuse au Québec

par Océanne Guyon3e secondaire

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Connaissez-vous bien Marcel Auclair ? Alors ça,

j'en doute ! Saviez-vous qu'il n'est pas seulement un homme qui s'occupe des sports, mais de bien plus que cela ? En fait, il est responsable de toutes les écoles secondaires de la commission scolaire des Découvreurs. Dans ce texte, je vous parlerai de ce qu'il fait dans l'école et de quelques petits faits cocasses de sa vie.

Pour commencer, il s'occupe des 33 équipes de sport interscolaire et est le patron d'une cinquantaine d'entraîneurs. Comme il s'occupe des sports, c'est lui qui organise les voyages sportifs, donc il s'occupe de la réservation des hôtels et du transport. Aussi, il organise le gala sportif, le souper spaghetti et la ligne de vêtements sportifs. Ensuite, il est responsable du PMV et de ces activités et joue un rôle important dans le comité du bal.

Pour continuer, il fait partie, selon lui, du trio : Caroline, Denis et Marcel. Quand on fait partie de cette équipe, il faut aider Caroline à écrire les textes pour le gala des méritas ainsi qu'aider à l 'organisat ion du souper spa ghett i , du Rochebellois et du festival d'hiver. Il a aussi participé à l'écriture de la chanson du lipdup et a joué dans la comédie musicale Hairspray dans le rôle d'Edna.

Pour terminer, je vais vous faire part de quelques questions que j'ai posées à Marcel. Son animal préféré est le chat, car quand il était jeune il en

avait un. Son sport préféré est le hockey parce qu'il a joué longtemps à ce sport et son sport favori à regarder à la télévision est le football. Son personnage préféré dans Mario Bros est Luigi d'où vient peut-être l'idée du Gala sportif de l'an dernier. Ensuite, il adore chanter, mais déteste danser. La dernière question que je lui ai posée était son année de naissance pour faire discret plutôt que de lui demander son âge, mais Marcel n'a pas voulu me répondre.

Marcel a beaucoup d'idées pour le futur comme son nouveau pavillon qu'il attend avec impatience depuis des années. Ce pavillon s'appellera peut-être le PMA (Pavillon Marcel Auclair), afin de lui rendre hommage !

Spécial Marcel !

par Jeanne Lebossé4e secondaire

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Étant férue de lecture, je traîne souvent à la bibliothèque scolaire et, cette année, l’étagère des nouveautés est un arrêt obligatoire pour moi. Récemment, un livre en particulier a accroché mon regard : Immortels, de Cate Tiernan (de son vrai nom Gabrielle Charbonnet).

Cette auteure américaine est surtout connue pour sa série Sorcière, aussi publiée sous le nom de Magie Blanche. Immortels est sa nouvelle trilogie dont le premier tome, sorti récemment, raconte l’histoire de Nastasya, immortelle de 459 ans ayant l’apparence d’une jeune femme de 18 ans. Alors qu’elle mène, depuis des dizaines d’années, une existence remplie de fêtes, de bars et de folies avec son meilleur ami, Incy, elle quitte, du jour au lendemain, le confort des habitudes pour aller à River’s Edge, un « centre de redressement pour immortels ». La raison ? Elle fuit Incy, qui a agressé un homme sans raison et a vu la marque sur le cou de Nastasya. Une marque qu’elle cache depuis des siècles.

À River’s Edge, notre héroïne rencontre Reyn, adonis immortel, et en est troublée. Elle est certaine de l’avoir déjà vu. Mais où ? Quand ? Et

aurait-il un lien avec le massacre de sa famille ?

Immortels nous entraîne dans le quotidien rocambolesque d’une immortelle blasée et sarcastique qui se débat pour contrôler ses pouvoirs et survivre aux repas de légumes bio produits à River’s Edge. Ce roman mélange

amour, jalousie, haine, immortalité et magie. Savamment dosés, tous ces ingrédients tissent une histoire drôle par moments, profonde par d’autres où l’on est entraîné, sans pouvoir résister, dans un univers magique où tout peut arriver. On découvre alors les bons côtés de l’immortalité… et les mauvais.

Côté technique, Immortels est un roman accessible à tous ceux qui ont le temps et la volonté de lire ses 360 pages. L’écriture est assez légère et fluide, ce qui donne une lecture facile et agréable. On ne se perd pas dans d’interminables descriptions ou une intrigue boiteuse, au contraire, on plonge dans l’histoire avec la ferme intention de n’en sortir qu’à la fin.

Voilà pour les bons points, passons maintenant aux inévitables mauvais côtés… Certains personnages secondaires manquent un peu de profondeur et donnent l’impression de n’être là que pour faire avancer l’histoire, mais sans avoir un vrai rôle à y jouer. Il y a aussi le point de la prévisibilité. Je parlais d’Immortels à une amie et, sans même avoir lu le livre, elle a pu me raconter toute l’histoire. Mais ça ne veut pas dire que le livre est « plate » ! Ça signifie seulement que ce n’est pas le livre à lire si vous voulez du suspense et une intrigue profonde et compliquée.

Bref, Immortels est une histoire somme toute assez légère, idéale pour ceux qui ont un faible pour le fantastique et les histoires d’amour.

Critique de livre : Immortels

par Camille Rivard1ère secondaire

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VOICI LES FILMS QUE VOUS DEVEZ ALLER VOIR. Pour les filles :

Pour les filles :

LE film à aller voir en ce moment est Twilight : La Révélation. Il a, évidemment, certains défauts : il est un peu trop sanglant, les effets spéciaux laissent à désirer et, à certains moments, le film n'est pas très crédible. Toutefois, vous adorerez quand même le quatrième film de cette incroyable saga. Le livre est respecté à la lettre et on adore le côté « rivalité » entre Edward et Jacob qui est présent durant tout le film. Vous devez, bien sûr, aimez le romantisme et les rebondissements, car il en contient une tonne. Alors, même si vous n'êtes pas des fans finies de Twilight et si vous n'avez pas encore vu ce film extraordinaire, vous devriez vous dépêcher d'aller acheter vos billets ! Ce film a vraiment tout pour nous plaire. Pour conclure, voici la question ultime : êtes-vous dans la « team Jacob » ou « team Edward » ?

Résumé :

Bella a finalement décidé d'épouser Edward. Tout le monde se réjouit de cette union... ou presque. Jacob, qui a toujours éprouvé des sentiments pour la jolie brune, ne comprend pas pourquoi elle a choisi un vampire à sa place. Toutefois, malgré le chagrin de Jacob, Bella et son époux partent en voyage de noces et filent le parfait bonheur. Jusqu'au jour où un imprévu, qui met la vie de Bella en danger, les force à retourner à la maison des Cullens. Quel est cet imprévu ? Bella y survivra-t-elle ? Qu'arrivera-t-il de Jacob ?

Pour les garçons :

Vous avez envie d'un film rempli d'action? Vous êtes un amateur de sensations fortes? Si vous répondez « oui » à ces deux questions, le film parfait pour vous est : Mission impossible : Protocole fantôme. Même si les exploits des héros peuvent paraître exagérés, la petite touche d'humour qui accompagnent chacune de leurs missions, qui sont bien sûr « impossibles », saura vous faire oublier toutes ses petites imperfections. Puisque Tom Cruise a effectué lui-même ses cascades, les effets spéciaux sont extraordinairement bien réalisés, particulièrement ceux tournés en caméra Imax. L'intrigue est aussi très bonne et le suspense est également palpable tout au long du film. Pour ceux qui sont plus du genre « coeur sensible », la fin sentimentale de ce film saura sûrement vous combler. Toutefois, guère à ceux qui le sont trop, ce film pourrait vous déplaire.

Résumé :

Lorsque Ethan Hunt sort de prison, il est chargé de récupérer les codes de lancement d'une ogive nucléaire. Toutefois, après une explosion au Kremlin, à Moscou, toute l'agence de Mission Impossible est démantelée suite au lancement du « protocole fantôme ». Ethan et ses partenaires tentent alors d'arrêter Cobalt (le vrai terroriste) et ainsi rétablir la réputation de l'agence sans le soutien du gouvernement. L'équipe atteindra-t-elle son objectif ?

Recommandations de film

par Chloé Savary4e secondaire

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Attention Rochebellois ! Voici 2012, agrippez-la fortement, plongez-y et exploitez-la ! Profitez-en pour vous dépasser, vous engager et oser ; planifiez des projets en lesquels vous croyez et menez-les jusqu’au bout. Et sans aucun doute, ce sera une année chargée de potentiel. Au Conseil, ce sera également ainsi que nous verrons le bout de chemin qu’il reste à faire.

Au programme :

• Journées thématiques à chaque dernier vendredi du mois ;

• Fête de la St-Valentin ;

• Festival d’hiver ;

• Journées de sensibilisation ;

• Projet de la musique partout dans l’école le vendredi soir mise en branle* ;

• Réglage de problématiques matérielles ;

• Etc. ;

On ne peut passer sous silence la superbe fête de Noël organisée dans les divers pavillons par les membres de la Vie étudiante ainsi que la grande participation qui a eu lieu. Rappelons aussi la victoire écrasante des élèves contre les professeurs au Dodge-ball, victoire de 3 à 0 ! Enfin, nous apprécions toujours le fait que les décorations restent en place.

*Sous peu, vous allez voir apparaître sur Facebook les sondages promis concernant la musique qui sera jouée ! C’est simple, vous votez pour votre chanson favorite parmi les 5 choix qui sont offerts, et partagez la question avec vos amis ! :-) 

Mot du Conseil étudiant

ÉQUIPE DE PRODUCTIONFrançois Paré et Chloé Savary, rédacteurs en chef

François Paré, infographiste

JOURNALISTESCamille Rivard

Alex Miller-Pelletier

Océanne Guyon

Jeanne Lebossé

L'ACCROCHEUR !Année III

VOLUME IV

Pour visiter notre site web, allez auhttp://cliq.lescigales.org/

Énigme (attention, elle est très difficile)Avant-hier, Catherine avait 17 ans ; l'année prochaine, elle aura 20 ans. Comment est-ce possible ?

Indice  : Comme elle a eu trois anniversaires, trois ans se sont écoulés entre «  Avant-hier  » et « L’année prochaine ».

Faits inusités

• 2012 est bissextile ! :-) Ceux qui sont nés un 29 février pourront donc avoir un vrai anniversaire !

• On ne peut prononcer la lettre P sans se toucher les lèvres.

• Dans une vie, l’être humain va environ marcher l’équivalent de 5 fois le tour de l’équateur.

• Les chats dorment de 16 à 18 heures par jour… De quoi faire des jaloux !

• Le cœur d’une crevette est dans sa tête. • 0.0004 seconde est nécessaire pour retrouver un souvenir.

• À toutes les deux semaines, votre estomac produit une nouvelle couche de mucus, sans quoi il s’auto-digérerait.

• Murmurer dans l’oreille de quelqu’un alors qu’il est à la chasse en Alaska est illégal.

• Dans les cantines aux États-Unis, la pizza est dorénavant classée comme étant un légume, puisqu’elle contient de la sauce tomate… Eh bien.

• Durant une vie, un humain mange environ l’équivalent du poids de 6 éléphants, soit 60 000 livres de nourriture.

• Le lait des hippopotames est rose.• Il y a présence de graisse de baleine dans certains cosmétiques. Les filles rassurez-vous, cherchez l’ingrédient Cétyl Palmitate…

• Le cri du canard ne produit pas d’écho.

Réponse de l’énigme précédente :B e a u c o u p d e r é p o n s e s e n perspective...1. Faites une pyramide à base

triangulaire.2. Voici des indices pour réussir :

2.1. La ligne doit sortir du cadre.

2.2. Les lignes ne passent pas par le centre des points.

2.3. Il y a énormément de réponses possibles... Par exemple, on peut tracer une ligne assez longue et

large pour englober tous les points.

Mot du mois

Litote : Utiliser des mots à connotation négative pour dire des

faits à connotation positive.

Ex. : « Il n’est pas laid » pour dire «Il est beau ».