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Ile-de-France Numéro 5 - Année 2012 Au fil des formalités remplies par les personnes physiques ou morales qui déclarent et paient des cotisations et des contributions sociales, ainsi que dans le cadre de ses missions complémentaires (lutte contre le travail illégal, politique d’allégement et d’exonérations sociales…), l’Urssaf Ile-de-France collecte des données essentielles sur le tissu économique, l’emploi et les revenus du travail en Ile-de-France. Ces informations chiffrées sont mises à disposition des acteurs socio-économiques pour une prise de décision éclairée : préfectures, conseil régional, conseils généraux, Chambres de commerce et d’industrie, mairies, Mission nationale de contrôle et d’audit des organismes de Sécurité sociale (MNC), Mutualité sociale agricole (MSA)… L’Urssaf Ile-de-France met également son expertise au service de l’Acoss, la Caisse nationale des Urssaf, qui centralise les informations du réseau des Urssaf puis intervient auprès des autorités nationales et européennes. Services aux cotisants Services aux partenaires Contrôle Ressources informatiques Études et statistiques

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Ile-de-France

Numéro 5 - Année 2012

Au fil des formalités remplies par les personnes physiques ou morales qui déclarent et paient des cotisations et des

contributions sociales, ainsi que dans le cadre de ses missions complémentaires (lutte contre le travail illégal, politique d’allégement

et d’exonérations sociales…), l’Urssaf Ile-de-France collecte des données essentielles sur le tissu économique, l’emploi et les revenus du travail en

Ile-de-France.

Ces informations chiffrées sont mises à disposition des acteurs socio-économiques pour une prise de décision éclairée : préfectures, conseil régional, conseils généraux, Chambres de commerce et d’industrie, mairies, Mission nationale de contrôle et d’audit des organismes de Sécurité sociale (MNC), Mutualité sociale agricole (MSA)…

L’Urssaf Ile-de-France met égale ment son expertise au service de l’Acoss,

la Caisse nationale des Urssaf, qui centralise les informations

du réseau des Urssaf puis inter vient auprès des

autorités nationales et européennes.

Services aux cotisants Services aux partenaires Contrôle Ressources informatiquesÉtudes et statistiques

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Directeur de la publication :Philippe Renard, directeur de l’Urssaf Ile-de-FranceFourniture et élaboration des données :Urssaf Ile-de-France : Serge Mercier, Sandrine Groussac, Gaëlle Jacq, Estelle Pic, Audrey Dubourg, Matthieu Goussot, Virginie HaazRéalisation : Urssaf Ile-de-FranceDépôt légal : en cours - ISSN : en cours - Photos : @Fotolia.com

Chiffres Ile-de-Franceavec tableaux comparatifs entre les départements

1 - É tablissements, effectifs et masses salariales dans le secteur privé ..............................................2 - Déclarations préalables à l’embauche ................... 3 - Exonérations ..........................................................

Chiffres départementauxParis (75) .......................................................................Seine-et-Marne (77) ......................................................Yvelines (78) .................................................................. Essonne (91) .................................................................Hauts-de-Seine (92) ......................................................Seine-Saint-Denis (93) ..................................................Val-de-Marne (94) ..........................................................Val-d’Oise (95) ...............................................................

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Le champ « secteur privé concurrentiel » couvre l’ensemble des établissements exerçant leur activité dans le département dans un secteur concurrentiel qui comprend tous les secteurs d’activité économique sauf les administrations publiques, l’éducation non marchande (établissements d’enseignement relevant de l’État ou des collectivités locales), la santé non marchande et l’emploi par les ménages de salariés à domicile. Pour le secteur de l’agriculture, la branche du recouvrement n’a qu’une couverture marginale par rapport à la Mutualité sociale agricole (MSA). Cette dernière est présente également dans le domaine des industries agro-alimentaires (IAA), du commerce de gros et des services financiers, pour lesquels la couverture des Urssaf n’est donc pas totale.

Établissements, effectifs et masse salariale (Base SEQUOIA) : ces informations découlent de l’exploitation des déclarations mensuelles ou trimestrielles des entreprises.

L’assiette salariale totale ou l’assiette déplafonnée désigne l’ensemble des rémunérations sur lesquelles repose le calcul des cotisations des assurances sociales, des accidents du travail et des allocations familiales, c’est-à-dire le salaire de base auquel s’ajoutent des compléments légaux, conventionnels ou attribués à l’instigation de l’employeur, sous forme de commissions, de primes, de rémunérations des heures supplémentaires, de gratifications et d’avantages en nature. Elle se distingue de l’assiette “ Contribution sociale généralisée ” (CSG) qui comprend également les sommes allouées au titre de l’intéressement et de la participation.

L’effectif salarié est un effectif en fin de trimestre ; chaque salarié compte pour un, indépendamment de sa durée de travail. Cet effectif donne lieu à de nombreuses vérifications par les Urssaf et l’Acoss.Le salaire moyen par tête trimestriel (SMPT(T)) est calculé en rapportant la masse salariale du trimestre à l’effectif moyen observé sur le trimestre, soit la moyenne des deux effectifs de début et fin de trimestre ; il est divisé par trois pour obtenir une grandeur mensuelle. Ainsi :

( masse salariale (T) / 3SMPT(T) =

( effectif fin trimestre (T) + effectif fin trimestre (T-1) ) / 2Le salaire moyen par tête annuel (SMPT(AA)) est calculé en rapportant la masse salariale annuelle à l’effectif moyen observé sur l’année, soit la moyenne des effectifs des 4 trimestres de l’année ; il est divisé par 12 pour obtenir une grandeur mensuelle. Ainsi :

( masse salariale (AA) / 12SMPT(AA) =

( effectif fin trimestre (1T) + effectif fin trimestre (2T)+ effectif fin trimestre (3T) + effectif fin trimestre (4T)) / 4

Les données sont désaisonnalisées pour corriger notamment l’impact des versements de primes et les fluctuations saisonnières de l’emploi (CVS : Corrigé des variations saisonnières). Ces désaisonnalisations peuvent également conduire à des révisions des périodes antérieures.

Le nombre d’établissements retient les établissements qui présentent une assiette salariale non nulle.

À propos des données

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Déclaration préalable à l’embauche (Base SAS DUE) : à partir de la saisie des formulaires de déclarations préalables à l’embauche (DPAE) des employeurs du département, permettant le suivi économique de l’embauche de salariés.Les DPAE prises en compte correspondent aux déclarations pour des dates d’embauche comprises dans la période étudiée.

Exonérations (Base SAS EXONERATION) : à partir de l’exploitation des informations déclaratives mensuelles ou trimestrielles.

Les exonérations correspondent à l’ensemble des cotisations exonérées, qu’elles soient compensées ou non par l’État.

La typologie des mesures :

- Mesures générales d’encouragement à la création d’emplois et à la RTT et au pouvoir d’achat : loi Fillon, réduction du temps de travail (RTT), heures supplémentaires (TEPA).

- Mesures en faveur de l’emploi de publics particuliers : contrat d’apprentissage, contrat de professionnalisation, contrat de formation en alternance (contrat de qualification, contrat Pacte), contrats aidés non marchands (contrat d’avenir, contrat d’accompagnement dans l’emploi…), contrats aidés marchands (contrat initiative emploi, contrat de retour à l’emploi…), emploi dans les structures d’insertion.

- Mesures en faveur de l’emploi dans certaines zones géographiques : zones franches urbaines, zones de redynamisation urbaine…

- Mesures en faveur de secteurs particuliers et autres mesures : service à la personne, jeunes entreprises innovantes, sportifs professionnels, colporteurs de presse…

ACOSS : Agence centrale des organismes de Sécurité sociale

CDD : Contrat à durée déterminéeCDI : Contrat à durée indéterminéeCAF : Caisse des allocations familialesCNAF : Caisse nationale des allocations

familialesCNAM : Caisse nationale d’assurance maladieCNAV : Caisse nationale d’assurance

vieillesse CPAM : Caisse primaire d’assurance maladieCRAM : Caisse régionale d’assurance maladieCRDS : Contribution au remboursement de la

dette socialeCSG : Contribution sociale généraliséeDPAE : Déclaration préalable à l’embaucheETT : Entreprise de travail temporaireFNAL : Fonds national d’aide au logementMSA : Mutualité sociale agricole

RG : Régime généralRSA : Revenu de solidarité actifSEQUOIA : Système pour l’étude quantitative et

l’observation des informations de l’as-siette

SMIC : Salaire minimum interprofessionnel de croissance

SMPT : Salaire moyen par tête TEPA (loi) : Loi en faveur du travail, de l’emploi et

du pouvoir d’achatTGE - GE : Très grandes entreprises – grandes

entreprisesURSSAF : Union pour le recouvrement

de cotisations de Sécurité sociale et d’allocations familiales

VLU : Versement en lieu uniqueVT : Versement transportZFU : Zone franche urbaine

Lexique

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ChiffresIle-de-FranceAvec tableaux comparatifs

entre les départements

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Les établissements, effectifs et masses salariales dans le secteur privé

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164

Ile-de-France

Établissements, effectifs et masses salarialesévolutions comparées

L’activité en Ile-de-France a résisté, contrairement à celle de l’ensemble de la France, en affichant une hausse même faible de l’emploi. Cette progression s’établit à 0,1 %, ce qui représente une création nette de 6 600 emplois durant l’année 2012.La masse salariale des entreprises franciliennes du secteur privé augmente de 2,3 % par rapport à 2011, contre 3,8 % pour 2011/2010.L’évolution de la masse salariale au dernier trimestre 2012 est un peu moins dynamique avec une progression de 1,9 %, en comparaison avec le dernier trimestre 2011.Le salaire moyen par tête francilien progresse de 1,7 % sur un an, s’élevant à 3 088 euros.Le nombre d’établissements en région parisienne augmente de 0,5 %, soit une création de près de 2 000 établissements en 2012.

Évolution en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête

Salaire moyen par tête

Effectifs

Masses salariales

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Source : Urssaf - Acoss

Année2012 1T 2012 2T 2012 3T 2012 4T 2012 Évolution

2012/2011Évolution

4T12/4T11Masse salariale (en millions d’€) 41 244,2 41 557,0 41 774,1 41 882,9 166 458,2 + 2,3 % + 1,9 %

Effectifs salariés (en milliers) 4 515,7 4 518,2 4 520,9 4 522,1 / / + 0,1 %

Salaire moyen par tête (SMPT en €) 3 045 3 067 3 081 3 088 / / + 1,7 %

Établissements 385 149 386 894 387 284 388 623 / / + 0,5 %

Source : Urssaf - Acoss

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Répartition par secteur d’activité

La construction et le tertiaire hors intérim moteur de la création d’emplois en 2012La construction en Ile-de-France connaît une faible croissance de l’emploi (+ 1,6 %) en 2012. Le secteur a, néanmoins, contribué à la création de plus de 4 000 emplois en 2012.Le tertiaire hors intérim affiche également une croissance modeste (+ 0,4 %). Compte tenu du poids de ce grand secteur, cela représente une création nette de 14 000 emplois. Alors que l’an dernier tous les sec-teurs du conseil avaient contribué à créer de l’emploi, cette année ils évoluent en ordre dispersé. L’action sociale ou l’hébergement et la restauration sont les deux secteurs qui ont permis de créer le plus d’emplois en 2012.

L’industrie francilienne poursuit son érosionL’industrie francilienne perd toujours des emplois. Elle affiche en effet une baisse de 0,8 % en un an. Cette diminution s’accentue par rapport à l’année 2011 (+ 0,6 point) et s’explique notamment par la baisse des ventes d’automobiles et des restructurations dans l’électronique.

Source : Urssaf - Acoss

Activité économique (NACE 38)Établissements Effectifs

(en milliers)Masses salariales

(en millions d’€)

4T 2012 Évolution4T12/4T11 4T 2012 Évolution

4T12/4T11Année 2012

Évolution2012/2011

BZ Industries extractives 118 - 2,5 % 1,8 + 0,4 % 109,1 + 7,6 % CA Industries agro-alimentaires 5 147 + 0,6 % 46,1 + 1,0 % 1 361,7 + 2,8 % CB Habillement, textile et cuir 1 927 - 3,8 % 18,7 - 1,5 % 660,2 + 0,9 % CC Bois et papier 1 792 - 5,5 % 19,3 - 5,8 % 727,9 - 4,5 % CD Cokéfaction et raffinage 17 - 5,6 % 2,4 + 31,2 % 135,6 + 41,5 % CE Industrie chimique 504 - 1,2 % 27,9 - 3,4 % 1 523,3 - 3,0 % CF Industrie pharmaceutique 155 + 2,0 % 20,0 - 3,8 % 1 187,5 + 1,9 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 940 - 0,6 % 21,3 - 2,9 % 910,3 - 0,1 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 1 783 - 2,0 % 28,9 - 1,8 % 1 109,3 - 0,1 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 681 - 4,5 % 44,0 - 1,0 % 2 440,4 + 1,0 % CJ Fabrication d’équipements électriques 443 - 3,3 % 14,8 - 3,4 % 744,2 + 0,2 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 735 - 4,9 % 17,9 - 1,2 % 810,4 + 4,0 % CL Fabrication de matériels de transport 277 + 1,1 % 77,2 - 0,6 % 3 976,5 + 3,5 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 3 323 - 1,2 % 43,3 + 0,3 % 1 738,0 + 3,1 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 554 - 7,4 % 45,6 + 1,7 % 2 419,9 + 8,1 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 944 + 1,1 % 33,2 + 1,6 % 1 090,4 + 2,8 % FZ Construction 36 650 + 0,4 % 278,3 + 1,6 % 8 161,9 + 2,6 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 76 441 - 0,0 % 692,8 - 0,2 % 22 955,9 + 2,1 % HZ Transports et entreposage 11 103 - 1,1 % 373,4 + 0,0 % 12 847,9 + 1,6 % IZ Hébergement et restauration 34 528 + 1,9 % 291,1 + 2,4 % 6 321,4 + 3,9 % JA Édition et Audiovisuel 9 681 + 1,1 % 143,9 - 0,5 % 6 628,8 + 1,6 % JB Télécommunications 1 161 - 1,9 % 57,4 - 1,6 % 2 804,8 + 1,9 % JC Activités informatiques 8 812 + 3,9 % 185,8 - 0,1 % 9 191,2 + 3,0 % KZ Activités financières et d’assurance 16 852 + 1,6 % 318,8 - 0,2 % 18 391,2 + 1,5 % LZ Activités immobilières 13 821 - 2,4 % 74,6 - 2,1 % 2 586,9 - 0,5 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 32 723 + 1,8 % 362,5 + 0,3 % 19 226,1 + 3,2 % MB Recherche et développement 906 - 0,1 % 60,0 + 0,2 % 2 565,4 + 2,7 % MC Autres activités scientifiques et techniques 7 442 - 1,0 % 88,3 - 1,8 % 3 624,2 + 2,0 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 56 648 - 1,0 % 515,7 - 0,4 % 12 306,3 + 2,1 % OZ Administration publique 214 + 0,0 % 39,3 - 1,6 % 2 990,8 + 2,4 % PZ Éducation 6 524 + 1,7 % 76,2 + 0,5 % 2 015,6 + 2,5 % QA Activités pour la santé humaine 11 872 + 0,6 % 98,3 + 0,8 % 2 731,5 + 2,1 % QB Action sociale et hébergement médico-social 5 754 + 4,5 % 165,4 + 4,4 % 3 496,4 + 5,0 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 11 762 + 0,5 % 93,3 + 1,3 % 2 612,1 + 6,0 % SZ Autres activités de services 26 071 + 3,4 % 139,8 - 0,8 % 3 843,6 + 0,6 % Industrie 19 340 - 1,8 % 462,3 - 0,8 % 20 944,8 + 2,4 % Construction 36 650 + 0,4 % 278,3 + 1,6 % 8 161,9 + 2,6 % Tertiaire 332 315 + 1,4 % 3 776,6 + 0,2 % 137 140,0 + 2,3 % Dont Tertiaire hors intérim 329 768 + 1,4 % 3 675,3 + 0,4 % 134 248,1 + 2,4 % Intérim 2 547 + 4,8 % 101,4 - 7,5 % 2 891,8 - 2,3 %

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4T 2011 4T 2012Poids

département

Paris 154 967 156 242 40,2 %

Seine-et-Marne 30 332 30 367 7,8 %

Yvelines 32 427 32 488 8,4 %

Essonne 26 734 26 811 6,9 %

Hauts-de-Seine 47 047 47 282 12,2 %

Seine-Saint-Denis 36 608 36 724 9,4 %

Val-de-Marne 33 524 33 630 8,7 %

Val-d’Oise 24 992 25 079 6,5 %

Ile-de-France 386 631 388 623 100,0 %

L’intérim, une année de repliL’année 2012 a vu les effectifs en intérim chuter de 7,5 % sur un an, ce qui équivaut à 8 000 emplois de moins. Le niveau de l’intérim retrouve celui du 1er trimestre 2010, annulant les hausses des années 2010 et 2011.

Le nombre d’établissementsRépartition des établissements par département

Le nombre d’établissements augmente cette année (+ 0,5 %) ; on enregistre ainsi la création de près de 2 000 établissements en 2012.

L’ensemble des départements d’Ile-de-France voit son nombre d’établissements augmenter avec un maximum de 0,8 % pour Paris et un minimum de 0,1 % pour la Seine-et-Marne. Comme en 2011, 2 établis-sements franciliens sur 5 sont situés à Paris.

Évolution annuelle du nombre d’établissements par département

Source : Urssaf-Acoss

Seine-Saint-Denis+ 0,3 %

Paris+ 0,8 %

Val-de-Marne+ 0,3 %

Hauts-de-Seine+ 0,6 %

Ile-de-France+ 0,5 %

Val-d’Oise+ 0,3 %

Yvelines+ 0,2 %

Essonne+ 0,3 % Seine-et-Marne

+ 0,1 %

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Évolution annuelle des effectifs par département

Les salariés franciliens du secteur privé représentent 25,4 % des effectifs nationaux. Paris constitue 31,6 % des effectifs salariés franciliens du régime général, suivent les Hauts-de-Seine avec 19,5 % et la Seine-Saint-Denis avec 9,5 %.À fin 2012, les effectifs salariés ont augmenté de 0,2 % par rapport à 2011 en Ile-de-France. Cette augmentation est la plus forte dans le département du Val-de-Marne (+ 3,9 %), suivi de la Seine-et-Marne (+ 3,2 %). À l’inverse, Paris (- 1,7 %) et le Val-d’Oise (- 3,7 %) affichent de très fortes baisses. À noter cependant, que les évolutions du Val-d’Oise et de la Seine-et-Marne sont pour partie liées. En effet, des personnels travaillant à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle ont changé d’établissements et de département.Les hausses d’emplois enregistrées en 2012 ont été régulières mais très faibles. Les variations trimestrielles oscillent entre 0,01 % à 0,06 %. À l’inverse, le niveau d’emploi national a été en recul dès le 1er trimestre de l’année 2012. Les variations d’emplois trimestrielles sont ensuite apparues de plus en plus négatives.

Les effectifs salariésRépartition des effectifs par département

Seine-Saint-Denis+ 2,2 %

Paris- 1,7%

Val-de-Marne+ 3,9 %

Hauts-de-Seine+ 0,9 %

Ile-de-France+ 0,2 %

Val-d’Oise- 03,7 %

Yvelines+ 0,1 %

Essonne- 0,3 % Seine-et-Marne

+ 3,2 %

En milliers

4T 2011 4T 2012 Poids département

Paris 1 451,5 1 427,5 31,6 %

Seine-et-Marne 331,7 342,2 7,6 %

Yvelines 408,4 408,8 9,0 %

Essonne 337,4 336,6 7,4 %

Hauts-de-Seine 875,4 883,3 19,5 %

Seine-Saint-Denis 421,7 431,0 9,5 %

Val-de-Marne 382,0 396,8 8,8 %

Val-d’Oise 307,3 296,1 6,5 %

Ile-de-France 4 515,3 4 522,1 100,0 %

Source : Urssaf-Acoss

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Évolution de l’effectif salarié par secteur d’activité

Dans l’industrie, l’emploi francilien poursuit sa contraction, la majorité des secteurs voit ses effectifs se dégrader. Ainsi, le secteur du bois et papier continue sa chute avec un nouveau repli de ses effectifs de 5,8 %. A contrario, celui de la production, distribution d’électricité, de gaz affiche une croissance de ses effectifs de 1,7 %.

Le secteur de la construction a rattrapé son niveau d’avant la crise économique grâce à une évolution positive de son niveau d’emploi (+ 1,6 % par rapport au 4e trimestre 2011).

Le secteur de l’intérim affiche un repli important (- 7,5 %) par rapport à l’année précédente. Le volume d’emploi de ce secteur est en baisse sur les quatre trimestres de l’année. Le secteur tertiaire hors intérim progresse de 0,4 % sur un an. L’hébergement et restauration (+ 2,4 % par rapport au 4e trimestre 2011) mais surtout l’action sociale et hébergement médico-social (+ 4,4 %) permettent à ce grand secteur de croître. À l’inverse, les autres activités scientifiques et techniques (- 1,8 %) et les télécommunications (- 1,6 %) contribuent négativement à l’évolution de l’emploi. Le commerce demeure le secteur employant le plus de salariés ; sur un an son évolution est légèrement négative (- 0,2 %).

Activité économique (NACE 38)4e trimestre 2012

Glissement annuel

Source : Urssaf - Acoss

Niveau trimestriel(en milliers)

4T 2012 4T 2011 4T 2010

BZ Industries extractives 1,8 + 0,4 % + 1,2 % - 0,2 % CA Industries agro-alimentaires 46,1 + 1,0 % + 0,7 % + 0,5 % CB Habillement, textile et cuir 18,7 - 1,5 % - 2,6 % - 2,4 % CC Bois et papier 19,3 - 5,8 % - 5,6 % - 5,8 % CD Cokéfaction et raffinage 2,4 + 31,2 % - 3,1 % - 8,8 % CE Industrie chimique 27,9 - 3,4 % - 2,3 % - 2,7 % CF Industrie pharmaceutique 20,0 - 3,8 % + 0,3 % - 2,5 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 21,3 - 2,9 % - 0,3 % - 4,8 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 28,9 - 1,8 % - 0,9 % - 2,4 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 44,0 - 1,0 % - 2,1 % - 0,6 % CJ Fabrication d’équipements électriques 14,8 - 3,4 % - 1,6 % - 3,3 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 17,9 - 1,2 % + 1,0 % - 8,6 % CL Fabrication de matériels de transport 77,2 - 0,6 % + 3,3 % - 2,2 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 43,3 + 0,3 % - 0,2 % - 0,3 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 45,6 + 1,7 % + 1,1 % + 0,6 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 33,2 + 1,6 % + 2,5 % + 1,6 % FZ Construction 278,3 + 1,6 % + 0,9 % + 0,7 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 692,8 - 0,2 % + 1,0 % + 0,5 % HZ Transports et entreposage 373,4 + 0,0 % - 0,6 % + 0,1 % IZ Hébergement et restauration 291,1 + 2,4 % + 2,5 % + 3,0 % JA Édition et Audiovisuel 143,9 - 0,5 % - 0,1 % + 0,2 % JB Télécommunications 57,4 - 1,6 % - 2,1 % - 3,4 % JC Activités informatiques 185,8 - 0,1 % + 2,8 % + 2,7 % KZ Activités financières et d’assurance 318,8 - 0,2 % + 1,1 % + 0,5 % LZ Activités immobilières 74,6 - 2,1 % - 0,6 % + 2,8 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 362,5 + 0,3 % + 3,0 % + 1,5 % MB Recherche et développement 60,0 + 0,2 % - 0,2 % - 1,1 % MC Autres activités scientifiques et techniques 88,3 - 1,8 % + 1,9 % + 0,2 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 515,7 - 0,4 % + 0,4 % + 2,4 % OZ Administration publique 39,3 - 1,6 % - 2,0 % - 2,3 % PZ Éducation 76,2 + 0,5 % - 0,1 % + 0,6 % QA Activités pour la santé humaine 98,3 + 0,8 % + 0,7 % + 1,5 % QB Action sociale et hébergement médico-social 165,4 + 4,4 % + 2,3 % + 2,5 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 93,3 + 1,3 % - 1,7 % + 2,5 % SZ Autres activités de services 139,8 - 0,8 % - 1,0 % + 1,5 % Industrie 462,3 - 0,8 % + 0,1 % - 1,8 % Construction 278,3 + 1,6 % + 0,9 % + 0,7 % Tertiaire 3 776,6 + 0,2 % + 0,9 % + 1,2 % Dont Tertiaire hors intérim 3 675,3 + 0,4 % + 0,9 % + 0,9 % Intérim 101,4 - 7,5 % - 0,9 % + 12,0 %

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8

Évolution annuelle des masses salariales par département

La masse salariale augmente de 2,3 % sur la totalité de l’année 2012. La situation est cependant contrastée au sein des départements franciliens. En effet, le département du Val-de-Marne progresse de 5,6 %, alors que celui de Paris n’augmente que de 0,5 %.

Les départements Paris et Hauts-de-Seine sont toujours les deux gros pôles d’activité en Ile-de-France et comptabilisent près de 60 % de la masse salariale francilienne.

La masse salariale de l’Ile-de-France représente 32,5 % de la masse salariale nationale. Cette part est analogue à celle des années précédentes et croît légèrement plus vite que celle nationale, avec respectivement + 2,3 % et + 2,1 %.

Les masses salarialesRépartition des masses salariales par département

Seine-Saint-Denis+ 4,2 %

Paris+ 0,5 %

Val-de-Marne+ 5,6 %

Hauts-de-Seine+ 3,4 %

Ile-de-France+ 2,3 %

Val-d’Oise+ 0,4 %

Yvelines+ 2,8 %

Essonne+ 2,1 % Seine-et-Marne

+ 3,8 %

En millions d’€

Année 2011 Année 2012 Poids département

Paris 56 088,2 56 351,8 33,9 %

Seine-et-Marne 9 081,0 9 423,3 5,7 %

Yvelines 13 719,9 14 105,3 8,5 %

Essonne 10 640,5 10 862,2 6,5 %

Hauts-de-Seine 38 965,0 40 275,0 24,2 %

Seine-Saint-Denis 13 075,3 13 625,0 8,2 %

Val-de-Marne 11 595,4 12 246,5 7,4 %

Val-d’Oise 9 531,2 9 572,0 5,8 %

Île-de-France 162 696,6 166 461,2 100,0 %

Source : Urssaf-Acoss

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9

Ile-d

e-Fra

nce

La masse salariale de l’industrie de nouveau en hausseLa masse salariale de l’industrie est en hausse malgré la chute des effectifs. En 2012, la hausse est de 2,4 %. La production, distribution d’électricité, de gaz (+ 8,1 %) et la fabrication de machines et équipements (+ 4,0 %) détiennent les hausses les plus importantes. À l’inverse, le secteur du bois et papier (- 4,5 %) voit son niveau se contracter à un rythme plus important que l’année précédente.

La construction dynamiqueLa masse salariale du secteur de la construction augmente de 2,6 % en 2012.

Le secteur tertiaire hors intérim en forte hausseLa majorité des secteurs du tertiaire affiche de fortes hausses en 2012. Les arts, spectacles et activités récréatives et l’action sociale et hébergement médico-social voient leurs masses salariales croître de plus de 5,0 %. Seules les activités immobilières diminuent avec - 0,5 %.

Une année de forte baisse pour l’intérimAprès une croissance de 9,1 % en 2011, la masse salariale de l’intérim recule de 2,3 % en 2012. Cette baisse est, cependant, inférieure à celle observée pendant l’année 2009 (- 18,2 %).

Évolution des masses salariales par secteur d’activité

Activité économique (NACE 38)Année 2012

Glissement annuel

Source : Urssaf - Acoss

Niveau trimestriel(en millions d’€)

Évolution2012/2011

Évolution2011/2010

Évolution2010/2009

BZ Industries extractives 109,1 + 7,6 % + 9,6 % + 2,9 % CA Industries agro-alimentaires 1 361,7 + 2,8 % + 1,5 % - 0,0 % CB Habillement, textile et cuir 660,2 + 0,9 % + 2,3 % - 0,4 % CC Bois et papier 727,9 - 4,5 % - 3,2 % - 7,3 % CD Cokéfaction et raffinage 135,6 + 41,5 % - 5,8 % + 2,1 % CE Industrie chimique 1 523,3 - 3,0 % + 3,7 % - 0,2 % CF Industrie pharmaceutique 1 187,5 + 1,9 % + 4,4 % - 1,0 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 910,3 - 0,1 % + 2,7 % - 4,1 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 1 109,3 - 0,1 % + 1,5 % - 3,1 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 2 440,4 + 1,0 % + 3,1 % - 1,6 % CJ Fabrication d’équipements électriques 744,2 + 0,2 % + 1,6 % - 1,6 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 810,4 + 4,0 % + 1,0 % - 6,1 % CL Fabrication de matériels de transport 3 976,5 + 3,5 % + 4,0 % + 1,0 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 1 738,0 + 3,1 % + 2,7 % + 1,5 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 2 419,9 + 8,1 % + 1,8 % + 4,1 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 1 090,4 + 2,8 % + 4,6 % + 3,2 % FZ Construction 8 161,9 + 2,6 % + 3,6 % + 1,0 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 22 955,9 + 2,1 % + 3,3 % + 1,2 % HZ Transports et entreposage 12 847,9 + 1,6 % + 2,5 % + 0,6 % IZ Hébergement et restauration 6 321,4 + 3,9 % + 4,8 % + 5,0 % JA Édition et Audiovisuel 6 628,8 + 1,6 % + 4,4 % + 2,1 % JB Télécommunications 2 804,8 + 1,9 % + 1,5 % + 1,2 % JC Activités informatiques 9 191,2 + 3,0 % + 4,9 % + 2,1 % KZ Activités financières et d’assurance 18 391,2 + 1,5 % + 5,4 % + 4,0 % LZ Activités immobilières 2 586,9 - 0,5 % + 3,9 % + 6,3 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 19 226,1 + 3,2 % + 5,2 % + 2,2 % MB Recherche et développement 2 565,4 + 2,7 % - 0,1 % + 3,3 % MC Autres activités scientifiques et techniques 3 624,2 + 2,0 % + 6,1 % + 1,6 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 12 306,3 + 2,1 % + 4,3 % + 3,4 % OZ Administration publique 2 990,8 + 2,4 % - 0,4 % + 0,8 % PZ Éducation 2 015,6 + 2,5 % + 3,2 % + 2,9 % QA Activités pour la santé humaine 2 731,5 + 2,1 % + 2,3 % + 2,9 % QB Action sociale et hébergement médico-social 3 496,4 + 5,0 % + 4,4 % + 4,9 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 2 612,1 + 6,0 % + 5,0 % + 3,6 % SZ Autres activités de services 3 843,6 + 0,6 % + 1,4 % + 2,5 % Industrie 20 944,8 + 2,4 % + 2,7 % - 0,4 % Construction 8 161,9 + 2,6 % + 3,6 % + 1,0 % Tertiaire 137 140,0 + 2,3 % + 4,0 % + 2,5 % dont Tertiaire hors intérim 134 248,1 + 2,4 % + 3,8 % + 2,4 % Intérim 2 891,8 - 2,3 % + 9,1 % + 8,3 %

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10

500 000550 000

600 000650 000700 000750 000

800 000850 000900 000

950 0001 000 000

Évolution régionale du nombre de DPAE

À l’occasion de l’embauche d’un salarié, tout employeur, à l’exception des particuliers, est tenu d’effectuer une déclaration préalable à l’embauche (DPAE) auprès de l’Urssaf ou de la Mutualité sociale agricole, selon le régime auquel il appartient. Les données qui suivent concernent uniquement les déclarations parvenues aux Urssaf et excluent donc les entreprises relevant de la MSA. La DPAE recouvre toutes les formes d’embauche (CDI, CDD de courte ou de longue durée, temps plein, temps partiel, contrats d’intérim).

Répartition et évolution des DPAE par département

Durant l’année 2012, le nombre des DPAE a atteint un niveau record en Ile-de-France et progresse de 1,9 % par rapport à l’année 2011. Les évolutions sont disparates selon le type de contrat et selon les départements.Une hausse du nombre de DPAE est constatée sur 5 départements, dont le Val-de-Marne (+ 7,0 %) et Paris (+ 2,8 %). À l’inverse, 3 départements sont en sensible baisse : les Hauts-de-Seine (- 0,3 %), l’Essonne (- 1,4 %), la Seine-et-Marne (- 1,4 %).

1 000 000

950 000

900 000

850 000

800 000

750 000

700 000

650 000

600 000

550 000

500 000

janv

-09

févr

-09

mar

s-09

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09m

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août

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ars-

10av

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mai

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-10

juil-

10ao

ût-1

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pt-1

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10dé

c-10

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-11

févr

-11

mar

s-11

avr-

11m

ai-1

1ju

in-1

1ju

il-11

août

-11

sept

-11

oct-1

1no

v-11

déc-

11ja

nv-1

2fé

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2m

ars-

12av

r-12

mai

-12

juin

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juil-

12ao

ût-1

2se

pt-1

2oc

t-12

nov-

12dé

c-12

Déclarations préalables à l’embauche2

En milliers

Année 2011 Année 2012 Poids département

Paris 4 035,2 4 147,5 + 2,8 % 41,2 %

Seine-et-Marne 702,9 693,0 - 1,4 % 6,9 %

Yvelines 620,2 632,0 + 1,9 % 6,3 %

Essonne 671,8 662,6 - 1,4 % 6,6 %

Hauts-de-Seine 1 649,0 1 643,8 - 0,3 % 16,3 %

Seine-Saint-Denis 918,6 941,9 + 2,5 % 9,4 %

Val-de-Marne 677,0 724,3 + 7,0 % 7,2 %

Val-d’Oise 596,5 611,6 + 2,5 % 6,1 %

Ile-de-France 9 871,2 10 056,5 + 1,9 % 100,0 %

Source : Urssaf-Acoss

Évolution 2012/2011

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Ile-d

e-Fra

nce

Répartition des DPAE par secteur d’activité

Le nombre de DPAE enregistrées en 2012 augmente pour une minorité de secteurs d’activité mais globalement dans ceux qui réalisent déjà le plus d’embauches.

Le tertiaire hors intérim affiche un nombre global de DPAE en hausse soutenue (+ 3,8 % sur un an). La construction progresse pour la troisième année de suite avec une hausse de 2,7 %. L’industrie, en revanche, voit son nombre de DPAE diminuer par rapport à 2011 (- 2,6 %). L’intérim, avec un niveau de DPAE plus faible en 2012 (- 1,5 %), représente toujours plus d’une DPAE sur trois.

Les hausses les plus importantes sur un an sont enregistrées dans les secteurs de la production et distribution d’eau, gestion des déchets (+ 14,2 %), les activités pour la santé humaine (+ 15,6 %) et l’action sociale et hébergement médico-social (+ 12,0 %). A contrario, certains secteurs affichent des baisses importantes notamment les activités informatiques (- 14,3 %) et la fabrication de matériels de transport (- 20,5 %).

Source : Urssaf - Acoss

Activité économique (NACE 38) Année 2011 Année 2012 Évolution2012/2011

En milliers

BZ Industries extractives 0,3 0,3 - 12,5 % CA Industries agro-alimentaires 38,7 39,2 + 1,3 % CB Habillement, textile et cuir 18,8 18,6 - 1,0 % CC Bois et papier 5,7 5,0 - 11,8 % CD Cokéfaction et raffinage 0,2 0,2 - 13,0 % CE Industrie chimique 6,1 5,5 - 9,6 % CF Industrie pharmaceutique 2,8 2,5 - 12,3 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 4,2 3,6 - 14,0 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 6,8 6,7 - 0,8 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 6,1 6,3 + 3,2 % CJ Fabrication d’équipements électriques 2,7 2,4 - 11,5 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 3,7 3,4 - 6,8 % CL Fabrication de matériels de transport 9,1 7,3 - 20,5 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 11,3 10,5 - 7,2 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 4,3 4,9 + 14,1 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 8,1 9,3 + 14,2 % FZ Construction 171,1 175,6 + 2,7 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 443,3 436,4 - 1,6 % HZ Transports et entreposage 189,8 269,4 + 42,0 % IZ Hébergement et restauration 1 155,9 1 189,1 + 2,9 % JA Édition et audiovisuel 1 057,1 1 044,0 - 1,2 % JB Télécommunications 11,6 10,0 - 13,7 % JC Activités informatiques 68,0 58,2 - 14,3 % KZ Activités financières et d’assurance 77,4 72,4 - 6,4 % LZ Activités immobilières 37,7 36,4 - 3,5 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 248,6 229,0 - 7,9 % MB Recherche et développement 15,4 14,9 - 2,7 % MC Autres activités scientifiques et techniques 504,5 506,4 + 0,4 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 4 196,1 4 231,7 + 0,8 % OZ Administration publique 93,3 97,0 + 4,0 % PZ Éducation 134,8 142,7 + 5,9 % QA Activités pour la santé humaine 142,1 164,3 + 15,6 % QB Action sociale et hébergement médico-social 303,4 339,7 + 12,0 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 727,5 749,8 + 3,1 % SZ Autres activités de services 163,4 162,5 - 0,6 % Activités diverses et non classées 1,3 1,0 - 20,3 % TOTAL 9 871,2 10 056,5 + 1,9 % Industrie 129,1 125,8 - 2,6 % Construction 171,1 175,6 + 2,7 % Tertiaire 9 569,8 9 754,1 + 1,9 % Dont Tertiaire hors intérim 6 125,2 6 360,7 + 3,8 % Intérim 3 444,6 3 393,4 - 1,5 %

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12

Répartition des DPAE par type de contrat

Répartition des DPAE par sexe et âge

La part des CDI dans le total des DPAE diminue cette année de 0,7 point pour s’établir à 11,0 % de l’ensemble des contrats, soit un taux identique à l’année 2009. En effet, le CDI est le type de contrat qui diminue le plus en 2012 avec une baisse de 4,1 % sur un an, atteignant 1,11 million de DPAE. Le type de contrat le plus utilisé demeure le CDD de courte durée (contrats inférieurs à 1 mois) dont la croissance ne se dément pas (+ 6,6 % par rapport à 2011). Ce type de contrat est le seul en progression cette année.

CDD long 8,4 %

CDI 11,0 %

CDD court 46,8 %

Intérim 33,7 %

Tous types de contrats inclus, les embauches se répartissent de façon assez stable dans le temps. En 2012, 59,4 % des DPAE correspondent à l’embauche de salariés masculins et 40,6 % de salariés féminins.

Les tranches des 21-24 ans et des 25-29 ans concentrent près d’un tiers des DPAE. Cette prédominance est encore plus marquée dans les CDI, où l’âge moyen s’élève à 31 ans. Pour ce type de contrat, les 25-29 ans représentent 19,5 % des embauches chez les hommes et 21,9 % des embauches chez les femmes.

Les embauches s’effectuent à des âges plus jeunes pour les femmes. L’emploi des plus de 55 ans est caractérisé par une part des DPAE plus importante des CDD (9,0 %) que des CDI (5,2 %).

plusde 55 ans

50 à 54 ans

45 à 49 ans

40 à 44 ans

35 à 39 ans

30 à 34 ans

25 à 29 ans

21 à 24 ans

moinsde 21 ans

Hommes59,4 %

Femmes40,5 %

250 000 0750 0001 000 000 500 000 750 000 100 000250 0000 500 000

8 %

6 %

9 %

10 %

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12 %

17 %

19 %

9 %

7 %

7 %

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12 %

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15 %

16 %

14 %

6 %

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Répartition et évolution des exonérations par département

Le montant total des exonérations au titre de l’année 2012 s’élève à 4,588 milliards d’euros pour l’ensemble des départements de la région parisienne, en faible hausse de 0,9 % par rapport à l’année 2011. Cette évolution représente une augmentation d’un montant de 41,0 millions d’euros de cotisations exonérées. Elle s’explique principalement par une augmentation du Smic qui influence positivement alors que les évolutions législatives ont pesé globalement négativement sur le niveau des exonérations.

Évolution annuelle des exonérations par département

Les départements franciliens affichent des évolutions disparates. Le montant total des exonérations évolue positivement dans 6 départements et diminue dans 2 autres.

Seine-Saint-Denis+ 0,1 %

Paris+ 0,1 %

Val-de-Marne+ 2,3 %

Hauts-de-Seine+ 2,3 %

Ile-de-France+ 0,9 %

Val-d’Oise- 0,4 %

Yvelines+ 0,7%

Essonne- 0,4 % Seine-et-Marne

+ 3,4 %

Exonération3

En millions d’€

Année 2011 Année 2012 Poids département

Paris 1 352,5 1 354,0 29,5 %

Seine-et-Marne 449,6 464,7 10,1 %

Yvelines 425,3 428,2 9,3 %

Essonne 396,8 395,0 8,6 %

Hauts-de-Seine 598,6 612,4 13,3 %

Seine-Saint-Denis 508,6 509,3 11,1 %

Val-de-Marne 452,5 462,9 10,1 %

Val-d’Oise 363,1 361,5 7,9 %

Ile-de-France 4 547,1 4 588,1 100,0 %

Source : Urssaf-Acoss

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La principale mesure d’exonération reste la réduction Fillon, qui atteint cette année 3,593 milliards d’euros, en hausse de 5,9 % sur un an. Cette augmentation s’explique notamment par les hausses du Smic. Ce dernier, en effet, a augmenté le 1er décembre 2011 (+ 2,11 %) et deux fois durant l’année 2012 : le 1er janvier (+ 0,33 %) et le 1er juillet (+ 1,95 %). L’exonération Fillon s’applique pour les salaires inférieurs à 1,6 Smic de manière annualisée. De fait, sa hausse entraîne souvent une augmentation plus que proportionnelle des montants exonérés (sauf si la pyramide des salaires progresse de manière égale à l’augmentation du Smic).

L’exonération Fillon reste le dispositif majoritaire puisque le montant exonéré représente 78,3 % du montant total des exonérations de cotisations. 71,2 % des établissements franciliens ont recours à cette exonération.

Les montants associés aux exonérations sur les heures supplémentaires s’élèvent à 522 millions d’euros, en chute de 24,4 % en un an. Cette baisse s’explique par la suppression partielle courant 2012 du dispositif lié à la loi Tepa. En effet, l’article 3 de la loi de finances rectificative pour 2012 (loi n° 2012-958) a recentré le dispositif uniquement sur les exonérations patronales des entreprises de moins de 20 salariés et ce, dès le 1er septembre. La part de ces mesures représente 11,4 % du montant total exonéré en région parisienne en 2012.

Répartition des exonérations par mesure

Principales mesures d'exonération

Réduction Fillon 3 593,5 + 5,9 % 1 786,9 - 2,7 %

Réduction salariale heures supplémentaires 390,1 - 28,4 % 777,9 - 26,2 %

Déduction patronale heures supplémentaires 131,4 - 9,5 % 782,7 - 16,4 %

Contrat d’apprentissage secteur privé 121,1 + 3,8 % 48,3 + 9,2 %

Aide à domicile 74,8 + 12,9 % 22,9 + 8,4 %

Contrat d’accompagnement dans l’emploi 73,6 - 6,5 % 21,9 - 4,3 %

Contrat d’apprentissage loi de 1979 59,8 - 1,9 % 31,7 + 4,3 %

Jeunes entreprises innovantes 49,7 + 20,2 % 5,4 - 1,8 %

Zones franches urbaines - exonération dégressive 21,8 - 17,7 % 6,3 - 16,7 %

Maîtres et documentalistes enseignement privé 18,7 + 0,1 % 0,0 -

Autres 53,5 - 2,1 % - -

TOTAL DES EXONÉRATIONS 4 588,1 + 0,9 % - -

* Les effectifs exonérés sont seulement calculés au niveau des mesures. Source : Urssaf - Acoss

Effectifs exonérés (en milliers) *

Cotisations exonérées(en millions d’€)

2012 Évolution 2012/2011 2012 Évolution

2012/2011

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La mesure zone franche urbaine

Le montant des exonérations zones franches urbaines (ZFU) s’élève à 22,1 millions d’euros, soit une baisse de 17,7 % en un an. Comme en 2011, l’affaiblissement du montant exonéré lié aux ZFU fait suite à l’introduction d’une dégressivité en fonction des salaires ainsi que d’un solde négatif des entrées/sorties d’entreprises à l’intérieur du dispositif.

La masse salariale concernée avoisine les 182 millions d’euros, soit le plus faible montant de ces neuf dernières années.

Source : Urssaf - Acoss

Les mesures générales d’encouragement à la création d’emplois et au pouvoir d’achat représentent 89,9 % du montant total exonéré (- 0,1 point sur un an).

En parallèle, les exonérations liées aux mesures en faveur de l’emploi de publics particuliers s’élèvent à 307 millions d’euros en 2012, en baisse de 1,0 % par rapport à 2011. La principale mesure associée à ce type d’exonération reste les contrats d’apprentissage avec 192 millions d’euros, progressant de 2,2 % en un an. À l’inverse, les contrats d’accompagnement dans l’emploi diminuent de 6,5 % pour 73 millions d’euros d’exonérations.

En 2012, près de 96,1 % du montant total de ces exonérations sont pris en charge par l’État.

Seine-et-Marne 131 131 593 1,9 16,2

Yvelines 180 180 701 1,7 14,8

Essonne 200 200 1 203 3,7 32,3

Seine-Saint-Denis 536 537 2 935 8,8 72,6

Val-de-Marne 112 112 465 1,3 12,2

Val-d’Oise 356 358 1 729 4,7 34,2

TOTAL ILE-DE-FRANCE 1 515 1 518 7 626 22,1 182,3

Nombre d’établisse-

mentsEffectif

salarié totalCotisationsexonérées(en millions d’€)

Massesalariale totale

(en millions d’€)

Nombre d’entreprises

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ChiffresdépartementauxZoom surles thèmes de l’emploiet des exonérations

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Mettre à jour (penser à changer axe trimestre si glissement d'une année ) et a cene pas modifier l'axe % pour unifier région et DDR

-5,00%-4,00%-3,00%-2,00%-1,00%+0,00%+1,00%+2,00%+3,00%+4,00%+5,00%+6,00%+7,00%+8,00%

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Les établissements, effectifset masses salariales

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164

Paris

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Paris représente 40,2 % des établissements franciliens, 31,6 % des effectifs salariés et 33,9 % de la masse salariale. Le poids de Paris reste ainsi prédominant. Le SMPT des salariés parisiens est supérieur (3 296 euros), tant par rapport à l’Ile-de-France (3 088 euros) qu’au niveau national (2 408 euros).Au 4e trimestre 2012, la masse salariale est inchangée et le salaire moyen croît de façon modérée en un an (+ 1,7 %). Le nombre des établissements est en hausse de 0,8 %.Les effectifs salariés sont en repli de 1,7 %. Le nombre de salariés du privé a particulièrement baissé au 1er trimestre par rapport au trimestre précédent, retrouvant ainsi le niveau des effectifs de 2009. Les trois trimestres suivants ont également enregistré des diminutions d’effectifs.L’évolution du salaire moyen par tête (SMPT) a été négative au 1er trimestre et quasiment constante au 4e trimestre.

Évolution en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête

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2Salaire moyen par tête

Effectifs

Masses salariales

Source : Urssaf - Acoss

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Année2012 1T 2012 2T 2012 3T 2012 4T 2012 Évolution

2012/2011Évolution

4T12/4T11Masse salariale (en millions d’€) 14 041,9 14 073,1 14 122,4 14 114,4 56 351,8 + 0,5 % + 0,0 %

Effectifs salariés (en milliers) 1 432,1 1 430,4 1 427,6 1 427,5 / / - 1,7 %

Salaire moyen partête (SMPT en €) 3 246 3 278 3 294 3 296 / / + 1,7 %

Établissements 155 155 155 714 155 871 156 242 / / + 0,8 %

Source : Urssaf - Acoss

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2020

Répartition par secteur d’activité

Source : Urssaf - Acoss

Établissements

Évolution 4T12/4T11

4T 2012

Effectifs(en milliers)

4 T 2012Évolution

4T12/4T11

Masses salariales(en millions d’€)

Année2012

Évolution 2012/2011

Activité économique (NACE 38)

BZ Industries extractives 23 - 4,2 % 0,5 + 0,5 % 61,2 + 14,2 % CA Industries agro-alimentaires 1 388 + 0,8 % 12,5 + 3,2 % 360,3 + 4,0 % CB Habillement, textile et cuir 1 319 - 4,5 % 11,8 - 2,1 % 441,6 + 2,2 % CC Bois et papier 494 - 5,5 % 3,2 - 3,7 % 122,2 - 1,3 % CD Cokéfaction et raffinage 0 + 0,0 % 0,0 + 0,0 % 0,0 + 0,0 % CE Industrie chimique 137 + 4,6 % 4,0 - 16,2 % 243,6 - 17,1 % CF Industrie pharmaceutique 36 + 12,5 % 2,7 - 15,5 % 217,8 + 19,3 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 113 + 5,6 % 1,2 + 5,4 % 55,0 + 4,1 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 125 + 1,6 % 1,1 + 23,2 % 59,6 + 14,8 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 91 - 3,2 % 2,2 + 1,8 % 139,8 + 5,4 % CJ Fabrication d’équipements électriques 60 - 6,3 % 1,3 + 3,8 % 68,5 + 7,7 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 39 - 9,3 % 0,3 - 7,5 % 13,1 - 1,0 % CL Fabrication de matériels de transport 19 + 0,0 % 4,7 - 1,2 % 260,2 + 3,4 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 974 + 2,0 % 6,2 + 5,0 % 230,0 + 7,3 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 164 - 11,4 % 8,6 - 4,3 % 485,6 + 2,1 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 72 + 9,1 % 4,3 + 0,7 % 165,8 + 0,1 % FZ Construction 6 363 - 1,4 % 30,9 + 0,5 % 839,2 + 0,7 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 25 809 + 0,2 % 170,4 - 0,6 % 5 184,0 + 2,1 % HZ Transports et entreposage 2 125 - 4,5 % 108,0 - 18,0 % 3 894,5 - 17,9 % IZ Hébergement et restauration 15 457 + 2,1 % 149,1 + 3,5 % 3 403,6 + 4,6 % JA Édition et Audiovisuel 6 224 + 1,1 % 75,9 - 0,5 % 3 302,7 + 1,1 % JB Télécommunications 400 - 0,5 % 16,5 - 0,2 % 757,8 + 1,1 % JC Activités informatiques 3 888 + 4,7 % 57,0 + 1,1 % 2 842,3 + 5,7 % KZ Activités financières et d’assurance 7 188 + 1,7 % 140,8 - 2,3 % 9 219,9 - 0,3 % LZ Activités immobilières 6 522 - 2,4 % 33,8 - 1,7 % 1 305,7 - 0,4 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 17 004 + 1,9 % 139,2 + 1,7 % 7 736,7 + 4,3 % MB Recherche et développement 499 + 0,8 % 18,8 + 4,2 % 680,5 + 5,0 % MC Autres activités scientifiques et techniques 3 323 - 0,5 % 27,5 - 2,6 % 1 272,2 + 4,3 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 32 927 - 1,0 % 165,8 - 1,9 % 4 560,5 + 1,1 % OZ Administration publique 83 - 4,6 % 16,1 - 2,3 % 2 217,7 + 3,0 % PZ Éducation 2 613 + 0,4 % 33,5 + 0,9 % 918,7 + 4,1 % QA Activités pour la santé humaine 3 688 + 0,4 % 23,8 - 1,3 % 673,8 + 0,7 % QB Action sociale et hébergement médico-social 1 552 + 4,3 % 45,0 + 5,5 % 1 031,4 + 4,4 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 3 959 + 0,7 % 39,4 + 0,1 % 1 254,8 + 0,0 % SZ Autres activités de services 11 284 + 8,5 % 65,6 - 0,5 % 2 128,1 + 1,1 % Industrie 5 054 - 1,4 % 64,7 - 1,6 % 2 924,2 + 2,5 % Construction 6 363 - 1,4 % 30,9 + 0,5 % 839,2 + 0,7 % Tertiaire 144 545 + 1,0 % 1 326,1 - 1,7 % 52 384,8 + 0,4 % dont Tertiaire hors intérim 143 382 + 1,0 % 1 281,2 - 1,4 % 51 009,4 + 0,4 % Intérim 1 163 + 1,0 % 44,9 - 9,5 % 1 375,4 - 2,0 %

Paris représente 14,0 % des effectifs salariés franciliens dans l’industrie et 11,1 % dans la construction mais 35,1 % des effectifs du secteur tertiaire.Le secteur de l’industrie perd des effectifs dans la capitale en 2012. L’emploi observe une baisse de 1,6 % tandis que la masse salariale croît de 2,5 %. Ceci intervient dans un contexte de baisse des établissements industriels parisiens qui diminuent de 1,4 % sur un an. La mauvaise tenue de l’emploi est due aux secteurs de l’habillement, textile et cuir (- 2,1 %), de l’industrie chimique (- 16,2 %), de la production, distribution d’électricité, de gaz (- 4,3 %). À l’inverse, les industries agro-alimentaires continuent de gagner de l’emploi (+ 3,2 %).L’emploi dans la construction est en faible hausse, + 0,5 % en un an, ainsi que sa masse salariale (+ 0,7 %) malgré une baisse de 1,4 % de son nombre d’établissements.Le tertiaire affiche une légère hausse de sa masse salariale (+ 0,4 %), mais qui s’explique par une forte baisse des emplois (- 1,7 %). La baisse dans trois secteurs employant le plus à Paris explique majoritairement la chute de l’emploi en 2012 : les activités financières et d’assurance (- 2,3 %), les activités de services administratifs et de soutien (- 1,9 %), les transports et entreposage (- 18,0 %).Les effectifs de l’intérim chutent de façon marquée (- 9,5 %) mais avec une baisse moins conséquente de la masse salariale (- 2,0 %).

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Paris représente 41,2 % des DPAE enregistrées en Ile-de-France, soit une part plus importante que le poids des effectifs salariés (31,6 %).

Le nombre de DPAE augmente de façon plus soutenue dans le département (+ 2 8 % par rapport à 2011) que sur le territoire francilien : le nombre de contrats hors intérim croît plus rapidement (+ 3,9 %) alors que l’intérim augmente dans des proportions plus faible (+ 0,7 %).

Le nombre de DPAE fait plus que doubler dans le secteur des transports et entreposage (+ 157,5 %). Les activités pour la santé humaine (+ 7,0 %) et les activités de services administratifs et de soutien sont dynamiques (+ 4,4 %). À l’inverse, les activités informatiques (- 12,9 %), les autres activités scientifiques et techniques (- 20,8 %) voient leur nombre de DPAE diminuer.

Activité économique (NACE 38) Année 2011 Année 2012

(en milliers) Source : Urssaf - Acoss

BZ Industries extractives 0,1 0,1 + 18,4 % CA Industries agro-alimentaires 18,3 19,2 + 4,6 % CB Habillement, textile et cuir 12,9 13,3 + 3,2 % CC Bois et papier 1,1 0,9 - 15,1 % CD Cokéfaction et raffinage 0,0 0,0 + 0,0 % CE Industrie chimique 1,6 0,9 - 39,9 % CF Industrie pharmaceutique 0,3 0,3 + 3,4 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 0,3 0,3 - 20,2 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 0,2 0,4 + 109,7 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 0,6 0,5 - 7,7 % CJ Fabrication d’équipements électriques 0,3 0,2 - 11,1 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 0,1 0,1 - 10,1 % CL Fabrication de matériels de transport 0,7 0,6 - 13,9 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 2,4 2,3 - 5,9 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 0,9 0,9 - 0,3 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 0,9 0,6 - 30,4 % FZ Construction 33,4 33,6 + 0,7 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 143,4 144,5 + 0,8 % HZ Transports et entreposage 53,0 136,6 + 157,5 % IZ Hébergement et restauration 665,1 679,0 + 2,1 % JA Édition et audiovisuel 543,0 549,3 + 1,2 % JB Télécommunications 3,9 3,6 - 7,0 % JC Activités informatiques 25,7 22,4 - 12,9 % KZ Activités financières et d’assurance 35,3 34,8 - 1,6 % LZ Activités immobilières 21,4 21,0 - 2,0 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 100,6 91,6 - 8,9 % MB Recherche et développement 8,8 8,2 - 6,8 % MC Autres activités scientifiques et techniques 128,4 101,7 - 20,8 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 1 650,7 1 673,9 + 1,4 % OZ Administration publique 12,3 12,8 + 4,6 % PZ Éducation 69,2 73,1 + 5,7 % QA Activités pour la santé humaine 36,7 39,3 + 7,0 % QB Action sociale et hébergement médico-social 64,4 66,0 + 2,5 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 323,7 339,6 + 4,9 % SZ Autres activités de services 74,6 75,1 + 0,6 % Activités diverses et non classées 1,1 0,9 - 17,9 % TOTAL 4 035,2 4 147,5 + 2,8 % Industrie 40,5 40,6 + 0,1 % Construction 33,4 33,6 + 0,7 % Tertiaire 3 960,2 4 072,5 + 2,8 % Dont Tertiaire hors intérim 2 613,9 2 716,5 + 3,9 % Intérim 1 346,3 1 356,0 + 0,7 %

Évolution2012/2011

Déclarations préalables à l’embauche2

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2222

Cotisationsexonérées

(en millions d’€)Principales mesures d'exonération

Effectifsexonérés

(en milliers) *

Paris représente 29,5 % du montant des cotisations exonérées franciliennes. Le montant total des exonérations progresse très légèrement de 0,1 % par rapport à 2011, soit une augmentation inférieure à l’évolution régionale (+ 0,9 %).

Cette quasi-stagnation s’explique en grande partie par la suppression partielle des exonérations heures supplémentaires au 1er septembre 2012. En effet, les réductions salariales liées aux heures supplémentaires baissent de 28,6 % sur un an, tandis que les déductions patronales diminuent de 7,0 %.

L’exonération Fillon reste la principale mesure d’exonération puisqu’elle représente 77,8 % du total des exonérations. La hausse est dynamique sur un an avec une progression de 4,5 %, due notamment à l’augmentation du Smic.

Les deux principales exonérations liées à des mesures en faveur de secteurs particuliers sont dynamiques : « jeunes entreprises innovantes » (+ 29,2 % sur un an), « contrat d’apprentissage secteur privé » (+ 4,4 %).

Signalons enfin la reprise de l’aide à domicile-association (+ 16,7 % sur un an) qui demeure plus dynamique à Paris qu’au niveau régional (+ 12,9 %).

Exonération3

Réduction Fillon 1 053,3 529,7

Réduction salariale heures supplémentaires 121,4 242,9

Déduction patronale heures supplémentaires 45,2 243,7

Jeunes entreprises innovantes 27,8 3,0

Contrat d’apprentissage secteur privé 27,0 11,0

Contrat d’accompagnement dans l’emploi 23,2 6,3

Aide à domicile 21,0 5,9

Contrat d’apprentissage loi de 1979 14,4 7,4

Maîtres et documentalistes enseignement privé 6,0 0,0

Contrat d’apprentissage secteur public 4,4 1,5

Autres 10,2 -

TOTAL DES EXONÉRATIONS 1 354,0 -

* Les effectifs exonérés sont seulement calculés au niveau des mesures. Source : Urssaf - Acoss

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Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164

Seine-et-Marne77

Les établissements, effectifset masses salariales

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La Seine-et-Marne représente 7,8 % des établissements franciliens, 7,6 % des effectifs salariés et 5,7 % de la masse salariale.Les effectifs salariés (+ 3,2 %) ont crû tout au long de l’année, permettant au département de rattraper son niveau d’emploi de fin 2008. Une partie de cette hausse est due à la réaffectation sur le département de la Seine-et-Marne, de personnel travaillant à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle.La masse salariale a, en parallèle, connu une bonne dynamique. Sur l’ensemble de l’année, elle évolue de 3,8 %.En conséquence, le SMPT de Seine-et-Marne a également connu une forte progression. En hausse de 3,2 %, il s’établit à 2 367 euros. Cette évolution est bien plus dynamique que celle observée en Ile-de-France, ce qui a pour conséquence une réduction de l’écart de près de 700 euros entre le département et la région.

Évolution en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête

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2Salaire moyen par tête

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Source : Urssaf - Acoss

Année2012 1T 2012 2T 2012 3T 2012 4T 2012 Évolution

2012/2011Évolution

4T12/4T11Masse salariale (en millions d’ €) 2 307,5 2 332,4 2 365,4 2 417,9 9 423,3 + 3,8 % + 5,7 %

Effectifs salariés (en milliers) 334,3 336,0 338,9 342,2 / / + 3,2 %

Salaire moyen partête (SMPT en €) 2 310 2 320 2 337 2 367 / / + 3,2 %

Établissements 29 996 30 142 30 141 30 367 / / + 0,1 %

Source : Urssaf - Acoss

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Répartition par secteur d’activité

Source : Urssaf - Acoss

Établissements

Évolution 4T12/4T11

4T 2012

Effectifs(en milliers)

4 T 2012Évolution

4T12/4T11

Masses salariales(en millions d’€)

Année2012

Évolution 2012/2011

Activité économique (NACE 38)

BZ Industries extractives 45 - 4,3 % 0,6 - 1,9 % 21,1 - 4,3 % CA Industries agro-alimentaires 588 + 0,2 % 6,1 - 0,0 % 213,4 + 2,8 % CB Habillement, textile et cuir 45 - 2,2 % 0,6 + 11,2 % 14,4 - 6,6 % CC Bois et papier 232 - 7,2 % 3,3 - 10,9 % 115,5 - 10,3 % CD Cokéfaction et raffinage 2 - 33,3 % 0,5 + 3,5 % 23,5 + 3,4 % CE Industrie chimique 55 - 1,8 % 2,4 + 0,4 % 87,9 - 5,3 % CF Industrie pharmaceutique 12 + 9,1 % 0,4 + 7,8 % 14,6 + 11,7 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 209 - 2,3 % 5,2 - 7,9 % 181,6 - 2,6 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 378 - 1,3 % 6,7 - 0,3 % 220,6 + 1,3 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 62 - 1,6 % 1,8 - 2,6 % 62,0 - 0,1 % CJ Fabrication d’équipements électriques 68 + 3,0 % 2,1 + 2,0 % 68,6 + 4,9 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 138 - 6,8 % 2,1 - 4,9 % 79,6 - 1,8 % CL Fabrication de matériels de transport 51 + 2,0 % 5,4 + 8,9 % 230,7 + 7,4 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 445 - 4,9 % 6,2 - 0,2 % 225,3 + 5,3 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 40 - 7,0 % 2,3 + 1,9 % 96,7 + 4,1 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 170 + 0,6 % 3,7 + 3,6 % 99,2 + 5,2 % FZ Construction 4 645 - 0,7 % 31,5 + 1,7 % 842,6 + 3,5 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 7 233 + 1,2 % 70,8 + 0,7 % 2 017,9 + 3,1 % HZ Transports et entreposage 1 319 - 2,5 % 42,9 + 27,7 % 1 040,3 + 16,8 % IZ Hébergement et restauration 2 398 + 1,5 % 20,0 - 0,4 % 396,6 + 0,7 % JA Édition et Audiovisuel 156 - 1,3 % 1,7 + 1,1 % 66,4 + 1,9 % JB Télécommunications 59 + 1,7 % 2,4 - 6,7 % 84,2 - 5,8 % JC Activités informatiques 327 + 2,8 % 2,1 + 2,0 % 69,5 + 6,0 % KZ Activités financières et d’assurance 1 226 + 0,6 % 7,7 - 4,5 % 315,2 + 0,6 % LZ Activités immobilières 944 - 1,3 % 4,0 - 1,0 % 106,2 - 1,0 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 1 671 - 0,2 % 10,3 + 2,2 % 377,6 + 4,3 % MB Recherche et développement 20 + 11,1 % 1,0 + 1,0 % 37,6 - 0,2 % MC Autres activités scientifiques et techniques 385 + 0,0 % 2,7 - 6,3 % 61,5 - 5,0 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 1 975 + 1,8 % 35,5 - 0,7 % 781,6 + 1,8 % OZ Administration publique 12 + 0,0 % 2,5 - 0,8 % 78,0 + 1,5 % PZ Éducation 531 + 3,7 % 4,4 - 0,7 % 119,2 + 1,7 % QA Activités pour la santé humaine 1 145 - 0,5 % 8,8 + 1,9 % 235,5 + 1,8 % QB Action sociale et hébergement médico-social 550 + 2,6 % 17,9 + 1,9 % 364,8 + 4,3 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 1 257 - 0,5 % 19,0 + 3,6 % 450,9 + 4,8 % SZ Autres activités de services 1 962 - 0,6 % 8,0 + 2,7 % 220,2 + 2,5 % Industrie 2 540 - 2,5 % 49,3 - 0,6 % 1 754,6 + 1,4 % Construction 4 645 - 0,7 % 31,5 + 1,7 % 842,6 + 3,5 % Tertiaire 23 170 + 0,6 % 261,7 + 4,1 % 6 823,2 + 4,4 % dont Tertiaire hors intérim 22 906 + 0,5 % 251,9 + 4,7 % 6 580,5 + 4,7 % Intérim 264 + 6,0 % 9,8 - 9,0 % 243 - 3,2 %

La Seine-et-Marne représente 10,7 % des effectifs salariés franciliens dans l’industrie, 11,3 % dans la construction et 6,9 % dans le secteur tertiaire.L’industrie, au cours de l’année 2012, a continué de voir baisser ses effectifs (- 0,6 % sur un an) tout comme son nombre d’établissements (- 2,5 %). La masse salariale agrégée du secteur est en faible évolution (+ 1,4 %) sur l’année 2012. Comme en 2011, l’industrie plastique est l’un des secteurs industriels où les effectifs se contractent le plus. Le nombre de salariés diminue, en effet, de 7,9 % dans ce secteur, avec parallèlement une baisse de 2,6 % de la masse salariale. À l’inverse, les effectifs du secteur de la fabrication de matériels de transport sont en hausse (+ 8,9 %). Le secteur de la construction atteint en fin d’année son niveau le plus haut, grâce à une nouvelle progression de ses effectifs (+ 1,7 %) accompagnée d’une baisse des établissements (- 0,7 %). Parallèlement, la masse salariale augmente dynamiquement (+ 3,5 %).Quant au tertiaire, il enregistre une hausse de ses effectifs (+ 4,1 %) et de ses établissements (+ 0,6 %). Suite au déplacement de personnel de l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, le nombre d’employés progresse de 27,7 % dans les transports et entreposage. Le commerce reste le secteur qui emploie le plus avec 70 800 salariés, en hausse de 0,7 % sur un an. Les deux autres secteurs générant le plus d’emplois dans le privé connaissent des évolutions à la baisse. Les activités de services administratifs et de soutien connaissent une baisse de 0,7 % des effectifs, alors que le secteur de l’hébergement et restauration voit le nombre de ses salariés décroître de 0,4 %.L’intérim voit ses établissements augmenter de 6,0 %. Cette hausse s’accompagne d’une baisse de la masse salariale (- 3,2 %) moins importante que celle des effectifs intérimaires (- 9,0 %).

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La Seine-et-Marne représente 6,9 % des DPAE de la région parisienne.

L’évolution des DPAE du département est négative, à l’inverse de l’ensemble de l’Ile-de-France, puisqu’elle baisse de 1,4 % par rapport à 2011. En excluant l’intérim, le département enregistre une hausse du niveau des DPAE (+ 1,9 %).

Cette faible augmentation s’explique par des diminutions importantes dans les transports et entreposage (- 13,2 %) et dans la construction (- 6,7 %). Des secteurs affichent, par contre, une hausse du nombre d’embauches : l’action sociale et hébergement médico-social (+ 16,0 %) et l’administration publique (+ 6,0 %).

Activité économique (NACE 38) Année 2011 Année 2012

(en milliers) Source : Urssaf - Acoss

BZ Industries extractives 0,1 0,1 - 42,2 % CA Industries agro-alimentaires 2,8 2,9 + 2,1 % CB Habillement, textile et cuir 0,2 0,2 + 3,9 % CC Bois et papier 1,0 0,8 - 24,3 % CD Cokéfaction et raffinage 0,1 0,0 - 23,1 % CE Industrie chimique 0,4 0,5 + 24,9 % CF Industrie pharmaceutique 0,0 0,0 - 3,4 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 1,3 1,0 - 24,1 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 1,3 1,3 - 2,3 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 0,3 0,2 - 9,1 % CJ Fabrication d’équipements électriques 0,4 0,4 - 8,1 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 0,5 0,5 - 14,2 % CL Fabrication de matériels de transport 0,9 1,2 + 35,0 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 1,6 1,4 - 12,3 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 0,2 0,3 + 28,3 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 0,8 1,1 + 32,8 % FZ Construction 15,8 14,7 - 6,7 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 40,8 39,5 - 3,2 % HZ Transports et entreposage 16,9 14,6 - 13,2 % IZ Hébergement et restauration 47,3 51,4 + 8,8 % JA Édition et audiovisuel 2,8 3,0 + 8,5 % JB Télécommunications 0,5 0,5 - 0,4 % JC Activités informatiques 0,9 0,9 + 4,6 % KZ Activités financières et d’assurance 1,8 1,9 + 5,3 % LZ Activités immobilières 2,1 1,9 - 10,5 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 4,7 5,1 + 8,1 % MB Recherche et développement 0,2 0,3 + 38,5 % MC Autres activités scientifiques et techniques 3,0 2,9 - 1,2 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 425,1 408,4 - 3,9 % OZ Administration publique 11,7 12,4 + 6,0 % PZ Éducation 5,2 5,5 + 6,6 % QA Activités pour la santé humaine 14,1 14,9 + 6,0 % QB Action sociale et hébergement médico-social 35,4 41,0 + 16,0 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 52,7 53,4 + 1,2 % SZ Autres activités de services 10,0 8,7 - 13,3 % Activités diverses et non classées 0,1 0,0 - 35,1 % TOTAL 702,9 693,0 - 1,4 % Industrie 12,0 11,8 - 1,3 % Construction 15,8 14,7 - 6,7 % Tertiaire 675,1 666,4 - 1,3 % Dont Tertiaire hors intérim 277,8 285,0 + 2,6 % Intérim 397,2 381,4 - 4,0 %

Évolution2012/2011

2 Déclarations préalables à l’embauche

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La Seine-et-Marne représente 10,1 % du montant des cotisations exonérées franciliennes. Le montant total des exonérations progresse de 3,4 % par rapport à 2011, soit le département francilien qui enregistre la plus forte progression.

Cette hausse s’explique par la forte augmentation de la réduction Fillon (+ 9,2 % sur un an) qui compense largement la baisse liée à la suppression partielle des exonérations heures supplémentaires au 1er septembre 2012 (- 27,2 % pour les réductions salariales et - 9,2 % pour les déductions patronales). L’exonération Fillon représente 80,0 % du total des exonérations.

Les contrats d’apprentissage évoluent de manière contrastée. Ceux du secteur privé progressent de 16,3 % alors que ceux des entreprises de moins de 11 salariés, inscrites au registre du commerce et des sociétés (loi de 1979), diminuent de 3,7 %. L’aide à domicile-association progresse de 7,0 % sur un an.

3

Cotisationsexonérées

(en millions d’€)Principales mesures d'exonération

Effectifsexonérés

(en milliers) *

Réduction Fillon 371,7 181,4

Réduction salariale heures supplémentaires 39,1 80,2

Déduction patronale heures supplémentaires 13,3 83,5

Contrat d’apprentissage secteur privé 9,9 4,0

Contrat d’apprentissage loi de 1979 8,2 4,4

Aide à domicile 7,6 2,4

Contrat d’accompagnement dans l’emploi 7,4 2,4

Zones franches urbaines - exonération dégressive 1,9 0,5

Exonération 100 % associations intermédiaires 1,3 1,0

Jeunes entreprises innovantes 0,9 0,1

Autres 3,3 -

TOTAL DES EXONÉRATIONS 464,7 -

* Les effectifs exonérés sont seulement calculés au niveau des mesures. Source : Urssaf - Acoss

Exonération

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Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164

Yvelines78

Mettre à jour (penser à changer axe trimestre si glissement d'une année ) et a cene pas modifier l'axe % pour unifier région et DDR

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Les établissements, effectifset masses salariales

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Les Yvelines représentent 8,4 % des établissements franciliens, 9,0 % des effectifs salariés et 8,5 % de la masse salariale. Ces éléments sont particulièrement stables depuis 2008.

L’emploi a très peu progressé sur un an (+ 0,1 %) avec une hausse identique à celle observée en Ile-de-France. La masse salariale est en progression de 2,8 % sur l’année, soit une dynamique supérieure de 0,5 point à celle de la région. Enfin, le nombre d’établissements croît de 0,2 %.

Le salaire moyen par tête (SMPT) des Yvelines s’élève à 2 902 euros au 4e trimestre 2012, en hausse de 3,0 %. Il est inférieur au salaire moyen francilien au 4e trimestre (- 6,0 %), mais il reste au-dessus du salaire moyen national (+ 20,7 %).

Évolution en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête

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2012/2011Évolution

4T12/4T11Masse salariale (en millions d’€) 3 463,7 3 524,8 3 552,5 3 564,3 14 105,3 + 2,8 % + 3,3 %

Effectifs salariés (en milliers) 408,1 408,0 410,0 408,8 / / + 0,1 %

Salaire moyen partête (SMPT en €) 2 828 2 879 2 895 2 902 / / + 3,0 %

Établissements 32 246 32 312 32 322 32 488 / / + 0,2 %

Source : Urssaf - Acoss

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Répartition par secteur d’activité

Source : Urssaf - Acoss

Établissements

Évolution 4T12/4T11

4T 2012

Effectifs(en milliers)

4 T 2012Évolution

4T12/4T11

Masses salariales(en millions d’€)

Année2012

Évolution 2012/2011

Activité économique (NACE 38)

BZ Industries extractives 11 + 0,0 % 0,1 + 2,6 % 3,1 + 1,3 % CA Industries agro-alimentaires 546 + 1,9 % 5,0 + 4,1 % 145,9 + 2,9 % CB Habillement, textile et cuir 38 + 2,7 % 0,2 - 5,3 % 9,0 - 11,2 % CC Bois et papier 110 - 3,5 % 0,8 - 9,5 % 26,7 - 6,2 % CD Cokéfaction et raffinage 1 + 0,0 % 0,0 + 6,4 % 2,1 + 2,4 % CE Industrie chimique 39 + 0,0 % 1,9 - 2,2 % 92,3 + 5,0 % CF Industrie pharmaceutique 17 + 6,3 % 2,1 + 2,0 % 117,4 - 1,5 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 99 - 2,9 % 2,5 - 3,7 % 96,7 - 1,2 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 248 - 5,0 % 3,7 + 1,3 % 136,8 + 1,0 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 102 - 7,3 % 13,5 - 1,8 % 813,7 - 0,2 % CJ Fabrication d’équipements électriques 50 - 3,8 % 1,2 - 8,0 % 59,2 - 5,3 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 94 - 4,1 % 4,1 - 0,2 % 196,0 + 3,0 % CL Fabrication de matériels de transport 56 - 3,4 % 33,5 - 3,7 % 1 711,2 + 2,8 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 352 + 0,3 % 8,8 + 3,1 % 377,3 + 6,0 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 47 - 2,1 % 2,8 + 1,6 % 124,2 + 6,8 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 134 - 2,9 % 4,6 + 3,3 % 148,7 + 3,2 % FZ Construction 3 709 + 1,0 % 35,9 + 1,3 % 1 140,5 + 0,4 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 7 334 - 0,5 % 72,4 - 0,9 % 2 425,9 + 1,0 % HZ Transports et entreposage 840 - 5,2 % 16,1 + 0,9 % 442,4 + 4,5 % IZ Hébergement et restauration 2 626 + 1,1 % 19,7 - 1,4 % 434,2 + 3,5 % JA Édition et Audiovisuel 348 + 3,3 % 5,3 + 5,3 % 239,1 - 1,6 % JB Télécommunications 75 - 1,3 % 2,7 + 0,9 % 106,3 + 2,5 % JC Activités informatiques 691 + 4,7 % 13,8 + 2,2 % 597,4 - 1,1 % KZ Activités financières et d’assurance 1 513 + 1,3 % 12,3 - 1,0 % 536,1 + 1,8 % LZ Activités immobilières 1 117 - 3,7 % 6,3 - 4,6 % 199,8 - 1,9 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 2 555 + 2,6 % 32,8 + 6,8 % 1 410,5 + 7,4 % MB Recherche et développement 53 + 6,0 % 4,1 - 1,1 % 146,8 + 2,3 % MC Autres activités scientifiques et techniques 481 - 1,2 % 7,1 - 6,9 % 203,7 - 2,0 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 2 960 - 0,4 % 39,3 - 0,5 % 845,3 + 1,1 % OZ Administration publique 15 - 6,3 % 3,7 - 2,4 % 125,0 - 3,4 % PZ Éducation 620 + 2,6 % 6,4 - 0,0 % 139,8 + 2,8 % QA Activités pour la santé humaine 1 354 + 3,0 % 9,5 + 0,1 % 245,7 + 2,8 % QB Action sociale et hébergement médico-social 675 + 5,8 % 18,8 + 3,5 % 380,3 + 5,5 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 1 190 - 1,7 % 6,2 + 2,9 % 201,5 + 104,6 % SZ Autres activités de services 2 382 - 1,2 % 11,5 - 2,8 % 219,4 - 0,3 % Industrie 1 944 - 1,4 % 84,9 - 1,3 % 4 060,0 + 2,1 % Construction 3 709 + 1,0 % 35,9 + 1,3 % 1 140,5 + 0,4 % Tertiaire 26 829 + 0,2 % 288,0 + 0,4 % 8 898,9 + 3,4 % dont Tertiaire hors intérim 26 623 + 0,1 % 279,1 + 0,4 % 8 674,8 + 3,4 % Intérim 206 + 10,8 % 8,9 + 0,7 % 224,1 + 4,0 %

Les Yvelines représentent 18,4 % des effectifs salariés franciliens dans l’industrie, 12,9 % dans la construction et 7,6 % dans le secteur tertiaire.

Dans l’industrie, les effectifs sont en diminution (- 1,3 %), ainsi que les établissements (- 1,4 %). Le secteur de la fabrication de matériel de transport voit ses effectifs baisser (- 3,7 %) tout comme celui de la fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques (- 1,8 %). Les effectifs dans les industries agroalimentaires sont, à l’inverse, en augmentation de 4,1 %.

L’emploi dans la construction affiche une hausse de 1,3 % dans un contexte de progression atone de la masse salariale (+ 0,4 %).

Dans le tertiaire, le commerce est l’activité qui a l’effectif le plus important, ce dernier est cependant en baisse de 0,9 % sur un an. Les activités juridiques, de conseil et d’ingénierie connaissent, quant à elles, une forte progression de 6,8 % des effectifs, de 2,6 % des établissements et une évolution de 7,4 % de la masse salariale pendant l’année. Le secteur de l’action sociale et hébergement médico-social est également dynamique avec une hausse des effectifs de 3,5 % et de 5,5 % de la masse salariale.

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29

78 -

Yvel

ines

Les Yvelines représentent 6,3 % des DPAE franciliennes.

Le nombre de DPAE augmente d’un même mouvement dans le département (+ 1,9 % par rapport à 2011) et dans la région Ile-de-France. La hausse est particulièrement soutenue hors intérim (+ 5,2 %).

Cette hausse est tirée par les autres activités scientifiques et techniques (89,5 %) et les activités pour la santé humaine (17,2 %). Le secteur de l’édition et audiovisuel affiche, par contre, une forte diminution du nombre de ses DPAE (- 43,3 %).

Activité économique (NACE 38) Année 2011 Année 2012

(en milliers) Source : Urssaf - Acoss

BZ Industries extractives 0,0 0,0 + 50,0 % CA Industries agro-alimentaires 2,9 2,9 - 0,6 % CB Habillement, textile et cuir 0,1 0,1 + 7,9 % CC Bois et papier 0,3 0,2 - 32,3 % CD Cokéfaction et raffinage 0,0 0,0 - 37,5 % CE Industrie chimique 0,3 0,4 + 32,0 % CF Industrie pharmaceutique 0,2 0,2 - 7,0 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 0,4 0,4 - 14,2 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 0,8 0,8 - 4,1 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 1,4 1,6 + 14,0 % CJ Fabrication d’équipements électriques 0,3 0,2 - 33,5 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 0,7 0,8 + 15,9 % CL Fabrication de matériels de transport 3,8 2,1 - 45,5 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 1,5 1,3 - 12,8 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 0,3 0,3 + 14,8 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 1,6 1,9 + 17,5 % FZ Construction 13,3 13,7 + 3,4 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 44,8 43,3 - 3,4 % HZ Transports et entreposage 9,7 7,2 - 25,9 % IZ Hébergement et restauration 78,5 75,5 - 3,8 % JA Édition et audiovisuel 18,1 10,2 - 43,3 % JB Télécommunications 0,5 0,4 - 21,9 % JC Activités informatiques 5,0 4,4 - 11,7 % KZ Activités financières et d’assurance 3,2 2,9 - 7,1 % LZ Activités immobilières 2,7 2,2 - 18,1 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 13,0 11,9 - 8,4 % MB Recherche et développement 0,9 0,9 + 4,5 % MC Autres activités scientifiques et techniques 29,5 55,9 + 89,5 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 250,7 241,4 - 3,7 % OZ Administration publique 12,7 13,3 + 4,9 % PZ Éducation 7,6 9,1 + 19,0 % QA Activités pour la santé humaine 14,1 16,6 + 17,2 % QB Action sociale et hébergement médico-social 54,7 56,7 + 3,6 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 32,4 36,1 + 11,2 % SZ Autres activités de services 14,2 17,2 + 20,8 % Activités diverses et non classées 0,0 0,0 - 59,4 % TOTAL 620,2 632,0 + 1,9 % Industrie 14,6 13,1 - 10,4 % Construction 13,3 13,7 + 3,4 % Tertiaire 592,3 605,1 + 2,2 % Dont Tertiaire hors intérim 377,6 399,6 + 5,8 % Intérim 214,7 205,6 - 4,3 %

Évolution2012/2011

2 Déclarations préalables à l’embauche

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30

Les Yvelines représentent 9,3 % du montant des cotisations exonérées franciliennes.

Le montant total des exonérations augmente de 0,7 % par rapport à 2011, soit un peu moins que l’ensemble de la région (différentiel de 0,2 point).

L’exonération Fillon, qui représente 74,8 % de l’ensemble des exonérations du département, est en hausse de 5,8 %.

La suppression partielle des exonérations heures supplémentaires au 1er septembre 2012 engendre une baisse de 28,6 % sur un an des réductions salariales liées aux heures supplémentaires, tandis que les déductions patronales diminuent de 10,8 %.

Les exonérations liées aux contrats d’apprentissage dans le secteur privé sont dynamiques avec une hausse de 4,7 %.

3

Cotisationsexonérées

(en millions d’€)Principales mesures d'exonération

Effectifsexonérés

(en milliers) *

Réduction Fillon 320,3 161,7

Réduction salariale heures supplémentaires 37,5 74,4

Contrat d’apprentissage secteur privé 16,6 6,5

Déduction patronale heures supplémentaires 11,6 74,0

Contrat d’accompagnement dans l’emploi 8,3 2,1

Contrat d’apprentissage loi de 1979 8,1 4,4

Aide à domicile 8,0 2,6

Maîtres et documentalistes enseignement privé 7,9 0,0

Jeunes entreprises innovantes 2,8 0,3

Zones franches urbaines - exonération dégressive 1,6 0,5

Autres 5,4 -

TOTAL DES EXONÉRATIONS 428,2 -

* Les effectifs exonérés sont seulement calculés au niveau des mesures. Source : Urssaf - Acoss

Exonération

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31

91 -

Ess

onne

Mettre à jour (penser à changer axe trimestre si glissement d'une année ) et a cene pas modifier l'axe % pour unifier région et DDR

-5,00%

-4,00%

-3,00%

-2,00%

-1,00%

+0,00%

+1,00%

+2,00%

+3,00%

+4,00%

+5,00%

+6,00%

+7,00%

+8,00%

1T05

3T05

1T06

3T06

1T07

3T07

1T08

3T08

1T09

3T09

1T10

3T10

1T11

3T11

1T12

3T12

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164

Essonne91

Les établissements, effectifset masses salariales

1

L’Essonne représente 6,9 % des établissements franciliens, 7,4 % des effectifs salariés et 6,5 % de la masse salariale.

Le département affiche globalement des évolutions inférieures à celles de la région. L’emploi baisse modérément de 0,3 % en un an alors qu’il évolue légèrement en Ile-de-France (+ 0,1 %). La masse salariale annuelle est dynamique (+ 2,1 %) dans un contexte de perte de l’emploi. Le salaire moyen par tête (SMPT) ressort avec une évolution identique à celle régionale (+ 1,7 %). Le SMPT de l’Essonne (2 695 euros) du 4e trimestre est inférieur à celui de la région parisienne qui s’établit à 3 088 euros ; il est supérieur de 12 % au SMPT national (2 408 euros).

Évolution en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête

1T 0

5

2T 0

5

3T 0

5

4T 0

5

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6

2T 0

6

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6

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6

1T 0

7

2T 0

7

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7

1T 0

8

2T 0

8

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8

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8

1T 0

9

2T 0

9

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4T 0

9

1T 1

0

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0

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0

1T 1

1

2T 1

1

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1

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1

1T 1

2

2T 1

2

3T 1

2

4T 1

2

Salaire moyen par tête

Effectifs

Masses salariales

8 %

7 %

6 %

5 %

4 %

3 %

2 %

1 %

0 %

- 1 %

- 2 %

- 3 %

- 4 %

- 5 %

Source : Urssaf - Acoss

Année2012 1T 2012 2T 2012 3T 2012 4T 2012 Évolution

2012/2011Évolution

4T12/4T11Masse salariale (en millions d’€) 2 700,9 2 719,4 2 720,5 2 721,4 10 862,2 + 2,1 % + 1,5 %

Effectifs salariés (en milliers) 337,6 336,3 336,7 336,6 / / - 0,3 %

Salaire moyen partête (SMPT en €) 2 668 2 690 2 695 2 695 / / + 1,7 %

Établissements 26 603 26 732 26 730 26 811 / / + 0,3 %

Source : Urssaf - Acoss

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32

Répartition par secteur d’activité

Source : Urssaf - Acoss

Établissements

Évolution 4T12/4T11

4T 2012

Effectifs(en milliers)

4 T 2012Évolution

4T12/4T11

Masses salariales(en millions d’€)

Année2012

Évolution 2012/2011

Activité économique (NACE 38)

BZ Industries extractives 7 + 0,0 % 0,1 + 9,7 % 3,7 + 9,0 % CA Industries agro-alimentaires 443 - 1,8 % 4,2 - 1,5 % 117,9 + 2,3 % CB Habillement, textile et cuir 33 + 3,1 % 0,3 + 2,5 % 8,2 + 7,1 % CC Bois et papier 194 - 8,9 % 3,0 - 6,2 % 100,5 - 4,0 % CD Cokéfaction et raffinage 0 + 0,0 % 0,0 + 0,0 % 0,0 + 0,0 % CE Industrie chimique 40 - 7,0 % 1,7 + 0,8 % 71,6 + 2,2 % CF Industrie pharmaceutique 8 + 0,0 % 1,6 - 1,8 % 72,2 + 1,6 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 104 + 1,0 % 2,6 + 2,1 % 93,6 + 3,2 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 228 - 1,3 % 3,4 - 3,6 % 123,6 - 0,5 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 150 - 3,8 % 9,6 + 0,4 % 485,2 + 2,6 % CJ Fabrication d’équipements électriques 63 - 1,6 % 2,0 - 1,9 % 93,0 - 0,8 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 103 - 2,8 % 1,8 + 9,5 % 81,6 + 14,7 % CL Fabrication de matériels de transport 25 - 3,8 % 4,0 + 2,8 % 193,5 + 6,6 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 314 + 1,3 % 3,9 - 4,3 % 151,3 - 2,2 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 23 - 11,5 % 1,3 - 1,3 % 45,1 + 0,9 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 122 + 2,5 % 3,8 - 0,4 % 106,5 + 1,9 % FZ Construction 4 019 + 2,5 % 32,6 + 4,5 % 933,9 + 5,4 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 6 173 - 0,8 % 66,6 - 1,4 % 2 305,7 + 2,0 % HZ Transports et entreposage 1 009 - 1,3 % 27,2 + 2,8 % 821,7 + 3,9 % IZ Hébergement et restauration 2 013 + 1,8 % 14,7 + 0,8 % 293,3 + 2,7 % JA Édition et Audiovisuel 198 - 2,9 % 2,0 - 2,3 % 84,0 - 2,3 % JB Télécommunications 62 + 0,0 % 1,6 - 0,3 % 46,1 + 0,4 % JC Activités informatiques 481 + 3,9 % 6,2 + 0,9 % 277,4 + 3,3 % KZ Activités financières et d’assurance 1 150 + 2,6 % 9,5 + 0,6 % 403,1 - 0,4 % LZ Activités immobilières 797 - 2,3 % 3,0 - 5,5 % 88,9 - 2,3 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 1 695 - 0,6 % 23,0 - 1,5 % 1 078,6 + 2,0 % MB Recherche et développement 110 + 11,1 % 17,8 - 2,5 % 835,7 + 0,3 % MC Autres activités scientifiques et techniques 398 + 1,8 % 2,8 - 3,9 % 77,2 + 3,9 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 1 927 + 0,2 % 39,8 - 3,8 % 812,6 + 1,5 % OZ Administration publique 13 + 8,3 % 2,2 - 2,0 % 67,1 + 0,7 % PZ Éducation 413 + 0,2 % 4,1 - 0,7 % 96,6 - 0,2 % QA Activités pour la santé humaine 961 - 0,3 % 9,5 + 1,1 % 243,2 + 1,4 % QB Action sociale et hébergement médico-social 582 + 3,6 % 17,7 + 4,0 % 370,9 + 4,3 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 1 075 + 0,2 % 4,8 + 7,1 % 102,2 + 5,4 % SZ Autres activités de services 1 875 - 0,6 % 8,4 - 3,9 % 175,8 - 6,7 % Industrie 1 857 - 2,0 % 43,2 - 0,6 % 1 747,6 + 2,2 % Construction 4 019 + 2,5 % 32,6 + 4,5 % 933,9 + 5,4 % Tertiaire 20 932 + 0,1 % 260,8 - 0,8 % 8 180,0 + 1,7 % dont Tertiaire hors intérim 20 745 + 0,0 % 253,0 - 0,5 % 7 972,1 + 1,9 % Intérim 187 + 7,5 % 7,9 - 7,7 % 207,9 - 4,3 %

L’Essonne représente 9,3 % des effectifs salariés franciliens dans l’industrie, 11,7 % dans la construction et 6,9 % dans le tertiaire.Le tissu industriel de l’Essonne perd des salariés cette année. Bien que la masse salariale soit en hausse de 2,2 % par rapport à l’année 2011, l’emploi affiche une baisse de 0,6 % sur un an et le nombre d’établissements diminue (- 2,0 %). Ce dernier augmente, cependant, dans le secteur de l’industrie du meuble, réparation et installation de machines (+ 1,3 %) malgré un recul prononcé des effectifs (- 4,3 %). Le secteur de la fabrication de produits informatiques, électroniques, optiques reste le secteur industriel employant le plus de personnel avec plus de 9 500 salariés. Dans cette branche, les effectifs sont en hausse de 0,4 % sur un an tandis que la masse salariale augmente de 2,6 %. Comme dans la majorité des départements, le secteur du bois et papier détruit de l’emploi (- 6,2 % sur un an).Le secteur de la construction voit ses effectifs progresser de 4,5 %, sa masse salariale de 5,4 % et son nombre d’établissements de 2,5 %.Le tertiaire hors intérim voit son nombre d’établissements stagner tandis que l’emploi est en baisse de 0,5 %. Le secteur détenant le plus d’emplois dans le tertiaire est le commerce. Ce dernier affiche une baisse de ses effectifs sur un an (- 1,4 %). À l’inverse, l’action sociale (+ 4,0 %) et le transport (+ 2,8 %) ont vu leur effectif grimper pendant l’année 2012.

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33

91 -

Ess

onne

L’Essonne représente 6,6 % des DPAE enregistrées en Ile-de-France. Le département voit son nombre de DPAE diminuer par rapport à 2011 (- 1,4 %). En excluant l’intérim, le niveau des DPAE évolue par contre positivement (+ 3,4 %). Parmi les trois secteurs qui émettent le plus de DPAE, deux affichent des évolutions dynamiques : l’hébergement et restauration (+ 7,7 %), les activités de services administratifs et de soutien hors intérim (+ 22,3 %) ; à l’inverse, le 3e secteur des arts, spectacles et activités récréatives est en forte baisse (- 17,9 %).

Activité économique (NACE 38) Année 2011 Année 2012

(en milliers) Source : Urssaf - Acoss

BZ Industries extractives 0,0 0,0 + 35,0 % CA Industries agro-alimentaires 2,6 2,6 - 0,5 % CB Habillement, textile et cuir 0,1 0,1 - 31,6 % CC Bois et papier 0,8 0,7 - 19,0 % CD Cokéfaction et raffinage 0,0 0,0 + 0,0 % CE Industrie chimique 0,3 0,3 - 4,1 % CF Industrie pharmaceutique 0,2 0,2 - 0,9 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 0,5 0,6 + 15,4 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 0,9 0,8 - 14,9 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 1,6 1,4 - 9,7 % CJ Fabrication d’équipements électriques 0,3 0,3 - 13,0 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 0,4 0,4 + 8,4 % CL Fabrication de matériels de transport 0,5 0,6 + 12,3 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 1,2 1,1 - 7,5 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 0,1 0,1 + 4,9 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 0,9 0,9 + 7,1 % FZ Construction 16,2 17,1 + 5,6 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 35,6 34,2 - 3,7 % HZ Transports et entreposage 14,2 16,3 + 14,6 % IZ Hébergement et restauration 39,2 42,2 + 7,7 % JA Édition et audiovisuel 3,4 3,4 + 0,8 % JB Télécommunications 0,3 0,3 - 6,1 % JC Activités informatiques 1,9 1,7 - 11,6 % KZ Activités financières et d’assurance 2,9 2,5 - 15,3 % LZ Activités immobilières 1,4 1,0 - 27,6 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 7,9 6,4 - 19,8 % MB Recherche et développement 2,3 2,4 + 7,7 % MC Autres activités scientifiques et techniques 2,3 2,1 - 8,2 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 396,6 385,1 - 2,9 % OZ Administration publique 16,2 16,6 + 2,2 % PZ Éducation 6,8 6,8 + 0,5 % QA Activités pour la santé humaine 15,0 19,8 + 32,5 % QB Action sociale et hébergement médico-social 30,2 35,9 + 19,0 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 56,4 46,3 - 17,9 % SZ Autres activités de services 12,6 12,3 - 2,6 % Activités diverses et non classées 0,0 0,0 - 9,1 % TOTAL 671,8 662,6 - 1,4 % Industrie 10,4 10,0 - 3,7 % Construction 16,2 17,1 + 5,6 % Tertiaire 645,2 635,4 - 1,5 % Dont Tertiaire hors intérim 286,1 296,1 + 3,5 % Intérim 359,1 339,3 - 5,5 %

Évolution2012/2011

2 Déclarations préalables à l’embauche

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34

L’Essonne représente 8,6 % du montant des cotisations exonérées franciliennes.

Le montant total des exonérations diminue de 0,4 % par rapport à 2011, cette baisse se situe à l’inverse de la tendance régionale (différentiel de 1,3 point).

Cette diminution s’explique par une augmentation de l’exonération Fillon de 4,5 % sur un an qui ne compense pas la baisse liée à la suppression partielle des exonérations heures supplémentaires au 1er septembre 2012 (- 28,0 % pour les réductions salariales et - 11,2 % pour les déductions patronales). De fait, la part des exonérations Fillon passe de 74,4 % en 2011 à 78,0 % en 2012 du total des exonérations.

L’aide à domicile-association est en forte progression de 8,5 % et les contrats d’apprentissage du secteur privé affichent une hausse de 3,5 %.

3

Cotisationsexonérées

(en millions d’€)Principales mesures d'exonération

Effectifsexonérés

(en milliers) *

Réduction Fillon 308,3 155,0

Réduction salariale heures supplémentaires 33,4 67,3

Déduction patronale heures supplémentaires 10,6 67,6

Contrat d’apprentissage secteur privé 10,0 4,0

Aide à domicile 7,8 2,4

Contrat d’accompagnement dans l’emploi 6,2 2,0

Contrat d’apprentissage loi de 1979 5,9 3,2

Jeunes entreprises innovantes 4,6 0,5

Zones franches urbaines - exonération dégressive 3,7 1,0

Exonération 100 % associations intermédiaires 1,2 1,0

Autres 3,3 -

TOTAL DES EXONÉRATIONS 395,0 -

* Les effectifs exonérés sont seulement calculés au niveau des mesures. Source : Urssaf - Acoss

Exonération

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Mettre à jour (penser à changer axe trimestre si glissement d'une année ) et a cene pas modifier l'axe % pour unifier région et DDR

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+0,00%

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+2,00%

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Les établissements, effectifset masses salariales

1

Les Hauts-de-Seine représentent 12,2 % des établissements franciliens, 19,5 % des effectifs salariés et 24,2 % de la masse salariale. Ce département se caractérise ainsi par un nombre moyen de salariés par établissement et une masse salariale élevée, comparé aux autres départements.

En 2012, les effectifs salariés augmentent de façon significative (+ 0,9 %). La masse salariale est en progression de 3,4 % sur l’ensemble de l’année. En conséquence, le salaire moyen par tête (SMPT) progresse de 1,7 %, soit une valeur identique à l’ensemble de la région. Contrairement aux autres départements, l’emploi et le SMPT ont progressé de façon régulière tout au long de l’année.

Évolution en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête

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2

Salaire moyen par têteEffectifs

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Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164

Hauts-de-Seine92

1

Source : Urssaf - Acoss

Année2012 1T 2012 2T 2012 3T 2012 4T 2012 Évolution

2012/2011Évolution

4T12/4T11Masse salariale (en millions d’€) 9 935,1 10 058,1 10 122,3 10 159,5 40 275,0 + 3,4 % + 2,8 %

Effectifs salariés (en milliers) 879,8 881,7 882,5 883,3 / / + 0,9 %

Salaire moyen partête (SMPT en €) 3 774 3 807 3 825 3 836 / / + 1,7 %

Établissements 46 768 46 983 47 061 47 282 / / + 0,5 %

Source : Urssaf - Acoss

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36

Répartition par secteur d’activité

Source : Urssaf - Acoss

Établissements

Évolution 4T12/4T11

4T 2012

Effectifs(en milliers)

4 T 2012Évolution

4T12/4T11

Masses salariales(en millions d’€)

Année2012

Évolution 2012/2011

Activité économique (NACE 38)

BZ Industries extractives 8 - 11,1 % 0,1 - 14,6 % 6,1 + 5,3 % CA Industries agro-alimentaires 605 + 1,7 % 6,5 + 1,4 % 214,6 + 3,9 % CB Habillement, textile et cuir 97 - 8,5 % 1,3 - 9,8 % 45,9 - 7,0 % CC Bois et papier 196 - 3,4 % 2,1 - 6,2 % 107,5 - 3,0 % CD Cokéfaction et raffinage 10 + 11,1 % 1,2 + 103,0 % 65,7 + 117,1 % CE Industrie chimique 89 - 7,3 % 9,7 - 4,3 % 653,1 - 1,3 % CF Industrie pharmaceutique 53 - 5,4 % 9,2 - 1,5 % 586,4 - 0,3 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 117 + 1,7 % 3,7 - 0,3 % 219,3 + 0,4 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 92 - 5,2 % 3,9 - 3,5 % 197,2 - 3,9 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 88 - 4,3 % 9,4 - 0,8 % 577,2 + 1,7 % CJ Fabrication d’équipements électriques 48 - 4,0 % 4,6 - 4,0 % 289,8 + 1,6 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 86 + 1,2 % 2,9 + 0,5 % 153,9 + 1,1 % CL Fabrication de matériels de transport 37 + 2,8 % 16,7 + 2,4 % 1 000,6 + 4,0 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 275 - 4,8 % 4,2 - 2,2 % 193,7 + 1,6 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 145 - 8,2 % 20,7 + 4,1 % 1 176,0 + 11,4 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 102 + 0,0 % 6,9 + 0,7 % 289,6 + 3,2 % FZ Construction 3 207 + 0,1 % 38,4 + 2,1 % 1 455,3 + 5,2 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 8 105 + 0,3 % 101,3 + 1,6 % 4 376,7 + 2,9 % HZ Transports et entreposage 1 132 - 0,3 % 31,1 + 23,0 % 1 144,0 + 30,1 % IZ Hébergement et restauration 4 237 + 1,6 % 34,7 + 3,1 % 753,0 + 4,1 % JA Édition et Audiovisuel 1 709 + 0,8 % 46,5 - 1,2 % 2 447,9 + 2,3 % JB Télécommunications 199 + 3,1 % 20,3 - 2,3 % 1 163,7 + 2,4 % JC Activités informatiques 1 989 + 2,7 % 79,9 - 0,7 % 4 135,2 + 3,1 % KZ Activités financières et d’assurance 2 434 + 0,8 % 90,4 + 1,5 % 5 376,2 + 3,2 % LZ Activités immobilières 1 730 - 1,6 % 12,4 + 1,5 % 442,0 + 1,9 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 4 708 + 3,4 % 112,8 - 2,1 % 6 684,3 + 1,5 % MB Recherche et développement 102 - 10,5 % 9,0 - 0,4 % 501,3 + 1,1 % MC Autres activités scientifiques et techniques 1 471 - 2,8 % 35,9 + 1,2 % 1 632,2 + 2,8 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 6 959 - 0,8 % 87,3 - 0,6 % 2 319,8 + 2,6 % OZ Administration publique 25 - 10,7 % 3,3 - 1,6 % 112,7 + 0,5 % PZ Éducation 795 + 1,9 % 10,7 - 0,3 % 292,3 - 0,9 % QA Activités pour la santé humaine 1 556 + 1,1 % 17,9 + 1,4 % 536,1 + 3,1 % QB Action sociale et hébergement médico-social 843 + 5,5 % 21,3 + 4,3 % 445,4 + 6,0 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 1 203 + 1,0 % 9,3 + 0,7 % 266,9 + 3,7 % SZ Autres activités de services 2 823 + 0,0 % 17,0 - 2,9 % 432,4 + 1,6 % Industrie 2 048 - 2,4 % 103,1 + 0,6 % 5 776,6 + 3,7 % Construction 3 207 + 0,1 % 38,4 + 2,1 % 1 455,3 + 5,2 % Tertiaire 42 020 + 0,7 % 741,0 + 0,9 % 33 062,1 + 3,3 % dont Tertiaire hors intérim 41 781 + 0,7 % 732,2 + 1,1 % 32 766,4 + 3,4 % Intérim 239 + 4,8 % 8,8 - 12,3 % 295,7 - 4,5 %

Les Hauts-de-Seine représentent 22,3 % des effectifs salariés franciliens dans l’industrie, 13,8 % dans la construction et enfin 19,6 % dans le secteur tertiaire. Le poids des effectifs augmente quel que soit le grand secteur et traduit la forte résistance du département lors d’une année maussade sur le front de l’emploi.L’industrie continue de perdre des établissements (- 2,4 % sur un an) sans que cela n’ait de conséquence sur l’emploi qui progresse de 0,6 % sur un an. La progression importante de la masse salariale de 3,7 % montre que, dans le département, les activités à plus forte valeur ajoutée continuent de se développer. Les deux secteurs qui emploient le plus voient leurs effectifs progresser de façon dynamique : la production, distribution d’électricité, de gaz enregistre une hausse de 4,1 % et la fabrication de matériels de transport une progression de 2,4 %. Les effectifs s’écroulent, en revanche, dans l’industrie chimique (- 4,3 %) et dans une moindre mesure dans l’industrie pharmaceutique (- 1,5 %).La construction est plus dynamique que dans les autres départements. Les effectifs sont en légère progression (+ 2,1 %) tandis que la masse salariale (+ 5,2 %) est bien orientée.Le tertiaire a vu ses effectifs croître de 0,9 % sur un an. Cette croissance s’explique par des secteurs tels que les commerces (+ 1,6 %), l’hébergement et la restauration (+ 3,1 %) et l’action sociale (+ 4,3 %).

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Les Hauts-de-Seine représentent 16,3 % des DPAE de la région parisienne.

Le nombre de DPAE diminue faiblement dans le département (- 0,3 % par rapport à 2011). En excluant l’intérim, la hausse reste modeste (+ 1,1 %). La faible évolution du niveau des DPAE s’explique notamment par des évolutions contraires des deux principaux secteurs employeurs : + 5,1 % pour les autres activités scientifiques et techniques et - 5,7 % pour l’édition et audiovisuel.

Activité économique (NACE 38) Année 2011 Année 2012

(en milliers) Source : Urssaf - Acoss

BZ Industries extractives 0,0 0,0 - 26,7% CA Industries agro-alimentaires 4,2 4,3 + 2,3% CB Habillement, textile et cuir 0,7 0,6 - 5,5% CC Bois et papier 0,5 0,4 - 9,4% CD Cokéfaction et raffinage 0,1 0,1 + 18,5% CE Industrie chimique 2,0 1,9 - 6,5% CF Industrie pharmaceutique 1,2 1,1 - 12,8% CG Industrie plastiques, produits non minéraux 0,7 0,6 - 15,8% CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 0,7 0,8 + 15,1% CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 1,1 1,1 + 3,5% CJ Fabrication d’équipements électriques 0,6 0,6 - 5,7% CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 0,6 0,4 - 23,4% CL Fabrication de matériels de transport 1,6 1,4 - 14,4% CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 1,1 0,9 - 12,7% DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 2,0 2,4 + 22,2% EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 1,7 1,8 + 4,1% FZ Construction 14,9 16,1 + 8,6% GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 49,4 51,4 + 4,0% HZ Transports et entreposage 30,1 32,9 + 9,5% IZ Hébergement et restauration 120,1 117,9 - 1,8% JA Édition et audiovisuel 350,9 331,0 - 5,7% JB Télécommunications 3,6 2,9 - 18,6% JC Activités informatiques 27,2 23,0 - 15,5% KZ Activités financières et d’assurance 19,8 17,1 - 13,8% LZ Activités immobilières 4,4 4,8 + 8,4% MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 91,0 81,6 - 10,3% MB Recherche et développement 1,5 1,4 - 4,3% MC Autres activités scientifiques et techniques 300,3 315,7 + 5,1% NZ Activités de services administratifs et de soutien 422,5 417,0 - 1,3% OZ Administration publique 9,7 10,2 + 4,6% PZ Éducation 21,0 20,9 - 0,4% QA Activités pour la santé humaine 14,5 18,1 + 24,2% QB Action sociale et hébergement médico-social 40,8 49,5 + 21,5% RZ Arts, spectacles et activités récréatives 91,0 96,5 + 6,0% SZ Autres activités de services 17,5 17,3 - 1,1% Activités diverses et non classées 0,0 0,0 - 4,5% TOTAL 1 649,0 1 643,8 - 0,3% Industrie 18,8 18,5 - 1,5% Construction 14,9 16,1 + 8,6% Tertiaire 1 615,4 1 609,1 - 0,4% Dont Tertiaire hors intérim 1 332,6 1 346,9 + 1,1% Intérim 282,7 262,2 - 7,3%

Évolution2012/2011

2 Déclarations préalables à l’embauche

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38

Les Hauts-de-Seine représentent 13,3 % du montant des cotisations exonérées franciliennes.

Le montant total des exonérations augmentent de 2,3 % par rapport à 2011, soit une progression plus importante que la moyenne régionale (différentiel de 1,4 point).

Cette hausse s’explique par la forte augmentation de la réduction Fillon (+ 7,3 % sur un an) qui compense la baisse liée à la suppression partielle des exonérations heures supplémentaires au 1er septembre 2012 (- 27,3 % pour les réductions salariales et - 9,0 % pour les déductions patronales). L’exonération Fillon représente 77,5 % du total des exonérations.

L’exonération « jeunes entreprises innovantes » connaît un regain en 2012 (+ 12,8 %) après la chute de 42,0 % observée en 2011.

3

Cotisationsexonérées

(en millions d’€)Principales mesures d'exonération

Effectifsexonérés

(en milliers) *

Réduction Fillon 474,7 235,4

Réduction salariale heures supplémentaires 50,0 97,4

Contrat d’apprentissage secteur privé 28,7 11,0

Déduction patronale heures supplémentaires 15,2 95,4

Jeunes entreprises innovantes 10,0 1,1

Aide à domicile 9,5 3,1

Contrat d’apprentissage loi de 1979 6,9 3,6

Contrat d’accompagnement dans l’emploi 6,4 2,1

Exonération sur compte épargne temps 4,3 4,0

Exonération 100 % associations intermédiaires 1,3 1,1

Autres 5,4 -

TOTAL DES EXONÉRATIONS 612,4 -

* Les effectifs exonérés sont seulement calculés au niveau des mesures. Source : Urssaf - Acoss

Exonération

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Mettre à jour (penser à changer axe trimestre si glissement d'une année ) et a cene pas modifier l'axe % pour unifier région et DDR

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Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164

Seine-Saint-Denis93

Les établissements, effectifset masses salariales

1

Le département de la Seine-Saint-Denis représente 9,4 % des établissements franciliens, 9,5 % des effectifs salariés et 8,2 % de la masse salariale.Les effectifs ont augmenté à un rythme dynamique (+ 2,2 %) bien supérieur à celui de la région.La masse salariale gagne 4,2 % en rythme annuel. Cette augmentation est également supérieure à celle observée sur l’ensemble de la région.Quant au nombre d’établissements à fin décembre 2012, avec 36 724, il constitue un sommet jamais atteint dans le département. La hausse du nombre d’établissements est cependant faible (+ 0,3 %) au regard de la croissance régionale (+ 0,5 %).Le salaire moyen (SMPT) de la Seine-Saint-Denis, qui s’élève à 2 666 euros, est en hausse de 2,0 %. S’il reste inférieur au salaire moyen francilien de 13,7 %, il demeure cependant au-dessus du salaire moyen national (+ 10,7 %).

Évolution en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête

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Source : Urssaf - Acoss

Année2012 1T 2012 2T 2012 3T 2012 4T 2012 Évolution

2012/2011Évolution

4T12/4T11Masse salariale (en millions d’€) 3 385,2 3 392,3 3 409,6 3 437,9 13 625,0 + 4,2 % + 4,1 %

Effectifs salariés (en milliers) 426,6 427,6 428,6 431,0 / / + 2,2 %

Salaire moyen partête (SMPT en €) 2 661 2 647 2 655 2 666 / / + 2,0 %

Établissements 36 223 36 492 36 609 36 724 / / + 0,3 %

Source : Urssaf - Acoss

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40

Répartition par secteur d’activité

Source : Urssaf - Acoss

Établissements

Évolution 4T12/4T11

4T 2012

Effectifs(en milliers)

4 T 2012Évolution

4T12/4T11

Masses salariales(en millions d’€)

Année2012

Évolution 2012/2011

Activité économique (NACE 38)

BZ Industries extractives 5 + 0,0 % 0,1 - 5,0 % 3,0 + 0,8 % CA Industries agro-alimentaires 604 + 3,2 % 3,8 - 0,8 % 89,7 + 1,1 % CB Habillement, textile et cuir 273 - 1,8 % 3,4 + 2,4 % 104,4 + 1,0 % CC Bois et papier 239 - 5,2 % 2,8 - 1,3 % 103,8 - 7,0 % CD Cokéfaction et raffinage 1 + 0,0 % 0,1 + 0,8 % 7,5 + 3,0 % CE Industrie chimique 49 + 2,1 % 3,5 + 8,7 % 168,8 + 7,5 % CF Industrie pharmaceutique 6 + 0,0 % 0,6 - 12,6 % 30,9 - 1,9 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 110 + 0,0 % 1,5 - 5,9 % 64,5 - 2,8 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 255 - 3,8 % 3,6 - 7,8 % 137,2 - 4,9 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 35 - 2,8 % 0,3 - 8,7 % 14,4 - 9,6 % CJ Fabrication d’équipements électriques 60 - 1,6 % 0,9 - 3,5 % 39,3 - 0,7 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 91 - 7,1 % 2,2 - 5,4 % 96,2 + 5,7 % CL Fabrication de matériels de transport 28 + 3,7 % 7,6 - 1,6 % 347,1 - 0,1 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 304 - 6,5 % 3,8 - 2,5 % 153,1 - 0,5 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 65 - 9,7 % 6,5 + 2,4 % 368,2 + 8,6 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 121 - 4,7 % 3,6 + 0,2 % 106,8 + 3,3 % FZ Construction 6 269 + 0,4 % 43,8 + 1,9 % 1 143,5 + 1,6 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 8 875 - 0,2 % 82,4 - 0,4 % 2 642,9 + 2,2 % HZ Transports et entreposage 2 097 + 3,1 % 53,8 + 23,2 % 1 679,2 + 24,6 % IZ Hébergement et restauration 3 124 + 3,2 % 19,2 + 3,3 % 374,8 + 3,7 % JA Édition et Audiovisuel 540 + 4,0 % 6,9 - 0,2 % 286,2 + 4,2 % JB Télécommunications 176 - 3,3 % 5,0 - 2,6 % 254,5 + 5,1 % JC Activités informatiques 477 + 1,1 % 11,0 - 3,3 % 490,1 - 4,2 % KZ Activités financières et d’assurance 1 124 + 1,1 % 25,0 + 0,0 % 1 138,3 + 3,1 % LZ Activités immobilières 905 - 5,7 % 6,6 - 4,6 % 189,1 - 3,6 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 1 611 + 2,4 % 17,8 - 5,1 % 797,4 + 1,4 % MB Recherche et développement 34 - 8,1 % 2,1 - 2,2 % 89,4 + 30,4 % MC Autres activités scientifiques et techniques 519 - 2,8 % 5,2 - 8,6 % 172,5 - 10,2 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 3 475 - 1,8 % 51,8 + 0,1 % 1 133,5 + 2,0 % OZ Administration publique 35 + 29,6 % 6,1 + 0,1 % 216,2 + 2,2 % PZ Éducation 564 + 6,6 % 6,0 + 2,3 % 163,0 + 3,1 % QA Activités pour la santé humaine 1 078 - 0,5 % 10,4 - 1,2 % 277,0 + 2,0 % QB Action sociale et hébergement médico-social 510 + 5,4 % 15,6 + 7,8 % 311,9 + 7,4 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 1 069 - 0,1 % 5,4 - 3,5 % 128,8 - 1,5 % SZ Autres activités de services 1 993 + 0,3 % 11,8 - 0,5 % 298,3 - 0,1 % Industrie 2 246 - 2,2 % 44,6 - 1,0 % 1 834,9 + 1,7 % Construction 6 269 + 0,4 % 43,8 + 1,9 % 1 143,5 + 1,6 % Tertiaire 28 206 + 0,5 % 342,1 + 2,7 % 10 642,9 + 4,9 % dont Tertiaire hors intérim 28 042 + 0,5 % 334,8 + 2,8 % 10 453,7 + 5,1 % Intérim 164 + 7,2 % 7,3 - 2,5 % 189,2 - 2,0 %

La Seine-Saint-Denis représente 9,6 % des effectifs salariés franciliens dans l’industrie, 15,7 % dans la construction et 9,1 % dans le secteur tertiaire. Le poids de l’industrie baisse de 0,1 point par rapport à 2011.En effet, l’industrie dans ce département poursuit la tendance observée en 2011. Ses effectifs, fin 2012, étaient en baisse de 0,8 % sur un an, à l’inverse de la masse salariale en hausse (+ 1,7 %). Les secteurs qui étaient en difficulté en 2010 et 2011, le sont toujours en 2012. Ainsi, la métallurgie accuse une chute de 7,8 % de ses effectifs et le secteur du bois et du papier voit les siens baisser de 1,3 %.La construction est dynamique. En effet, sur un an, ses effectifs (+ 1,9 %), son nombre d’établissements (+ 0,4 %) affichent des progressions significatives.Quant au tertiaire, les effectifs augmentent de 2,7 % sur un an, notamment suite au déplacement de personnel à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle qui affecte dans une moindre mesure également la Seine-Saint-Denis. Le nombre d’employés progresse de 23,2 % dans les transports et entreposage. La hausse des effectifs s’explique également par la dynamique dans l’action sociale (+ 7,8 %) et de l’hébergement et la restauration (+ 3,3 %). À l’inverse, les activités juridiques, de conseil et d’ingénierie voient leur effectif diminuer de 5,1 % malgré une hausse des établissements (+ 2,4 %).

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41

93 -

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La Seine-Saint-Denis représente 9,4 % des DPAE franciliennes.

La croissance du nombre de DPAE a été plus dynamique dans le département (+ 2,5 % par rapport à 2011) que dans l’ensemble de la région. En excluant l’intérim, la hausse est moins importante (+ 2,2 %). La Seine-Saint-Denis est l’un des trois seuls départements où le niveau des DPAE de l’intérim augmente (+ 3,2 %). Le nombre de DPAE dans l’hébergement et restauration affiche une dynamique importante (+ 11,1 %), soit près de 10 000 DPAE en plus. À l’inverse, les arts, spectacles et activités récréatives ont un niveau de DPAE en repli (- 7,0 %).

Activité économique (NACE 38) Année 2011 Année 2012

(en milliers) Source : Urssaf - Acoss

BZ Industries extractives 0,0 0,0 - 63,6 % CA Industries agro-alimentaires 2,5 2,5 - 2,0 % CB Habillement, textile et cuir 3,9 3,5 - 11,5 % CC Bois et papier 0,9 1,0 + 9,9 % CD Cokéfaction et raffinage 0,0 0,0 - 32,0 % CE Industrie chimique 0,7 0,8 + 14,6 % CF Industrie pharmaceutique 0,1 0,1 - 47,6 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 0,3 0,3 - 16,4 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 0,9 0,9 - 4,7 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 0,1 0,1 - 9,3 % CJ Fabrication d’équipements électriques 0,2 0,2 - 14,1 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 0,5 0,5 - 5,8 % CL Fabrication de matériels de transport 0,9 0,7 - 24,1 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 1,2 1,2 - 0,1 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 0,5 0,6 + 10,1 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 0,9 1,4 + 50,5 % FZ Construction 39,2 42,0 + 7,2 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 53,8 52,1 - 3,0 % HZ Transports et entreposage 34,0 31,6 - 7,2 % IZ Hébergement et restauration 88,8 98,7 + 11,1 % JA Édition et audiovisuel 90,1 93,6 + 3,8 % JB Télécommunications 1,3 0,8 - 37,0 % JC Activités informatiques 3,1 2,3 - 26,6 % KZ Activités financières et d’assurance 8,3 7,0 - 15,7 % LZ Activités immobilières 2,3 2,0 - 10,2 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 8,0 7,8 - 1,9 % MB Recherche et développement 0,3 0,3 - 9,6 % MC Autres activités scientifiques et techniques 31,1 19,8 - 36,5 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 377,8 402,8 + 6,6 % OZ Administration publique 10,8 10,7 - 1,0 % PZ Éducation 11,9 12,8 + 7,0 % QA Activités pour la santé humaine 14,8 17,9 + 21,4 % QB Action sociale et hébergement médico-social 21,8 25,6 + 17,8 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 95,9 89,2 - 7,0 % SZ Autres activités de services 11,6 11,4 - 1,7 % Activités diverses et non classées 0,0 0,0 + 50,0 % TOTAL 918,6 941,9 + 2,5 % Industrie 13,7 13,5 - 1,9 % Construction 39,2 42,0 + 7,2 % Tertiaire 865,6 886,4 + 2,4 % Dont Tertiaire hors intérim 563,5 574,6 + 2,0 % Intérim 302,2 311,8 + 3,2 %

Évolution2012/2011

2 Déclarations préalables à l’embauche

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42

La Seine-Saint-Denis représente 11,1 % du montant des cotisations exonérées franciliennes.

Le montant total des exonérations augmente de 0,1 % par rapport à 2011, soit moins que l’ensemble de la région (différentiel de 0,8 point).

L’exonération Fillon, qui représente 80,5 % de l’ensemble des exonérations du département, est en hausse de 5,4 %.

La suppression partielle des exonérations heures supplémentaires au 1er septembre 2012 engendre une baisse de 30,7 % sur un an des réductions salariales liées aux heures supplémentaires, tandis que les déductions patronales diminuent de 13,5 %.

La diminution dégressive de l’exonération zones franches urbaines (- 21,5 %) pèse également à la baisse sur le niveau d’exonération.

3

Cotisationsexonérées

(en millions d’€)Principales mesures d'exonération

Effectifsexonérés

(en milliers) *

Réduction Fillon 410,0 200,0

Réduction salariale heures supplémentaires 39,1 77,5

Déduction patronale heures supplémentaires 12,6 79,3

Contrat d’apprentissage secteur privé 11,2 4,5

Zones franches urbaines - exonération dégressive 8,7 2,5

Contrat d’accompagnement dans l’emploi 8,4 2,9

Aide à domicile 7,2 2,1

Contrat d’apprentissage loi de 1979 4,8 2,6

Jeunes entreprises innovantes 1,3 0,1

Aide à domicile-centres communaux d’action sociale 1,3 0,6

Autres 4,7 -

TOTAL DES EXONÉRATIONS 509,3 -

* Les effectifs exonérés sont seulement calculés au niveau des mesures. Source : Urssaf - Acoss

Exonération

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Val-d

e-M

arne

Mettre à jour (penser à changer axe trimestre si glissement d'une année ) et a cene pas modifier l'axe % pour unifier région et DDR

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+1,00%

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Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164

Val-de-Marne94

Les établissements, effectifset masses salariales

1

Le Val-de-Marne représente 8,6 % des établissements franciliens, 8,8 % des effectifs salariés et 7,4 % de la masse salariale.

Fin 2012, le département affiche une forte dynamique. Les effectifs sont en forte hausse de 3,9 % sur un an. Ils ont crû tout au long de l’année. Le nombre d’établissements est en faible progression de 0,3 %. La masse salariale est en augmentation de 5,6 % sur l’ensemble de l’année 2012.

Le salaire moyen (SMPT) du Val-de-Marne s’élève à 2 612 euros. Il est inférieur au salaire moyen francilien de - 15,4 %, mais il reste supérieur au salaire moyen français (+ 8,5 %). Le SMPT du Val-de-Marne tend à se rapprocher cette année du SMPT régional, alors que la divergence avec le SMPT national s’accroît.

Évolution en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête

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1

Source : Urssaf - Acoss

Année2012 1T 2012 2T 2012 3T 2012 4T 2012 Évolution

2012/2011Évolution

4T12/4T11Masse salariale (en millions d’€) 3 022,9 3 039,5 3 081,4 3 102,7 12 246,5 + 5,6 % + 5,8 %

Effectifs salariés (en milliers) 389,3 391,6 395,0 396,8 / / + 3,9 %

Salaire moyen partête (SMPT en €) 2 613 2 595 2 612 2 612 / / + 2,0 %

Établissements 33 341 33 475 33 546 33 630 / / + 0,3 %

Source : Urssaf - Acoss

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44

Répartition par secteur d’activité

Source : Urssaf - Acoss

Établissements

Évolution 4T12/4T11

4T 2012

Effectifs(en milliers)

4 T 2012Évolution

4T12/4T11

Masses salariales(en millions d’€)

Année2012

Évolution 2012/2011

Activité économique (NACE 38)

BZ Industries extractives 10 + 0,0 % 0,2 + 1,4 % 6,8 - 0,6 % CA Industries agro-alimentaires 560 + 0,7 % 5,3 - 0,2 % 156,5 + 0,9 % CB Habillement, textile et cuir 83 - 1,2 % 0,5 - 2,5 % 17,2 + 8,8 % CC Bois et papier 154 - 8,9 % 2,1 - 7,7 % 87,8 - 1,7 % CD Cokéfaction et raffinage 1 - 50,0 % 0,0 - 36,4 % 0,3 - 25,3 % CE Industrie chimique 37 + 2,8 % 1,4 - 1,4 % 68,4 - 8,5 % CF Industrie pharmaceutique 14 + 0,0 % 2,8 - 3,6 % 131,8 - 7,5 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 103 - 3,7 % 1,5 - 4,5 % 59,1 + 1,0 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 161 - 2,4 % 2,1 - 11,6 % 81,5 - 5,4 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 72 - 7,7 % 3,0 + 1,7 % 149,7 + 3,3 % CJ Fabrication d’équipements électriques 41 - 4,7 % 0,7 - 2,7 % 30,0 + 4,7 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 80 - 4,8 % 2,3 - 0,8 % 103,4 + 14,1 % CL Fabrication de matériels de transport 16 + 0,0 % 1,3 + 6,6 % 61,4 + 12,2 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 325 - 3,0 % 5,1 - 1,0 % 209,0 + 0,3 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 45 + 4,7 % 1,7 + 6,1 % 63,8 + 11,7 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 104 + 6,1 % 3,5 + 3,7 % 99,1 + 1,7 % FZ Construction 4 481 + 1,4 % 38,1 + 0,3 % 1 087,2 + 1,1 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 7 155 - 1,1 % 74,3 - 0,6 % 2 376,7 + 1,6 % HZ Transports et entreposage 1 313 + 1,0 % 41,1 + 26,4 % 1 389,5 + 36,3 % IZ Hébergement et restauration 2 747 + 1,0 % 18,2 + 2,2 % 352,0 + 2,8 % JA Édition et Audiovisuel 366 + 0,0 % 4,7 + 1,1 % 174,1 + 5,1 % JB Télécommunications 107 - 5,3 % 7,4 - 1,7 % 353,6 + 2,3 % JC Activités informatiques 617 + 7,1 % 8,3 - 6,2 % 366,8 - 5,1 % KZ Activités financières et d’assurance 1 302 + 2,2 % 26,2 + 7,0 % 1 120,5 + 5,7 % LZ Activités immobilières 1 136 - 0,9 % 5,6 - 2,0 % 169,7 + 1,4 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 2 032 - 0,1 % 16,8 + 0,5 % 768,5 + 2,6 % MB Recherche et développement 75 - 7,4 % 6,9 - 1,3 % 270,2 + 1,1 % MC Autres activités scientifiques et techniques 546 + 2,8 % 3,8 + 2,0 % 116,5 + 1,0 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 4 363 - 0,0 % 61,1 + 8,0 % 1 165,3 + 8,7 % OZ Administration publique 18 - 5,3 % 3,1 - 0,1 % 99,0 + 0,8 % PZ Éducation 527 + 1,5 % 5,4 - 1,3 % 137,5 + 1,3 % QA Activités pour la santé humaine 1 213 + 0,2 % 10,9 + 4,7 % 322,6 + 4,4 % QB Action sociale et hébergement médico-social 564 + 4,4 % 15,3 + 3,4 % 305,7 + 4,7 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 1 154 + 2,4 % 5,3 + 0,3 % 115,2 + 1,4 % SZ Autres activités de services 2 106 - 0,0 % 10,2 + 1,8 % 226,9 + 0,2 % Industrie 1 806 - 1,8 % 33,7 - 1,2 % 1 325,8 + 1,1 % Construction 4 481 + 1,4 % 38,1 + 0,3 % 1 087,2 + 1,1 % Tertiaire 27 341 + 0,3 % 324,7 + 4,9 % 9 830,2 + 6,8 % dont Tertiaire hors intérim 27 191 + 0,2 % 319,0 + 5,0 % 9 682,8 + 6,9 % Intérim 150 + 27,1 % 5,7 + 2,7 % 147,4 + 1,0 %

Le Val-de-Marne représente 7,3 % des effectifs salariés franciliens dans l’industrie, 13,7 % dans la construction et 8,6 % dans le secteur tertiaire.

L’industrie dans le Val-de-Marne poursuit son érosion. Sur un an, les pertes d’emplois s’établissent à - 1,2 % dans un contexte de baisse des établissements (- 1,8 %). La métallurgie perd 11,6 % de ses effectifs tandis que le secteur du bois et papier voit ses effectifs diminuer de 7,7 %. À l’inverse, la production, distribution d’électricité, de gaz affiche un nombre de salariés en hausse de 6,1 %.

La construction affiche une faible croissance de ses effectifs (+ 0,3 %) mais dans une situation de croissance de la masse salariale (+ 1,1 %) et du nombre d’établissements (+ 1,4 %).

Le tertiaire affiche une augmentation de 4,9 % sur un an avec une croissance solide de la masse salariale (+ 6,8 %) et une stagnation du nombre d’établissements. Les activités financières et d’assurance (+ 7,0 %) poursuivent leur hausse. Le nombre de salariés du transport et entreposage est en hausse de 26,4 %. A contrario, les activités informatiques sont en repli de 6,2 %.

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45

94 -

Val-d

e-M

arne

Le Val-de-Marne représente 7,2 % des DPAE de la région parisienne.

Le département enregistre en 2012, comme c’était déjà le cas en 2011, la plus forte progression de la région avec une augmentation de 7,0 % du nombre de DPAE par rapport à 2011. Cette progression est encore plus importante hors intérim (+ 11,7 %). Cependant, les 2/3 de cette évolution sont imputables aux dix principales entreprises émettrices de DPAE en CDD court. Les secteurs envoyant le plus de DPAE affichent des progressions significatives : + 38,8 % hors intérim pour les activités de services administratifs et de soutien et + 8,8 % pour l’hébergement et restauration.

Activité économique (NACE 38) Année 2011 Année 2012

(en milliers) Source : Urssaf - Acoss

BZ Industries extractives 0,0 0,0 - 3,2 % CA Industries agro-alimentaires 3,5 3,3 - 5,6 % CB Habillement, textile et cuir 0,7 0,8 + 5,5 % CC Bois et papier 0,6 0,5 - 6,1 % CD Cokéfaction et raffinage 0,0 0,0 + 0,0 % CE Industrie chimique 0,4 0,3 - 26,8 % CF Industrie pharmaceutique 0,7 0,5 - 18,9 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 0,3 0,3 - 5,4 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 0,9 0,8 -13,5 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 0,6 0,8 + 33,7 % CJ Fabrication d’équipements électriques 0,2 0,2 + 20,4 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 0,4 0,4 - 6,9 % CL Fabrication de matériels de transport 0,2 0,3 + 37,6 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 1,2 1,1 - 10,0 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 0,1 0,2 + 1,4 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 0,7 0,9 + 25,0 % FZ Construction 19,7 19,8 + 0,4 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 42,9 40,4 - 5,9 % HZ Transports et entreposage 17,3 17,9 + 3,8 % IZ Hébergement et restauration 69,3 75,4 + 8,8 % JA Édition et audiovisuel 44,6 50,1 + 12,3 % JB Télécommunications 1,0 1,0 - 4,4 % JC Activités informatiques 2,4 2,2 - 8,2 % KZ Activités financières et d’assurance 4,5 4,8 + 5,8 % LZ Activités immobilières 2,0 2,1 + 5,5 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 17,8 18,7 + 4,6 % MB Recherche et développement 1,4 1,3 - 2,4 % MC Autres activités scientifiques et techniques 4,8 3,4 - 29,0 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 318,0 347,5 + 9,3 % OZ Administration publique 9,3 9,8 + 5,3 % PZ Éducation 8,0 9,3 + 16,8 % QA Activités pour la santé humaine 12,0 14,8 + 23,2 % QB Action sociale et hébergement médico-social 27,0 30,4 + 12,6 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 50,0 52,5 + 5,0 % SZ Autres activités de services 14,3 12,5 - 12,7 % Activités diverses et non classées 0,0 0,0 - 64,3 % TOTAL 677,0 724,3 +7,0 % Industrie 10,6 10,4 - 2,1 % Construction 19,7 19,8 + 0,4 % Tertiaire 646,6 694,1 + 7,3 % Dont Tertiaire hors intérim 418,6 471,4 + 12,6 % Intérim 228,1 222,7 - 2,4 %

Évolution2012/2011

2 Déclarations préalables à l’embauche

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46

Le Val-de-Marne représente 10,1 % du montant des cotisations exonérées franciliennes.

Le montant total des exonérations augmente de 2,3 % par rapport à 2011, soit une augmentation supérieure à la moyenne de la région (différentiel de 1,4 point).

Cette hausse s’explique par la forte augmentation de la réduction Fillon (+ 7,6 % sur un an) qui compense la baisse liée à la suppression partielle des exonérations heures supplémentaires au 1er septembre 2012 (- 27,8 % pour les réductions salariales et - 9,7 % pour les déductions patronales). L’exonération Fillon représente 79,7 % du total des exonérations.

Les exonérations liées aux contrats d’apprentissage dans le secteur privé augmentent de 3,6 % alors que les contrats d’accompagnement dans l’emploi stagnent (- 1,0 %). L’exonération concernant les maîtres et documentalistes d’enseignement privé est en baisse de 0,8 % dans ce département.

3

Cotisationsexonérées

(en millions d’€)Principales mesures d'exonération

Effectifsexonérés

(en milliers) *

Réduction Fillon 369,0 181,1

Réduction salariale heures supplémentaires 39,4 77,3

Déduction patronale heures supplémentaires 12,8 76,4

Contrat d’apprentissage secteur privé 10,2 4,1

Aide à domicile 7,9 2,4

Contrat d’accompagnement dans l’emploi 6,9 1,9

Contrat d’apprentissage loi de 1979 5,3 2,8

Maîtres et documentalistes enseignement privé 4,1 0,0

Jeunes entreprises innovantes 1,5 0,2

Contrat d’apprentissage secteur public 1,4 0,5

Autres 4,4 -

Total des exonérations 462,9 -

* Les effectifs exonérés sont seulement calculés au niveau des mesures. Source : Urssaf - Acoss

Exonération

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47 95 -

Val-d

’Ois

eMettre à jour (penser à changer axe trimestre si glissement d'une année ) et a cene pas modifier l'axe % pour unifier région et DDR

-5,00%

-4,00%

-3,00%

-2,00%

-1,00%

+0,00%

+1,00%

+2,00%

+3,00%

+4,00%

+5,00%

+6,00%

+7,00%

+8,00%

1T05

3T05

1T06

3T06

1T07

3T07

1T08

3T08

1T09

3T09

1T10

3T10

1T11

3T11

1T12

3T12

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164

Val-d’Oise95

Les établissements, effectifset masses salariales

1

Le Val-d’Oise représente 6,5 % des établissements franciliens, 6,5 % des effectifs salariés et 5,8 % de la masse salariale.

Dans ce département, la masse salariale est en progression de 0,4 % en un an. Le nombre d’établissements progresse moins vite (+ 0,3 %) que celui constaté au niveau régional (+ 0,5 %). Les effectifs sont en baisse de 3,7 %. Une partie de cette baisse est due à la réaffectation du Val-d’Oise à la Seine-et-Marne, de personnel travaillant à l’aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle. Le SMPT est affecté par ces pertes d’effectifs ; en effet, il avait progressé en début d’année mais baisse dès le début des réaffectations. Au final, il baisse de 0,4 % comparé au dernier trimestre 2011.

Il s’établit à 2 597 euros, inférieur à celui de l’Ile-de-France de 15,9 %, mais est supérieur au SMPT national de 7,8 %.

Évolution en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête

1T 0

5

2T 0

5

3T 0

5

4T 0

5

1T 0

6

2T 0

6

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6

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6

1T 0

7

2T 0

7

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7

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7

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8

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8

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8

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9

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9

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9

1T 1

0

2T 1

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0

1T 1

1

2T 1

1

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1

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1

1T 1

2

2T 1

2

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2

4T 1

2

Salaire moyen par tête

Effectifs

Masses salariales

8 %

7 %

6 %

5 %

4 %

3 %

2 %

1 %

0 %

- 1 %

- 2 %

- 3 %

- 4 %

- 5 %

1

Source : Urssaf - Acoss

Année2012 1T 2012 2T 2012 3T 2012 4T 2012 Évolution

2012/2011Évolution

4T12/4T11Masse salariale (en millions d’€) 2 419,5 2 424,5 2 397,4 2 330,6 9 572,0 + 0,4 % - 3,0 %

Effectifs salariés (en milliers) 307,5 306,5 302,2 296,1 / / - 3,7 %

Salaire moyen partête (SMPT en €) 2 624 2 632 2 626 2 597 / / - 0,4 %

Établissements 24 817 25 044 25 004 25 079 / / + 0,3 %

Source : Urssaf - Acoss

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48

Répartition par secteur d’activité

Source : Urssaf - Acoss

Établissements

Évolution 4T12/4T11

4T 2012

Effectifs(en milliers)

4 T 2012Évolution

4T12/4T11

Masses salariales(en millions d’€)

Année2012

Évolution 2012/2011

Activité économique (NACE 38)

BZ Industries extractives 9 + 12,5 % 0,1 + 18,0 % 4,1 + 17,9 % CA Industries agro-alimentaires 413 - 4,0 % 2,6 - 3,1 % 63,4 + 0,3 % CB Habillement, textile et cuir 39 - 2,5 % 0,6 - 1,8 % 19,6 - 5,3 % CC Bois et papier 173 + 0,0 % 2,0 - 1,4 % 64,1 - 1,6 % CD Cokéfaction et raffinage 2 + 0,0 % 0,5 - 8,1 % 36,4 + 10,1 % CE Industrie chimique 58 - 4,9 % 3,3 - 0,2 % 137,3 + 4,1 % CF Industrie pharmaceutique 9 + 0,0 % 0,5 + 2,5 % 16,0 - 0,9 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 85 - 3,4 % 3,1 - 1,3 % 140,6 + 0,6 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 296 + 0,3 % 4,4 + 2,1 % 152,8 + 4,6 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 81 - 3,6 % 4,1 - 4,7 % 198,3 - 3,1 % CJ Fabrication d’équipements électriques 53 - 8,6 % 1,9 - 10,2 % 95,6 - 8,2 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 104 - 6,3 % 2,1 - 4,8 % 86,9 - 2,8 % CL Fabrication de matériels de transport 45 + 7,1 % 4,1 - 0,9 % 171,5 + 4,5 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 334 + 1,2 % 5,1 + 0,1 % 198,0 + 2,2 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 25 + 8,7 % 1,7 + 1,2 % 59,8 + 5,6 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 119 + 3,5 % 2,8 + 1,8 % 74,8 + 5,8 % FZ Construction 3 957 + 0,9 % 27,1 + 0,2 % 719,5 + 2,5 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 5 757 + 0,1 % 54,5 - 0,6 % 1 627,0 + 2,0 % HZ Transports et entreposage 1 268 - 0,7 % 51,2 - 17,2 % 2 448,5 - 4,1 % IZ Hébergement et restauration 1 926 + 1,5 % 15,3 - 0,0 % 314,3 + 2,6 % JA Édition et Audiovisuel 140 + 2,2 % 0,9 + 0,0 % 28,6 + 4,6 % JB Télécommunications 83 - 14,4 % 1,4 - 0,7 % 38,2 - 3,6 % JC Activités informatiques 342 + 1,2 % 7,5 + 2,4 % 412,9 + 6,1 % KZ Activités financières et d’assurance 915 + 2,6 % 6,9 + 2,4 % 294,7 + 10,0 % LZ Activités immobilières 670 - 2,6 % 3,0 - 8,3 % 85,4 - 4,2 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 1 447 + 0,8 % 9,7 + 1,1 % 371,8 + 4,0 % MB Recherche et développement 13 + 0,0 % 0,1 + 8,4 % 4,2 + 12,5 % MC Autres activités scientifiques et techniques 319 - 4,8 % 3,4 - 2,8 % 89,1 - 1,0 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 2 062 - 1,2 % 35,0 - 1,9 % 687,9 - 0,1 % OZ Administration publique 13 + 0,0 % 2,4 - 2,3 % 74,4 - 1,1 % PZ Éducation 461 + 1,8 % 5,6 + 1,8 % 148,5 + 2,0 % QA Activités pour la santé humaine 877 + 1,3 % 7,6 + 2,0 % 197,7 + 0,9 % QB Action sociale et hébergement médico-social 478 + 4,6 % 13,8 + 3,0 % 286,0 + 4,4 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 855 + 2,2 % 4,0 + 4,4 % 87,5 + 5,2 % SZ Autres activités de services 1 646 + 1,4 % 7,5 + 0,4 % 142,7 - 0,2 % Industrie 1 845 - 1,3 % 38,9 - 1,5 % 1 519,2 + 1,1 % Construction 3 957 + 0,9 % 27,1 + 0,2 % 719,5 + 2,5 % Tertiaire 19 272 + 0,4 % 229,7 - 4,5 % 7 339,2 + 0,2 % dont Tertiaire hors intérim 19 098 + 0,4 % 221,6 - 4,4 % 7 129,5 + 0,5 % Intérim 174 + 2,4 % 8,1 - 7,6 % 209,7 - 7,0 %

Le Val-d’Oise représente 8,4 % des effectifs salariés franciliens dans l’industrie, 9,7 % dans la construction et enfin 6,1 % dans le secteur tertiaire. Les poids de ces trois grands secteurs sont en recul sur un an dans le département.

L’emploi industriel accuse une nouvelle année de déclin dans le Val-d’Oise en 2012 (- 1,5 % sur un an). Le nombre d’établissements est également en baisse (- 1,3 % sur un an). Les effectifs du secteur de la fabrication de produits informatiques (- 4,7 %) sont en baisse. A contrario, la métallurgie (+ 2,1 %) voit ses effectifs augmenter.

La construction poursuit sa progression à un rythme plus modéré. Les effectifs (+ 0,2 % sur un an), le nombre d’établissements (+ 0,9 %) et la masse salariale (+ 2,5 %) affichent des hausses.

Le tertiaire évolue de façon négative. L’emploi est en recul (- 4,5 %) mais la masse salariale affiche une résistance (+ 0,2 %). La dégradation de l’emploi vient principalement de baisses observées dans les secteurs qui emploient le plus. Outre la réaffectation des employés dans les transports (- 17,2 %), le département connaît des baisses d’effectifs dans le commerce (- 0,6 %) et dans les activités de services administratifs et de soutien (- 1,9 %). Dans le dernier cas, le nombre d’établissements baisse également de manière significative (- 1,2 %). La masse salariale des activités financières et d’assurance est en forte progression (+ 10,0 %) dans le département.

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49 95 -

Val-d

’Ois

e

Le Val-d’Oise représente 6,1 % des DPAE enregistrées en Ile-de-France.

Le département affiche une hausse de 2,5 % de ses DPAE par rapport à 2011. La hausse du nombre de DPAE est plus dynamique que pour l’ensemble de la région (différentiel de 0,6 point).

Les secteurs envoyant le plus de DPAE affichent des progressions modestes : activités de services administratifs et de soutien (+ 2,1 % sur un an, hors intérim) et l’hébergement et restauration (+ 2,8 %). Les arts, spectacles et activités récréatives connaissent une augmentation importante du nombre de leurs DPAE (+ 43,4 %).

Activité économique (NACE 38) Année 2011 Année 2012

(en milliers) Source : Urssaf - Acoss

BZ Industries extractives 0,0 0,0 - 11,8 % CA Industries agro-alimentaires 1,9 1,6 - 11,6 % CB Habillement, textile et cuir 0,2 0,1 - 59,6 % CC Bois et papier 0,6 0,5 - 2,7 % CD Cokéfaction et raffinage 0,0 0,0 - 40,8 % CE Industrie chimique 0,5 0,5 - 4,2 % CF Industrie pharmaceutique 0,0 0,1 + 42,5 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 0,3 0,3 - 12,4 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 1,1 1,1 - 1,5 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 0,6 0,6 - 0,5 % CJ Fabrication d’équipements électriques 0,4 0,3 - 19,6 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 0,4 0,3 - 25,3 % CL Fabrication de matériels de transport 0,5 0,4 - 11,0 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 1,1 1,2 + 5,9 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz 0,2 0,2 + 3,8 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 0,6 0,7 + 13,7 % FZ Construction 18,6 18,5 - 0,7 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 32,6 30,9 - 5,2 % HZ Transports et entreposage 14,6 12,3 - 15,7 % IZ Hébergement et restauration 47,6 48,9 + 2,8 % JA Édition et audiovisuel 4,2 3,4 - 18,8 % JB Télécommunications 0,5 0,5 + 1,7 % JC Activités informatiques 1,7 1,3 - 22,9 % KZ Activités financières et d’assurance 1,5 1,5 - 2,6 % LZ Activités immobilières 1,5 1,4 - 2,8 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 5,6 5,9 + 5,8 % MB Recherche et développement 0,0 0,0 + 27,3 % MC Autres activités scientifiques et techniques 5,2 5,0 - 4,7 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 354,7 355,7 + 0,3 % OZ Administration publique 10,6 11,2 + 6,0 % PZ Éducation 5,1 5,2 + 1,4 % QA Activités pour la santé humaine 20,9 23,0 + 9,9 % QB Action sociale et hébergement médico-social 29,2 34,5 + 18,2 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 25,3 36,3 + 43,4 % SZ Autres activités de services 8,5 8,0 - 5,8 % Activités diverses et non classées 0,0 0,0 - 51,4 % TOTAL 596,5 611,6 + 2,5 % Industrie 8,5 7,9 - 6,3 % Construction 18,6 18,5 - 0,7 % Tertiaire 569,4 585,2 + 2,8 % Dont Tertiaire hors intérim 255,1 270,7 + 6,1 % Intérim 314,3 314,5 + 0,1 %

Évolution2012/2011

2 Déclarations préalables à l’embauche

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50

Le Val-d’Oise représente 7,9 % du montant des cotisations exonérées franciliennes.

Le montant total des exonérations baisse de 0,4 % par rapport à 2011 ; cette baisse se situe à l’inverse de la tendance régionale (différentiel de 1,3 point).

Cette baisse s’explique par une augmentation de l’exonération Fillon de 5,2 % sur un an qui ne compense pas la baisse liée à la suppression partielle des exonérations heures supplémentaires au 1er septembre 2012 (- 29,0 % pour les réductions salariales et - 12,3 % pour les déductions patronales). De fait, la part des exonérations Fillon passe de 75,0 % en 2011 à 79,2 % en 2012 du total des exonérations. Les contrats d’apprentissage secteur privé (+ 2,4 %) affichent une hausse plus contenue que dans les autres départements. Les contrats d’accompagnement dans l’emploi sont en repli de 13,9 %.

3

Cotisationsexonérées

(en millions d’€)Principales mesures d'exonération

Effectifsexonérés

(en milliers) *

Réduction Fillon 286,3 142,7

Réduction salariale heures supplémentaires 30,2 61,0

Déduction patronale heures supplémentaires 10,1 62,6

Contrat d’apprentissage secteur privé 7,5 3,1

Contrat d’accompagnement dans l’emploi 6,9 2,1

Contrat d’apprentissage loi de 1979 6,0 3,3

Aide à domicile 5,8 2,0

Zones franches urbaines - exonération dégressive 4,6 1,3

Exonération 100 % associations intermédiaires 1,3 1,0

Contrat d’apprentissage secteur public 0,7 0,3

Autres 2,2 -

Total des exonérations 361,5 -

* Les effectifs exonérés sont seulement calculés au niveau des mesures. Source : Urssaf - Acoss

Exonération

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Études et statistiquesServices aux cotisants Services aux partenaires Contrôle Ressources informatiques

-1,00

-0,80-0,60

-0,40

-0,20

0,000,20

0,40

0,600,80

1,00

-40,00%

-30,00%

-20,00%

-10,00%

0,00%

10,00%

20,00%

30,00%

40,00%

50,00%

60,00%

■ Les indicateurs du recouvrement restent dégradés

Les indicateurs du recouvrement demeurent globalement dégradés à fin août, avec cepen-dant une embellie observée au niveau de la situation des grandes et très grandes entre-prises (plus de 250 salariés).Le taux d’impayés des entreprises de moins de 10 salariés augmente par rapport à l’année dernière (+ 0,45 point). Cet écart à la hausse est à un niveau presque constant depuis trois mois, signalant que les petites entreprises fran-ciliennes ne voient pas leur situation s’amélio-rer dans un environnement conjoncturel moins dégradé. Le taux de ponctualité des paiements appuie ce constat en affichant une baisse de 1,02 point sur un an. Les demandes de délais de paiement continuent d’être orientées à la hausse pour cette classe d’effectifs (+ 9,1 % sur un an), la hausse s’élevant à 10,6 % depuis le début de l’année. Sur 3 années glissantes, l’augmentation atteint 28 %.La situation semble moins détériorée pour les entreprises de plus de 10 salariés avec un taux d’impayés en légère augmentation (+ 0,02 point sur un an). Les très grandes entreprises n’affi-chent presque pas de dette sociale, tandis que les grandes entreprises ont un niveau d’im-payés faible. En revanche, les entreprises de 10 à 249 salariés ont un taux de ponctualité des demandes qui recule de 0,64 point sur un an. La très grande majorité de ces entreprises arrive donc à régler ses cotisations sociales mais le paiement ne se fait pas forcément à bonne date pour certaines d’entre elles. Les demandes de délais sont d’ailleurs en progression de 7,0 % sur un an et sur les trois derniers mois de 6,3 % soit un niveau comparable.

Chiffre du mois

4 000c’est le nombre d’emplois qui ont été détruits dans l’industrie francilienne en un an.

- %2784

1=

Le baromètre Urssaf n° 52Septembre 2013

Suivi de la conjoncture économique du secteur privé en Ile-de-France

* hors entreprises de plus de 250 salariésTaux de couverture immédiat : propension des cotisants à régler spontanément leurs cotisations. Taux des restes à recouvrer : montant des cotisations non soldées par rapport aux cotisations déclarées par les entreprises.

60 %50 %40 %30 %20 %10 %

0 - 10 %- 20 %- 30 %- 40 %

Évolution des demandes de délais (Glissement sur 12 mois)

Indicateurs internes à la gestion de l’organisme

Évolution annuelle à fin août 2013Entreprises - 10 salariés

Entreprises + 9 salariés

1T20

10

2T20

10

3T20

10

4T20

10

1T20

11

2T20

11

3T20

11

4T20

11

1T20

12

2T20

12

3T20

12

4T20

12

1T20

13

2T20

13

- 10 salariés+ 9 salariésTotal secteur privé

Taux de couverture immédiat *

Taux des restes à recouvrer

Nombre de délais demandés (sur 12 mois glissants)

- 0,64 pt

+ 0,02 pt

+ 7,0 %

Évolution des taux des restes à recouvrer (Glissement annuel)

- 10 salariés+ 9 salariésTotal secteur privé

1,000,800,600,400,200,00

- 0,20- 0,40- 0,60- 0,80- 1,00

Taux de couverture immédiat

Taux des restes à recouvrer

Nombre de délais demandés (sur 12 mois glissants)

- 1,02 pt

+ 0,45 pt

+ 9,1 %

1T20

10

2T20

10

3T20

10

4T20

10

1T20

11

2T20

11

3T20

11

4T20

11

1T20

12

2T20

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4T20

12

1T20

13

2T20

13

Nos publications statistiques

L’Urssaf Ile-de-France publie tout au long de l’année des données statistiques détaillées et mises à jour. Ces parutions sont consultables sur le site Internet www.iledefrance.urssaf.fr.

Le baromètre Urssaf présente l’évolution de la conjoncture en Ile-de-France, à travers les indicateurs clés du recouvrement : taux de couverture immédiat, demandes de délais de paiement, déclarations préalables à l’embauche, etc. Le baromètre Urssaf est publié chaque mois sous forme de lettre électronique.

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La note de conjoncture en Ile-de-France revient chaque trimestre sur les évolutions de la masse salariale, de l’emploi et du salaire moyen, détaillées par secteur d’activité et par département.

Conjoncture enIle-de-France

DU SECTEUR PRIVÉ AU 2e TRIMESTRE 20131

Au 2e trimestre, l’emploi salarié en Ile-de-France affiche une légère hausse (+ 0,1 %). Plus de 2 100 emplois ont été créés dans le secteur privé lors du dernier trimestre. Néanmoins, cette hausse ne compense pas le recul observé au 1er trimestre 2013. La construction (+ 0,7 % sur un trimestre) et l’intérim (+ 1,0 %) ont vu leur niveau d’emploi progresser, tandis que le tertiaire stagne. A contrario, l’industrie continue à détruire de l’emploi (- 0,3 %).

Graphique 1 : Masse salariale, emploi et salaire moyen par tête du secteur privé

Septembre 2013

1 : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents.

1

Tableau 1 : Masse salariale et emploi du secteur privé2e trimestre 2013

Sur un an, l’emploi stagne en Ile-de-FranceSur un an, le niveau d’emploi francilien affiche un déficit de 1 800 salariés (- 0,0 %). La faible progression de ce trimestre ne compense pas la perte de 9 500 emplois observée au 1er trimestre 2013. Le nombre de salariés est revenu à son niveau du 1er trimestre 2012. Le nombre de travailleurs dans le secteur privé en Ile-de-France n’a toujours pas rattrapé son niveau d’emploi le plus haut, obtenu avant la crise économique et accuse toujours un déficit de 41 900 salariés.L’emploi francilien résiste alors qu’au niveau national le nombre de salariés continue de baisser (- 0,2 % sur un trimestre et -0,7 % en un an).

La masse salariale rebondit Après une progression très modeste au 1er trimestre, la masse salariale rebondit au 2e trimestre, avec une hausse de 1,8 % sur un an. La progression de la masse salariale demeure plus rapide en Ile-de-France que sur l’ensemble de la France (+ 1,4 %).Conséquence : la croissance du SMPT (salaire moyen par tête) est en hausse avec une évolution de +1,8 % sur un an. Sur trois mois, le SMPT est enforte hausse. Il atteint 3 123 euros, bien supérieur au niveau national (2 438 euros). La croissance au niveau national est cependant plus forte avec une hausse de 2,1 %. C’est le second trimestre de suiteoù la hausse est supérieure à celle de l’Ile-de-France.

2013 T2 2012 T2 2011 T2 2010 T2Masse salariale (en millions d'€uros)

42 286 +1,8% +2,5% +3,6% +1,9%

Emploi (en milliers)

4 515 -0,0% +0,3% +1,1% -0,2%

Salaire moyen par tête mensuel (en €uros)

3 123 +1,8% +2,2% +2,5% +2,5%

Masse salariale(en millions d'€uros)

130 040 +1,4% +2,1% +3,7% +2,0%

Emploi(en milliers)

17 771 -0,7% -0,1% +1,2% +0,0%

Salaire moyen par tête mensuel (en €uros)

2 438 +2,1% +2,1% +2,4% +2,5%Fra

nce

entiè

re

En Niveau2013 T2

Glissement annuel

Ile-d

e-F

ranc

e

Page 56: Ile-de-France - blog.paris.urssaf.frblog.paris.urssaf.fr/media/02/00/1353942101.pdf · Établissements, effectifs et masses salariales évolutions comparées L’activité en Ile-de-France

Services aux cotisants Services aux partenaires Contrôle Ressources informatiquesÉtudes et statistiques

Les entreprises artisanales représentent 7,1 % des effectifs du privé en Ile-de-France, ce qui représente au total, plus de 320 000 salariés. Point annuel sur cet acteur important de l’économie francilienne.

L’emploi dans l’artisanat plus résistant que dans l’ensemble du secteur privé.Les effectifs salariés des entreprises artisanales franciliennes restent rela­tivement stables en 2012 avec 0,5 % de hausse par rapport à fin 2011, ce qui représente 1 600 salariés de plus pour le secteur. L’emploi dans l’artisanat résiste ainsi légèrement mieux à la morosité de la conjonc­ture que l’emploi francilien dans son ensemble. Celui­ci n’évolue en effet que de 0,1 % en un an, tous secteurs confondus. Parallèlement, la masse salariale aug mente de 2,5 % et le salaire moyen par tête de 1,9 %, se posi­tion nant ainsi légèrement au­dessus des évolutions enregistrées sur l’en­semble du secteur privé en Ile­de­France. Seule l’évolution du nombre d’établis ­se ments artisanaux se posi tionne en deçà des résultats observés sur l’ensemble du secteur privé puis qu’au global, les établissements aug men­tent de 0,5 % en un an tandis que leur nombre chute de 0,3 % dans l’artisanat.Parmi les établissements artisa­naux qui emploient, seule une partie possède réellement 10 salariés ou moins au 31 décembre 2012. Leur poids reste important par rapport à l’ensemble des entre prises inscrites

L’emploi des entreprises artisanales en Ile-de-France ­ Année 2012

Septembre2013

Masses salariales et effectifsdes entreprises artisanales en Ile­de­France

Masse salariale (1)

EffectifsEtablissements (2)

SMPTMasse salariale (1)

EffectifsEtablissements (2)

SMPTMasse salariale (1)

EffectifsEtablissements (2)

SMPTMasse salariale (1)

EffectifsEtablissements (2)

SMPTMasse salariale (1)

EffectifsEtablissements (2)

SMPTMasse salariale (1)

EffectifsEtablissements (2)

SMPT(1) en millions d’euros (2) nombre d’établissements d’au moins 1 salarié

2012 Évolution2012 / 2011

757 292 525 579 + 3,1 % 41 388 30 473 + 1,6 % 9 714 9 106 + 1,7 % 1 550 1 456 + 1,1 % 2 910 058 1 910 390 + 2,7 % 124 918 86 405 + 1,0 % 33 908 31 853 ­ 0,3 % 1 953 1 843 + 1,4 % 1 413 420 881 705 ­ 0,5 % 46 520 30 075 ­ 2,8 % 10 359 9 507 ­ 4,4 % 2 537 2 429 + 2,5 % 2 064 785 1 346 618 + 3,6 % 107 111 66 937 + 0,8 % 25 493 23 963 + 0,4 % 1 617 1 673 + 2,9 % 20 164 12 906 ­ 735 485 ­ 161 143 ­ ­ ­ ­ 7 165 719 4 677 199 + 2,5 % 320 672 214 375 + 0,5 % 79 635 74 572 - 0,3 % 1 875 1 819 + 1,9 %

Dont établissements de 10 salariés ou moins

Sources : Urssaf - Acoss

Alimentation

Batiment

Fabrication

Service

Non déterminé

TOTAL

au registre des métiers puisqu’il repré sente 66,9 % des effectifs.Le reste des établissements cor­res pond vraisemblablement à ceux usant du droit de suite ou inté grant des apprentis, associés ou membres de la famille dans leurs effectifs. Ces derniers ne sont en effet pas compta­bilisés lorsqu’il s’agit de déter mi ner le seuil de 10 salariés en ca drant la notion d’artisanat. Les évolutions observées sur l’ensemble des entreprises artisa­

nales sont similaires à celles déclinées sur les seuls établissements de moins de 10 personnes.

Des secteurs d’activité très hété rogènes.Les constats d’évolution réalisés sur l’ensemble des 4 grands secteurs d’activité artisanaux ne se déclinent pas de la même manière pour chacun d’entre eux. Ainsi, si l’emploi dans les métiers de l’alimentaire se porte mieux que la moyenne avec une hausse de 1,6 % des effectifs, le secteur de la fabrication accuse, lui, un repli sévère de ses effectifs (­ 2,8 %).Par ailleurs, le SMPT observé dans le secteur de la fabrication est près d’une fois et demie supérieur à ceux observés dans les autres secteurs. En 2012, il est de 2 537 € sur ce secteur alors qu’il s’établit autour de 1 580 € pour les entreprises artisanales de l’alimentation et des services.

La répartition des effectifs de l’arti­sanat par secteur d’activité laisse appa raître la prédominance du sec­teur de la construction puisqu’il Sources : Urssaf - Acoss

Répartition des effectifs de l’artisanat par secteur d’activité en 2012

Industries agro­alimentaires 22 839Commerce et restauration 18 284Construction 114 515Bâtiment autre 10 403Fabrication 46 520Commerce 24 927Activités de services administratifs et de soutien 29 231Services autres 52 953Non déterminé 1 000

Industriesagro­alimentaires

7,1 %Commerce et restauration

5,7 %

Services autres16,5 %

Commerce7,8 %

Activités de services administratifs et de soutien

9,1 %

Fabrication14,5 %

Bâtiment autre3,2 %

Construction35,7 %

Non déterminé0,3 %

Études et statistiquesServices aux cotisants Services aux partenaires Contrôle Ressources informatiques

131 000

132 000

133 000

134 000

135 000

136 000

137 000

138 000

139 000

140 000

141 000

1T08

2T08

3T08

4T08

1T09

2T09

3T09

4T09

1T10

2T10

3T10

4T10

1T11

2T11

3T11

4T11

1T12

2T12

3T12

4T12

Nom

bre

de S

alar

iés

Les annonces de réduction d’effectifs dans la banque d’investissement ont repris ces dernières semaines. L’an dernier, elles avaient également marqué l’actualité économique. Dans quelle mesure ces annonces ont pesé sur l’emploi dans le secteur bancaire en Ile-de-France ? Bilan de l’année 2012.

Le rythme des embauches affiche un repli de 21,5 % sur un an. Cette chute des embauches concerne particulièrement les CDI (- 40,8 %). Ce type de contrat représente, en 2012, 28,2 % du total des déclarations d’embauches. La baisse est, par contre, plus mesurée pour les CDD qu’ils soient inférieurs (- 9,7 %) ou supérieurs (- 10,3 %) à 31 jours. L’année 2012 marque de fait un changement important dans la répartition entre les contrats, alors qu’avant la structure était assez constante. Les CDD longs avec 29 % des embauches contractées en 2012 affichent un taux particulièrement important alors que ces contrats ne représentent que 12,8 % des embauches totales en Ile-de-France. La baisse salariale se couple donc d’une hausse de l’instabilité des contrats dans ce secteur.

■ Une baisse importante des effectifs

Contact : [email protected] (secteur Études Statistiques)

À propos des données…Les données proviennent des déclarations des employeurs du régime général. Les données sont « brutes » et non désaisonnalisées. Le champ de l’étude a été délimité par rapport aux définitions de la nomenclature NAF : 6419Z Autres intermédiations monétaires. Cette classe comprend les établissements bancaires, les caisses d’épargne et les caisses de crédit mutuel.Le SMPT est calculé en rapportant la masse salariale du trimestre à l’effectif moyen observé sur le trimestre, il est divisé par trois pour obtenir une grandeur mensuelle.

Com

120

- 05/

13

■ Une contraction du nombre d’embauches

Nombre de salariés

Masse salariale, effectifs, établissements et SMPT dans les établissements bancaires

(1) en millions d’euros.(2) comparaison sur la somme d’une année pour la masse salariale.(3) nombre d’établissements d’au moins 1 salarié.

À Fin4e trim. 2012

Évolution 4T12/4T11(2)

Évolution 4T12/4T08(2)

Masses salariales (1) 1 882 - 0,3 % + 12,0 %

Effectifs 134 768 - 1,9 % - 3,0 %

Établissements (3) 4 457 - 0,1 % + 8,4 %SMPT 4 623 + 3,4 % + 17,5 %

Sources : Urssaf - Acoss

Sources : Urssaf - Acoss

Fluctuation des effectifs salariés sur cinq ans

Sources : Urssaf - Acoss

Nombre de DPAE et comparaison de structure

Les établissements bancairesen Ile-de-France

Le baromètre sectorielMai2013

Les emplois dans les établissements bancaires représentent une part significative (3,0 % au 31 décembre 2012) de l’emploi francilien privé. Le nombre de salariés a chuté de 1,9 % dans ce secteur en un an, notamment à cause d’un dernier trimestre 2012 où près de 2 000 emplois ont été détruits.La baisse des effectifs ressentie date de la crise financière mondiale qui a commencé en juillet 2007, l’emploi avait fortement diminué avant de reprendre le chemin de la croissance durant l’année 2011. La nouvelle baisse du nombre de salariés a pour conséquence l’atteinte du niveau d’emploi le plus faible dans une période d’observation de dix ans. Les réductions d’effectifs ont donc touché logiquement les établissements d’Ile-de-France où se concentre la majorité des postes en banque d’investissement.La masse salariale de l’année 2012 se contracte de 0,3 % par rapport à l’année 2011 sous l’effet de la baisse des effectifs. Cette contraction est cependant moins marquée que celle des effectifs et conduit à l’augmentation du salaire moyen par tête (SMPT). Ce dernier progresse de 3,4 %, sur un an, dans le secteur, soit un niveau largement supérieur à celui obtenu dans le secteur privé (+ 1,8 %).

Établissements bancaires Poids en 2012 Poids en 2008 Poids secteur privé 2012

6 230

28,2%

38,1%

16,6%

6 400

29,0%

23,6%

12,8%

9 435

42,8%

38,4%

70,6%

-22,2%

Évolution 2012/2008

CDD Court (moins d’un mois)

CDD Long (plus d’un mois)

CDI

141 000

140 000

139 000

138 000

137 000

136 000

135 000

134 000

133 000

132 000

131 000

1T08

2T08

3T08

4T08

1T09

2T09

3T09

4T09

1T10

2T10

3T10

4T10

1T11

2T11

3T11

4T11

1T12

2T12

3T12

4T12

Bilan pour l’emploi 2012

Ce bilan annuel présente l’évolution de la conjoncture en Ile-de-France, à travers les évolutions de la masse salariale, de l’emploi et du salaire moyen, détaillées par secteur d’activité.

Les fiches sectorielles et thématiques

Ces fiches traitent des secteurs d’activité sensibles ou liés à l’activité économique de la région. Certaines présentent des bilans sur des thématiques comme les intentions d’embauche et les entrepreneurs.

Le baromètre sectoriel

Ce baromètre traite d’un domaine en fonction de l’actualité : industrie automobile, établissements bancaires.

Bilan Emploi en Bilan Emploi en IIlele--dede--FranceFranceAnnAnnéée 2012e 2012

En 2012, l’emploi dans le secteur privé en Ile-de-France résiste et continue même de progresser, àl’inverse de la situation nationale. L’augmentation des effectifs franciliens, comme celle de la masse salariale, a cependant été faible sur un an. Le premier semestre 2012 relativement dynamique a notamment compensé un deuxième semestre sans relief. L’année 2012 n’a ainsi pas permis de rattraper le niveau d’emploi atteint avant le début de la crise économique en 2008. Les évolutions apparaissent par ailleurs contrastées selon les secteurs et les départements.

Les principaux chiffres 2012

Juin 2013

1

Évolutions annuelles de l’emploi sur 5 ans

L’emploi moyen progresse faiblementLa région parisienne compte en moyenne 4,5 millions de salariés, soit 25,3 % des effectifs du secteur privé national. Cumulée sur l’année, la masse salariale francilienne totale s’élève à 166,5 milliards d’euros, soit 32,4 % de celle de la France.L’emploi moyen affiche une progression de 0,4 % sur un an. La comparaison au 31 décembre 2012 par rapport au 31 décembre 2011 demeure beaucoup moins favorable avec une augmentation de 0,2 %. Les entreprises de plus de 250 salariés ont vu leurs effectifs croître de façon relativement dynamique avec une hausse de 0,8 %. A l’inverse, les entreprises moyennes (50 à 249 salariés) perdent des emplois (- 0,7 %). La masse salariale progresse de 2,3 % en 2012 par rapport à 2011. L’Ile-de-France connaît une hausse comparable à celle relevée au niveau national (+ 2,2 %). Cette hausse demeure néanmoins modérée.Le salaire moyen par tête (SMPT) est en augmentation de 1,9 % en moyenne dans l’année. Globalement, les entreprises de plus de 50 salariés ont des SMPT qui augmentent plus rapidement que ceux des entreprises de moins de 50 employés.

Emploi régional par taille d’entreprise

Source Urssaf - Acoss

Évolution de l’emploi entre 2011 et 2012

Source Urssaf - Acoss

Source Urssaf - Acoss

-3,0%

-2,0%

-1,0%

0,0%

1,0%

2,0%

3,0%

2008 2009 2010 2011 2012

Région France> 0%

Evolution des effectifsde 2011 à 2012

Guyane

Martinique

+3,1%

+2,2%

+0,7%

-1,0%

Guadeloupe

Réunion

Bretagne

BasseNormandie

-0,7%

-0,2%

< -0,8%

Source : Urssaf - Acoss

FrancheComté

Alsace

Bourgogne

LorraineChampagne

Ardenne

HauteNormandie

Ile deFrance

Picardie

Nord-Pas-de-Calais

Pays dela Loire

Centre

-0,3%-1,0%

-1,3%

-0,5%-1,2%

-0,9%

-1,2%

-0,4%

+0,1% -0,7%

+0,4%

Midi-Pyrénées LanguedocRoussillon

Aquitaine

Provence-AlpesCôte d'Azur

Poitou

Charentes

Auvergne

Corse

+0,6%-0,2%

+0,4%

+0,4%-0,2%-1,1%

+0,3%

+1,2%

-0,5%Limousin Rhône-Alpes

-0,8% à 0%

Niveau 2012Évol.

2012/2011 (%)

Évol. 2012/2007

(%)Niveau 2012

Évol. 2012/2011

(%)

Évol. 2012/2007

(%)Masses salariales (en Mds €) 166,5 + 2,3 % + 11,1 % 513,5 + 2,2 % + 10,5 % Effectif moyen (en milliers) 4 519,8 + 0,4 % + 0,6 % 17 887,5 + 0,0 % - 0,7 % SMPT (par mois, en €) 3 069,2 + 1,9 % + 10,5 % 2 392,0 + 2,2 % + 11,2 % Nb d'établissements (en milliers) 387,4 + 1,0 % + 3,8 % 1 819,5 + 0,3 % + 2,9 %

Région France

Taille d'entrepriseNiveau 2012 (en milliers)

Évol. 2012/2011

(%)

Évol. 2012/2007

(%)

Niveau 2012 (en milliers)

Évol. 2012/2011

(%)

Évol. 2012/2007

(%)

Niveau 2012 (en milliers)

Évol. 2012/2011

(%)

Évol. 2012/2007

(%)1 à 9 salariés 290,1 + 0,9 % + 3,2 % 766,5 + 0,5 % + 2,0 % 2 150,6 + 1,3 % + 7,7 % 10 à 49 salariés 48,5 + 0,2 % + 3,3 % 787,0 + 0,2 % + 0,9 % 2 943,5 + 1,4 % + 7,6 % 50 à 249 salariés 16,3 + 1,1 % + 4,7 % 741,9 - 0,7 % + 0,2 % 3 448,8 + 2,4 % + 12,0 % plus de 250 salariés 32,6 + 3,5 % + 10,4 % 2 224,5 + 0,8 % + 0,1 % 3 303,7 + 2,1 % + 11,7 %

Salaire moyen mensuel par têteÉtablissements Effectif Moyen

Source Urssaf -Acoss

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2

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