Introduction au community management octobre 2013

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Introduc)on au community management Jacques Folon Partner Edge Consul)ng Chargé de cours ICHEC Maître de conférences Université de Liège Professeur invité Université de Metz Professeur invité IACE Tunis Professeur Invité ISFSC – HE F.Ferrer Source de l’image : h1ps://social.ogilvy.com/thevalueofcommunitymanagement30/

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Cours donné dans le cadre de la formation en community management organisée par Ichec Entreprises (Bruxelles) en octobre 2013.

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Introduc)on  au  community  management

Jacques  Folon

Partner  Edge  Consul)ng

Chargé  de  cours  ICHEC  Maître  de  conférences  Université  de  LiègeProfesseur  invité  Université  de  MetzProfesseur  invité  IACE  TunisProfesseur  Invité  ISFSC  –  HE  F.Ferrer

Source  de  l’image  :  h1ps://social.ogilvy.com/the-­‐value-­‐of-­‐community-­‐management-­‐3-­‐0/

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INTRODUCTION

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Quelques  chiffres,  on  ne  peut  pas  y  couper…

6présentation sur http://fr.slideshare.net/mediaventilo/50-chiffres-social-media-pour-2013-16005329?ref=http://altaide.typepad.com/jacques_froissant_altade/networking_rseaux_sociaux/

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7 Source: www.spotpink.com (juillet 2013)http://www.spotpink.com/spotpink/wp-content/uploads/Pr%C3%A9sentationSpotPinkJuillet20131.pdf

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10Source: www.spotpink.com (juillet 2013)http://www.spotpink.com/spotpink/wp-content/uploads/Pr%C3%A9sentationSpotPinkJuillet20131.pdf

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12Source: www.spotpink.com (juillet 2013)http://www.spotpink.com/spotpink/wp-content/uploads/Pr%C3%A9sentationSpotPinkJuillet20131.pdf

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Source (Mai 2013)http://etourisme-marketing.com/2013/05/06/chiffres-utiles-facebook-et-twitter-pour-cibler-votre-strategie-marketing-reseaux-sociaux/

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INTRODUCTION

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Rappel de ce qu’était l’entreprise au XXème

siècle

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Management concentré

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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…et la réduction des coûts

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Organigramme en pyramide

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Gestion par commande et contrôle

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Structure en silos

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Faible échange

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Méfiance interne

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Lourdeur de l’héritage

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Employés démotivés

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Cadres sous pression

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Perte de loyauté

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Inflation du prix des talents

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Le monde a changé !

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Les repères changent

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Le poids des régions du monde

se modifie

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Les secteurs ne sont plus protégés

AviaTon

Energie TélécommunicaTons

Finance TransportSOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Commerce mondialisé

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Omniprésence de la technologie

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

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Vos concurrents et ceux de votre entreprise sont à portée

de click

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Des nouveaux modes de

AustralieFrance

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Les technologies évoluent

Image: http://www.generationdomotique.com/?q=article/z-island-la-cuisine-du-futur

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Qu’est-­‐ce  que  les  réseaux  sociaux  numériques  ont  contribué  à  

changer  ?

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27Source de l’image: http://www.maniacworld.com/copy-and-paste-babies.html

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Qu’est-­‐ce  qu’ils  ont  contribué  à  changer  ?

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29 http://guidesocialmedia.com/2011/12/la-fin-du-six-degres-de-separation/

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Qu’est-­‐ce  qu’ils  ont  contribué  à  changer  ?

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Qu’est-­‐ce  qu’ils  ont  contribué  à  changer  ?

32 SOURCE DE L’IMAGE: http://hanane.zevillage.org/news/le-marketing-viral

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Qu’est-­‐ce  qu’ils  ont  contribué  à  changer  ?

33SOURCE DE L’IMAGE: http://www.lesnumeriques.com/divers/touche-pas-a-ma-e-reputation-enquete-a1548.html

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Only 14% des consommateurs croient les publicités

78% des consommateurs croient

en leurs “amis”

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Ces  chiffres  sont  importants  mais  que  veulent-­‐ils  dire?

http://www.slideshare.net/TomiTontti/social-media-why-should-you-care-4501198

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EvoluTon  du  consomm-­‐acteur

http://www.slideshare.net/TomiTontti/social-media-why-should-you-care-4501198

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Les média sociaux c’est surtout UNE CONVERSATION et le consommateur n’aime pas parler tout seul…

http://catherinewhite.files.wordpress.com/2009/08/social-media-conversation.jpg

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Et  ce  n’est  pas  tout  !

http://www.slideshare.net/TomiTontti/social-media-why-should-you-care-4501198

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RAPPELEZ-VOUS

78% des consommateurs croient

en leurs “amis”

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Et  vous  ne  savez  pas  ce  qu’ils  disent…

http://www.slideshare.net/TomiTontti/social-media-why-should-you-care-4501198

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Savoir  ce  que  disent  les  clients  est  un  des  nombreux  intérêts  de  la  veille  

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Le  pouvoir  a  changé  de  mains  !

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INTRODUCTION

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GénéraTon  Y  mythe  ou  réalité  ?

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Pour la première fois dans l’histoire quatre générations travaillent ensemble

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VETERANS

BABYBOOM

GENERATION Y

GENERATION X

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EST-CE VRAIMENT NOUVEAU ?

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Ils font les mêmes activités ensemble !

http://static8.businessinsider.com/image/4e10e6474bd7c8ce1b210000/old-athlete.png

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Source C. Batier : http://fr.slideshare.net/batier/reseaux-sociaux-avalenciennea/download

Et ca continue

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Et ca continue

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Et ca n’arrêtera plus

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Hypothèse:  la  généraTon  Y  ne  serait-­‐elle  pas  une  façon  de  cacher  la  résistance  au  

changement  ?

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Comment  les  désigner  ?

Babyboomer’s childrens Echo-boomersE-GenerationDigital NativesFacebook GenerationGen YGénération 2001Génération accélérationGénération des transparentsGénération entropiqueGénération InternetGénération MoiGénération texto/SMSGénération WWWGeneration Y not?Génération ZappingGreat GenerationHomo Zappiensi-GenerationMillenialsNet GenerationNextersNintendo GenerationNouveaux androïdesSunshine Generationhttp://www.zazzle.be/generation_y_pas_tshirt-235332731462770922

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Quand  faut-­‐il  être  né  pour  en  faire  par7e?

La période pour définir cette génération Y est très variable, elle comprend (selon les auteurs) les personnes nées:

•Entre 1974 et 1994 •De 1978 à 1998 (pour ceux qui les caractérisent d’Echo-boomer)•De 1978 à 1988•Ou de 1978 à 1995•Ceux qui sont nés après 1980 •Entre 1980 et 2000•Ou après 1982•ou plus précisément de 1982 à 2003•Entre 1990 et 2000•...

BARRER LA MENTION INUTILE !

http://funnyscrapcodes.blogspot.com/2009/10/embed-code-funny-stuff-funny-scraps.html

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Columbine

The 2000 Election Crisis

9-11

Cable

Reality TV

The Iraq War

Terrorism

Internet

Columbia Accident

TechnologyGaming

Starbucks

Le contexte de la génération Y

Challenger Accident

MTV

SpaceShipOneGoogle

iTunes

Napster

Franchises

Oprah

Daily Show

Southpark

Simpsons

Celebrity ScandalsAmazon.com

Online Shopping

eBay

mac vs. pc

Global Warming

CD’s

youTube

abu ghraib

Blogging

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Un  concept  défini  de  façon  aussi  variable  et  

contradictoire  existe-­‐t-­‐il?

http://www.madmoizelle.com/generation-y-temoignage-43730

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Apports  managériaux

Lors  d’un  changement  technologique,  c’est  

l’ensemble  des  membres  de  l’organisaTon  mais  également  les  artefacts  technologiques  qui  

structurent  le  changement.  

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La  généra7on  Y  connaît  bien  les  nouvelles  technologies  ?

http://tusb.stanford.edu/wp-content/uploads/mt/Computers%20and%20Lecture.jpg

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INTRODUCTION

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LE  RESPECT  DE  LA  VIE  PRIVEE

SOURCE DE L’IMAGE: http://archives-lepost.huffingtonpost.fr/article/2012/01/13/2678781_protection-de-la-vie-privee-sur-les-medias-sociaux.html

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Follow me on scoop.it for the latest news on data privacy and security

http://www.scoop.it/t/management-2-entreprise-2-0

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http://www.fredcavazza.net/2006/10/22/qu-est-ce-que-l-identite-numerique/

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Privacy

digital identity

authenticity

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http://www.intel.com/museumofme/

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CC BY-NC-ND 2.0 Frederic Poirot

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By giving people the power to share, we're making the world more transparent.

The question isn't, 'What do we want to know about people?', It's, 'What do people want to tell about

themselves?'Data privacy is outdated !

Mark Zuckerberg

If you have something that you don’t want anyone to know, maybe you shouldn’t be doing it in the first place.

Eric Schmidt

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Privacy  

VS.

Publicness

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Privacy  statement  confusion• 53%  of  consumers  consider  that  a  privacy  statement  means  that  data  will  never  be  sell  or  give

• 43%  only  have  read  a  privacy  statement

• 45%  only  use  different  email  addresses

• 33%  changed  passwords  regularly

• 71%  decide  not  to  register  or  purchase  due  to  a  request  of  unneeded  informaTon

• 41%  provide  fake  info    

71Source: TRUSTe survey

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Bonne  quesTon?

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LA LOI SUR LA PROTECTION DES DONNES PERSONNELLES IMPOSE UNE SECURITE INFORMATIQUE !

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OBLIGATIONS  LEGALES  !  • §  2.  Le  responsable  du  traitement  ou,  le  cas  échéant,  son  représentant  en  

Belgique,  doit  :

• 1°  faire  toute  diligence  pour  tenir  les  données  à  jour,  pour  recTfier  ou  supprimer  les  données  inexactes,  incomplètes,  ou  non  perTnentes,  (…)

• 2°  veiller  à  ce  que,  pour  les  personnes  agissant  sous  son  autorité,  l'accès  aux  données  et  les  possibilités  de  traitement  soient  limités  à  ce  dont  ces  personnes  ont  besoin  pour  l'exercice  de  leurs  foncTons  ou  à  ce  qui  est  nécessaire  pour  les  nécessités  du  service;  

• 3°  informer  les  personnes  agissant  sous  son  autorité  des  disposiTons  de  la  présente  loi  et  de  ses  arrêtés  d'exécuTon,  ainsi  que  de  toute  prescripTon  perTnente,  relaTve  à  la  protecTon  de  la  vie  privée  à  l'égard  des  traitements  des  données  à  caractère  personnel;

• 4°  s'assurer  de  la  conformité  des  programmes  servant  au  traitement  automaTsé  des  données  à  caractère  personnel  avec  les  termes  de  la  déclaraTon  visée  à  l'arTcle  17  ainsi  que  de  la  régularité  de  leur  applicaTon.  

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Quelques  défini-ons  importantes

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Données personnelles

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QUELLES  DONNEES  ?

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Traitement de données

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Le responsable de traitement

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On  ne  peut  pas  faire  n’importe  quoi  avec  des  données  

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FINALITES

SOURCE DE L’IMAGE : http://usnavyjeep.blogspot.be/2011/03/data-mining-your-personal-info-from.html

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DONNEES  SENSIBLES  • Certaines  données  sont  si  délicates  qu'elles  ne  peuvent  être  traitées  que  dans  des  cas  

très  spécifiques.  

• Vos  nom  et  adresse  sont  plutôt  des  données  anodines,  mais  ce  n'est  pas  le  cas  pour  la  race,  la  santé,  les  opinions  poliTques,  les  convicTons  philosophiques  (croyant  ou  athée,  etc.),  les  préférences  sexuelles  ou  le  passé  judiciaire.

• En  principe,  il  est  donc  interdit  de  collecter,  d’enregistrer  ou  de  demander  à  pouvoir  communiquer  les  données  sensibles  déjà  citées,  sauf  quelques  excepTons.  Le  responsable  peut  traiter  des  données  sensibles  données  sensibles  (à  l'excepTon  des  données  judiciaires)  :

– s'il  a  obtenu  le  consentement  écrit  de  la  personne  concernée  ;

– si  c'est  indispensable  pour  prodiguer  les  soins  nécessaires  à  la  personne  concernée;

– si  la  législaTon  du  travail  ou  l'applicaTon  de  la  sécurité  sociale  l'impose  ;

– la  personne  concernée  elle-­‐même  a  rendu  les  données  publiques  ;

– si  c'est  nécessaire  en  vue  de  l'établissement,  de  l'exercice  ou  de  la  défense  d'un  droit  ;

– si  c'est  nécessaire  dans  le  contexte  d'une  recherche  scienTfique.

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TRANSFERT  DE  DONNEESresponsable  et  sous-­‐traitant

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LE  SOUS-­‐TRAITANT

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FORMATIONS INTERNES

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RESTITUTIONS

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SUPPRIMER  LES  DROITS  D’ACCES  !

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Page 126: Introduction au community management octobre 2013

126http://blog.imtc.org/wp-content/uploads/2012/09/BYOD.jpg

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Coockies

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internaTonal  transfer

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La sécurité des données personnelles est une obligation légale…

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CONTRÔLE  DES  COLLABORATEURS

98SOURCE DE L’IMAGE: http://blog.loadingdata.nl/2011/05/chinese-privacy-protection-to-top-american/

Page 131: Introduction au community management octobre 2013

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http://www.privacycommission.be/fr/brochure-information-cybersurveillance

Page 132: Introduction au community management octobre 2013

INTRODUCTION

Page 133: Introduction au community management octobre 2013

h1p://www.scoop.it/t/any-­‐need-­‐for-­‐reinvenTng-­‐copyright-­‐droit-­‐d-­‐auteur-­‐intellectual-­‐property-­‐news    

101

Pour des informations à jour concernant le droit d’auteur,suivez-moi sur scoop it

Page 134: Introduction au community management octobre 2013

Disponible  en  ligne  sur  www.fedweb.belgium.be    rubrique  publicaTons  en  fr.  et  nl.

Page 135: Introduction au community management octobre 2013

Internet  et  droit:  Oxymore  ?  Internet:  zone  de  non  droit  ?

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Page 136: Introduction au community management octobre 2013

Juste  un  bel  exemple…

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http://www.youtube.com/watch?v=A5lE

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http://www.slideshare.net/calimaq/tension-et-innovations-dans-le-droit-dauteur-lheure-du-numrique

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• Internet n’est pas un « espace de non-droit », mais il n’existe pas à proprement parler de droit de l’internet ;

• Le vide juridique ne peut pas exister en droit, car les juges sont toujours obligés de trancher (interdiction du déni de justice) ;

• S’appliquent pleinement à Internet les textes existants et les principes jurisprudentiels dégagés pour le monde réel ;

• « Digital is not different » : les grands principes restent inchangés, mais le droit s’est adapté à certaines réalités nouvelles et aux usages numériques ;

• Néanmoins, l’environnement numérique exerce une action corrosive sur le droit et le système arrive peut-être aujourd’hui à un tournant…

106

Source: Lionel Maurel http://www.slideshare.net/calimaq/droit-de-linternet-et-de-linformation-complet

Page 139: Introduction au community management octobre 2013

107

• Les principes restent, le droit évolue

•Exemple le droit d’auteur en Belgique•Droit d’auteur (loi de 1994) •Directive droit d’auteur dans la société de l’information (2001)•Loi belge implémentant la directive (2005)

Depuis (presque) plus rien, sauf la doctrine et la jurisprudence, et de nombreux projets et discussions au niveau européen …

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Qu’est-­‐ce  qui  a  changé?

108Source: http://www.slideshare.net/calimaq/ecriture-web-et-dimension-juridique

•la facilité du copier-coller •la conservation des versions successives ; •l’insertion directe dans l’écriture des images, de la voix, de la vidéo ; •la possibilité de travailler en direct à plusieurs sur un même texte, document, animation, site, œuvre multimédia construit ensemble ; •la publication immédiate•la possibilité de reprendre, commenter, interagir avec l’auteur ;

•Bref l’objet, l’œuvre se détache de nous et fait sa route seule avec peu ou pas de contrôle de/des auteurs

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109Source: http://www.slideshare.net/calimaq/ecriture-web-et-dimension-juridique

Page 142: Introduction au community management octobre 2013

• Les outils et pratiques du web 2.0 rentrent péniblement dans les « cases » classiques du droit…

Sur les blogs, les wikis,, les plateformes de partage, les réseaux sociaux, l’internet des flux :

Qui est auteur ? Où sont les œuvres ? Qui est propriétaire ? Qui est responsable ?

MulTplicaTon  des  OJNI  (Objets  Juridiquement  Non  idenTfiés).  

Seul  moyen  de  lever  l’incerTtude  =  le  contenTeux  pour  faire  intervenir  le  juge  

110

Source: Lionel Maurel http://www.slideshare.net/calimaq/droit-de-linternet-et-de-linformation-complet

Page 143: Introduction au community management octobre 2013

• Exemple  de  l’affaire  Google  Book  Search

Procès Google c. La Martinière et autres :les éditeurs français demandaient au TGI d’appliquer la loi française…

Interface de Google Book en français, destinée au public français, extension en .fr, livres publiés en France, par des éditeurs français, écrits en français, par des auteurs français…• Application logique du droit français ? Pas si sûr… car

le délit était complexe.

111

Source: Lionel Maurel http://www.slideshare.net/calimaq/droit-de-linternet-et-de-linformation-complet

Page 144: Introduction au community management octobre 2013

• Les  règles  contractuelles  prennent  de  plus  en  plus  l’ascendant  sur  le  cadre  légal  :

• Importance des CGU (Conditions Générales d’Utilisation) ou ToS (Terms of Use)• Notamment sur les plateformes de partage et les réseaux sociaux • Quelle articulation avec le cadre légal national ? données personnelles, propriété des contenus, modifications unilatérales, disparition des services, etc

Source: Lionel Maurel http://www.slideshare.net/calimaq/droit-de-linternet-et-de-linformation-complet

Page 145: Introduction au community management octobre 2013

• Les  règles  contractuelles  prennent  de  plus  en  plus  l’ascendant  sur  le  cadre  légal  :

• Que se passe-t-il lorsqu’un même contenu passe de service en service ?…•Slideshare->facebook->twitter->retwitter…

CC-BY-NC-SA My name is benji

113

Source: Lionel Maurel http://www.slideshare.net/calimaq/droit-de-linternet-et-de-linformation-complet

Page 146: Introduction au community management octobre 2013

• Que se passe-t-il sur Internet après la mort ?

Pour les courriels ?

Pour les données personnelles et les traces laissées sur les réseaux sociaux ?

Pour les biens virtuels ?

Pour l’identité numérique ?CC-BY-NC-ND Henning

114

Source: Lionel Maurel http://www.slideshare.net/calimaq/droit-de-linternet-et-de-linformation-complet

Page 147: Introduction au community management octobre 2013

• Cas dès 2007 de vol d’objets virtuels dans les Univers persistants (Second Life, jeux vidéos, MMORGP)• Reconnaître le « vol virtuel », c’est admettre l’existence d’une propriété virtuelle à l’image de la propriété réelle.

«  Dans  ce  qui  est  -­‐devenu,  fin  octobre,  «  l’affaire  -­‐Runescape  »,  le  procureur  a  demandé  au  tribunal  de  considérer  les  objets  virtuels  comme  des  biens  «  réels  et  tangibles  »,  dans  la  mesure  où  leurs  propriétaires,  qui  se  les  échangent  contre  de  l’argent  sur  Internet,  leur  -­‐donnent  une  valeur  non  moins  «  réelle  et  tangible  ».  Une  brèche  ouverte  sur  le  plan  juridique,  pour  établir  la  noEon  de  vol,  même  virtuel.  De  leur  côté,  les  avocats  de  la  défense  prétendaient  que  leurs  jeunes  clients  n’avaient  strictement  rien  volé  du  point  de  vue  légal,  puisque  les  deux  objets  en  quesEon  n’existent  pas.  Leurs  arguments  ont  été  baKus  en  brèche.  »

• Or il n’est pas certain que la notion de propriété ait le même sens dans l’environnement numérique (abondance≠rareté)

115Source: Lionel Maurel http://www.slideshare.net/calimaq/droit-de-linternet-et-de-linformation-complet

Page 148: Introduction au community management octobre 2013

• Les avatars des univers persistants possèdent-ils la personnalité juridique ? des droits propres ?

« […] la question du statut juridique propre à l’avatar, n’est pas si fantasque que cela et cette prospective est tout à fait envisageable à deux conditions. D’une part, que la pratique des avatars se développe à grande échelle dans les populations, au point de rendre évident la nécessité de créer un statut juridique dans ce domaine, d’autre part, que la démarche ne soit pas vécue comme seulement contraignante mais qu’elle apparaisse comme une clarification des règles d’appropriation (propriété) et de responsabilité. En conclusion, l’avatar est déjà un objet de droit, avant d’être demain un sujet de droit. »Olivier Iteanu. Mon meilleur ami est un avatar.

Science  ficTon  juridique  ?  

Peut-­‐être  pas…Sur Second Life

116

Source: Lionel Maurel http://www.slideshare.net/calimaq/droit-de-linternet-et-de-linformation-complet

Page 149: Introduction au community management octobre 2013

CondiTons  d’uTlisaTonVos droits

L’utilisateur conserve ses droits sur tout Contenu qu’il soumet, publie ou affiche sur ou par l'intermédiaire des Services.

En soumettant, publiant ou affichant un Contenu sur ou par le biais des Services, l'utilisateur accorde à Twitter une licence mondiale non exclusive, libre de redevance avec le droit de sous-

licencier, utiliser, copier, reproduire, traiter, adapter, modifier, publier, transmettre, afficher et distribuer le Contenu à tous les médias ou à toutes les méthodes de distribution (connues à

présent ou développées ultérieurement).Astuce Cette licence nous autorise à rendre vos tweets publics pour tous et autorise les autres utilisateurs à faire de même. Mais, ce qui est à vous es à vous - le contenu des tweets est le

vôtre.

L'utilisateur convient que cette licence accorde le droit à Twitter de mettre

le Contenu à la disposition d'autres sociétés, organisations ou individus

qui travaillent en partenariat avec Twitter pour la syndication, la diffusion

, la distribution ou la publication d'un tel Contenu sur d'autres supports et

services, soumis à nos termes et conditions d'utilisation du Contenu.

Page 150: Introduction au community management octobre 2013
Page 151: Introduction au community management octobre 2013

Marques,  noms  de  domaines  et  user  names  dans  les  média  sociaux

200 millions de noms de domaines2 milliards de user names25% des recherches se basent sur les user names

crédit image: http://www.them.pro/files/images/domain-names-extensions.jpg

Page 152: Introduction au community management octobre 2013

Usernames

faciles  à  obtenir

pas  de  formalité

pas  de  contrôle

trouvés  par  les  moteurs  de  recherche

crédit image: http://www.saadkamal.com/social-media/change-facebook-username/

Page 153: Introduction au community management octobre 2013

Surveillance  de  sa  marque

• Indispensable  !

• ParTcipe  à  l’e-­‐reputaTon

• Permet  de  s’opposer  à  d’autres  demandes

• Importance  de  la  veille  (noms  de  domaines,  user-­‐names)

Page 154: Introduction au community management octobre 2013

Propriété intellectuelle: fossé entre le droit et la pratique

Page 155: Introduction au community management octobre 2013

Source: http://www.slideshare.net/calimaq/tension-et-innovations-dans-le-droit-dauteur-lheure-du-numrique

Page 156: Introduction au community management octobre 2013

Source: http://www.slideshare.net/calimaq/tension-et-innovations-dans-le-droit-dauteur-lheure-du-numrique

Page 157: Introduction au community management octobre 2013

Février 2008

Page 158: Introduction au community management octobre 2013

•Les deux critères cumulatifs de la protection

Source: Lionel Maurel http://www.slideshare.net/calimaq/droit-de-linternet-et-de-linformation-complet

Page 159: Introduction au community management octobre 2013

Février 2008

Les  idéesLes idées ne sont pas

des œuvresprotégées.

Elle échappent à toute appropriation et

demeurent libre de parcours tant qu’elles n’ont pas été rendues perceptibles par une extériorisation (CA Paris 12 sept 1989)

Page 160: Introduction au community management octobre 2013

• Cession  des  droits  et  gesTon  collecTve

128

Contrat  contre  rémunéraTon

Mandat  de  représentaTon

Conservent  le  droit  moral

Source: Lionel Maurel http://www.slideshare.net/calimaq/droit-de-linternet-et-de-linformation-complet

Page 161: Introduction au community management octobre 2013

129

Principes  de  base  

• Droit  exclusif  d’autoriser  ou  d’interdire

• Autorisa7on  préalable  indispensable• Cession  de  droits• Délit  de  contrefaçon  

Crédit image: http://www.tetedequenelle.fr/2010/03/droit-dauteur-mal-tourne/

Page 162: Introduction au community management octobre 2013

130

PROTECTION  DE  L’OEUVRE

• La  protec7on  est  accordée    indépendamment  de  l’accomplissement  de  formalités

• L’auteur  jouit  des  droits  aQaché  à  ceQe  qualité  du  seul  fait  de  la  créa7on  de  l’œuvre  

• La  loi  belge  se  dis7ngue  de  législa7ons  étrangères  qui  subordonnent  l’octroi  du  droit  d’auteur  au  dépôt  de  l’oeuvre  et  à  son  enregistrement  auprès  d’un  organisme  officiel  (copyright)

Page 163: Introduction au community management octobre 2013

25

L’auteur

 Art. 6. Le titulaire originaire du droit d'auteur est la personne physique qui a créé l'oeuvre.(Est présumé auteur, sauf preuve contraire, quiconque apparaît comme tel sur l'oeuvre, sur une reproduction de l'oeuvre, ou en relation avec une communication au public de celle-ci, du fait de la mention de son nom ou d'un sigle permettant de l'identifier.)

Page 164: Introduction au community management octobre 2013

132

Principe  légal  du  droit  d’auteur

• L’auteur  d’une  œuvre  li1éraire  ou  arTsTque  a  seul  le  droit  de  la  reproduire  ou  d’en  autoriser  la  reproducTon  sous  quelque  forme  que  ce  soit

• L’auteur  d’une  œuvre  li1éraire  ou  arTsTque  a  seul  le  droit  de  la  communiquer  au  public  par  un  procédé  quelconque

• Ce  droit  comporte  également  le  droit  exclusif  d’en  autoriser  l’adaptaTon  ou  la  traducTon

• Durée  du  droit  d’auteur:  70  après  sa  mort!

Crédit image: http://www.rtbf.be/culture/wp-content/uploads/2010/11/AFPgoncourt1.jpg

Page 165: Introduction au community management octobre 2013

24

Le  droit  d’auteur  (loi  du  30/6/1994)

Article 1. § 1. L'auteur d'une oeuvre littéraire ou artistique a seul le droit de la reproduire ou d'en autoriser la reproduction, de quelque manière et sous quelque forme que ce soit (, qu'elle soit directe ou indirecte, provisoire ou permanente, en tout ou en partie). Ce droit comporte notamment le droit exclusif d'en autoriser l'adaptation ou la traduction.Ce droit comprend également le droit exclusif d'en autoriser la location ou le prêt.L'auteur d'une oeuvre littéraire ou artistique a seul le droit de la communiquer au public par un procédé quelconque L'auteur d'une oeuvre littéraire ou artistique a seul le droit d'autoriser la distribution au public, par la vente ou autrement, de l'original de son oeuvre ou de copies de celle-ci.

24

Page 166: Introduction au community management octobre 2013

Article L112-2(Loi n° 94-361 du 10 mai 1994 art. 1 Journal Officiel du 11 mai 1994)Sont considérés notamment comme oeuvres de l'esprit au sens du présent code : 1° Les livres, brochures et autres écrits littéraires, artistiques et scientifiques ; 2° Les conférences, allocutions, sermons, plaidoiries et autres oeuvres de même nature ; 3° Les oeuvres dramatiques ou dramatico-musicales ; 4° Les oeuvres chorégraphiques, les numéros et tours de cirque, les pantomimes, dont la mise en oeuvre est fixée par écrit ou autrement ; 5° Les compositions musicales avec ou sans paroles ; 6° Les oeuvres cinématographiques et autres oeuvres consistant dans des séquences animées d'images, sonorisées ou non, dénommées ensemble oeuvres audiovisuelles ; 7° Les oeuvres de dessin, de peinture, d'architecture, de sculpture, de gravure, de lithographie ; 8° Les oeuvres graphiques et typographiques ; 9° Les oeuvres photographiques et celles réalisées à l'aide de techniques analogues à la photographie ; 10° Les oeuvres des arts appliqués ; 11° Les illustrations, les cartes géographiques ; 12° Les plans, croquis et ouvrages plastiques relatifs à la géographie, à la topographie, à l'architecture et aux sciences ; 13° Les logiciels, y compris le matériel de conception préparatoire ; 14° Les créations des industries saisonnières de l'habillement et de la parure. Sont réputées industries saisonnières de l'habillement et de la parure les industries qui, en raison des exigences de la mode, renouvellent

Page 167: Introduction au community management octobre 2013

135

Les  droits  patrimoniaux Art. 3. § 1.

Les droits patrimoniaux sont mobiliers, cessibles et transmissibles, en tout ou en partie, conformément aux règles du Code civil. Ils peuvent notamment faire l'objet d'une aliénation ou d'une licence simple ou exclusive.

droit de reproductiondroit d’adaptationdroit de communication au publiucdroit de traductiondroit de représentation

Crédit image: http://www.moneyandfinanceblog.com/wp-content/uploads/2010/07/Money-transfer-sending-money.jpg

Page 168: Introduction au community management octobre 2013

27

Droit  de  reproducTon•La reproduction consiste dans la fixation matérielle de l'œuvre par tous procédés qui permettent de la communiquer au public d'une manière indirecte.•Elle peut s'effectuer notamment par imprimerie, dessin, gravure, photographie, moulage et tout procédé des arts graphiques et plastiques, enregistrement mécanique, cinématographique ou magnétique.•Pour les œuvres d'architecture, la reproduction consiste également dans l'exécution répétée d'un plan ou d'un projet type.

Page 169: Introduction au community management octobre 2013

137

 Art. 3. § 1.   A l'égard de l'auteur, tous les contrats se prouvent par écrit.  Les dispositions contractuelles relatives au droit d'auteur et à ses modes d'exploitation sont de stricte interprétation.

Page 170: Introduction au community management octobre 2013

138

Art. 3. § 1. La cession de l'objet qui incorpore une oeuvre n'emporte par le droit d'exploiter celle-ci, l'auteur aura accès à son oeuvre dans une mesure raisonnable pour l'exercice de ses droits patrimoniaux.

138

Page 171: Introduction au community management octobre 2013

La  loi  protège  l’expression  ar)s)que  sans  tenir  compte:

• Du  genre  de  l’œuvre  (liYéraire,  musical,  ar)s)que,  etc.)

• De  sa  forme  (orale,  écrite,  plas)que,  etc.)

• De  son  mérite  (la  protec)on  est  indépendante  de  toute  no)on  de  beauté,  de  qualité)

• De  sa  des)na)on  (art  pur  ou  art  appliqué)

Page 172: Introduction au community management octobre 2013

140

Le  droit  moral  L'auteur d'une oeuvre littéraire ou artistique jouit sur celle-ci d'un droit moral inaliénable.  La renonciation globale à l'exercice futur de ce droit est nulle.  Celui-ci comporte le droit de divulguer l'oeuvre.  Les oeuvres non divulguées sont insaisissables.  L'auteur a le droit de revendiquer ou de refuser la paternité de l'oeuvre.  Il dispose du droit au respect de son oeuvre lui permettant de s'opposer à toute modification de celle-ci.  Nonobstant toute renonciation, il conserve le droit de s'opposer à toute déformation, mutilation ou autre modification de cette oeuvre ou à toute autre atteinte à la même oeuvre, préjudiciables à son honneur ou à sa réputation.

140

Page 173: Introduction au community management octobre 2013

Les  excepTons  aux  droits

• Courte  cita7on

• Comptes-­‐rendus  d’actualité

• Caractère  accessoire  de  l’oeuvre

• Reproduc7on  ou  communica7on  accessoire

• Communica7on  dans  le  cercle  de  famille  (au  ss!)

• Reproduc7on  des  œuvres  sonores  et  audiovisuelles  dans  le  cercle  de  famille  (au  ss!)

• Parodie,  pas7che

• Domaine  public

• Produits  libres  de  droit

• Crea7ve  common

Page 174: Introduction au community management octobre 2013

142

Les  droits  voisins

Les  auxiliaires  de  la  créa7on,  dont  l’interven7on  est  requise  par  les  auteurs  ou  leurs  ayants-­‐droits  pour  assurer  la  communica7on  de  leurs  œuvres  au  

public,  jouissent  aussi  de  droits  sur  leur  ac7vité,  dénommés  droits  voisins  du  droit  d’auteur.

Page 175: Introduction au community management octobre 2013

Principe  légal  du  droit  voisin

• L’arTste  interprète  a  seul  le  droit  de  reproduire  sa  prestaTon  ou  d’en  autoriser  la  reproducTon  sous  quelque  forme  que  ce  soit

• Il  a  seul  le  droit  de  la  communiquer  au  public  par  un  procédé  quelconque

• Durée  du  droit  voisin:  50  après  la  mort!

Page 176: Introduction au community management octobre 2013

Cession  de  droits  des  collaborateurs• Clause  obligatoirement  écrite

• InterprétaTon  stricte  de  ces  clauses

• Uniquement  si  la  créaTon  de  l’œuvre  entre  dans  le  cadre  du  contrat  de  travail-­‐statut

• Précisions  quant  

– Au  droit  cédé

– À  la  rémunéraTon

– L’étendue  de  la  cession

– La  durée  de  la  cession

• Différence  avec  l’informaTque  !

• Différence  avec  le  système  du  copyright  !

Page 177: Introduction au community management octobre 2013

Cession  de  droits  des  sous-­‐traitants

• Clause  obligatoirement  écrite

• InterprétaTon  stricte  de  ces  clauses

• Précisions  quant  – Au  droit  cédé

– À  la  rémunéraTon

– L’étendue  de  la  cession

– La  durée  de  la  cession

Page 178: Introduction au community management octobre 2013

Les  œuvres  non  protégées

• Les  discours  poliTques

• Les  discours  parlementaires

• Les  actes  officiels

Page 179: Introduction au community management octobre 2013

Les  licences  «  libres  »

Page 180: Introduction au community management octobre 2013

148

Le  mode  de  foncTonnement  des  licences  libres

«  Tout  ce  qui  n’est  pas  interdit  est  permis  »

Pas  d’autorisaTon  à  demander  tant  qu’on  reste  dans  le  cadre  de  la  licence

Il  faudra  conclure  un  contrat  pour  lever  une  restricTon  posée  par  la  licence

Exemple des licences Creative Commons

4 conditions et 6 contrats

Page 181: Introduction au community management octobre 2013

• Quatre  a1ributs  :

– Paternité  (atribute)

– Pas  de  dérivé  (nd)

– Share-­‐alike  (sa)

– Non  commercial  (nc) ‏

Page 182: Introduction au community management octobre 2013

INTRODUCTION

Page 183: Introduction au community management octobre 2013

Principes  de  base  du  droit  à  l’image

• La  ConvenTon  européenne  des  droits  de  l'homme  sTpule  en  son  arTcle  8  le  droit  au  respect  de  la  vie  privée.  Selon  la  jurisprudence,  cet  arTcle  couvre  la  protecTon  du  droit  à  l'image.  Il  n'est  pas  nécessaire  de  prouver  que  la  reproducTon  de  ce1e  image  ait  causé  un  préjudice.  

• "Ni  l'auteur,  ni  le  propriétaire  d'un  portrait,  ni  tout  autre  possesseur  ou  détenteur  d'un  portrait  n'a  le  droit  de  le  reproduire  ou  de  le  communiquer  au  public  sans  l'assenTment  de  la  personne  représentée  ou  celui  de  ses  ayants  droit  pendant  vingt  ans  à  parTr  de  son  décès".

Page 184: Introduction au community management octobre 2013

ApplicaTons  praTquesL'autorisaTon  de  la  personne  photographiée  doit  être  demandée.  Pour  les  personnages  publics  et  les  personnes  privées  qui  accèdent  temporairement  à  la  vie  publique,  ce1e  autorisaTon  est  considérée  comme  implicite,  pour  autant  que  les  images  relaTve  à  la  vie  publique  des  personnes  concernées  soient  publiées  dans  un  contexte  de  couverture  d'événements  relevant  de  l'actualité.  Le  consentement  donné  par  une  personne  pour  la  réalisaTon  d'une  photo  n'implique  aucun  consentement  à  la  reproducTon  de  son  image  ou  à  la  communicaTon  de  celle-­‐ci  au  public.Pour  qu'une  personne  puisse  évoquer  le  droit  à  l'image,  il  faut  que  la  personne  photographiée  soit  idenTfiable.  

Page 185: Introduction au community management octobre 2013

Février 2008

Page 186: Introduction au community management octobre 2013

Il  n’y  a  pas  que  les  images  des  personnes  physiques!

• Images  des  œuvres  d’art

• Images  de  bâTments  publics  (tour  Eiffel,  Atomium)

• Image  de  maisons  parTculières

• Pour  les  photos  il  y  a  donc  trois  autorisaTons  à  demander:

– Le  photographe

– Le  sujet  photographié

– Le  diffuseur  

Page 187: Introduction au community management octobre 2013

Quelles précautions prendre avant la publication d’une photographie ?

• Demander l’autorisation de l’auteur de la photographie pour reproduire son « œuvre »

• Demander les autorisations inhérentes aux informations représentées

Personne Oeuvre Marque Objet industriel

Autorisation de la personne ou de son représentant légal pour les mineurs dès lors que cette personne est reconnaissable

Autorisation de l’auteur de l’œuvre (architecte si édifice, créateur son œuvre plastique ou personnage de fiction… excepté si le droit d’auteur est tombé dans le domaine public. Attention : demander l’autorisation également du propriétaire.

Autorisation du titulaire de la marque (ou logo, nom..) pour la reproduire si celle-ci est déposée

Autorisation des personnes ayant déposé le brevet (durée de protection : 25 ans sauf prorogation)

Source Datice

Page 188: Introduction au community management octobre 2013

156

Que  faut-­‐il  faire  avant  de  publier  

demander  les  autorisaTons:

photographe

personne  photographiée

pour  une  oeuvre  l’auteur  (y  compris  architecture,  etc.)

pour  un  objet  l’auteur

Page 189: Introduction au community management octobre 2013

R. Gorea Patrimonialisation de l'image 13/01/10

Rapports entre droit à l’image et droit d’auteur

L’évolution des usages dans les communautés numériques entre en conflit avec l’affirmation du lien fort entre :

Image et personne représentée

Auteur etImage - œuvre de l’esprit

DROIT A L’IMAGE DROIT D’AUTEUR

Le droit à l’image est un droit de la personnalité:Chaque personne détermine souverainement la manière dont elle se présente aux autres. En principe, l’image ne peut être fixée ou modifiée sans l’autorisation de la personne représentée.

L’auteur d’une œuvre de l’esprit jouit sur cette œuvre, du seul fait de sa création, d’un droit de propriété exclusif et opposable à tous.

En principe, l’image-œuvre ne peut être fixée ou modifiée sans l’autorisation de l’auteur.

Page 190: Introduction au community management octobre 2013

R. Gorea Patrimonialisation de l'image 13/01/10

Limites du droit à l’image et du droit d’auteur

DROIT A L’IMAGE

LIBERTE D’EXPRESSION

La personne ne peut pas s’opposer à:

-La reproduction de son image dans le cadre d’une information légitime du public sur un fait d’actualité ou un débat d’intérêt général. -La modification parodique de son image.

DROIT D’AUTEUR DROIT A l’IMAGE vs

LIBERTE DE CREATION

Il existe un conflit potentiel entre droit à l’image et droit d’auteur. L’appréciation souveraine de la

personne dont l’image est fixée peut s’opposer à l’appréciation souveraine

du créateur quant au choix et au traitement des images. LIBERTE D’EXPRESSION

le créateur ne peut pas s’opposer à:

-La modification parodique de son œuvre. -La reproduction de son œuvre graphique ou plastique dans le cadre d’une information légitime du public sur un fait d’actualité.

Page 191: Introduction au community management octobre 2013

159

Problème des images postées sur les réseaux sociaux

Page 192: Introduction au community management octobre 2013

INTRODUCTION

Page 193: Introduction au community management octobre 2013

Structure• La   structure   d'une  organisaTon   peut  être  définie  comme  la   concréTsaTon  d e s   e ff o r t s  déployés  pour  

• -­‐   diviser   les   tâches  à   l ' intér ieur   de  l'organisaTon  et  

• -­‐   me1re   en   place  une   coordinaTon  de  ces  tâches.

Page 194: Introduction au community management octobre 2013

La  structure  organisaTonnelle

5

Page 195: Introduction au community management octobre 2013

REPRÉSENTATION  DE  LA  STRUCTURE  OU  L’ORGANIGRAMME

• On   uTlise   généralement  l 'organ igramme   pour  représenter   la   structure  d ' u n e   o r g a n i s a T o n .  L ' o r g a n i g r amm e   s e  présente  sous   la  forme  de  c a s e s   r e p r é s e n t a n t  chacune   une   foncTon   et  reliées  entre  elles  par   des  liens   qui   peuvent   être    h i é r a r c h i q u e s ,  f o n c T o n n e l s   o u   d e  conseil.

 

http://www.ahajokes.com/crt062.html

Page 196: Introduction au community management octobre 2013

• Les  liens  hiérarchiques  relient  deux  foncTons  dont  l'une,  le  subordonné,  dépend  de  l'autre,  son  responsable.  

• Ce1e  dépendance  se  concréTse  par  les  décisions  de  la  part  du  responsable  des  tâches,  salaires,  bonificaTons  éventuelles,  licenciement,...  concernant  le  subordonné.8

Page 197: Introduction au community management octobre 2013

Les  liens  de  conseil  ou  foncTonnels,  apparaissent,  rarement,  dans  certains  organigrammes.  

Ils  se  manifestent  par  une  présentaTon  différente  de  celle  qui  concerne  les  liens  hiérarchiques,  et  relient  certaines  foncTons  à  un  responsable  qui  a  besoin  de  conseils  de  ces  différentes  foncTons  pour  effectuer  sa  tâche.

Un  chef  de  projet  peut  être  relié  par  des  liens  de  conseils  à  d'autres  foncTons.

 Les  liens  de  coordinaTon,  eux,  relient  un  coordonnateur  à  plusieurs  foncTons  qui  ne  dépendent  pas  nécessairement  hiérarchiquement  de  lui.  Le  coordonnateur  a  pour  foncTon  de  coordonner  les  tâches  de  ces  différentes  foncTons  de  façon  à  garder  une  cohérence  par  rapport  à  la  poliTque  de  l'entreprise. 9

Page 198: Introduction au community management octobre 2013

• L'organigramme   permet   donc   la   visualisaTon   des   liens  formels  reliant  les  individus  dans  l'organisaTon.  

• Il  est  la  manifestaTon  concrète  de  l'autorité  formelle.    Mais   il  ne   Tent   pas   compte   des   liens   informels   qui   relient   les  individus.  

• Et   ces   liens   informels   peuvent  modifier   de   façon   sensible   le  foncTonnement  de  l'organigramme. 11

Page 199: Introduction au community management octobre 2013

La  ligne  hiérarchique

17

C’est la ligne d’autorité, composée de cadres, contremaîtres, etc., qui joint le sommet stratégique au centre opérationnel. Chaque membre de la chaîne hiérarchique accomplit, à son niveau, le travail du sommet hiérarchique.

Henri Mintzberg Les Éditions d’organisation, Paris.1994, Structure et dynamique des organisations

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STAFF– Rela7ons   entre   un   manager   et   un   assistant,   un  

adjoint  qui,  lui,  n’a  pas  de  collaborateurs  directs.  

– Cet   assistant   est   en   rela7on   de   conseil   ou   de  sou7en   avec   son  manager.   Il   n’a   aucune   autorité  hiérarchique   dans   l’organigramme.   Néanmoins   le  posi7onnement   dans   l’organigramme   démontre  l’importance  liée  à  ceQe  fonc7on

– Les   rôles   types   de   ce   genre   de   fonc7on   staff  raQachés  au  directeur  général  sont  par  exemple  :  

• La  secrétaire  de  direc7on  • Le  responsable  des  ressources  humaines• Le  responsable  informa7que• Le  conseiller  juridique• Le  contrôleur  de  ges7on• …  

– Ces   postes   correspondent   à   des   fonc7ons   qui  n'ont   pas   nécessairement   de   véritable   rôle  hiérarchique.

   – Ces   fonc7ons   peuvent   donc   varier   d'une  

entreprise  à  une  autre.  Elles  permeQent  au  cadre,  auprès   de   qui   elles   sont   raQachées,   d'avoir   un  conseiller   opéra7onnel   dont   le   rôle   peut   être  assez  fondamental  lors  de  prises  de  décisions  dont  tous   les   aspects,   par   exemples   techniques   et  juridiques,  doivent  être  examinés  complètement.

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Latéral Relations entre différentes personnes ou départements qui sont situés au même

niveau hiérarchique

Page 202: Introduction au community management octobre 2013

Fonc7onnel  RelaTons  entre  des  spécialistes,  des  parTcipants  à  un  groupe  

de  travail,  qui  occupent  différentes  posiTons  dans  l’organigramme.

Ces  personnes  ont  l’autorité  hiérarchique  uniquement  sur  leurs  collaborateurs  ou  par  délégaTon  sur  d’autres  membres  du  

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Un  «  bel  »  organigramme  !

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Organigramme  caché• L’organigramme  n’est  qu’une  représentaTon  de  l’idée  de  l’entreprise  que  se  font  les  concepteurs  de  l’organigramme,  une  sorte  de  vision  de  ce  qu’elle  devrait  être.  

• Pour  découvrir  cet  organigramme  caché,  il  faut  vérifier  la  réalité  des  rapports  entre  les  hommes,  et  leurs  véritables  responsabilités. 34

Page 205: Introduction au community management octobre 2013

205SOURCE: http://fr.slideshare.net/humancapitalmedia/developing-leaders-in-networked-organizations?from_search=5

Page 206: Introduction au community management octobre 2013

206SOURCE: http://fr.slideshare.net/humancapitalmedia/developing-leaders-in-networked-organizations?from_search=5

Page 207: Introduction au community management octobre 2013

207

Increasing pressure on “traditional” organizations

Formal organization/ Hierarchy

Social organization /Heterarchy

Teigland et al. 2005

SOURCE: http://fr.slideshare.net/eteigland/building-the-networked-innovative-organization?from_search=14

Page 208: Introduction au community management octobre 2013

Réseaux sociaux externes

Réseaux sociaux internesSOURCE: http://fr.slideshare.net/fguillotte/organisation-apprenante-20?from_search=4

Page 209: Introduction au community management octobre 2013

Growth

Time

Information and knowledge

Human absorptive capacity

Human capacity cannot keep up…

Adapted from Cohen & Levinthal 1989

SOURCE: http://fr.slideshare.net/eteigland/building-the-networked-innovative-organization?from_search=14

Page 210: Introduction au community management octobre 2013

”No one knows everything, everyone knows something,

all knowledge resides in humanity.”networks

Adapted from Lévy 1997

SOURCE: http://fr.slideshare.net/eteigland/building-the-networked-innovative-organization?from_search=14

Page 211: Introduction au community management octobre 2013

Network structure affects performance

211Barsh et al 2007, McK Quarterly

SOURCE: http://fr.slideshare.net/eteigland/building-the-networked-innovative-organization?from_search=14

Page 212: Introduction au community management octobre 2013

“Managing” networks in your organization

Before After

Anklam & Welch 2005

1. Uncover networks

2. Analyze networks

3. Improve connectedness

212

Page 213: Introduction au community management octobre 2013

Build relationships with people at all hierarchical levels

Look for complementary skills while maintaining a balance!

Cross, Parise, & Weiss 2006

Higher: Help with making decisions, acquiring resources, developing political

awareness, explaining organizational activities beyond local setting

Equal: Help brainstorm and provide specific help, support, and needed

information

Lower: Provide best sources of technical information and expertise

213

Page 214: Introduction au community management octobre 2013

INTRODUCTION

Page 215: Introduction au community management octobre 2013

C’est  quoi  la  culture  d’entreprise?

L’histoire des six singes

Page 216: Introduction au community management octobre 2013

DEFINITION

Page 217: Introduction au community management octobre 2013

Ca  se  voit  ?

On  peut  idenTfier  la  parTe  visible  à  première  vue…

Page 218: Introduction au community management octobre 2013

Comment  cela  se  passe-­‐t-­‐il  dans  votre  organisaTon?

• Un  nouvel  employé  qui  arrive?

• Cinq  personnes  autour  de  la  machine  à  café?

• Un  chef  qui  hurle  sur  un  employé?

• Une  personne  qui  est  licenciée?

• Un  jeune  qui  veut  tout  changer?

Page 219: Introduction au community management octobre 2013

Comment  définiriez-­‐vous  la  culture  de  votre  organisaTon  en  une  ou  deux  

phrases?

Page 220: Introduction au community management octobre 2013

Culture  ou  cultures?

Profession

entreprise

Religion

Sexe

nationalité

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Page 222: Introduction au community management octobre 2013

      C’est  quoi  la  culture?

• Aspects  principaux  de  la  culture:– La  culture  est  partagée– La  culture  est  intangible– La  culture  est  confirmée  par  les  

autres

181Source http://www.slideshare.net/preciousssa/hofstede-cultural-differences-in-international-management

Page 223: Introduction au community management octobre 2013

Niveau et fonction de la Culture:

• la Culture existe à deux niveaux:•Le côté visible et observable immédiatement (habillement, symboles, histoires, etc.)•Le côté invisible qui véhicule les valeurs, les croyances,etc.

•Fonctions de la culture•Intégration •Guide de fonctionnement•Guide de communication

Page 224: Introduction au community management octobre 2013

Eléments  de  la  culture

Rites – cérémonies

Histoires

Symboles

Tabous

Page 225: Introduction au community management octobre 2013

Rites  et  cérémonies

• Recrutement

• Christmas  party

• Discours

• Pots  d’acceuil  de  départ

• Réunions  

• …

Page 226: Introduction au community management octobre 2013

HISTOIRESBasées sur des événements réels qui sont racontées et partagées par les employés et racontées aux nouveaux pour les informer au sujet de l’organisation- qui rendent vivantes les valeurs de l’organisation- qui parlent des “héros”, des légendes

-Le post it de 3M-Le CEO d’IBM sans badge-Le CEO de quick

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SYMBOLES

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Tabous

Page 229: Introduction au community management octobre 2013

En  quoi  ça  vous  concerne?

• Horaires

• RelaTons  avec  les  autres

• Dress  code

• Office  space

• Training  

• …

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Quelles  consequences?

• Cela  permet  de  comprendre  ce  qui  se  passe• De  prendre  la  «  bonne  décision  »• Parfois  un  frein  au  changement• PercepTon  de  vivre  avec  d’autres  qui  partagent  les  mêmes  valeurs

• Point  essenTel  pour  le  recrutement  et  la  formaTon

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Source: http://www.slideshare.net/storybeats/how-storytelling-drives-corporate-culture/download

Page 232: Introduction au community management octobre 2013

LE WEB 2.0 IMPLIQUE …

Page 233: Introduction au community management octobre 2013

Priorité à l’innovation

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 234: Introduction au community management octobre 2013

Favoriser la créativité

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 235: Introduction au community management octobre 2013

Coordonner plutôt que diriger

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 236: Introduction au community management octobre 2013

Faire de l’innovation l’affaire de tous

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 237: Introduction au community management octobre 2013

Encourager les interactions

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 238: Introduction au community management octobre 2013

Entrer dans une logique d’ouverture

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 239: Introduction au community management octobre 2013

A l’intérieur…

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 240: Introduction au community management octobre 2013

…adopter

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 241: Introduction au community management octobre 2013

A l’extérieur…

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 242: Introduction au community management octobre 2013

Rejoindre les clusters,

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 243: Introduction au community management octobre 2013

Ecouter et interagir avec ses communautés

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 244: Introduction au community management octobre 2013

Voir au-delà de son secteur

SOURCE: www.entrepriseglobale.biz Jean-Yves Huwart

Page 245: Introduction au community management octobre 2013

INTRODUCTION

Page 246: Introduction au community management octobre 2013
Page 247: Introduction au community management octobre 2013

Conclusion

• Votre  méTer  est  nouveau

• Vous  devez  démontrer  votre  uTlité

• ROI  =  bénéfice  >  votre  salaire  et  couts

• Montrer  les  risques  si  vous  n’éTez  pas  là

• Montrez  les  «  worst  cases  »  des  autres

• Montrez  des  staTsTques  

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GOOD  LUCK  

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Jacques [email protected]

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Vous  avez  des  quesTons  ?

Crédit image: http://jillsbooks.wordpress.com/2010/09/15/hellooooo-anybody-out-there/raise-your-hand-2/

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