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Bulletin municipal • n° 220 • novembre 2009

SPÉCIAL ENVIRONNEMENT

2Bulletin municipal • n° 220 • Spécial environnement • novembre 2009

Limay Informations • Bulletin Municipal Officiel (BMO) • Hôtel de Ville • 5 av. du Président Wilson 78520 LimayDirecteur de la Publication : Jacques Saint-Amaux

Directeur de la Communication & Rédaction : Alain Cornillot [email protected] : La Fourmi & Epsilon (Versailles) • 01 39 24 18 40 • Impression : Imprimerie Riccobono

Photos : Alain Cornillot, Vanessa Maz

Ni rouge ni verteL’environnement est une notion largeni verte ni rouge.Qu’il s’agisse de l’environnementbiophysique (l’air, la terre, les océans)qui subit chaque jour des pollutionset des nuisances, de l’environnement,comme patrimoine naturel,duquel l’homme extrait,jusqu’à les épuiser, pétrole et minerais,ou de notre environnement quotidiende proximité, l’environnement estcet ensemble sur lequel il est permisd’agir pour le préserver et l’améliorer.Cela ne se traduit pas forcément par lerefus de la modernisation ou parl’immobilisme mais bien au contraire parun ensemble de mesures prises dans tousles domaines de la vie de tous les jours.Le cadre de vie ce sont ces actions et ceséquipements mis à disposition de tousles habitants quel que soit l’âge.

Édito


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oucieux de l’environne-ment, nous agissons dansde nombreux domaines qui

ont tous un lien direct ou indirectavec l’environnement, et l’un despremiers gestes pour un meilleurenvironnement est de préserver no-tre cadre de vie. Ce qui ne signifiepas qu’il faille renoncer à l’amélio-rer. Bien au contraire.

Les émissions de gaz à effet deserre liées aux activités humainesprovoquent un tel réchauffementclimatique que la vie sur terre estmenacée. Le problème est global etappel des réponses politiques àl’échelle internationale, articuléeau niveau national et à l’échelon lo-cal. Il y a urgence. Les enjeux sontconsidérables.

Nous ne réglerons pas la questiondu réchauffement climatique à no-tre niveau. Mais nous pouvons etnous devons faire dès maintenanttout ce qui est en notre pouvoirpour la protection de notre envi-ronnement.

Chacun d’entre nous est en mesurede faire les bons gestes pour l’envi-ronnement. Très nombreux sont lesLimayens qui les accomplissentchaque jour. Ceci étant, il nous fauttrier mieux nos déchets et tendre àles réduire. Il nous faut respectermieux la forêt, protéger la nature etla biodiversité. Il nous faut collecti-vement économiser les ressourcesfossiles et émettre moins de CO2.

La municipalité est totalement en-gagée dans la sauvegarde de la pla-nète. Cela ne date pas d’au-jourd’hui, et l’on verra dans lespages qui suivent que beaucoup dechoses sont mises en œuvre pourl’environnement.

Jacques Saint-Amaux,Maire, Conseiller général.

S

Préservons notre environnementen agissant sur notre cadre de vie

Tout ce que nous faisons au niveau communal ne peutêtre ni minimisé ni tenu pour négligeable au motif qued’autres collectivités, d’autres pays continuent àpolluer les sols, l’air et les fleuves, à émettre du CO2 ouà piller les ressources naturelles dont on sait qu’ellessont limitées.

Spécial environnement


Meilleur est le cadre de vie,meilleur est notre

environnement.

Embellir notre ville,faire la chasse auxnuisances, entretenirnotre patrimoine,développer lesservices publics etrépondre aux besoinsdes habitants,contribuent à la qualitéde notre cadre de vie.Or meilleur est notrecadre de vie et meilleurest notreenvironnement.

Cadre de vie


Equipementssportifs

• Trois gymnases de type C de40/20 dont un homologué pourl’accueil des compétitions.

• Une salle spécialisée tennis detable de 450 m2,

• Une salle spécialisée gymnastiquesportive de 800 m2,

• Une salle d’arts martiaux,• Un mur d’escalade (le 3e dudépartement de par sa dimensionet sa qualité),

• Trois salles polyvalentes,• Deux terrains stabilisés, un terraind’honneur engazonné de football,

• Un terrain d’honneur engazonnéde rugby,

• Un terrain d’entraînements pourles pratiques du football et durugby,

• Un boulodrome,• Un terrain de pétanque,• Trois courts de tennis extérieurs,• Onze terrains de proximité et/oupolygame d’accès libre,

• Un skate park,• Une piste d’athlétisme encendrée.

Cadre de vie


Complexe Fosses Rouges :Remplacement partiel des pareballons,Remplacement du praticable degymnastique.Complexe Auguste Delaune :Rénovation totale du court detennis n°3,Remplacement des bardages dela tribune de football,Création d’une tribune couvertede 150 places terrain de rugby.Complexe Guy Môquet :Pose de 6 panneaux de basketlatéraux,Réfection des peintures despans verticaux de la structured’escalade,Remplacement de tous lespoints d’assurage du murd’escalade,Remplacement et mise à lanorme de toutes les protectionsde ce mur.Prévention santé, sécuritéInstallation dans les complexesde défibrillateurs.Adoption d’un (PIOS) pland’intervention et d’organisationdes secours)

Améliorationsapportées en 2009

Cadre de vie


Les équipements culturels• La Médiathèque• Le Conservatoire à

RayonnementCommunal, de musiqueet de danse

• L’école municipaled’Arts Plastiques

• Le Centre d’expositiondes Réservoirs

Des concerts,Des spectacles,Des expositions d’art contemporain,La Fête de la science,Le Carnaval de Limay,Des expositions diverses,etc.

Des dizaines demanifestations culturelles

Le CRC

Les Réservoirs

Cadre de vie


Des équipements pour la pet

La nouvelle crèche desHautes-Meunièressera pourvue d’unchauffage àcondensation, d’unchauffe-eauphotovoltaïque, et debrises soleil quipermettent de filtrerles UV et de diminuerles gaz à effet deserre.

Crèche écolo

La crèche multi accueil -crèche collective et halte-garderie - appelée « Lesloupiots ». Elle a accueilli134 enfants entre le1er septembre 2008 et le31 août 2009 en mode degarde ponctuel,et 29 enfants en mode degarde régulier.

La crèche familiale. Elle aaccueilli durant la mêmepériode 115 enfants.

Au total, ce sont 278 enfantsqui ont bénéficié d’une placedans les différents modes degarde proposés par la villeau sein des diversesstructures petite enfance.

En décembre une nouvellecrèche, « Les lucioles »,ouvrira ses portes, rue desHautes-Meunières. Crèchemulti accueil d’une capacitéde 30 places (20 en crèche et10 en halte-garderie).

Trois crèches La crèche « Les loupiots »

La future crèche, rue des Hautes-Meunières « Les lucioles »

La PMI, installée dans lePôle d’action sociale deproximité, avenue de la Paixà Limay.

Cadre de vie


tite enfance et la jeunesse• Une Maison de la

Jeunesse qui propose desactivités.

• Un Point InformationJeunesse (PIJ) pour l’aideà la recherche d’emploi,d’un stage, d’uneformation…

• Un Centre de loisirs(Ed Fosse) et l’été unCentre de loisirs installéau Bois-aux-Moinesdurant les vacancesscolaires.

• Des aires de jeux• Des structures

multisports (polygames).

Cadre de vie


Des équipements pournos anciens• La Résidence pour personnes âgées (RPA)

• Le foyer Marie Baudry

Le banquet annuel des Anciens

Le goûter annuel

Des fêtes et des spectacles.

Des actions intergénérationnelles

Des activités

Foyer Marie Baudry RPA, Résidence personnes âgées

Cadre de vie


Des services publicsde proximité

Une agence de la Caisse d’Assurance Maladie (Sécurité Sociale)Une permanence de la CAFUne permanence juridique (avocat)Un conciliateur juridiqueUn écrivain public

Services installés en mairie


La pollution de l’air, des rivières et des nappes phréatiques, la destruction de la couched’ozone, l’épuisement des sols, la disparition d’espèces, l’accumulation des déchets…En termes de destructions des ressources et de pollutions, des limites ont été franchies avec la« révolution industrielle » commencée à la fin du XIXe siècle et amplifiée par le développementindustriel de ces 50 dernières années.L’environnement ne peut être seulement et simplement une question écologique. L’état denotre planète questionne la productivité, la production comme but en soi et celle de larentabilité à tous prix.Si cette logique est néfaste, il faut prendre le problème à bras-le-corps, penser et agirautrement pour un autre « modèle de société » capable de concilier la satisfaction des besoins,l’égalité sociale, la protection des équilibres écologiques. La sauvegarde de l’environnementsuggère des réponses politiques au niveau international.Sans attendre, nous pouvons agir. Notre environnement réclame de chacun d’entre nous desgestes simples et quotidiens. Le préserver, le façonner et l’améliorer est en notre pouvoir. C’estune nécessité car personne n’échappera aux désastres écologiques s’ils doivent se produire.

D’importants moyens sont mis en œuvre par la municipalitépour réduire les pollutions des sols et des eaux

Contre les pollutions


n 2008, la régie municipale acollecté :• 5 281 tonnes, soit 336 kg par

habitant d’ordures ménagères,• 762 tonnes, soit 49 kg par habitant dedéchets végétaux sont transformés encompost,

• 341 tonnes, soit 22 kg par habitantd’encombrants,• 189 tonnes, soit 12 kg par habitantd’emballages ménagers recyclables(EMR).

La ville compte actuellement 22 airessélectives en apport volontaire.

Les tonnages aug-mentent. C’est lecas du verre et dupapier.253 tonnes de verreont été récupérées,soit 16 kg par habi-tant.218 tonnes de jour-naux et magazines,soit 14 kg par habi-tant.5 aires possèdentdes poubelles spé-cifiques pour lespiles usagées (ruedes Coutures, rue J.Macé, rue Ed. Fosse,

rue du Cimetière, rue des FontainesAgnès).Les Limayens peuvent également dépo-ser les bouteilles en plastique près dumagasin Carrefour (une tonne de bou-teille plastique c’est 836 litres de pétroled’économisés)

La ville a également mis en place depuisplus d’un an une collecte des D.A.S.R.I.(Déchets d’Activité des Soins à RisquesInfectieux). Point d’apport volontaire –gratuit – situé au CTM (Centre TechniqueMunicipal, rue des Coutures). Ouvertchaque premier mercredi de chaquemois de 8h à 12h et de 13h30 à 17h00.

La valorisation des déchets végétaux762 tonnes de déchets végétaux ont ététransformées en compost à l’usine deFlacourt.Le compost remplace les engrais et ré-duit le besoin d’eau. A l’instar des autrescollectes faites par le CTM, la participa-tion des habitants à la collecte des vé-gétaux est un acte citoyen et écologique.

E

Collecte sélective


La collecte sélective desdéchets est capitale pourl’environnement

Mieux trier pour mieuxcollecter. Mieuxcollecter, c’est mieuxrecycler. Trier sesdéchets et n’en jeteraucun dans la nature,c’est permettre laréutilisation decertaines matièrespremières.

Les bons gestes. Déchets végétaux.

Collecte sélective


Trier c’est bien,produire moins de déchets,c’est mieux

Les Limayens ont à leur disposition des équipements et des services qui leur permettentde trier convenablement leurs déchets et d’accomplir ainsi chaque jour des gestes utilespour l’environnement. Il n’en reste pas moins que nous produisons trop de déchets etles entreprises agroalimentaires sont les premières responsables.

a question écologique ne doitpas conduire à renoncer à amé-liorer le cadre de vie et le bien-

être des habitants.

Chacun doit réfléchir à ce qu’ilpeut faire au quotidien. Nousdevons, autant que cela estpossible, changer nos habi-tudes de consommation et noscomportements. Il faut tout à lafois être respectueux de la na-ture, développer des technolo-gies dites « développementdurable » et dans le mêmetemps œuvrer à une croissancecréatrice d’emplois et réductriced’inégalités.

Recyclons d’avantageLa moyenne nationale est de 391 kilospour les ordures ménagères.

Elle a diminué de 5 kilos/an/habitant endeux ans, grâce aux efforts des collecti-vités qui ont développé les déchetteries.Au niveau national, la mise en place descollectes sélectives a permis de récupé-rer en 2007 : 50% des journaux, maga-zines, revues et emballages. Sur les37,77 millions de tonnes de déchets col-lectés par les collectivités, 33,5% ont puêtre orientés vers du recyclage.Un résultat proche des objectifs du Gre-nelle de l'environnement, qui vise 35%de recyclage en 2012, puis 45% en 2015.

L

Nous produisons trop dedéchets ménagers.

Il faut d’avantage trier nosdéchets.

Il faut réduire à la source et queL’Etat incite les entreprises etnotamment les entreprisesagroalimentaires à produiremoins d’emballages.

Il faut réduire les déchetsménagers, leur transport, leurstockage et leur incinération.

Ce qu’il faut retenirLes emballages ménagers recyclables :dans le conteneur à couvercle jaune

Sont compris dans la dénomination E.M.R :• les bouteilles, flacons et bidons en plastiquetransparent ou opaque (eau, soda, huite alimentaire,produits ménagers, gel douche…)

• les briques alimentaires (lait, jus de fruit, soupe…)• les boîtes et sur-emballages ménagers en carton.

Collecte sélective


La déchetterie

a déchetterie accueille au-jourd’hui : les huiles minérales,les piles et les batteries, les

peintures et produits toxiques, les gra-vats, les ferrailles et métaux non ferreux,les cartons, le bois, les déchets verts etles souches d’arbres, les encombrantsrésiduels, les papiers journaux et maga-zines.Dès 2010, la déchetterie accueillera lesD3E (Déchets d’Equipement Electrique

ou Electronique) et les produits amian-tés (contenant l’amiante-ciment tels queles éléments de bardage, de revêtementou de couvertures de tôles ondulées, ar-doises, etc.).

Depuis le 1er octobre 2009, la déchetterieest ouverte 6 jours/7, le mercredi et lesamedi toute la journée. Un badge d’ac-cès vient d’être créé pour en faciliter l’ac-cès aux particuliers.

L

Les équipements électriques etélectroniques (EEE) regroupenttous les objets ou composantsd’objets qui fonctionnent grâceà des courants électriques ouélectromagnétiques. Ce sont parexemple les gros appareilsménagers (réfrigérateur,cuisinière, machine à laver), lespetits appareils ménagers(rasoir, machine à café, grille-pain), les équipementsinformatiques et detélécommunications (ordinateur,console de jeux, baladeur), etc.

Les D3E

Sans la déchetterie, il y aurait des tonnes de déchets répandues dans la nature, dans les forêts environnantes, nosrues, et des produits toxiques dans les poubelles, au mépris de la sécurité des agents communauxet de l’environnement. Alors halte aux déchets dans la nature !Pour les déchets des artisans, des entreprises et des commerçants, il y a la société Picheta, route de Meulan à Limay.

Il suffit de jeter nos déchetsdans les poubelles et lesbacs appropriés pour quechacun contribue à laprotection del’environnement. Tous lesobjets n’étant pasbiodégradables, certainsmettent des années avant decomplètement disparaître.Un chewing-gum ne disparaîtpar avant 5 ans, une canettejetée dans une haie, mettra150 ans, une bouteille enverre, 4 000 ans et une pile,8 000 ans. Si une écorced’orange ou un trognonpomme disparaissent enquelques jours, voire unmois, parce quebiodégradables, il n’en vapas de même de la brique delait en plastique et cartonpour laquelle il faut 5 ans. Unvêtement en Nylon mettra 30à 40 ans avant de disparaître,un sac ou une bouteille enplastique, de 100 à 500 ans,un mégot de cigarette, entre6 mois et 2 ans. Et un ticketde métro, 1 an.

Les déchets ont lavie dure

La déchetterie de Limay est géréepar le Syndicat MixteIntercommunal de Défense del’Environnement (SIDE).En 2008, la déchetterie a collecté4 442 tonnes de déchets divers.C’est un service gratuit seulement réservé aux particuliers.


La couche d'ozoneC'est une couche de gaz présente dans lahaute atmosphère (à 30 km du sol) quinous protège des rayonnements ultra-violets les plus nocifs.

Cette couche de gazest attaquée par leschlorofluorocarbures(CFC) qui ont été re-tiré de la circulationet qui sont interditsdepuis le protocoledeMontréal de 1987.

Autre « tueur » de lacouche d’ozone : Leprotoxyde d’azote, 30 fois plus puissantque le CFC, provient essentiellement del’agriculture (fumier du bétail, combus-tion de la biomasse et surtout épandaged’engrais riches en azote)

L'effet de serreLes rayonnements solaires arriventjusqu'au sol qui les absorbe, il les "ré-émet" ensuite sous forme de rayonne-ment infrarouge, c'est ce rayonnement

(inoffensif ) qui eststoppé par les gaz àeffet de serre (gaz car-bonique, méthane,protoxyde d'azote).Une certaine quantitéde chaleur (rayonne-ment infrarouge) estainsi maintenue ensurface. L'effet deserre est naturel etmaintient la Terre à

une température « acceptable » mais, sion augmente la quantité de gaz à effet deserre dans l'atmosphère, cet effet deserre s'emballe et provoque un réchauf-fement climatique. Nous en sommes là !


Qu’est-ce que l’effetde serre ?L’un des problèmes majeursest le réchauffementclimatique auquel nouscontribuons, peu ou prou.

Le gaz carbonique (CO2). Le CO2contribue environ pour 64% auréchauffement climatique global.La consommation d’électricité, degaz, les déplacements automo-biles, le chauffage urbain, cer-tains déchets, la production denombreux matériaux, l’activitéindustrielles, émettent du CO2.Il convient de :• Réduire la consommation élec-

trique (chaque lampe émet dela chaleur et du CO2.),

• D’utiliser les énergies renouve-lables.

• Réduire la consommation desressources fossiles grâce à desvéhicules propres et à des ins-tallations de chauffage écono-miques.

• Mieux protéger et isoler les bâ-timents.

• Protéger nos espaces verts et labiodiversité. Autant d’actes misen œuvre au niveau local.

Principal gazà effet de serre


Produire moins de CO2Réduire la consommationélectriqueFaire des économies

La flotte municipale compte déjà :• 5 véhicules électriques• 8 véhicules roulant au GPL.

Contre le réchauffement climatique


La ville, c’est 2400 pointsd’éclairage public. Réduirela facture énergétique, laconsommation d’énergie etles émissions de CO2constituent un engagementmunicipal fort.

Éclairage public

Le remplacement des lampes des éclai-rages publics fait l’objet d’un plan plu-riannuel. Des lampes basse consomma-tion, éclairant mieux, plus économiques(jusqu’à -70%) remplacent peu à peu lesanciennes.

Les « boules » sont particulièrement vi-sées. Elles sont peu à peu remplacéespar des éclairages orientés vers le sol.C’est doncmoins de pollution lumineuse,moins de CO2 et une économie impor-

tante (divisée par deux). Après la rue F.Forest (20 nouvelles lanternes) et aprèsla Place du Temple, le remplacement des« boules » par des candélabres est pro-grammépour les 3 années qui viennent etconcernera les rues J. Ferry, Clemenceau,A. Roëlandt et la rue de l’Eglise (le vieuxquartier historique de Limay). Outre leslampes basse consommation, l’emploidematériaux « développement durable »est privilégié : mâts, candélabres etl’électronique.


Un éclairage public plus économiquepour l’environnent et les contribuables


Réduire la consommationd’énergie pour le chauffage

Les deux chaudières de l’école J. Ferry ainsi que celles de laMairie et celle de la crèche des Hautes-Meunières sont deschaudières à condensation, beaucoup plus économiques,environ -30%.Dans le cadre de son extension, le CTM a opté pour lechauffage centralisé électrique qui permet une gestion duchauffage tenant compte du temps d’occupation.Le choix de l’utilisation de l’énergie renouvelable trouverason application avec 100 m2 de panneaux photovoltaïquessur les toitures du CTM.



Le développement durableaccompagne l’extensiondu CTM (Centre Technique Municipal)

extension du CTM intègre demanière importante le dévelop-pement durable :

• Installation de panneaux « photovol-taïques » sur 100 m2 en terrasse pourla production d’électricité des locaux.Le surplus sera vendu à EDF sur la basede 0,57 centimes d’euros le KWH. C’estune première sur la ville !

• La conception des volumes est pourvued’un puits de lumière, permettant derécupérer 80% de la lumière naturelle,source de confort dans la gestion dustress et des économies d’énergie.

• Un système de récupération des eauxde pluie sera installé et, après traite-ment, cette eau servira à l’arrosage desespaces verts.

Enfin, les modules de l’extension ont étédirectement construits en usine, ce qui adiminué le coût de 30%par rapport à uneconstruction traditionnelle.

L’L’installation de panneauxphotovoltaïques sur lestoitures du groupesH. Wallon et du gymnaseGuy Môquet.

À l’étude, l’installation d’unsystème de chauffagegéothermique pour le Centrede loisirs Ed. Fosse.

En projet :




Nos espaces protégés

Le développement durable repose sur trois piliers : économique, écologique etsocial. Il s’agit de les concilier, et, dans le droit fil de l’Agenda 21 (du XXIe siècle)adopté en 1992, de mettre en œuvre au niveau local, comme nous le faisons à Limay,des actions qui préservent l’environnement et le valorisent.Sur une superficie totale de 1148 hectares, 300 hectares ont été classés par lamunicipalité en « espace naturel sensible ». Le bois Saint-Sauveur fait l’objetd’attentions particulières et le site des Carrières sera encore valorisé.

La richesse de notre environnementne tombe pas du ciel


Le bois Saint-Sauveur

Lieu de promenade privilégié des Limayens,le bois de Saint-Sauveur s’étend sur plus de50 hectares.Bien précieux auquel sont attachés les habitants,le bois Saint-Sauveur est un peu le poumon de notreenvironnement de proximité. Un espace que lamunicipalité entretient et préserve en agissant contreceux qui le dégradent et lui nuisent.Le bois Saint-Sauveur, c’est aussi un cadre magnifiqueau milieu duquel est implanté le Centre de loisirsEdouard Fosse : un cadre de verdure pour nos enfants.



La Roche calcaire affleurante dubois de Saint-Sauveur influencele couvert végétal composéprincipalement de hêtres, dechênes et de frênes. Partiecoteau, le cytise abonde (arbremagnifique au printemps dontles fleurs jaunes en grappesressemblent aux fleursd’acacias).En sous-bois, il n’est pas rare derencontrer de nombreusesorchidées terrestres : pas moinsde 14 espèces surprenantescomme l’ophrys bourdon,l’ophrys mouche, laspectaculaire orchis militaire etparfois, au détour d’un chemin,la très grande orchis bouc, àl’odeur si caractéristique... Onpeut également rencontrer denombreux refuges pour la fauneet les insectes dans les tas debois et les nombreux bouchonsde ronces qui ne résultent pasd’un mauvais entretien maisd’une volonté de participer aumaintien de la diversitébiologique.

La flore et la faunede Saint-Sauveur



Une équipe de 3 agents de veilleécologique entretient le boisSaint-Sauveur ainsi que lesespaces boisés du Centre deloisirs. Depuis 2001, ces agentscommunaux ont en chargel’entretien de la forêt : ilsprocèdent aux coupes et auxtailles, enlèvent les arbresmorts, vident les poubelles etnettoient les sentiers et leschemins, et ce, du lundi auvendredi. Durant la périodeallant du 1er avril au 30septembre, ils travaillent lesamedi et le dimanche matin.

Ils veillent à la santéde la forêt

Le bois deSaint-Sauveurcomprend des airesde jeux et des espacespour les pique-niquesen famille.C’est surtout un lieuidéal pour lespromenades, lescourses à pied ou àvélo. Un eldoradopour les marcheurs.La circulation d’enginsmotorisés y est bienévidemment interdite.

e bois reste un site fragile no-tamment dans sa partie co-teaux, là, où le ruissellement

peut occasionner des dégâts lors depluies d’orage, phénomène qui est ac-centué par les engins motorisés lorsqueceux-ci détériorent et creusent les che-mins.

Le bois Saint-Sauveur n’est pas respectépar tous. Pour preuve, la dizaine detonnes de canettes, bouteilles, pneus,pièces d’automobiles, matelas, etc. ré-cemment collectées par les services mu-nicipaux lors d’une journée de nettoyageexceptionnelle. Les Limayens tiennent àpréserver ce site, que la tranquillité yrègne et qu’il soit respecté.

L



Un site exceptionnelprotégé et à découvrir

Le site des Carrières est exceptionnel. C’est un espace protégé de 65 hectarespourvu d’une richesse géologique, faunistique et floristique.Partie intégrante du patrimoine, la ville a demandé son classement en Réserve NaturelleRégionale. Depuis 2005, la municipalité développe sur ce site des actions de sensibilisation àla biodiversité auxquelles les Limayens dans leur diversité peuvent participer.




uperficie totale de Limay :1148 hectares. Sur ces 1148 hec-tares, 300 sont classés en « es-

pace naturel sensible », c’est-à-direprotégé inscrit dans le Plan Local d’Ur-banisme (P.L.U.)• Limay est « Ville Porte » du Parc Natu-rel Régional du Vexin.

• Limay est également signataire d’unecharte pour la préservation de la bio-diversité et des espaces naturels.

SOiseaux nicheursOedcnème criardBruant ziziChouette chevêcheEpervier d’EuropeGrèbe castagneuxHibou moyen-ducVanneau huppé

Bruant proyerFoulque macrouleLocustelle tachetéeMésange noirePigeon colombinPipit farlouseTarier pâtre

MammifèreBlaireauAmphibiensCrapaud calamiteSalamandre tachetéeAlyte accoucheurReptileLézard vert

Espèces faunistiques protégées

Espèce rare :Orobranche du trèfleEspèces assez raresCentaurée jacéeEpipactis brun rougeEpipactis des maraisErigeron âcreCotonnière allemandeLaitie vireuseSpéculaire miroir-de-vénusLotier à gousses carréesBugrane gluanteOrobranche du gailletPlantain des sablesBrunelles laciniéePetit rhinantheGermandrée botryde

Espèces floristiquesprotégées


Limay capitalede l’éco-industrie

Une filière qui économisela matière première

Yvelines Recuper. Lesvéhicules sont dépollués,démontés, les pièces sontnettoyées et elles sontrevendues. Au tout début,l’entreprise se chargeaitelle-même de la dépollutionet du démontage. A l’heureactuelle, c’est la sociétéAdere Recyclage, touteproche qui s’en charge.

Adere recyclage se chargede la dépollution et dudémontage des véhicules.

SARP Industries vient delancer sa production debiodiesel de nouvellegénération à partir deshuiles alimentairesusagées. Implantée dans lazone portuaire de Limay,l’unité de production debiodiesel a de nombreuxavantages écologiques. Cesera la première usine enFrance à produire du

carburant à partir de lacollecte d’huiles usagées.Sa production devrait êtrede 45 000 tonnes par an(dans sa 1re phase). Lebiodiesel produit sera toutd’abord utilisé pour la flottede véhicules du réseauVeolia Propreté et de VeoliaTransport.

GDE recycle les métauxferreux : carcasses devéhicules, appareilsélectroménagers, chutesmétalliques des pressesindustrielles. Rien nerésiste au broyeur, l’un desplus importants d’Europe.

ALPA produit de l’acier pourbéton armé en incorporantune partie importante deferraille recyclée.

Le fer est également venduet expédié par les moyens duport de Limay



La Seine, voie royale pour la planète

Le transport fluvial est unmode très compétitif etrespectueux del’environnement.En comparaison avec letransport routier, letransport fluvialconsomme environ 3 à 4fois moins de pétrole etémet 3 à 4 fois moins deCO2. Un convoi fluvial c’esten moyenne 250 camionsen moins sur nos routes etune réduction despollutions.De plus la voie navigableaméliore significativementla compétitivité desentreprises qui recourentau transport fluvial.Le Port de Limay afficheune croissance du trafic n’acesse de croître.

Éco-industrie

France Plastiques Recyclage

GDE

SARP Industries

SEVÉPI (céréales)

Prims’o

Et bien sûr les nombreusessociétés qui font venir parconteneurs entiers leursmarchandises ou qui lesexpédient vers plusieurs paysdans le monde entier.

Les entreprises quiutilisent la voie d’eau


Territoire communal


Territoire communal

Plan Local d’Urbanisme(PLU)



Tous les aspectsenvironnementauxsont pris au sérieux

Économiser l’eau, c’est possible grâce à lafuture station d’épuration du SMARD(Syndicat Mixte d’Assainissement de la RiveDroite) de Limay.Recycler, c’est aussi ce à quoi s’emploientbeaucoup de nos entreprises.Elles ont fait de Limay la capitale régionalede l’éco-industrie (fer, métaux non ferreux, inox,bouteille plastique, huiles usagées, papiers etcartons, font l’objet de recyclage).Quelques grandes entreprises privilégientmême la voie d’eau, le transport fluvial…

méliorer la qualité de l’air,c’est ce que nous faisons,en développant les trans-

ports en commun et en améliorantla circulation, la fluidité. Bien cir-culer, c’est aussi pouvoir station-ner. Limay compte déjà plus2000 places de parking gratuiteset une quinzaine d’arrêts minuteprès des commerçants…Notre environnement que nousavons façonné, c’est bien sûr desespaces de verdure, des arbres,

une forêt de 55 hectares, le sitedes Carrières, 300 hectares clas-sés « espace naturel sensible »,des liaisons douces à venir, 100hectares en zones commercialeset industrielles, un système d’as-sainissement qui ne cesse d’êtreamélioré, mais aussi un habitat di-versifié ouvert sur la mixité so-ciale, la préservation du centrehistorique, une politique del’aménagement s’inscrivant dansle développement durable

A


La nature en ville

Comme 1606 arbres dans la

Limay c’est 1606 arbresintra-muros, desbosquets, des talus, descentaines de jardinières,des massifs de fleurs, desmilliers de plantations.Limay a obtenu le labeldes 3 fleurs en 2002.Pour le Service desEspaces Verts, lefleurissement c’est :65 000 plantes annuellesou bisannuelles,17 700 bulbes.


La nature en ville

ville

Objectif « zéro engrais ». La volonté d’ici 3 ans de ne plus utiliser de produitsphytosanitaires (engrais, herbicides, insecticide, etc.) lors des campagnes dedésherbage.La création de la coulée verte pour favoriser les déplacements à pied ouà vélo. Une première partie sera réalisée pour le début de l’année 2010.La création de la Réserve Naturelle régionale des CarrièresEn 2010, utilisation de l’eau de source pour l’arrosage des espaces verts(source située dans le « chenil » avenue A. Briand)

Des actions à venir

35 hectares d’espaces verts font l’objet de soins prodiguéspar le Service municipal des Espaces Verts (embellissement,fleurissement, entretien, tailles, plantations, participations auconcours des villes fleuries, etc.)


Le SMARD(le Syndicat Mixted’Assainissement de laRive Droite) a été créépar la municipalité pourreprendrel’assainissement,gérer et construirela station d’épuration enzone portuaire.

a station d’épuration constitueun projet ultra innovant, respec-tueux de l'environnement et

doté de cette particularité qu'un tiers deseaux traitées sera réutilisé à des fins in-dustrielles au lieu d’être rejeté dans lanature. Ce sera une première en France.Le SMARD s’est vu récompensé pour sonprojet en recevant le second prix lors dugrand prix de l’environnement des villesd’Île-de-France.

La station s’inscrit pleinement dans unedémarche Haute Qualité Environnemen-tale (HQE) comprenant notamment uneréduction de la consommation d’énergie.Et la « Démarche Environnementale » apour objet de respecter les principes dudéveloppement durable dans saconstruction.Les travaux de construction ont com-mencé en septembre et doivent durer18 mois.

L

Grâce à un procédé biologiquede filtration membranaire, lastation garantira une eautraitée qui respectera lesnormes en vigueur, maisanticipera aussi les futuresnormes à venir.Les performances de la stationpermettront de donner unequalité de l’eau traitéeéquivalente à celle d’une eaude baignade.Une part importante de l’eautraitée sera valorisée etrevendue à quelques grandesentreprises au lieu d’êtrerejetée dans la Seine.La station comprendra unetoiture végétalisée et unsystème de récupération deseaux de pluie pour les toiletteset l’arrosage. La structure estégalement conçue pour évitertoute pollution sonore.Les locaux administratifsseront pourvus d’un chauffage« zéro carbone » et depanneaux solaires.

Caractéristiquesenvironnementales

La station d’épuration

L’assainissementdes eaux usées


Vivre ensemble, cadre de vieet environnementne font qu’un

Réglementer l’urbanisme, la circulation, gérer et entretenir les bâtiments publics…Agir contre le bruit, préserver notre patrimoine architectural et naturel…Assurer la salubrité publique, la gestion de l’eau potable, l’assainissement,la gestion des déchets…Autant de responsabilités prolongées par des actions qui font le quotidiende la gestion municipale et des élu(e)s.Il n’en demeure pas moins que chaque citoyen doit se conformer aux règleset aux lois pour que l’ensemble des Limayens puisse pleinement profiter de leurenvironnement.


Vivre ensemble


n l’a vu dans les pages pré-cédentes la municipalité agitau quotidien pour :

• Préserver les ressources naturelles,réduire les consommations de car-burant et les émissions de CO2• Protéger la biodiversité, les es-paces naturels, le site des Carrières,et le bois Saint-Sauveur.• Développer des énergies renouve-lables (photovoltaïque, notamment)• Développer les transports (leslignes de bus) avec le Syndicat desTransports de la Rive Droite Vexin etpour lequel la ville de Limay apportesa contribution financière qui s’élèveà 660 000€.• Améliorer l’assainissement (rem-placement des réseaux en plomb), letraitement des eaux usées, etc.•Diversifier les collectes de déchets :déchets verts, encombrants, papiers,magazines, bouteilles en verre, piles,D.A.R.S.I., etc. Collectes auxquelles ilfaut ajouter le rôle accru de déchet-terie.

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Vivre ensemble


Comme le veut la loi, lamunicipalité procède àl’établissement d’une« carte du bruit ». Aveccette carte du bruit (unecartographie), il s’agitd’évaluer les niveauxsonores émis par lestransports (trafic routier,ferroviaires, aérien, etc.)ou provenant d’activités etd’installationsindustrielles classéessoumises à autorisation.La carte du bruit intégrerala politiqued’aménagement etpermettra d’établir un Plande Prévention du Bruitdans l’Environnement(PPBE)

Définir une cartedu bruit

Quand la vie sociale contribueà améliorer l’environnement

Le bricolageIl en va ainsi de l’interdiction de bricoleret de jardiner à l’aide d’outils bruyantsen dehors des jours et des heures sui-

vants : les jours ouvrables, de 9h à 12het de 14h à 19h ; les samedis, de 10h à12h et de 14h à 18h.

L’interdiction debrûler les herbesUn arrêté municipalinterdit d'incinérerles déchets végé-taux sur l'ensembledu territoire de lacommune. Considé-rant qu’existe la dé-chetterie ouverte

aux particuliers et que la collecte régu-lière des déchets végétaux est assuréepar les servicesmunicipaux, il est interditde brûler les débris provenant des jar-dins. De plus cela limite les nuisancesaux riverains et les risques d'incendies.

L’interdiction contre le bruitNous avons cette chance que nos an-ciens nous ont léguée de vivre dans unepetite ville agréable aux portes de lacampagne. Mais tout cela peut êtreanéanti par le comportement dequelques-uns qui pensent vivre seuls.C’est pourquoi le Maire n’a de cesse derappeler à la loi les fauteurs de troublesen les exhortant à vivre en bonne intelli-gence et à respecter leurs voisins et l’en-vironnement.

Vivre ensembledans un cadre de vieagréable nécessitenéanmoins des règles,des recommandationset des interdictions quigarantissent la libertéde tous.

Halte au bruit !

Vivre ensemble


La sécurité, la propreté

Contre la vitesse en ville.Encore beaucoup trop d’usagers pren-nent les rues de Limay pour un circuit decourses automobiles ou de motos. Cespersonnes sont dangereuses pour elles-mêmes et pour les autres. La ville ne pou-vant installer des ralentisseurs partout,elle a pris un arrêté municipal contre lavitesse en ville et demandé à la Policed’être intraitable avec les contrevenants.

Contre les motos et autres quadsLa municipalité a également pris il y a

plusieurs années un an un arrêté pour in-terdire la vente et la circulation sur lesvoies et lieux publics ouverts aux véhi-cules à deux roues, tricycle et quadricy-cle à moteur (quad, motos cross, pocketbike) non homologués et donc normale-ment interdits à la circulation !

Pour la propretéNe pas jeter d’encombrants dans les rueset les chemins. Ne pas vidanger des mo-teurs sur les trottoirs, les parkings… Uti-liser les aires pour les chiens pour leursbesoins. Autant de gestes simples à laportée de tous.

Les enseignes publicitairesréglementéesLa municipalité a arrêté une règlementa-tion communale de la publicité des en-seignes. C’est une réglementationimportante pour l’environnement qui in-terdit ou limite la taille des panneaux pu-blicitaires sur certains secteurs duterritoire.

Vivre ensemble


Une collectivitétotalement engagée dansle développement durable

On ne peut pas évoquer le cadre de vie et notre environnement qui ne serait pas cequ’il est sans parler de celles et de ceux qui le créent, le façonnent, l’agrémentent,l’entretiennent. Nous voulons parler du personnel municipal, des équipes desservices des bâtiments et de l’éclairage public, de la voirie et de la signalisation, del’entretien, de la manutention, de la régie de l’eau, de la régie des orduresménagères, des déchets et de la propreté, des espaces verts… Et du personneladministratif. Bref, de tous ces hommes et ces femmes au service de la population etde notre environnement, 365 jours sur 365 !

Limay c’est :• 70 km de voirieet aussi 85 ton-nes d’enrobé, enmoyenne, par anpour leur entre-tien ou leur ré-fection.• Lorsque l’hiverest rude, commecelui de 2008, Cesont 50 tonnes de sel et 50 tonnes desable déversées pour rendre nos ruespraticables.

Limay c’est :• 62 bâtiments municipaux dont 14 éco-les, 3 gymnases,• 2400 points d’éclairage public.• 17 aires de jeux

• Une quinzained’aires à chiens.• Pour les collectesdes déchets, ce sont11 tournées par se-maine.• Plus de 8000 bacsà vider, 22 aires de trià gérer.

Limay, c’est :• 63 km de réseau de distribution del’eau qu’il faut entretenir et dans les-quels passent près d’un million de mè-tres cube d’eau pour que chaque foyerait une eau de bonne qualité au robinet.

« Le développement durable doit permettre

de répondre aux besoins présents sans

compromettre la capacité des générations

futures à répondre aux leurs ».

Définition officielle, 1987

informations · informations Bulletin municipal • n° 220 • novembre 2009 SPÉCIAL...

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