Il MME La meg du CONTRE.DAMIERimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1909/B315556101... ·...

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11[5011NEMIEDT5 3 /60,6 6 mei6 a an Fronce et Colonies 5 fr. I 10 fr. j 20 fr. ntr.ger 9 fr. I 18 fr. I 36 fr. PETITES ANNONCES EN 3° PAGE Minera. 2 ligees 1 frana Il MME jjenliantelillenn InAnnts A. C. G1-. renill l'INterulloilEIN Donon Si l'isolement de notre C. G. T. dans 'Internationale ouvrière avait eu à être souligné, la Conférence des Secrétaires des centres syndicaux, qui vient d'avoir lieu à Varia, y eut largement pourvu. L' s Américan Federation of La- beur » elle-même, qui n'adhère pas m- oine officiellement au secrétariat inter- national, et dont le particularisme » est bim connu, a paru moins éloignée de la C. G. T. française da la conception générale commune à toutes les sections de l'Internationale ouvrière. La ma- nière de voir et l'attitude de son pré- sident Gompers, qui diffèrent si profon- dément de celles des autres représen- tants d'organisations syndicales, ont paru cependant moins., étranges que celles de nos propres représentants à In conférence. Il est vrai que Gompers est un représentant qualifié de la très grosse majorité des deux millions de travailleurs groupés dans l'A. F. L. même qu'on ait pu faire à son égard très légitimement, il a été pris au sé- rieux à cause de la grande force or- ganisée qui, demain, avec ou sans lui, rejoindra l'immense armée syndicale. Helàs t Que ne pouvions-nous, puis- qu'aussi bien nous avons, comme l'A. F. L., nos personnalités et nos métho- des extraordinaires, apporter, nous aussi, a l'armée internationale un con- tingent en rapport, pas même avec les autres contingents, mais du moins avec nos orgueilleuses prétentions ! Cela mmamurait permis d'opposer nos » à neiken des voisins sans nous aboie à recevoir une leçon. Je n'incrimine point notes repre- ndre/1e le camarade Yvetot. Il a le mé- rite de n'être pas un de ces fastidieux d'auditeurs que dans les bureaux de la rue Grange-aux-Belles. A la confé- rence, il « tiré parti de tous /es effets du syndicalisme anarchisant, sans re- courir aux insolences ridicules qu'af- fectait l'un de ses prédécesseurs dans ses rapports avec le secrétariat iriter- national. Il toit pu cependant éviter d'être en fâcheuse posture, sa position étant vraiment trop difficile. S'il avait pu, au moins, parler an none de la majorité réelle des syndi- qués français qu'il était censé repré- senter, il aurait trouvé dans la force d'avenir de la France syndicale de quoi compenser l'absence de force actuelle. Mais il ne représentait même pas le présent ! C'est Niel oui, dans l'état de notre organisation, a.réuni une majo- rité de fédérations renfermant une im- .portante majorité de syndiqués et qui, régulièrement, aurait dû assister b la conférence pour y donner le sentiment de cette majorité. Yvetot, mandataire de la minorité actuelle des syndiqués fiançais, espère sans doute que celle- ci deviendra majorité en France puis- qu'il a courageusemmt prédit qu'elle Sera Majorité dans le monde. En atten- dant l'accomplissement de ce mirach Ii a cru devoir mettre en lumière te' faits d'armes accomplis par les mino- ras agisantes et ce n'est pas de sa faute FEUILLETON DU 7 SEPTEMBRE 5909 67 Pauvres Petits! Par Jules LERMINA DEUXIEME PARTIE Les Exploits de Pierrot - IX °U L'ESPOIR VIENT A POLICITTE S'il avait bien souvent pensé à nous depuis ces trois mois, elle ne bavai es P. oublié, elle se rappelait sauves a °llté qu'il lui avait tereoignée sanie alors que la pauvre mei tombée sur la route, et pois Ils lui Man pmtieulierement re- ente, s'était d'avoir tenté de Par- Baie, maigre les gendarm.. nue tout à coup devant les yeux Pierrot apparaissait (4 nein.,d'ubsrdque ce n'était pas vrai, ne non d un reve. kne la grosse Hortense l'avait peuse Ii't sap en pleine lumière t il avait sée ficelle question leri ,Ckl. en la pente amie que rainer- me ait, ec dan, son Caser, dosa sa sine explosion, elle avait pane- . s'et - .Namd aléaancer. /gala, l n'a obtenu 'qu'un succès de sou- rires. La tactique que les goevernements s'est-il écrié. Mais qu'en sait-il ? Je reconnais qu'elle effraye les imbéciles et que ceux-ci sont légion. Au ter mai 1906, il y eut une foule de badauds épouvantés par des manifestes reten- tissants (et surtout par la presse na- tionaliste), qui se munirent de provi- sions comme à la veille de t'investis- sement de Paris. Le gouvernement rad la satisfaction de les rassurer par des mesures d'« ordre ». Quant à avoir en peur Yvetot est trop avisé pour y croire. Nous avons eu, depuis, une série d'ir exercices révolutionnaires »' dans lesquels les <s gymnastes » ont fourni. à la police l'occasion de leur casser la figure, mais je cherche en Vain dans mes souvenirs un signe de peur citez nos gouvernants. CenX-Ci connaissent fort bien notre faiblesse. M. Briand, qui a contribué à la fondation de la C. G. T., et qui, un des premiers, a opposé la grève générale expropria- trice à l'action politique, sait à quoi s'en tenir sur notre compte et n'a nul- lement besoin d'être rassuré. Il n'est pas douteux qu'il en serait autrement s'il n'avait pas affaire à des manchots ». L'estropié, chétif et misérable, peut d'une seule main, saboter les machi- nes, mettre le feu aux meules de paille et même aux maisons. Il s embêtera', ainsi cruellement les propriétaires et, également les locataires, mais, si nom- breux que puissent devenir les estro- piés saboteurs, ils ne feront pas de ca- tastrophes comparables à celles de la Martinique et de Messine. Après le sa- botage, plus aisément qu'après les se- cousses sismiques, la machine est ré- tablie, los maisons reconstruites le Capital est encore debout. lit ce Ca- pital, qui résiste aux cataclysmes les plus épouvantables aurait peur do quelques manchots ? En vérité c'est enfantin et combien nous comprenons que les délégués te l'Internationale ou- vrière aient souri avec indulgence. Ils ne veulent pas eux, que la alasse ouvrière s'ampute dialibérement. Ils es- timent suivant la farte imago de notre camarade Huelber (Autriche) que l'ac- tion politique et l'action syndicale sont les deux bras mis en mouvement par la volonté unique du prolétariat et qu'il faut agir avec lés deux bras Nous pen- sons avec eux que la bataille.ouvrière ne se livre pas avec une poignée d'es- tropiés et que pour manier le fusil ré- volutionnaire, nous nous servirons de nos deux bras. C'est seulement lorsque nous aurons des troupes organisées, disciplinées, conscientes de- leur mis- sion historique, engagées dons la dou- ble action politique et syndicale, que le Capital et le gonvernement, sua gel, darme, auront peur... Pas avant, ca- marade Yvetot ! P,M. ANDRE. xxxxxxXXgOrwagxxxgxsc NONSIIIPTINI l'ENNEMI En faveur du 5101 SOCIALISTE nem employés de la Poudrerie, so- cialistes et syndicalistes 0 50 Daubert, O Guilhemery, Toulouse__ 1 » Souscription faite à Castro 15 5e 13 » Listes précédentes 2./92 35 Total te ce jour 2.205 35 comme une courroie la retenait par le mi- lieu du corps, peu s'en était fallu qu'elle entraînât avec elle le shinx et son socle. Hertel-ne avait-elle compris ce qui ve- nait de se passer. Heureusement non, elle avait rasahana résulte de la petite, pro- testant cendre la longueur du spentecle et craignant de, dégâts que Mut lui aman fait payer à elle dreberd à orme de battes, elle avait flanqué tout le monde à la porte dare dure ! - Sale moucheron, hurla-traite en ar- rachant Pousette de la gaine, au risque de faire un véritable dégât L'émotion de Poucette avait été si vie- lente qu'elle avait presque perdu con- naiseance. et es fut un bonheur pour elle car la mégère supposa immédiatennera que la fatigue seule avait amené Piaci- dent. Du reste elle n'avait jamais vu Pierrot et rie pouvait concevoir à son égard aucun soupçon. Puis voyant Poneette pâle et incapable se se tete debout, elle eût peur_ nue par humanité. Mais la petite était de ben rapport, et sonnai que dirait Bani s'il lui arrivait ente., chose ? Maintenant amtout que Donenne navet la valeur qu'elle rende-cerdan elle aval/ terreur d'un accident Poucette an fond, n'était pas anssi ma- lade qu'elle le paraissait. Ben vite elle seuil repris sev hene, mais elle tmait quand même les yesx feenne, nnend pour eonserver le plue louglemps possi- ble l'image de eselui qui Mi était si mira- culeusement apparu, et puis peur se dem nec le temps de prena.rer urne réponse aux questions prévoyait. L'autre l'avait ete.adue Sur le lit, et, JOURNAL QUOYMBIEll DU PROLÉTARLAT Rédaction et Administration: 38, Rue Roquelaine, Toulouse 1:?,0°G-I DT Drave - as.reault - Dyeennees-Ortentalies - lioneese - Asseye. Coernee - Canial - Dot - nevainstanDeroesone - Landen - Januten-Itanceeneeen - intareseseltyx.néen A-taello =Innen - eCreortu -TesserunateGrareouêle - Areihee - rinauteuvrous. - Toulouse La meg du CONTRE.DAMIER Lm en Dépêche tt neatne. - Autrefois, anjourd'hui. - Quatre points innontastés. - Une enquête incomplète. - Nous demandons l'autopsie. - L'opinion des journaux. - Le journal de la Démocratie et la et Crois ri.- Tout poen° la justice. SHANCE APPROBATEUR Castres, 5 septembre. /eue menins bien loin des aneralana, af- firmations de la ir Dépêche » et des non moins énergique, denégetioce qu'elle oppo- sais à notre récit sur it l'assassinat de Ses- s.° Aines avoir ...te en rot-nuise sur la poé- sie la ang..or 6. Purim.. ta Mance de Nada., tre.aillezderua la tombe), evoie vern- ie /a déli.tese dm agents de la régie, et jeté repproce sur le o Midi Sueialiste » demande la lumière sur un fait horrible, elle nous dit aujourdnuo qu'elle ne nous suivra pont dans une di.umion, qui a peur but « d'aguicher le punie e. Croire et dire, que la camparee que noua menons pour savoir la venté sur la mort d'Alquier a pour but ,'d'aguicher le Pu- blic » c'est non sealement avoir perdu toute coustoisie, mais se.t allesi n'avoir plus le Selle de la justice rida drain Autrefois la Depilche » nu per.it pas de même qu'anjounebni. Autre, temps, autres meurs. Il y ri 7 ou 8 a., à Castres, des agoni de la régie, urinèrent eu pont de Pennhenery, une carriole conduite sper de braves tisserands de Valdarenque, lis te- rne 'âne qui Menait ces bran. Enns a lit villa la « Depéehe par /a plume de son eorrespondant de repeque. M,. ,tais. en- leva mutes l'acte des agents de la régie, et protesta nmtre la désinvolture avec Jaquette il oe servent de lears armes. Aujomcdnui la Dépêche » adore ce qu'elle a hram. C'est un signe des temps. Dona Sa- le., pour l'anneau d'or, pour en bijou, don- na sa b.u.té do eilembe et son amour ss. Gomme la belle de a l'Homme à la earabice » Darne Dépeche » aurait-elle donne sa foi du vrai, du droit, du juste 1' Nous croyons eneore que non. el que son servios de relui-, gcemente set mal tait. Pour être plus (esse et moins entrabra, serai de « Midi Socialiste » a cette fois battu le record. Que Dame Dépêche . mette pas en ./ère, elle prendra ea, revanche uns autre foie, si elle p.t. Si elle ne nous .suit pas dans la discus- sion, inest que la voie qu'elle a Prise est mauvaise. Ma lieu de faire comme nous, de reenereher la lumière, elle a mis un boisseau deseran. Cieet sens doute mens pénible, el ei.t plue courtisan. Notre sonfrere de Guets. à /a tristesse de voir seneornan Laisse pour compte. Nous lui préeentons nos' sicaires rameionanc.. Qu'il ne orale pas que s'ont par cruauté, que noce faisuus constater qu'il ne paria plus it eme seule déeharge des gendarmes e des chevrotines ss d'Aiguise, du e transfert » du nanurant de 'Intel â la gendarmerie » et dis e service de garde » nabli au chevet du moribond. Voilà quatre points qu'il ne conteste plus. Nous avons dit et promé la vérité Iseede.us; donc, voile au moins quatre faits reconnus. Et les reillenes, les sarcasmes de notre confrère se plaignant de voir nos articles place, en première page ne nom arrêteront pas it receeecher toute la vérité. Libre à lui de demander que les siens soient insérés entre deux annonces de .rhubarbe et de ca- cao. Chacun son goût. Pour nous, cela est de minin. importance. L'AUTOPSIE S'IMPOSE Nene avme dit t oAlqslee a bien eté tou- ché et In voiture lui est passée sur le erres so Nous maratenone direi. Nous basons notre affirmation sur le paroles du pauvre Alquier lsi.niénni. Mener ne reviendra pas, «est entendu. Donc, pour faire plaisir à t'en- quêteur de le « Dépêche », une autopsie s'impose. Celle-ci ne la demande pas. NOUS LA DEMANDONS. Neus ne craie... rien. Pour /es gendarmes nous avons commis une petite erreur, peu Grave, Mais la tilite de notre contradicteur nous oblige à dire que ce sont les gendarmes de Crama- Canardes et non de CumeneAude., auxquels Aigu', eut affaire. De eu lapsus Mugi.» il fait un point ca-pital, nous lui raccordons avec plaisir ee très légitime trioroln, n'ayant pas autre chose à sa dise...Mon, elle lui fai.it boire du vinaigre de Bulty. Pramette sursaute, et force lui Sol de renoncer à son immobilité. - Eh bien I qu'est-ce qu'il y e eu ? deuracala Idortense pas trop durement. - Je ne sais pas, répondit Pouce.. Mais tuent à rung, j'ai nanti mal à Peste- mari puis à la tête... il m'a semblé que j'étouffais__ et j'ai crié. Puis one ajouta eu regarele,nt la dom- nie - Il y avait si longtemps que fétes le-.dedans. M. Dalot avait dit de fermer à huit humus. L'autre etet bonne envie de la Offen Mais ee qu'elle disait était vrai, et il ne faisait pas bon de désobéir à, Balai - Avice-toi de Lui dire ça, nt-Me d'as air menaçant. - Oh ! il n'y a pas de danger, reprit Poueette, irompreraant qu'elle avait rasas- si de lui /antre la pure à l'oreille. Sertes ment, si vous étiez Sien gentille mes noie donneriez un rnore.nu de pain vu vous me laisseriez me conehee, car si vous voua lez que je puasse travailler demain, il faut que je reprenne des forces. Tont oda était dit sur an Mn min:filin nri-Pceitef, qui, chose muez curieuse, en impcealt a Hortense. Chee, cille aussi .s'était preduits ml eine, genere Depuis qu'elle Mait erre ,que Poemette n'était pas la fille de Balut, l'idée qu'elle appartenait à rune ronde ageuniitte -- surtout ausei que sa vie représentait urne fraie camuse - la rendait mei. bruta- le, . Elle n'avait pas respecté l'endeneen 414 la LE CHEVAL D'ALQUIER Nees avons dit aussi que leu gendramen evaient lalaué Alquier sur la route après sa chute la e Dépêche » entend que een, le Meulier alla avertir le dut.o. Mata qui arrêta le cheval pendant ce tempe S qui sceranara de la charrette if I, pape I Ce breve Sart» élan trop loin, niais cous quel- qu'un. Qui Y Si ce n'est les gendarme, t Car il fallait bien arreer le oh.gemest ? Et ils ne pouvaient pas le faire en gardant AIS uier. Donc, nous mainiecens nos affirmations et enterons qu'il ne nues cralte pas beauceen, car si le cencespondant de la ri Depêcbe », cl. Gau renseigne pour le reste ses lenteurs, corne il les reaseigne sur le cheval, et bien noue di.ns sans hésiter que les teneurs du journal de la Démon:Me sont très mal ren- seignés. Et pourquoi S Parce que M. Gan n'a pas vu le cheval-. Oeil ait vu un draya' conduit par des employés de la régie de Carcassonne, ',M- ètre, mais lins pas essai, juin./ conduismt la jardinière d'Alquier et blessée par les gen/armee Nous en appelons au témoignage dm agents de la régie de Carcasse.e et de M. le .ramissaire de police de Castres. La voilà bien l'erreur, et là apparaît, dans route sa médiocrité le velem de Denquee 'de notre ounce... M. nau a été manne ; nous ne Emrem pa, cru si crédule, vraiment 1051 de naïveté le rend intéressant, nais s'il n'a pas vu le vrai cheval, il n'a tan vair les trous des balles, el alors tous 100 calculs auxquels il s'est livre peur démon- trer Je nembre de balles qui ont été tire., sont des calculs imagi.ires. Pour on homme qui se plaint de n'avoir pas d'inraginetion avoues que end Ires fore et il a trouve le titre qu'il fallait â sen réait de la mort d'Algue. s ri Le Roman du contrebandier ». LA «DEPECHE ET LA CROIX» . M. Gary neus reproche de n'avoir pas été In premier journal qui parlât de cette as- fOire.e La Dépeinte », le e Télégramme ss, la aGroini» se sont occupée de la chose, dit-il, mais av. /es seras emmurante..m qu'elfe compoerait, dee-redire, dan, la penses de notre confrère, comme un fait-divers ordi- naire, une :auloilmane en panne, un chien éons.. Mi Bau Se trompe, nen n'avens pas dit que noue niera. I. nerniera è en par- le, mais nous avons dit que nous etio. 1m premiers à donner du détails et à de- mander des éclairciseements sur le drame. Il faut saisir la lifferenee, a puisque il nous lenelaoelata."d'atin, dil1r cc -» dit o9: ce CASTRES. - Emore M. Alquies - Je n'ai pas remarqué, peut-être pares gne je ne 1. ai In. assez Ms que les joueuse de 'la ré- gion, la st Mie du Tarn », excepté avait Mi un uni de blâme à l'adresse dos employés de la régie dont Ingres°nmn violente a amene la mort do M. Je veux bien crinre qu'ils enraient pas l'intention de le tuer qu'ils vol même été fora munis rie sa mort; tous os regrets introspectifs ne peuvent rendre M. Alquier Ft sa famille, ni excueer la neurone de ses meurtrie,. Ils sont coupa- ble, d'Imeroide par imprudence grave, et si nen n'étions pas totalement abêtis par rab axiome que le firmeon couvre l'argent, les ans.seure de M. Atelier seraient dent entre les mains de hi inétiée Elle n'y sapas de nrain morte, la s Croix » neje ninn mnnu pan dit pies qu'elle, pour- tant le journal de la Démonretie n'a pm proteste, n'a pas .rasedit ta,, Croix e. Ah 1 ci.t. que la Croix » joursol des curés, ee n'est pas l'ennemi ; l'ennemi dent le it Socialiste » dont la vente et /a valeur pore, test atteinte h /a boutique de la rue Bayant En voilb neurquoi, pour une misérable loca- tion de sous, Menem ss ne craint pa, d'atteindre, de 00000db 1m affIrmatioris vraies d'un confrère républicain faiblesse, mais elle respectait le million possible. -- Gest bon, a-elle d'un ton bourru. On va malles et puis ouste ! au lit ! avec ça que je ne suis pas .fatiguée me. - C'est vrai, fit Poucelo en coulant un regard sur la jupe de la femme, qu'elle mmit parfaitement vue étouffer des sons il eet venu tant, tant de monde._ j'osais preagne eliVie de les compter eN fais pus ça, erra Hortense avec un geste d'effroi. Ça ne te regarde pas. --Je sais hien, reprit Poneette, seule- ment ça aurait peut-dire fait plaisir à M. Beni de savoir. Hortense la remania brunnement, à plein, dans les yeux. Est-ce que par ha- sard cete moueheronne se neromeit d'el- le ? Maie Pramette avait pris un air si in- nurant que l'hypothèse ne pouvait te- nir debout, Mais Mos elle étant trop lens te ! Elle se comprenait donc rie.. Horten- se relesent E est certain mie Ballot le- voila tons les jours la même °heu, qu'il ne roderait pas à la na-remue, préférant elle, baller dans les celerets pendant qu'en senbinerait à lui gagner d. gros SOUS. il y aurait à drague séance mn jeli rabiot à s'appliquer. Que la petite parlât, pas bêtise on par manne et entait une affaire ratée. une :fois qu'eu treinait mayen o se la couler un peu douce, se .ran pan à faire._51 etait b.rincoup plus in- telligent de se faire, sans en assoie l'air, une coutpiLicane ni_betiolev La,' Cree peut dire ce qu'elle Soudes, .1a e Dep.. » no dira rien, ranis ne dee... rens pou d'ennuis de la soir lui baiser la mule. Gela dépendsa du Prix quel. p pv'- Ma. La vele bien l'ailiance. Quesed à lieue noes minez prenere horte de mus trenter sue le beireel clérical. Mais dam uce question pareille, il n'y a pas de clericaux, de républicaine, de socialistes, Y in in humains. qui ne veulent pas ers canardés coin., des lapins. /I y a dru hom- mes qui veulent la justice elle droit. Gau eet-11 content net. DUBREUIL. B. - Nes avens promis de nouveaux deads sis, renseignements attendus ne nous sent pas enture parvenus, mais nos lecteurs ne perdent ries pour attendre. Qu'ils achè- te. tous les joure le e Medi nocialiste ». V.D. Làpapulateon L'Ale:magne augmente sa dépopulation de plus Or 800.540 unités par an. Le Franre nn, par an, eine exenient de naissances de 20.000 mites environ. Ln rapprochement de cee chiffres caltons.. ..a-tir la situation déseetreuse qu'un avenir prochain nous réserve. Nous sommes menaces dans notre existence nationale et lions serions fatalement à la merci d'un voisin que sa P50- More de population obligera forcément à dé- border de es frontières. N.ue evcess indiqué s.v.t in mesures essaies pro.cs e- non pie à po.ser à une repopulation qu'aucune lei humaine se Peat reglem.ter - mais e eurayer la dépopula- tion Parmi ces mesures, nous Men counaissons pan de plus Équitable que celle d'une taxe sur 1ix celibataires âgée de plus de tees anis. que nuls reprenions peur la cen- teme fois, es projet que nos irateues ne- naissent ? Nous ayons dee signalé Plusimn fois tes agissements inadmissiblee d'un certain nombre noffniers et de medecins major,. ETRAPIGE AFFIU Le Vo i d'une Mitrahieuse reouveaux Détails UNE ENQUETE A CHALONS Châlons-sur-Marne, 6 Sepiailiare. Velei les résultats nurse enquête mem de nos confrères â faites à Chelonresureterne au met de cette intereesante effane Châlons-sur-Marne, 6 septembre. Une preiniere divergence de vum se pro- duit eue, l'autorité mititaire et le servie, de la Seretn generale, représentée par le commi.aire divisionnaire, M. Minutie et son adjoint. En effet, la Sûreté générale a ton- jours cernss que louai de la mittailleu. met été commis dam la nuit du 27 au 28 airat, c'est-à-dire plmieure jours apres la désertion censtatée As D.charrip. On eait que M. Moitié partant de cette hypothese a longuement cherché à retrouver en quelle maison de mi/talons lo déserteur aurait at- tendu le mornent propice à l'ace.apeisse- ment du méfait qu'il avait prés:né:dite Maie suivi que sel. son rapport de M. ie commandite Cadenne du 'dune batailler iraar.- gé d'une enguête speeiale à la .serne Cham ay, rauturité malaire se rallie à une sen lion tnato dirrég,ntr. Le vol aurait en commis par Deschamps In nuit merne de nt esertnen. Le /Benne, en effet, s'eet rendu aux ma- nrarivres le samedi et sont. Icee empertene au cane étaient, on le set, celles de l'annela eystenie, que l'un avait préparées dans la journée de vendredi. Peseme O par- tir tin ce moment i,r s'est plus oecupe des doux mitrailleuses, dites de SteMenne. Il resta bien au quartier quelque, homme, mais c'étaient don auxiliaires, des malukes dee conrele..ents, à qui naturellement né fut cannée amuira missi. epeciale, D'autre part, en rentrant den manuvres, le vendredi 21 août, les ofilestes et les. issu- - Econte, lui dit Hreiellse en la pre- nant sur ses genoux, si tu venx Ma, bien gentille, eh bien, je te promets que tir ne t'en repentiras po,. Poueette eut un air bien naif -- Qu'est-ce que vous appelez être bien gentille t - Voilà.., H faut me laisser moi-mer-ne raconter à Balut ce qui se sera passé danois juan-née,,, et sienne ne jamais me denmetir. - Mais pourtant el vous vuus lei:m- ei.. ---. Ça ne te regarde pas te dis-je, Dra- bord, tu n'y cannais rien. Et puis, tiens, par exerep. je suis bien sûre que tu ne diras pas des sottises, je te donner...- tiens, des confitures avec ton pain. Peueette se souciait bien des Confitures. Elle avait appris depuis longtemps à ne pou etre gourmande... mais elle n'en était pas Moins centente. Car, elle comprenait fort bien, maintenant, que le Magrie t la déseepérame ne troubleraient plus ses f La belle Hortense volait Balut et avait grande envb de cantine.. Poucette con- naissait assez Balut pour savoir qu'à la première dennuciation reconnue vraie il assener:sit sa douce managers enee plus parfaite désinvolture. Doue, Hortense se trouvait entre la Orange d'empoehes de bons petits béné- fices et cette demie les abattis cassée t et rie cette alternative, c'était elle, P00- celle, 51155e trouvait la mattreese. D'où subm et impravone de le-grosse femme. Poucette entendait Men prefiter de la einuient. 6110M1M0 PU DU Cift. Amenées 4. page, la lion Réclames 4. page, la Troisième page, la ligne.. Locale 3. page, la neuxieme page, la Peemiere page, ia EC HO S LES CRIENS DE CIPASSE, Combien-y cnienr de chasse ing Fenice? tee nombee ed diffisde ii deirrainier d'une feue preeide, nom les taxes emerripairs, les chiens sont iblenés ni draie catégories r chiens d'agrément ou de luxe et Miens de garde. l'ose tonnée nieraient. les citerne déciants répartissaient ainsi entre vos deur enégories 8e4.344 Mime, d'agrément Ni de hue et eenne chimes de gente. Coninien ce total de enrieen6 ounineneLel. olé chiens de chasse) L'aderirmietralion de "npriennime s'en Prée, curée de la question. Après raquette, elle s éta- bli que, deno les campagnes. bon nombre de chiera compris dans la seconde catégorie end emPlagés habitieellement è la chasse el q7ern pro, établie ainsi le nombre des chiens de eues., (11,11 tiers dr la pre7Iliê enter/orle (d'agrément ou de luxe:, sait 590.000 el .1.11 dixième ite la dearGIene catégorie (de assai" sait 264,0110. De ces calcuLe.il résulterait qu'il sues Fran. ce, 850ma50 chiens de chasse. Les chasseurs étant au nombre de 550,000, la me/penne partie d'entre eux ne purséde done qu'an seul Mie. Lai ROLES RENVERSES. Vendedin Idieba connu dans les enetraas de 1Vmensdeerf, sous le sobriquet de Vendelene-aud- Canards s., parce quit s'est spécialisé amas le vol deo canard, date les fermes, fat arrêté ers jours-ri, et amené devant le juge dinsienction;, A peine pnéré dans le cabinet du magistral, le voleur jugea dem coup (mei la rineatilerso pièce n'avait qa une inerte : la porte par tlif il remit d'entrer Vendelin la franchit, donna du dehors m,. lotie de do Tes yoga le inge et von greffier en- fermés, tendes que l'inculpé s'en allait henné queement, riant du Gon Wur Gentils de jouer. Le 7nagistrat cogna, tempêta, appel. Par fenêtre. Plusimed °niantes p.serent unte qu'il (dl délivré. Vendelirs, la seessinene quille, ares remis O voler les canards, en. no 7 fr. 2 ne ni 3 fs. 5 te. su 10 tr. mes, fatigués, ne senge'rent neer' rearasi isint ne s'inquiéta d. mitrailleuses. Et es l'est que le lendemain que le vol fut cons-tete Mais, en réalité, il ii.rardail Is pensieurs joues dédiss Quel qu'il en soie 115. Motté pousenit son enquete et se ref axe à menue confinera. Et enst berne à déclare- qu'on rasait Lot da supposer que le brigadier Gérard, ersubigeé à la chambre, se froment è un titre eineleen- que unie à ratage de la netrailen. 1010 été l'objet deme fressure distiqUirmeleo pour un banal manquement au senne, D'ailleurs, nenni 1m soldate dee., en- sa.es nom a ee nee.her rpfline 50t16e 'M- ulon, neer les autres, au centime. O :Med bien de comptione direste avec Desehonepan On attend le robais du génerel Darien commandant le Bilse alepo ea gai est mine- kenext à Verden. .rviee ne la Seine e. aurait Senti Suivant certains bruits " courent, le que Deechamps sena% rendu empatte de vols à POgard do, pilds'esice deux nourneudes. On compte, parafeil, se baser sur ce mat de droit corouron poire demander lezesein tienne Den-hampe â IdENQUETE comeres Dralens.ar-inarne, 6 .pterabre. L'enquête sur le vei de ta rait-roi/lens° et sur La désertion du raserai Liescharapa avait Olé intercempue eter emmielle, a re- pris ee matin. M .Mottie commessaire dieroiramaire, cran de la mus brigade mobile de Clelens-sur- Marne, qui 15 Mente s'est surtout appliqué à déterminer te /minent ex.t auquel le vol a été commis. D. deux versionu en presnen, À semble nue celle entant à la mn du 27 na 28 août - Si VOUS, vonteu être bonne avee moi, fil-elle nettement, je neni tue ce que rama voudrez- Hortense eût Ulismsain de Mie. - A ton Saar sois bien raisonmehle, dît- elle, et je te promets bien que ta seras contente-, et maintenant fent. /a etni nette. Elle devenait exquise, l'ancienne tor- tionnaire, et Pouceto déjà se deeneedait combien de temps eela durerait. Mers il fallait ers profiter. Pour la première fois depuis bien Long- temps, Porentte put manger tranquille:- rident ; d'ailleurs elle n'aeret jamais faim, ayant l'estera. serré par la craigne da quelque brutalité. Mais, cette fuis Hortense n'eut pas mi mob grnsener, ne lança pas une giffleas un coup de pied. C'était meoeille. - Savouraun ce que je voudrais Me, dit I la petite après avine dépeehé la se- eride tartine rasse lui avait actenyé gé- néroilA de sa patronne, mon pinne MAI désir, c'est de dormir bien teanquille._ et sans être attachée. Vous sompreme bien que je n'ai pas envie de inc sauver, pine- raie vous serez banne oser moi. Et tuai, on ne peut pas dormir sans avoir mal. Hum ! ceci sentit plu, grave. 11 eut vrai que Anglet n'avait pas renounele ses or- dres pour le séjour rime la bmnagne, mais il avait terrains une telle pour que la petite s'évade L ! Si c'était son iren qu'elle fut attachée, il ferait che boume Pourtant Innenuc étan hien décidée cebiece Par quelquce eurnplaisannue la eareplicile de Pmeette. +Ware. Seuxleme Année. 259,- Mara 7 Septembre ISM Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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11[5011NEMIEDT53 /60,6 6 mei6 a an

Fronce et Colonies 5 fr. I 10 fr. j 20 fr.ntr.ger 9 fr. I 18 fr. I 36 fr.

PETITES ANNONCES EN 3° PAGEMinera. 2 ligees 1 frana

Il MME

jjenliantelillenn InAnnts

A. C. G1-.

renill l'INterulloilEIN DononSi l'isolement de notre C. G. T. dans

'Internationale ouvrière avait eu à êtresouligné, la Conférence des Secrétairesdes centres syndicaux, qui vient d'avoirlieu à Varia, y eut largement pourvu.

L' s Américan Federation of La-beur » elle-même, qui n'adhère pas m-oine officiellement au secrétariat inter-national, et dont le particularisme »est bim connu, a paru moins éloignéede la C. G. T. française da la conceptiongénérale commune à toutes les sectionsde l'Internationale ouvrière. La ma-nière de voir et l'attitude de son pré-sident Gompers, qui diffèrent si profon-dément de celles des autres représen-tants d'organisations syndicales, ontparu cependant moins., étranges quecelles de nos propres représentants àIn conférence. Il est vrai que Gompersest un représentant qualifié de la trèsgrosse majorité des deux millions detravailleurs groupés dans l'A. F. L.même qu'on ait pu faire à son égardtrès légitimement, il a été pris au sé-rieux à cause de la grande force or-ganisée qui, demain, avec ou sans lui,rejoindra l'immense armée syndicale.

Helàs t Que ne pouvions-nous, puis-qu'aussi bien nous avons, comme l'A.F. L., nos personnalités et nos métho-des extraordinaires, apporter, nousaussi, a l'armée internationale un con-tingent en rapport, pas même avec lesautres contingents, mais du moins avecnos orgueilleuses prétentions ! Celammamurait permis d'opposer nos

» à neiken des voisins sans nousaboie à recevoir une leçon.

Je n'incrimine point notes repre-ndre/1e le camarade Yvetot. Il a le mé-rite de n'être pas un de ces fastidieuxd'auditeurs que dans les bureaux de

la rue Grange-aux-Belles. A la confé-rence, il « tiré parti de tous /es effetsdu syndicalisme anarchisant, sans re-courir aux insolences ridicules qu'af-fectait l'un de ses prédécesseurs dansses rapports avec le secrétariat iriter-national. Il toit pu cependant éviterd'être en fâcheuse posture, sa positionétant vraiment trop difficile.

S'il avait pu, au moins, parler annone de la majorité réelle des syndi-qués français qu'il était censé repré-senter, il aurait trouvé dans la forced'avenir de la France syndicale de quoicompenser l'absence de force actuelle.Mais il ne représentait même pas leprésent ! C'est Niel oui, dans l'état denotre organisation, a.réuni une majo-rité de fédérations renfermant une im-.portante majorité de syndiqués et qui,régulièrement, aurait dû assister b laconférence pour y donner le sentimentde cette majorité. Yvetot, mandatairede la minorité actuelle des syndiquésfiançais, espère sans doute que celle-ci deviendra majorité en France puis-qu'il a courageusemmt prédit qu'elleSera Majorité dans le monde. En atten-dant l'accomplissement de ce mirachIi a cru devoir mettre en lumière te'faits d'armes accomplis par les mino-ras agisantes et ce n'est pas de sa faute

FEUILLETON DU 7 SEPTEMBRE 5909 67

Pauvres Petits!Par Jules LERMINA

DEUXIEME PARTIELes Exploits de Pierrot

- IX°U L'ESPOIR VIENT A POLICITTES'il avait bien souvent pensé à nous

depuis ces trois mois, elle ne bavaies P. oublié, elle se rappelait sauvesa °llté qu'il lui avait tereoignée sanie

alors que la pauvre meitombée sur la route, et pois

Ils lui Man pmtieulierement re-ente, s'était d'avoir tenté de Par-Baie, maigre les gendarm..nue tout à coup devant les yeuxPierrot apparaissait

(4 nein.,d'ubsrdque ce n'était pas vrai,ne non d un reve.

kne la grosse Hortense l'avait peuseIi't sap en pleine lumière t il avaitsée ficelle question leri

,Ckl. en la pente amie que rainer-me ait,

ec dan, son Caser, dosa sasine explosion, elle avait pane-. s'et- .Namd aléaancer. /gala,

l n'a obtenu 'qu'un succès de sou-rires.

La tactique que les goevernementss'est-il écrié. Mais qu'en sait-il ? Jereconnais qu'elle effraye les imbécileset que ceux-ci sont légion. Au ter mai1906, il y eut une foule de badaudsépouvantés par des manifestes reten-tissants (et surtout par la presse na-tionaliste), qui se munirent de provi-sions comme à la veille de t'investis-sement de Paris. Le gouvernement radla satisfaction de les rassurer par desmesures d'« ordre ». Quant à avoir enpeur Yvetot est trop avisé pour y croire.Nous avons eu, depuis, une séried'ir exercices révolutionnaires

»'dans

lesquels les <s gymnastes » ont fourni.à la police l'occasion de leur casser lafigure, mais je cherche en Vain dansmes souvenirs un signe de peur citeznos gouvernants. CenX-Ci connaissentfort bien notre faiblesse. M. Briand,qui a contribué à la fondation de laC. G. T., et qui, un des premiers, aopposé la grève générale expropria-trice à l'action politique, sait à quois'en tenir sur notre compte et n'a nul-lement besoin d'être rassuré.

Il n'est pas douteux qu'il en seraitautrement s'il n'avait pas affaire à des

manchots ».L'estropié, chétif et misérable, peut

d'une seule main, saboter les machi-nes, mettre le feu aux meules de pailleet même aux maisons. Il s embêtera',ainsi cruellement les propriétaires et,également les locataires, mais, si nom-breux que puissent devenir les estro-piés saboteurs, ils ne feront pas de ca-tastrophes comparables à celles de laMartinique et de Messine. Après le sa-botage, plus aisément qu'après les se-cousses sismiques, la machine est ré-tablie, los maisons reconstruites leCapital est encore debout. lit ce Ca-pital, qui résiste aux cataclysmes lesplus épouvantables aurait peur doquelques manchots ? En vérité c'estenfantin et combien nous comprenonsque les délégués te l'Internationale ou-vrière aient souri avec indulgence.

Ils ne veulent pas eux, que la alasseouvrière s'ampute dialibérement. Ils es-timent suivant la farte imago de notrecamarade Huelber (Autriche) que l'ac-tion politique et l'action syndicale sontles deux bras mis en mouvement parla volonté unique du prolétariat et qu'ilfaut agir avec lés deux bras Nous pen-sons avec eux que la bataille.ouvrièrene se livre pas avec une poignée d'es-tropiés et que pour manier le fusil ré-volutionnaire, nous nous servirons denos deux bras. C'est seulement lorsquenous aurons des troupes organisées,disciplinées, conscientes de- leur mis-sion historique, engagées dons la dou-ble action politique et syndicale, quele Capital et le gonvernement, sua gel,darme, auront peur... Pas avant, ca-marade Yvetot !

P,M. ANDRE.xxxxxxXXgOrwagxxxgxsc

NONSIIIPTINI l'ENNEMIEn faveur du 5101 SOCIALISTEnem employés de la Poudrerie, so-

cialistes et syndicalistes 0 50Daubert, O Guilhemery, Toulouse__ 1 »Souscription faite à Castro 15 5e

13 »Listes précédentes 2./92 35

Total te ce jour 2.205 35

comme une courroie la retenait par le mi-lieu du corps, peu s'en était fallu qu'elleentraînât avec elle le shinx et son socle.

Hertel-ne avait-elle compris ce qui ve-nait de se passer. Heureusement non, elleavait rasahana résulte de la petite, pro-testant cendre la longueur du spentecleet craignant de, dégâts que Mut luiaman fait payer à elle dreberd à ormede battes, elle avait flanqué tout le mondeà la porte dare dure !

- Sale moucheron, hurla-traite en ar-rachant Pousette de la gaine, au risquede faire un véritable dégât

L'émotion de Poucette avait été si vie-lente qu'elle avait presque perdu con-naiseance. et es fut un bonheur pour ellecar la mégère supposa immédiatenneraque la fatigue seule avait amené Piaci-dent. Du reste elle n'avait jamais vuPierrot et rie pouvait concevoir à sonégard aucun soupçon.

Puis voyant Poneette pâle et incapablese se tete debout, elle eût peur_ nuepar humanité. Mais la petite était de benrapport, et sonnai que dirait Bani s'il luiarrivait ente., chose ?

Maintenant amtout que Donenne navetla valeur qu'elle rende-cerdan elle aval/terreur d'un accident

Poucette an fond, n'était pas anssi ma-lade qu'elle le paraissait. Ben vite elleseuil repris sev hene, mais elle tmaitquand même les yesx feenne, nnendpour eonserver le plue louglemps possi-ble l'image de eselui qui Mi était si mira-culeusement apparu, et puis peur se demnec le temps de prena.rer urne réponse auxquestions prévoyait.

L'autre l'avait ete.adue Sur le lit, et,

JOURNAL QUOYMBIEll DU PROLÉTARLAT

Rédaction et Administration: 38, Rue Roquelaine, Toulouse

1:?,0°G-I DTDrave - as.reault - Dyeennees-Ortentalies - lioneese - Asseye.Coernee - Canial - Dot - nevainstanDeroesone - Landen - Januten-Itanceeneeen - intareseseltyx.néenA-taello =Innen - eCreortu -TesserunateGrareouêle - Areihee - rinauteuvrous. - Toulouse

La meg du CONTRE.DAMIERLm en Dépêche tt neatne. - Autrefois, anjourd'hui. - Quatre points

innontastés. - Une enquête incomplète. - Nous demandonsl'autopsie. - L'opinion des journaux. - Le journal de la

Démocratie et la et Crois ri.- Tout poen° la justice.

SHANCE APPROBATEURCastres, 5 septembre.

/eue menins bien loin des aneralana, af-firmations de la ir Dépêche » et des nonmoins énergique, denégetioce qu'elle oppo-sais à notre récit sur it l'assassinat de Ses-s.°

Aines avoir ...te en rot-nuise sur la poé-sie la ang..or 6. Purim.. ta Mance deNada., tre.aillezderua la tombe), evoie vern-ie /a déli.tese dm agents de la régie, etjeté repproce sur le o Midi Sueialiste »demande la lumière sur un fait horrible, ellenous dit aujourdnuo qu'elle ne nous suivrapont dans une di.umion, qui a peur but« d'aguicher le punie e.

Croire et dire, que la camparee que nouamenons pour savoir la venté sur la mortd'Alquier a pour but ,'d'aguicher le Pu-blic » c'est non sealement avoir perdu toutecoustoisie, mais se.t allesi n'avoir plus leSelle de la justice rida drain

Autrefois la Depilche » nu per.it pas demême qu'anjounebni. Autre, temps, autresmeurs. Il y ri 7 ou 8 a., à Castres, desagoni de la régie, urinèrent eu pont dePennhenery, une carriole conduite sper debraves tisserands de Valdarenque, lis te-rne 'âne qui Menait ces bran. Enns a litvilla la « Depéehe par /a plume de soneorrespondant de repeque. M,. ,tais. en-leva mutes l'acte des agents de la régie, etprotesta nmtre la désinvolture avec Jaquetteil oe servent de lears armes.

Aujomcdnui la Dépêche » adore ce qu'ellea hram. C'est un signe des temps. Dona Sa-le., pour l'anneau d'or, pour en bijou, don-na sa b.u.té do eilembe et son amour ss.Gomme la belle de a l'Homme à la earabice »

Darne Dépeche » aurait-elle donne sa foidu vrai, du droit, du juste 1' Nous croyonseneore que non. el que son servios de relui-,gcemente set mal tait.

Pour être plus (esse et moins entrabra,serai de « Midi Socialiste » a cette fois battule record. Que Dame Dépêche . mettepas en ./ère, elle prendra ea, revanche unsautre foie, si elle p.t.

Si elle ne nous .suit pas dans la discus-sion, inest que la voie qu'elle a Prise estmauvaise. Ma lieu de faire comme nous, dereenereher la lumière, elle a mis un boisseaudeseran. Cieet sens doute mens pénible, elei.t plue courtisan.

Notre sonfrere de Guets. à /a tristessede voir seneornan Laisse pour compte. Nouslui préeentons nos' sicaires rameionanc..Qu'il ne orale pas que s'ont par cruauté, quenoce faisuus constater qu'il ne paria plusit eme seule déeharge des gendarmes e des

chevrotines ss d'Aiguise, du e transfert »du nanurant de 'Intel â la gendarmerie »et dis e service de garde » nabli au chevetdu moribond. Voilà quatre points qu'il neconteste plus. Nous avons dit et promé lavérité Iseede.us; donc, voile au moins quatrefaits reconnus.

Et les reillenes, les sarcasmes de notreconfrère se plaignant de voir nos articlesplace, en première page ne nom arrêterontpas it receeecher toute la vérité. Libre àlui de demander que les siens soient insérésentre deux annonces de .rhubarbe et de ca-cao. Chacun son goût. Pour nous, cela estde minin. importance.

L'AUTOPSIE S'IMPOSENene avme dit t oAlqslee a bien eté tou-

ché et In voiture lui est passée sur le erres soNous maratenone direi. Nous basons

notre affirmation sur le paroles du pauvreAlquier lsi.niénni. Mener ne reviendra pas,«est entendu. Donc, pour faire plaisir à t'en-quêteur de le « Dépêche », une autopsies'impose. Celle-ci ne la demande pas. NOUSLA DEMANDONS. Neus ne craie... rien.

Pour /es gendarmes nous avons commisune petite erreur, peu Grave, Mais latilite de notre contradicteur nous oblige àdire que ce sont les gendarmes de Crama-Canardes et non de CumeneAude., auxquelsAigu', eut affaire. De eu lapsus Mugi.»il fait un point ca-pital, nous lui raccordonsavec plaisir ee très légitime trioroln,

n'ayant pas autre chose à sa dise...Mon,elle lui fai.it boire du vinaigre de Bulty.

Pramette sursaute, et force lui Sol derenoncer à son immobilité.

- Eh bien I qu'est-ce qu'il y e eu ?deuracala Idortense pas trop durement.

- Je ne sais pas, répondit Pouce..Mais tuent à rung, j'ai nanti mal à Peste-mari puis à la tête... il m'a semblé quej'étouffais__ et j'ai crié.

Puis one ajouta eu regarele,nt la dom-nie

- Il y avait si longtemps que fétesle-.dedans. M. Dalot avait dit de fermerà huit humus.

L'autre etet bonne envie de la OffenMais ee qu'elle disait était vrai, et il nefaisait pas bon de désobéir à, Balai

- Avice-toi de Lui dire ça, nt-Me d'asair menaçant.

- Oh ! il n'y a pas de danger, repritPoueette, irompreraant qu'elle avait rasas-si de lui /antre la pure à l'oreille. Sertesment, si vous étiez Sien gentille mes noiedonneriez un rnore.nu de pain vu vousme laisseriez me conehee, car si vous voualez que je puasse travailler demain, ilfaut que je reprenne des forces.

Tont oda était dit sur an Mn min:filinnri-Pceitef, qui, chose muez curieuse, enimpcealt a Hortense.

Chee, cille aussi .s'était preduits ml eine,genere

Depuis qu'elle Mait erre ,que Poemetten'était pas la fille de Balut, l'idée qu'elleappartenait à rune ronde ageuniitte --surtout ausei que sa vie représentait urnefraie camuse - la rendait mei. bruta-le,

. Elle n'avait pas respecté l'endeneen 414 la

LE CHEVAL D'ALQUIERNees avons dit aussi que leu gendramenevaient lalaué Alquier sur la route après

sa chute la e Dépêche » entend que een,le Meulier alla avertir le dut.o. Mataqui arrêta le cheval pendant ce tempe S quisceranara de la charrette if I, pape I Cebreve Sart» élan trop loin, niais cous quel-qu'un. Qui Y Si ce n'est les gendarme, tCar il fallait bien arreer le oh.gemest ?Et ils ne pouvaient pas le faire en gardantAIS uier.

Donc, nous mainiecens nos affirmations etenterons qu'il ne nues cralte pas beauceen,car si le cencespondant de la ri Depêcbe »,cl. Gau renseigne pour le reste ses lenteurs,corne il les reaseigne sur le cheval, et biennoue di.ns sans hésiter que les teneurs dujournal de la Démon:Me sont très mal ren-seignés. Et pourquoi S Parce que M. Gann'a pas vu le cheval-.

Oeil ait vu un draya' conduit par desemployés de la régie de Carcassonne, ',M-ètre, mais lins pas essai, juin./ conduismtla jardinière d'Alquier et blessée par lesgen/armee Nous en appelons au témoignagedm agents de la régie de Carcasse.e et deM. le .ramissaire de police de Castres.

La voilà bien l'erreur, et là apparaît, dansroute sa médiocrité le velem de Denquee

'de notre ounce...M. nau a été manne ; nous ne Emrem

pa, cru si crédule, vraiment 1051 de naïvetéle rend intéressant,

nais s'il n'a pas vu le vrai cheval, il n'atan vair les trous des balles, el alors tous100 calculs auxquels il s'est livre peur démon-trer Je nembre de balles qui ont été tire.,sont des calculs imagi.ires.

Pour on homme qui se plaint de n'avoirpas d'inraginetion avoues que end Iresfore et il a trouve le titre qu'il fallait â senréait de la mort d'Algue. s ri Le Roman ducontrebandier ».

LA «DEPECHE ET LA CROIX» .

M. Gary neus reproche de n'avoir pas étéIn premier journal qui parlât de cette as-fOire.e La Dépeinte », le e Télégramme ss, laaGroini» se sont occupée de la chose, dit-il,mais av. /es seras emmurante..m qu'elfecompoerait, dee-redire, dan, la penses denotre confrère, comme un fait-divers ordi-naire, une :auloilmane en panne, un chienéons..

Mi Bau Se trompe, nen n'avens pas ditque noue niera. I. nerniera è en par-le, mais nous avons dit que nous etio.1m premiers à donner du détails et à de-mander des éclairciseements sur le drame.Il faut saisir la lifferenee, a puisque il nous

lenelaoelata."d'atin,dil1rcc

-» dito9:ce

CASTRES. - Emore M. Alquies - Je n'aipas remarqué, peut-être pares gne je ne 1.ai In. assez Ms que les joueuse de 'la ré-gion, la st Mie du Tarn », excepté avait Miun uni de blâme à l'adresse dos employés dela régie dont Ingres°nmn violente a amenela mort do M. Je veux bien crinrequ'ils enraient pas l'intention de le tuerqu'ils vol même été fora munis rie sa mort;tous os regrets introspectifs ne peuventrendre M. Alquier Ft sa famille, ni excueer laneurone de ses meurtrie,. Ils sont coupa-ble, d'Imeroide par imprudence grave, et sinen n'étions pas totalement abêtis par rabaxiome que le firmeon couvre l'argent, lesans.seure de M. Atelier seraient dent entreles mains de hi inétiée

Elle n'y sapas de nrain morte, la s Croix »neje ninn mnnu pan dit pies qu'elle, pour-tant le journal de la Démonretie n'a pmproteste, n'a pas .rasedit ta,, Croix e. Ah 1ci.t. que la Croix » joursol des curés, een'est pas l'ennemi ; l'ennemi dent le itSocialiste » dont la vente et /a valeur pore,test atteinte h /a boutique de la rue BayantEn voilb neurquoi, pour une misérable loca-tion de sous, Menem ss ne craint pa,d'atteindre, de 00000db 1m affIrmatioris

vraies d'un confrère républicain

faiblesse, mais elle respectait le millionpossible.

-- Gest bon, a-elle d'un ton bourru.On va malles et puis ouste ! au lit ! avecça que je ne suis pas .fatiguéeme.

- C'est vrai, fit Poucelo en coulant unregard sur la jupe de la femme, qu'ellemmit parfaitement vue étouffer des sonsil eet venu tant, tant de monde._ j'osaispreagne eliVie de les compter

eN fais pus ça, erra Hortense avec ungeste d'effroi. Ça ne te regarde pas.

--Je sais hien, reprit Poneette, seule-ment ça aurait peut-dire fait plaisir à M.Beni de savoir.

Hortense la remania brunnement, àplein, dans les yeux. Est-ce que par ha-sard cete moueheronne se neromeit d'el-le ?

Maie Pramette avait pris un air si in-nurant que l'hypothèse ne pouvait te-nir debout, Mais Mos elle étant trop lenste !

Elle se comprenait donc rie.. Horten-se relesent E est certain mie Ballot le-voila tons les jours la même °heu, qu'ilne roderait pas à la na-remue, préférantelle, baller dans les celerets pendantqu'en senbinerait à lui gagner d. grosSOUS.

il y aurait à drague séance mnjeli rabiot à s'appliquer.Que la petite parlât, pas bêtise on par

manne et entait une affaire ratée.une :fois qu'eu treinait mayeno se la couler un peu douce, se .ranpan à faire._51 etait b.rincoup plus in-

telligent de se faire, sans en assoie l'air,une coutpiLicane ni_betiolev

La,' Cree peut dire ce qu'elle Soudes, .1ae Dep.. » no dira rien, ranis ne dee...rens pou d'ennuis de la soir lui baiser lamule. Gela dépendsa du Prix quel. p pv'-Ma. La vele bien l'ailiance.

Quesed à lieue noes minez prenere hortede mus trenter sue le beireel clérical. Maisdam uce question pareille, il n'y a pas declericaux, de républicaine, de socialistes,Y in in humains. qui ne veulent pas erscanardés coin., des lapins. /I y a dru hom-mes qui veulent la justice elle droit.

Gau eet-11 contentnet. DUBREUIL.

B. - Nes avens promis de nouveauxdeads sis, renseignements attendus ne noussent pas enture parvenus, mais nos lecteursne perdent ries pour attendre. Qu'ils achè-te. tous les joure le e Medi nocialiste ».

V.D.

LàpapulateonL'Ale:magne augmente sa dépopulation de

plus Or 800.540 unités par an. Le Franre nn,par an, eine exenient de naissances de20.000 mites environ.

Ln rapprochement de cee chiffres caltons....a-tir la situation déseetreuse qu'un avenirprochain nous réserve. Nous sommes menacesdans notre existence nationale et lions serionsfatalement à la merci d'un voisin que sa P50-More de population obligera forcément à dé-border de es frontières.

N.ue evcess indiqué s.v.t in mesuresessaies pro.cs e- non pie à po.ser à unerepopulation qu'aucune lei humaine se Peatreglem.ter - mais e eurayer la dépopula-tion

Parmi ces mesures, nous Men counaissonspan de plus Équitable que celle d'une taxe sur1ix celibataires âgée de plus de tees anis.

que nuls reprenions peur la cen-teme fois, es projet que nos irateues ne-naissent ?

Nous ayons dee signalé Plusimn fois tesagissements inadmissiblee d'un certain nombrenoffniers et de medecins major,.

ETRAPIGE AFFIU

Le Vo i d'une Mitrahieusereouveaux Détails

UNE ENQUETE A CHALONSChâlons-sur-Marne, 6 Sepiailiare.

Velei les résultats nurse enquête mem denos confrères â faites à Chelonresureterneau met de cette intereesante effane

Châlons-sur-Marne, 6 septembre.Une preiniere divergence de vum se pro-

duit eue, l'autorité mititaire et le servie,de la Seretn generale, représentée par lecommi.aire divisionnaire, M. Minutie et sonadjoint. En effet, la Sûreté générale a ton-jours cernss que louai de la mittailleu.met été commis dam la nuit du 27 au 28airat, c'est-à-dire plmieure jours apres ladésertion censtatée As D.charrip. On eaitque M. Moitié partant de cette hypothese alonguement cherché à retrouver en quellemaison de mi/talons lo déserteur aurait at-tendu le mornent propice à l'ace.apeisse-ment du méfait qu'il avait prés:né:dite

Maie suivi que sel. son rapport de M. iecommandite Cadenne du 'dune batailler iraar.-gé d'une enguête speeiale à la .serne Chamay, rauturité malaire se rallie à une senlion tnato dirrég,ntr.

Le vol aurait en commis par DeschampsIn nuit merne de nt esertnen.

Le /Benne, en effet, s'eet rendu aux ma-nrarivres le samedi et sont. Iceeempertene au cane étaient, on le set, cellesde l'annela eystenie, que l'un avait préparéesdans la journée de vendredi. Peseme O par-tir tin ce moment i,r s'est plus oecupe desdoux mitrailleuses, dites de SteMenne. Ilresta bien au quartier quelque, homme,mais c'étaient don auxiliaires, des malukesdee conrele..ents, à qui naturellement néfut cannée amuira missi. epeciale,

D'autre part, en rentrant den manuvres,le vendredi 21 août, les ofilestes et les. issu-

- Econte, lui dit Hreiellse en la pre-nant sur ses genoux, si tu venx Ma, biengentille, eh bien, je te promets que tir net'en repentiras po,.

Poueette eut un air bien naif-- Qu'est-ce que vous appelez être bien

gentille t- Voilà.., H faut me laisser moi-mer-ne

raconter à Balut ce qui se sera passédanois juan-née,,, et sienne ne jamaisme denmetir.

- Mais pourtant el vous vuus lei:m-ei..

---. Ça ne te regarde pas te dis-je, Dra-bord, tu n'y cannais rien. Et puis, tiens,par exerep. je suis bien sûre que tu nediras pas des sottises, je te donner...-tiens, des confitures avec ton pain.

Peueette se souciait bien des Confitures.Elle avait appris depuis longtemps à nepou etre gourmande... mais elle n'en étaitpas Moins centente. Car, elle comprenaitfort bien, maintenant, que le Magrie tla déseepérame ne troubleraient plus sesf

La belle Hortense volait Balut et avaitgrande envb de cantine.. Poucette con-naissait assez Balut pour savoir qu'à lapremière dennuciation reconnue vraie ilassener:sit sa douce managers eneeplus parfaite désinvolture.

Doue, Hortense se trouvait entre laOrange d'empoehes de bons petits béné-fices et cette demie les abattis cassée tet rie cette alternative, c'était elle, P00-celle, 51155e trouvait la mattreese. D'où

subm et impravone de le-grossefemme.

Poucette entendait Men prefiter de laeinuient.

6110M1M0

PU DU Cift.Amenées 4. page, la lionRéclames 4. page, laTroisième page, la ligne..Locale 3. page, laneuxieme page, laPeemiere page, ia

EC HO SLES CRIENS DE CIPASSE,

Combien-y cnienr de chasse ingFenice?

tee nombee ed diffisde ii deirrainier d'unefeue preeide, nom les taxes emerripairs,les chiens sont iblenés ni draie catégories rchiens d'agrément ou de luxe et Miens degarde.

l'ose tonnée nieraient. les citerne déciantsrépartissaient ainsi entre vos deur enégories8e4.344 Mime, d'agrément Ni de hue eteenne chimes de gente.

Coninien ce total de enrieen6 ounineneLel. oléchiens de chasse)

L'aderirmietralion de "npriennime s'en Prée,curée de la question. Après raquette, elle s éta-bli que, deno les campagnes. bon nombre dechiera compris dans la seconde catégorie endemPlagés habitieellement è la chasse el q7ernpro, établie ainsi le nombre des chiens deeues., (11,11 tiers dr la pre7Iliê enter/orle(d'agrément ou de luxe:, sait 590.000 el .1.11

dixième ite la dearGIene catégorie (de assai"sait 264,0110.

De ces calcuLe.il résulterait qu'il sues Fran.ce, 850ma50 chiens de chasse. Les chasseursétant au nombre de 550,000, la me/penne partied'entre eux ne purséde done qu'an seul Mie.

Lai ROLES RENVERSES.Vendedin Idieba connu dans les enetraas de

1Vmensdeerf, sous le sobriquet de Vendelene-aud-Canards s., parce quit s'est spécialisé amas le

vol deo canard, date les fermes, fat arrêté ersjours-ri, et amené devant le juge dinsienction;,

A peine pnéré dans le cabinet du magistral,le voleur jugea dem coup (mei la rineatilersopièce n'avait qa une inerte : la porte par tlifil remit d'entrer

Vendelin la franchit, donna du dehors m,.lotie de do Tes yoga le inge et von greffier en-fermés, tendes que l'inculpé s'en allait hennéqueement, riant du Gon Wur Gentils dejouer.

Le 7nagistrat cogna, tempêta, appel. Parfenêtre. Plusimed °niantes p.serent untequ'il (dl délivré. Vendelirs, la seessinenequille, ares remis O voler les canards,

en. no7 fr.2 ne ni3 fs.5 te. su

10 tr.

mes, fatigués, ne senge'rent neer' rearasi isintne s'inquiéta d. mitrailleuses. Et es l'estque le lendemain que le vol fut cons-teteMais, en réalité, il ii.rardail Is pensieursjoues dédiss

Quel qu'il en soie 115. Motté pousenit sonenquete et se ref axe à menue confinera. Etenst berne à déclare- qu'on rasait Lot dasupposer que le brigadier Gérard, ersubigeéà la chambre, se froment è un titre eineleen-que unie à ratage de la netrailen. 1010été l'objet deme fressure distiqUirmeleo pourun banal manquement au senne,

D'ailleurs, nenni 1m soldate dee., en-sa.es nom a ee nee.her rpfline 50t16e 'M-ulon, neer les autres, au centime. O :Medbien de comptione direste avec Desehonepan

On attend le robais du génerel Dariencommandant le Bilse alepo ea gai est mine-kenext à Verden.

.rviee ne la Seine e. aurait SentiSuivant certains bruits " courent, le

que Deechamps sena% rendu empatte devols à POgard do, pilds'esice deux nourneudes.On compte, parafeil, se baser sur ce matde droit corouron poire demander lezeseintienne Den-hampe â

IdENQUETE comeresDralens.ar-inarne, 6 .pterabre.

L'enquête sur le vei de ta rait-roi/lens° etsur La désertion du raserai Liescharapaavait Olé intercempue eter emmielle, a re-pris ee matin.

M .Mottie commessaire dieroiramaire, crande la mus brigade mobile de Clelens-sur-Marne, qui 15 Mente s'est surtout appliquéà déterminer te /minent ex.t auquel le vola été commis.

D. deux versionu en presnen, À semblenue celle entant à la mn du 27 na 28 août

- Si VOUS, vonteu être bonne avee moi,fil-elle nettement, je neni tue ce que ramavoudrez-

Hortense eût Ulismsain de Mie.- A ton Saar sois bien raisonmehle, dît-

elle, et je te promets bien que ta serascontente-, et maintenant fent. /a etninette.

Elle devenait exquise, l'ancienne tor-tionnaire, et Pouceto déjà se deeneedaitcombien de temps eela durerait. Mers ilfallait ers profiter.

Pour la première fois depuis bien Long-temps, Porentte put manger tranquille:-rident ; d'ailleurs elle n'aeret jamais faim,ayant l'estera. serré par la craigne daquelque brutalité.

Mais, cette fuis Hortense n'eut pas mimob grnsener, ne lança pas une giffleasun coup de pied. C'était meoeille.

- Savouraun ce que je voudrais Me,dit I la petite après avine dépeehé la se-eride tartine rasse lui avait actenyé gé-néroilA de sa patronne, mon pinne MAIdésir, c'est de dormir bien teanquille._et sans être attachée. Vous sompreme bienque je n'ai pas envie de inc sauver, pine-raie vous serez banne oser moi. Et tuai,on ne peut pas dormir sans avoir mal.

Hum ! ceci sentit plu, grave. 11 eut vraique Anglet n'avait pas renounele ses or-dres pour le séjour rime la bmnagne,mais il avait terrains une telle pour quela petite s'évade L ! Si c'était son irenqu'elle fut attachée, il ferait che boume

Pourtant Innenuc étan hien décidéecebiece Par quelquce eurnplaisannuela eareplicile de Pmeette.

+Ware.

Seuxleme Année. 259,- Mara 7 Septembre ISM

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: Il MME La meg du CONTRE.DAMIERimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1909/B315556101... · 2010-03-05 · paru cependant moins., étranges que ... Ii't sap en pleine lumière t il avait

glapaama aga, asa, mat deeditiversemt adnaleen, concert entre l'aubade militaire et laSûreté generale

.-- On en donne comme raison que le régi-ment avait emmené aux manuvres du

,camp do Chatons, du 20 au 20 août, ms eu-' mitraillrerms.

dia aujourd'hui que le solde GosselardMimera/se du capitaine d'hua danseiit, est in-

-,.,carearé à la prison du 100e d infanterie pourdes faits qui no so rapportent pas à induire

. m0000 chertherait maintenant à établir si

Dem:Minas n'a pas laisne derrière lv descomplices qui pourraient, lorsque rdinutionMme calmée, rems.eu on plutôt continuer

_son auvre de irehison.En tout cm, la population est Intijelisis lens

Inquiets, et aéra.. en ville n'est pas pige',fétu calmée.

Parie, 6 septembre.- Leii Ti/Lupe tamil. eau correspondant

Ghalonsfate-kaaree la apache suivante ;a En ce qui materne les arrestations de

-Militaires au 25e d'artillerie rI aa 108e, i/eut imposaible d'avoir confirmation ou

t Parente imitreete, nous disons pst ..savoirque mere ou cinq soldats avaient, Me mé-tra puis relâchés, puis arrate de nouveauet que M. Mottai chef de la brigade mobile,le colonel du 106e et le commandant Ca-

' dOex, ln rant longuement interrogés à diver-ses rqprines.

« Si een °rom quelqu'un bien placé pouretve renseigné, ...le n'aurait pas fait unpas depuis le début.

DESCIIAMPS EN ALLEMAGNEStrasbourg, 5 septembre.

A présent que la venue à Strasbourg de- Deschamps est connue, les langues se dé-

lient. Les employés de la gare et de l'octroidament des détails qui ne permettent plusoie douSer de l'identité du voyageur mysté-rieux, vetu comme un serrur er, et qui pot

- tait. us ni étrange cola de « aie. fer ,On dit maintenant qu'a la gare morne, au

bureau de l'octroi, il aurait avoué qu'il s'a-gisait d'une mitraille...

Naturellement les journalistes strasbour-geois. les correspond.ts des journaux alle-mands eL français se eent a s en campagnepoux actreuver Deschamps. Mais à la aras,.donne de la police ils ont trouva comme l'undit vinare le bois ».

L'opinion qui prévaut ici est que l'on afan filer Dosehamps sur Metz, ois sa présen-ce. d'ailleurs, est sifmaide, mais me alta,mit possible de rien affirmes

L'aSPIONNAGE SON ORGANISATIONUn journal de Paris poursuit rotule très

édifiante du service .d'espicinuare allemand,tel qu'il fonctionne à l'heure cetuelM.

Le °menai. Schultz et. Schgart non aide,-S'attachent plie partlmiteremeut au recru-

tement.Par les indicateurs, ils connaiment les gens

ay.t quelque tare pouvant donner barre sureux ou Mun, plus nombreux, mesies pres-sants besoins d'argent peuvent feuil:en-matmettre à leur anerm

tu ineheureust aux Prises avec de terri-bles difficultés financières est-it.signalé ?On lui adresse une Mettre l'avertissant qu'unparent éloigné vient de mourir, lui laismenu petit héritage. Pour le vecueillir en évi-tant des dinits do succession onéreux

- al n'a qu'a passer la frontière, prendre untrain dont on lui Sadique l'heure, venir àlamembauag où .11homme d'affaires °targerk, la ligusdaSion familiale lui remettra lapetits somme qui lui revient. La lettre eut

a Un arasa dota famille ».0 rendez-vous est toujours fixé un di-

manehe, aàn d'éviter de garanteu demandesdo congé.

LarM Mer no rend b Luceraliourg.. da ilrencontra Léopoldus ile major von ilocilLCela/Moi feint une oontraceitse de bon poli".Le °âtreen ne sonb pas amides, ainsi qu'ilMcepérair. IL ne veut aas que son correspon-dant se soit dérangé nutileaseat ; il lui re-met sur la succession une avance de 100marksat o.. reçu », naturellement et tua-Vite à ramera le dianumhe suivant.

A eetbe deuxième visite, deuxième verse-ment, e contre reçu LoujOurs. Léopoldusdanarede alors à son encr,i ce lui apporterquand U retiendra une troisième Mas, quel-ques limes. qua.ques cart. el'état-major,Mimes qu'us peut se procurer dans toutes leslibrairie. A partir ile re mon.ut, le mal-assureurs eut pris dans J'engrenage ; il ne

.peut plus aï/clapper.Il y a aussi ks gendarmes races:cerna.Quand ils votant pénétrer en Allemagne

sat Merleue français, alu le « couinent »aussitôt pour voir MI y a en lui aroffe d'unespion.Aux individus aieai ameutés on lait pas'cor deux examens, Run d'aptitude l'autreafin contrele.

'Enfin, l'espion enrôlé on procède a .soninetruution ut à. son éducation opéciale,

feei rentre dans les ataributionade vonBook. On donne h l'élève espion des lege.Mallemand. Les cours sont farts par uaaesceltr qui ne mit pas un mot de arançais.Rock qus y .assiste, sert d'intentai:te ail y a

Leopoldus fait aaprentlre en autre.sas Clèves la phetographio, un peu de des-sin, la sténographie. fileur fait homme quel-que teinture de topomâphie, leur fait indi-quer Imai façon de relever et de repérer surn pian la aituation emete d'un fart d le

se.teramt de l'appareil More. Eut,, pourCire Ose que l'estima paurra pénétrer par-ince, dm iauuqrlàlu eon admetur par des le-aoneale 4iction oie cemareatien et de main-

V0Voilà lassai. :fumé. Avant qu'il entre oncampagne, on le photeiraphie. Le servIced'espionnage allemand -tient absolument apoirmieler la photographie des iedividus qu'ilamajoia 1, photographe devrait l'objectifMaazel mit della tonie les empans habite la,Ittemeratrame, à Metz.

ipres le Yu! de !a EtratheaseCIRCULAIltE OFMCIELLE

UN PEU TARDIVE!l'aras, 5 septembre,

le aninistre de la guerre cent id adresser laetreulaire suivante aux gouverneurs militairescd Paris et de Lyon et atil OSiténu% com-mandants de corps d'armée

ai En raison des incidenla qui se ami plo-dlies récemment rai linintleur de vome prier'anales tout particulièrement l'atteutien acshrsde de corps et de service sur la neeemile

absolue de leuir la main à ce que les me-sures mamies pour assurer dans de bonaceannela.: la surveillante et la ;torde au ma-térie et pour mettre a l'abri de toute Indis-gréai/en les dceuments secrets soient rine.rameutant appliquées.

Cas mesures peuvont d'ailleurs ciriersaut les cireonstame et doiveat dams ner-tee cm', intra susceptibles d'être renforcées.

Sons voudrez Inca M'adules, jutur tele s'octobre, ess ce qui comerne te, meus etaerviees placés sons outre haut commande-ment. nn compte rendu des ponditions danslesquelm est msuree la garde des doeunicutscemets ainsi que celles du matariel et le casMbrant, des mesures nouvelles nrises avaleffet.

o Vous me ferez également -y a lieu,adule paormailien que Vo, jugerez utile dansle

Menai.: à eu propos alafonuatiou publiéeSte schen par 1/Aurorété ret suivant laquellele ratablateement du service des renseigne-ment. aurait "étai deeldd an cours de Madamems onl ou aine At 13riand 011e minerai Brun.

Ge nouveau service, alInt° nelv 0010,1 ère,âcre -mime d'oftlema et d'agetsta pana-Pasult de la Sûreté générale sous la deiten-gansa 4111 manaiou de aintérieur.

VIE OUVRIÉRELa Crève des Ferblantiers

Castres, 6 septembre.L. ouvriers derlilaatiors, zingueurs et

Plessilimos de Castres, reunis le dimanche5 septembre à u heures du soir, dans lusellerie la Bourse du Travail

Con.siderent .que leurs demandai slimenseuanion de salaires en partieulier et leursrevendications en général n'ont pas été ex,rainées pal messieurs les patrens et que eatlademande et que ces revendications ont étépcemanities &amis pals de quame jrnIrS, tegouvr ers ferblantiers, zingueurs et plombiersde Castres, réunis en syndicat, de aident A ruaamanite de casser le travail a parai' alentatirli fi septembre, en attendant que mes-amura les patrons veuilleal Men Meuler lostarifs avec la délégation ou,vrière.

La Grève du BâtimentPars, 6 septerefire.

Le ministre du Travail avait convoqué lespresidents de la Sotie,té nationale des archi-ter., de la Société centrale des areiteeteset de la Société dea architectes diplaômés.Le président ela le secrétaire général Ciesdeux premières société,, ont répondu b sonappel. Lu ministre, après leur avoir demandéquelques exalieations d'or.° technique, aIffié le representant de la Société centralede se joindre à l'initiative nie la Socaate na-tionale en vue d'une médiation.. 1,a collabo-ration do la Sociale centrale aurait d'autantplus d'importance que c'est elle qui a Osé lacerie dea prix malaisée par les outrepreneorsaux gravistes et parue a y a .mmlqms jours.

Le représentant de la Société centrale a ré-pondu queque cette Sadate accepterait volon-tiers d'intervenir ci les parties en cause luien manifestaient le dela. Le ministre duTravail a prévenu les parties eu cama

,,ressa. CHEZ LES 1dAÇONSPars, 6 aeptembre.

La préfecture de police commumque laatabstuate suivante r Maçons grevutea6.70's ; briqueteure grévistes, LM. ;sires gréviste .35. 'Le nombre des grévisteu

augmeuté ale 250 °aviron. Les délémitiartspatronale et ouvrières se sont réunies cetaprès-midi au .ége de la chambre sandalettedes entrepreneurs Maar dieuter les terniesdu contrat dont elles ont, jeudi dernier, mie-s. les grand. lignes. La question des salai-res renie réservée jusqu'à une nouvelle en-trevue qui aura lieu mercredi.

CHEZ LES PEINTRESMarseille, 6 septembre.

Les ouvriersi peintres en grave ont tenuaujourd'hui, deux réunions à la Bourse duTravail. lis ont adopté en lin de séance auordre du jour protestant centre les acte desabotage qui se sont produits et qui ne sontpas amoare des arrivistes. Les grevante ontdécidé d'organiser des soupes eammunistos.

D'autre part, les entrepreneur, ale pein-ture syndiqués et non syndiqués, dans unereunion tenue cet amessmidi, ont de nouveaudécidé do repousser les rce.dicalians desouvriers.

CHEZ tee P. T. T.Para 6 ma/ambre.

Dans en sisanee de l'après-midi, le Congrèsdu Syndieat national aeu sous-agents despostv.a a voté eue motion dans laquelle ilsaagage a entreprmalre une rampaane d'agi-tation. vue d amener la, réforme des corasaki de dieipline.

Il a également émis un mea en faveur dela suppression des étrennm.

CONGRES. nes JOURNALISTES -

ANGLAIS A 'BREST..,Srrut, u septembre.

Dans un banquet qui a réuni les congres-sistes journalistes d'Angleterre à Brest, denombreux toasts ont ete portés.

Id, président du Congrès a adressé, ait nomde ses condi:me, un télégramme de saluta-tion a la presse frasmarae.

Les Retraites des instita 'eursParie, 6 septembre.

0I. Mailds député des Vosges, vint d'adres,ses au aiiaistre de ainsi/union publique unelettre où il signale les retards abusifs appariésa la liquideras dm pampas do retraite desinstituteurs.

Le député d.. Vosges fan obreraer que lesdatasses/vs attendent souvmt plus d'une +la-mie la liquidation de hm pension à laquellecependant ils rut un dates aussi aumédiat, eesPaceiana étant prélevées sur leurs traitements,

ea.eisPAUVRLIS VIEUX!

Lus Su stuttur lis su

lutte dm lu lmparis, 6 septembre.

Ils avaiont veau plus do trente annees, cô-te-à-côte I Une à une, leur illusiens ; un àun, leuium espoirs s'étalent envolés, morneles fouit. «sortes au rude saulaie de la, vieâpre et pondue d. Sravaillours. Leurs che-veux avaient blasait, leur dos salaient va.tés ; leurs forms s'étaient enfuies à tout jartuais et leurs 'suions noueuses et sésame, tor-dues par les rhiumatimemes, étaient devenuesinhabiles aux besognes nourriedees. Maisils s'aimaient enama tendrement ; et Mieredoutaient, l'un pour l'autre, l'isolement lu-gubre tes ans de aie, la snalailis lente àtuée, la misère et son eortege sebka dedouleur et dlorreetà.

Ils décidèrent donc d'en fini- ensemble,dam .une dernière et douce eareinte, de mou-rir l'un pats do l'autre, comme ils avaientvécu.

Le vieux pentrite sa Ouate cama.: anas uneblanche feuille de papier. Et, mus la ému.idede au fidèle campais., il écrivit

a alseenr le tue de paix du Me ar-asa...sud,

a Nous sommet bien Viens et bien las de lavar. Nous vateons en anis st partir avant deconnaitre de plus cruels tournsents.

J'ai noigeade ans et je me nomme EugèneGreffa. Ma femnie, qui entre dans sa Maqua.te-cinquième année est Me Octavie Patata.-me.

. euici trente ans que nouS Pennies unigPour nue la Most ne mus sépare polos, lemsavens décidé Mi nous anicider eusearaba.

a Quand cette lettre veut pmviendro, nousno serons donc plus de De mande.

Veuillez partager équitablement nota,humble mobilier entre les illifferenMs person-nes qui mus furent eveuoive,

Eacuscannus, monsieur, et more à nossineères adieux.

GREFEE,

» 25, rue Plalippearleacerard. »La boue-, fut unioneusement cachetée et

glissée 'lads Is pooke du veston du vieilland.Pisu ,bras rancie bran dessous, riant une

dernière fois tm. la mg ils quittèrent deuraumble lagis et s'en furent pue !s'el-bluets, gentes meus vera la iraulteue 'seraChoisy-lo-lioy, vers la lieine.

Leurs deux cadavres .respeelmés Mer matin,mat maattenent expocea a ta atoraue.

LISEZ ET /arias LIREa LE NUDI SOCIALISTE

UN PEU PARTOUTLe Scandale Policier*

Paris, 6 seatenaus,le juge Mme dies Angl., ch.gé dor edu Bois [Le kamlogne, vient de renvoyer tararele tribunal eomeetionvel douze incubésBenz' et Mmes Picenum, lupin, lacquerad, Gr-uaux Samarra latere, Martin, Linde., Lar-dièse et Grèce.L'affaire stieldra estrando deaaut la dixièmecamera.. !Quatro ea pravenues bénéficientl'ove ordonnance de rien-lieu t Mmes Pro-mens et Charabillie, défendues par Nie JulienCambay, et Mines foui ru ri ô"estrott. Le jugestatuera dans le reprint de la semaine aur leva, elos douer aut.s inculpe,

Dors reubringniAnaers, O septembre.Les journaux annoncent, d'après les nou-velles de Congo français apperlges par laposta t'assola., qu'au cours Mun ouille

dans l'Oubanahr, le lieutenant 'Centime a étéblesse et un sergent taa. La région qui s'é-tend entre la suie., la Sangha et l'Oubanthiest, d'autre met, en piano abullition. Lestromailleurs de, frustoreries ont été tues etmanges par les noirs révoltés. Un télégra-phiste a été tue et dévoré dans sa case parles .Mropopisagea.

Pour mettre On à cette aitualion, in caPt-taine Prokos, arme une colonne COMpOsde de200 Main.no a...salais el 000 auxiiMiresCette entonne vient de partie pont la régionsoulevée, accompagnée, par les trois lieute-nants Ilartmarm. Saillera et Eyrand. La 00boues pour mission d'attaquer as anthro-pophages et de pacifier la région qu'ils ha-bitent.

A11,3'eaine danseese avocateLucerne,. 6 septembre.

mu Me aire Rufkowska, mcienne maltreasod, ballet au théâtre de la mur à Selid-Pe-tem-bourg, a abandonné la mène il y à cinq mspour faire ses etndes de droit

Elle a suie les murs à l'université n, Zurichet y a termine ses atudes ru obtenant la li-cence qui hé donm le droit d'exercer lu pro-fession d'avocat,

nuttrau.ska a demandé son inseriptiouau barreau de Lucanie.

Le Cl o'éraBruitellek 6 mpharbre.

Un lelegramme d'envers au a aational s si-gnale au ou a arrate oc mein a la Maltasehollandaise, un Ingligle qui a été isolé au la-eceet de Beirebirecat. Le xmlade est mort rt.sla journée.

Amsterdam, 6 ceptencere.Le malade suspect signalé a Amsterdam est

décade ca mahn. On a Inscrit sur le .gialre delalat civil comme cause du daces r choiera./dais l'emmen bacterlolennique s'est las enceretermine. Aujourrabni, te autre malade a ététransporté aux haraquemmts.

Rotterdam, 6 septembre.SeLon mm communique du bourgmestre, un

cas de choléra a été constatai samab sur autant que l'on mrvaillat depuis quelques jour,.Pendant les ceux dernière, aeurnaes aucun casai aman décès ne s'eut arasait.

Une pesonne ré/allie a quitté les 1..4.-suants. Quisse tralalas Y Matra dual ratai s'edsatisfaisant. Les personnes en observa:en sontsaines. Quelque la situation s'améliore, lebourgrimstre preconisc une plie mamie pru-dence.

,

Uusineulier o "restc naosMarsala 6 am:ombre.

tua iceidead pea Mura, aast proafft, celtenuit A Max bennes ol deea du mataa desgardidu elv la paix corsdaimient, au massais-salant de la permanemace, un homme et unefaoiune pour %Meir etinlreVenn del'arrêté préfectoral citi 1508, sur la fermeturedes débits de baissa..

Ils avalenl, en eakt, été sapa, danstablisemeut de la V.., un « Cetteriss.

Arrivé à la peemaname, abomine a dirdliuésou risette r M. ficarges laffont, avocat, au-eien bakumier, prennuo adjoint m male' deTataSeen, viempréaident da esseeil anaaraldes Boache-duMhead. La persoum qua ace-contriagnait est tua de ses minpermtes.

M. lance a «tramé qu'il avait foll exprèsdr m faire dresser me contravention pouravoir l'occasion d'attaquer Perret préfectoralqu'al consistaon comme illégal et d'interpellerM. M préfet à la prochaine session du ()oasiengénéral. En attendant, armes-verbal a élêdressé gonds !I. Laffmt, sa compagne et letenancier du a Critéri.t Ba, it

Cambriolage AedaeleuxNous rentrons de 21001 eu la deptielm sui-

vadeCastle, b..35, Iv 6 septembre.

Cependaat que aime aeuve UtSkar villé-giaturait à kaliesmu-Salat, des cambrioleursauriarieux pillaient sa maison sise avenuede Saint-Pons. 9, dam lamait du 5 au .6 sep.tembre.

Les moteurs se sont introduits par lu portedo cernton doanant otar lardaille. Cette parteest toujours ouiverte, Ils ccechetèrent en-suite le porte de l'appartement qu ne vou-laient dévaliser. ta I /Marieur ils fractuaè-rent une armoire et emparèrent de vinqtmille francs de uumaraire et de mem millefrancs de bijoux dédaignant tom millefraises d'argenterie.

Les voleurs semblent usais; opera à muasûr. Le linge retapassent l'arssoire fat peudérangé. Mme Viala, dile Laskar, touchantdam une chambre euntigue à l'appartementcembrace n'a rt. entendu. Lee voleimsavaient décroché d'une panoplie et ployé aportée de leur main mn :made poignard.

Il est heureux Mue Mine Viala or oseil point éveillée.

Le parquet enquilte.Nous tiendrons nos lecteurs an courant

Sur soi tas da Inini«

bof cadavres d'olifantslaseff, I septembre

V. euSants jouas sur un tas de fumierdéposé pelas de la prison de Loukyamriskont douve duo one fosse dicemaulée sousIn, ordures une niaao en bois qui rente-s:nad le cadavre d'un enfant.

lis firent part de leur trouvaille a guet-de la police qui eurent min dc

fade sarmallmi de prés te dépeeir,Le mrvice de survealance était a perce

raaaaaaaa,, gansa, mature cou.. par uncocher, nommé Pononsarenko, arreca pourjoi, 5050 daelsargerce. Les ceenta Mme-tarera ei aleasamirent tachée mue les or-dure,, une caisse contenant, huit cadavres.caonfassas en Isce age.

Le cocher déclara iffaceer ee Mail y aie,dans la balla Sa bonne foi fut etrablie,amas, par l'enquête qui fit saxe, que lesderps dre enfants Inertia Promeaatent rie nus_Meta barteriologime du douteur Loubet:My.

mon, on on demande par qui et dans, quelOui cos petits osalsaaas ont été enlevés desbocaux d'aleml, où les oonseave le dou-teur Loubiasky.

La Rente des TravailleursAmi., 6 septennale.

A quatre Mares et demse, le train de mar-etrandaves numéro 4011, faisant le trajet deCreil à Lens venait de passer en gare d'Ailly-mr-Noye, quand un joint de la Mead/erssceta.

ln mt du vapeur affama le meeanicitn, etle M.ffem; le anecatsmica Augmle Sens fatbrûle a la mei et aux imams; il eut rem,dant la prraence d'esprit de serrer le, ire.et Pat se rend., en passant ourla t.der, dansle fourgon au the de train.

Le train stoppa annelle et les secours durentorganises.

Le chauffeur, uu nomme Maman, 39 ma esttrits ariette/mat braie' air tont le c...

tintdd0 Martre et SIdejlie0000 'u, 6 septembre.

tri terrible drame Misa déroulai vers troisMure ut demie, me da la Maar:laine, dans labontiane de l'armurier Jansen.

L'ouvrier Jimph Falla, âgé de soixante-troisans, qui y travaille depuis plus de trente ans,était ooman se .nettoyage des armes avec lefils do son patron, jeun, homme vingtMxms et avm l'ouvrier louis Laureys. 'fout àeaup, salassaat une carabine Alb., il y glarsame cartouche et, a beur portant. fit feu surses corn/massons qui ferrai attelais, Jansen

au poignet, Laureys au ventre, las tcellieu-rems sadtaimemnt en palmant des cris de deu-leur.

'montant de l'émoi général le coupable s'en-Mit dace la rue; el, s'armait alors d'un ré-waren, il en balla la cervelle.

Jansen est gtavement atteint. Quant à Lat-tais il est mort pou d'instants après sontransport à alaireital.

/le renquele faite d résulte que Falla auraitaocompli son double crisse dans un subit areesde folie.

Une Femme Pissa- sinéeLiiriegss, 6 septembre.

Le anyetère qui entourait le crime de Saint-Sulpice-Laarière est aujourd'hui complète-ment dissipé. laidentila de da viralcse s eteétablie et rimannar vestale dit crime est entreles mains du pige rasas...

La vitasic est ace Maine ile quer.te ans,tonise-Rillaltniare domiciliée à Pa-ns, 7, rue Notae-Damemie-Lortate.

Cette femme qui muait d'hériter d'une mai-son, à Aubue., l'ana vendue pour DE, te.sur ICS eiNnellà d'. nommé Gapienes, 55 ans,domicilié à Telle-mimes ;Alliera se dieart mur,chaudde bois.

Gagnière et la tenace Schmidt étaient partiscasemate pour Saint-Sulpice-Lauriere, et leleadacein Gagnieze reatat seul à Mammon,

Ce dernier fut appréhende et feula Ontrouva sur lui une samare de M;m mats francset me piece Muse nefceée jeudi soir, à lagara à Arme Sehidt, pu le remaeur charité dela distramtloa aes tiokers. Aucun doute n Étaitperdis r Gagteere aiset Mon l'as,a.M.

1.cedult Maint-Sulpice, l'inculpe fut ItiC071-ità par plusieurs parsoees qui l'ara... vusortir de la pale en tempe.. de LouiseScbuddt.

Malgré ms preuves ancablanles, Gaga:aèrecontintas de Men Gaufronte avec le miro.do ta Vislirtle, il n'a pu réprimer au frleend'aga:te:sr, mas il a vile marie son smg-Daid.

Came ou le reeondalse à la gare pour etredirige am Limages, la foula ara.les sue asapassage, a proféré des cils de mort.

Un Tige faîtage de ta-Colve .

Madrid, 6 septembre.Une mata:mie ambulante installée à la

foire aancelle de rdervera, venair ale ternir.)su repréeaatation aie l'aprèsenidi, et leaspart/g/Lenea se patentent vers la sortie, lors-que tout à e01.1p, un sopaéin tigre rayai s'a-caappa d'une cage lainée ouverte par ined-Verre:me.

Lu quelques bonde, le rame fut au nié'Ires du public, provoquant une terrible pa-raqua

Affoler. par ies cris de la multitude gaicherchait une issue pour lui échapper, luMM non moite tamaya° damait d'un saut!almaur la foula mi fuyait devant elle, eten quektces serraceles et trama dans la :ne.

On dm mobilier aussaôt une brigade dela garde civique aour s'emparer du fauvemari, vat

Maar le dampteur qui ne tenait pas à lamort de sun p.sionnaire offrit de se met-tre à la ,ête de la garde Margée de lui itou-aer Mame,.

La amurante cenenença et le dompteur fatassez InelleUx, assisté de la patrouille, pourn'emparer avec un lasse bien lance du tigredéserteur.

Néanmoins la capture ne as fit pas sanspeine et plusieurs des gandes qui prêtaientmain-farte au dompteur furent abantsmuez e'ièv,ment par les griffes el los dentéda tigre qui leur opposa une néaistance do-aesperee, alors qu'on lui pesait de, entravm.

Disparition MystérieuseBeim, 6 septembre.

mc 10 anisât dernier, arisa Fmens, jeune fem-me do arenamat ans, tille de sanas mg/ais,arrivait ô Zurich. Aussitôt, elle écrivit unecura postale à em parents, leur disant dansquel hôtel ellc oemptait descendre,

s, rendit, en effet, à net bête, prêsla gare principar., mais ne troaeat pas deellembm vacante, lo portier do 1h01 et luiaurait offert Line shamasm dans son apparte-ment. Li/totales aurait aimera. Diapras Io per-troc, rite quitta Zurich le jour suivant

Depuis ce moment, on perd complètementsa Pace: ans Pmeuts Mon; plie reçu aucunenouvelle.Ses pare est arrivé â Zurich pour se livrerà des recherche. Il est dans un état de grandeangoissé La police d, Zurieli lui a offert im-médiatement Sen rainerss et a entrmis luneengtigie. De policiers cet ata lamés dans tou-te, les diristionst en rodaud atte miss Pavionswon, .até victime Mun atacesinal.

II est déjà établi que la dmm qui avaitlogé cens laapartaceat du portier n'était pasnRs Pavions, lie mrtere sst dons plm peu-

tuab taterince@

Intolérables Pratiques11 nonv faut aujourd'hui nous oecupar

capitaine du 'Me régiment d'Infanterie et con-darder les habitudes de brutaliM ct d'in/em-pesant. de langage.

Le mais dernier an ad:aryle-te accomplissaitarta pariode cainstructim d.s en campagna.

Il reçut une depeehe que sa mère etaitgrave/ma malade.

1.0 capitaine lus arerela ringtemere heuresde parmissinn

Le coloael en la signant la trmaamina endate perrnisann de hua jours.

A an retour, il aut appelé pat 10 capitainequi tai raproeha en ternies ceberneurs la yen-miblsion du celceet. et se lama aller a letraite devant ses hommes d' idiot si et

a a imaceileIl infligea de plus au malheureux sergent

rasera-Lads matas jours de censigna à la chant-bro et refusa do tao...lettco sa racla:nettsa

au eolmal.Men Mora, Mors qiie ses °amarantes fu-

rent libérés adus la matinée, le sergent ilatster jusqu'as scliè

refre semblables ?retraces MM int:Manaar.14 eff argent dy mettre an

DANS LES AIRSBLERIOT EN ANGLETERRE

Le aine qui sera cilefert'd'elesa5I CoeuPireamnr M.Media par rAftoplane-Club, sma présidépar le lord-maire de Londres: Un grandnombre de Mandés ont promis d'y assister.

La rampe Wandham, offerte à l'appareilplus lourd que Mir ayant In premier fran-dal la Manche, sera remise a M. Blériot parle premier ministre. Le même jour. M. Bre-da déjeunéea à la Cham.° dos C,ir us-

À NANCYNancy, 8 maternare,

Ce e/latin, fois heur.. maire un vent so-nos fera l'aviateur Sommer a fait trois valsdont'. de 36 meute,. L'aviateur est passéune dizaine de fois acedessus de la Meurthe.E.Late, ...Sommer a pris avec Ira une dameet a volt pendant, cinq kilomètres. Peur ter-mie. ses expériences, gaviateur a évoluéaa-dessce de la riva:rens. ,deux Passageaadont le peintre Priant.

LA SEMAINE DE TOIIRMAITouvnai, O septembre.

A 4 h. 35 Paulinsu vérifie lui-urine la vi-lobe dovent ; elle est de 3 m. 75 à la se-

' Quelques instants après Paulhan s'élèveet ageornplit, 0010m' de piste dans -un magni-fique vol à 5 métras de hauteur ; il mt sa-lue par les acclamations de la foule.

Diane visite dans les hangam il résulteSac jusqu'à présent deux appareils mule-suent :sondas., celui do Paulhan et un rnmnoplan de Bulot., aviateur tourceisen, quimet b son aéroplane la dernière main.

Cet appareil a lainrume d'une miette.On annonce Parrivée de quatre autresaviateur,.Paulhan a fait un seeend esSal aSti, Il;

1/ salève alors à une assez gr.de hauteursur une distance de 200 mètres, puis vientatterrir a. a h. 50, :lyres quoi il exécute huaMurs de piste, s'élevant par moment sur unecourte distance juaqu'à neuf mètres de bau-

rr l'applaudit chaleureusement.A 6 h. fins hisse le drapeau noir, en qui

signifie que lm essais sont terininés, maisc'est un faux signal.

A n taures et demie on hisse /e drapeaunoir et blanc annonçant que Paulhan vaprendre le départ avec un passager ; cePassager et Mme Paulhan etle-m0000, maisrappmeil co s'alexie pas.

Paulhan essaie ensuite un derme axerBregi, mais il n'exécute que quelques essaisauxquels l'obscurité met fin.

Tournai, 6 mptembre.La seconde journée: n'aire autre plus do

promesses que la première.Dans la matinée, la pluie malt augmentéles appréhensione et le vent persiatant fai-sait craindre que les aviateurs ne se matantpas aux expérience,Cet après-midi, le temps ost toujours in-certain l on craint fort qu'aucune tentativo

puisSo avoir lieu.

UN CONCOURS D'AVIATIONEN ALLEMAGNE

Franefort-sur-5/ein, 0 séparable.Le °mune de Femme,usi aérenautique de

Framfort, qui se-gunite un concours d'avia-tion pendant l'exposition ot pendu/Mie-ment pendent In semainta du 3 au 10 octobreprochain. a déjà attribue à son concoursune sennes de 150.000 ICan..

En outre le cemila serait décodé à donneraux avindars des indu/ailés de garantiespour leur faeiliter le séjour.

L'ACCIDENT. DE LA. « REPUBLZOaSMeudon. 6 septembre.

Le capitaine Bois est arriva ramonant despièces métalliques de la « République » quivont aire réparée.

Le capitaine Impartira ce soir pour Nevers.

ka Schen chalandsleiorr;essal on France

Lunévile, 6 septembre.sal signale de laertramisuis mann ballon ta,

mand a talda sur le teriteira de celte camamune.

1. deux paseneers ont dit se nommer Lie-dinger, couetrucleur à Augsbourg, et iddel,deteur é. Francfort. C'en de vete ville qu'asétaient partis.

Ils sent demandais par erreur eu territoireframais, à 300 mètres environ d, la frontière.

Bonneville, 6 septere,Après avoir plané quelqura instants au-des-

sus de Bennerille, un ballon fur emporte 'd

midi par un vent amez fart dans la directiondu Calai,.

A midi, il atterrissait dans la eatunnineFrbltvgr

Il état parti de Berne, Matte Pas att calanalMme, amornpagné de Mus a.11emands,

Oeta

Lu Ravello Ull Ftto lord

SE. 01011 AFFIRMEL' oorrospendant du Tunes a Copellnael

gui, rime M. Stead, est veau poser dea ques-tions an docteur Cook, ainsi mm de nombreuxjournalierru analais, delaro qu'appas un as-ana. d'une demi-Mura Il a été parfaitementcmvairrea de la borna foi de l'explorateur.

Ecen, le Daily jilael publie le talegranmlesuivant du +lecteur Cook s

e °arma les savants du Inelidà ester muret...tiaa mea MisermitIons astronomeaues,la plus entiere cionnaumarails areepteroat sassréserve mos pnrentitions a le démariera da Pô-le Nord. Se aras mes dardées indieetrtables.Ire sont le xesultat dc eonstatatioaufaites à raide ces Instruments les Mus modes,osa al e stilb prêt à pseneld Mute as sep.s.Aillé de lear exactitude. »

s. STROIAGREN CONFIRA/1ECopenhague, 6 septembre.

Lic docteur Stromgren, professeur d'astrono-mie a Bilniversité de Coperthemm, gècliair qu'ilosait eu Isar avec le lecteur Cook un autraiieaaprès lequel il ne pense avoir comme raisonsda dont. quo Cook da alirI uo Pola nu teldau moins dans le roismage immédiat da pille,

Des détails centema dans des articles deleuraana Ma Pouvaient faire naître des doutesau point de vue astronomique sont démontrespar un eaamen plus approfondi.

Unice a l'horizon artificiel, a n'y aurala au-cane olsiretiriai MM au polat de vue mie.-dilue,

tadal N. PEUT DOUTE...a b Misteuerv

f.eeeiresvpuurbmsl du Drag Telegraph à NemYork reproduit une interview de Mue PearyUnes laquelle on relève les déclaraboas sm-s.t.

o Je m'attendaiu à apprendlev celte préten-due vfferceserte depuis que je oarmasemis lempart du disetate *soir peur le Pfem Nard, etparmi inS relations on nen doutait pes nen

oe pois eribleer le ente de l'amensionau Mont nstac-Kialey, surlageolle le dada,érrivit lalormaes lettres et daeadvit la saoula-ana Mals camons on lai demande des déferaplus aceris sus l'allias., Coet edp.ed eloud

aaassé geai n'avait pas eu le loups admmurer mate ceideade.

3E06140 EZPLORATIMIRAD POLE 1505555

I.cedrea fi mater...On reçost ici de Capterai (Terre-NemeL

le radiogramme suivait que crus ',a..,nous eXpreSses rêservesis".%11antérieur° planté ào Pôle Nsigne paal.ameleOn sait que remedition duosaa,aa'Puefeyeest eamroete depuis plus ss-aaaaaat

ella d2ptthe menais I ellecamm.dant et, dans ce ms, ONou suivi Cook ? C'est es

qu'un'vea as,chan no. apprendra -

+.0ete:c s efNouvelles

DOL ORÉSDaus ls petite ville pyreneenne,champ, de roule oat se testament ha ioz.ristes a la tenue marecte et Ise pay.aaà la ceinture de fleelle cagne a,reins, au béret tombale .r le Haat, -un mouvement, une celte, unetrammUname ; le mea d'. Mea unn,,,,,-;est de la partse et jette une nappe 1,,,,12

rtrgo sur les Mtes, lm tees diardome,Mmes inviolées.

tagC'ne.est la course, la mures rime la rorm.

Leu toncuments, pieds nus, les crama,au corp,, le jaaret tendu, bus en ligaaattendent le signal du départ. Ils meiune dizaine de gaillards nerseux, Mardecouples, fleur de la race Marna..fanfare locale, soufflant av r rage talales cuivres, jette au vent des pas recta,».

Soudain, I. manieurs partent ; Hama,Emportés d'un prodigieum élan,petits drapeaux qui Salace aa,la mentene, mas le solnot du pay, baa,que.

miel bain d'enfer M. Ah ! les vkequi grayment le chemin martreut etcarpe_ Ils vent toujours perdus. maia.tenant sens l'horiaon, faisant de loin, telet de bestioles preaaueHien ! plus rien 1... tom ! Quelque eboaremue ; ce sont les premiers qui semamusant, brandissant leur oriflamenei lisdegrungolent les pentes abruptes, iras.classant bessons et ornières, quartiers darocs barrant la nouM... Pas d'obstacle)

!pour mua car le pied de l'isard naat puplus sûr que celui du oioureur hemaals,Pares 1 Perme ! erieat-on.

Et les ombrelles s'agitent, les bêtaseautent en l'air dans une débauche dalathousiasme, saluant le triomphe du vatotqueue.

Margent que lui octroient Ms Piges

ventage à I illade incendiaire d'une bel.le heu., a la chevelure d'ébène tordedans eus foulard écarlate, vient de ladécocher, qu'a la bourse de soie pleins

Heureux Perce ! Il a l'air de tenir da.

minceurs.Il s'éloigne, Peree ; il s'Moigne radian,

um flamme d'orauell dans les prunelles;il sait que Be giair, qUand S'alluntelingciel leu prem ares êteiles, dans le petbois de hêtres et de sureaux, Dolelp lafille aux yeux troublante, le laisera nielie sur sa bouche. grenada ouvert: SMlong baiser d'enleva.

IIPerez est couché sur la sanoaar, ara

garces, par intmcallos, piquaat irae et,rouge l'obaourita Il rave 1 il rêve meaand parfumée par las fleurettes de lamontagne ; il rêve, aux heurra attesta.%quand une main r0Se se eus kuc

005(r1P'erea,!

Fermant !Forer s'est levé et sous la lune ratt

blanchit le fade des êtres et des sapais,le,- deux hommes m regardent droit daneblesré pauma,foitud 1,111,Er am; f Fra:le:d

demandePeree 7_ tu l'attendsEt après sAprès ? il y a qu'un de mus estas

trop, et que tout à l'heure quand Palmevieadra vers le rendez-v.a, elle Mimantun vivant et un met.. Ah ! il pal troplougtemps que je souffre, le que la »Je-un ine mord aux 0.1'411. o j'aime Demrès ! je la veux, m'entende-tu

Gast bon I fat Perez, tirent an plargnard et tenibant en garde ; ta Mea D.tores ! Eh bien 1 viens la prendre 1

1.1a aant la Mas de., le couteau d inMana Seeeues par un souffle de farerradu sang aux yeux, quand Fernand laanaamber am arme,

Eh bien ! non ! s'écrimierls 1GOpeux pas.... Dire quo noor amas el.5souffert, mem, ensemble, la maa darce a.Main, et qu'à cette heure nous allaita adeecergar pour une femme !... Nece

camone autrefois, chasser lacera

sdur''detsularute;etate"autret Pei. use éeese

Ire de vin cuit ! Mme'. Chantes., Peà gares vibrera., en pesassent 1005 te-bp.,ersunxe oabu.b.arein prsâvt,ee

rot ! renonce à cette femme, et la 'am"'daa2 fies toron, et je mate nan

nom de non; mères, de 505 JOOSsaras mères endormies dam le pndameaere, là-bas.... tiens ! renonce,.

heè''----Cb"eaat deuenx ! ! Mais alors Pelaea,gAllen...us-en au Min, bien Iole v

B0ultaan''':'cevelusliesurPAmidelee'fft 000C parr°1e1',04:le 1 Oni. Pieretand, km as mime 1amis, deux drèves comme nems, ma,...."Yaarla, c'est Imitable Ma Ha OOrde I 00

lac usliàs4rOul'i'i n'scenitrelrer cO'o.'S'sccedùmre'r,Mame pour no-us assurire !

Ils c'en vont...Mur lunule cavalière, eoupeduneneray

'erbagea, ils easma,éede verdie.' et dh1000 deux ;Ms respiroat ploace It0at.7,0i

,,foedass Laraaaa,ale,u,naeu,craprilennat:eo_debounr

r

et,,ele

clloianeerlede'Paghtleeteare vie'e!dP'res7e lils 010 se retournent manse P

ym'yter un mat caceil eue la petitenéenne, à leurs picota endarlaietoits d'ardoise eameelaata mua au'balMais le sentier s'ahana-le ;sI Yjamte place peur un hrtme. . fe,reA. Lw; msonln,rii i,aetgeardrnalee.pep,,riseai.taaa:;.*Sni,

peint enter 1. deua aparaeS aa 7, poi,xbeitlie,ruttlea.brads.s,se eirergB,sw"

gr...pechersoada,:artorq,op,u:re,e.dle, ...sr:oe.:10,arawar:iid%rr;.,,,ataaasit-

duel

ifead mime, le Sarema menai, se.00. Sm

mur Marnais pour rentaanea tem..hètrea et de arma. où ove,'

Ausguee etee

Mardi 7 Septembre 1909 LE MIDI sOCIALISTe

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: Il MME La meg du CONTRE.DAMIERimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1909/B315556101... · 2010-03-05 · paru cependant moins., étranges que ... Ii't sap en pleine lumière t il avait

Sept'estuere 1909 1..e SOCUILISTe

CHRONIQUE LOCALE

fie Socialiste?Mei SOCIALISTE (S. 2'. I. MY

GROUPE SAINT-AUNE, SAINT-ROCHE.,:nedi 4 septembre, à neuf heure, du soir,

is greueNent-Aigne, Saint-Roch, elebra sa.mme'fête de famille ms l'enumm des °lie

8 o.( et ce fut un ;rand sucesCe Mt autour d'un grand nombe-demrT

,j,ps, et amie que les camarades Vgneeu,'Deo., Rieux ut Julien friront sureessivo-... la parole où ile furent très applaudis

gosse soirée de famille se termina ...laferme espérane d'un .prohain sures'Zee et on but à la République

tee»

Vie SyndicaleSYNDICAT DES CHIFFONNIERS

Tous les sainarade synequés au non, sontre

lés d'asstster la réuni. qui aura lei

ilujourd'hus mardi 7 courant, h 8 heure etSeoir du 500i à la Moussa du Travail.

VU l'importance de tete réunion. tous /es..,onsrades se feront un devoir de ne pusManquer à etire eue..

PLACEMENT citer=e. Demande : De, ouvrières brodeuses et

ingère; des aptcrentie culottiliere; des de-inl.vahres et apprenti. op/isoler. ; -un.,,,,entr taule. chemisier ; une ouvrièrepetso tailleur pour la grande pièze; un va-

t de ferme de 25 à 55 ans.'adreeer au bureau amoxe de la -Bo.ne

da/Travel, rue Maleache, 7.

611AMBRE SYNDICALE DES OUVR/EBSDOREURS-BISEAUTIESS, BURCUTIEMSPARTIES SIMILAIRES.Tot. le -ouvriers doreurs, bizeateerent-

,sseu, syndiqués au non syndiques, sont

ir,55%

d'assister à la réunion °rem.° pas'Uniou do l'Haboilemee e mardi 7 septum,

e, à 8 heur. et tonale précises du noir, a/a Bourse du Trava/I

&de. /ont. -Choix des a...des:poaoenvoyer au Congrès de Tours ; Question àdeuser conter.ut l'aPprentessee

MENUISIERS EN FAUTEUILSRéunion extraordinaire le mardi 7 ea-

tembre, à 8 heures et demie du cour, a laBourse du Travail.

Ordre du Our. - Congrès de Tours; Emsolde un au plusieura délégués.

8TM/1G:1T DES OUVRIERS BOULANGERSTous les miniers boulangers de la elle de

Toleteae et de la région soie invités à aelsierS la réunie generale qui aura lieu le jeudis boume 5 2 heures de Forpesimidt 'a /aRouons du travail.

Outre do jovr Mettre.. Sen D'êTRI,' dieeit; revenratione î furnaler; Mem AG,,,domadame.

La preence de tune les conesades est indis-pensable.

Au Conseil MunicipalDonc, le conseil mmicipal se rentell hier, à

quatre loures et demie, eu sente officieuse.Messieurs /es radicaux Tee memne de la

el. gonade indifférente. Les maniesem, sant des séances insignifiant..ses voit tms les présents. PI ne peut

blâmer les absent, L.On dressait la liste d'assistmae aux vieil-

lards. mais les meillards n'interesaut passe.ours les rafeaux, ILS M'AIENT NESIF

5 EN MANCE.En revenue, nos amis &aient la. Ils rom-

prennent toute la noblese de leur mandat etont à cur de remplir tout leur devoir.

La population jugera.La séance fut levée, le quorum n'étant pur

éteint- Elio fut reprise et, après l'examen desSemer,. le maire se retira apràs aime Mû.-insuast iffue lu seem Ce fut tout

Halte mailletons. demanda sll réuseeserPbendiraieut, de.rmais, à :quatre heures. LeMaire lui répoutht que nette heure la etali ex,menet/mile.

Dise! Triste/ Le conseil radical se déco.-eses. C'est le commencement d, la fin. AStand la tu elle-même?

Terrible Collisionkito et tram - L'enquête se poursuit. es

Némoignages contradictoire.. - il estétabli que le tramway allait tropvite. - Mais ça recommencera.

Nous avons dit hier que la principale c.-le de la terrible collision que nous avonsIlilMetée était la trop ûr.de rapidité d'el-jure du tramway électrique. Nous avons ana-lysé certains témoignages dont nous rapac-e.. Lena intpartialement la principale perteMI:PORTANTES -DECLARATIONS

, M. Bousquet, soldat au Lie de ligne nousi,r,Mclara que le conducteur de l'auto fit'preu-e d'un très grand sang froidtet allait à unetout ni placé pour .bien voir,s ais

au ,ortrml,rame llie aps.ourioIl aines eproplétéMendiasement la déposition

qou'ile-'5%x0elunrbrisD050 faire

après l'accident t sur les on,ire use trouvais sur le devant de la motricele sn'apprétais à deseeudre, quand fus Mtdéboutant de le rue des Arts, Menou-,air cote ferrée pour traverser la rueMetv, ,uutmée étais à hait mètres envi-je/en Mout. . pestant éviterrdw... le chauffeur tournait brusquetent,irellerei, derme», marnent, t'usinas de la

ma-rf%proleiedOz.tgee.hf.e«r: ?"a°son fichtre pour signaler annopéls'ara

chaulteur in l'auto a fait sonner sasStte Pour signaler sa pres.10,,Zdéposition de 11. Bousquet est très irn-

lési

hotTle Pajec

trèsecee,,Ile e pturès

e devant de la motrice,cotte déclaration est d'autantri'elle est confirmée per tous

leiatia. Pays, Jo ui, lui, se trou-

s émis et mol avions MULafayette pour aller à St-

arrivés pas lu can déTATtTtde Mets, el au mument oitsire 'Javelle dans celle der-. y est deriué sur no. en

Ms en éehermst arillé Qu'apres l'areideart.Un mes vite el Illettent

arritn.taxi ont analen.

In, le conducteur de

mené. Taeters. Je sème Etf, la

Boulboum, on le de-nageurs. d ranale de la

Me Neto, foi Marnéoia Lesse lancerons

el,' prendre nui menu'n'engager sur la »me

ose f ai aperçu une tett.° rime:Malt Zgrande vitesse, sans avoir fait buter 1 aPPetf tMgnalent son astrée à oet endmut. Ne pesranrsuiserser la voie, la motrice élu« Onp Pa° rj'ai tourné brusq.meni à gauche pote d.éyager,lea nuls, tamis perse. à rie moment nula motrice a heurté le eblà OUGOn-g."l'auto, Le Mec a été si violent gue mn voiturete été renversée et les rumeurs projetés sus te

sal.J'affirme que nia vidasse était alors de sirr .hia-

lomètres à l'heure et que je faisais so.etrompe polir annoncer mon passage au deo: ;1:1,-ohé de la me des, Arts.lrautre pari,poemoir tearerses la rue de Mens,ntendu aucune sonnerie ommemee /env.' erpassage d'an tram électrique d cet endroit.

D e ccu déclaratien pareitement confor-mes il résulte

que le tramway allait hune allure ra-pide.

Q., même an (oui mont, le-trete., életrique /Pa pas signalé son arrives per lamoindre sonnerie ;

Que le taxi-aide avait ralenti sa marcheet cornait pour signaler sa présence.:

Même de la déposition des témoignagest dqui paraissenéfavo.bles au endette.

de Mute il résulte des confirmations fortnettes de l'un quelconque des points préci-tés

Ainsi M. Guillaume Delmas déclare :ir Je-Mai vu l'auto qu'à deux ou trais mettealors que sa distante était très ralentie ».

Mme Delmas, sago-femme, platée à côtédu watmarin ajoute is Je irai entendu son-ner ou corner ni le tram ni l'auto.

Qu'elle n'a pas entendu l'auto au milieudes bruits de /a rue, n'est possible et ça neveut pas dire que Eau055 net pas cornépuisque PI. Bousquet et M. Payes le décla-rent. Mais qu'elle n'ait pas entendu souterle tram, c'est, autr.e chose ; Met à côtéde la sonnerie.

Il an donc Mabli ollé le train n'a Pas an-noncé sun assis. - faute ineacusable.

LA VERSION DES EMPLOYEZle décla.tion du watraam et du

conducteur tLe watin.n M. Etienne Caban se 5 Snce

et-Sentener, arrondissement de Foix (Ariè-ge), le 13 janvier 1855, watMann à la Com-pagnie générale des tramways à Toulmme,y ...essuient, rue Caraman, 17, a déclaré aucommissaire de Police r

user matin, vers dix heur., je eundui-rr sais la motrice numéro .08, -venant du Pontii d. Demoiselles . Capitole lors.qu'araivés 010 rue des Arts, une auto sortant de cet-

te rue, est arrivée sur moi amont que J'aieu le temps de la voir. Le Mie a été si

violent que Ina motrice a été legerernent soulevée, le marchepied brisé, ta tringle de sup-port rompue, aine que le frein à patins.

tisse autre tringle, dite poignée, 05010 .aga-« !emelt eassne et projetée sur la platefor-s me et a blessé un voyageur qui est tombé« on Indre instant J'ai aussitôt sarrê le

train êlectrique et f ai arrêté quelquesà mètres plu. /ain ; et pour tenir la motrices eue place j'ai voulu faire usage du frein à

patins, mais il était cassé et la matrice's'est mise à reculer. Alors, avec le rou-e mont, .ie donnais la mare/n en évent peu-ir dont que je disais aes conducteur de °er-s mer le frein de derrière, e lel a fait ets la voiture a ate, immobilisée. Je suis des-ceautu et rat .3 one Eautemrobile Met bre-

sée dans le sen, d, Mt motrice.e Au moment où l'auto est venue bouder

ir le tram j'allais b une vitesse ordinaire« et j'avais sonné pendant tout le paieries.ri Je n'ai man entendu l'auternobile mouesri et ne ;sais point à quelle vitesse elk M-ir lait, mais la violence du choc luta tait cool."se qu'elle allait très vite ».

D'autre pont M. Cazeaux29 an. conducteur b /a Commîtotr doc traieways, a fait la delaration suivante :

« J'étais sur la phdeforme de derrière de«10 inntrire 46 lorsque l'accident est arrivé.« Je PM ses vu arriver l'automobile viner, puis 51m b quelle allure elle allait, maisa t'affirme que le tram elait .è une vitesserr moyenne et que le watmann a sonné toutir le long du trajet a chaque intervalle de« quatre au cinq métre., comme cela se faitdellabitude. Je n'ai pas du Mut entoilers corner l'automobiletht terr.sauere que k wattman el le romMoteur ethnieol qu'ils ont sonné tont letemps. Or, ils sont en contradictisso formelleavec mus les autree témoins qui déclarent lecontraire. Cela suffit à appreter loue tre,

eldbeffeleaCEUX QUI PARLENT MALE N'ONT aire VU

Les autres témoins parlent pour ne riendire.AL bernard Pascau, rédacteur à le

Px-O,toredit qu'il enfeudie du bruit et s aperçuteut auto-taxi heure par un tram dlec-s trique.»AL Martin Atialbert, ancien brasseur, ateitl'intérieur de la nionnee. Il Ma pu I your,

deelare-t-H, comment la ooliicion s'est pro-duite, ni l'aüure de l'auto, mea tout Porte àçraire qu'elle al/ait vite parme que, si elledétail pas allée vite, /r caMdtenteur auraitpe tmener, etc.» 8504, 11 na rien vu. Il dé-clare copendant que le tern allait à mevitesse habitue/le.

MM. Dee. et Mtder font des dépositionsanalogues. Leurs dia./tateos sont d. sup-positiae. /I n'était pas beide d'être dans lamotrice, store baissées, pour faire des rai-somments !CONCLUSION

Prof, Cenelle naos le disiossu hier, o résultedes déclarations déenteresesrs de cous quiont vu 1..cident, que le tram allait iraevile, et radio allait à asos allure modérée ;il résulte également que le tram n'a nulle-ment sonné et que l'auto anreit pour si-gnaler na présence.LES RESPONSABILITES SORT DONG

ETABLIESCertes, nette no rendells pas les wattmanresponsales. Ces malheureux êtres falotsqui eut eus la férule impitoyable de l'Em-pereur sont obligés de faire tant de parcoursdans la journée, seau__ n pave de la rue, lelendemain b Et d faut se héler. C'est ce quiexplique la rapidité inconcevable des tram-ways deus les principale, artère. de

Tou.O.fait la municipalité ? Pourquoi le ai.lusse alpe que AL Pons derossà son aios doseIn rue ? donc Pas dee hênleMontslimitant la viMsee ? M. Pon,s lait-il excep-tion ?On le croiralk ;toue avons à déplorer cinqOu six accidents morteh sans compter lesaubier:, innombrables_ M. Poria n'a jamaisete poursuivi, La justice a dit 5 « non lias ,Lia municipalité a dit ri, faites_ ,t La presse;bourgeisc a passé l'éponges..III leu trama erre-sent toupoure.. Durante,une toussait° victime__

Ecbos des Fêtes de Saiht-Çyprienlus maiale rues prie d'intetrenL'Administration municipale a reçu de M.messie, trésorier 4u comité des fête dagentscyprien, une somme de 155 ft, 60 pourêtre répartie de la manière suivanteSinistrés de Provence 5116 55. 60 ; Bureaude kenfai.nee i 20 fr. ; Caisse des Boers

20 fr.Ag Mun dés Ministres de Provence, desPauvres de la ville et des enfants fie nos

écol., l'adminieratien reuicipalc félicitele Comité d. 110m uts .8ann-U7P1neapense à seeeurir Mat Minforehee et luiadresse ses plus vifs remerciements.

Un lâche AttentatAprès l'avoir fait lever, deux inennus ten-tent d'assommer nu paisfide cipayes --

Est-ce une vengeance 7-Tetaile. edn ent les agressions se multiplient à

n'eut pas de mur, où In rapPonde police ne conaigne a l'usage dm quoti-diens, eu pénurie de nouvelles, quelques aletaque nocturne, rixe, ou bagarreToulefes, l'aventure Sont M. Francois OP'tet, 53 ans, eloyé aux tempes fanée..

fut victime lampnuit passée mérite une men-tion spéciale.

Ce Monsieur s'était en effet retiré ve.ome heures, dans son a/tua...rient sis aumimer. 35 de la rire Saint-Cluarlen et se di.posait à reposer du dornmett du juste, lors-que vers onze heurso trois quarts, don cauPsrépétas Moranièree un terteSurpris, M. effet éleva la voix pour de-mander ce qui lui valait une visitereiNs heere et quelle était mette visite !

lie voix inconnue répondit à la sie.nne,mimant d'ouvrir, et lus reprocbmt devoirjeté de l'eu par la fenêtre.

A deni-vétu, M. Orne, se dit qu'il valaitmieux ouvrir la porte et expliquer 4050teloculteoe gel/ y avait méprise.

Anet fut fait. Une bongo à la main, ilterrra la clé dans la serrure et le pèse jona.Il s'est malliereuserrient pas le temps dediscuter avec les étrangen visiteurs, car àà peine avait-il aperçu deux silhouettesd'hemes et la flamrne voillaate d'une bou-gie, que 10 /dus profonde obscurité stemmnomme par enchantement el 5051 rièrevsltau Pont un M'Un de bouteille h assommeun buf. Eton,. empotant, M. Ortet fit un

''.1'epool.que centirieses de ms cheveux, tandmqu'un eue violent ébranlait la porte quisemoule. Notre homme, épouvanté, poussaen appel vigoureux qui décida se agromsieurs u psendra 505005e; et, la bougie talleone se hâta de séparer le désordre de sa te-nue po. Tenir pores Peinte à la Perme-

IA., sur ses indietions an mit en dam-Pagne les Plus fum limiers que le service dela Sûred n'honore de compter dans sesrangs, hetiSe de dire que les peu courageuxPersomag'oi ne furent pas retrouvés. M. 0e.letsenpmenne deux locataire de /a maisonqu'il habite. Southaitans que l'enquête ou-verte par /es soins du aine arrondissementabwitisse, et qu'un heu de sapes, une re-traite à l'abri du soleil trop ardent soientmis gramieusement par la justice à la dis-position d. M.vais drôle qui se sont ren-due coupablm de cet adiemt attentat. I Sicet une vengeance, il leur sera loisible deréfléchir au vieux précepte o Laissons res-ta.° d'une nuit entre Erniuse... et la y.-eanee I d'autant plus .que le temps no :leurmanquera. p.i... Nous le pensum, du

Et dire que Toulouse, plus favorisée que/es autres villes, na point d'apaches dansses mars !...

Jetée par une Fenêtreemut-tiler, vers 3 h. 30, Mlle Germe 15

ane, fielemese h l'asile de Breeville, estMetée du premier itee de l'Asile dans lataus, se fai.et fis tre sérieuses blessure-s.

Dar .ite du manque .dreafernsations et d'U-ne mus. Involontstre de la police, nous n'a-vons pas .40MP, hanis â a. ImPutes, des dé-tails sur cet amidon.

Voici les fém. es de Peng.00 à lamiees'est livré M. Paillt.

MÂleDétrend Méat en magma. DidésiDEcultaav00 la dame lemme Coudre pensionnai. dmMe Phu de vingt ans à. Dresuoville. Hier, ltle suie d'une dispute, rinbriniere ?Matit p.-tée à Ore voies de fait er la permum de MISCeutlact, lm serrée fortement Os o. à MI pénalquo la trace des doigts resta visible et (5005'fout ses cris asce un jupe. La dispute éteitsurvenue pour un ;no« des plus futiles.disparition de clé que Mlle Gersud imputaitAfine GOMMEL Celle demie° s'étant évanouiel'infirmière la crut /none et se réfugia dam .oharabre. Un quart d'eu. plus timil, /remueà elle, Mine Coudict pénétrait a en tour dansla chue. et reprorlmit o Itirtfirmiis'n sa en-duite. Cele-mi, effrayeede sa emponsabilitecraignant une plainte se serall alors. brécintéedeelle-même par la feue:tee.

L'enquête continuo.

A DEMAINLe MIDI SOCIALISTE relatera, demain, un

fait militer° des p008 cariera. 51 publieraen mûre temps trois lettres relativeEnns à la venue/en de omeihs locataires/Matas as patio Mx pain, la innininnIn à unahe de la Compagne des tramway.. Il dê-none. Mais, parmeui le dire a'jourelltai ? Nes katanix le verne demain.L'eureestratest enreenale neera rienpendre pont attende._

se

n VilleAu Conseil Supérieur tu Travail

BIs ECLATANT SUAGESIl a 601 procédé,. ces panse, à leeeetion

des représentants des ouvriers au conseilsukensur du travail.

No. sommes terreux de voir Parmi lesélue le nom de Iletre eue/lent cania.deVALETTE.

Aires que dans toutes ler autres e.tintiuil y eut ballottage, s'ont an premier tour, par/234 voix sur 3504 suffrages, c'est-à-direIn quasi-striant:ruilé mua Valette a été honoréUn la confiance de ses emerades du groupes Travail 4go //lemse commuas et bétimente.

Le syndicat dm ouvriers de l'arsenal au-quel appert/eut Valette nee etre legitiMe-ment fier de te succés qui montre que dansses rangs il y a des hommes dent tous re-connaissent l'honorabilité, le dévouement etla e omp é tene e.

QU'en proue le dénomme Orsini ?Quant a nous, nous adre..s au citoyen

Valette naa plus vives félicitations.

L'Association tes ColoniauxOn ne. prie MaaMeer« Dans une réunioo tenue eu café Fize, as-

'cades du Capitole. Ms nombres honoraires de10050e 01100 et du bureau ont remis à leur vernére président 1e. Cerne Reumieux, la croisd'atteler du Niohan-lf-Tikar.

5,f,ACeptn, ort i.P-eueedtpoitrine de notre présid.t pelle filistietioutant méritée.

L'Association des coloniaux de la HautesGa-mune est heureuse de ver gratifier son pesédoit de distinctions, car geste n on zèle et saloyauté, rien ne pourrait mieux le récentpenser.

Aussi les Coloniaux serrant ou ayant sen"aux colonies, trouveront, auprès de l'Associa,bon, l'appui qui, quelquefois. peut leur per-mettre .ri seulement de se mise luse carrititemais un avenir.

Cour d'AssisesL'ouverture .de la session des coure d'as-

sises de la région pour le quatrième trimes-tre 1009 vient d'être /tee comme suit

Tarn. - Lun. 25 octobre, à eût Pote laprésidence de M. Artus, coeei/ler à. la courd'appel de Toulouse. Assesseurshoht Mye as teintait civilerAllg, et Der-roui., juge suppléant.- Ariège. - Lundi 26 et..., à none almalaprésidence de M. Bonn.s, conseiller h lac.r dappel do Toulouse. Anses... O MM.

Bell, président du tribunal civil de Foix, etPI de semis juge.

- Lundi 22 navanene, àToulese sous la présidence de AI Nad.,conseillez-a la tour 'dmCournoul et Lafont de Sentenac, conseillers

la cour.

Palmarès du Censeurs OrganiséPar le Salon des lieueellistes

SECTION DRAMATIQUEleurs concours. - M. Cio.nstent Petit 3.

de Brest, Dinan, pour sa nouvelle ir UnPèse ».

NOUS eprenons avo plaise que Pante.est lauréat des Jeux Floraux do Cherbourget que las palmex atathamiques viennent derécompenser son talent. Toutes coi felicitaetiens.

Vu la longueur de renvoi (phis de 300 11-pe.), ne. ne pourrons donner qu'une ana-lyse d.s le numéro de .ptembre de « Fa-bula s

I. Prix. - « Poivre et Sel 50 (alias MmeRo à OuveRe. (Aude) pour les ir Clochesfantastiques. Une plaquette artistique Glo-ria «fere par s Mimosas m 28, boulevard dela Liberté Draguignan.

20 prix. - Louis de Goty, d'Ussat, pourAbandonnée ir, excelt.t plaidoyer en fa-

veur Ma véritable amour, par conseepiententre les absurde distance. sociales. Uneépingle de cravate, façon vieil argent, etuno réduction de 50 pour cent pour raban-liement h. Mimosas m

lis prix. - Henri Fraie de la Société desGens de Lettr., pour le « F.trime Sausvete. Mien, unissons désireriona deschoses vécues - Réduction de 50 pour centpour l'abonnement â . Idissoasan n,

de prix. - Paulette Perr.son, 6, quaiGambetta. Chstenseureatme. - En./ quifait songer aux légendes nais. du Moyen-Ag, m Réduction de 50 pour cent pour ra-bienement à ir hOtenosas s,

de prix ex-requo. - Hilari. Dekargues,pour Délivré !o. L'autour nous grée/e l'a-mos. de la terre. Nous serions heureux qu'ilemninue son apostolat.

te prix. - Me Renée Polydo.,(pseudonyme indéchiffrable). ro :Impossibleanour ti, apologie de In possession muraleet de l'amour platonique. Réduction de 50pour cent pour l'abonnement à i. M.Mm.s

Diver.s mentions tronotables. Lire le dé-tail dans « Fabula ».SECTION HUMORISTIQUE

ler pris. - Une baves façon doublé orun livre me Toahiuse Henri Franz, deSociété d. Gens de Lets., pour s PrenierTriomphe ». Den trobservation qui pinit.2e pria. - Un abonnement d'un an b. Mi-mosas s O MM. E. P. de Valmoray et FrancaisDupont, ex-cequo. Ces deux I.réats nom ontdépeint (pentrètre en exagérant un peu)des elioses vécues.

3e prix. - Réducti. de 50 Peur cent pourrabonnein.t b Mimosas is O MIle Paulette-Pornos°.

Diver.s mentions honorables.L'exclusion des nouvelles eein04.3AS nous a

obligé h limiter les prix pour cette seetimi.TOUE nos concurrents doivent s'abonner àri Fabula s qui publiera leurs ...ivres ou don-nera le nom des renée° dans lesquelles lesnouvelles trop longues seront inséra.. Lesmembres du Salon des Nouvellistes (totemtien annuelle o 5 fr.) reçoivent gratudenorda Fabula ',ainsi qu'une carte de membre etSe reketeuroarrespandant Etalanta m

MM. Constant Petit, Poivre et Se7, LouisSa Moly d Lisse. lienry bran sent pressIsTs le désirent) de nous envoyer les Ci-

e. portrait pool muse..Toutes les communications doivest etre

adroseées pendant 1. rasances (Smsqu'à An.1.4.1114. à AL Merel, directeur de la a Reninnythe rie.s le n et do s Fabula o réunis hdientiên5-0ur-Ld4g (Seineet-diarne). Pan,is,êouclitelti boreent do la Revue, 178,

Tete impartaut. - Tous eus ccearrèressont prisu de rérlanner e direeement, a lesprix ene (tonale. dont nana avons dontiéradreem - Le ,Salon.

N,,.,FAITS DIVERS

Ln. Peneèa-MeisbeetinPreekeenenal e »té dressé au ler arrondis-

sement rI. Conte, inconnu pour vol dan porte-in°.

nais contenant une somma de 59 francs, unefacture, etc, commis ce matin, sers nuit hemres un quart, dans les ring.bas o AR Gaffe-tele », au préjudice de la date Mûrit Vient-les. maremme de pestai demeurant Dis derAuges lealielesh

2. Cernes Pensasse pour dol d'un purge mefanant des buse et opf meroe de talle ble-tte connuis ee main vers 40 eue. rue Al-sace Lorraine, au préjudice e Je danse Mmeeyrao, enureut a Mure de peeee

Le 5e arroncheriampt a dressé pmes-cmitalcontre le nomme Paul SsbaMier, se de esans, domicilié à Cettes de passage à Tan-loue Potir ceps el Me.m. sûrAuguene Ales, dame*. re du Canal,

Le 2e arrondissement a dresse procès-ver-bal Mdm le nome jeun Soulé- égé de 22 anS,butine de .:peine, démentent rd Galette, 2, Puteinfraction a la police de la voie ferro, eut.-gen nt rebelle aux agent lies l'este. deMers fane.,

Vo! d'étainUne emmêlé eut outerte as Se armedisse-

ment au sujet d'en col de 21 Ehse dlell42.-connnis daoo la soirOs do 4 courant. au inelmdes eu Meir Modem fondeur, demeuent raePelade, 53.

Pst s' éviter un tramwayfe matin, vers 10 heures, MW Marmite char-

ge ete nurnagr, GeGOULG lias le Glenn (ne.,demeurant a audit-, passait dans la rue Ma-tabiau, lorsque, en sa garant da tramway, aaccroché la tente de l'épicerie tenue par lesieur Seule, mi numéro 25, et a brise deeMimes de

-knout/ accident de personne. Tout oient ber-né à des fie..

Brutale agressionRies soir, à 8 heurns et demie, M. Altweed

Téroulé, itge de 71 any nard. baulmes àToulmse, passe tranquillement dans le iche-min de ronde Luppé. lorsqu'arrive

1e do de Pallie Carbillo-Pujol, il filt robe d'o.eagression ausi brutale qu'injustifiée de la partdu nome Man. FMI

M. l'imité porte une blessure au-dessous/th,l'el connue et une ecchymose au nes.

Drpeicerbal e été dressé et le 5e arrondis-eltdee/Te Ta Procéder a une enquête.

TrouvaillesA réclamer o à M. Blanc, boulanger, rue de

la flache, 5, un paquet de linge; h M. Bordes,rue des Prêtres. 6, te der b M. Salemon, suede Patina:qui 32, des feuille tin....

SO133

SpectaclesMursaakCasino

dÉtee de Brienne, monterumemislee,111Mes gaies succèdent .x pduea Seletsur. t efAche du liumem,ygegtyg. Co soir, tir,

represeMettem de don Excellence n ca6pas de boisa la très amusante comédie de Ba-nia-Chrome, sue Cliamblm igurbel,

Mrnm Duparc et Illbar y donnent libre toursleur verve.a., le Pmltle Yoncert, on applaudit M.prey, Mlle beled, M. Genival, td, lerbel, dans

de rouelle GOOVGBS.Après le spectacle, à partir de 10 heures, nnitemao spécial d'autobus ramène les spetta-

Murs.(Communiqué.)

Apollo-Cris 'alNous apprenti00 par une induerétion qnc la

sympathique el charmant darcoleur deAl. Andrei, a pu. apte. ;de grandes ditficete,réengager la célèbre trime Lilliput...a Ita-lienne qui, par suite ffergeenees laddriectrynous avait quitté pour Meer u Bardeaux.

A partir du 8 courent, fl nous sera dose pemluis de venir applaudir à l'Apollo cette célébrePoupe dent la -réputation n'est plon à faire.

L'affiche du jour donnera, avec la canote-han de la trousse, la séria de spectacle qu'ellese emplie de Doua offrir.

. (Communiqué.)

Les NouveautésCe soir mardi, aux Stauveres, les Neuf Ti-n.. Guards, les Trois Caen., 1. Spis°.

Spissal-Spimel, les D.x Durnellys, b petABarbeen, le plus eine diseur du Me°, le co-rnique Debray, Mmes Valentine, Solinres, Co-lette d'Or se surpasseront peur satisfaire unpublie gui ne se lasse pas de venir en follere luxueux établissement pour les y applau-dir. Meedy et Chevalier, les dé.pilmts D/stri-ga.. terminemnt la soirée par le joYttc7Ieut-rainant vaudeville I 4m ao. 2.nin1 Sa Ut/-seront avec le conteurs de tous 1. artiste. Sadéjà eine, dan. 0 Ln Caeoldetie os qui aé-ra sûrement redemandée.

Ou confine las dee° du «Debré illusion-Ms. Thorn pour le 15 septembre.

(Communiqué).

01stese

(ONVOÇATIONS--Sociétés dive/mos

L'ESPERANCE ARTISTIQUEIen sociétaires sont prtés d'euster à la

réunion aujourd'hui mardi a neuf heures duse., au café Vaget.

Les artiste sont pries d'apporter leur ré-pertoire. Reettiran aecc le plants0s na vuedu procham concert

Fat de QuartiersJEUNES GENS ET NOMMES MARIES

DU QUARTIER DU RAVELINMessieurs les jeunes gens et hommes mg-

nés tin :quartier du Recel. soin inotés earendre a la Menton h mare 7 septembre,huit heures et dams° du soir, au café Bon-e./ ailée de Garenne. 50,

Ordre du jour. - Derniares depoeirompresse, peur 10101v du if seer./ e. MM.hao enteeprenew sont couche..

.160£64ETAT CIVIL DE TOULOUSE

PUBLICATION DE It/AMAGESDes 4 et 6 Septembre /609.

Emile Barbe, maréchal-demieon fourrierau leme d/teiller. u Mordpelher et MarieEnte ausoo,pmot,eeuoue5 a atonipellxi.

et Aeloundle Vadery, emploie a la nem-facture dos tabacs, all. de Diurnes

Entée Lev, alieeleite stu mentait, rue Pey-mes. IV, 81,54 Lee». Pontiai', liSselsee. qua,Mor du Raisin.

Barehélismy 0500001. cordonnier -campeuresse Paul-Dect, 1 et Use. Gathala, mécani-oismise, Petite rue Dufour.

Frauenie Mireur, sergent-fermier au/ hueifielanierie t Toulouse et Ala Buetep sansprête-salon, à Cet..

Daul Laces.eu, emploi. au choissn de ferdu Midi, rut d. Chiesem-Elyse. 1 et ,Serunushue, 55u0 pression, 3 ilestelice-Lesehan!times.,

Sébastien Bringue., uegociant, rue die Fi-lettes. AG. et Mar. Sel., sans Proêmeeohue de Feeile,Alfred Julie, employé au ahanons de fer,

mie Liane, 5, et Neérnse Corbière, sens Pr.femen. b Velduceuque (Tern'

IMançoie M'eue, cultivateur, à Axas(HautesGemsne et Marre Den/tel, sana pro-f.sion, aux Trois-Cocus.

L0000 Sareguet, berioger, Pati eNfef SaentEtl00010, 7 et Jeune Ga.ert, pesemoutese,chemin de Oriff.let, 10 bre.

Peul Moere, voyageur, av.ue de Pers,75 at. Nage Brie, sons prefa.1., même da-aneUe.

Jeu Routé, employé rirent. eux Trete-Com. ct Frampese Boue, sou Iwiffeween,Ilmoix-Daurade.

.E101 F,spin, Miner, à SaintelgarttinehmT.., et désole Taitlie, chemiser°, à Geo-se-Larde.

Frêne> Jeux, egorme, rue Gatian-Ar-oie, 3e et Laure Bernay soue Preeseon

Nec Lafayette, 23.DECES

/les 5, b, et 6 Septembre MOSJean Fuir, 5 mois, rue Tournantede-Iels

pé, 10.- Odette Dain/oui/ 4 ans, place Saint -Pl.., /3. - Juséphine Montante veuveGauen &I ans, raie Pergaud..., 24. -Pauline Delfau, 60 ale. mas Mans, 1451^resel Garcés, 2 mois, rme des NovarA 59. --manne Duprat, 1,5 ana, rue dms Fitatiers, da.- Jean Disberry, 57 ans, Eaubourg des Ph-nmes, 27. -Yvonne Portes, 9 cors, faubourgBonnefoy. 90.- Mme Real,. mois rue Mes-pout 3.. - lieur] 1)litner. 59 ares, boulevardArnwnd Duportal, II. - Jen Samteamat,65 eue, rue Pelade. - Alice Verges, 4 mois,rue Sainte-Décile, 14. - Joseph Dot-su, 1 an,rue Communs, 17. - Roger Cerceau, 1000s,rue Repall, 09. -Jean Delieux, 53 an., Mo-ero IMM..Dep... 2.

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A L'ABATT 01 RNOMBRE D'ANIMAUX ABATTUS

29 Août au 4 Septembre 1509.Bouifs, P0; Vaches, I.; Veaux, 355

Mordoe, 203 ; Brebis, 5200 Agneau. 869Chèvre, 16 ; Chevreaux, 15 ; Pores, 367Chevaux, 0h; MoloW, 55 ; Axes, 4.

illiaaasaaaandieseaaeadeiesleauseintettlautie

Dans le llépartemed

COLOMIERS.VIOLENT INCENDIE

Dans la matinée de samedi dernier 4 cou-rant, la maehine à dépiquer de 51. Houdon°,propriétaire à Blagnac, conduite par M. Beloufaellaufne), oIt shwtaller chez AL Loui°13dor, promiétaire à Colomiers, pour lui del-quer la récolte du bli; al d'avoine.

Vers midi, ta .machins Mait mise à peintpour atrnmer, muas, muteraient, on décidadoUer deimsaer.

Le repas touchait à sa fin quand na vint an-noncer a !et. Rouées et Bel. que /a ger-lette et le batteur étai/ en feu; One furent tê-te mu' Pied, X..j0 peine perdu. en mi Instant,gerbière, machine, batteur, tout êbAt la praledes tlaiaraes. Mi flow:raie ex saiera. Quia aM. Beescher, 11 as l'est malheuroutemeut pas.

Sixième édition

MAIIT/SSERREOn nous podr dee., tLE SEIGNEUR DU VILLAGE. - Enfin raitre village possède un terrible soignes., AMIro Dan Quichotte nous nems en doutsang

bien, connaissant b personnage, mais nouan'aurions jamais mppose la haine lamiedont est animmd ce hut.neau à l'égard desma/heureux ehas.urs ou étrangers qui tra.'versent ses propriétés non clôt-mies nul-leurs. Le dimanche 29 anût dennier. un graspe de chasseurs de l'Isse se trouvait dans no-Ire région ; ils traversaient des champs ai«tués sur les flancs de latrait le soi-diSant château de notre Dors Qui-chotte; larsqu'ils vinoli venir a eux, le fus*sur rEpaule et se cillons à côte, ton jeunelourst.d è le Agate glabre Précheimpé te sa-cristie o c'était le seigneur, momies. Eamesqui les apetropha grottieremen b peu prisen es ternies O a Rstirez-som el site; vousAt. dans nes terres; tout ceci et à moi ;

551 mon dentine ; sues seul le maitre;g y a quatre !Sevres sans cit vallon, amie/soi seul j'ai le droit de 'es tues, etc., ett.D'abord deontenamés par tant créer, te,n. chaeeurs lui tirent remarquer polimentqu'ils ignoraient se trouver dans ses terreet que s'ils y chassaient c'était tout, sine.pleinent parce 15n.111.11.12 pate...1 ne a'y trou-vait p.r indiquer que la, chasoc y était dé-fendue. Continuant à 010e ineetés et voyantà quel autocrate ils avaient Mfaire, i/s luirépondirmu serternem et lui Rooi ver quenous n'étions PlIss au MoYen-Age. Iglaus nuuspermettrons de dire à M. Bises qu'if a unedrôle de façon de comprendre les laie del'hospitalité qui daymt régner eutso com-mune engin.. Quant à son arpion ineam-m.sursibre, à sa atonie de jouer au grandseigneur, rein ne anus étonne nes t Cv mon-sieur voudrait nom ramener au bon vieuxtemp, oit pour une cadre te, my, le do_ma ne du seigneur, le malheureux chasseurêta 1 écarte.. AIs ! sa esta éthii, je vonspie mirais pauvrua chasseurs bobo; muaser ez b tette twere-ci. par les soins ria antreers 'o I on fond de quelque oublustte testrain de méditer sur le grand senne d'aventviolé sr. Minette. terres.

Et vous, M. Bistes il vous ne voulez patnue l'un /chasse dans votre domaine, ayezdonc la pudeur de ne pas chaeer ch. leiautres, comme sou, en OOou Ou peu trop Pim.bttude. thus ne voulez pan que l'on entreda500 vus chaulas, ne violez pas mare le lopindo taroe du petit cuitent.ur qui est piereépeclabie que votre grande Proêleté,ne criez pais trop souvent que vous avez degrande; terres ! Vous ne el,. pas On quel'avenir Tous cée.ce. Vette ms:agence dedespote devra, Atmennber tesson la pousséed'en...pat/ion .riale qui ne mimera de sefaire jusqu'au leur nbM craie justice elppr.e050einO débris de sas privilèges nanan.,

DO proupe de sellicateum de Martis.rrsVELLEIREA,

01/11.711 LUNAUGURA110N DE 1,1 GA-RE? -- VO 1.052 oellpare 113 ri/am/tempe tableasfait parla s Dépêche s lors de la pose de latrelnlOre piesce de la gare. ft Frouton. av.,/ sombre et triste taleau de InnauStIratterrchamp de tir de ViDesur per M. Csepel, l'on*Mie qua l'autour a cherché à merharrer leinepte des uns pour s'acarner sur l'incapacitédee autre.

Videmer. banquet à la dérive, inaugurationmese ministre général, préfet, notabilitésMmes, seines dlverses, rétention au enraiera-Del. tont Cela Sh. un diseurs politique.

front., dirable discours du maire, dis..endu préfet, diseurs du sénateur Pain-Cher,

di.ours du blackboulé ministre ',ces,mué gel en Ste, c'est bien Briand qui l'a priédelle reser si/lotos'.

Il meque donc, ad nuire de Villeux., deprendre ox remets lors ile la Dose de la pre-mière pins. île /.a gare de Villestaur. Las vil-/me:mima .rmd ninjOLIS saleaeinpleses queas le passé, d'autant plus qu au lieu d'avoiro imucti et demie de perceurs pour aller à

Tallons°, en passant par Saint-Sulpice, ils au-rent dee heures et dentie ap painint parFruit. Nom aurons, alrisi le plaisir d'avoir

dleceurs ;Alicia., mals, comme le ComitéSOCinflEIG est là et qu'on le craint, nous acons

ber9déieut'edtbieiser.1000nr ttts'ret:.usne préfeguris et 15, &hot., le en-raiia yeurre.4 Innviter à c.ir rendree,pte de sou mandat et eus aurions unereenion publique. La fera-hen? Peur gui menal: la tries° que/ ras Meel.ra/ auee leParle 'socialiste orgênise ime riantes, il estperrnig d'en douter,

cepearlaut, sols avaiemt re courage, et eutspi me fasse on hem., nous eus

Omri.. d, suite pour apporter une /ergs etloyale eantradictiou.

A deaut de male. ayant été directieent etpublispeciant attaques par M. Cemal b Foot-ton nons rorganimrol. 5.r-te005es 51 anneVerrons de quel rek tint les lâches.

Le Conailé.

Rite HEIRAf Mare a'nes

A MELILLAPenertede-la-Gemera, 6 septembre.

trno ruelle, a été très suce la unit der-mere ; après une matinée esses trafflutilit1 ennemi a rouvert le feu vers midi,

Go place répondit par des coups de fusilset un feu d'artillerie ; une grenade éclata ensortanl du manier, Male elle ne musa au-cun aceident

Lee Espagnols n'eurent qu'un bl.sé ; 10

eut /a main traversée par une balle °ame-nde.

Madrid, e, septeiribre.D'aprci une dépêche de source officielle,

I e colonel Lare a passé la nuit (055150111e'mont b El Fric ; les détachements placedans les enerons s'oecupent des travaux dedefense.

Bufadi o a débarqué avue do grandesdifficultés /es ehamea.u. arrives /Rem

Le journal Inparciar ir annonce que ladouzième division conemndee par le Miné-ral Sotomayor et comprenant. onze millehommes, va partir pour Melilla.

e Inparcial a dit ignorer les causes gutnécessitent se nouvel envoi de renforts.

Madtid, 5 septembre.Cl, Mann, président du conseil, a Gonfle-

.

0550e la douzième division du général So-tomayor, eorte 4m onze mille hommes, lapartir Pour 5, 11,1'.

Cet envoi att rendu nécessaire par l'exten-sion de la ligne d operatio. et I obliger.de rein-tenir le eauirminications entre leses Meus avancées.

.8 TANGOR

MoulaDitabil et le %AltiTante., G septembre.

Le, cilles. de Taza et de Bolou, ainsi quescies oniata et Teoul, ont proclamé

Lea gouverneur. ont Inni toua les Idennrerght à la dispositionr eu engem:el ; celui deBedon dell venir à Fez pane enatinnerCofid les pores sur lesquels Bou-Hamara estnmet

Moular-Hatid a l'intention earivOyer Une,,ehnlin occuper 150, et lever les impôtsdons la rem.

te khalifat du. 'tee; a Ale emprisonné...eee.iedcupoloasesde carmes*

Rabat par lea Bem-iiaaaeu., . .

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Page 4: Il MME La meg du CONTRE.DAMIERimages.midi.bibliotheque.toulouse.fr/1909/B315556101... · 2010-03-05 · paru cependant moins., étranges que ... Ii't sap en pleine lumière t il avait

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Presse el du Midi Socialiste. Jr m'engage d es acesieter 1m eesoiLINT FRANCS COMIte suit.

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