J'ai Offert ma Femme à un Ami

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1 J’ai Offert ma Femme à un Ami Je m’appelle Farid, j’ai 42 ans. Ma femme est une jolie brune aux yeux bleus, assez petite (1m60), pour 50 kg. Bien faite, de type maghrébin, elle a de beaux seins en trompette (85 B). Elle est plutôt réservée, mais son fantasme était que son patron (Gilles Fitoussi, un homme BCBG d’environ 10 ans de plus qu’elle), la convoque a son bureau, et, pendant qu’il lui ordonnerait de prendre des notes, passerait sa main sous sa jupe, en l’obligeant à continuer à noter... Je lui suggérai, le jour où elle me révéla ce fantasme, d’essayer d’inciter son patron à transformer ce fantasme en réalité. Elle parut étonnée de ma demande, mais je lui expliquai que cette situation m’exciterait beaucoup, de l’entendre me raconter ce qu’il lui ferait. La sentant excitée par ce projet, je me mis, à chaque fois que nous faisions l’amour, à lui proposer de penser que son patron la faisait venir à son bureau. À partir de ce moment, ses orgasmes furent plus forts, et je pris l’habitude de ponctuer le moment où elle jouissait, de claques assez fortes, sur les fesses, qui augmentaient son plaisir de femme soumise. Jolie comme elle est, je ne me faisais pas d’illusion : je savais bien qu’un jour prochain, elle se retrouverait avec la main de son patron dans la culotte : j’avais raison, de ne pas me faire d’illusions, car, quelques semaines plus tard, je la croisai en voiture, près de chez nous, et, ouvrant la vitre, me montra sa culotte, en me disant avec un grand sourire : c’est mon patron qui me l’a enlevée ! Je lui demandai de me raconter, mais nous gênions la circulation, et je devais aller à une réunion. nous convînmes alors qu’elle me dirait tout le soir même... inutile de vous dire combien j’étais excité pendant ma réunion, et je fus de retour aussitôt celle-ci terminée... Je dus attendre que nos trois enfants soient couchés, pour qu’elle me raconte enfin : l’après-midi, vers 17 heures, quand tout le monde avait quitté le bureau, son chef l’avait appelée, et lui avait demandé de lui apporter un dossier : debout près de lui, elle lui avait commenté le dossier, et avait senti la main du patron passer sous sa jupe, puis monter jusqu’à ses fesses. Elle n’avait pas bougé, le laissant faire, et, se sentant autorisé à continuer, son chef lui avait écarté le string, l’avait fouillée, doigtée, puis, n’y tenant plus, l’avait assise sur le bureau, lui avait remonté le chemisier au-dessus des seins, les avait sortis du soutien-gorge, l’avait embrassée à pleine bouche, lui avait remonté la jupe à la taille, l’avait déculottée, avait sorti sa queue, et l’ avait prise, sur le bureau, sans capote. Sans s’occuper de lui donner du plaisir, il l’avait pilonnée, profondément, et avait joui en elle, en la traitant de salope. Puis, sortant de sa chatte, il lui avait dit de se réajuster avant que la femme de ménage arrive... Ma femme était alors sortie du bureau, avec le sperme de son patron qui lui dégoulinait entre les cuisses, et, toute fière de son coup, avait pris sa voiture, pour me raconter ses exploits... Je la félicitais chaleureusement, et, très excités tous les deux, nous fîmes l’amour sans qu’elle soit allée se doucher, et nous primes énormément de plaisir ensemble. Je lui demandais alors de se laisser faire aussi souvent que Gilles la sollicitait, et elle me promit de la faire... Depuis, son patron la prend de temps en temps, toujours sans se préoccuper du plaisir qu’elle prend : il jouit en elle, et lui demande de partir aussitôt. De temps en temps, il se fait sucer, et se finit dans sa chatte, mais le plus souvent, il l’enfile, elle sur le dos sur le bureau, les jambes remontées et lui la prend debout... il a un sperme abondant, qui ensuite, souille sa jupe ou sa robe, mais cela nous plait assez pour supporter ces petits inconvénients... Ce qui me plait énormément dans ce jeu, c’est qu’elle se soumet aux désirs de son patron. Ma femme est en général très excitée de tout me raconter, et nous faisons l’amour ensemble. Ses orgasmes alors sont plus forts et je profite du moment où elle jouit, pour la traiter de salope et lui claquer les fesses. Si la fessée arrive au bon moment, elle augmente encore sa jouissance...

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Un mari offre son épouse à un pervers sexuel afin qu'il abuse d'elle en sa présence.

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J’ai Offert ma Femme à un Ami

Je m’appelle Farid, j’ai 42 ans. Ma femme est une jolie brune aux yeux bleus, assez petite (1m60), pour 50 kg. Bien faite, de type maghrébin, elle a de beaux seins en trompette (85 B). Elle est plutôt réservée, mais son fantasme était que son patron (Gilles Fitoussi, un homme BCBG d’environ 10 ans de plus qu’elle), la convoque a son bureau, et, pendant qu’il lui ordonnerait de prendre des notes, passerait sa main sous sa jupe, en l’obligeant à continuer à noter...

Je lui suggérai, le jour où elle me révéla ce fantasme, d’essayer d’inciter son patron à transformer ce fantasme en réalité. Elle parut étonnée de ma demande, mais je lui expliquai que cette situation m’exciterait beaucoup, de l’entendre me raconter ce qu’il lui ferait. La sentant excitée par ce projet, je me mis, à chaque fois que nous faisions l’amour, à lui proposer de penser que son patron la faisait venir à son bureau. À partir de ce moment, ses orgasmes furent plus forts, et je pris l’habitude de ponctuer le moment où elle jouissait, de claques assez fortes, sur les fesses, qui augmentaient son plaisir de femme soumise.

Jolie comme elle est, je ne me faisais pas d’illusion : je savais bien qu’un jour prochain, elle se retrouverait avec la main de son patron dans la culotte : j’avais raison, de ne pas me faire d’illusions, car, quelques semaines plus tard, je la croisai en voiture, près de chez nous, et, ouvrant la vitre, me montra sa culotte, en me disant avec un grand sourire : c’est mon patron qui me l’a enlevée ! Je lui demandai de me raconter, mais nous gênions la circulation, et je devais aller à une réunion. nous convînmes alors qu’elle me dirait tout le soir même... inutile de vous dire combien j’étais excité pendant ma réunion, et je fus de retour aussitôt celle-ci terminée...

Je dus attendre que nos trois enfants soient couchés, pour qu’elle me raconte enfin : l’après-midi, vers 17 heures, quand tout le monde avait quitté le bureau, son chef l’avait appelée, et lui avait demandé de lui apporter un dossier : debout près de lui, elle lui avait commenté le dossier, et avait senti la main du patron passer sous sa jupe, puis monter jusqu’à ses fesses.

Elle n’avait pas bougé, le laissant faire, et, se sentant autorisé à continuer, son chef lui avait écarté le string, l’avait fouillée, doigtée, puis, n’y tenant plus, l’avait assise sur le bureau, lui avait remonté le chemisier au-dessus des seins, les avait sortis du soutien-gorge, l’avait embrassée à pleine bouche, lui avait remonté la jupe à la taille, l’avait déculottée, avait sorti sa queue, et l’ avait prise, sur le bureau, sans capote. Sans s’occuper de lui donner du plaisir, il l’avait pilonnée, profondément, et avait joui en elle, en la traitant de salope. Puis, sortant de sa chatte, il lui avait dit de se réajuster avant que la femme de ménage arrive... Ma femme était alors sortie du bureau, avec le sperme de son patron qui lui dégoulinait entre les cuisses, et, toute fière de son coup, avait pris sa voiture, pour me raconter ses exploits...

Je la félicitais chaleureusement, et, très excités tous les deux, nous fîmes l’amour sans qu’elle soit allée se doucher, et nous primes énormément de plaisir ensemble.

Je lui demandais alors de se laisser faire aussi souvent que Gilles la sollicitait, et elle me promit de la faire... Depuis, son patron la prend de temps en temps, toujours sans se préoccuper du plaisir qu’elle prend : il jouit en elle, et lui demande de partir aussitôt. De temps en temps, il se fait sucer, et se finit dans sa chatte, mais le plus souvent, il l’enfile, elle sur le dos sur le bureau, les jambes remontées et lui la prend debout... il a un sperme abondant, qui ensuite, souille sa jupe ou sa robe, mais cela nous plait assez pour supporter ces petits inconvénients... Ce qui me plait énormément dans ce jeu, c’est qu’elle se soumet aux désirs de son patron.

Ma femme est en général très excitée de tout me raconter, et nous faisons l’amour ensemble. Ses orgasmes alors sont plus forts et je profite du moment où elle jouit, pour la traiter de salope et lui claquer les fesses. Si la fessée arrive au bon moment, elle augmente encore sa jouissance...

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J’ai alors eu envie d’aller plus loin, tout en lui demandant de continuer à accepter les assauts de son patron : je voulais pouvoir assister à ses ébats, ce qui est bien sur impossible quand elle est à son bureau.

J’ai un vieil ami, beaucoup plus vieux que nous (il a 62 ans, et elle en a 38), qui est un partouzeur acharné, et qui me raconte parfois ses exploits : je lui demandais récemment s’il aimerait baiser ma femme, qu’il connait un peu. Il me répondit sans hésiter qu’il la trouvait canon, et qu’il adorait son air de petite maghrébine bourgeoise. Il ajouta qu’il serait très heureux de la baiser devant moi, et de transformer cette petite beurette en petite pute...

Ravi par cette perspective, je rentrais à la maison, et, une fois couché, je racontais à ma femme que je venais de montrer des photos d’elle nue, à mon ami Pierre, qui exerce d’importantes responsabilités dans une administration avec laquelle elle est en relation. Je la sentis un peu paniquée par cette révélation, et ajoutais que j’avais envie qu’elle se laisse faire si il voulait la baiser, lui aussi.

D’abord, elle refusa en me disant qu’il était trop vieux et qu’il ne lui plaisait pas. Je répondis alors que j’avais laissé les albums de photos à Pierre, ainsi que le numéro de téléphone de ma femme, et qu’il l’appellerait dans les jours à venir, pour lui dire ce qu’il attendait d’elle pour lui rendre ses photos.

Ma femme était furieuse, et refusa de faire l’amour avec moi ce soir-là.

Le lendemain, Pierre m’appela pour me demander si j’avais parlé de lui à ma femme, et je lui racontai. Il rit, et me proposa de se faire inviter à dîner, un de ces soirs... il ajouta qu’il ferait ses recommandations à ma femme directement, mais que j’avais intérêt à monter le chauffage si je ne voulais pas qu’elle attraper froid... Nous raccrochâmes en riant, et j’attendis la suite...

Cela ne se fit pas attendre : le soir même, ma femme me dit que Pierre l’avait appelée, et qu’il venait dîner le lendemain, puisque nos trois enfants étaient chez leurs Grands-Parents. Elle était stressée, et me dit qu’il voulait qu’elle le reçoive habillée seulement de bas et d’un porte jarretelles, de chaussures à talons, et d’un haut en voile transparent, sans aucun sous-vêtement, et qu’elle ait le sexe entièrement épilé. Il devait arriver quand elle serait encore seule à la maison, une heure avant mon retour, et qu’elle devrait se comporter avec lui comme une soumise parfaitement obeissante.il voulait qu’elle prépare un dîner fin, et qu’elle nous serve, sans que nous participions en aucune façon au service : il voulait être traité comme un seigneur... il avait ajouté qu’elle n’avait de toutes façons pas le choix, car les photos qu’il avait intéresseraient probablement un ou deux de ses collaborateurs avec qui son travail la mettait en relation quotidiennement.

Ma femme semblait furieuse, mais elle ne fit rien pour se soustraire à cette situation. Le lendemain, elle posa une demi-journée de congé, pour pouvoir préparer le repas commandé par mon ami, et se rendit chez son esthéticienne qui lui fit une épilation totale...

Mon ami m’appela le matin pour prendre des nouvelles : je lui racontai la mauvaise humeur de ma femme, mais aussi qu’elle avait accepté la situation... il me confirma qu’il serait chez moi vers 18 heures, et me demanda de ne pas rentrer avant 19 heures, car il voulait que ma femme se laisse prendre en mains... J’étais si excité que je lui confirmai mon accord sans réserve, en lui donnant carte blanche : il pouvait faire absolument tout ce qui lui passait par la tête...

Le soir venu, j’eus beaucoup de mal à attendre 19 heures pour rentrer. Je me garai un peu plus tôt, assez loin de la maison, et m’approchai suffisamment pour voir la voiture de mon ami, rangée à côté de celle de ma femme.

La nuit était tombée, et j’essayais de m’approcher de la maison, mais je ne vis presque rien... j’aperçus seulement une fois ma femme qui passait dans le couloir de l’entrée, habillée comme le lui avait demandé mon ami : ses fesses, ses seins étaient parfaitement visibles au travers de son haut en voile noir, et elle portait un plateau sur lequel elle avait disposé deux verres.

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À 19 heures tapantes, j’ouvris la porte doucement, espérant les surprendre... la vision de ma femme, à quatre pattes, devant mon ami, qui contemplait son cul, ses fesses écartées, ses seins, tout en me faisant signe d’approcher, suffit à me faire bander immédiatement comme un âne !

Pierre me sourit, et, tout en enfonçant un ou deux doigts dans la chatte de ma femme, me souhaita la bienvenue chez moi. Il me déclara que ma femme était une hôtesse délicieuse, et qu’elle lui avait donné une douche, qui l’avait délassé, puis avait soulagé sa tension en lui faisant une fellation délicieuse, qu’il avait appréciée au point de permettre à ma femme d’avaler sa précieuse semence, ce qu’elle avait fait avec application. Il attendait maintenant mon retour, avant de se faire servir un apéritif...

Ma femme se releva, à sa demande, et nous servit un whisky, qu’elle nous apporta en silence. Ensuite, il me montra la souplesse incroyable de ma femme, en lui demandant de se pencher devant lui : ma femme prit alors ses jambes dans ses bras, lui montrant son anus et son sexe épilés, à hauteur de ses yeux. Amusé, il lui enfonça un glaçon dans son petit trou, en l’obligeant à rester dans cette position...

Il était seulement vêtu d’un slip, et l’enleva alors. il prit ma femme par la main, l’allongea dans un fauteuil, lui releva les jambes en les passant sur ses épaules, et, après avoir pris un peu de sa cyprine sur son sexe, présenta sa verge sur l’anus de ma femme, soigneusement enduit... sans effort, il entra en elle, et je vis, pour la première fois, ma femme se faire sodomiser... il entrait en elle complètement.

Elle grimaça un peu, puis se détendit, et il commença alors des allées et venues en elle. Ses seins bougeaient au rythme de ses coups de bélier, et elle gémissait à chaque fois qu’il s’enfonçait. Pour faire glisser mieux la peau de sa verge dans l’anus de ma femme, il fit couler un peu de salive : il crachait sur ce cul écarté et l’enculait pour la première fois... j’étais aux anges...

Ma femme gardait presque toujours les yeux clos, mais, parfois, les ouvrait, et souriait de nous voir aussi excités...

Lorsqu’il sentit qu’il allait jouir, Pierre accéléra sa cadence, et traita ma femme de belle salope, tout en lui déchargeant son sperme dans le cul. Elle souriait en le regardant jouir, et semblait prendre du plaisir à le soulager...

Pour un sexagénaire, il était plutôt performant : deux éjaculations en deux heures !

Il sortit du derrière de ma femme, et essuya son sexe sur la chatte toute lisse. Il lui donna une claque aux fesses, et lui ordonna de nous servir à manger...

Elle allait aller se rafraichir, quand il la rappela en lui disant : « Si je veux que tu ailles te laver, je te le dirai. Pour le moment, je veux que tu restes comme ça : pas d’initiative, ma petite salope, tu fais ce que je te demande. Compris ? »

Elle était un peu vexée, et le prit de haut : « Je veux bien jouer un peu, mais il y a des limites : je ne vais pas demander l’autorisation pour aller aux toilettes, quand même ! »

Mon ami lui prit alors le bras, et l’attira contre lui. Elle était debout, et entre ses jambes ouvertes. Lui, assis, lui tenait le poignet. Je ne m’y attendais pas : il lui tordit le poignet, l’obligeant à se pencher en avant. Elle se retrouva en position allongée sur son genou gauche. Sans desserrer l’étreinte du bras, de son autre main, il la releva, pour la faire passer sur l’autre jambe aussi, et la bloqua dans cette position. Alors, il lui asséna une très forte fessée, qui la fit crier.

Après une quinzaine de claques très fortes, qui lui avaient boursouflé les fesses, elle criait, et voulait qu’il arrête. Il arrêta alors et lui dit : « Je veux que tu me demandes la permission pour tout, et tu m’appelles Monsieur, pour me parler. Tu as compris ? »

Ma femme se rendit immédiatement, et lui dit : « Oui ». Une autre claque lui rappela qu’elle devait dire « Monsieur »... « Oui, Monsieur, » dit-elle entre deux sanglots.

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Pierre caressa alors les fesses rougies, et enfila deux doigts dans sa chatte : il me montra la cyprine qui s’était déposée sur ses doigts, et d’un clin d’œil, me fit comprendre que ma femme était excitée d’être traitée avec brutalité par un homme dominateur...

À partir de ce moment, Pierre se fit servir, attrapa ma femme par les cheveux pour l’embrasser ou se faire sucer... Il la prit sur ses genoux pour lui caresser les seins, pour lui rouler des pelles, lui doigter la chatte ou l’anus...

Après le dîner, il ordonna à ma femme de débarrasser la table et de ranger la cuisine, puis il lui ordonna de sortir la poubelle dans la tenue ou elle était. Nous habitons dans une impasse, et je n’étais pas inquiet qu’elle soit vue par les voisins, couchés à cette heure-là.

Mais cela me plaisait que Pierre traite ainsi ma femme, et la fasse sortir de la maison, de son cocon protecteur.

Il me dit à l’oreille qu’il sortait la chienne...

Il l’accompagna, et me fit signe de regarder par la fenêtre : elle portait la poubelle et il la tenait par la main. Il avait relevé le haut en voile, et elle marchait, les fesses nues, à la lueur du réverbère. Sous le halo de lumière, je la vis se baisser, puis se mettre à quatre pattes. Je n’en revenais pas : il lui faisait faire ses besoins devant lui, dehors, à quatre pattes comme une chienne. Elle qui d’habitude s’enfermait pour aller aux toilettes, était en train de pisser devant mon ami, dans une posture de soumission humiliante... Il souriait en me faisant signe qu’il était ravi.

Moi, j’étais stupéfait... et je bandais encore... Je n’avais pas joui de la soirée, me tenant un peu à l’écart de mon ami, et de ma femme, ne manquant rien du spectacle...

Quand elle eut fini son pipi du soir, je la vis s’essuyer de la main, et, alors que je pensais qu’ils allaient rentrer, je les vis partir, s’éloignant vers l’entrée de l’impasse.

Je sortis à mon tour de la maison, pour continuer à regarder : ma femme avançait, retroussée jusqu’à la taille. Ses fesses nues faisaient une tache claire dans la nuit. Il faisait frais. Mon ami la tenait par la main. Au loin, on apercevait d’autres réverbères, devant d’autres maisons. Pas de voitures...

Mon ami s’arrêta, et me fit signe de la rejoindre. Ma femme avançait seule, devant nous.

« Tu as une salope parfaite, » me dit Pierre. « J’en fais ce que je veux. Tu me la prêtes pour la nuit ? Je voudrais la ramener chez moi, dans cette tenue, et demain matin je te la fais déposer devant la porte. Je branche la webcam, et on se connecte sur Skype : tu vois tout, mais elle ne le sait pas. Je voudrais la baiser encore une fois ou deux, et si je peux, j’appelle un ami, qui bosse avec moi, et qui la connait par son boulot, pour qu’il vienne prendre le petit déjeuner avec nous. Je pense que s’il la voit dans cette tenue, elle ne pourra rien lui refuser... S’il est dispo, je la lui fais baiser, et c’est lui qui la ramènera demain matin. Qu’en penses-tu ? »

Je lui donnais immédiatement mon accord. Pierre rappela ma femme, qui revint vers nous et il lui apprit la suite du programme : « Je t’amène à la maison. Ton mari te prête pour la nuit. Pas besoin de prendre tes affaires : tu restes comme ça. Demain matin tu auras le temps de venir te préparer avant d’aller au bureau. Embrasse ton mari, et va m’attendre à quatre pattes près de la voiture. »

Ma femme me tendit ses lèvres, et en lui malaxant les seins, je lui dis d’être bien obéissante. Elle acquiesça sans un mot, puis s’éloigna et alla se mettre à quatre pattes près de la voiture de Pierre.

Je demandai à Pierre de ne pas oublier de brancher Skype, et lui souhaitai bonne nuit. Je lui déclarai que j’allais me branler en les regardant...

Pierre me demanda si j’acceptais que son collègue la baise aussi sans capote. Il me précisa qu’il est clean : « Au contraire, lui dis-je, ça m’excite de la voir pleine de foutre... »

Avant de retourner près de ma femme, Pierre appela son collègue sur son portable : « Tu es seul ? Ça te dirait de baiser Naïma, tu sais la secrétaire de Gilles Fitoussi ? Oui, elle est complètement soumise.

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Son mari me la prête. Mais je te préviens, on branche la webcam pour qu’il mate. Elle n’est pas prévenue que tu seras là. Ça va lui faire une surprise ! Tu vas voir, elle est épilée, un vrai petit lot ! Va chez moi, et attends nous : on sera là dans une demi-heure. Branche la webcam, et allume les lumières de l’appart. Tu vas voir, ça va être mignon dans l’ascenseur : elle est quasiment à poils... quand l’appart est prêt, attends nous dans le parking sous-terrain : cache toi, elle ne saura pas où se mettre quand elle va te reconnaître... »

J’étais super excité, et un peu inquiet à l’idée de mettre ma femme dans cette situation... mais surtout super excité !

Je dus attendre plus d’une demi-heure, pour les voir arriver, par la webcam, dans la chambre de Pierre. Ma femme était complètement nue maintenant, et je vis un inconnu lui bouffer la chatte pendant que Pierre se faisait sucer... Elle fermait les yeux, mais son bassin ondoyait et ses fesses se crispaient. Puis, l’inconnu quitta le sexe de ma femme, pour à son tour, donner sa queue à sucer à ma femme. Pierre installa ma femme en levrette, et entreprit de la baiser pendant qu’elle s’appliquait sur la queue de l’autre.

Je pense qu’ils jouirent ensemble, car je les vis se crisper, et s’immobiliser, l’un dans la bouche de Naïma, et l’autre dans son sexe.

Du sperme s’écoulait maintenant de sa bouche.

Je vis Pierre s’allonger : il semblait fatigué, et s’apprêtait à dormir, laissant ma femme rassasier son ami. Lui, n’avait joui qu’une fois, et semblait prêt à d’autres exploits. il n’avait pas quitté la bouche de ma femme, et lui tenait la tête pour la baiser par la bouche.

Je n’avais pas de son, mais j’ai joui enfin, à longs jets, en la regardant subir une gorge profonde, loin de moi...

Pierre s’endormait, et son collègue s’amusa à amener le visage de ma femme sur la queue de mon ami, enfin ramollie...

Naïma était à quatre pattes, et son cul était en premier plan, grâce à la caméra bien placée. L’inconnu lui claquait les fesses, la tripotait, la doigtait. Elle subissait tout.

Je vis encore l’inconnu la sodomiser, après lui avoir enduit le cul de pommade. Probablement de la vaseline... il s’enfonça en elle jusqu’au bout de sa queue, et défonça ma femme avec entrain. Il jouit encore en elle.

Je m’endormis probablement à peu près en même temps qu’eux, et fus réveillé par ma femme, qui rentrait à la maison, toujours dans la même tenue, accompagnée par le collègue de mon ami, qui voulut faire ma connaissance, et me déclara qu’ils étaient convenus, Pierre et lui, de voir Naïma une à deux fois par semaine, si j’étais d’accord.

Je lui donnais mon accord. Naïma demanda ce qu’elle ferait quand elle aurait ses règles : « Tu nous donneras ta bouche, et ton cul, » lui répondit son nouvel amant... « Et en attendant, va prendre une douche, et habille-toi : je t’amène au boulot. Ne mets pas de culotte : désormais c’est inutile. Et rappelle-toi : si tu désobéis, je te grille à ton boulot. »

Ma femme lui répondit : « Je sais, je ne désobéirai pas. »

Pierre me rappela dans la journée, pour me demander ce que j’avais pensé de la soirée. Je lui confirmais que j’étais super content, et que ma femme était à sa disposition, quand et où il voulait...

C’était la nuit dernière... je suis certain qu’il y en aura d’autres. Et je l’espère. Ma femme est au bureau en ce moment : je ne sais pas si son patron va passer sa main sous sa jupe, mais, s’il le fait, il aura la surprise de la trouver le cul nu...

Elle est donc rentrée à la maison hier matin, et m’a tout raconté : son effroi lorsque le collaborateur de Pierre les avait rejoints dans le parking, et la honte qu’elle avait ressentie en se trouvant face à lui,

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pratiquement nue, et traitée comme un objet par Pierre, qui avait dit à son collègue : Regarde, toi qui la trouvais mignonne, tu n’aimerais pas disposer de notre petite Naïma ? Je t’en prie, ne te gêne pas, elle est à notre disposition ! C’est son mari qui nous l’offre !

Aussitôt, le complice de Pierre s’était approché, et l’avait palpée, et embrassée, en assortissant ces gestes de commentaires du genre : « Belle petite ! Tu es encore plus bandante habillée comme ça ! J’ai bien envie que tu sois ma petite princesse... Viens avec moi, je vais voir si tu es aussi coincée maintenant que tu as le cul nu ! » Et aussitôt, il l’avait emmenée dans l’appartement de Pierre, lui faisant passer une nuit pendant laquelle elle avait été leur soumise, s’offrant à leurs queues, sans rien pouvoir leur refuser.

Après m’avoir raconté sa nuit, ma femme alla se doucher, et se préparait à aller à son travail, quand le téléphone sonna. Je décrochai, et entendis Pierre : « Salut, Farid. Merci pour hier soir, ta femme a été très coopérante. Tu as pu regarder ? » Je lui répondis qu’elle venait de rentrer, et que je le rappellerais pour faire le point avec lui. Je ne voulais pas que ma femme sache que j’avais assisté à sa nuit par webcam... Pierre me demanda alors à parler à ma femme. Je passai donc le combiné à Naïma et mis le haut-parleur pour écouter.

« Bonjour Naïma. J’espère que tu as pu dormir un peu, et que tu seras en forme aujourd’hui. » (J’entendis ma femme lui répondre que ça allait, et elle avait un ton doux et intimidé).

Pierre la reprit : « Termine ta phrase par Monsieur, comme je te l’ai déjà dit ! » Ma femme dit : « Pardon Monsieur. »

J’étais stupéfait : ma femme était complètement sous l’influence de Pierre, et ne cherchait pas à se rebeller.

Pierre reprit : « Ce matin, pas la peine de chercher tes sous-vêtements : tu ne mets ni culotte, ni soutien-gorge. Choisis une jupe au genou, mets des bas, et un chemisier. Je veux que tu aies l’air bourgeoise, mais que tu sentes que tu as les fesses à l’air. Boutonne ton chemisier assez haut. Tes seins libres doivent rester cachés. »

« Ce midi, tu passeras au bureau de Jérôme, il a envie de profiter de toi, pendant sa pause-déjeuner. Il te donnera les clés de mon appartement, et ce soir, en sortant du travail, tu viens directement chez moi, et tu m’attends. Je veux que tu enlèves ta jupe, mais pas ton chemisier, que tu fermes par un seul bouton. Je veux que tu sois en place à 18 heures. Un ouvrier doit passer pour réviser la chaudière : tu le recevras comme cela. S’il se montre entreprenant, je veux que tu te montres compréhensive. Tu lui donnes ce qu’il veut, s’il tente quelque chose. Mais fais lui comprendre qu’il ne faut pas que je te trouve avec lui quand je rentrerai. Débrouille-toi pour qu’il soit parti à 19 h 30. Je serai à la maison à 20 heures précises. Douche-toi, parfume-toi. »

« Nous irons diner en ville : fais-toi belle. Il est possible qu’un ami nous rejoigne. Tu ne rentreras pas chez toi ce soir : prévois une autre tenue pour demain. Je t’amènerai à ton bureau. Je t’interdis de te laisser baiser par ton mari ce matin : désormais c’est moi qui décide qui te touche, et quand on te touche. Même ton mari. Compris ? »

Ma femme répondit alors : « Oui, Monsieur. »

Pierre coupa alors la communication. Je voulus prendre ma femme dans mes bras : elle s’écarta, en me disant : « Tu as voulu que je sois soumise, alors je suis soumise. Tu m’as livrée à Pierre. C’est ton choix. Je lui obéirai. Ne me touche pas. »

Et elle s’éloigna. Je vis une goutte de cyprine perler sur le bord de la lèvre épilée de sa chatte... Je le regardai s’habiller, appliquant scrupuleusement les consignes données par Pierre. J’étais très excité, et le lui dis. Elle sourit, et m’avoua que la situation lui plaisait bien, à elle aussi.

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Je lui demandais si elle avait pris du plaisir la nuit dernière, et elle m’avoua qu’elle avait eu plusieurs orgasmes, très violents, et qu’elle avait été étonnée de prendre aussi facilement du plaisir à cette situation humiliante.

Je la félicitais de se prêter à notre jeu avec autant de docilité, et la regardais partir au travail...

J’appelai Pierre, qui me confirma que le plombier était un de ses complices, et qu’il était très content de pouvoir tirer un coup ce soir. Et il me proposa de laisser la webcam en marche pour que j’assiste à une partie des ébats...

Nous nous mîmes d’accord pour nous rappeler dans la soirée, et je partis moi aussi à mon travail...

Un de mes interlocuteurs habituels, sur ma messagerie favorite, me demandait avec insistance, depuis plusieurs mois, de lui présenter Naïma, avec qui il avait envie de passer un moment. Toutefois, j’avais hésité à en parler à ma femme, parce que les projets de mon correspondant étaient très éloignés des goûts de Naïma…

Étienne, est en effet, un adepte du bondage, de la contrainte, et il désirait que ma femme soit sa prochaine « victime ». Il m’avait longuement expliqué qu’il désirait disposer d’elle, dans un endroit tranquille, où il pourrait l’attacher, et abuser d’elle. J’avais bien essayé d’en discuter avec ma femme, mais, dès que j’abordais le projet de la faire attacher par un inconnu, elle se fermait dans un refus têtu. Pourtant, je dois reconnaître que l’idée me tentait beaucoup… Depuis quelques mois, je constate que Naïma s’habitue à être offerte à d’autres hommes. Elle est moins difficile à convaincre, et il n’y a plus eu de refus de sa part, depuis bien longtemps. Je décidais donc de la livrer à Étienne, sans la prévenir des exigences de mon ami.

Un mardi soir, du mois de juin dernier, donc, je l’informai que, vers 19 heures, elle était attendue par un de mes amis, avocat de métier, dans les anciens bureaux de ma société, encore meublés mais inoccupés depuis que j’ai déménagé ma production en dehors de la ville. Je lui précisai qu’elle devait se rendre au rendez-vous vêtue d’une jupe, d’un chemisier, et de sous-vêtements blancs. Elle devait aussi prévoir un petit gilet pour le cas où nous sortirions ensuite pour diner tous les trois… Elle s’étonna que je sois présent, car elle sait que ce qui me plait le plus, c’est de l’envoyer retrouver un homme, puis qu’elle revienne me raconter tout, sans rien oublier… Je lui répondis que je ne savais pas encore si je viendrais : cela dépendrait des exigences d’Étienne…

A l’heure dite, Naïma se présentait dans mon ancienne entreprise, et elle fut accueillie par Étienne, qu’elle n’avait encore jamais rencontré. Il est à peu près tout ce qu’elle n’aime pas : plutôt gros, pas très grand, il fume beaucoup, boit trop, et a la réputation d’aimer les situations glauques. Ma femme, le découvrant, regretta d’être venue, dès qu’elle le vit. Mais il était un peu tard pour fuir, et surtout, elle ne sait pas dire non, en particulier quand je la présente à des hommes surs d’eux.

Étienne est très sûr de lui. Aussitôt Naïma arrivée, il lui prit la main, et l’amena dans mon ancien bureau. Il ferma la porte derrière lui, afin d’éviter d’être dérangé par un visiteur importun… Ma femme était enfermée avec un véritable obsédé sexuel : à peine la porte refermée, il ordonna sèchement à Naïma de se mettre nue : « Mets-toi à poils salope, que je voie ton cul »… Ma femme, un peu surprise, mais obéissante, commença à déboutonner son chemisier.

Pendant ce temps, Étienne avait allumé un cigare, et contemplait ma femme, assis dans un fauteuil, dans l’angle du bureau. Un peu intimidée, Naïma ne savait pas où regarder. Elle baissait la tête, et se retrouva en jupe, et posa le chemisier sur une chaise… « Continue ma beauté, que je mate tes miches ! »… Elle descendit la fermeture de sa jupe, qu’elle enleva, sagement. Elle était maintenant en sous-vêtements devant ce gros homme vulgaire… « Enlève-moi tout ça, ma biche, et donne-moi ces jolies petites choses. » Naïma dégrafa son soutien-gorge, et le tendit à Étienne. Ses superbes seins étaient exposés au regard d’Étienne, qui tendait maintenant la main vers la culotte. Naïma baissa le minuscule vêtement, et fut enfin nue devant son tortionnaire.

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Sans se lever de son fauteuil, il fit signe à Naïma d’approcher, et quand elle fut assez près de lui, il tendit sa grosse main vers les fesses de ma femme, qui se retrouva empoignée par ce gros vicieux. Il ne prit aucune précaution, et ne chercha jamais à lui donner du plaisir : il voulait la malaxer, la dominer… il pinça ses seins, claqua ses fesses, et s’engouffra sans douceur dans son sexe délicat… il la força à se mettre à genoux, devant le canapé du bureau, et, sans qu’elle puisse se dégager, il lui attacha les poignets au montant du canapé, avec du scotch à cartons d’emballage, qu’il avait trouvé dans le dépôt désert…

Ma femme se retrouva les bras en croix, agenouillée devant un canapé. Bientôt, alors qu’elle ne pouvait pas se débattre, elle eut les genoux liés à chacun des pieds du canapé. Elle était crucifiée à genoux… Étienne entreprit alors de la fouiller, prenant possession avec ses gros doigts, de l’intimité de Naïma. Il entra deux, puis trois doigts dans cette petite chatte épilée, puis entreprit de forcer l’anus si serré qu’elle voulait préserver…

Naïma ne s’attendait pas à ce traitement. Elle se sentait humiliée, salie, méprisée, mais son tempérament de soumise l’incitait à ne rien dire : elle se laissait faire, mais n’y prenait aucun plaisir. Elle reçut de fortes claques aux fesses : il lui donnait une fessée douloureuse, de ses grosses mains qui marquaient ses fesses de larges traces rouges et boursouflées. Elle gémissait, mais elle n’avait pas réellement mal : elle sentait quelque chose d’un peu excitant dans ces claques qui la ramenaient à l’enfance…

Après l’avoir fouillée, visitée, malaxée, et battue, Étienne eut envie de jouir… il s’agenouilla derrière Naïma, baissa son pantalon, et sortit sa grosse queue de son slip. Il cracha un peu de salive sur les fesses de Naïma, et, mouillant son gland dans ce crachat, pénétra Naïma d’un coup, lui enfonçant son membre au fond de ses entrailles… Il lui bourra le sexe comme une brute, et ne tarda pas à jouir, en gueulant, et lui remplissant le vagin de grandes giclées de sperme. Après s’être complètement vidé de son foutre, dans le sexe de Naïma, il sortit sa queue du ventre de ma femme, se rajusta, et, lui assénant une ultime, et très forte claque au cul, lui déclara : « Tu es une bonne pute. Je dirai à ton mari de te ramener ici de temps en temps. Quand tu reviendras, je veux que tu portes ça. » Joignant le geste à la parole, il passa un collier de chien en cuir rouge autour du cou de Naïma. Il fixa au collier une laisse de métal, dont il fit pénétrer la sangle dans l’anus rougi de ma femme.

Content du spectacle que lui offrait ma femme, attachée écartée à un canapé, de dos, avec le bout d’une laisse dans l’anus, et des gouttes de sperme qui s’écoulaient du sexe béant, il annonça à ma femme qu’il partait, en laissant la porte ouverte, pour que son mari n’ait pas de difficulté à venir la libérer… Ma femme était paniquée, à l’idée que quelqu’un pourrait la trouver dans cette posture, et lui demanda de la détacher, mais il sortit en riant, laissant la porte ouverte, et la lumière allumée…

Ma pauvre femme était en larmes lorsque j’arrivais : elle avait honte d’avoir été humiliée et m’en voulait de l’avoir poussée dans ce piège. Elle ne savait pas qu’Étienne m’avait appelé en quittant le bureau, et qu’il avait attendu devant le dépôt, pour protéger ma femme de visiteurs imprévus…

Je mis au moins cinq minutes à la libérer de tout le scotch qui la liait au canapé. Quand elle fut enfin débarrassée de ses entraves, Naïma se releva, toute endolorie d’être restée attachée si longtemps dans cette position inconfortable. Elle me demanda de l’aider à enlever le collier de chien, et le jeta dans la poubelle du bureau. Elle s’aperçut alors qu’Étienne était sorti en emmenant ses vêtements. Je lui prêtai ma veste, qui suffisait à l’envelopper complètement.

Naïma était furieuse, et sortit la première, me laissant fermer le dépôt sans m’attendre.

Elle fut stupéfaite de retrouver, près de sa voiture, Étienne qui l’attendait en souriant. Comprenant qu’elle s’était inquiétée pour rien, elle se détendit, et je les retrouvais riant ensemble de la peur de Naïma.

J’entendis alors ma femme avouer à Étienne qu’elle avait été excitée par sa façon de la malmener, et qu’elle avait bien aimé qu’il se serve d’elle comme il l’avait fait.

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J’étais à la fois soulagé de l’entendre reconnaître son excitation, et très excité, à mon tour, par la perspective qu’elle venait de m’ouvrir… Étienne avait changé de comportement avec elle : il était redevenu prévenant, et agréable. Tout à coupe, il déclara : « Je vous emmène dîner à la Pointe Rouge. Je connais un restau sur la plage, très sympa. Il y a une belle terrasse : il fait doux ce soir, ça va être agréable. Toi, Naïma, remets ta jupe et ton chemisier, mais je garde les sous-vêtements : je te les ramènerai au bureau demain… Farid, suis-nous avec ta voiture : j’ai envie de ramener Naïma ce soir. Elle laissera sa voiture ici. Tu es d’accord ? » « Avec joie, » lui dis-je !

Naïma enfila jupe et chemisier, et je la vis s’installer dans la voiture d’Étienne, qui démarra aussitôt. Nous nous rejoignîmes devant le restaurant, et je notai que le chemisier de Naïma était bien trop ouvert pour un dîner en ville : on apercevait son torse jusqu’à la naissance de ses seins libres sous le fin tissu… mais Naïma ne semblait pas s’en soucier. Étienne la prit par la main, et je suivais. Arrivés au restaurant, j’entendis mon ami demander une table pour deux. Un peu surpris, je les regardai s’installer au fond de la terrasse, près de la cuisine. Je décidai de jouer le jeu, et fis comme si nous n’étions pas ensemble, me dirigeant vers une table éloignée où je m’installai. Ma femme me tournait le dos, et j’étais face à Étienne. Naïma se retourna une seule fois, me sourit, haussa les épaules comme pour me dire « c’est comme ça… », puis s’assit et ne s’occupa plus de moi.

Il y avait encore deux tables occupées, mais la soirée était déjà bien avancée, et les derniers clients finissaient de dîner.

Je vis le serveur, un jeune homme plutôt mignon, s’approcher pour prendre la commande. Il ne manqua pas de constater que les seins de Naïma ne demandaient qu’à prendre l’air. Je pense que c’est volontairement qu’i resta debout près d’elle pour prendre la commande de leur dîner. Étienne semblait très à l’aise, et blaguait avec lui…

Quelques instants plus tard, je vis Étienne faire signe au serveur de s’approcher, et il lui dit quelques mots à l’oreille. Je vis le jeune homme acquiescer, et il se tourna vers Naïma, qui se leva, et lui suivit, lorsqu’ il se dirigea vers la sortie. Aussitôt qu’ils furent sortis, Étienne vint me rejoindre et me dit : « Je l’ai envoyée se changer, et il l’accompagne pour qu’elle ne soit pas seule à cette heure sur le parking. »

Quelques minutes plus tard, Naïma revenait dans le restaurant, suivie par le serveur. Elle ne portait plus son chemisier, mais le petit gilet de coton blanc très fin, sans bouton, noué devant par un cordon. Ses seins étaient à peu près aussi visibles que si elle n’avait rien porté du tout… je compris en regardant la bosse qui déformait le pantalon du serveur, qu’elle avait changé de vêtement devant lui… il avait les joues rouges, et semblait ravi de l’aubaine.

L’un des clients, encore installé à une table peu éloignée, fixait ma femme, se demandant probablement ce qui était en train de se passer. Sa femme dut le rappeler à l’ordre, car il demanda l’addition, et ils partirent peu après, non sans que l’homme ait pris soin de passer tout près de ma femme en sortant, se rinçant l’œil une dernière fois…

Les derniers clients partis, à part moi, qui me faisais discret, je regardais avec passion ce qui se passait à la table de ma femme. Je vis Étienne faire signe à Naïma de relâcher un peu le gilet, et elle s’exécuta aussitôt. Comme par enchantement, le serveur apparut peu après, pour apporter une carafe d’eau, et se pencha au-dessus de Naïma, en la matant sans se gêner.

Étienne lui demanda quelque chose à l’oreille, et je le vis acquiescer avec joie. Il se pencha alors sous la table pour ajouter une cale sous un pied de table. Je vis distinctement Naïma ouvrir les jambes, pendant que le serveur était accroupi sous la table, face à Naïma. La manœuvre dura quelques secondes, et quand il se releva, notre serveur avait toujours une énorme bosse au pantalon. Ma présence, à l’autre bout de la terrasse, devait l’obliger à être discret. Il ne savait pas que j’étais un des joueurs de cette partie…

Peu après, Naïma se rendit aux toilettes. Le serveur l’accompagna pour lui indiquer le chemin. Il entra avec elle, et je ne pus savoir ce qui se passait derrière la porte. Mais, quelques instants plus

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tard, Naïma ressortit des toilettes, et son gilet délié témoignait que les mains du serveur n’étaient pas restées sur la poignée de la porte.

Étienne m’envoya un texto sur mon portable : « Demande l’addition, et reste planqué derrière les plantes de la terrasse. »

Je fis ce que me demandait mon ami à peine étais-je sorti, que le serveur ferma le restaurant. Il s’était enfermé avec Étienne et ma femme. Je vis alors Étienne ordonner à Naïma de se lever, et de laisser le serveur la déshabiller. Elle fut bientôt nue, debout, face à ce jeune homme qui ne savait pas trop quoi faire…

Étienne lui dit quelques mots, et je le vis alors prendre Naïma par la main, et l’entraîner vers la cuisine. Étienne profita de leur absence, pour m’apporter les vêtements de Naïma, en m’ordonnant de les garder avec moi. Ainsi elle n’aurait aucune possibilité de s’habiller puisque j’aurais tous ses vêtements dans ma voiture.

Étienne était resté assis à sa place, et attendait patiemment. Il m’avait envoyé un texto me disant qu’il attendait le dessert.

Quelques minutes plus tard, je vis, depuis ma cachette, le serveur amener un chariot de dessert inédit : sur une table roulante, ma femme, nue, les chevilles et les poignets liés ensemble par de la ficelle de cuisine, avait les seins enduits de crème chantilly, parsemée de framboises, et sa chatte avait été tartinée de chocolat à tartiner. Quelques fruits étaient englués dans le chocolat, et une banane émergeait de sa chatte. Dans ses mains ligotées, une coupe de champagne, et, dans sa bouche, le bouchon de champagne, comme un blason…

Je crus éjaculer dans mon pantalon, tellement cette vision de ma femme, exhibée comme une volaille prête à cuire, ma parut incroyablement excitante.

Étienne et le serveur s’amusèrent à lécher le corps de Naïma, transformé en dessert pour gourmand vicieux… je voyais ma femme gigoter sous les caresses, et j’entendais qu’elle gloussait comme une poule excitée. Ils riaient de laper le chocolat qui s’était immiscé dans les lèvres de sa chatte, et qui coulait entre ses fesses… Ils mordaient les seins en picorant les framboises, ou les tétons… La banane fut enlevée avec les dents, et d’autres bananes furent introduites dans cette chatte exhibée, et dans l’anus chocolaté que la position de Naïma rendait si accessible… Je pensais qu’elle devait souffrir de cette posture inconfortable, et de la finesse de la ficelle, mais elle semblait docile, domptée…

Après un long moment, Étienne, d’un coup de couteau de cuisine, trancha la ficelle, et ma femme fut libérée. Elle descendit difficilement de la table roulante, et fut amenée à la salle d’eau, où elle fut nettoyée par un serveur dévoué…

Revenue dans la salle, escortée par le jeune homme empressé, je la vis s’asseoir sur les genoux d’Étienne, qui lui parlait à l’oreille. Elle hocha la tête, et se dirigea vers le serveur, à qui elle dit que son mari voulait qu’elle fasse ce qu’il désirait. Le serveur la prit dans ses bras, l’embrassa en lui malaxant les seins, puis l’amena sur un canapé, près de l’endroit où j’étais caché. Là, il ôta son pantalon, laissant apparaître une belle queue, bien dressée, et fit signe à Naïma de s’installer sur son bel engin. Je vis alors Naïma s’agenouiller face à lui, et, doucement, s’empaler sur ce jeune sexe bandé. Elle était à quelques centimètres de moi, et me tournait le dos. Lui, fermait les yeux en sentant ma femme s’enfiler sur lui, montant, descendant, et le recevant entièrement.

Jeune, et peu préparé à cette situation, le serveur jouit presque aussitôt, et je le vis se raidir en gémissant. Naïma resta sur lui, figé dans ses entrailles, puis, le sentant se relâcher, se releva, en plaçant sa main sous son sexe béant, pour recueillir le sperme qui s’en écoulait, et éviter de tacher le canapé du restaurant. Elle eut aussitôt les mains pleines du liquide chaud et gluant, et j’entendis Étienne lui ordonner sèchement : « Lèche ta main ! »

Étienne s’approcha de Naïma, l’installa à quatre pattes sur le canapé, près du serveur, qui prit les seins ballants de ma femme à pleines mains. Il prit, sur une table voisine, une bouteille d’huile d’olive,

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et en versa quelques gouttes sur l’anus de ma femme, qu’il enduisit avec les doigts. Naïma savait ce qui l’attendait. Je la vis baisser la tête, et elle poussa un cri de douleur quand la grosse queue épaisse d’Étienne força son pauvre anus si étroit, et s’enfonça jusqu’à la garde dans son intestin… il l’enculait sauvagement, et ponctuait son mouvement de va et vient de grandes claques sur le cul de Naïma, qui criait au même rythme.

Après quelques minutes, la jouissance d’Étienne explosa, et il jouit en beuglant, restant dans ce cul torturé, qu’il remplissait de sperme.

Il sortit de ce cul douloureux aussi brutalement qu’il y était entré, lui asséna une dernière claque monumentale qui la fit hurler, et lui ordonna de l’attendre à la voiture.

Je le vis ensuite payer le diner, et noter le numéro de téléphone du serveur, puis partir en riant, après lui avoir proposé de lui prêter sa petite salope de temps en temps.

Sorti de ma cachette, je m’approchai discrètement du parking, où j’aperçus, cachée par la nuit, Naïma, nue, frissonnante, recroquevillée pour ne pas se faire remarquer, qui attendait docilement le retour du mâle qui la dominait. Il arriva peu après. Elle lui demanda où étaient ses vêtements, et il lui répondit qu’il me les avait confiés lorsque j’étais rentré à la maison, après le dîner.

Elle lui demanda alors si j’étais encore dans les parages, et s’entendit répondre : « Pas du tout, ma bichette. Tu es seule avec moi. Et je pense que je vais te garder cette nuit. Je vais prévenir ton mari que tu ne rentreras pas ce soir. »

Ma femme répondit : « J’aimerais mieux rentrer, je n’ai rien pour demain matin, et je commence tôt au bureau. »

Étienne la fit taire : « Tais-toi ! Je t’ai dit que tu restes avec moi. Je n’aime pas dormir seul, et j’ai un pote à la maison qui n’a pas tiré depuis des mois. Il a été plaqué par sa femme il y a un an, et il squatte ma chambre d’amis. Je pense que tu vas lui redonner le moral. Je te préviens, si tu ne fais pas ta gentille, tu vas le regretter : lui et moi, c’est pareil. Ce qu’il veut, c’est ce que je veux. Tu as pigé ? Pas d’histoires. Compris ? »

Naïma n’avait pas envie de continuer. Elle ne répondait pas. Étienne s’approcha d’elle et lui reposa la question : « Tu as compris ce que je viens de te dire ? » Et, joignant le geste à la parole, il lui pinça les seins, la faisant crier.

« Ne me faites pas mal. Je ne suis pas un chien. Je ne veux pas que vous me frappiez. Je voudrais que mon mari vienne me chercher. Appelez-le. »

Étienne prit son téléphone et fit semblant de m’appeler : « Ça sonne mais il ne répond pas, » lui dit-il.

Il composa un autre numéro de téléphone : « Salut Fernand, je te réveille ? Tant mieux ! Je t’amène une petite salope qui va te remettre le compteur à zéro : tiens-toi prêt, c’est une belle petite maghrébine que son mari m’a prêtée pour que je l’éduque. Tu vas voir ses nichons : de la bombe, mon vieux ! Et je te le dis, tu peux l’enculer à sec : elle a été alésée par ma bite : un vrai petit fourreau d’amour… à tout de suite : on est là dans cinq minutes… »

Je vis alors Étienne ouvrir la portière de sa voiture, et pousser ma femme à l’intérieur. Il lui ordonna de s’asseoir sur sa main pour ne pas tacher le siège de la voiture.

Il démarra, et je le vis s’éloigner, emmenant Naïma pour la livrer à un autre homme… ma petite femme chérie aura eu trois sexes d’hommes différents ce jour-là, mais j’en étais réduit à me branler en pensant à ce qui allait lui arriver…

De la voiture, Étienne me rappela : il me demanda d’apporter, pour le lendemain matin, une tenue propre, et un nécessaire de toilette, ce que j’amenais à l’heure dite. Je ne pus voir ma femme qui était endormie dans la chambre d’amis, avec le sexe de Fernand enfoncé dans son anus…

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Elle ne revint à la maison que le lendemain soir, et refusa de me raconter quoi que ce soit de ce qu’elle avait vécu…

Par contre, elle me confirma qu’elle devait se rendre, désormais, au domicile de Pierre, chaque mardi, et peut-être aussi chaque jeudi.

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